BLFS-BOOK.html 0000644 0002002 0002002 00043200600 12501101511 012256 0 ustar myou72 myou72
Copyright © 2001-2015 L'équipe de développement de BLFS
Copyright © 2001-2015, L'équipe de développement de BLFS
Tous droits réservés.
Ce livre est sous licence Creative Commons License.
Les instructions de l'ordinateur peuvent être extraites du livre sous la MIT License.
Linux® est une marque déposée par Linus Torvalds.
2015-03-06
Historique des versions | ||
---|---|---|
Version 7.7 | 2015-03-06 | Onzième version |
Version 7.6 | 2014-09-23 | Dixième version |
Version 7.5 | 2014-03-05 | Neuvième version |
Version 7.4 | 2013-09-14 | Huitième version |
Version 6.3 | 24-08-2008 | Septième version |
Version 6.2.0 | 14-02-2007 | Sixième version |
Version 6.1 | 14-08-2005 | Cinquième version |
Version 6.0 | 02-04-2005 | Quatrième version |
Version 5.1 | 05-06-2004 | Troisième version |
Version 5.0 | 06-11-2003 | Deuxième version |
Version 1.0 | 25-04-2003 | Première version |
Résumé
Ce livre est la suite du livre Linux From Scratch. Il présente et guide le lecteur à travers les ajouts au système, comprenant des interfaces réseau et graphiques, le support du son et le support d'une imprimante et d'un scanner.
Ayant aidé sur Linux From Scratch pendant un bref moment, j'ai remarqué que nous avions beaucoup de demandes pour savoir comment faire des choses allant au-delà du système LFS de base. À cette époque, la seule aide qui était spécifiquement offerte à propos de LFS était les astuces LFS (http://www.linuxfromscratch.org/hints). La plupart des astuces LFS sont très bonnes et bien écrites, mais moi (et d'autres), nous avons pu percevoir le besoin d'une aide plus claire pour aller au-delà de LFS - d'où BLFS.
BLFS a pour objectif d'être plus que les astuces LFS converties en XML, bien que la plupart de notre travail est basé sur les astuces et que, de fait, des auteurs écrivent à la fois des astuces et des sections BLFS adéquates. Nous espérons pouvoir vous fournir assez de renseignements pour, outre réussir à construire un système correspondant à ce que vous souhaitez, que ce soit un serveur Web ou un environnement de bureau multimédia, apprendre beaucoup sur la configuration d'un système comme vous l'entendez.
Merci infiniment à tous ceux de la communauté LFS/BLFS ; surtout à ceux qui ont apporté des instructions, du texte écrit, qui ont répondu à des questions et, en général, qui se sont crashé quand les choses n'allaient pas !
Enfin, nous vous encourageons à vous impliquer dans la communauté ; poser des questions sur la liste de diffusion ou la passerelle de nouvelles, et nous rejoindre pour rire sur #lfs ou #lfs-fr sur irc.linuxfromscratch.org. Vous pouvez trouver plus de détails sur tout cela dans la section Introduction du livre.
amusez-vous bien à utiliser BLFS.
Mark Hymers
markh <at> linuxfromscratch.org
Éditeur BLFS (juillet 2001–mars 2003)
Je me souviens encore de la façon dont j'ai découvert le projet BLFS et dont j'ai commencé à utiliser les instructions qui ont alors été complétées. Je n'arrivais pas à croire combien c'était agréable d'avoir une application à jour et qui s'exécute très rapidement, avec des explications sur pourquoi on fait les choses d'une certaine façon. Malheureusement pour moi, est arrivé rapidement le moment où j'ai ouvert des applications qui n'avaient rien de plus que "À faire" sur la page. J'ai fait ce que beaucoup aurait fait, j'ai attendu que quelqu'un le fasse. Il n'a pas fallu longtemps avant que je cherche avec Bugzilla quelque chose de facile à faire. Comme dans toute expérience d'apprentissage, la définition de ce qui était facile variait.
Nous vous encourageons encore à vous investir car BLFS n'est jamais vraiment terminé. En contribuant ou simplement en utilisant, nous espérons que vous vous amuserez bien dans votre expérience BLFS.
Larry Lawrence
larry <at> linuxfromscratch.org
Editeur BLFS (mars 2003–juin 2004)
Le projet BLFS est la progression naturelle de LFS. Ces projets fournissent ensemble une ressource unique pour la communauté du logiciel libre. Ils éclairent le mystère du processus de construction d'un système de logiciels complet et fonctionnel, à partir du code source, auquel beaucoup d'individus talentueux ont contribué à travers le monde. Ils permettent vraiment aux utilisateurs d'adopter le slogan "Votre distrib, vos règles".
Notre but est de continuer à rendre disponible la meilleure ressource pour vous montrer comment intégrer beaucoup d'applications libres importantes. Comme ces applications sont mises à jour constamment et vu que de nouvelles applications sont développées, ce livre ne sera jamais fini. En outre, il y a toujours de la place pour l'amélioration des explications des nuances sur la façon d'installer les différents paquets. Pour faire ces améliorations, nous avons besoin de votre retour. Je vous encourage à participer aux différentes listes de diffusion, aux groupes de nouvelles et aux canaux IRC pour aider à atteindre ces buts.
Bruce Dubbs
bdubbs <at> linuxfromscratch.org
Editeur BLFS (juin 2004–décembre 2006)
Ma découverte du projet [B]LFS s'est réellement faite par accident. J'essayais de construire un environnement GNOME en utilisant des HowTos et d'autres informations que j'ai trouvé sur Internet. J'ai rencontré deux fois des problèmes et une recherche sur Google m'a amené à de vieux messages de la liste de diffusion BLFS. Pris par la curiosité, j'ai visité le site Internet de Linux From Scratch et j'ai rapidement accroché. Je n'ai depuis lors pas utilisé une autre distribution Linux pour mon usage personnel.
Je ne peux pas promettre que tout le monde ressentira le sentiment de satisfaction que j'ai ressenti après avoir construit mes premiers systèmes en utilisant les instructions de [B]LFS, mais j'espère sincèrement que votre expérience BLFS est autant glorifiante pour vous qu'elle l'a été pour moi.
Le projet BLFS s'est agrandi de façon significative ces deux dernières années. Il y a plus d'instructions de paquets et de dépendances liées qu'avant. Le projet a besoin de votre participation pour poursuivre son succès. Si vous vous apercevez que vous vous amusez à construire BLFS, merci de penser à aider de la façon dont vous pouvez. BLFS a besoin de centaines d'heures de maintenance pour rester au moins à moitié à jour. Si vous avez confiance en vos capacités de rédaction, merci d'envisager de rejoindre l'équipe BLFS. Une simple contribution aux discussions sur la liste de diffusion avec des conseils et/ou en fournissant des correctifs au XML du livre vous rapporteront probablement une invitation à rejoindre l'équipe.
Randy McMurchy
randy <at> linuxfromscratch.org
Editeur BLFS (décembre 2006–janvier 2011)
C'est la version de développement du livre BLFS. Cette version du livre vise à être utilisée avec une construction basée sur un système construit en utilisant la version de développement du livre LFS ainsi que la version stable de LFS. Bien que cette version du livre soit par nature en développement, tous les efforts ont été faits pour garantir la sécurité et la fiabilité des instructions. La plupart des gens trouvent que l'utilisation des instructions de ce livre après la construction de la version de développement de LFS donne un système Linux stable et moderne.
Amusez-vous bien !
Randy McMurchy
24 août 2008
Last updated on : 2012-03-12 03:49:48 +010
Ce livre s'adresse principalement à ceux qui ont construit un système basé sur le livre BLFS. Il sera utile aussi pour ceux qui utilisent d'autres distributions mais qui, pour une raison ou pour une autre, veulent construire à la main des logiciels et ont besoin d'aide. Notez que le contenu de ce livre, en partie les listes de dépendances, est basé sur le présupposé que vous utilisez un système de base LFS avec tous les paquets listés dans le livre LFS déjà installés et configuré. Vous ne pouvez pas utiliser BLFS pour créer une variété de systèmes, donc le public visé est probablement aussi vaste que celui du livre LFS. Si vous avez trouvé LFS utile, vous devriez aussi aimer ceci !
Last updated on 2009-09-25 12:52:41 +0200
Ce livre est divisé en plusieurs parties.
Cette partie contient des informations essentielles au reste du livre.
Nous présentons ici des questions de configuration et de sécurité de base. Nous traitons aussi d'une série d'éditeurs, de systèmes de fichiers et de shells qui ne sont pas traités dans le LFS principal.
Dans cette section nous traitons des bibliothèques souvent nécessaires dans le reste du livre et des outils systèmes. Des informations sur la programmation (comprenant la recompilation de GCC pour supporter tous ses langages) concluent cette partie.
Ici nous expliquons comment se connecter à un réseau lorsque vous n'utilisez pas un paramétrage IP statique simple fourni dans le livre LFS principal. Les bibliothèques réseau et les outils réseau en ligne de commande représentent la majeure partie de cette partie.
Nous traitons ici du paramétrage de serveurs de courrier ou autres (tels que SSH, Apache etc.).
Cette partie explique comment paramétrer une installation X Window System avec des bibliothèques X génériques et des gestionnaires de fenêtres.
Pour ceux qui veulent utiliser le K Desktop Environment ou certains de ses composants, cette partie en parle.
GNOME est l'alternative principale à KDE dans la jungle des environnements de bureau.
Xfce est une alternative légère à GNOME et KDE.
Des programmes de bureautique et des navigateurs Internet graphiques sont importants pour la plupart des gens. Vous pouvez les trouver, ainsi que d'autres logiciels X dans cette partie du livre.
Nous traitons ici du paramétrage de bibliothèques et de pilotes multimédia ainsi que de certains programmes audio, vidéo et pour la gravure de CD.
La partie PST du livre traite la gestion de documents avec des applications comme Ghostscript, CUPS et DocBook et par l'installation de texlive.
Les Annexes traitent d'informations qui n'apparaissent pas dans le livre principal ; elles sont principalement là en tant que référence.
Last updated on : 2012-09-22 18:38:01 +020
Le livre "Beyond Linux From Scratch" est conçu pour repartir de là où le livre LFS s'arrête. Mais contrairement au livre LFS, il n'est pas conçu pour être suivi strictement. La lecture de la partie Quelles sections du livre m'intéresse ? de ce chapitre devrait vous guider à travers le livre.
Merci de lire attentivement la plupart de cette partie du livre vu qu'elle explique certaines conventions utilisées tout au long du livre.
Contrairement au livre Linux From Scratch, BLFS n'est pas conçu pour être suivi de façon linéaire. Ce car LFS fournit des instructions sur la façon de créer un système de base capable de fonctionner sur n'importe quoi, d'un serveur web à un système de bureau multimédia. BLFS tente de vous guider dans le processus de partir du système de base vers votre destination choisie. Vous avez vraiment le choix.
Quiconque lisant ce livre voudra lire certaines sections. La partie Introduction, que vous lisez actuellement, contient des informations générales. Notez surtout les informations du Chapitre 2, Informations importantes, car elles contiennent des commentaires sur la manière de déballer les logiciels, les problèmes liés à l'utilisation de locales différentes, et divers autres aspects valables pour tout le livre.
La partie sur la Configuration Post LFS et logiciels supplémentaires est là où la plupart des gens voudront aller de suite. Elle ne parle pas que de configuration, mais aussi de Sécurité (Chapitre 4, Sécurité), de systèmes de fichiers (Chapitre 5, Systèmes de fichiers et gestion de disque), d'éditeurs (Chapitre 6, Éditeurs) et de Shells (Chapitre 7, Shells). En effet, il se peut que vous souhaitiez vous reporter à certaines parties de ce chapitre (surtout les sections sur les éditeurs et les systèmes de fichiers) pendant la construction de votre système LFS.
Suite à ces éléments de base, la plupart des gens voudront naviguer dans la partie Bibliothèques et Utilitaires généraux du livre. Cette partie contient des informations sur beaucoup d'éléments qui sont pré-requis pour d'autres sections du livre, ainsi que des éléments (tels que Chapitre 13, Programmation) utiles en eux-mêmes. Remarquez que vous n'êtes pas obligé d'installer dès le départ tous les paquets et toutes les bibliothèques qui se trouvent dans cette partie vu que chaque procédure d'installation de BLFS vous dit de quels paquets elle dépend, donc vous pouvez choisir le programme que vous voulez installer et voir ce dont il a besoin.
De même, la plupart des utilisateurs voudront probablement regarder la partie Réseau. Elle traite de la connexion à Internet ou à votre LAN (Chapitre 14, Se connecter à un réseau) en utilisant une variété de méthodes telle que DHCP et PPP, avec des éléments tels que des bibliothèques réseaux (Chapitre 17, Bibliothèques réseaux) et divers programmes et outils réseaux de base.
Une fois que vous avez vu ces bases, il se peut que vous souhaitiez configurer des services réseaux plus avancés. Ils sont traités dans la partie Serveurs du livre. Ceux qui veulent construire des serveurs devraient y trouver un bon point de départ. Remarquez que cette section contient aussi des informations sur divers paquets de bases de données.
Les parties suivantes du livre traitent principalement des systèmes de bureau. Ces parties du livre débutent avec une partie sur X et gestionnaires de fenêtres. Cette partie gère aussi quelques bibliothèques génériques basées sur X (Chapitre 25, Bibliothèques X). Après cela, KDE et GNOME ont leur propre partie (suivie par une sur Logiciels X).
Le livre se déplace ensuite sur les paquets Multimedia. Remarquez que beaucoup de gens peuvent vouloir utiliser les instructions de ALSA-1.0.28 de ce chapitre au tout début de leur cheminement BLFS ; elles ne sont mises ici que parce que c'est leur place la plus logique.
La partie finale du livre BLFS principal traite de Imprimantes, scanners et typographies. C'est utile pour la plupart des gens ayant des systèmes de bureau et même ceux qui créent des systèmes principalement de serveurs la trouveront utile.
Nous espérons que vous vous amuserez en utilisant BLFS et que vous le trouverez utile.
Last updated on : 2012-12-19 20:57:20 +010
Pour faciliter le suivi des choses, il y a un certain nombre de conventions utilisées tout au long du livre. Ce qui suit sont des exemples :
./configure --prefix=/usr
Ce style de texte est conçu pour être tapé exactement de la même façon qu'il est vu sauf si le texte indique le contraire. Il est aussi utilisé dans les sections d'explications pour identifier les commandes référencées.
install-info: unknown option
`--dir-file=/mnt/lfs/usr/info/dir'
Ce style de texte (texte à largeur fixe) montre une sortie d'écran, généralement le résultat de commandes. Ce format est aussi utilisé pour afficher des noms de fichiers, comme
/boot/grub/grub.conf
Mise en évidence
Ce style de texte est utilisé dans différents buts dans ce livre. Son but principal est de mettre en évidence les points importants ou de donner un exemple de ce qu'on peut taper.
http://www.linuxfromscratch.org/
Ce format est utilisé pour les liens vers des pages externes. Cela inclut les guides pratiques, les emplacements de téléchargement et des sites web, etc..
Ce style de texte est utilisé pour les liens internes vers le livre tels qu'une autre section décrivant un paquet différent.
cat > $LFS/etc/group << "EOF"
root:x:0:
bin:x:1:
......
EOF
Ce format est utilisé principalement lors de la création de fichiers de configuration. La première commande indique au système de créer le fichier
$LFS/etc/group
à partir de ce qui est saisi jusqu'à ce que la séquence de fin de fichier (End Of File) (EOF) soit rencontrée. Donc, cette section entière est généralement saisie de la même façon.
<TEXTE À
REMPLACER>
Ce format est utilisé pour intégrer du texte qui ne devra pas être saisi tel quel et qui ne devra pas être copié/collé. Remarquez que les crochets ne font pas partie du texte mais devraient être remplacés aussi.
root
Ce style de texte est utilisé pour indiquer une référence à un utilisateur ou un groupe système spécifique dans les instructions.
Quand des paquets sont créés, les auteurs dépendent de travaux antérieur. Pour pouvoir construire un paquet dans BLFS, ces dépendances doivent être construites avant le paquet désiré. Pour chaque paquet, quelques paquets pré-requis sont listés dans une ou plusieurs sections séparées: Requise, recommandée et facultative.
Ces dépendances sont les paquets prérequis minimumn requis pour construire le paquet. Les paquets omis de cette liste sont les paquets de LFS et les dépendances requises par d'autres paquets requis.
Ces dépendances sont celle que les éditeurs de BLFS ont déterminée comme importante pour donner au paquet des possibilités raisonnalbes. Les instructions d'installation du paqeut considèrent qu'elles sont installées. Si un paquet recommandés n'est pas souhaités, les instructions pourront être modifiées pour s'accomoder de ce paquet oublié.
Ces dépendances sont celle que le paquet peut utiliser. L'integration de dépendances facultatives peuvent être automatiquement faite par le paquet ou peut demander des instructions supplémentaires non présentes dans BLFS. Les paquets facultatifs peuvent être listés sans les instructions de BLFS correspondantes. Dans ce cas c'est à l'utilisateur de déterminer les instructions d'installation appropriées.
Certains paquets ont des besoins spécifiques par rapport à la configuration du noyau. Le modèle général est le suivant:
Master section --->
Subsection --->
[*] Required parameter [CONFIG_REQU_PAR]
<*> Required parameter (not as module) [CONFIG_REQU_PAR_NMOD]
<*/M> Required parameter (could be a module) [CONFIG_REQU_PAR_MOD]
<*/M/ > Optional parameter [CONFIG_OPT_PAR]
[ ] Incompatible parameter [CONFIG_INCOMP_PAR]
< > Incompatible parameter (even as module) [CONFIG_INCOMP_PAR_MOD]
[CONFIG_...] sur la droite donne le nom de l'option, pour que
vous puissiez facilement vérifier ce qui est initialisé dans
votre fichier config
. La
signification des différentes entrées est :
Master section item supérieur du menu Subsection item du sous menu Required parameter l'option peut être soit "built-in" ou "not selected": elle doit être sélectionnée Required parameter (not as module) l'option peut être soit "built-in", "module", ou "not selected": elle doit être sélectionnée comme "built-in" Required parameter (could be a module) l'option peut être soit "built-in", "module", ou "not selected": elle doit être sélectionnée, soit comme "built-in" ou "module" Optional parameter rarement utilisé: l'option peut être soit "built-in", "module", ou "not selected": elle peut être sélectionnée comme vous voulez Incompatible parameter l'option peut être soit "built-in", ou "not selected": elle ne doit pas être sélectionnée Incompatible parameter (even as module) l'option peut être soit "built-in", "module", ou "not selected": elle ne doit pas être sélectionnée
Notez que, en fonctione d'autres sélections, les signes (<>) peuvent apparaître comme des parenthèses ({}), si l'option ne peut pas être déselectionnée, ou entre tirets (-*- ou -M-), alors le choix est imposé. Le texte d'aide à propos d'une option spécifie les autres choix qui sont reliés à cette option, et commet ces autres choix sont initialisés.
Comme dans LFS, chaque paquet dans BLFS a un temps de construction d'indiqué en Unité de construction Standard (SBU). Ces temps sont relatifs au temps mis pour construire binutils dans LFS et sont destinés à fournir quelques indications sur le temps que va mettre le paquet à se construire. La plupart des temps sont indiqués pour constuire le paquet avec seul processeur ou coeur. Dans quelques cas, longs, les constructions sont lancées et testées sur des systèmes multi-coeur et les temps SBU sont indiqués avec un commentaire tel que 'parallèlisation=4'. Cette valeur indicque que le test a été réalisé en utilisant plusieurs coeur. Notez que cela peut augmenter la vitesse de construction sur des systèmes avec le matériel approprié, l'augmentation de vitesse n'est pas linéaire et certaines améliorations dépendent des paquets ou du matériel spécifique utilisé.
Certains paquets ne supportent pas la construction parallèle et l'utilisation de -j1 pour la commande make est requise. Les paquets qui sont connus pour avoir ces limites sont maqués comme tel dans le texte.
Last updated on 2007-04-04 21:42:53 +0200
Il s'agit de BLFS-BOOK version 7.7 datée du 6 Mars 2015. C'est la branche de développement du livre BLFS, ciblant actuellement le livre de développement de LFS. Si cette version (7.7) a plus d'un mois, c'est probablement que votre miroir n'a pas été synchronisé récemment et une version plus récente est probablement disponible en téléchargement ou lecture. Vérifiez un des sites miroirs sur http://www.linuxfromscratch.org/mirrors.html pour une version mise à jour.
Last updated on 2008-05-11 03:20:50 +0200
Le projet BLFS a un certain nombre de miroirs paramétrés dans le monde entier pour vous faciliter l'accès au site Internet. Merci de visiter le site Internet http://www.linuxfromscratch.org/mirrors.html pour la liste des miroirs actuels.
Last updated on 2007-04-04 21:42:53 +0200
Dans les instructions BLFS, chaque paquet a deux références pour trouver les fichiers sources d'un paquet—un lien HTTP et un lien FTP (il se peut que certains paquets ne listent qu'un de ces liens). On a fait tous nos efforts pour s'assurer que ces liens sont soignés. Cependant, le World Wide Web est en évolution constante. Des paquets sont parfois déplacés ou mis à jour et l'adresse exacte indiquée n'est pas toujours disponible.
Pour contourner ce problème, l'équipe BLFS, avec l'aide de Server Beach, a rendu disponible un site HTTP/FTP sur anduin.linuxfromscratch.org. Ce site contient toutes les sources des versions exactes des paquets utilisés dans BLFS. Si vous ne pouvez pas trouver le paquet BLFS, vous devez le récupérer là-bas.
Nous aimerions cependant vous demander une faveur. Bien que ce soit une ressource publique pour vous, merci de ne pas en abuser. Nous avons déjà eu un nombre impensable de téléchargements de plus de 3 Go de données, incluant plusieurs copies des mêmes fichiers situés sur les différents endroits (via des liens symboliques) pour faciliter la recherche du bon paquet. Cette personne ne savait clairement pas les fichiers dont elle avait besoin et elle a tout téléchargé. Le meilleur endroit pour télécharger des fichiers est le site ou les sites du développeur du code source. Merci d'essayer d'abord là-bas.
Last updated on : 2012-12-19 20:57:20 +010
Version actuelle : 7.7 – 6 Mars 2015
Entrées dans l'historique des changements :
6 Mars 2015
[bdubbs] - Publication de BLFS-7.7.
[pierre] - Correction de vmmouse_detect pour détecter correctement VMMouse sous Qemu.
5 Mars 2015
[fernando] - Corrections mineures et formattage: SeaMonkey-2.32.1 et Thunderbird-31.5.0.
[fernando] - Corrige Firefox-36.0: déplace MOZ_MAKE_FLAGS dans mozconfig et ajoute chown -R 0:0 /usr/lib/firefox-36.0, dans le même principe que dans TB et SM.
4 Mars 2015
[ken] - (radeon) firmware [ discuté dans le pilote ATI Xorg ] n'a pas à être construit si CONFIGURE_DRM_RADEON est un module.
[bdubbs] - Archivage de la bibliothèque inutile agg.
[bdubbs] - Passage à cups-filters-1.0.66.
[pierre] - Sépare la consfiguration de l'environnement JAVA des autres pages. Place les pages Apache-and et JUnit après OpenJDK, depuis qu'elles ne sont plus nécessaire pour OpenJDK.
[fernando] - Correction de Xorg-Server-1.17.1: ne pas construire le support systemd-logind.
3 mars 2015
[bdubbs] - Ajout d'un sed à elfutils pour corriger un potentiel problème de sécurité.
[bdubbs] - Archive Xorg Cirrus Driver.
[bdubbs] - Archive Xorg VESA Driver.
[bdubbs] - Archive gnash.
2 Mars 2015
[ken] - postfix: ajout d'une note à propos du support SMTPUTF8.
1 Mars 2015
[ken] - fontforge: ma correction précédente du 3 février oubliait une commande.
[pierre] - Application d'un correctif dans le code du pilote modesetting dans Xorg-server, pour permettre l'exécution sur les machines 32 bits, et sur les cartes qui ne supportent pas les curseurs matériels.
28 Février 2015
[ken] - comme libva, libva-intel-driver demande aussi autoreconf -fi.
27 Février 2015
[fernando] - Passage à thunderbird-31.5.0. Corrige #6175.
26 Février 2015
25 Février 2015
[fernando] - Retour à pulseaudio-5.0. Corrige #6169.
24 Février 2015
23 Février 2015
[pierre] - ajout des instrunctions pour lancer la suite de tests de la bibliothèque Boost.
[ken] - ajout de Data-Dump (perl module) qui a été oublié des dépendances de biber.
[ken] - simplification de l'utilisation de LC_ALL dans xindy, J'ai un signalement qu'il ne fonctionne pas pour certain. .
22 Février 2015
21 Février 2015
[pierre] - Passage à php-5.6.6. Corrige #6162.
19 Février 2015
[ken] - Passage à Unicode-Collate-1.11 (perl module). Corrige #6154.
[fernando] - Passage à p7zip_9.38. Corrige #6158.
[fernando] - Passage à grilo-plugins-0.2.14. Corrige #6157.
[fernando] - Passage à grilo-0.2.12. Corrige #6156.
[fernando] - Passage à totem-pl-parser-3.10.4. Corrige #6155.
[fernando] - Passage à BIND-9.10.1-P2 et BIND Utilities-9.10.1-P2. Corrige #6161.
[pierre] - Passage à gdk-pixbuf-2.31.2. Corrige #5852.
18 Février 2015
[fernando] - Passage à gtk+-2.24.26. Corrige #6153.
[fernando] - Passage à unrarsrc-5.2.6. Corrige #6152.
[fernando] - Passage à librsvg-2.40.7. Corrige #6151.
[fernando] - Passage à libunistring-0.9.5. Corrige #6150.
[fernando] - Ajotu d'une nouvelle version du correctif pour corriger la construction de libreoffice-4.4.0.3 avec gcc-4.9 ou plus (seulement pour i686).
16 Février 2015
[fernando] - Passage à sysstat-11.1.3. Corrige #6149.
15 Février 2015
14 Février 2015
13 Février 2015
12 Février 2015
11 Février 2015
[fernando] - Passage à dbus-glib-0.104. Corrige #6133.
[fernando] - Passage à dbus-1.8.16. Corrige #6132.
[bdubbs] - Ajout d'un correctif à cups-filters pour corriger la construction avec poppler-0.31.0.
[bdubbs] - Passage à cups-2.0.2. Corrige #6131.
[fernando] - Passage à xorg-server-1.17.1. Corrige #6135.
[fernando] - Passage à postfix-3.0.0. Corrige #6134.
10 Février 2015
[fernando] - Passage à sudo-1.8.12. Corrige #6130.
9 Février 2015
8 Février 2015
[fernando] - Passage à seamonkey-2.32.1. Corrige #6126.
[fernando] - Passage à MesaLib-10.4.4. Corrige #6125.
[bdubbs] - Correction du problème alsa-plugins quand speex-1.2rc2 est installé. Corrige #6122.
[bdubbs] - Passage à sharutils-4.15. Corrige #6127.
[bdubbs] - Passage à lzo-2.09. Corrige #6123.
[fernando] - Passage à shared-mime-info-1.4. Corrige #6124.
[fernando] - Passage à git-2.3.0. Corrige #6120.
7 février 2015
6 Février 2015
5 Février 2015
[fernando] - Passage à ntp-4.2.8p1. Corrige #6111.
4 Février 2015
[ken] - suppression d'une ligne obsolete dans le scrit de démarrage de nfs-server.
[ken] - Passage à Net-DNS-0.82. Corrige #6069.
3 Février 2015
2 Février 2015
[fernando] - Passage à mercurial-3.3. Corrige #6102.
[fernando] - Passage à gtk+-3.14.8. Corrige #6101.
[fernando] - Passage à unrar-5.2.5. Corrige #6100.
[fernando] - Passage à dhcpcd-6.7.1. Corrige #5970.
[fernando] - xine-lib-1.2.6: ajout de libdvdnav-5.0.3 en recommendée.
[fernando] - Passage à libreoffice-4.4.0: oubli de vérification des URLs et 6 ont été trouvée cassées (une incluseone dans la mise à jour).
1er Février 2015
[pierre] - Passage à swig-3.0.5. Corrige #6099.
[fernando] - Passage à libreoffice-4.4.0. Meric beaucoup , Bruce, pour les différentes discussions et pour avoir résolu le problème d'entête. Corrige #6094.
[pierre] - Passage à LVM2-2.02.116. Corrige #6096.
[igor] - Passage à Archive::Zip-1.45. Corrige #6097.
31 janvier 2015
[igor] - Passage à sqlite-3.8.8.2. Corrige #6095.
30 Janvier 2015
[ken] - Ajout de Test-Command-0.11. Corrige #6076.
[ken] - Mise à jour des modules Perl pour Archive-Zip-1.43, Business-ISMN-1.13, Data-Compare-1.25, Text-BibTex-0.70, Unicode-Collate-1.10, XML-LibXML-Simple-0.95, XML-LibXSLT-1.94. Corrige #6066, #6067, #6068, #6070, #6071, #6072, #6073. Business-ISMN et Unicode-Collate ont déjà été mis à jour dans ses nouvelles versions après que les URL ont été trouvée cassée, maintenant elles ont été testées.
[fernando] - Passage à libdvdnav-5.0.3. Corrige #6092.
[fernando] - Passage à libdvdread-5.0.2. Corrige #6091.
[fernando] - Passage à totem-3.14.2. Corrige #6090.
[fernando] - Passage à clutter-gst-2.0.14. Corrige #6093.
29 Janvier 2015
28 Janvier 2015
27 Janvier 2015
[bdubbs] - Passage à gparted-0.21.0. Corrige #6085.
[bdubbs] - Passage à libgpg-error-1.18. Corrige #6083.
[pierre] - Passage à Gnumeric-1.12.19. Corrige #6081.
[pierre] - Passage à GOffice-0.10.19. Corrige #6078.
[bdubbs] - Passage à tigervnc-1.4.2. Corrige #6061.
[fernando] - Passage à libdvdnav-5.0.2. Corrige #6079.
[fernando] - Passage à libdvdread-5.0.1. Corrige #6080.
[fernando] - Passage à OpenSSL-1.0.2. Corrige #6063.
26 Janvier 2015
[bdubbs] - Corrige un problème de construction dans Qt5 quand pulseaudio est présent. Corrige #6028.
[bdubbs] - Passage à whois-5.2.4. Corrige #6077.
[ken] - Utilisation de la locale POSIX pour construire xindy. Corrige #5926.
[pierre] - Passage à OpenJDK-1.8.0.31. Corrige #6062.
[fernando] - Passage à php-5.6.5. Corrige #6060.
[fernando] - Mesa-10.4.3: Annulation des précédentes modifications et modification des instructions, simplification de la page et solutionnement du problème avec libtool plus ancien que 2.4.4. Merci Bruce pour la décision.
[fernando] - Passage à nspr-4.10.8. Corrige #6059.
[fernando] - Mesa-10.4.3: Corrige la construction avec libtool-2.4.2. Merci à Igor et Pierre pour avoir confirmé qu'il n'y a pas de problème avec libtool-2.4.4.
[igor] - Passage à mesa-10.4.3. Corrige #6075.
25 Janvier 2015
24 Janvier 2015
[fernando] - Vim-7.4, Apache-2.4.10, VLC-2.1.5, Wireshark-1.12.3 and Nmap-6.47: Corrige la compilation avec lua-5.3.0.
[fernando] - Passage à lua-5.3.0. Corrige #6031.
[fernando] - Passage à xf86-video-vmware-13.1.0 (Xorg driver). Corrige #6051.
[fernando] - Passage à sessreg-1.1.0 (xorg apps). Corrige #6050.
[igor] - Passage à harfbuzz-0.9.38. Corrige #6074.
23 Janvier 2015
[igor] - Passage à cmake-3.1.1. Corrige #6057.
22 Janvier 2015
[igor] - Passage à libdrm-2.4.59. Corrige #6055.
21 Janvier 2015
[igor] - Passage à sqlite-3.8.8.1. Corrige #6054.
20 Janvier 2015
[ken] - Correction dans le sed de wicd.
[igor] - Passage à exim-4.85. Corrige #6034.
19 Janvier 2015
[igor] - Ajout de Hexchat-2.10.2. Corrige #6011.
18 Janvier 2015
[igor] - Passage à thunderbird-31.4.0. Corrige #6037.
[igor] - Passage à firefox-35.0. Corrige #6029.
[fernando] - Passage à mkfontscale-1.1.2 (Xorg Apps). Corrige #6048.
[fernando] - Passage à iceauth-1.0.7 (Xorg Apps). Corrige #6047.
[fernando] - Passage à gnutls-3.3.12. Corrige #6046.
[fernando] - Passage à WebKitGTK+ 2.6.5. Corrige #6044.
17 Janvier 2015
[igor] - Passage à mesa-10.4.2. Corrige #6035.
[bdubbs] - Passage à colord-1.2.8. Corrige #6042.
[bdubbs] - Passage à llvm-3.5.1. Corrige #6038.
[bdubbs] - Passage à vala-0.26.2. Corrige #6032.
[bdubbs] - Passage à sqlite-3.8.8.0. Corrige #6045.
[bdubbs] - Passage à gtk+3-3.14.7. Corrige #6026.
[bdubbs] - Passage à seamonkey-2.32. Corrige #6040.
[bdubbs] - Passage à cups-filters-1.0.62. Corrige #6039.
[bdubbs] - Clarification des instructions poppler. Corrige #6027. Merci à Chris Staub pour le correctif patch.
[pierre] - Passage à gdb-7.8.2. Corrige #6043.
16 Janvier 2015
[fernando] - Passage à samba-4.1.16. Corrige #6033.
15 Janvier 2015
12 Janvier 2015
[Chris] - Passage à une version intermédiaire de xf86-video-intel-2.99.917. Voir #5918.
11 Janvier 2015
[ken] - Séparation de asymptote et xindy de texlive. Notez que xindy ne fonctionne pas actuellement sur i686. supression de la seconde construction de texlive. Corrige #5956 et partiellement #5926.
[fernando] - Passage à ffmpeg-2.5.3. Corrige #6025.
[fernando] - Passage à unrarsrc-5.2.4. Corrige #6023.
[fernando] - Passage à libgusb-0.2.4. Corrige #6022.
[Chris] - Suppression de la dépendance obsolete GTK3 de libnotify.
10 Janvier 2015
[fernando] - Phonon-backend-gstreamer-4.8.2 et Phonon-4.8.3: correction des dépendances.
[fernando] - feh-2.12: Correction mineur des tests et docs. Merci beaucoup, Igor, pour avoir ajouté ce paquet !
[fernando] - libevent-2.0.22: correction des docs et des statistiques de tests et les modifications mineures respectives.
[fernando] - Passage à curl-7.40.0. Corrige #6019.
[fernando] - Passage à libass-0.12.1. Corrige #6018.
[fernando] - Passage à gvfs-1.22.3. Corrige #6017.
[fernando] - Passage à gtksourceview-3.14.3. Corrige #6016.
[fernando] - Passage à libjpeg-turbo-1.4.0. Corrige #6015.
[fernando] - Passage à wireshark-1.12.3. Corrige #6014.
[fernando] - Passage à webkitgtk-2.4.8. Corrige #6013.
[fernando] - Passage à giflib-5.1.1. Corrige #6012.
[fernando] - Passage à fluxbox-1.3.6. Corrige #6009.
[fernando] - Passage à xf86-input-wacom-0.28.0. Corrige #6008.
[fernando] - Passage à dbus-1.8.14. Corrige #6006.
[fernando] - Passage à Thunar-1.6.4. Corrige #6005.
[fernando] - Passage à doxygen-1.8.9.1. Corrige #6004.
[fernando] - Passage à poppler-0.30.0. Corrige #6003.
[fernando] - Passage à speexdsp-1.2rc3. Corrige #6002.
[fernando] - Passage à xdg-utils-1.1.0-rc3. Corrige #6001.
[fernando] - Passage à OpenSSL-1.0.1k. Corrige #6020.
8 Janvier 2015
[igor] - Passage à libevent-2.0.22. Corrige #6007.
4 Janvier 2015
[igor] - Ajout de feh-2.12. Corrige #5991.
03 Janvier 2015
02 Janvier 2015
01 Janvier 2015
31 Décembre 2014
30 Décembre 2014
29 Décembre 2014
28 Décembre 2014
[fernando] - ruby-2.2.0: correction de la construction des docs capi et des statistiques pour rendre plus explicite la partie documentation.
[fernando] - graphviz-2.38.0: correction de la construction avec ruby-2.2.0.
[fernando] - Passage à doxygen-1.8.9. Corrige #5983.
[igor] - Passage à links-2.9. Corrige #5980.
[fernando] - exim-4.84: change URL.
27 Décembre 2014
[ken] - Security fix for mutt-1.5.23.
[ken] - Passage à heirloom-mailx-12.5 incluand des correction de sécurité.
[fernando] - Passage à -ruby-2.2.0. Corrige #5982.
[fernando] - wget-1.16.1: ajout de IO::Socket::SSL facultatif pour la suite de tests.
[fernando] - haveged-1.9.1: change URL.
26 Décembre 2014
[fernando] - Passage à wicd-1.7.3. Corrige #5977.
[fernando] - OpenJDK-1.8.0.25: retour des tests java cacerts.
December 25th, 2014
[fernando] - Reorganisation des dépendances facultatives de abiword-3.0.1. Oubli de la mise à jour d'hier.
[igor] - Passage à ffmpeg-2.5.2. Corrige #5978.
24 Décembre 2014
23 Décembre 2014
22 Decembre 2014
[fernando] - Passage à libreoffice-4.3.5.2. Corrige #5966.
[fernando] - Passage à libxklavier-5.4. Corrige #5975.
[fernando] - Passage à libvdpau-0.9. Corrige #5972.
[fernando] - Passage à ntp-4.2.8. Corrige #5971.
[fernando] - mplayer-2014-12-19: utilisation de semi-colon pour séparer les 'Dépendances facultatives' et clarification.
[fernando] - inkscape-0.48.5: utilisation du sed d'Armin pour rempalcer le sed basé sur celui de Fernando dans le correctif d'Armin, utilisé pour remplacemer le correctif d'Armin.
[pierre] - Passage à php-5.6.4. Corrige #5963.
[igor] - Passage à xorg-server-1.16.3. Corrige #5974.
21 Décembre 2014
[fernando] - Passage à postgresql-9.4.0. Corrige #5964.
[fernando] - Passage à mercurial-3.2.3. Corrige #5962.
[fernando] - Correction de la construction de Inkscape-0.48.5 avec poppler-0.29.0. Remplacement du correctif gc par un sed.
[fernando] - Passage à udisks-2.1.4. Corrige #5960.
[igor] - Passage à elfutils-0.161. Corrige #5968.
20 Décembre 2014
18 Decembre 2014
[fernando] - Passage à cmake-3.1.0: annulation des changements de dépendance. Merci Armin.
[fernando] - Passage à dhcpcd-6.6.6. corrige #5959.
[fernando] - Passage à cmake-3.1.0. corrige #5958.
[fernando] - Passage à harfbuzz-0.9.37. corrige #5957.
[fernando] - Passage à ffmpeg-2.5.1. corrige #5954.
17 Décembre 2014
16 Decembre 2014
[fernando] - Passage à subversion-1.8.11. corrige #5952.
15 Décembre 2014
[pierre] - correction des erreurs javadoc dans Junit et FOP, venant des tests plus strictes d'OpenJDK 8. Corrige #5930.
13 Décembre 2014
[bdubbs] - Passage à bluez-5.26. Corrige #5946.
[fernando] - Passage à network-manager-applet-0.995.0.0. Corrige #5948.
[fernando] - Passage à NetworkManager-0.995.0.0. Corrige #5950.
[fernando] - Passage à gtk+-3.14.6. Corrige #5947.
[fernando] - IceWM-1.3.8: Corrige le menu exemple et refortage du xml.
[fernando] - Passage à gpgme-1.5.3. Corrige #5944.
[fernando] - Passage à libassuan-2.2.0. Corrige #5945.
12 Décembre 2014
11 Décembre 2014
[bdubbs] - Passage à qt-5.4.0. Corrige #5942.
[fernando] - Passage à unbound-1.5.1. Corrige #5941.
[fernando] - Passage à sqlite-3.8.7.4. Corrige #5940.
[fernando] - Passage à dhcpcd-6.6.5. Corrige #5939.
[fernando] - Passage à hicolor-icon-theme-0.14. Corrige #5938.
[fernando] - Passage à stunnel-5.08. Corrige #5935.
10 Décembre 2014
9 Décembre 2014
[fernando] - Passage à x264-snapshot-20141208. Corrige #5934.
[fernando] - Passage à wget-1.16.1. Corrige #5933.
[fernando] - Python-2.7.8, SeaMonkey-2.31,
Firefox-34.0. et Thunderbird-31.3.0: remplacement
/usr/lib/python2.7
par /usr/lib/python&python2-majorver;
.
[fernando] - xfce4-mixer-4.10.0: décommente keybinder et remplacement des ulink cassés par xref.
[fernando] - Passage à lxpanel-0.8.0. Corrige #5929.
[fernando] - Ajout de keybinder2-0.3.0. Corrige #5931.
[fernando] - Passage à libsoup-2.48.1. Corrige #5928.
[fernando] - Passage à glib-networking-2.42.1. Corrige #5927.
7 Décembre 2014
6 Décembre 2014
[fernando] - Passage à xapian-core-1.2.19. Corrige #5914.
[fernando] - Passage à MesaLib-10.3.5. Corrige #5919.
[fernando] - Unbound-1.5.0: ajout d'une commande alternative unbound-anchor à lancer dans la partie configuration, pour que la construction de certains paquets n'échoue pas.
[pierre] - Déernière étape de modification de la présentation des instructions de configuration du noyau. Corrige #5885.
5 Décembre 2014
[fernando] - Passage à seamonkey-2.31. Corrige #5913.
[bdubbs] - Passage à phonon-4.8.3. Corrige #5909.
[bdubbs] - Passage à phonon-backend-gstreamer-4.8.1. Corrige #5910.
[bdubbs] - Passage à phonon-backend-vlc-0.8.2. Corrige #5911.
[fernando] - Passage à gedit-3.14.2. Corrige #5912.
[fernando] - Passage à libevdev-1.3.2. Corrige #5908.
[fernando] - Passage à poppler-0.29.0. Corrige #5907.
4 Décembre 2014
[bdubbs] - Simplification des instructions de configuration de qemu pour la connexion à un pont réseau.
[fernando] - Commentaire d'un sed inutile dans libsigc++-2.4.0.
[fernando] - Passage à ffmpeg-2.5. Corrige #5905.
[fernando] - Passage à librsvg-2.40.6. Corrige #5904.
[fernando] - Passage à xfsprogs-3.2.2. Corrige #5903.
3 Décembre 2014
2 Décembre 2014
[fernando] - Passage à thunderbird-31.3.0. Notez la suppression de l'option MOZ_OBJDIR=@TOPSRCDIR@, et plus de correctif est nécessaire. Corrige #5900.
[fernando] - Passage à xfce4-power-manager-1.4.2. Corrige #5899.
[fernando] - Passage à gnome-themes-standard-3.14.2.3. Corrige #5898.
[fernando] - Passage à samba-4.1.14. Corrige #5897.
[fernando] - Passage à mercurial-3.2.2. Corrige #5895.
[fernando] - Passage à libgusb-0.2.3. Corrige #5894.
[fernando] - Passage à nss-3.17.3. Corrige #5893.
[fernando] - Archive LXPolkit-0.1.0. Les références sont commentées dans gparted et network-manager-applet. Corrige #5888.
[ken] - Correction de autoreconf de libva pour libtool-2.4.3.
1 Décembre 2014
30 Novembre 2014
[pierre] - Seconde partie des modifications d'instructions de configuration du noyau.(systèmes de fichier, qemu, etalsa-lib) pour une partie du ticket #5885.
[fernando] - Passage à lxsession-0.5.2. Corrige #5887.
[pierre] - Changement des instructions de configuration du noyau pour les pilotes Xorg pour une partie du ticket #5885.
29 Novembre 2014
[bdubbs] - Mise en commentaire des commandes pour régénérer la documentation valgrind. Contourne temporairement #5882.
[bdubbs] - Ajout d'une note à propos de la version de gcc dans llvm. Corrige #5886.
[fernando] - Passage à xterm-313. Corrige #5884.
[fernando] - Passage à LVM2.2.02.114. Corrige #5883.
28 Novembre 2014
27 Novembre 2014
[fernando] - Ajout de xfce4-xkb-plugin-0.5.6: Oubli de la mise à jours des statistiques, depuis la page copiée. merci Bruce
[fernando] - Passage à flac-1.3.1. Corrige #5878.
[fernando] - Passage à gnome-themes-standard-3.14.2.1. Corrige #5876.
[fernando] - Passage à rpcbind-0.2.2. Corrige #5875.
[fernando] - Passage à dhcpcd-6.6.4. Corrige #5874.
[fernando] - Passage à libgusb-0.2.2. Corrige #5873.
[fernando] - Passage à git-2.2.0. Corrige #5872.
26 Novembre 2014
[fernando] - Add xfce4-xkb-plugin-0.5.6. Corrige #5871.
[fernando] - Passage à libwebp-0.4.2. Corrige #5870.
[fernando] - Passage à nautilus-3.14.2. Corrige #5869.
[fernando] - Passage à xf86-input-evdev-2.9.1. Corrige #5868.
[fernando] - Passage à mariadb-10.0.15. Corrige #5867.
[fernando] - Passage à valgrind-3.10.1. Corrige #5866.
[fernando] - Passage à libksba-1.3.2. Corrige #5865.
[fernando] - Passage à notification-daemon-3.14.1. Corrige #5863.
[fernando] - Passage à libwnck-3.14.0. Corrige #5862.
[fernando] - Passage à dbus-1.8.12. Corrige #5861.
[fernando] - Passage à libgusb-0.2.1. Corrige #5860.
[fernando] - Passage à LVM2.2.02.113. Corrige #5859.
[fernando] - Passage à colord-1.2.6. Corrige #5858.
25 Novembre 2014
23 Novembre 2014
21 Novembre 2014
20 Novembre 2014
19 Novembre 2014
18 Novembre 2014
17 Novembre 2014
[fernando] - xfce4-session-4.10.1: ajout de xfdesktop-4.10.3 comme 'Requis pour l'exécution'.
[fernando] -Passage à xfdesktop-4.10.3. Corrige #5835.
[fernando] -Passage à sg3_utils-1.40. Corrige #5821.
[fernando] -Passage à ImageMagick-6.9.0-0. Corrige #5834.
[fernando] -Passage à liblinear-1.96. Corrige #5833.
[fernando] -Passage à autovivification-0.14, Business-ISBN-2.09, Archive-Zip-1.39, List-AllUtils-0.09, Log-Log4perl-1.46, Net-DNS-0.81, et URI-1.65. Corrige #5832.
16 Novembre 2014
[fernando] -Passage à xscreensaver-5.31. Corrige #5831.
[fernando] -Passage à brasero-3.12.0. Corrige #5824.
[fernando] -Passage à php-5.6.3. Corrige #5822.
[fernando] -Passage à wireshark-1.12.2. Corrige #5816.
[pierre] - Ajout d'un sed pour les commandes de Cups, pour corriger un bug qui apparait quand avahi n'est pas présent.
[bdubbs] -Passage à xorg-server-1.16.2. Corrige #5794.
[bdubbs] -Passage à libevdev-1.3.1. Corrige #5817.
[fernando] -Passage à mercurial-3.2.1. Corrige #5811.
[bdubbs] - Modification d'une entête boost pour corriger un problème avec la commande moc de Qt.
15 Novembre 2014
[fernando] -Passage à nautilus-3.14.1. Corrige #5819.
[fernando] -Passage à gnome-desktop-3.14.2. Corrige #5818.
[fernando] -Passage à dhcpcd-6.6.2. Corrige #5828.
[fernando] -Passage à whois_5.2.2. Corrige #5815.
[fernando] -Passage à cups-2.0.1. Corrige #5830.
[fernando] - Corrige usbutils-008: création du répertoire hwdata.
14 Novembre 2014
[fernando] -Passage à ruby-2.1.5. Corrige #5823.
13 Novembre 2014
12 Novembre 2014
[bdubbs] -Passage à traceroute-2.0.21. Corrige #5813.
[bdubbs] -Passage à gnome-themes-standard-3.14.2. Corrige #5814.
[bdubbs] -Passage à kde-4.14.3. Corrige #5796.
[fernando] -Passage à webkitgtk-2.6.3. Corrige #5808.
[bdubbs] - Rend les pages de manuel accessible pour qca et libreoffice accessible. Corrige #5807.
[fernando] -Passage à firefox-33.1. Corrige #5806.
[fernando] -Passage à midori_0.5.9. Corrige #5805.
[igor] - Ajout de mupdf-1.6. Corrige #5779.
11 Novembre 2014
[bdubbs] -Passage à bluez-5.25. Correction également de l'installation de blfs/sysconfig/bluetooth dans les scripts de démarrage. Corrige #5786.
[ken] -Passage à libpaper_1.1.24+nmu4. Corrige #5776.
[fernando] -Passage à gucharmap-3.14.2. Corrige #5804.
[fernando] -Passage à file-roller-3.14.2. Corrige #5802.
[fernando] -Passage à epiphany-3.14.2. Corrige #5801.
[fernando] -Passage à eog-3.14.2. Corrige #5800.
[fernando] -Passage à cheese-3.14.2. Corrige #5799.
[fernando] -Passage à gnome-terminal-3.14.2. Corrige #5803.
[fernando] -Passage à vte-0.38.2. Corrige #5798.
[fernando] -Passage à gvfs-1.22.2. Corrige #5797.
[fernando] -Passage à at-spi2-core-2.14.1. Corrige #5795.
[fernando] -Passage à pciutils-3.3.0. Corrige #5793.
[fernando] -Passage à dbus-1.8.10. Corrige #5792.
[fernando] -Passage à colord-1.2.5. Corrige #5791.
[fernando] -Passage à gnutls-3.3.10. Corrige #5790.
10 Novembre 2014
[fernando] -Passage à gedit-3.14.1. Corrige #5789.
[fernando] -Passage à gtksourceview-3.14.2. Corrige #5788.
[fernando] -Passage à gtk+-3.14.5. Corrige #5787.
[fernando] -Passage à glib-2.42.1. Corrige #5785.
[fernando] -Passage à x264-snapshot-20141108-2245-stable. Corrige #5784.
[fernando] -Passage à MesaLib-10.3.3. Corrige #5783.
[fernando] -Passage à dhcpcd-6.6.1. Corrige #5782.
[fernando] -Passage à qca-2.1.0. Corrige #5781.
9 Novembre 2014
[fernando] - Passage à libassuan-2.1.3. Corrige #5780.
[fernando] - Corrige to firefox-33.0.3: nombre de coeur et optimisation.
[fernando] - Corrige seamonkey-2.30: nombre de coeurs, optimisation et dépendances; mozconfig complètement réécrit, basé sur celui de firefox.
7 Novembre 2014
6 Novembre 2014
[bdubbs] - Passage à fltk-1.3.3. Corrige #5767.
[fernando] - Passage à notification-daemon-3.14.0. Corrige #5772.
[fernando] - Passage à poppler-0.28.1. Corrige #5771.
[fernando] - Passage à brasero-3.11.4. Corrige #5775.
[fernando] - Passage à k3b-2.0.3. Corrige #5770.
[fernando] - Passage à phonon-backend-vlc-0.8.1. Corrige #5769.
[fernando] - Passage à phonon-4.8.2. Corrige #5768.
5 Novembre 2014
[fernando] - Passage à curl-7.39.0. Corrige #5773.
4 Novembre 2014
[fernando] - Passage à xf86-input-wacom-0.27.0. Corrige #5766.
[fernando] - Passage à unrar-5.2.2. Corrige #5765.
[fernando] - Passage à poppler-0.28.0. Corrige #5764.
[fernando] - Remplacement de http par https: sourceforge-repo, cups-filters, ijs, fop. Réécriture des 'Bibliothèques installées' dans sawfish.
[fernando] - Passage à boost_1_57_0. Corrige #5763.
[fernando] - Passage à sawfish_1.11. Corrige #5762.
3 Novembre 2014
2 Novembre 2014
31 Octobre 2014
[bdubbs] - Passage à sbc-1.3. Corrige #5752.
[fernando] - Passage à adwaita-icon-theme-3.14.1. Corrige #5757.
[fernando] - Passage à sudo-1.8.11p2. Corrige #5755.
[fernando] - Passage à menu-cache-1.0.0. Corrige #5754.
[fernando] - Passage à LibreOffice-4.3.3.2. Merci Armin pour plusieurs suggestions. Plusieurs modifications depuis branches/krejzi. Corrige #5753.
[fernando] - Passage à gdb-7.8.1. Corrige #5751.
30 Octobre 2014
29 octobre 2014
28 octobre 2014
27 octobre 2014
[fernando] - Passage à pinentry-0.9.0. Corrige #5742.
26 octobre 2014
25 octobre 2014
[bdubbs] - Archivage des pilote Xorg plus supporté pour Mach64, MGA, SiS, OpenChrome, R128, Savage, et Tdfx. Ajout d'une note avec un lien à BLFS 7.6 pour ces pilotes. Corrige #5733.
[bdubbs] - Passage à libva-intel-driver-1.4.1. Corrige #5737.
[bdubbs] - Passage à libva-1.4.1. Corrige #5736.
[fernando] - Passage à firefox-33.0.1. Corrige #5739.
[fernando] - Passage à MesaLib-10.3.2. Corrige #5735.
[fernando] - Passage à dovecot-2.2.15. Corrige #5734.
[fernando] - Passage à lxde-common-0.99.0. Corrige #5738.
24 octobre 2014
[bdubbs] - fin du passage à usbutils-008. Corrige #5719.
[bdubbs] - Suppression de la page inutile hwids-20141022.
[ken] - Passage à biber-1.9. Corrige #5728.
[fernando] - Passage à lxpanel-0.7.2. Corrige #5732.
[fernando] - Passage à lxappearance-0.6.1. Corrige #5731.
[fernando] - Passage à newt-0.52.18. Corrige #5730.
[fernando] - Passage à webkitgtk-2.6.2. Corrige #5718.
[fernando] - construction de midori-0.5.8 complêtement cassée. Corrige #5729.
[fernando] - Passage à webkitgtk-2.4.7. Corrige #5723.
23 octobre 2014
[fernando] - Passage à libpng-1.6.14. Corrige #5725.
[fernando] - Passage à gtk+-3.14.4. Corrige #5720.
[fernando] - Passage à pidgin-2.10.10. Corrige #5726.
[pierre] - Reajout de libxml2-2.9.2, avec les corrections des développeurs. Corrige de nouveau #5697.
[fernando] - Quelques corrections dans usbutils-008.
[fernando] - Passage à libass-0.12.0. Corrige #5727.
22 octobre 2014
[fernando] - Ajout du paquet hwids-20141022. Corrige #5724.
[fernando] - Passage à usbutils-008. Corrige #5719.
[fernando] - Passage à lxappearance-0.6.0. Corrige #5721.
[fernando] - Passage à lxterminal-0.2.0. Corrige #5722.
[fernando] - Passage à lxtask-0.1.6. Corrige #5716.
[fernando] - Passage à lxinput-0.3.4. Corrige #5715.
[fernando] - Passage à serf-1.3.8. Corrige #5714.
[fernando] - Passage à nasm-2.11.06. Corrige #5713.
21 octobre 2014
[ken] - Ajout d'une méthode alternative de construction de texlive en utilisant texmf sans l'installaeur binaire, détails dans la page typographie du chapitre 48. Corrige #5443.
[fernando] - Passage à emacs-24.4. Corrige #5712.
[fernando] - Passage à sysstat-11.1.2. Corrige #5711.
[fernando] - Passage à gparted-0.20.0. Corrige #5710.
[fernando] - Passage à samba-4.1.13. Corrige #5709.
[fernando] - FontForge-2.0.20141014: suppression de quelques espaces en trop.
[fernando] - KDE: suppression de l'adresse ftp et faire explicitement les http dans "Démarrer KDE" et Autres paquets KDE".
[fernando] - Passage à libical-1.0.1. Corrige #5707.
20 octobre 2014
[fernando] - Transcode-1.1.7: réécriture des problèmes avec les paquets. Nous avons tenté de trouver un standard pour cela.
[fernando] - KDE: ajout d'instruction pour installer des autres langues à coté de celle par défaut.
[fernando] - Passage à Fontforge-20141014. Corrige #5706.
19 octobre 2014
[bdubbs] - Passage à kde-4.14.2. Corrige #5684.
[bdubbs] - retour de libxml2 à la version 2.9.1 à cause d'un problème en développement.
18 octobre 2014
17 octobre 2014
[fernando] - Passage à sqlite-3.8.7. Corrige #5703.
[bdubbs] - Passage à xcb-util-0.4.0. Corrige #5694.
[bdubbs] - Passage à xcb-util-image-0.4.0. Corrige #5695.
[bdubbs] - Amélioration du texte dans transcode. Merci Armin K. pour le correctif. Corrige #5702.
[fernando] - Passage à audacious-3.5.2. Corrige #5700.
[fernando] - Passage à logrotate-3.8.8. Corrige #5698.
[fernando] - Passage à dovecot-2.2.14. Corrige #5673.
[fernando] - Passage à libxml2-2.9.2. Corrige #5697.
16 octobre 2014
[bdubbs] - Ajout d'une explication à la page convention à propos des temps SBU avec lutilisation de procédures de construction parallèle.
[bdubbs] - Initialisation des valeurs par défauts MANPATH et INFOPATH dans /etc/profile.d/extrapaths.sh.
[fernando] - Passage à seamonkey-2.30. Corrige #5688.
[fernando] - Passage à gsettings-desktop-schemas-3.14.1. Corrige #5696.
[fernando] - Passage à whois_5.2.1. Corrige #5693.
[fernando] - Passage à libgpg-error-1.17. Corrige #5692.
[fernando] - Passage à stunnel-5.06. Corrige #5691.
[fernando] - Passage à krb5-1.13. Corrige #5690.
[fernando] - Passage à php-5.6.2. Corrige #5689.
15 octobre 2014
[fernando] - Passage à evince-3.14.1. Corrige #5680.
[fernando] - Passage à epiphany-3.14.1. Corrige #5679.
[fernando] - Passage à baobab-3.14.1. Corrige #5678.
[fernando] - Passage à gnome-desktop-3.14.1. Corrige #5677.
[fernando] - Passage à gjs-1.42.0. Corrige #5676.
[fernando] - Passage à lsof_4.88. Corrige #5675.
[fernando] - Passage à OpenSSL-1.0.1j. Corrige #5682.
[fernando] - Passage à pcmanfm-1.2.3. Corrige #5674.
[fernando] - correction de gnome-terminal.desktop.
[fernando] - Passage à libfm-extra-1.2.3 and libfm-1.2.3. Corrige #5681.
[fernando] - Passage à thunderbird-31.2.0. Corrige #5672.
14 octobre 2014
[fernando] - Passage à firefox-33.0. Corrige #5670.
[fernando] - Passage à gucharmap-3.14.1. Corrige #5669.
[fernando] - Passage à gnome-terminal-3.14.1. Corrige #5668.
[fernando] - Passage à gnome-system-monitor-3.14.1. Corrige #5667.
[fernando] - Passage à file-roller-3.14.1. Corrige #5666.
[fernando] - Passage à eog-3.14.1. Corrige #5665.
[fernando] - Passage à cheese-3.14.1. Corrige #5664.
[fernando] - Passage à yelp-3.14.1. Corrige #5663.
[fernando] - Passage à vte-0.38.1. Corrige #5662.
[fernando] - Passage à gvfs-1.22.1. Corrige #5661.
[fernando] - Passage à gtksourceview-3.14.1. Corrige #5660.
[fernando] - Passage à gtk+-3.14.3. Corrige #5659.
[fernando] - Passage à cairo-1.14.0. Corrige #5658.
[fernando] - Passage à at-spi2-atk-2.14.1. Corrige #5657.
[fernando] - Passage à vala-0.26.1. Corrige #5656.
[fernando] - Passage à librsvg-2.40.5. Corrige #5655.
[fernando] - Passage à gnutls-3.3.9. Corrige #5654.
13 octobre 2014
12 Octobre 2014
11 Octobre 2014
10 Octobre 2014
9 Octobre 2014
8 Octobre 2014
7 Octobre 2014
[fernando] - Passage à unrarsrc-5.2.1. Corrige #5630.
[fernando] - Passage à dhcpcd-6.5.0. Corrige #5631.
[fernando] - Passage à cups-filters-1.0.60. Corrige #5632.
[fernando] - Passage à ssh-askpass-6.7p1. Corrige #5633.
[fernando] - Passage à openssh-6.7p1. Corrige #5629.
[fernando] - Plusieurs modifications dans CUPS-2.0.0. Merci Armin.
October 6th, 2014
[bdubbs] - Passage à libreoffice-4.3.1.2. Corrige #5580.
[bdubbs] - Clarification la signification de dépendances requises, recommandées et facultatives en ajoutant les définitions utilisées. Ajout de "Conventions utilisées dans ce livre". Corrige #5624.
[fernando] - Passage à lxsession-0.5.0. Corrige #5627.
[bdubbs] - Passage à cracklib-2.9.2. Corrige #5625.
[bdubbs] - Passage à bluez-5.24. Corrige #5626.
[fernando] - Passage à CUPS-2.0.0. Merci Armin pour les suggestions, incluant le rempalcement d'un correctif par des commandes plus visibles. Corrige #5617.
5 Octobre 2014
[fernando] - samba-4.1.12: suite de tests non recommandées. Merci Christopher pour les échanges.
[fernando] - Passage à ffmpeg-2.4.2. Corrige #5622.
[bdubbs] - Passage à xcb-util-keysyms-0.4.0. Corrige #5620.
[bdubbs] - Passage à p11-kit-0.22.0. Corrige #5623.
[fernando] - Passage à php-5.6.1. Corrige #5621.
[fernando] - Passage à mercurial-3.1.2. Corrige #5619.
[igor] - Passage à xinit-1.3.4. Corrige #5499.
4 Octobre 2014
[fernando] - VLC-2.1.5 et Transcode-1.1.7: correction de la construction avec ffmpeg-2.4.1. Merci Armin.
[fernando] - Passage à ffmpeg-2.4.1. Corrige #5513.
[fernando] - Passage à samba-4.1.12. Corrige #5485.
[igor] - Passage à xf86-input-synaptics-1.8.1. Corrige #5530.
[igor] - Passage à libevdev-1.3. Corrige #5487.
3 octobre 2014
[bdubbs] - Passage à git-2.1.2. Corrige #5614.
[fernando] - Passage à openldap-2.4.40. Corrige #5608.
[bdubbs] - Passage à nfs-utils-1.3.1. Corrige #5589.
[bdubbs] - Passage à icu4c-54_1. Corrige #5515.
[bdubbs] - Passage à at_3.1.16. Corrige #5516.
[igor] - Passage à xf86-video-ati-7.5.0. Corrige #5618.
[bdubbs] - Passage à qt-everywhere-opensource-src-5.3.2. Corrige #5526.
[igor] - Passage à xorg-server-1.16.1. Corrige #5539.
[fernando] - Thunar-1.6.3, Firefox-32.0.1 et SeaMonkey-2.29.1: Correction et améliorations.
[fernando] - Passage à thunderbird-31.1.2. Corrige #5577.
2 Octobre 2014
[fernando] - Thunar-1.6.3 et xfce4-settings-4.10.1: correction des dépendances.
[fernando] - GTK+-2.24.24, GTK+-3.14.1, Nautilus-3.14.0, PCManFM-1.2.2, gnome-system-monitor-3.14.0, baobab-3.14.0 et eog-3.14.0: ajout, ou remplacement de gnome-icon-theme par adwaita-icon-theme. Corrige #5554.
[fernando] - Passage à totem-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à seahorse-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à nautilus-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gucharmap-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gnome-terminal-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gnome-system-monitor-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gnome-screenshot-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gnome-calculator-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à file-roller-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[igor] - Passage à xkeyboard-config-2.13. Corrige #5613.
1 er Octobre 2014
[bdubbs] - Passage à seamonkey-2.29.1. Corrige #5579.
[bdubbs] - Passage à xfce4-power-manager-1.4.1. Corrige #5584.
[bdubbs] - Passage à libva-1.4.0. Corrige #5609.
[bdubbs] - Passage à libva-intel-driver-1.4.0. Corrige #5610.
[bdubbs] - Passage à mariadb-10.0.14. Corrige #5586.
[fernando] - Passage à evince-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à epiphany-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à eog-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à cheese-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à baobab-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à yelp-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gnome-themes-standard-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à dconf-0.22.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à webkitgtk-2.4.6. Corrige #5605.
30 Septembre 2014
[fernando] - Passage à vte-0.38.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à totem-pl-parser-3.10.3. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à libpeas-1.12.1. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gsettings-desktop-schemas-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gnome-desktop-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gvfs-1.22.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gnome-keyring-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à yelp-xsl-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gedit-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gtksourceview-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[fernando] - Passage à gtk+-3.14.1. Corrige #5612.
[fernando] - Passage à xterm-312. Corrige #5611.
[fernando] - Ajout d'une nouvelle page webkitgtk-2.6.0 séparée de la série 2.4 . Corrige #5575.
[igor] - Passage à mesa-10.3.0. Corrige #5537.
29 Septembre 2014
[bdubbs] - Update bind-9.10.1. Corrige #5559.
[bdubbs] - Passage à ghostscript-9.15. Corrige #5571.
[fernando] - Passage à dhcpcd-6.4.7. Corrige #5603.
[fernando] - Passage à dash-0.5.8. Corrige #5606.
[fernando] - Passage à hdparm-9.45. Corrige #5601.
[fernando] - Passage à scons-2.3.4. Corrige #5602.
[igor] - Passage à libdrm-2.4.58. Corrige #5607.
28 Septembre 2014
27 Septembre 2014
[fernando] - Passage à gdk-pixbuf-2.31.1. Corrige #5594.
[fernando] - Passage à vala-0.26.0. Corrige #5592.
[fernando] - Passage à gtk-doc-1.21. Corrige #5591.
[fernando] - Passage à cups-filters-1.0.59. Corrige #5590.
[fernando] - Passage à dhcpcd-6.4.6. Corrige #5588.
[fernando] - Passage à pcre-8.36. Corrige #5587.
[fernando] - Passage à gcr-3.14.0. Corrige partiellement #5554.
[igor] - Passage à xtrans-1.3.5. Corrige #5562.
26 Septembre 2014
[fernando] - Passage à gnumeric-1.12.18. Corrige #5585.
[fernando] - Passage à goffice-0.10.18. Corrige #5583.
[fernando] - Passage à xf86-input-wacom-0.26.1. Corrige #5582.
[fernando] - Passage à nss-3.17.1. Corrige #5581.
[fernando] - Passage à gstreamer-1.4.3 and plugins, incluant gst-libav. Corrige #5538.
[fernando] - Passage à dhcpcd-6.4.5. Corrige #5522.
[fernando] - Passage à gtkmm-3.14.0. Corrige #5578.
[fernando] - Passage à gobject-introspection-1.42.0. Corrige #5573.
[fernando] - Passage à pango-1.36.8. Corrige #5570.
[fernando] - Passage à gtk+-3.14.0. Corrige #5569.
[fernando] - Passage à clutter-gtk-1.6.0. Corrige #5568.
[fernando] - Passage à clutter-1.20.0. Corrige #5567.
[fernando] - Passage à at-spi2-atk-2.14.0. Corrige #5566.
[fernando] - Passage à at-spi2-core-2.14.0. Corrige #5565.
[fernando] - Passage à atk-2.14.0. Corrige #5564.
[fernando] - Passage à pygobject-3.14.0. Corrige #5558.
25 Septembre 2014
24 Septembre 2014
[fernando] - Modification de /etc/lxdm/lxdm.conf pour inclure XORG_PREFIX, qui peut être différent de /usr. Modifié avec la suggestion de Bruce .
[bdubbs] - Passage à glibmm-2.42.0. Corrige #5557.
[bdubbs] - Passage à libsigc++-2.4.0. Corrige #5518.
[bdubbs] - Passage à glib-2.42.0. Corrige #5546.
[fernando] - Passage à libsoup-2.48.0. Corrige #5561.
[fernando] - Passage à xterm-311. Corrige #5551.
[fernando] - Passage à pinentry-0.8.4. Corrige #5550.
[fernando] - Passage à libksba-1.3.1. Corrige #5548.
[fernando] - Passage à xf86-input-wacom-0.26.0. Corrige #5507.
[fernando] - Passage à neon-0.30.1. Corrige #5574.
[fernando] - Passage à sudo-1.8.11. Corrige #5572.
[bdubbs] - Passage à stunnel-5.04. Corrige #5545.
23 Septembre 2014
[fernando] - Passage à git-2.1.1. Corrige #5541.
[fernando] - Passage à cmake-3.0.2. Corrige #5500.
[fernando] - Passage à curl-7.38.0. Corrige #5496.
[fernando] - Passage à ruby-2.1.3. Corrige #5532.
[fernando] - Passage à gnutls-3.3.8. Corrige #5543.
[fernando] - Passage à p11-kit-0.20.7. Corrige #5544.
[fernando] - Passage à libtasn1-4.2. Corrige #5520.
[fernando] - Passage à libgpg-error-1.16. Corrige #5486.
[fernando] - Passage à apr-util-1.5.4. Corrige #5540.
[bdubbs] - Publication BLFS 7.6.
Last updated on : 2013-03-14 02:26:59 +010
Le serveur linuxfromscratch.org héberge un certain nombre de listes de diffusion utilisées pour le développement du livre BLFS. Ces listes comprennent, entre autres, les listes de développement principal et de support.
Pour plus d'informations sur les listes disponibles, la manière de s'y abonner, l'emplacement des archives, etc., visitez http://www.linuxfromscratch.org/mail.html.
Last updated on 2007-04-04 21:42:53 +0200
Le projet BLFS a créé un Wiki pour que les utilisateurs commentent les pages et les instructions sur http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki. Les commentaires de tous les utilisateurs sont bienvenus.
Ce qui suit sont les règles pour poster :
Les utilisateurs doivent s'enregistrer et se connecter pour éditer une page.
Les suggestions de changements du livre devraient se faire en créant un nouveau ticket, pas en commentant le Wiki.
Les questions sur vos problèmes d'installation spécifique devraient être posées en s'abonnant et en écrivant à la listes de diffusion BLFS Support sur mailto:blfs-support AT linuxfromscratch D0T org.
Les discussions sur les instructions de construction devraient se faire en s'abonnant et en écrivant à la liste de diffusion BLFS Development sur mailto:blfs-dev AT linuxfromscratch D0T org.
Les sujets non appropriés seront supprimés.
Last updated on 2007-04-04 21:42:53 +0200
Si vous rencontrez un problème en utilisant ce livre, et si votre problème n'est pas indiqué dans la FAQ, (http://www.linuxfromscratch.org/faq), vous trouverez que la plupart des gens sur Internet Relay Chat (IRC) et sur les listes de diffusion veulent vous aider. Vous pouvez trouver un aperçu des listes de diffusion LFS dans Listes de diffusion. Pour nous aider à diagnostiquer et résoudre votre problème, mettez autant d'informations pertinentes que possible dans votre demande d'aide.
Avant de demander de l'aide, vous devriez revoir les éléments suivants :
Le support du matériel est-il compilé dans le noyau ou
disponible comme module du noyau ? Si c'est un
module, est-il configuré correctement dans modprobe.conf
et a-t-il été
chargé ? Vous devriez utiliser lsmod en tant
qu'utilisateur root
pour voir s'il est chargé. Vérifiez le fichier
sys.log
ou lancez
modprobe <pilote>
pour voir un message d'erreur. S'il se charge
correctement, il se peut que vous deviez ajouter la
commande modprobe à vos
scripts de démarrage.
Vos droits sont-ils bien réglés, surtout pour des
périphériques ? LFS utilise des groupes pour
faciliter ces réglages mais il ajoute aussi l'étape de
l'ajout des utilisateurs aux groupes pour leur
autoriser l'accès. Un simple usermod -G audio <utilisateur>
peut être la seule chose nécessaire pour que
l'utilisateur ait accès au son. Toute question
commençant par « Ça marche en
root, mais pas sous ... » exige une revue
complète des droits avant de demander.
BLFS utilise de façon libérale /opt/
.
La principale objection à cela se focalise sur le
besoin d'étendre vos variables d'environnement pour
chaque paquet qui y est placé (comme
PATH=$PATH:/opt/kde/bin). Dans la plupart des cas, les
instructions du paquet vous guideront à travers les
changements, mais pas tous. La section nommée
« Aller au-delà
de BLFS » est disponible pour vous
aider à vérifier.
<paquet>
Outre une courte explication du problème que vous avez, les choses essentielles à inclure dans votre demande sont :
la version du livre que vous utilisez (donc 7.7),
le paquet ou la section qui vous pose problème,
le message d'erreur exact ou le symptôme que vous recevez,
si vous avez dévié du livre ou pas,
si vous installez un paquet BLFS sur un système non LFS.
(Remarquez que le fait de dire que vous avez dévié du livre ne signifie pas que nous ne vous aiderons pas. Cela nous aidera simplement à voir d'autres causes possibles de votre problème.)
Attendez-vous à des repères plutôt que des instructions. Si on vous demande de lire quelque chose, merci de le faire. Cela implique en général que la réponse était trop évidente et que la question n'aurait pas été posée si vous aviez fait un minimum de recherche avant de demander. Les volontaires sur la liste de diffusion préfèrent ne pas devenir une habitude alternative à faire des recherches de votre côté. En outre, la qualité de votre expérience de BLFS est considérablement améliorée par cette recherche et la qualité des volontaires est améliorée car ils ne croient pas qu'on abuse de leur temps, donc ils sont bien plus disposés à participer.
Un excellent article sur la demande d'aide sur Internet en général a été écrit par Eric S. Raymond. Il est disponible en ligne sur http://www.gnurou.org/writing/smartquestionsfr. Lisez et suivez les astuces de ce document et vous serez très probablement beaucoup plus sûr d'obtenir une réponse et d'avoir l'aide dont vous avez réellement besoin.
Last updated on 2009-09-25 07:43:37 +0200
Beaucoup de gens ont contribué directement et indirectement à BLFS. Cette page liste tous ceux auxquels nous pensons. Il se peut bien qu'on en oublie, et si vous en voyez, faites-le nous savoir. Grands merci à toute la communauté LFS pour son aide à ce projet.
Fernando de Oliveira
Bruce Dubbs
Pierre Labastie
Randy McMurchy
Ken Moffat
Ragnar Thomsen
Igor Živković
La liste des contributeurs est beaucoup trop longue pour fournir des informations détaillées sur les contributions de chacun des contributeurs. Depuis des années, les personnes suivantes ont fournis des travaux significatifs pour le livre :
Timothy Bauscher
Daniel Bauman
Jeff Bauman
Andy Benton
Wayne Blaszczyk
Paul Campbell
Nathan Coulson
Jeroen Coumans
Guy Dalziel
Robert Daniels
Richard Downing
Manuel Canales Esparcia
Jim Gifford
Manfred Glombowski
Ag Hatzimanikas
Mark Hymers
James Iwanek
David Jensen
Jeremy Jones
Seth Klein
Alex Kloss
Eric Konopka
Larry Lawrence
DJ Lucas
Chris Lynn
Andrew McMurry
Denis Mugnier
Billy O'Connor
Alexander Patrakov
Olivier Peres
Andreas Pedersen
Henning Rohde
Chris Staub
Matt Rogers
James Robertson
Henning Rohde
Jesse Tie-Ten-Quee
Thomas Trepl
Tushar Teredesai
Jeremy Utley
Zack Winkles
Christian Wurst
Fernando Arbeiza
Miguel Bazdresch
Gerard Beekmans
Oliver Brakmann
Jeremy Byron
Ian Chilton
David Ciecierski
Jim Harris
Lee Harris
Marc Heerdink
Steffen Knollmann
Eric Konopka
Scot McPherson
Ted Riley
Last updated on : 2012-05-12 23:08:45 +020
Merci d'adresser vos messages électroniques à une des listes de diffusion de BLFS. Voir Listes de diffusion pour plus d'informations sur les listes de diffusion disponibles.
Last updated on : 2012-02-06 06:15:51 +010
Ce chapitre est utilisé pour expliquer certaines pratiques utilisées tout au long de ce livre, pour vous présenter des concepts importants et pour expliquer des problèmes que vous pourriez avoir avec des paquets inclus.
Il se peut que les gens qui ont construit un système LFS connaissent les principes généraux du téléchargement et du déballage de logiciel. Certaines de ces informations sont répétées ici pour les nouveaux qui construisent leurs propres logiciels.
Chaque groupe d'instructions d'installation contient une adresse Web depuis laquelle vous pouvez télécharger le paquet. Les correctifs; cependant, sont enregistrés sur les serveurs LFS et sont disponibles via HTTP. Ils sont référencés comme nécessaires dans les instructions d'installation.
Si vous pouvez mettre les fichiers sources là où vous voulez, nous supposons que vous avez déballé le paquet et êtes allé dans le répertoire créé par le processus de déballage (le répertoire de 'construction'). Nous supposons aussi que vous avez décompressé les correctifs requis et qu'ils sont dans dans le répertoire de niveau immédiatement supérieur au répertoire de 'construction'.
Nous ne saurions que trop vous recommander fortement de
démarrer à partir d'une arborescence
de sources propre à chaque fois. Cela veut dire que
si vous avez eu une erreur lors de la configuration ou de la
compilation, il est généralement préférable d'effacer
l'arborescence des sources et de la redéballer avant de réessayer. Cela ne
s'applique évidemment pas si vous êtes un utilisateur avancé
habitué à modifier les Makefile
s
et le code C, mais si vous avez un doute, commencez à partir
d'une arborescence propre.
La règle d'or de l'administration d'un système Unix est de
n'utiliser vos super-pouvoirs que si nécessaire. D'où la
recommandation de BLFS de construire les logiciels en tant
qu'utilisateur non privilégié et de ne devenir l'utilisateur
root
que lors de
l'installation du logiciel. On suit cette philosophie dans
tous les paquets du livre. Sauf spécifications contraires,
toutes les instructions devraient être exécutées en tant
qu'utilisateur non privilégié. Le livre vous conseillera sur
les instructions qui ont besoin des privilèges root
.
S'il y a un fichier compressé au format .tar
, on le déballe en utilisant une des
commandes suivantes :
tar -xvf filename.tar.gz tar -xvf filename.tgz tar -xvf filename.tar.Z tar -xvf filename.tar.bz2
Vous pouvez ne pas utiliser le paramètre v
dans les commandes décrites ci-dessus et
ci-dessous si vous supprimer le listage verbeux de tous les
fichiers de l'archive au fur et à mesure qu'ils sont
extraits. Cela peut aider à accélérer l'extraction mais
aussi rendre la compréhension des erreurs produites pendant
l'extraction moins évidentes.
Vous pouvez utiliser aussi une méthode légèrement différente :
bzcat filename.tar.bz2 | tar -xv
Enfin, vous avez parfois besoin de déballer des correctifs
qui ne sont généralement pas au format .tar
. La meilleure manière de faire cela
est de copiez le chemin du fichier dans le parent du
répertoire de 'construction' puis d'exécuter une des
commandes suivantes selon que le fichier est un .gz
ou un .bz2
:
gunzip -v patchname.gz bunzip2 -v patchname.bz2
En général, pour vérifier que le fichier téléchargé est
authentique et complet, de nombreux mainteneurs de paquets
distribuent aussi des sommes md5 des fichiers. Pour vérifier
la somme md5 des fichiers téléchargés, téléchargez à la fois
le fichier et le fichier md5sum correspondant dans le même
répertoire (de préférence à partir d'emplacements différents
en ligne) et (en supposant que file.md5sum
est le fichier md5sum
téléchargé), lancez la commande suivante :
md5sum -c file.md5sum
S'il y a une erreur, elle sera signalée. Remarquez que le
livre BLFS comprend les sommes md5 de tous les fichiers
sources. Pour utiliser les sommes md5 fournies par BLFS, vous
pouvez créer un file.md5sum
(mettez les données md5sum et le nom exact du fichier
téléchargé sur la même ligne d'un fichier, séparés par un
espace blanc), et lancez la commande montrée ci-dessus.
Sinon, lancez simplement la commande décrite ci-dessus et
comparez la sortie avec les données de somme md5 inscrites
dans le livre BLFS.
md5sum <name_of_downloaded_file>
Pour les gros paquets, il est commode de créer des fichiers
journaux plutôt que de dévisager l'écran en espérant
récupérer une erreur ou un avertissement particulier. Les
fichiers journaux sont aussi utiles pour déboguer et garder
des enregistrements. La commande suivante vous permet de
créer un journal d'installation. Remplacez <commande>
par la
commande que vous cherchez à exécuter.
( <command>
2>&1 | tee compile.log && exit $PIPESTATUS )
2>&1
redirige les messages
d'erreur vers le même endroit que la sortie standard. La
commande tee
vous permet de voir la sortie en journalisant les résultats
dans un fichier. Les parenthèses autour de la commande
exécutent toute la commande dans un sous-shell et, enfin, la
commande exit
$PIPESTATUS s'assure que c'est bien le
résultat de <commande>
qui est
retourné et pas le résultat de la commande tee.
Il y a des fois où automatiser la construction d'un paquet
peut s'avérer utile. Chacun a ses raisons de vouloir
automatiser la construction, et chacun le fait par ses
propres moyens. Soit en créant des Makefile
s, des scripts Bash, des scripts Perl ou simplement une liste de
commandes utilisées qui sont copier-coller, sont des méthodes
que vous pouvez utiliser pour automatiser la construction de
paquets BLFS. Détailler et donner des exemples sur les
nombreuses manières d'automatiser la construction de paquets
va au-delà des objectifs de cette section. Cette section vous
présentera l'utilisation de la redirection de fichiers et de
la commande yes
pour vous donner des idées sur la façon d'automatiser vos
constructions.
Il y aura des moments, pendant votre aventure BLFS, où vous tomberez sur un paquet ayant une invite de commande vous demandant des informations. Ces informations peuvent être des détails de configuration, un chemin de répertoire ou une réponse à un accord de licence. Il peut être un challenge d'automatiser la construction de ce paquet. On vous demandera occasionnellement des informations via une série de questions. Une méthode pour automatiser ce type de scénario est de mettre les réponses désirées dans un fichier et d'utiliser la redirection pour que le programme utilise les données du fichier comme réponses aux questions.
La construction du paquet CUPS est un bon exemple de la façon de rediriger un fichier comme entrée aux invites, cela peut vous aider à automatiser la construction. Si vous lancez la suite de test, on vous demande de répondre à une série de questions concernant le type de test à exécuter et si vous avez un programme auxiliaire que le test peut utiliser. Vous pouvez créer un fichier avec vos réponses, une par ligne, et utiliser une commande ressemblant à celle indiquée ci-dessous pour automatiser l'exécution de la suite de tests :
make check < ../cups-1.1.23-testsuite_parms
Cela fait que la suite de tests utilise les réponses du fichier comme entrée pour les questions. Vous pouvez finir par faire des essais et des erreurs pour déterminer le format exact de votre fichier d'entrée pour certaines choses, mais une fois expérimenté et documenté, vous pouvez utiliser cela pour automatiser la construction du paquet.
Vous n'aurez parfois besoin que de fournir une réponse ou une même réponse à de nombreuses invites. Dans ces cas-là, la commande yes fonctionne vraiment bien. On peut utiliser la commande yes pour fournir une réponse (la même) à une ou plusieurs questions. On peut l'utiliser pour simuler un simple appui sur la touche Entrée, l'entrée de la touche Y ou l'entrée d'une chaîne de texte. La manière la plus facile de montrer son utilisation est peut-être de prendre un exemple.
Créez tout d'abord un petit script Bash en entrant les commandes suivantes :
cat > blfs-yes-test1 << "EOF"
#!/bin/bash
echo -n -e "\n\nPlease type something (or nothing) and press Enter -
-->
"
read A_STRING
if test "$A_STRING" = ""; then A_STRING="Just the Enter key was pressed"
else A_STRING="You entered '$A_STRING'"
fi
echo -e "\n\n$A_STRING\n\n"
EOF
chmod 755 blfs-yes-test1
Maintenant, lancez le script en lançant ./blfs-yes-test1 depuis la ligne de commande. Il attendra une réponse, qui peut être n'importe quoi (ou rien) suivi de la touche Entrée. Après avoir entré quelque chose, le résultat sera affiché à l'écran. Utilisez maintenant la commande yes pour automatiser l'entrée d'une réponse :
yes | ./blfs-yes-test1
Remarquez que la redirection (le piping) de yes en lui-même vers le script aboutit à ce que y est passé au script. Essayez-la maintenant avec une chaine de texte :
yes 'This is some text' | ./blfs-yes-test1
La chaîne exacte était utilisée comme réponse au script. Enfin, essayez-la en utilisant une chaîne vide (null) :
yes '' | ./blfs-yes-test1
Remarquez que cela aboutit à ne passer au script que l'appui sur la touche Entrée. C'est utile parfois quand la réponse par défaut à l'invite est suffisante. Cette syntaxe est utilisée dans les instructions de Net-tools pour accepter tous les réglages par défaut à toutes les invites lors de l'étape de configuration. Vous pouvez maintenant supprimer le script de test si vous le désirez.
Pour automatiser la construction de certains paquets, surtout ceux qui vous demandent de lire un accord de licence page après page, il faut utiliser une méthode qui évite de devoir appuyer sur une touche pour afficher chaque page. On peut utiliser la redirection de sortie vers un fichier dans ce cas-là pour vous aider à automatiser. La section précédente de cette page a visé à créer des fichiers journaux de la sortie de la construction. La méthode de redirection qui y est décrite utilisait la commande tee pour rediriger la sortie tout en affichant aussi la sortie à l'écran. D'où le fait qu'on ne verra la sortie que dans un fichier.
De nouveau, la manière la plus facile de montrer la technique est de présenter un exemple. Lancez d'abord la commande :
ls -l /usr/bin | more
Bien entendu, vous devrez voir la sortie page par page car on
a utilisé le filtre more. Essayez maintenant la
même commande, mais en redirigeant cette fois la sortie vers
un fichier. Le fichier spécial /dev/null
peut être utilisé à la place du
fichier indiqué, mais vous n'aurez pas de fichier journal à
examiner :
ls -l /usr/bin | more > redirect_test.log 2>&1
Remarquez que cette fois, la commande est immédiatement revenue à l'invite du shell sans devoir parcourir la sortie page par page. Vous pouvez supprimer maintenant le fichier journal.
Le dernier exemple utilisera la commande yes associée à la redirection de sortie pour éviter de naviguer page par page dans la sortie, puis de fournir un y à l'invite. Cette technique pour être utilisée dans les cas où vous devriez, sans elle, naviguer page par page dans la sortie d'un fichier (tel qu'un accord de licence), puis répondre à la question « Acceptez-vous ce qui précède ? ». Pour cet exemple, on a besoin d'un autre petit script Bash :
cat > blfs-yes-test2 << "EOF"
#!/bin/bash
ls -l /usr/bin | more
echo -n -e "\n\nDid you enjoy reading this? (y,n) "
read A_STRING
if test "$A_STRING" = "y"; then A_STRING="You entered the 'y' key"
else A_STRING="You did NOT enter the 'y' key"
fi
echo -e "\n\n$A_STRING\n\n"
EOF
chmod 755 blfs-yes-test2
On peut utiliser ce script pour simuler un programme qui demande que vous lisiez un accord de licence et que vous acceptiez le contrat avant que le programme n'installe quoique ce soit. Lancez d'abord le script sans techniques d'automatisation en exécutant ./blfs-yes-test2.
Maintenant lancez la commande suivante qui utilise les techniques d'automatisation, rendant l'utilisation convenable dans un script de construction automatisé :
yes | ./blfs-yes-test2 > blfs-yes-test2.log 2>&1
Si vous le désirez, lancez tail blfs-yes-test2.log pour voir la fin de la sortie paginée et la confirmation que y a été passé au script. Une fois que cela marche comme cela devrait, vous pouvez supprimer le script et le fichier journal.
Enfin, gardez à l'esprit qu'il y a de nombreux moyens d'automatiser et/ou de scripter les commandes de construction. Il n'y a pas « une seule » manière de procéder. Votre imagination est la seule limite.
Pour chaque paquet décrit, BLFS liste les dépendances connues. Elles sont listées sous plusieurs en-têtes, dont la signification est la suivante :
Requis signifie que le paquet cible ne peut pas se construire correctement sans avoir d'abord installé la dépendance.
Recommandées signifie que BLFS suggère fortement d'installer préalablement ce paquet pour une construction propre et sans problème, ni pendant le processus de construction ni au moment de l'exécution. Les instructions dans le livre considèrent que ses paquets sont installés. Des modifications ou contournements peuvent être requis si ces paquets ne sont pas installés.
Facultatives signifie que ce paquet pourrait être installé pour ajouter des fonctions. BLFS décrira souvent la dépendance pour expliquer la fonctionnalité supplémentaire résultante.
Occasionnellement, dans le livre, vous pourrez être dans la situation ou un paquet ne se construit pas ou ne fonctionne pas correctement. Bien que les éditeurs tentent de faire en sorte que chaque paquet dans le livre se construise et fonctionne correctement, parfois un paquet a été oublié ou n'a pas été testé avec cette version particulière de BLFS.
Si vous découvrez un paquet qui ne se construit pas ou ne fonctionne pas correctement, vous pouvez regarder s'il s'agit de la version la plus récente du paquet. Typiquement, cela signifie que vous irez sur le site web du mainteneur et téléchargerez l'archive la plus récente et tenterez de construire le paquet. Si vous ne pouvez pas déterminer le site web du mainteneur en regardant l'URL de chargement, utilisez Google et cherchez le nom du paquet. Par exemple, dans la barre de recherche de Google tapez: 'package_name download' (sans les guillemets) ou quelque chose de similaire. Parfois en tapant : 'package_name home page' vous trouverez le site web du mainteneur.
Dans LFS, le nettoyage des symboles de deboguage a été discuté de nombreuses fois. Pour la construction des paquets BLFS, il n'y a généralement pas d'instructions qui discute de nouveau du nettoyage. Ce n'est probablement pas une bonne idée de nettoyer un exécutable ou une bibliothèque tant qu'ils sont utilisés, alors sortir des environnements de fenètrage est une bonne idée. Ensuite vous pouvez faire:
find /{,usr/}{bin,lib,sbin} -type f -exec strip --strip-unneeded {} \;
Si vous installez des programmes dans d'autres répertoires tels que /opt ou /usr/local, vous pouvez vouloir nettoyer les fichiers ici aussi.
Pour plus d'information sur le nettoyage, regardez http://www.technovelty.org/linux/stripping-shared-libraries.html.
Un des effets de bord des paquets qui utilisent Autotools, incluant libtool, est qu'ils créent beaucoup de fichiers avec une extension .la. Ces fichiers ne sont pas utiles dans un environnement LFS. S'il y a des conflits avec des entrées pkconfig, ils peuvent actuellement empêcher des constructions correctes. Vous pouvez considérer d'effacer ces fichiers périodiquement:
find /lib /usr/lib -not -path "*Image*" -a -name \*.la -delete
La commande suivante efface tous les fichiers .la sauf ceux ayant "Image" dans une partie de leur chemin. Ces fichiers .la sont utilisés par les programmes de ImageMagick. Il peut y avoir d'autres exceptions avec des paquets qui ne sont pas dans BLFS.
Last updated on : 2012-12-19 20:57:20 +010
Devrais-je installer XXX dans
/usr
ou dans /usr/local
?
C'est une question sans réponse évidente pour un système basé sur LFS.
Dans les systèmes Unix traditionnels, /usr
contient en général des fichiers fournis
avec la distribution du système, et l'arborescence de
/usr/local
est libre pour que
l'administrateur local gère. La seule règle vraiment dure et
rapide est que les distributions Unix ne devraient pas toucher
à /usr/local
, sauf peut-être pour
y créer les répertoires de base.
Avec les distributions Linux comme Red Hat, Debian, etc., une
règle possible est que /usr
est
géré par le système de paquets de la distribution et
/usr/local
ne l'est pas. De cette
façon, la base de données du gestionnaire de paquets connaît
tous les fichiers d'un /usr
.
Les utilisateurs LFS construisent leur propre système et
décident donc de manière non absolue de l'endroit où s'arrête
le système et où les fichiers locaux commencent. Le choix
devrait donc se faire pour faciliter l'administration des
choses. Il y a plusieurs raisons pour diviser des fichiers
entre /usr
et /usr/local
.
Sur un réseau de plusieurs machines exécutant LFS, où
sont mélangées LFS et d'autres distributions Linux,
/usr/local
pourrait être
utilisé pour conserver les paquets communs entre tous les
ordinateurs du réseau. Il peut être monté en NFS ou le
miroir d'un seul serveur. Ici, local indique local sur le
site.
Sur un réseau de plusieurs ordinateurs exécutant tous un
système LFS identique, /usr/local
pourrait contenir les
paquets différents entre les machines. Dans ce cas, local
se réfère aux ordinateurs individuels.
Même sur un seul ordinateur, /usr/local
peut être utile si vous avez
installé plusieurs distributions en même temps et si vous
voulez un endroit pour mettre les paquets qui seront
identiques sur chacune.
Ou vous pourriez reconstruire régulièrement votre LFS, mais vouloir un endroit pour mettre des fichiers que vous ne voulez pas reconstruire à chaque fois. De cette façon, vous pouvez nettoyer le système de fichiers LFS et commencer depuis une partition propre sans tout perdre à chaque fois.
Certaines personnes demandent pourquoi ne pas utiliser votre
propre arborescence de répertoires, comme /usr/site
, plutôt que /usr/local
?
Rien ne vous en empêche. Beaucoup de sites font leur propre
arborescence, mais cela complique l'installation de nouveaux
logiciels. Les installeurs automatiques cherchent souvent les
dépendances dans /usr
et
/usr/local
et si le fichier qu'il
cherche se trouve plutôt dans /usr/site
, l'installeur échouera probablement
sauf si vous lui dites spécifiquement où chercher.
Quelle est la position de BLFS là-dessus ?
Toutes les instructions de BLFS installent des programmes dans
/usr
avec des instructions
facultatives pour installer dans /opt
pour certains paquets spécifiques.
Last updated on 2007-04-04 21:42:53 +0200
En suivant les différentes sections du livre, vous observerez que le livre inclut parfois des correctifs exigés pour une installation réussie et sécurisée des paquets. La pratique générale de ce livre consiste à inclure des correctifs correspondants à un des critères suivants :
Corrige un problème de compilation.
Corrige un problème de sécurité.
Corrige une fonctionnalité cassée.
En bref, le livre n'inclut des correctifs que s'ils sont exigés ou recommandés. Il y a un Sous-projet de correctifs hébergeant divers correctifs (y compris les correctifs référencés dans les livres) pour vous permettre de configurer votre LFS de la façon qu'il vous plaît.
Last updated on 2007-04-04 21:42:53 +0200
Le paquet BLFS Bootscripts contient les scripts de démarrage utilisé tout au long du livre. On suppose que vous utiliserez le paquet BLFS Bootscripts avec un paquet LFS-Bootscripts compatible. Reportez-vous à http://www.fr.linuxfromscratch.org/view/lfs-stable/chapter07/bootscripts.html pour plus d'informations sur le paquet LFS-Bootscripts.
Informations sur le paquet
Le paquet BLFS Bootscripts sera utilisé tout au long du livre
BLFS pour les scripts de démarrage. Contrairement à LFS, chaque
scripts de démarrage a une cible d'installation distincte dans
le paquet BLFS Bootscripts. Il vous est recommandé de conserver
le répertoire source du paquet jusqu'à ce que vous ayez terminé
votre système BLFS. Quand un script est demandé dans le paquet
BLFS Bootscripts, allez simplement dans le répertoire et en
tant qu'utilisateur root
,
exécutez la commande make
install-<init-script>
donnée. Cette commande installe le script de démarrage au bon
endroit (ainsi que les scripts auxiliaires de configuration) et
crée aussi les liens symboliques adéquats pour démarrer et
arrêter le service au niveau d'exécution adéquat.
Il est conseillé d'examiner chaque script de démarrage avant l'installation pour être sûr qu'il satisfait vos besoins. Vérifiez aussi que les liens symboliques de démarrage et d'arrêt qu'il crée correspondent à vos préférences.
De temps en temps les scripts de démarrage sont mis à jour pour s'adapter à de nouveaux paquets ou pour faire des corrections mineurs. Toutes les version des scripts de démarrage sont à l'adresse http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/BLFS/conglomeration/blfs-bootscripts/.
Last updated on 2007-04-04 21:42:53 +0200
À l'origine les bibliothèques étaient simplement une archive de routines, à partir de laquelle on extrayait ou on liait les routines nécessaires dans l'exécutable. On appelle cela des bibliothèques statiques (libfoo.a). Sur certains systèmes d'exploitation anciens, ce sont les seules qui sont disponibles.
Sur la plupart des plate-formes Linux, il y a aussi des bibliothèques partagées (libfoo.so) - une copie de la bibliothèque est chargée dans la mémoire virtuelle et partagée par tous les programmes qui appellent une de ses fonctions. C'est plus efficace en terme d'espace.
Autrefois, des programmes essentiels tels que le shell
étaient souvent liés de manière statique pour qu'il existe
certaines formes de systèmes de secours minimaux, même en cas
de bibliothèques partagées endommagées telles que libc.so
(par exemple, déplacées dans lost+found
après un fsck consécutif à une
extinction brutale). Aujourd'hui, la plupart des gens
utilisent une installation système alternative ou un Live CD
s'ils ont besoin d'un sauvetage. Les systèmes de fichiers
journalisés réduisent également la probabilité de ce genre de
problème.
Les développeurs, au moins pendant qu'ils développent, préfèrent souvent utiliser les versions statiques des bibliothèques auxquelles ils lient leur code.
À plusieurs endroits du livre, des paramètres de configuration tels que --disable-static sont utilisés, et à d'autres endroits, vous avez la possibilité d'utiliser les versions du système des bibliothèques plutôt que les versions fournies par un autre paquet. Nous traitons cela pour simplifier les mises à jour des bibliothèques.
Si un paquet est lié à une bibliothèque dynamique, la mise à jour de la bibliothèque se fait automatiquement une fois que la nouvelle bibliothèque est installée et le programme est (re)démarré (à condition que la version majeure de la bibliothèque reste inchangée, passant par exemple de libfoo.so.2.0 à libfoo.so.2.1 : le passage à libfoo.so.3 exigera une recompilation - utilisez ldd pour svoir les outils qui utilisent l'ancienne version). Si un programme est lié à une bibliothèque statique, il faut toujours recompiler le programme. Si vous connaissez les programmes liés à une bibliothèque statique en particulier, pas de problème. Mais en général, vous ne connaitrez pas les programmes qu'il faut recompiler.
La plupart des bibliothèques sont partagées, mais faites
quelque chose de peu commun, par exemple si vous déplacez une
bibliothèque partagée dans /lib
et si vous cassez en plus le lien symbolique .so
dans /usr/lib
, mais si vous y laissez la
bibliothèque statique dans /lib
, la bibliothèque sera liée, de façon
transparente, aux programmes qui en ont besoin.
Une manière d'identifier si une bibliothèque statique est
utilisée est de s'en préoccuper à la fin de l'installation de
chaque paquet. Écrivez un script pour trouver toutes les
bibliothèques statiques dans /usr/lib
ou bien partout où vous installez,
puis soit déplacez-les dans un autre répertoire de sorte que
l'éditeur de liens ne les trouve plus, soit renommez-les pour
que libfoo.a devienne par exemple libfoo.a.hidden. Vous
pouvez alors restaurer temporairement une bibliothèque
statique si nécessaire, et noter les paquets qui en ont
besoin. Vous pouvez choisir d'exclure de glibc certaines
bibliothèques statiques si vous faites cela (libc_nonshared.a, libg.a, libieee.a, libm.a,
libpthread_nonshared.a, librpcsvc.a, libsupc++.a
pour
simplifier la compilation.
Si vous faites cela, il se peut que vous trouviez que plus de paquets que vous ne le pensiez utilisent une bibliothèque statique. C'était le cas avec nettle-2.4 dans sa configuration par défaut en statique seulement, exigé par GnuTLS-3.0.19 mais lié également à des paquets qui utilisaient GnuTLS-3.0.19, tels que glib-networking-2.32.3.
De nombreux paquets mettent certaines de leurs fonctions courantes dans une bibliothèque qui n'est utilisée que par les programmes du paquet et qui, surtout, n'est pas installée en tant que bibliothèque autonome. Ces bibliothèques autonomes ne posent pas problème - si le paquet doit être reconstruit pour corriger un bogue ou une faille de sécurité, rien de plus ne s'y liera.
Quand BLFS indique des bibliothèques Système, cela signifie les versions partagées. Certains paquets tels pue Firefox-36.0 et GPL-Ghostscript-9.15 incluent beaucoup d'autres bibliothèques. Quand elles s'y relient, elles le font de manière statique, donc cela également grossit les programmes. La version incluse est souvent plus ancienne que la version utilisée dans le système, donc il se peut qu'elle comporte des bogues - parfois les développeurs prennent la peine de corriger les bogues dans les bibliothèques qu'ils incluent, mais pas toujours.
Parfois, décider d'utiliser les bibliothèques du système est facile. D'autres fois il se peut que vous deviez modifier la version du système (c'est le cas pour libpng-1.6.16 si on l'utilise pour Firefox-36.0). En outre, un paquet qui contient une ancienne bibliothèque ne peut plus se lier à la version actuelle, mais il peut se lier à une version moins ancienne : en général, le livre n'utilisera que la version incluse. Parfois, la bibliothèque incluse n'est plus développée de son côté, ou ses responsables en amont sont les mêmes que ceux du paquet et vous n'avez aucun autre paquet qui l'utilisera. Dans ces cas, vous pourriez décider d'utiliser la bibliothèque statique incluse même si vous préférez généralement utiliser les bibliothèques du système.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libraries
Last updated on : 2012-12-19 20:57:20 +010
Cette page contient des informations sur les problèmes liées aux locales. Dans les paragraphes suivants, vous trouverez un aperçu générique de ce qui peut vous arriver lors de la configuration de votre système pour diverses locales. Beaucoup (mais pas tous) des problèmes existants liés aux locales peuvent être classés et rangés sous une des en-têtes ci-dessous. Les niveaux de sévérité indiqués ci-dessous utilisent les critères suivants :
Critique : Le programme ne remplit pas sa fonction principale. Une correction serait ennuyeuse, il vaut mieux chercher un remplaçant.
Haute: Une partie des fonctionnalités fournies par le programme n'est pas utilisable. Si cette fonctionnalité est exigée, il vaut mieux chercher un remplaçant.
Basse: Le programme fonctionne dans tous les cas d'utilisation classiques, mais il manque de certaines fonctionnalités normalement fournies par ses équivalents.
Si un moyen spécifique de contournement existe pour un paquet spécifique, il apparaîtra sur la page de ce paquet. Pour les informations les plus récentes sur les problèmes liés aux locales pour des paquets individuels, vérifiez les Notes utilisateur sur le Wiki de BLFS.
Sévérité : Critique
Certains programmes exigent que l'utilisateur spécifie
l'encodage de caractères pour leurs données d'entrée et de
sortie et ils ne présentent qu'un choix limité d'encodages.
C'est le cas de l'option -X
d'a2ps-4.14 et de Enscript-1.6.6, de
l'option -input-charset
de
Cdrtools
et des encodages offerts pour l'affichage du menu de
Links-2.9. Si l'encodage désiré n'est pas
dans la liste, le programme devient en général totalement
inutilisable. Pour les programmes non interactifs, on peut
contourner cela en convertissant le document dans un encodage
d'entrée supporté avant de le soumettre au programme.
Une solution à ce type de problème consiste à implémenter le support nécessaire de l'encodage manquant avec un correctif du programme d'origine ou un remplaçant.
Sévérité : Haute pour des documents non textes, basse pour des documents textes
Certains programmes, nano-2.3.6 ou JOE-3.7 par exemple, supposent que les documents sont toujours dans l'encodage impliqué par la locale actuelle. Si cette supposition peut être valide pour les documents créés par l'utilisateur, ce n'est pas sûr pour ceux externes. Quand cette supposition échoue, les caractères non ASCII s'affichent mal et le document peut devenir illisible.
Si le document externe est entièrement basé sur du texte, il peut être converti dans l'encodage de la locale actuelle en utilisant le programme iconv.
Pour les documents non basés sur du texte, ce n'est pas possible. En fait, la supposition du programme peut être complètement invalide pour les documents où le système d'exploitation Microsoft Windows a de facto réglé les standards. Un exemple de ce problème réside dans les drapeaux ID3v1 des fichiers MP3 (voir la page ID3v1Coding du Wiki BLFS pour plus de détails). Dans ces cas-là, la seule solution est de trouver un programme remplaçant qui n'a pas le problème (comme un qui vous permettra de spécifier l'encodage supposé du document).
Au sein des paquets BLFS, ce problème s'applique à nano-2.3.6, JOE-3.7 et à tous les lecteurs multimédias, sauf Audacious-3.5.2.
Un autre problème dans cette catégorie est quand on ne peut pas lire les documents qu'on vous a envoyés car leur système d'exploitation a été réglé pour gérer différemment les encodages de caractères. Cela peut se produire souvent quand l'autre personne utilise Microsoft Windows, qui ne fournit qu'un encodage de caractère par pays donné. Par exemple, cela pose des problèmes avec les documents TeX encodés en UTF-8 créés sous Linux. Sur Windows, la plupart des applications supposeront que ces documents ont été créés en utilisant l'encodage 8 bits de Windows par défaut.
Dans les cas extrêmes, les problèmes de compatibilité d'encodages de Windows ne peuvent être résolus qu'en lançant des programmes Windows sous Wine.
Sévérité : Critique
Le standard POSIX suppose que l'encodage des noms de fichiers
est l'encodage impliqué par la catégorie de locale LC_CTYPE
actuelle. Ces informations sont bien cachées sur la page qui
spécifie le comportement des programmes Tar et Cpio. Certains programmes ne le font pas
par défaut (ou n'ont tout simplement pas assez d'informations
pour le faire). Il en résulte qu'ils créent des noms de
fichiers qui sont ensuite mal affichés par ls, ou ils refusent
d'accepter des noms de fichiers affichés correctement par
ls. Pour la
bibliothèque GLib-2.42.1, on peut corriger le problème
en réglant la variable d'environnement G_FILENAME_ENCODING
sur la valeur spéciale
"@locale". Les programmes basés sur Glib2 qui ne respectent pas cette
variable d'environnement sont bogués.
Zip-3.0, UnZip-6.0 ont ce problème car ils ont en dur l'encodage accepté du nom de fichier. UnZip contient en dur une table de conversion entre les encodages CP850 (DOS) et ISO-8859-1 (UNIX) et il utilise cette table lorsqu'il extrait des archives créées sous DOS ou Microsoft Windows. Cette supposition ne marche cependant que pour les États-Unis et pas pour tous ceux qui utilisent une locale UTF-8. Les caractères non ASCII seront rognés dans les noms de fichiers extraits.
La règle générale pour éviter ce type de problème est d'éviter d'installer des programmes cassés. Si c'est impossible, vous pouvez utiliser l'outil convmv en ligne de commande pour corriger les noms de fichiers créés par ces programmes cassés, ou rogner volontairement les noms de fichiers existants pour satisfaire les présupposés casses de tels programmes.
Dans d'autres cas, un problème similaire vient de l'importation de noms de fichiers d'un système utilisant une locale différente avec un outil non conscient de la locale (comme OpenSSH-6.7p1). Pour éviter de rogner les caractères non ASCII lors du transfert de fichiers vers un système ayant une locale différente, vous pouvez utiliser une des méthodes suivantes :
Transférer malgré tout, réparer les dommages avec convmv.
Côté expéditeur, créer une archive tar en passant le
paramètre --format=posix
à
tar (cela
sera le réglage par défaut dans une version à venir de
tar).
Envoyer les fichiers en pièces jointes d'un message électronique. Les clients de messagerie spécifient l'encodage des noms de fichiers joints.
Écrire les fichiers sur un disque amovible formaté avec un système de fichiers FAT ou FAT32.
Transférer les fichiers en utilisant Samba.
Transférer les fichiers par FTP en utilisant un serveur (cela signifie actuellement seulement wu-ftpd, qui a une mauvaise histoire question sécurité) et un client conscients RFC2640 (comme lftp).
Les quatre dernières méthodes fonctionnent car les noms de fichiers sont automatiquement convertis de la locale de l'expéditeur en UNICODE et stockés ou envoyés sous cette forme. Ils sont alors convertis de façon transparente d'UNICODE dans l'encodage de la locale du destinataire.
Sévérité : Haute ou critique
De nombreux programmes ont été écrits dans une ère ancienne où les locales multioctets n'étaient pas courantes. De tels programmes supposent que les types de données C "char", qui sont un des octets, peuvent être utilisés pour stocker des caractères uniques. De plus, ils supposent que n'importe quelle séquence de caractères est une chaîne valide et que chaque caractère occupe une seule cellule de caractère. De telles suppositions échouent complètement dans les locales UTF-8. La manifestation visible est que le programme tronque les chaînes de façon prématurée (c'est-à-dire aux octets 80 au lieu des caractères 80). Les programmes basés sur le terminal ne mettent pas bien le curseur à l'écran, ils ne réagissent pas à la touche "Effacement" en effaçant un caractère et ils laissent les mauvais caractères affiché lors du rafraîchissement de l'écran, transformant généralement l'écran en désordre complet.
La correction de ce type de problème est une tâche pénible du point de vue d'un programmeur, comme tout cas de modernisation d'un design défectueux par de nouveaux concepts. Dans ce cas, il faut reconcevoir toutes les structures de données pour s'accomoder du fait qu'un caractère complet peut s'étendre sur un nombre variable de "char"s (ou basculer sur wchar_t et convertir comme nécessaire). Pour chaque appel aux fonctions "strlen" et équivalent, il faut aussi trouver ce que voulait vraiment dire un nombre d'octets, de caractères ou la largeur de la chaîne. Il est parfois plus rapide d'écrire depuis zéro un programme ayant la même fonctionnalité.
Au sein des paquets de BLFS, ce problème s'applique à xine User-Interface-0.99.9 et tous les shells.
Sévérité : basse
LFS s'attend à ce que les pages de manuel soient dans l'encodage spécifique à la langue (en général 8-bit), comme indiqué sur la page Man DB de LFS. Cependant, certains paquets installent des pages de manuel traduites dans l'encodage UTF-8 (comme Shadow, déjà traité), ou des pages de manuel dans des langues non présentes dans la table. Tous les paquets BLFS n'ont pas fait l'objet d'une évaluation de leur respect des exigences de LFS (la grande majorité a été vérifiée et des corrections ont été mises dans le livre pour les paquets connus pour installer des pages de manuel non conformes). Si vous trouvez une page de manuel installée par un paquet BLFS qui est dans un mauvais encodage, merci de la supprimer ou de la convertir selon vos besoins et de le signaler à l'équipe BLFS comme un bogue.
Vous pouvez facilement vérifier le respect par toutes les pages de man de votre système en copiant le petit script shell suivant à un endroit accessible,
#!/bin/sh
# Begin checkman.sh
# Usage: find /usr/share/man -type f | xargs checkman.sh
for a in "$@"
do
# echo "Checking $a..."
# Pure-ASCII manual page (possibly except comments) is OK
grep -v '.\\"' "$a" | iconv -f US-ASCII -t US-ASCII >/dev/null 2>&1 \
&& continue
# Non-UTF-8 manual page is OK
iconv -f UTF-8 -t UTF-8 "$a" >/dev/null 2>&1 || continue
# Found a UTF-8 manual page, bad.
echo "UTF-8 manual page: $a" >&2
done
# End checkman.sh
puis en lançant la commande suivante (modifiez la commande
ci-dessous si le script checkman.sh n'est pas dans
votre variable d'environnement PATH
) :
find /usr/share/man -type f | xargs checkman.sh
Remarquez que si vous avez des pages de manuel installées
ailleurs que dans /usr/share/man
(comme dans /usr/local/share/man
), vous devez modifier
la commande ci-dessus pour inclure cet emplacement
supplémentaire.
Last updated on : 2012-12-19 20:57:20 +010
Les paquets installés dans ce livre ne sont que le sommet de l'iceberg. Nous espérons que l'expérience que vous avez acquise avec le livre LFS et le livre BLFS vous donnera les bases nécessaires pour compiler, installer et configurer des paquets non inclus dans ce livre.
Quand vous voulez installer un paquet à un endroit différent de
/
, ou /usr
, vous installez à l'extérieur des
paramètres d'environnement par défaut de la plupart des
machines. Les exemples suivants devraient vous aider à
déterminer la façon de remédier à cette situation. Les exemples
couvrent toute la palette des paramètres qui peuvent nécessiter
une mise à jour, mais ils ne sont pas tous nécessaires dans
toutes les situations.
Étendez PATH
pour inclure
$PREFIX/bin
.
Étendez PATH
de root
pour inclure $PREFIX/sbin
.
Ajoutez $PREFIX/lib
à
/etc/ld.so.conf
ou étendez
LD_LIBRARY_PATH
pour
l'inclure. Avant d'utiliser la toute dernière option,
regardez http://xahlee.org/UnixResource_dir/_/ldpath.html.
Si vous modifiez /etc/ld.so.conf
, souvenez-vous de
mettre à jour /etc/ld.so.cache
en exécutant
ldconfig en
tant qu'utilisateur root
.
Ajoutez $PREFIX/man
à
/etc/man_db.conf
ou étendez
MANPATH
.
Ajoutez $PREFIX/info
à
INFOPATH
.
Ajoutez $PREFIX/lib/pkgconfig
à PKG_CONFIG_PATH
. Certains paquets
installent maintenant des fichiers .pc
dans $PREFIX/share/pkgconfig
, donc il se
peut que vous deviez inclure aussi ce répertoire.
Ajoutez $PREFIX/include
à
CPPFLAGS
lors de la
compilation de paquets qui dépendent du paquet que vous
avez installé.
Ajoutez $PREFIX/lib
à
LDFLAGS
lors de la compilation
de paquets qui dépendent d'une bibliothèque installée par
le paquet.
Si vous cherchez un paquet qui n'est pas dans le livre, ce qui suit présente les différentes manières de chercher le paquet désiré.
Si vous connaissez le nom du paquet, cherchez-le sur
Freecode sur http://freecode.com/. De même,
cherchez sur Google sur http://google.com/. Une
recherche de rpm
sur
http://rpmfind.net/ ou de
deb
sur http://www.debian.org/distrib/packages#search_packages
peut parfois aussi mener à un lien vers le paquet.
Si vous connaissez le nom de l'exécutable mais pas le paquet auquel appartient l'exécutable, essayez d'abord une recherche Google avec le nom de l'exécutable. S'il y a trop de résultats, essayez de chercher l'exécutable donné dans le dépôt de Debian sur http://www.debian.org/distrib/packages#search_contents.
Certaines astuces générales sur la gestion des nouveaux paquets :
Beaucoup de paquets récents suivent le processus ./configure && make && make install. Vous pouvez obtenir de l'aide sur les options acceptées par configure via command ./configure --help.
La plupart des paquets contiennent de la documentation sur la compilation et l'installation du paquet. Certains documents sont excellents, d'autres ne le sont pas. Regardez la page d'accueil du paquet pour des astuces supplémentaires et mises à jour sur la compilation et la configuration du paquet.
Si vous avez un problème en compilant le paquet, essayez de chercher dans les archives LFS sur http://www.linuxfromscratch.org/search.html l'erreur qui échoue, essayez de chercher sur Google. Souvent une distribution a déjà corrigé le problème (beaucoup d'entre elles utilisent les versions de développement des paquets, donc elles voient les changements plus tôt que nous qui utilisons en général les versions stables publiées). Mais faites attention - tous les constructeurs ont tendance à utiliser des correctifs qui ne sont plus nécessaires et à faire des corrections qui ne sont requises que du fait de leurs choix propres quant à la manière de construire un paquet. Il se peut qu'il vous faille des recherches approfondies pour trouver la correction pour la version du paquet que vous essayez d'utiliser, voire même pour trouver le paquet (les noms sont parfois différents de ceux auxquels on s'attend, comme ghostscript qui a parfois un préfixe ou un suffixe dans son nom), mais les remarques suivantes peuvent vous aider :
Arch http://www.archlinux.org/packages/
- entrez le nom du paquet dans le champ 'Keywords'
(mots-clés), sélectionnez le nom du paquet,
sélectionnez un des champs 'SVN Entries' (entrées
SVN), puis sélectionnez PKGBUILD
pour voir comment elles
construisent ce paquet, ou regardez les correctifs.
Debian ftp://ftp.uk.debian.org/debian/pool
(utilisez la version de votre pays s'il y en a une)
- les sources seront dans des archives .tar.gz
(soit le source .orig
en amont, soit un dfsg
contenant les parties
conformes à la charte du logiciel libre de Debian,
accompagné par les fichiers .diff.gz ou .tar.gz
versionnés. Ces suppléments montrent souvent la
manière dont le paquet est construit et ils peuvent
contenir des correctifs. Dans les versions
.diff.gz, tous les correctifs créent des fichiers
dans debian/patches
.
Fedora http://pkgs.fedoraproject.org/cgit/ - ce site reste occasionnellement surchargé mais c'est une façon facile de lire les fichiers .spec et les correctifs. Si vous connaissez le nom d'un paquet (par exemple mesa.git) vous pouvez le rajouter à l'URL pour l'obtenir. Sinon, utilisez la boite de recherche. S'il n'est pas disponible, essayez de chercher un miroir local de ftp.fedora.com (le site primaire est en général indisponible quand le cgit de fedora ne répond pas) et téléchargez un rpm des sources pour voir ce qu'elles font.
Gentoo - les mirroirs des ebuilds et des correctifs
on l'air bien cachés et ils changent fréquemment.
En outre, si vous avez trouvé un miroir, vous devez
connaître le répertoire où a été rangé
l'application. Vous pouvez trouver les ebuilds
eux-mêmes sur http://packages.gentoo.org/
- utilisez le champ de recherche. S'il y a un
correctif, un mirroir l'aura, dans le répertoire
files/
. Selon votre
navigateur ou le miroir, il se peut que vous deviez
télécharger le ebuild pour pouvoir le lire. Voyez
l'ebuild comme une sorte de combinaison pseudo-code
/ shell - cherchez en particulier les commandes
sed
et les correctifs, ou hasardez-vous à deviner ce
que signifient des fonctions comme dodoc.
openSUSE http://download.opensuse.org/factory/repo/src-oss/suse/src/ - les sources semblent seulement être disponible dans les sources rpms.
Slackware - le navigateur de paquets officiel est
actuellement cassé. Le site sur http://slackbuilds.org/
contient les versions actuelle et précédente de
leur dépôt non officiel, avec des liens vers les
pages d'accueil, les téléchargements et des
fichiers individuels, en particulier les fichiers
.SlackBuild
.
Ubuntu ftp://ftp.ubuntu.com/ubuntu/pool/ - voir les notes debian ci-dessus.
Si tout échoue, essayez la liste de diffusion blfs-support.
Si vous avez trouvé un paquet qui n'est disponible qu'au
format .deb
ou .rpm
, deux petits scripts rpm2targz et deb2targz sont disponibles
sur http://downloads.linuxfromscratch.org/deb2targz.tar.bz2
et http://downloads.linuxfromscratch.org/rpm2targz.tar.bz2
pour convertir les archives dans un simple format
tar.gz
.
Il se peut que vous trouviez utile aussi le script rpm2cpio. La version perl des archives du noyau linux est sur http://lkml.indiana.edu/hypermail/linux/kernel/0210.2/att-0093/01-rpm2cpio fonctionne pour la plupart des sources rpm. Le script rpm2targz utilisera un script rpm2cpio ou un binaire s'il y en a un dans votre path. Remarquez que rpm2cpio déballera un rpm source dans le répertoire actuel, ce qui donne une archive tar, un fichier spec, et peut-être des correctifs ou d'autres fichiers.
Last updated on : 2012-07-09 20:31:25 +020
Le but de LFS est de fournir un système de base sur lequel vous pouvez construire. Il y a plusieurs choses liées au rangement du système sur lesquelles de nombreux utilisateurs se posent des questions une fois qu'ils ont fait le système de base. Nous espérons traiter ces questions dans ce chapitre.
La plupart des gens issus d'environnements de type non Unix et
découvrant Linux trouvent un peu étrange le concept des fichiers
de configuration en texte brut. Sur Linux, toute la configuration
se fait en manipulant des fichiers textes. On peut trouver la
majorité de ces fichiers dans la hiérarchie /etc
. Des programmes graphiques de
configuration sont souvent disponibles pour différents
sous-systèmes, mais la plupart d'entre eux sont simplement des
interfaces conviviales avec les processus d'édition d'un fichier
texte. L'avantage de la configuration en texte brut est que vous
pouvez éditer les paramètres en utilisant votre éditeur de texte
favori, qu'il s'agisse de vim, emacs, ou d'un autre éditeur.
La première tâche consiste à créer un disque d'amorçage de secours au chapitre Créer un périphérique de démarrage personnalisé car c'est le besoin le plus critique. Puis, le système est configuré pour faciliter l'ajout de nouveaux utilisateurs car cela peut influencer votre choix dans les deux domaines consécutifs—Les fichiers de démarrage du shell Bash et Les fichiers /etc/vimrc et ~/.vimrc.
Les autres sujets, Personnaliser votre écran de connexion avec /etc/issue, Génération de nombres aléatoires, Autofs-5.1.0 et Configuration pour les systèmes de fichier réseau sont ensuite évoqués, dans cet ordre. Ils n'ont pas vraiment de rapport avec les autres sujets de ce chapitre.
Cette section concerne spécifiquement la création d'un périphérique de secours. Comme le nom secours l'indique, le système hôte a un problème, souvent des informations de partition perdues ou des systèmes de fichiers corrompus, ce qui l'empêche de démarrer et/ou de fonctionner normalement. Pour cette raison, vous ne devez pas dépendre des ressources de l'hôte que vous "sauvez". Présumer qu'une partition ou un disque dur donné sera disponible est une présomption risquée.
Dans un système moderne, de nombreux périphériques peuvent être utilisés comme périphériques de secours : disquette, cdrom, clé usb ou même une carte réseau. Celui que vous utiliserez dépend de votre matériel et de votre BIOS. Autrefois, un périphérique de secours était synonyme d'une disquette. Aujourd'hui, de nombreux systèmes n'ont même pas de lecteur de disquette.
La construction d'un périphérique complet est un vrai défi. En quelque sorte, cela revient à construire un système LFS entier. En outre, ce serait répéter des informations déjà disponibles. Aussi les procédures pour créer une image de périphérique de secours ne sont pas présentées ici.
Les logiciels des systèmes actuels ont grossi. Linux 2.6 ne supporte plus le démarrage direct à partir d'une disquette. Malgré cela, il existe des solutions disponibles en utilisant d'anciennes versions de Linux. Une des meilleures est le disque Tom's Root/Boot disponible sur http://www.toms.net/rb/. Cela fournira un système Linux minimal sur une seule disquette et cela offre la possibilité de personnaliser le contenu de votre disquette si nécessaire.
Vous pouvez utiliser plusieurs sources pour un CD-ROM de secours. N'importe quel CD-ROMs ou DVDs d'installation d'une distribution commerciale fonctionnera. Il en est ainsi de RedHat, Mandrake, et SuSE. Un choix très populaire est Knoppix.
La communauté LFS a aussi développé son propre LiveCD, disponible sur http://www.linuxfromscratch.org/livecd/. Ce LiveCD n'est plus capable de construire tout un système LFS/BLFS, mais il reste un bon CD-ROM de secours. Si vous téléchargez l'image ISO, utilisez xorriso pour graver l'image sur un CD-ROM.
Les instructions de construction de GRUB2 visant à créer un CD-ROM personnalisé de secours sont également disponibles sur LFS Chapitre 8.
Une clé USB, appelée parfois lecteur Thumb, est reconnue par Linux comme un périphérique SCSI. L'utilisation de ce genre de périphérique comme périphérique de secours présente l'avantage d'être en général assez gros pour contenir davantage qu'une image de démarrage minimale. Vous pouvez sauvegarder des données critiques sur un lecteur ainsi que l'utiliser pour diagnostiquer et récupérer un système endommagé. Le démarrage d'un tel périphérique exige un support par le BIOS, mais la construction du système consiste à formater le lecteur, ajouter GRUB ainsi que le noyau Linux et les fichiers de support.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/CreatingaCustomBootDevice
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Ensembles, la commande /usr/sbin/useradd et le
répertoire /etc/skel
(on peut les
paramétrer et les utiliser facilement) offrent un moyen de
garantir que les nouveaux utilisateurs soient ajoutés à votre
système LFS avec les mêmes réglages de base d'éléments tels que
le PATH
, le traitement du clavier et
d'autres variables d'environnement. L'utilisation de ces deux
possibilités facilite la garantie de cet état initial pour tous
les nouveaux utilisateurs ajoutés au système.
Le répertoire /etc/skel
contient
des copies de divers fichiers d'initialisation ou autres qui
peuvent être copiés dans le répertoire home du nouvel
utilisateur lorsque la commande /usr/sbin/useradd ajoute le
nouvel utilisateur.
Le programme useradd utilise un ensemble
de valeurs par défaut contenues dans /etc/default/useradd
. Ce fichier est créé
dans une installation de LFS de base par le paquet Shadow. S'il a été supprimé ou renommé, le
programme useradd
utilise des paramètres par défaut internes. Vous pouvez voir
les valeurs par défaut en lançant /usr/sbin/useradd -D.
Pour modifier ces valeurs, modifiez simplement le fichier
/etc/default/useradd
en tant
qu'utilisateur root
. Une
alternative à la modification directe du fichier consiste à
exécuter useradd
en tant qu'utilisateur root
en
fournissant les modifications désirées sur la ligne de
commande. Vous pouvez trouver des informations sur la façon de
faire cela dans la page de man de useradd.
Pour commencer, créez un répertoire /etc/skel
et assurez-vous qu'il n'est
modifiable en écriture que par l'administrateur du système, en
général root
. La création de ce
répertoire en tant que root
est
la meilleure manière de faire.
Les droits des fichiers issus de cette partie du livre que vous
mettez dans /etc/skel
devraient
n'être modifiables que par leur propriétaire. En outre,
puisqu'il n'existe pas de règle sur le genre d'informations
sensibles qu'un utilisateur peut éventuellement mettre dans
leur copie de ces fichiers, vous devriez les rendre
inaccessibles en lecture par « group » et « other » (autres).
Vous pouvez également mettre d'autres fichiers dans
/etc/skel
et il se peut que
différents droits leur soient nécessaires.
Décidez des fichiers d'initialisation qui devraient être
fournis dans chaque (ou la plupart) répertoire home d'un nouvel
utilisateur. Les décisions que vous prendrez changeront ce que
vous ferez dans les deux prochaines sections, Les fichiers de
démarrage du shell Bash et Les fichiers /etc/vimrc
et ~/.vimrc. Certains ou tous ces fichiers seront utiles à
root
, aux utilisateurs qui
existent déjà et aux nouveaux utilisateurs.
Les fichiers de ces sections que vous pourriez vouloir mettre
dans /etc/skel
comprennent
.inputrc
, .bash_profile
, .bashrc
, .bash_logout
, .dircolors
et .vimrc
. Si vous n'êtes pas sûr qu'ils
devraient être mis là, poursuivez simplement les sections
suivantes, lisez chaque section et les références fournies,
puis prenez votre décision.
Vous lancerez un jeu de commandes légèrement différent pour les
fichiers qui se trouvent dans /etc/skel
. Chaque section vous le rappellera.
En bref, les commandes du livre ont été écrites pour des
fichiers non ajoutés à
/etc/skel
et elles envoient
simplement les résultats dans le répertoire home de
l'utilisateur. Si le fichier va être dans /etc/skel
, modifiez la/les commande(s) du
livre pour y envoyer la sortie au lieu de juste copier le
fichier de /etc/skel
vers les
répertoires adéquats, comme /etc
,
~
ou le répertoire home d'un
autre utilisateur déjà sur le système.
Lors de l'ajout d'un nouvel utilisateur avec useradd, utilisez le
paramètre -m
qui dit à useradd de créer le
répertoire home de l'utilisateur et copiez les fichiers de
/etc/skel
(il peut être écrasé)
vers le répertoire home du nouvel utilisateur. Par exemple
(effectuez ceci en tant qu'utilisateur root)
:
useradd -m <newuser>
Last updated on : 2007-10-16 15:49:09 +020
Au cours de BLFS, de nombreux paquets installent des programmes
qui se lancent comme des démons ou de telle sorte qu'ils
devraient se voir affectés un nom d'utilisateur ou de groupe.
Ces noms sont utilisés en général pour placer l'ID d'un
utilisateur (uid) ou d'un groupe (gid) pour que le système les
utilise. Les numéros d'uid ou de gid spécifiques utilisés par
ces applications ne sont pas significatifs. Bien sûr,
l'exception est que root
a un
uid et un gid de 0 (zéro) qui est en effet spécial. Les valeurs
de l'uid sont stockées dans /etc/passwd
et les valeurs de gid se trouvent
dans /etc/group
.
D'habitude, les systèmes Unix classent les utilisateurs et les
groupes en deux catégories : les utilisateurs système et
les utilisateurs réguliers. On attribue aux utilisateurs et aux
groupes systèmes de faibles numéros et aux utilisateurs et aux
groupes réguliers des valeurs numériques supérieures à toutes
les valeurs systèmes. On trouve le point de démarcation de ces
deux nombres dans deux paramètres du fichier de configuration
/etc/login.defs
. La valeur
UID_MIN par défaut est de 1000 et la valeur GID_MIN par défaut
est de 1000. Si on ne spécifie pas de valeur spécifique d'uid
et de gid lors de la création d'un utilisateur avec
useradd ou d'un
groupe avec groupadd, les valeurs
affectées seront toujours supérieures à ces valeurs de
démarcation.
En outre, la Linux Standard Base (base du standard Linux) recommande que les valeurs de l'uid et du gid systèmes soient inférieures à 100.
Voici ci-dessous un tableau des valeurs d'uid/gid suggérées utilisées dans BLFS, au-delà de ceux définis dans une installation LFS de base. Elles peuvent être modifiées comme vous le désirez mais utiliser cette table fournit un jeu de valeurs cohérentes.
Tableau 3.1. Valeurs d'UID/GID suggérées
Nom | uid | gid |
---|---|---|
bin | 1 | |
lp | 9 | |
adm | 16 | |
atd | 17 | 17 |
messagebus | 18 | 18 |
lpadmin | 19 | |
named | 20 | 20 |
gdm | 21 | 21 |
fcron | 22 | 22 |
systemd-journal | 23 | |
apache | 25 | 25 |
smmsp | 26 | 26 |
polkitd | 27 | 27 |
rpc | 28 | 28 |
exim | 31 | 31 |
postfix | 32 | 32 |
postdrop | 33 | |
sendmail | 34 | |
34 | ||
vmailman | 35 | 35 |
news | 36 | 36 |
kdm | 37 | 37 |
mysql | 40 | 40 |
postgres | 41 | 41 |
dovecot | 42 | 42 |
dovenull | 43 | 43 |
ftp | 45 | 45 |
proftpd | 46 | 46 |
vsftpd | 47 | 47 |
rsyncd | 48 | 48 |
sshd | 50 | 50 |
stunnel | 51 | 51 |
svn | 56 | 56 |
svntest | 57 | |
games | 60 | 60 |
kvm | 61 | |
wireshark | 62 | |
lightdm | 63 | 63 |
sddm | 64 | 64 |
scanner | 70 | |
colord | 71 | 71 |
systemd-bus-proxy | 72 | 72 |
systemd-journal-gateway | 73 | 73 |
systemd-journal-remote | 74 | 74 |
systemd-journal-upload | 75 | 75 |
systemd-network | 76 | 76 |
systemd-resolve | 77 | 77 |
systemd-timesync | 78 | 78 |
ldap | 83 | 83 |
avahi | 84 | 84 |
avahi-autoipd | 85 | 85 |
netdev | 86 | |
ntp | 87 | 87 |
unbound | 88 | 88 |
plugdev | 90 | |
anonymous | 98 | |
nobody | 99 | |
nogroup | 99 |
La valeur 65534 est absente. Cette valeur est d'habitude
affectée à l'utilisateur nobody
et au groupe nogroup
et elle
n'est pas utile.
Last updated on : 2013-03-16 13:11:58 +010
Bien que la plupart des périphériques dont ont besoin les
paquets de BLFS ont été correctement paramétrés par
udev en utilisant les règles
par défaut installées par LFS dans /etc/udev/rules.d
, il y a des cas où il faut
modifier ou ajouter des règles.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/aboutdevices
S'il y a plusieurs cartes sons sur un système, la carte son «
default » (par défaut) devient aléatoire. La méthode pour
établir un ordre dans les cartes sons dépend du fait que les
pilotes soient en modules ou pas. Si les pilotes de la carte
son sont compilés dans le noyau, leur contrôle s'effectue via
des paramètres de la ligne de commande du noyau. dans
/boot/grub/grub.cfg
. Par
exemple, si un système contient une carte FM801 et une carte
PCI SoundBlaster, ce qui suit peut être envoyé sur la ligne
de commande :
snd-fm801.index=0 snd-ens1371.index=1
Si les pilotes de la carte son sont construits en modules, on
peut établir l'ordre dans le fichier /etc/modprobe.conf
avec :
options snd-fm801 index=0
options snd-ens1371 index=1
Les périphériques USB ont habituellement deux types de noeuds de périphériques associés avec eux.
Le premier type est créé par le driver du périphérique spécifique (usb_storage/sd_mod ou usblp) dans le noyau. Par exemple, un périphérique de stockage USB peut être /dev/sdb, et une imprimpante USB peut être /dev/usb/lp0. Ces noeuds de périphériques existe seulement quand le driver du périphérique spécifique est chargé.
Le second type de noeud de périphériques (/dev/bus/usb/BBB/DDD, ou BBB est le numéro du bus et DDD est le numéro du périphérique) est créé chaque fois que le périphérique n'a pas de driver dans le noyau. En utilisant ces noeuds de périphérique USB "direct", une application peut échanger arbitrairement des paquets USB avec le périphérique, c'est à dire, court-circuiter le possible driver du noyau existant.
Accéder aux noeuds périphérique USB directement est nécessaire quand un programme de l'espace utilisateur est considéré comme un driver de périphérique. Sinon, pour le programme qui ouvre avec succès le périphérique les permissions sont initialisées correctement. Par défaut, pour des considérations de sécurité, tous les périphériques USB direct sont propriétés de l'utilisateur root et du groupe usb, et ont la permission 0664 (l'accès en lecture est nécessaire, e.g., pour que lsusb puisse travailler et pour les programmes d'accès aux concentrateurs USB). Des paquets (comme SANE et libgphoto2) contenant un driver de périphérique USR dans l'espace utilisateur utilisent aussi les règles udev pour changer les permissions des périphériques USB contrôlés. Ce qui fait que, les règles installées par SANE changent les permissions pour les scanners reconnus, mais pas pour les imprimantes. Si le mainteneur du paquet oublie d'écrire une règle pour votre périphérique, signaler le bug à BLFS (si le paquet est ici) et upstream, et vous aurez besoin d'écrire votre propre règle.
Il y a une situation ou un contrôle d'accès fin avec des règles udev prégénérées ne marche pas. Nommément, les émulateurs de PC comme KVM, QEMU et VirtualBox utilisent des noeuds de périphérique USB direct pour les périphériques USB arbitrairement présent dans le système d'exploitation invité (note> : des correctifs sont nécessaires pour que cela fonctionne dans les point de montage obsolete /proc/bus/usb décris précédemment). Naturellement, les mainteneurs de ces paquets ne peuvent pas connaître quels périphériques USB seront connectés sur le système d'exploitation invité. Vous pouvez bien écrire des règles udev séparés pour tous les périphériques USB nécessaire vous même, ou utiliser les règles par défaut du groupe "usb", les membres de celui-ci peuvent envoyé des commandes arbitraires pour tous périphériques USB.
Avant Linux-2.6.15, l'accès direct aux périphériques USB n'était pas géré avec les noeuds de périphériques /dev/bus/usb/BBB/DDD, mais avec des pseudo-fichiers /proc/bus/usb/BBB/DDD. Quelques applications (e.g., VMware Workstation) semblent utiliser seulement cette technique obsolète et ne peuvent pas utiliser les nouveaux noeuds de périphériques. Pour qu'elles puissent fonctionner, utiliser le groupe "usb", mais rappelez vous que les membres ont un accès complet à tous les périphériques USB. Pour créer l'entrée fstab pour le fichier système obsolète usbfs:
usbfs /proc/bus/usb usbfs devgid=14,devmode=0660 0 0
Ajouter les utilisateurs dans le groupe "usb" est par nature insécurisé, car cela court-circuite les restrictions d'accès imposés par les drivers spécifiques des noeuds de périphérique USB. Par nature, ils peuvent lire des données sensibles des disques USB sans être dans le group "disque". Evitez d'ajouter des utilisateurs dans ce groupe si vous le pouvez.
Le peaufinement des attributs de périphériques tels que le
nom du groupe et les droits est possible en créant des règles
udev supplémentaires,
correspondant à quelque chose de ce genre. On peut trouver le
fabricant et le produit en cherchant les entrées du
répertoire /sys/devices
ou en
utilisant udevinfo après avoir
attaché le périphérique. Voir la documentation dans le
répertoire d'udev actuel
/usr/share/doc
pour des
détails.
SUBSYSTEM=="usb_device", SYSFS{idVendor}=="05d8", SYSFS{idProduct}=="4002", \
GROUP:="scanner", MODE:="0660"
On n'utilise la ligne ci-dessus qu'à des fins descriptives. Les règles d'analyse d'udev sont mises en place lors de l'installation de SANE-1.0.24.
Dans certains cas, il est utile de désactiver udev complètement et de créer des périphériques statiques. Les serveurs sont un exemple de cette situation. Est-ce qu'un serveur a besoin de la possibilité de gérer des périphériques dynamiques ? Seul l'administrateur système peut répondre à cette question, mais dans de nombreux cas, la réponse est non.
Si vous ne désirez pas de périphériques dynamiques, vous
devez créer des périphériques statiques sur le système. Dans
la configuration par défaut, le script de démarrage
/etc/rc.d/rcS.d/S10udev
monte
une partition tmpfs
dans le
répertoire /dev
. Ce problème
peut être résolu en montant temporairement la partition
racine :
Si vous ne suivez pas rigoureusement les instructions ci-dessous, votre système pourrait ne plus pouvoir démarrer.
mount --bind / /mnt cp -a /dev/* /mnt/dev rm /etc/rc.d/rcS.d/{S10udev,S50udev_retry} umount /mnt
Dès lors, le système utilisera des périphériques statiques lors du prochain redémarrage. Créez les périphériques supplémentaires désirés en utilisant mknod.
Si vous voulez restaurer les périphériques dynamiques,
recréez les liens symboliques /etc/rc.d/rcS.d/{S10udev,S50udev_retry}
et
redémarrez de nouveau. Il n'est pas nécessaire de supprimer
les périphériques statiques (console et null sont toujours
nécessaires) car ils sont recouverts par la partition
tmpfs
. L'utilisation du
disque par des périphériques est négligeable (environ 20–30
octets par entrée.)
Last updated on : 2012-03-13 19:19:34 +010
Le programme de shell /bin/bash
(auquel on se référera ci-après sous le nom de « shell »
utilise un ensemble de fichiers de démarrage pour aider à la
création d'un environnement. Chaque fichier a une utilisation
spécifique et il peut concerner différemment la connexion et
les environnements interactifs. Les fichiers du répertoire
/etc
fournissent en général les
paramètres globaux. Si un fichier équivalent existe dans votre
répertoire home, il peut remplacer les paramètres globaux.
Un shell de connexion interactif démarre après une connexion
réussie, en utilisant /bin/login
,
en lisant le fichier /etc/passwd
.
Cet appel du shell lit normalement /etc/profile
et son équivalent privé
~/.bash_profile
au démarrage.
Un shell de non connexion interactif démarre normalement en
ligne de commande en utilisant un programme de shell (comme
[prompt]$
/bin/bash) ou par la commande
/bin/su. Un shell
de non-connexion interactif démarre également avec un programme
de terminal tel que xterm ou konsole depuis un
environnement graphique. Ce type d'appel de shell copie
normalement l'environnement parent puis lit le fichier
~/.bashrc
de l'utilisateur pour
des instructions de configuration de démarrage supplémentaires.
Un shell non interactif est présent en général lorsqu'un script shell s'exécute. Il n'est pas interactif car il exécute un script et n'attend pas d'entrée de l'utilisateur entre les commandes. Pour ces appels de shell, seul l'environnement hérité du shell parent est utilisé.
Le fichier ~/.bash_logout
n'est
pas utilisé pour un appel du shell. Il est lu et exécuté
lorsqu'un utilisateur quitte un shell de connexion interactif.
De nombreuses distributions utilisent /etc/bashrc
pour l'initialisation pour tout
le système de shells de non connexion. Ce fichier est en
général appelé depuis le fichier ~/.bashrc
de l'utilisateur et il n'est pas
construit directement dans bash lui-même. On suit cette
convention dans cette section.
Pour plus d'informations, voir info bash -- Nodes: Bash Startup Files et Interactive Shells.
La plupart des instructions ci-dessous sont utilisées pour
créer des fichiers qui se trouvent dans la structure de
répertoires /etc
, ce qui
implique que vous exécutiez les commandes en tant
qu'utilisateur root
. Si vous
optez plutôt pour la création des fichiers dans le répertoire
home de l'utilisateur, vous devriez lancer les commandes en
tant qu'utilisateur non privilégié.
Voici un /etc/profile
de base.
Ce fichier démarre en paramétrant des fonctions d'aide et
quelques paramètres de base. Il spécifie des paramètres
d'historique de bash et, pour des raisons
de sécurité, il désactive la conservation d'un fichier
d'historique permanent pour l'utilisateur root
. Il paramètre aussi une invite
utilisateur par défaut. Il appelle ensuite de petits scripts
à finalité unique dans le répertoire /etc/profile.d
pour fournir la plupart de
l'initialisation.
Pour plus d'informations sur les séquences d'échappement que
vous pouvez utiliser pour votre invite (à savoir la variable
d'environnement PS1
) voir
info bash --
Node: Printing a
Prompt.
cat > /etc/profile << "EOF"
# Begin /etc/profile
# Written for Beyond Linux From Scratch
# by James Robertson <jameswrobertson@earthlink.net>
# modifications by Dagmar d'Surreal <rivyqntzne@pbzpnfg.arg>
# System wide environment variables and startup programs.
# System wide aliases and functions should go in /etc/bashrc. Personal
# environment variables and startup programs should go into
# ~/.bash_profile. Personal aliases and functions should go into
# ~/.bashrc.
# Functions to help us manage paths. Second argument is the name of the
# path variable to be modified (default: PATH)
pathremove () {
local IFS=':'
local NEWPATH
local DIR
local PATHVARIABLE=${2:-PATH}
for DIR in ${!PATHVARIABLE} ; do
if [ "$DIR" != "$1" ] ; then
NEWPATH=${NEWPATH:+$NEWPATH:}$DIR
fi
done
export $PATHVARIABLE="$NEWPATH"
}
pathprepend () {
pathremove $1 $2
local PATHVARIABLE=${2:-PATH}
export $PATHVARIABLE="$1${!PATHVARIABLE:+:${!PATHVARIABLE}}"
}
pathappend () {
pathremove $1 $2
local PATHVARIABLE=${2:-PATH}
export $PATHVARIABLE="${!PATHVARIABLE:+${!PATHVARIABLE}:}$1"
}
export -f pathremove pathprepend pathappend
# Set the initial path
export PATH=/bin:/usr/bin
if [ $EUID -eq 0 ] ; then
pathappend /sbin:/usr/sbin
unset HISTFILE
fi
# Setup some environment variables.
export HISTSIZE=1000
export HISTIGNORE="&:[bf]g:exit"
# Set some defaults for graphical systems
export XDG_DATA_DIRS=/usr/share/
export XDG_CONFIG_DIRS=/etc/xdg/
# Setup a red prompt for root and a green one for users.
NORMAL="\[\e[0m\]"
RED="\[\e[1;31m\]"
GREEN="\[\e[1;32m\]"
if [[ $EUID == 0 ]] ; then
PS1="$RED\u [ $NORMAL\w$RED ]# $NORMAL"
else
PS1="$GREEN\u [ $NORMAL\w$GREEN ]\$ $NORMAL"
fi
for script in /etc/profile.d/*.sh ; do
if [ -r $script ] ; then
. $script
fi
done
unset script RED GREEN NORMAL
# End /etc/profile
EOF
Maintenant créez le répertoire /etc/profile.d
, où sont mis les scripts
d'initialisation individuels :
install --directory --mode=0755 --owner=root --group=root /etc/profile.d
Ce script utilise les fichiers ~/.dircolors
et /etc/dircolors
pour contrôler les
couleurs des noms de fichiers dans la liste du contenu d'un
répertoire. Ils contrôlent la sortie en couleurs d'éléments
tels que ls
--color. L'explication de la façon
d'initialiser ces fichiers se trouvent à la fin de cette
section.
cat > /etc/profile.d/dircolors.sh << "EOF"
# Setup for /bin/ls and /bin/grep to support color, the alias is in /etc/bashrc.
if [ -f "/etc/dircolors" ] ; then
eval $(dircolors -b /etc/dircolors)
fi
if [ -f "$HOME/.dircolors" ] ; then
eval $(dircolors -b $HOME/.dircolors)
fi
alias ls='ls --color=auto'
alias grep='grep --color=auto'
EOF
Ce script ajoute plusieurs chemins utiles aux variables
d'environnement PATH
et peut
être utilisé pour personaliser les autres variables
d'environnement relatives à PATH (par exemple
LD_LIBRARY_PATH, etc) qui peuvent être utilises pour tous
les utilisateurs.
cat > /etc/profile.d/extrapaths.sh << "EOF"
if [ -d /usr/local/lib/pkgconfig ] ; then
pathappend /usr/local/lib/pkgconfig PKG_CONFIG_PATH
fi
if [ -d /usr/local/bin ]; then
pathprepend /usr/local/bin
fi
if [ -d /usr/local/sbin -a $EUID -eq 0 ]; then
pathprepend /usr/local/sbin
fi
# Set some defaults before other applications add to these paths.
pathappend /usr/share/man MANPATH
pathappend /usr/share/info INFOPATH
EOF
Ce script règle le fichier de configuration inputrc
par défaut. Si l'utilisateur n'a
pas de paramètres individuels, il utilise le fichier
global.
cat > /etc/profile.d/readline.sh << "EOF"
# Setup the INPUTRC environment variable.
if [ -z "$INPUTRC" -a ! -f "$HOME/.inputrc" ] ; then
INPUTRC=/etc/inputrc
fi
export INPUTRC
EOF
Le paramétrage de la valeur umask est important pour la sécurité. Ici, les droits d'écriture par défaut du groupe sont désactivés pour les utilisateurs systèmes et quand le nom d'utilisateur et le nom du groupe ne sont pas les mêmes.
cat > /etc/profile.d/umask.sh << "EOF"
# By default, the umask should be set.
if [ "$(id -gn)" = "$(id -un)" -a $EUID -gt 99 ] ; then
umask 002
else
umask 022
fi
EOF
Ce script règle une variable d'environnement nécessaire au support des langues natives. Vous pouvez trouver un point complet sur la détermination de cette variable sur la page Fichiers de démarrage du shell bash de LFS page.
cat > /etc/profile.d/i18n.sh << "EOF"
# Set up i18n variables
export LANG=<ll>
_<CC>
.<charmap>
<@modifiers>
EOF
Voici un /etc/bashrc
de base.
Les commentaires dans ce fichier devraient vous expliquer
tout ce dont vous avez besoin.
cat > /etc/bashrc << "EOF"
# Begin /etc/bashrc
# Written for Beyond Linux From Scratch
# by James Robertson <jameswrobertson@earthlink.net>
# updated by Bruce Dubbs <bdubbs@linuxfromscratch.org>
# System wide aliases and functions.
# System wide environment variables and startup programs should go into
# /etc/profile. Personal environment variables and startup programs
# should go into ~/.bash_profile. Personal aliases and functions should
# go into ~/.bashrc
# Provides colored /bin/ls and /bin/grep commands. Used in conjunction
# with code in /etc/profile.
alias ls='ls --color=auto'
alias grep='grep --color=auto'
# Provides prompt for non-login shells, specifically shells started
# in the X environment. [Review the LFS archive thread titled
# PS1 Environment Variable for a great case study behind this script
# addendum.]
NORMAL="\[\e[0m\]"
RED="\[\e[1;31m\]"
GREEN="\[\e[1;32m\]"
if [[ $EUID == 0 ]] ; then
PS1="$RED\u [ $NORMAL\w$RED ]# $NORMAL"
else
PS1="$GREEN\u [ $NORMAL\w$GREEN ]\$ $NORMAL"
fi
unset RED GREEN NORMAL
# End /etc/bashrc
EOF
Voici un ~/.bash_profile
de
base. Si vous voulez que chaque nouvel utilisateur ait
automatiquement ce fichier, renvoyez seulement la sortie de
la commande vers /etc/skel/.bash_profile
et vérifiez les
droits après l'exécution de la commande. Vous pouvez alors
copier /etc/skel/.bash_profile
dans les répertoires home des utilisateurs existant, y
compris celui de root
, et
réglez comme il faut le propriétaire et le groupe
d'appartenance.
cat > ~/.bash_profile << "EOF"
# Begin ~/.bash_profile
# Written for Beyond Linux From Scratch
# by James Robertson <jameswrobertson@earthlink.net>
# updated by Bruce Dubbs <bdubbs@linuxfromscratch.org>
# Personal environment variables and startup programs.
# Personal aliases and functions should go in ~/.bashrc. System wide
# environment variables and startup programs are in /etc/profile.
# System wide aliases and functions are in /etc/bashrc.
if [ -f "$HOME/.bashrc" ] ; then
source $HOME/.bashrc
fi
if [ -d "$HOME/bin" ] ; then
pathprepend $HOME/bin
fi
# Having . in the PATH is dangerous
#if [ $EUID -gt 99 ]; then
# pathappend .
#fi
# End ~/.bash_profile
EOF
Voici un ~/.bashrc
de base. Les
commentaires et les instructions d'utilisation de
/etc/skel
pour .bash_profile
ci-dessus s'appliquent aussi
ici. Seuls les noms de fichiers cibles sont différents.
cat > ~/.bashrc << "EOF"
# Begin ~/.bashrc
# Written for Beyond Linux From Scratch
# by James Robertson <jameswrobertson@earthlink.net>
# Personal aliases and functions.
# Personal environment variables and startup programs should go in
# ~/.bash_profile. System wide environment variables and startup
# programs are in /etc/profile. System wide aliases and functions are
# in /etc/bashrc.
if [ -f "/etc/bashrc" ] ; then
source /etc/bashrc
fi
# End ~/.bashrc
EOF
C'est un ~/.bash_logout
vide
qui peut être utilisé comme modèle. Vous remarquerez que le
~/.bash_logout
de base n'inclut
pas de commande clear
. Ceci car le vidage
se gère dans le fichier /etc/issue
.
cat > ~/.bash_logout << "EOF"
# Begin ~/.bash_logout
# Written for Beyond Linux From Scratch
# by James Robertson <jameswrobertson@earthlink.net>
# Personal items to perform on logout.
# End ~/.bash_logout
EOF
Si vous utilisez la possibilité dircolors
, lancez la commande suivante. Les
étapes de paramétrage de /etc/skel
indiquées ci-dessus peuvent être
utilisées ici pour avoir un fichier ~/.dircolors
lors du réglage d'un nouvel
utilisateur. Comme tout à l'heure, envoyez simplement le nom
du fichier sorti vers la commande suivante et assurez-vous
que les droits, le propriétaire et le groupe conviennent aux
fichiers créés et/ou soient copiés.
dircolors -p > /etc/dircolors
Si vous souhaitez personnaliser les couleurs utilisées pour
différents types de fichiers, vous devez éditer le fichier
/etc/dircolors
. Les
instructions pour régler les couleurs sont comprises dans le
fichier.
Enfin, Ian Macdonald a écrit un ensemble excellent de modèles et de bidouillages pour améliorer votre environnement de shell. Vous pouvez le lire en ligne sur http://www.caliban.org/bash/index.shtml.
Last updated on : 2012-12-19 20:57:20 +010
Le livre LFS installe Vim comme éditeur de texte. Vous devriez noter ici qu'il y a beaucoup d'applications d'édition différentes de celle-là, comprenant Emacs, nano, Joe et plus encore. Tous ceux qui ont parcouru un peu Internet (surtout usenet) auront certainement remarqué au moins une guerre de feu impliquant généralement les utilisateurs de Vim et d'Emacs !
Le livre LFS crée un fichier vimrc
de base. Dans cette section, vous
trouverez une tentative d'amélioration de ce fichier. Au
démarrage, vim
lit le fichier de configuration global (/etc/vimrc
) ainsi qu'un fichier spécifique à
l'utilisateur (~/.vimrc
). L'un
et/ou l'autre peut être adapté pour correspondre aux besoins de
votre système particulier.
Voici un .vimrc
légèrement étendu
que vous pouvez mettre dans ~/.vimrc
pour produire des effets spécifiques
à l'utilisateur. Bien entendu, si vous le mettez plutôt dans
/etc/skel/.vimrc
, il sera
disponible pour tous les utilisateurs que vous ajouterez plus
tard au système. Vous pouvez aussi copier le fichier de
/etc/skel/.vimrc
vers le
répertoire home des utilisateurs déjà existants sur le système,
tels que root
. Assurez-vous de
régler les droits, le propriétaire et le groupe si vous copiez
quelque chose directement depuis /etc/skel
.
" Begin .vimrc
set columns=80
set wrapmargin=8
set ruler
" End .vimrc
Remarquez que les drapeaux de commentaire sont " au lieu du #
or du // plus habituels. C'est correct, la syntaxe de
vimrc
est légèrement
inhabituelle.
Vous trouverez ci-dessous une explication rapide de ce que veut dire chaque option de ce fichier d'exemple :
set columns=80
: Ceci
règle simplement le nombre de colonnes utilisées à
l'écran.
set wrapmargin=8
: C'est
le numéro du caractère depuis le côté droit de la fenêtre
où commence l'enveloppe.
set ruler
: Ceci fait
afficher à vim en bas à droite de
l'écran la ligne et la colonne.
Vous pouvez trouver plus d'informations sur les nombreuses options de vim en lisant l'aide à
l'intérieur de vim lui-même. Faites cela en
tapant >:nbsp;:help
dans vim pour voir l'aide générale
ou en tapant >:nbsp;:help usr_toc.txt
pour lire la table des
matières du manuel de l'utilisateur.
Last updated on : 2007-10-16 15:02:24 +020
Quand vous démarrez pour la première fois votre nouveau système
LFS, votre écran de connexion sera tout beau et brut (comme
s'il devait être un système squelettique. De nombreuses
personnes voudront néanmoins que leur système affiche des
informations dans le message de connexion. On peut faire cela
en utilisant le fichier /etc/issue
.
Le fichier /etc/issue
est un
fichier en texte brut qui acceptera certaines séquences
d'échappement (voir ci-dessous) afin d'insérer des informations
sur le système. Il y a aussi un fichier issue.net
qui peut être utilisé pour les
connexions à distance. Toutefois, ssh ne l'utilisera que si
vous réglez l'option dans le fichier de configuration et il
n'interprétera pas les
séquences d'échappement décrites ci-dessous.
Une des choses les plus courantes que veulent faire les gens
est de vider l'écran à chaque connexion. La manière la plus
facile de faire cela est de mettre une séquence d'échappement «
clear » dans /etc/issue
. Une
façon simple de faire cela est d'exécuter la commande
clear >
/etc/issue. Ceci insérera le mode d'échappement
adéquat au début du fichier /etc/issue
. Remarquez que si vous faites
cela, quand vous éditerez le fichier, vous devriez laisser les
caractères (normalement '^[[H^[[2J') seuls sur la première
ligne.
Les séquences du terminal sont des codes spéciaux reconnus par le terminal. ^[ représente un caractère d'échappement ASCII. La séquence ESC [ H met le curseur dans le coin tout en haut à gauche de l'écran et ESC 2 J vide l'écran. Pour plus d'informations sur les séquences d'échappement du terminal, voir http://rtfm.etla.org/xterm/ctlseq.html
Les séquences suivantes sont reconnues par agetty (le programme qui
analyse en général /etc/issue
).
Ces information proviennent de man agetty où vous pouvez
trouver des informations supplémentaires sur le processus de
connexion.
Le fichier issue
file peut
contenir certaines séquences de caractères pour afficher
diverses informations. Toutes les séquences issue
consistent dans une barre oblique
inversée (\) suivie immédiatement d'une des lettres expliquées
ci-dessous (donc \d
dans
/etc/issue
insérait la date
actuelle).
b Insert the baudrate of the current line.
d Insert the current date.
s Insert the system name, the name of the operating system.
l Insert the name of the current tty line.
m Insert the architecture identifier of the machine, e.g., i686.
n Insert the nodename of the machine, also known as the hostname.
o Insert the domainname of the machine.
r Insert the release number of the kernel, e.g., 2.6.11.12.
t Insert the current time.
u Insert the number of current users logged in.
U Insert the string "1 user" or "<n> users" where <n> is the
number of current users logged in.
v Insert the version of the OS, e.g., the build-date etc.
Last updated on : 2007-04-04 21:42:53 +020
Le noyau Linux fournit un générateur de nombres aléatoires
auquel on accède via /dev/random
et /dev/urandom
. Les programmes
qui utilisent les périphériques random et urandom tels que
OpenSSH, tireront profit de
ces instructions.
Quand un système Linux démarre sans trop d'interaction opérateur, le « entropy pool » (données utilisées pour calculer un nombre aléatoire) peut se trouver dans un état prévisible. Ceci crée une possibilité réelle que le nombre généré au démarrage soit toujours le même. Pour éviter cet effet, vous devriez emmener les informations de l'« entropy pool » lors des extinctions et des mises sous tension.
Installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/random
inclus dans le paquet
blfs-bootscripts-20150304.
make install-random
Last updated on : 2007-04-04 21:42:53 +020
Le script lsb_release donne des informations sur le status LSB (Linux Standards Base) de la distribution.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://sourceforge.net/projects/lsb/files/lsb_release/1.4/lsb-release-1.4.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 30537ef5a01e0ca94b7b8eb6a36bb1e4
Taille du téléchargement : 12 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 80 Ko
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lsb_release
En premier corrigez un problème d'affichage mineur:
sed -i "s|n/a|unavailable|" lsb_release
Installez lsb_release en lançant les commandes suivantes :
./help2man -N --include ./lsb_release.examples \ --alt_version_key=program_version ./lsb_release > lsb_release.1
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
install -v -m 644 lsb_release.1 /usr/share/man/man1/lsb_release.1 && install -v -m 755 lsb_release /usr/bin/lsb_release
La configuration pour ce paquet est faite dans
LFS. Le fichier /etc/lsb-release
doit déjà exister. Soyez
certain que le DISTRIB_CODENAME a été correctement
initialisé.
Last updated on : 2013-03-04 00:23:09 +010
La sécurité revêt de nombreuses formes dans un environnement informatique. Après des considérations générales, ce chapitre donne des exemples de trois types différents de sécurité : l'accès, la prévention et la détection.
L'accès aux utilisateurs est géré en général par login ou une application conçue pour gérer la fonction de connexion. Dans ce chapitre, nous indiquons la façon d'améliorer login en mettant en place des règles avec des modules PAM. L'Accès par des réseaux peut également être sécurisé par des règles définies par iptables, désignées en général sous le nom de pare-feu. Les bibliothèques Network Security Services (services de sécurité réseau) (NSS) et les Netscape Portable Runtime (NSPR) peuvent être installées et partagées parmi les nombreuses applications qui les exigent. Pour des applications qui n'offrent pas la meilleure sécurité, vous pouvez utiliser le paquet Stunnel pour envelopper le démon d'une application dans un tunnel SSL.
La prévention des infractions tels les trojans est assurée par des applications comme GnuPG, surtout la possibilité de confirmer les paquets signés, qui reconnaît les modifications des archives tar après que le packageur l'a créée.
Enfin, nous travaillons sur la détection avec un paquet qui stocke les « signatures » de fichiers critiques (définis par l'administrateur) puis qui regénère ces « signatures » et les compare à la recherche de fichiers modifiés.
Tous les logiciels ont des bogues. Parfois, un bogue peut être exploité, pour autoriser, par exemple, des utilisateurs à obtenir des privilèges spéciaux (peut-être ceux d'un shell root ou simplement l'accès ou la faculté de supprimer les fichiers d'autres utilisateurs), ou pour permettre à un site distant de faire planter une application (un refus de service) ou de voler des données. On appelle ces bogues des failles de sécurité.
L'endroit majeur où les failles sont répertoriées est cve.mitre.org. Malheureusement, de nombreux numéros de failles (CVE-yyyy-nnnn) ne sont, à l'origine, identifiées que comme "réservées", quand les distributions commencent à faire des corrections. De plus, certaines failles s'appliquent à des combinaisons particulières d'options de configure, ou ne s'appliquent qu'à d'anciennes versions des paquets qui ont été mis à jour depuis longtemps dans BLFS.
BLFS est différent d'une distribution - il n'y a pas d'équipe BLFS de sécurité et les rédacteurs n'ont connaissance des failles qu'après leur publication. Parfois, un paquet ayant une faille ne sera pas mis à jour dans le livre pendant longtemps. Les problèmes peuvent être enregistrés dans le système de suivi, ce qui pourrait accélérer leur résolution.
La façon normale dont BLFS corrige une faille de sécurité est, dans l'idéal, de mettre à jour le livre vers une nouvelle version corrigée du paquet. Parfois, cela arrive avant même que la faille ne soit publique, donc il n'est pas certain que la mise à jour soit indiquée comme corrigeant une faille dans l'historique des changements. De même, il se peut qu'une commande sed ou un correctif issu d'une distribution soit adapté.
Tout ça pour dire que vous êtes responsable de votre propre sécurité et de l'évaluation de l'impact potentiel des problèmes.
Pour suivre ce qui est découvert au fur et à mesure, il se peut que vous souhaitiez suivre les annonces de sécurité d'une ou plusieurs distributions. Par exemple, debian a debian security. Les liens fedora sur la sécurité se trouvent sur le wiki fedora. Les détails des annonces de sécurité de Linux par gentoo sont évoqués sur gentoo security. Et enfin les archives des annonces de sécurité de Slackware se trouvent sur slackware security.
La source anglophone la plus généraliste se trouve peut-être sur the Full Disclosure Mailing List, mais merci de lire le commentaire sur cette page. Si vous utilisez d'autres langues, il se peut que vous préfériez d'autres sites comme http://www.heise.de/security heise.de (allemand) ou cert.hr (Croate). Ils ne sont pas spécifiques à Linux. Une mise à jour quotidienne existe sur lwn.net pour les abonnés (accès libre aux données après 2 semaines), mais leur base de données de failles sur lwn.net/Vulnerabilities est sans restrictions).
Pour certains paquets, s'inscrire sur leurs listes 'announce' apportera des nouvelles actualisées sur les versions récentes.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/vulnerabilities
Last updated on : 2012-10-26 08:15:09 +020
La Public Key Inrastructure (infrastructure de clés publiques) est utilisés dans de nombreux cas de sécurité sur un système Linux. Pour qu'un certificat soit fiable, il doit être signé par un agent de confiance, qu'on appelle l'autorité de certificat (Certificate Authority) (CA). Les certificats chargés dans cette section sont issus de la liste du système de contrôle de Mozilla et elle est formatée dans une forme utilisée par OpenSSL-1.0.2. Les certificats peuvent également être utilisés par d'autres applications, directement ou indirectement via openssl.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement du Certificat CA> : http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/other/certdata.txt
Taille du bouquet CA> : 1.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 1.2 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Le fichier certfile.txt dessous est actuellement pris sur https://hg.mozilla.org/releases/mozilla-release/file/default/security/nss/lib/ckfw/builtins/certdata.txt. C'est vraiment un fichier HTML, mais le fichier texte peut être pris indirectement depuis le fichier HTML. L'URL dessous automatise ce processus et aussi ajoute une ligne ou la date peut être extraite en tant que numéro de révision par le script.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cacerts
Créez d'abord un script pour reformatter un certificat en
forme dont a besoin openssl.
En tant qu'utilisateur root
:
cat > /usr/bin/make-cert.pl << "EOF"
#!/usr/bin/perl -w
# Used to generate PEM encoded files from Mozilla certdata.txt.
# Run as ./make-cert.pl > certificate.crt
#
# Parts of this script courtesy of RedHat (mkcabundle.pl)
#
# This script modified for use with single file data (tempfile.cer) extracted
# from certdata.txt, taken from the latest version in the Mozilla NSS source.
# mozilla/security/nss/lib/ckfw/builtins/certdata.txt
#
# Authors: DJ Lucas
# Bruce Dubbs
#
# Version 20120211
my $certdata = './tempfile.cer';
open( IN, "cat $certdata|" )
|| die "could not open $certdata";
my $incert = 0;
while ( <IN> )
{
if ( /^CKA_VALUE MULTILINE_OCTAL/ )
{
$incert = 1;
open( OUT, "|openssl x509 -text -inform DER -fingerprint" )
|| die "could not pipe to openssl x509";
}
elsif ( /^END/ && $incert )
{
close( OUT );
$incert = 0;
print "\n\n";
}
elsif ($incert)
{
my @bs = split( /\\/ );
foreach my $b (@bs)
{
chomp $b;
printf( OUT "%c", oct($b) ) unless $b eq '';
}
}
}
EOF
chmod +x /usr/bin/make-cert.pl
Le script suivant crée les certificats et un bouquet de tous
les certificats. Il crée un répertoire ./certs
et ./BLFS-ca-bundle-${VERSION}.crt
. Créez de
nouveau ce script en tant qu'utilisateur root
:
cat > /usr/bin/make-ca.sh << "EOF"
#!/bin/sh
# Begin make-ca.sh
# Script to populate OpenSSL's CApath from a bundle of PEM formatted CAs
#
# The file certdata.txt must exist in the local directory
# Version number is obtained from the version of the data.
#
# Authors: DJ Lucas
# Bruce Dubbs
#
# Version 20120211
certdata="certdata.txt"
if [ ! -r $certdata ]; then
echo "$certdata must be in the local directory"
exit 1
fi
REVISION=$(grep CVS_ID $certdata | cut -f4 -d'$')
if [ -z "${REVISION}" ]; then
echo "$certfile has no 'Revision' in CVS_ID"
exit 1
fi
VERSION=$(echo $REVISION | cut -f2 -d" ")
TEMPDIR=$(mktemp -d)
TRUSTATTRIBUTES="CKA_TRUST_SERVER_AUTH"
BUNDLE="BLFS-ca-bundle-${VERSION}.crt"
CONVERTSCRIPT="/usr/bin/make-cert.pl"
SSLDIR="/etc/ssl"
mkdir "${TEMPDIR}/certs"
# Get a list of starting lines for each cert
CERTBEGINLIST=$(grep -n "^# Certificate" "${certdata}" | cut -d ":" -f1)
# Get a list of ending lines for each cert
CERTENDLIST=`grep -n "^CKA_TRUST_STEP_UP_APPROVED" "${certdata}" | cut -d ":" -f 1`
# Start a loop
for certbegin in ${CERTBEGINLIST}; do
for certend in ${CERTENDLIST}; do
if test "${certend}" -gt "${certbegin}"; then
break
fi
done
# Dump to a temp file with the name of the file as the beginning line number
sed -n "${certbegin},${certend}p" "${certdata}" > "${TEMPDIR}/certs/${certbegin}.tmp"
done
unset CERTBEGINLIST CERTDATA CERTENDLIST certbegin certend
mkdir -p certs
rm -f certs/* # Make sure the directory is clean
for tempfile in ${TEMPDIR}/certs/*.tmp; do
# Make sure that the cert is trusted...
grep "CKA_TRUST_SERVER_AUTH" "${tempfile}" | \
egrep "TRUST_UNKNOWN|NOT_TRUSTED" > /dev/null
if test "${?}" = "0"; then
# Throw a meaningful error and remove the file
cp "${tempfile}" tempfile.cer
perl ${CONVERTSCRIPT} > tempfile.crt
keyhash=$(openssl x509 -noout -in tempfile.crt -hash)
echo "Certificate ${keyhash} is not trusted! Removing..."
rm -f tempfile.cer tempfile.crt "${tempfile}"
continue
fi
# If execution made it to here in the loop, the temp cert is trusted
# Find the cert data and generate a cert file for it
cp "${tempfile}" tempfile.cer
perl ${CONVERTSCRIPT} > tempfile.crt
keyhash=$(openssl x509 -noout -in tempfile.crt -hash)
mv tempfile.crt "certs/${keyhash}.pem"
rm -f tempfile.cer "${tempfile}"
echo "Created ${keyhash}.pem"
done
# Remove blacklisted files
# MD5 Collision Proof of Concept CA
if test -f certs/8f111d69.pem; then
echo "Certificate 8f111d69 is not trusted! Removing..."
rm -f certs/8f111d69.pem
fi
# Finally, generate the bundle and clean up.
cat certs/*.pem > ${BUNDLE}
rm -r "${TEMPDIR}"
EOF
chmod +x /usr/bin/make-ca.sh
Ajoutez un script bref pour supprimer les certificats expirés
d'un répertoire. Créez de nouveau ce script en tant
qu'utilisateur root
:
cat > /usr/bin/remove-expired-certs.sh << "EOF"
#!/bin/sh
# Begin /usr/bin/remove-expired-certs.sh
#
# Version 20120211
# Make sure the date is parsed correctly on all systems
mydate()
{
local y=$( echo $1 | cut -d" " -f4 )
local M=$( echo $1 | cut -d" " -f1 )
local d=$( echo $1 | cut -d" " -f2 )
local m
if [ ${d} -lt 10 ]; then d="0${d}"; fi
case $M in
Jan) m="01";;
Feb) m="02";;
Mar) m="03";;
Apr) m="04";;
May) m="05";;
Jun) m="06";;
Jul) m="07";;
Aug) m="08";;
Sep) m="09";;
Oct) m="10";;
Nov) m="11";;
Dec) m="12";;
esac
certdate="${y}${m}${d}"
}
OPENSSL=/usr/bin/openssl
DIR=/etc/ssl/certs
if [ $# -gt 0 ]; then
DIR="$1"
fi
certs=$( find ${DIR} -type f -name "*.pem" -o -name "*.crt" )
today=$( date +%Y%m%d )
for cert in $certs; do
notafter=$( $OPENSSL x509 -enddate -in "${cert}" -noout )
date=$( echo ${notafter} | sed 's/^notAfter=//' )
mydate "$date"
if [ ${certdate} -lt ${today} ]; then
echo "${cert} expired on ${certdate}! Removing..."
rm -f "${cert}"
fi
done
EOF
chmod +x /usr/bin/remove-expired-certs.sh
Les commandes suivantes récupèreront les certificats et les
convertiront dans le bon format. Si vous le désirez, vous
pouvez utiliser un navigateur Internet plutôt que
wget mais le fichier devra
être enregistré sous le nom certdata.txt
. Ces commandes peuvent être
répétées autant de fois que nécessaire pour mettre à jour les
Certificats CA.
URL=http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/other/certdata.txt && rm -f certdata.txt && wget $URL && make-ca.sh && remove-expired-certs.sh certs && unset URL
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
SSLDIR=/etc/ssl && install -d ${SSLDIR}/certs && cp -v certs/*.pem ${SSLDIR}/certs && c_rehash && install BLFS-ca-bundle*.crt ${SSLDIR}/ca-bundle.crt && ln -sfv ../ca-bundle.crt ${SSLDIR}/certs/ca-certificates.crt && unset SSLDIR
Enfin, nettoyez le répertoire courant :
rm -r certs BLFS-ca-bundle*
Après l'installation ou la mise à jour des certificats, si OpenJDK est installé, mettez à jour les certificats pour Java en utilisant la procédure dans Certificats de l'autorité de certification JRE.
est un script du shell qui reformate le fichier
|
|
est un script perl qui convertit un certificat binaire unique (format .der) au format .pem. |
|
est un script shell qui supprime les certificats
expirés d'un répertoire. Le répertoire par défaut
est |
Last updated on : 2013-03-05 00:08:42 +010
Le paquet ConsoleKit est un environnement pour garder une trace des différents utilisateurs, des sessions, et des places présents sur un système. Il offre aux logiciels un mécanisme pour réagir aux modifications de ces éléments ou d'une des métadonnées qui y est associée.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/BLFS/svn/c/ConsoleKit-0.4.6.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6aaadf5627d2f7587aa116727e2fc1da
Taille du téléchargement : 356 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 8.0 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
, dbus-glib-0.104 et Xorg Libraries
Linux-PAM-1.1.8 and polkit-0.112
Si vous prévoyez de NE PAS installer polkit, vous devrez éditer le fichier ConsoleKit.conf à la main pour déverrouiller le service. Un échec pour faire cela peut signifier un énorme TROU DE ECURITE.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/consolekit
Installez ConsoleKit en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --enable-udev-acl \ --enable-pam-module \ --with-systemdsystemunitdir=no && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-udev-acl
: Ce
paramètre active la construction des outils udev-acl qui sont utilisés
pour autoriser les utilisateurs normaux à accéder aux noeuds
de périphérique qui sont normalement accessibles seulement
pas l'utilisateur root
.
--enable-pam-module
: Ce
paramètre active la construction du module PAM de ConsoleKit qui est nécessaire à
ConsoleKit pour fonctionner
correctement avec Linux-PAM.
Supprimez cette option si Linux-PAM N'est PAS installé.
--with-systemdsystemunitdir=no
:
Désactive la construction avec les bibliothèques systemd.
--enable-docbook-docs
:
Utilisez ce paramètre si xmlto est installé et si vous souhaitez
construire la documentation de l'API.
Si vous utilisez Linux
PAM, il est nécessaire de le configurer pour activer
ConsoleKit lors de la
connexion de l'utilisateur. Cela peut être fait en éditant
le fichier /etc/pam.d/system-session
en tant
qu'utilisateur root
:
cat >> /etc/pam.d/system-session << "EOF"
# Begin ConsoleKit addition
session optional pam_loginuid.so
session optional pam_ck_connector.so nox11
# End ConsoleKit addition
EOF
Vous aurez également besoin d'un script d'aide qui crée un
fichier dans /var/run/console
appelé avec l'utilisateur actuellement connecté et qui
contient l'adresse D-Bus
de la session. Vous pouvez créer le script avec les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
cat > /usr/lib/ConsoleKit/run-session.d/pam-foreground-compat.ck << "EOF" #!/bin/sh TAGDIR=/var/run/console [ -n "$CK_SESSION_USER_UID" ] || exit 1 [ "$CK_SESSION_IS_LOCAL" = "true" ] || exit 0 TAGFILE="$TAGDIR/`getent passwd $CK_SESSION_USER_UID | cut -f 1 -d:`" if [ "$1" = "session_added" ]; then mkdir -p "$TAGDIR" echo "$CK_SESSION_ID" >> "$TAGFILE" fi if [ "$1" = "session_removed" ] && [ -e "$TAGFILE" ]; then sed -i "\%^$CK_SESSION_ID\$%d" "$TAGFILE" [ -s "$TAGFILE" ] || rm -f "$TAGFILE" fi EOF chmod -v 755 /usr/lib/ConsoleKit/run-session.d/pam-foreground-compat.ck
Voyer /usr/share/doc/ConsoleKit/spec/ConsoleKit.html pour plus de détails.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet CrackLib contient une bibliothèque utilisée pour renforcer les mots de passe forts en comparant les mots de passe sélectionnés par l'utilisateur avec des mots dans des listes de mots choisies.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/cracklib/cracklib-2.9.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 559072fdfc095cdb763c4de3471a889e
Taille du téléchargement : 612 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 29 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Liste de mots recommandée pour les pays anglophones (taille : 4.5 Mo; md5sum: 7fa6ba0cd50e7f9ccaf4707c810b14f1) : http://downloads.sourceforge.net/cracklib/cracklib-words-20080507.gz
Il y a des listes de mots supplémentaires disponibles en téléchargement, par exemple sur http://www.cotse.com/tools/wordlists.htm. CrackLib peut utiliser autant de listes de mots que vous avez choisi d'installer ou de ne pas installer.
Les utilisateurs ont tendance à baser leur mot de passe sur des mots ordinaires de leur langue et les pirates le savent. CrackLib vise à filtrer de tels mots de passe dès la source en utilisant un dictionnaire créé à partir de listes de mots. Pour faire cela, la/les liste(s) de mots à utiliser avec CrackLib doit/doivent être exhaustive(s) et contenir les mots, les combinaisons de touche qui ont des chances d'être choisies par les utilisateurs du système comme mots de passe (devinables).
La liste de mots par défaut dont on a recommandé plus haut le téléchargement joue en général ce rôle dans les pays anglophones. Dans d'autres situations, il peut être nécessaire de télécharger, voire de créer, des listes de mots supplémentaires.
Remarquez que les listes de mots adaptées à la vérification de l'orthographe ne sont pas utilisables comme listes de mots pour CrackLib dans des pays ayant des alphabets à base non latine à cause des « combinaisons de touche basées sur le mot » qui produisent de mauvais mots de passe.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cracklib
Installez CrackLib en lançant les commandes suivantes :
sed -i '/skipping/d' util/packer.c && ./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --with-default-dict=/lib/cracklib/pw_dict && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mv -v /usr/lib/libcrack.so.* /lib && ln -sfv ../../lib/$(readlink /usr/lib/libcrack.so) /usr/lib/libcrack.so
Lancez les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
pour installer la liste
de mots recommandée et créer le dictionnaire CrackLib. D'autres listes de mots
(basées sur le texte, un mot par ligne) peuvent être
utilisées, simplement en les installant dans /usr/share/dict
et en les ajoutant à la
commande create-cracklib-dict.
install -v -m644 -D ../cracklib-words-20080507.gz \ /usr/share/dict/cracklib-words.gz && gunzip -v /usr/share/dict/cracklib-words.gz && ln -v -sf cracklib-words /usr/share/dict/words && echo $(hostname) >> /usr/share/dict/cracklib-extra-words && install -v -m755 -d /lib/cracklib && create-cracklib-dict /usr/share/dict/cracklib-words \ /usr/share/dict/cracklib-extra-words
Si vous le désirez, vérifiez le bon fonctionnement de la bibliothèque en tant qu'utilisateur non privilégié en lançant la commande suivante :
make test
Si vous installez CrackLib après avoir terminé votre système LFS, et si vous avez installé le paquet Shadow, vous devez réinstaller Shadow-4.2.1 si vous souhaitez fournir le support des mots de passe forts sur votre système. Si vous allez installer le paquet Linux-PAM-1.1.8 maintenant, vous pouvez ignorer cette remarque vu que Shadow sera réinstallé après l'installation de Linux-PAM.
sed -i '/skipping/d' util/packer.c: Supprime un avertissement incompréhensible.
--with-default-dict=/lib/cracklib/pw_dict
:
Ce paramètre oblige l'installation du dictionnaire
CrackLib à se faire dans la
hiérarchie /lib
.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
mv -v /usr/lib/libcrack.so.2*
/lib et ln -v
-sf ../../lib/libcrack.so.2.8.1 ... :
Ces deux commandes déplacent la bibliothèque libcrack.so.2.8.1
et les liens associés de
/usr/lib
vers /lib
, puis recréent le lien symbolique
/usr/lib/libcrack.so
qui pointe
vers le fichier replacé.
install -v -m644 -D
... : Cette commande crée le répertoire
/usr/share/dict
(s'il n'existe
pas déjà) et y installe la liste de mots compressée.
ln -v -s cracklib-words
/usr/share/dict/words : La liste de mots
est liée à /usr/share/dict/words
vu qu'historiquement,
words
est la liste de mots
primaire dans le répertoire /usr/share/dict
. Supprimez cette commande
si vous avez déjà installé un fichier /usr/share/dict/words
sur votre système.
echo $(hostname)
>>... : La valeur de hostname est envoyée dans
un fichier nommé cracklib-extra-words
. Ce fichier
supplémentaire vise à être une liste de sites spécifiques
incluant des mots de passe faciles à deviner tels que les
noms de la société ou du département, les noms
d'utilisateurs, les noms de produit, les noms d'ordinateur,
les noms de domaine, etc.
create-cracklib-dict ... : Cette commande crée le dictionnaire CrackLib à partir des listes de mots. Modifiez la commande pour ajouter une liste de mots supplémentaire que vous avez installée.
Last updated on : 2013-03-05 00:08:42 +010
Le paquet Cyrus SASL contient une Simple Authentication and Security Layer (simple couche d'authentification et de sécurité), une méthode pour ajouter le support d'authentication aux protocoles basés sur la connexion. Pour utiliser SASL, un protocole inclut une commande d'identification et d'authentification d'un utilisateur sur un serveur et la négociation éventuelle de la protection des interactions consécutives du protocole. Si son utilisation est négociée, une couche de sécurité est insérée entre le protocole et la connexion.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.cyrusimap.org/cyrus-sasl/cyrus-sasl-2.1.26.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a7f4e5e559a0e37b3ffc438c9456e425
Taille du téléchargement : 5.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 30 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
Linux-PAM-1.1.8, MIT Kerberos V5-1.13.1, MariaDB-10.0.16 ou MySQL, OpenJDK-1.8.0.31, OpenLDAP-2.4.40, PostgreSQL-9.4.1, SQLite-3.8.8.2, krb4 et Dmalloc
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cyrus-sasl
Installez Cyrus SASL en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../cyrus-sasl-2.1.26-fixes-3.patch && autoreconf -fi && ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --enable-auth-sasldb \ --with-dbpath=/var/lib/sasl/sasldb2 \ --with-saslauthd=/var/run/saslauthd && make -j1
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests. Si vous envisagez d'utiliser le mécanisme d'authentification GSSAPI, il est recommandé de le tester après l'installation d'un paquet utilisant le serveur d'échantillon et les programmes client qui ont été construits à l'étape précédente. Vous pouvez trouver des instructions pour effectuer cela sur http://www.linuxfromscratch.org/hints/downloads/files/cyrus-sasl.txt.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -dm755 /usr/share/doc/cyrus-sasl-2.1.26 && install -v -m644 doc/{*.{html,txt,fig},ONEWS,TODO} \ saslauthd/LDAP_SASLAUTHD /usr/share/doc/cyrus-sasl-2.1.26 && install -v -dm700 /var/lib/sasl
--with-dbpath=/var/lib/sasl/sasldb2
:
Ce paramètre force la base de données sasldb à être créée dans
/var/lib/sasl
au lieu de
/etc
.
--with-saslauthd=/var/run/saslauthd
:
Ce paramètre oblige saslauthd à utiliser les
données en cours d'exécution de la variable du répertoire
/var/run/saslauthd
conforme à
la FHS.
--enable-auth-sasldb
:
Ce paramètre active l'authentification SASLDB.
--with-dblib=gdbm
: Ce
paramètre oblige l'utilisation de GDBM au lieu de Berkeley DB.
--with-ldap
: Ce paramètre
active l'utilisation avec OpenLDAP.
--enable-ldapdb
: Ce
paramètre active le fondement d'authentication LDAPDB. Il y a
une dépendance circulaire avec ce paramètre. Voir http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cyrus-sasl
pour une solution à ce problème.
--enable-java
: Cette option
active la compilation des bibliothèques de support de
Java
--enable-login
: Cette
option active l'authentification LOGIN non supportée
--enable-ntlm
: Cette option
active l'authentification NTLM non supportée
install -v -m644 ... : Ces commandes installent la documentation qui n'est pas installée par la commande make install.
install -v -m700 -d /var/lib/sasl : Ces répertoires doivent exister au démarrage de saslauthd ou pendant l'utilisation de l'extension sasldb. Si vous n'allez pas utiliser le démon ou les extensions, vous pouvez vous passer de la création de ce répertoire.
/etc/saslauthd.conf
(pour la
configuration LDAP de saslauthd) et
/etc/sasl2/Appname.conf
(où «
Appname » est le nom défini de l'application)
Voir file:///usr/share/doc/cyrus-sasl-2.1.26/sysadmin.html pour des informations sur ce que contiennent les fichiers de configuration de l'application.
Voir file:///usr/share/doc/cyrus-sasl-2.1.26/LDAP_SASLAUTHD pour la configuration de saslauthd avec OpenLDAP.
Voir file:///usr/share/doc/cyrus-sasl-2.1.26/gssapi.html pour la configuration de saslauthd avec Kerberos.
Si vous devez exécuter le démon saslauthd au démarrage du
système, installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/saslauthd
fourni dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304
en utilisant la commande suivante :
make install-saslauthd
Vous devrez modifier /etc/sysconfig/saslauthd et
remplacer le paramètre
par le mécanisme d'authentification que vous désirez.
<AUTHMECH>
est utilisé pour lister les greffons SASL chargeables et leurs propriétés. |
|
est le serveur d'authentication SASL. |
|
est utilisé pour lister les utilisateurs de la base
de données de mots de passe SASL |
|
est utilisé pour paramétrer et effacer un mot de
passe SASL d'utilisateur et des secrets de
mécanismes spécifiques dans la base de données de
mots de passe SASL |
|
est un outil de test pour le serveur d'authentification SASL. |
|
est une bibliothèque d'authentication généraliste pour des applications serveur et client. |
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet GnuPG 2 est un outil GNU pour effectuer de la communication et du stockage sécurisés. On peut l'utiliser pour chiffrer des données et créer des signatures numériques. Il comprend une fonction de gestion avancée des clés et il respecte le standard Internet OpenPGP proposé comme décrit dans la RFC2440 et le standard S/MIME décrit dans plusieurs RFCs. GnuPG 2 est la version stable du support d'intégration de GnuPG d'OpenPGP et de S/MIME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnupg.org/gcrypt/gnupg/gnupg-2.0.26.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : fa7e704aad33eb114d1840164455aec1
Taille du téléchargement : 4.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 68 Mo
Estimation du temps de construction : 0.6 SBU (additional 0.5 SBU for the tests)
Pth-2.0.7, Libassuan-2.2.0, libgcrypt-1.6.2 et Libksba-1.3.2
PIN-Entry-0.9.0 (Exigence au moment de l'exécution pour la plupart des fonctionnalités du paquet)
OpenLDAP-2.4.40, libusb-compat-0.1.5, cURL-7.40.0, GNU adns, un MTA et texlive-20140525 (ou install-tl-unx)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnupg2
Installez GnuPG en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --enable-symcryptrun \ --docdir=/usr/share/doc/gnupg-2.0.26 && make && makeinfo --html --no-split -o doc/gnupg_nochunks.html doc/gnupg.texi && makeinfo --plaintext -o doc/gnupg.txt doc/gnupg.texi
Si vous avez installé texlive-20140525 et souhaitez créer la documentation dans des formats alternatifs, tapez la commande suivante:
make -C doc pdf ps html
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Notez que si vous avez déjà installé GnuPG, les instructions ci-dessous
écraseront /usr/share/man/man1/gpg-zip.1
. Maintenant,
en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/gnupg-2.0.26/html && install -v -m644 doc/gnupg_nochunks.html \ /usr/share/doc/gnupg-2.0.26/html/gnupg.html && install -v -m644 doc/*.texi doc/gnupg.txt \ /usr/share/doc/gnupg-2.0.26
Nous recommandons la création de liens symboliques pour la
compatibilité avec la première version de gnuPG, car certains
programmes ou scripts en ont besoin. Tapez, en tant
qu'utilisateur root
:
for f in gpg gpgv do ln -svf ${f}2.1 /usr/share/man/man1/$f.1 && ln -svf ${f}2 /usr/bin/$f done unset f
Si vous avez créé des formats alternatifs de la
documentation, installez les en utilisant la commande
suivante en tant qu'utilisateur root
:
install -v -m644 doc/gnupg.html/* \ /usr/share/doc/gnupg-2.0.26/html && install -v -m644 doc/gnupg.{pdf,dvi,ps} \ /usr/share/doc/gnupg-2.0.26
--docdir=/usr/share/doc/gnupg-2.0.26
:
Ce paramètre change le répertoire par défaut de la
documentation/usr/share/doc/gnupg-2.0.26
.
--enable-symcryptrun
: Ce
paramètre autorise la construction du programme symcryptrun.
est utilisé pour créer et peupler les répertoires
|
|
est un script enveloppe utilisé pour lancer
gpgconf avec le
paramètre |
|
est un démon utilisé pour gérer des clés secrètes (privées) indépendemment du protocole. Il est utilisé en tant que fondation de gpg2 et de gpgsm ainsi que pour deux autres outils. |
|
est un outil utilisé pour communiquer avec un gpg-agent en fonction. |
|
(facultatif) est un lien symbolique vers gpg2 pour la compatibilité avec les premières versions de GnuPG. |
|
est la partie OpenPGP de GNU Privacy Guard (GnuPG, sauvegarde de la vie privée). C'est un outil utilisé pour fournir le chiffrement numérique et les services de signature en utilisant le standard OpenPGP. |
|
est un outil utilisé pour interroger et modifier
automatiquement et de manière raisonnablement
sécurisée des fichiers de configuration dans le
répertoire |
|
est un outil qui n'est aujourd'hui utile que pour
du débogage. Lancez-le avec |
|
est un outil similaire à gpg2 utilisé pour fournir des services de chiffrement et de signature numériques sur les certificats X.509 et le protocole CMS. Il est principalement utilisé en tant que fondation pour le traitement de messages électroniques S/MIME. |
|
est un outil simple utilisé pour générer de manière interactive une demande de certificat qui sera affiché sur la sortie standard. |
|
(facultatif) est un lien symbolique vers gpgv2 pour la compatibilité avec les premières versions de GnuPG. |
|
est un vérificateur qu'il n'y a qu'une version de gpg2. |
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est utilisé pour lister, exporter et importer des données Keybox. |
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est un démon utilisé pour gérer des smartcards. Il est en général appelé par gpg-agent et il n'est pas utilisé en général directement. |
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est un simple outil de chiffrement symétrique. |
|
est utilisé pour écouter une socket de domaine Unix créé par un des outils GnuPG. |
Last updated on : 2013-03-31 12:41:33 +020
Le paquet GnuTLS contient une bibliothèque et des outils utilisateur qui offre une couche sécurisée pour une couche de transport fiable. La bibliothèque GnuTLS implémente actuellement les standards proposés par le groupe de travail TLS de IETF. Pour citer la spécification du protocole TLS :
« Le protocole TLS offre de rendre confidentielles les communications sur Internet. Le protocole permet aux applications client/serveur de communiquer d'une manière conçue pour empêcher les indiscrétions (écoutes), la falsification ou la contrefaçon de messages. »
GnuTLS fournit un support pour les protocoles TLS 1.2, TLS 1.1 et SSL 3.0, les extensions TLS, y compris le DNS (nom de serveur) et la taille d'enregistrement maximale. En outre, la bibliothèque supporte l'authentification en utilisant le protocole SRP, le certificats X.509 et les clés OpenPGP, tout en supportant l'extension TLS Pre-Shared-Keys (PSK, clés prépartagées TLS), l'extension d'application Inner (TLS/IA) et la gestion des certificats X.509 et OpenPGP.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnutls.org/gcrypt/gnutls/v3.3/gnutls-3.3.12.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a37b20b4352a5f542367ded904729c90
Taille du téléchargement : 6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 106 Mo (additional 8 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU (additional 2 SBU for the tests)
Certificate Authority Certificates et libtasn1-4.2
GTK-Doc-1.21, Guile-2.0.11, libidn-1.29, p11-kit-0.22.1, Unbound-1.5.1 (pour construite la bibliothèque DANE), et Valgrind-3.10.1 (utilisé lors de la suite de tests) autogen, et Trousers (Trusted Platform Module support),
Notez que si vous installez libtasn1-4.2, une ancienne version chargée dans l'archive de GnuTLS sera utilisée à la place.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnutls
Installez GnuTLS en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-default-trust-store-file=/etc/ssl/ca-bundle.crt && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous ne passez pas le paramètre --enable-gtk-doc
dans le script configure, installez la
documentation de l'API dans le répertoire /usr/share/gtk-doc/html/gnutls
en utilisant
la commande suivante en root
:
make -C doc/reference install-data-local
--with-default-trust-store-file=/etc/ssl/ca-bundle.crt
:
Ce paramètre indique à configure ou trouver les
certificats CA.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
est utilisé pour générer des certificats X.509, des requêtes de certificat et des clés privées. |
|
est une enveloppe simple attendant des connexions TLS/SSL et qui les renvoie vers un emplacement non chiffré. Seulement installé si libidn-1.29 est présent. |
|
est un outil utilisé pour générer et vérifier les enregistrements des ressources DNS pour le protocole DANE. |
|
est un client simple pour paramétrer une connexion TLS à plusieurs autres ordinateurs. |
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est un client simple pour paramétrer une connexion TLS à d'autres ordinateurs et produit des résultats de progression très verbeux. |
|
est un serveur simple qui écoute les connexions TLS entrantes. |
|
est un programme qui peut analyser et afficher des informations sur les requêtes/réponses OCSP, générer des requêtes et vérifier les réponses. |
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est un programme qui permet de gérer les données des cartes smart PKCS #11 et des modules de sécurité. |
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est un programme simple générant des clés aléatoires pour une utilisation avec TLS-PSK. |
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est un programme simple qui émule les programmes dans les bibliothèques SRP (Secure Remote Password, mot de passe distant sécurisé) de Stanford en utilisant GNU TLS. |
|
contient les fonctions de l'API du cœur et les fonctions de l'API du certificat X.509. |
Last updated on : 2013-03-26 17:39:48 +010
Le paquet GPGME est une bibliothèque de langage C qui permet d'ajouter le support du chiffrement à un programme. Il est conçu pour faciliter l'accès pour les applications à des moteurs de chiffrement de clés tels que GnuPG ou GpgSM. GPGME fournit une API de chiffrement de haut niveau pour le chiffrement, le déchiffrement, l'authentification, la vérification de signature et la gestion de clé.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnupg.org/gcrypt/gpgme/gpgme-1.5.3.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 082ab2632e7f051f5c09bafd5c4bfacf
Taille du téléchargement : 948 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 17 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (additional 0.1 SBU for the tests)
GnuPG-2.0.26 (utilisé pendant la suite de tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gpgme
Installez GPGME en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-fd-passing \ --disable-gpgsm-test && make
La suite de tests est modifiée et est fermée à l'utilisation, avec 2/3 échecs.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-fd-passing
: Cette
option désactive un problème causant un plantage pour
quelques opérations sur certain système.
--disable-gpgsm-test
: Cette
option désactive un test avec gpgsm qui fait échouer le make
sur certain système.
Last updated on : 2013-03-16 13:11:58 +010
Le paquet Haveged contient un démon qui génère un flux imprévisible de nombres aléatoires et alimente le périphérique /dev/random.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/project/haveged/haveged-1.9.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 015ff58cd10607db0e0de60aeca2f5f8
Taille du téléchargement : 468 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.8 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/haveged
Installez Haveged en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mkdir -pv /usr/share/doc/haveged-1.9.1 && cp -v README /usr/share/doc/haveged-1.9.1
Si vous voulez que le démon Haveged démarre automatiquement quand
le système démarre, installez le script d'init /etc/rc.d/init.d/haveged
inclus dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-haveged
Last updated on 2014-03-16 22:29:50 +0100
La partie suivante de ce chapitre traite des pare-feux. L'outil principal de pare-feu pour Linux est iptables. Vous devrez installer iptables si vous souhaitez utiliser une forme de pare-feu.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.netfilter.org/projects/iptables/files/iptables-1.4.21.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.netfilter.org/pub/iptables/iptables-1.4.21.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 536d048c8e8eeebcd9757d0863ebb0c0
Taille du téléchargement : 536 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 15 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/iptables
Sur Linux, on a un pare-feu via une portion du noyau qui s'appelle netfilter. L'interface avec netfilter est iptables. Pour l'utiliser, les paramètres adéquats de configuration du noyau sont trouvés dans :
[*] Networking support ---> [CONFIG_NET]
Networking Options --->
[*] Network packet filtering framework (Netfilter) ---> [CONFIG_NETFILTER]
L'installation ci-dessous n'inclut pas la construction de
quelques bibliothèques d'extension spécialisées qui exigent
les en-têtes raw dans le code source de Linux. Si vous souhaitez construire
des extensions supplémentaires (si vous n'êtes pas sûr,
vous n'en avez probablement pas besoin), vous pouvez
regarder le fichier INSTALL
pour voir un exemple de la façon de modifier le paramètre
KERNEL_DIR=
pour
pointer vers le code source de Linux. Remarquez que si vous mettez à
jour la version du noyau, il se peut que vous deviez aussi
recompiler iptables et que
l'équipe BLFS n'a pas testé l'utilisation des en-têtes du
noyau raw.
Pour certaines architectures non x86, il se peut qu'il
faille les en-têtes du noyau raw. Dans ce cas, modifiez le
paramètre KERNEL_DIR=
pour pointer vers
le code source de Linux.
Installez iptables en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sbindir=/sbin \ --enable-libipq \ --with-xtlibdir=/lib/xtables && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && ln -sfv ../../sbin/xtables-multi /usr/bin/iptables-xml && for file in ip4tc ip6tc ipq iptc xtables do mv -v /usr/lib/lib${file}.so.* /lib && ln -sfv ../../lib/$(readlink /usr/lib/lib${file}.so) /usr/lib/lib${file}.so done
--with-xtlibdir=/lib/xtables
:
Assure que les modules d'Iptables sont installés dans le
répertoire /lib/xtables
.
--enable-libipq
: Ce
paramètre active la construction de libipq.so
qui peut être utilisé par
certains paquets extérieurs à BLFS.
--enable-nfsynproxy
: Ce paramètre
active l'installation de l'outil de configuration SYNPROXY de
nfsynproxy.
ln -sfv ../../sbin/xtables-multi /usr/bin/iptables-xml : Assure que le lien symbolique de iptables-xml est relatif.
Des instructions d'introduction de configuration de votre pare-feu sont présentées dans la prochaine section : Pare-feu
Pour paramétrer le pare-feu d'iptables au démarrage,
installez le script d'initialisation /etc/rc.d/init.d/iptables
fourni dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-iptables
est utilisé pour paramétrer, maintenir et inspecter les tables de règles de filtrage de paquets IP du noyau Linux. |
|
est utilisé pour restaurer des tables IP à partir de données spécifiées sur STDIN. Utilise la redirection E/S fournie par votre shell pour lire un fichier. |
|
est utilisé pour envoyer le contenu d'une table IP dans un format facilement analysable vers STDOUT. Utilisez la redirection E/S fournie par votre shell pour écrire dans un fichier. |
|
est utilisé pour convertir la sortie de
iptables-save
au format XML. L'utilisation de la feuille de style
|
|
sont un ensemble de commandes pour IPV6 qui sont similaires aux commandes iptables vu précédement. |
|
(facultatif) outil de configuration. La cible synproxy facilite la manipulation des grands afflux de SYN sans les lourdes pertes de performance imposées par le suivi des connexions dans de tels cas. |
Last updated on : 2013-03-16 13:11:58 +010
Avant de lire cette partie du chapitre, vous devriez avoir déjà installé iptables comme décrit dans la section précédente.
L'objectif général d'un pare-feu est de protéger un ordinateur ou un réseau contre les accès malveillants.
Dans un monde parfait, tout démon et tout service sur la machine est parfaitement configuré et immunisé contre des fléaux tels que les débordements de mémoire ou d'autres problèmes liés à leur sécurité. De plus, vous faites confiance aux utilisateurs qui accèdent à vos services. Dans ce monde, vous n'avez pas besoin de pare-feu.
Mais dans le monde réel, les démons peuvent être mal configurés et les exploits contre des services essentiels sont librement disponibles. Vous pouvez souhaiter choisir les services qui sont accessibles à certaines machines ou vous pourriez souhaiter limiter les machines ou les applications qui sont autorisés à y accéder depuis l'extérieur. Sinon, vous pouvez tout simplement ne pas faire confiance à certaines de vos applications ou à certains de vos utilisateurs. Vous êtes probablement connectés à Internet. Dans ce monde, un pare-feu est essentiel.
N'imaginez toutefois pas qu'un pare-feu rend redondante les mauvaises configurations, ni qu'il ôte tout risque d'une mauvaise configuration par négligence. Il n'empêche personne d'exploiter un service que vous offrez intentionnellement, mais que vous n'avez pas mis à jour récemment ou que vous n'avez pas corrigé après qu'un exploit a été publié. Bien qu'ayant un pare-feu, vous avez besoin d'avoir sur votre système des applications et des démons configurés correctement et à jour. Un pare-feu n'est pas le remède à tout, mais il devrait être une partie essentielle de votre stratégie globale de sécurité.
Le mot « pare-feu » peut avoir plusieurs sens différents.
C'est un périphérique matériel ou un logiciel disponible sur le commerce (ou offert gratuitement) par des sociétés telles que Symantec qui prétend que cela sécurise un ordinateur familial ou de bureau connecté à Internet. Ce type de pare-feu est fort pertinent pour les utilisateurs qui ne savent pas comment on pourrait accéder à leur ordinateur par Internet ou comment désactiver cet accès, surtout s'ils sont toujours en ligne et connectés par des liens à connexion illimitée.
C'est un système placé entre Internet et l'intranet. Pour minimiser le risque de compromettre le pare-feu lui-même, il ne devrait en général jouer qu'un rôle—celui de protéger l'intranet. Bien que cela ne soit pas sans risques, la tâche de routage et de masquage d'IPs (réécrire des en-têtes IP de paquets qu'il route depuis les clients avec des adresses privées sur Internet afin qu'elles semblent venir du pare-feu lui-même) est en général considérée comme relativement sécurisée.
C'est souvent un vieil ordinateur à la retraite et que vous avez presqu'oublié, qui fait du masquage ou des fonctions de routage mais qui offre des services de non pare-feu tels qu'un cache Web ou la messagerie. Cela peut être utilisé pour des réseaux familiaux, mais ce n'est pas considéré comme sécurisé en tant que machine uniquement dédiée au pare-feu car la combinaison d'un serveur et d'un routeur/pare-feu sur une machine augmente la complexité du paramétrage.
Cette machine effectue du masquage ou du routage mais elle autorise un accès public à certaines branches de votre réseau qui, du fait des IPs publiques et d'une structure physique séparée, est essentiellement un réseau séparé avec un accès direct à Internet. Les serveurs sur ce réseau sont les plus facilement accessibles, tant par Internet que depuis l'intranet. Le pare-feu protège les deux réseaux. Ce type de pare-feu a un minimum de trois interfaces réseaux.
Cette introduction sur la façon de paramétrer un pare-feu n'est pas un guide complet pour sécuriser des systèmes. Le pare-feu est un sujet complexe qui exige une configuration soignée. Les scripts cités ici ne visent qu'à donner des exemples de la façon dont fonctionne un pare-feu. Ils n'ambitionnent pas de convenir à toute configuration particulière et ils peuvent ne pas offrir de protection complète contre une attaque.
Une personnalisation de ces scripts pour votre situation spécifique sera nécessaire pour avoir une configuration optimale, mais vous devriez étudier sérieusement la documentation d'iptables et la création de pare-feux en général avant de toucher quoique ce soit. Jetez un œil sur la liste de links for further reading à la fin de cette section pour plus de détails. Vous y trouverez une liste de liens contenant des informations rapides et complètes sur la construction de votre propre pare-feu.
Le script de configuration de pare-feu installé dans la section sur iptables diffère du script de configuration standard. Il n'a que deux des cibles standards : start et status. Les autres cibles sont vides et verrouillées. Par exemple, si vous lancez :
/etc/rc.d/init.d/iptables start
le pare-feu sera redémarré comme s'il s'agissait du démarrage du système. La cible status présentera une liste de toutes les règles actuellement implémentées. La cible vide désactive toutes les règles de pare-feu et la cible verrouillée (lock) bloquera tous les paquets entrant et sortant sur l'ordinateur sauf l'interface loopback.
Le pare-feu de démarrage principal se trouve dans le fichier
/etc/rc.d/rc.iptables
. Les
sections ci-dessous présentent trois approches différentes
qu'on peut utiliser sur un système.
Vous devriez toujours exécuter vos règles de pare-feu à partir d'un script. Cela vous assure d'être cohérent et de vous souvenir de ce que vous avez fait. Cela permet aussi de mettre des commentaires essentiels à la compréhension des règles longtemps après les avoir écrites.
Un pare-feu personnel est conçu pour vous permettre un accès à tous les services offerts sur Internet, mais il garde votre machine ainsi que vos données privées en sécurité.
Voici ci-dessous une version légèrement modifiée de la recommandation de Rusty Russell sur le Linux 2.4 Packet Filtering HOWTO (guide pratique sur le filtrage des paquets avec Linux 2.4). Il s'applique encore aux noyaux Linux 2.6.
cat > /etc/rc.d/rc.iptables << "EOF"
#!/bin/sh
# Begin rc.iptables
# Insert connection-tracking modules
# (not needed if built into the kernel)
modprobe nf_conntrack
modprobe xt_LOG
# Enable broadcast echo Protection
echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/icmp_echo_ignore_broadcasts
# Disable Source Routed Packets
echo 0 > /proc/sys/net/ipv4/conf/all/accept_source_route
echo 0 > /proc/sys/net/ipv4/conf/default/accept_source_route
# Enable TCP SYN Cookie Protection
echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/tcp_syncookies
# Disable ICMP Redirect Acceptance
echo 0 > /proc/sys/net/ipv4/conf/default/accept_redirects
# Do not send Redirect Messages
echo 0 > /proc/sys/net/ipv4/conf/all/send_redirects
echo 0 > /proc/sys/net/ipv4/conf/default/send_redirects
# Drop Spoofed Packets coming in on an interface, where responses
# would result in the reply going out a different interface.
echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/conf/all/rp_filter
echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/conf/default/rp_filter
# Log packets with impossible addresses.
echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/conf/all/log_martians
echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/conf/default/log_martians
# be verbose on dynamic ip-addresses (not needed in case of static IP)
echo 2 > /proc/sys/net/ipv4/ip_dynaddr
# disable Explicit Congestion Notification
# too many routers are still ignorant
echo 0 > /proc/sys/net/ipv4/tcp_ecn
# Set a known state
iptables -P INPUT DROP
iptables -P FORWARD DROP
iptables -P OUTPUT DROP
# These lines are here in case rules are already in place and the
# script is ever rerun on the fly. We want to remove all rules and
# pre-existing user defined chains before we implement new rules.
iptables -F
iptables -X
iptables -Z
iptables -t nat -F
# Allow local-only connections
iptables -A INPUT -i lo -j ACCEPT
# Free output on any interface to any ip for any service
# (equal to -P ACCEPT)
iptables -A OUTPUT -j ACCEPT
# Permit answers on already established connections
# and permit new connections related to established ones
# (e.g. port mode ftp)
iptables -A INPUT -m conntrack --ctstate ESTABLISHED,RELATED -j ACCEPT
# Log everything else. What's Windows' latest exploitable vulnerability?
iptables -A INPUT -j LOG --log-prefix "FIREWALL:INPUT "
# End $rc_base/rc.iptables
EOF
chmod 700 /etc/rc.d/rc.iptables
Ce script est très simple, il accepte tout le trafic venant dans votre ordinateur qui a été initié par votre ordinateur, mais tant que vous surfez simplement sur Internet, il y a peu de chances que vous dépassiez ses limites.
Si vous rencontrez souvent un certains délais pour l'accès à vos serveurs FTP, jetez un œil sur BusyBox example number 4.
Même si vous avez des démons ou des services en fonction sur votre système, il sera inaccessible partout sauf par l'ordinateur lui-même. Si vous voulez permettre l'accès à des services sur votre machine tels que ssh ou ping, jetez un œil sur BusyBox.
Un vrai pare-feu a deux interfaces, une connectée à un intranet, dans cet exemple eth0, et une connectée à Internet, ici ppp0. Pour offrir le maximum de sécurité au pare-feu lui-même, assurez-vous qu'il n'y a pas de serveurs inutiles en fonction dessus tels que X11 et al. En principe, le pare-feu lui-même ne devrait pas accéder à un service non routé (pensez à un serveur distant qui donne des réponses que fait planter un démon sur votre système, ou même pire, ceci implémente un travail par un débordement de mémoire).
cat > /etc/rc.d/rc.iptables << "EOF"
#!/bin/sh
# Begin rc.iptables
echo
echo "You're using the example configuration for a setup of a firewall"
echo "from Beyond Linux From Scratch."
echo "This example is far from being complete, it is only meant"
echo "to be a reference."
echo "Firewall security is a complex issue, that exceeds the scope"
echo "of the configuration rules below."
echo "You can find additional information"
echo "about firewalls in Chapter 4 of the BLFS book."
echo "http://www.linuxfromscratch.org/blfs"
echo
# Insert iptables modules (not needed if built into the kernel).
modprobe nf_conntrack
modprobe nf_conntrack_ftp
modprobe xt_conntrack
modprobe xt_LOG
modprobe xt_state
# Enable broadcast echo Protection
echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/icmp_echo_ignore_broadcasts
# Disable Source Routed Packets
echo 0 > /proc/sys/net/ipv4/conf/all/accept_source_route
# Enable TCP SYN Cookie Protection
echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/tcp_syncookies
# Disable ICMP Redirect Acceptance
echo 0 > /proc/sys/net/ipv4/conf/all/accept_redirects
# Don't send Redirect Messages
echo 0 > /proc/sys/net/ipv4/conf/default/send_redirects
# Drop Spoofed Packets coming in on an interface where responses
# would result in the reply going out a different interface.
echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/conf/default/rp_filter
# Log packets with impossible addresses.
echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/conf/all/log_martians
# Be verbose on dynamic ip-addresses (not needed in case of static IP)
echo 2 > /proc/sys/net/ipv4/ip_dynaddr
# Disable Explicit Congestion Notification
# Too many routers are still ignorant
echo 0 > /proc/sys/net/ipv4/tcp_ecn
# Set a known state
iptables -P INPUT DROP
iptables -P FORWARD DROP
iptables -P OUTPUT DROP
# These lines are here in case rules are already in place and the
# script is ever rerun on the fly. We want to remove all rules and
# pre-existing user defined chains before we implement new rules.
iptables -F
iptables -X
iptables -Z
iptables -t nat -F
# Allow local connections
iptables -A INPUT -i lo -j ACCEPT
iptables -A OUTPUT -o lo -j ACCEPT
# Allow forwarding if the initiated on the intranet
iptables -A FORWARD -m conntrack --ctstate ESTABLISHED,RELATED -j ACCEPT
iptables -A FORWARD ! -i ppp+ -m conntrack --ctstate NEW -j ACCEPT
# Do masquerading
# (not needed if intranet is not using private ip-addresses)
iptables -t nat -A POSTROUTING -o ppp+ -j MASQUERADE
# Log everything for debugging
# (last of all rules, but before policy rules)
iptables -A INPUT -j LOG --log-prefix "FIREWALL:INPUT "
iptables -A FORWARD -j LOG --log-prefix "FIREWALL:FORWARD "
iptables -A OUTPUT -j LOG --log-prefix "FIREWALL:OUTPUT "
# Enable IP Forwarding
echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/ip_forward
EOF
chmod 700 /etc/rc.d/rc.iptables
Avec ce script, votre intranet devrait être raisonnablement sécurisé contre les attaques externes. Personne ne devrait pouvoir paramétrer de nouvelle connexion pour n'importe quel service interne et, s'il est masqué, il rend votre intranet invisible depuis Internet. En outre, votre pare-feu devrait être relativement sécurisé car il n'y a pas de services en fonction qu'un pirate pourrait attaquer.
Si l'interface par laquelle vous vous connectez à
Internet ne se connecte pas par PPP, vous devrez modifier
<ppp+>
par le nom de l'interface (par exemple, eth1) que vous utilisez.
Ce scénario n'est pas très différent du Masquerading Router, mais il offre en plus des services à votre intranet. On peut en avoir des exemples quand vous voulez administrer votre pare-feu à partir d'un autre hôte de votre Intranet ou l'utiliser en tant que proxy ou serveur DNS ou un serveur de de noms.
Faire le tour de la question du vrai concept de protéger un serveur offrant des services sur Internet va beaucoup plus loin que l'objectif de ce document. Voir les références à la fin de cette section pour plus d'informations.
Faites attention. Chaque service que vous avez activé complexifie votre configuration et rend moins sécurisé votre pare-feu. Vous êtes exposé aux risques d'une mauvaise configuration des services ou d'exécution d'un service ayant un bogue exploitable. Un général, un pare-feu ne devrait exécuter aucun service supplémentaire. Voir l'introduction au Masquerading Router pour des détails supplémentaires.
Si vous voulez ajouter des services tels que Samba en interne ou un serveurs de DNS qui n'ont pas besoin d'accéder eux-mêmes à Internet, les réglages supplémentaires sont très simples et devraient être encore acceptables du point de vue de la sécurité. Ajoutez simplement les lignes suivantes au script avant les règles de connexion.
iptables -A INPUT -i ! ppp+ -j ACCEPT
iptables -A OUTPUT -o ! ppp+ -j ACCEPT
Si des démons tels que squid, doivent accéder eux-mêmes à Internet, vous pouvez en général ouvrir OUTPUT et restreindre INPUT.
iptables -A INPUT -m conntrack --ctstate ESTABLISHED,RELATED -j ACCEPT
iptables -A OUTPUT -j ACCEPT
Il n'est toutefois pas conseillé de laisser OUTPUT sans restrictions. Vous perdez alors le contrôle des chevaux de Troie (trojan) qui voudraient « rentrer chez vous » et c'est un peu redondant si vous avez mal configuré un service pour qu'il broadcast son existence dans le monde.
Pour faire cela, vous devriez restreindre INPUT et OUTPUT sur tous les ports sauf ceux qu'il vous faut absolument ouvrir. Les ports que vous devez ouvrir dépendent de vos besoins : en général, vous les trouverez en découvrant des échecs d'accès dans vos fichiers journaux.
Jetez un œil sur les exemples suivants :
Squid met en cache Internet :
iptables -A OUTPUT -p tcp --dport 80 -j ACCEPT
iptables -A INPUT -p tcp --sport 80 -m conntrack --ctstate ESTABLISHED \
-j ACCEPT
Votre serveur DNS effectue ses recherches à travers UDP :
iptables -A OUTPUT -p udp --dport 53 -j ACCEPT
Vous voulez pouvoir pinger votre ordinateur pour vérifier qu'il est toujours en vie :
iptables -A INPUT -p icmp -m icmp --icmp-type echo-request -j ACCEPT
iptables -A OUTPUT -p icmp -m icmp --icmp-type echo-reply -j ACCEPT
Si vous accédez souvent à des serveurs FTP ou que vous aimez chatter, vous pourriez remarquer certains délais car certaines implémentations de ces démons ont une fonction de recherche d'un identd sur votre système pour obtenir des noms d'utilisateur. Bien qu'il y ait très peu de dangers, le fait d'avoir un identd en fonction n'est pas recommandé car de nombreux experts en sécurité trouvent que le service donnent trop d'informations supplémentaires.
Pour éviter ces délais, vous pourriez rejeter les requêtes avec un 'tcp-reset' :
iptables -A INPUT -p tcp --dport 113 -j REJECT --reject-with tcp-reset
Pour enregistrer et rejeter des paquets invalides (des paquets qui sont entrés après le timeout du netfilter ou certains types d'analyse de paquets), insérez ces règles au début de la chaîne :
iptables -I INPUT 0 -p tcp -m conntrack --ctstate INVALID \
-j LOG --log-prefix "FIREWALL:INVALID "
iptables -I INPUT 1 -p tcp -m conntrack --ctstate INVALID -j DROP
Tout ce qui vient de l'extérieur ne devrait pas avoir d'adresse privée, c'est une attaque courante appelée IP-spoofing :
iptables -A INPUT -i ppp+ -s 10.0.0.0/8 -j DROP
iptables -A INPUT -i ppp+ -s 172.16.0.0/12 -j DROP
iptables -A INPUT -i ppp+ -s 192.168.0.0/16 -j DROP
Il y a d'autres adresses que vous pourriez aussi vouloir rejeter : 0.0.0.0/8, 127.0.0.0/8, 224.0.0.0/3 (multicast et expérimental), 169.254.0.0/16 (Link Local Networks, lien réseaux locaux), et 192.0.2.0/24 (réseau de test défini par IANA).
Si votre pare-feu est un client, vous devez autoriser ces paquets:
iptables -A INPUT -i ppp0 -p udp -s 0.0.0.0 --sport 67 \
-d 255.255.255.255 --dport 68 -j ACCEPT
Pour simplifier le débogage et éloigner ceux qui aimeraient accéder à un service que vous avez désactivé, par erreur ou volontairement, vous pourriez REJECT ces paquets qui sont rejetés.
Cela doit évidemment se faire directement après avoir enregistré les toutes dernières lignes avant que les paquets ne soient rejetés par les règles :
iptables -A INPUT -j REJECT
Ce ne sont que des exemples pour vous montrer quelques
possibilités du code de pare-feu de Linux. Jetez un œil sur
la page de man d'iptables. Vous y trouverez beaucoup plus
d'informations. Vous pouvez trouver les numéros de port qui
sont nécessaires dans /etc/services
, au cas où vous ne les
auriez pas trouvé à partir des compte-rendu et des erreurs
dans votre fichier journal.
En fin de compte, vous devez vous souvenir d'une chose : l'effort employé pour attaquer un système dépend de la valeur ajoutée que s'attend à y trouver un pirate. Si vous êtes responsables d'informations de valeur, vous devez passer du temps à les protéger correctement.
www.netfilter.org - Page d'accueil du projet netfilter/iptables
FAQ liée à Netfilter
guides pratiques liés à Netfilter
en.tldp.org/LDP/nag2/x-087-2-firewall.html
en.tldp.org/HOWTO/Security-HOWTO.html
en.tldp.org/HOWTO/Firewall-HOWTO.html
www.linuxsecurity.com/docs/
www.little-idiot.de/firewall (en allemand & obsolète, mais très complet)
linux.oreillynet.com/pub/a/linux/2000/03/10/netadmin/ddos.html
staff.washington.edu/dittrich/misc/ddos
www.e-infomax.com/ipmasq
www.circlemud.org/~jelson/writings/security/index.htm
www.securityfocus.com
www.cert.org - tech_tips
security.ittoolbox.com
www.insecure.org/reading.html
Last updated on : 2012-10-16 19:13:00 +020
Le paquet libcap est installé par LFS, mais si le support de PAM est souhaité, il doit être réinstallé après que PAM soit construit.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://www.kernel.org/pub/linux/libs/security/linux-privs/libcap2/libcap-2.24.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kernel.org/pub/linux/libs/security/linux-privs/libcap2/libcap-2.24.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d43ab9f680435a7fff35b4ace8d45b80
Taille du téléchargement : 62 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libcap
Installez libcap en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's:LIBDIR:PAM_&:g' pam_cap/Makefile && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Si vous voulez désactiver l'installation des bibliothèques statiques, utilisez ce sed:
sed -i '/install.*STALIBNAME/ s/^/#/' libcap/Makefile
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make prefix=/usr \ SBINDIR=/sbin \ PAM_LIBDIR=/lib \ RAISE_SETFCAP=no install
En restant en tant qu'utilisateur root
, nettoyez quelquels endroits de
bibliothèques et des permissions:
chmod -v 755 /usr/lib/libcap.so && mv -v /usr/lib/libcap.so.* /lib && ln -sfv ../../lib/libcap.so.2 /usr/lib/libcap.so
sed -i '...',
PAM_LIBDIR=/lib
: Cela
corrige l'endroit d'installation du module PAM.
RAISE_SETFCAP=no
: Ce
paramètre enlève l'essai d'utiliser setcap dans lui-même. Cela évite une
erreur d'installation si le noyau ou le système de fichier ne
supporte pas les possiblitées étendues.
Last updated on 2013-10-21 20:54:34 +0200
Le paquet Linux-PAM contient des Pluggable Authentication Modules (modules d'authentification connectables). C'est utile pour permettre à l'administrateur système local de choisir la façon dont s'authentifient les utilisateurs des applications.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Optional Documentation
Téléchargement (HTTP) : http://linux-pam.org/library/Linux-PAM-1.1.8.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9f90888cd22212a6b5af2920f4eaaf1b
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 36 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
Documentation facultative : http://linux-pam.org/documentation/Linux-PAM-1.1.8-docs.tar.bz2
Téléchargement MD5sum: 808054213e884e69e3f7045d80700da1
Taille du téléchargement 152 Ko
Berkeley DB-6.1.19, CrackLib-2.9.2, libtirpc-0.2.5 et Prelude
DocBook XML-DTD-4.5, DocBook XSL Stylesheets-1.78.1, fop-1.1, libxslt-1.1.28 et w3m-0.5.3
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/linux-pam
Si vous avez téléchargé la documentation, déballez l'archive tar en exécutant la commande suivante.
tar -xf ../Linux-PAM-1.1.8-docs.tar.bz2 --strip-components=1
Installez Linux-PAM en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --libdir=/usr/lib \ --enable-securedir=/lib/security \ --docdir=/usr/share/doc/Linux-PAM-1.1.8 && make
Pour tester les résultats, le fichier de configuration
suivant /etc/pam.d/other
doit
exister.
Si vous avez un système avec Linux PAM installé et en
fonctionnement, soyez attentif quand vous modifiez les
fichiers dans /etc/pam.d
, car
votre système peut devenir totalement inutilisable. Si vous
souhaitez lancer les tests, vous n'avez pas besoin de créer
un autre fichier /etc/pam.d/other
. Le fichier installé
peut être utilisé pour cela.
Vous devez aussi être attentif que make install écrase les
fichiers de configuration dans /etc/security
aussi bien que dans
/etc/environment
. Dans le cas
ou vous avez modifié ces fichiers, soyez certain de les
avoir sauvegardé.
Pour une première installation, créez le fichier de
configuration en tapant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -m755 -d /etc/pam.d && cat > /etc/pam.d/other << "EOF" auth required pam_deny.so account required pam_deny.so password required pam_deny.so session required pam_deny.so EOF
Maintenant lancez les tests en exécutant make check.
Seulement dans le cas d'une première installation, supprimez
le fichier de configuration créé plus haut en lançant la
commande suivante en tant qu'utilisateur root
:
rm -rfv /etc/pam.d
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && chmod -v 4755 /sbin/unix_chkpwd && for file in pam pam_misc pamc do mv -v /usr/lib/lib${file}.so.* /lib && ln -sfv ../../lib/$(readlink /usr/lib/lib${file}.so) /usr/lib/lib${file}.so done
--enable-securedir=/lib/security
:
Ce paramètre initialise l'emplacement pour les modules
PAM.
chmod -v 4755
/sbin/unix_chkpwd : Le programme d'aide
unix_chkpwd
doit être setuid afin que les processus non-root
puissent accéder au fichier shadow.
Les informations de configuration se trouvent dans
/etc/pam.d/
. Voici ci-dessous
un fichier exemple :
# Begin /etc/pam.d/other
auth required pam_unix.so nullok
account required pam_unix.so
session required pam_unix.so
password required pam_unix.so nullok
# End /etc/pam.d/other
La page de man de PAM (man pam) offre un bon point de départ pour des descriptions des champs et des entrées autorisées. Le Linux-PAM System Administrators' Guide (guide de l'administrateur système Linux-PAM) est recommandé pour des informations supplémentaires.
Référez vous à http://debian.securedservers.com/kernel/pub/linux/libs/pam/modules.html pour une liste des modules tiers disponibles.
Vous devriez maintenant réinstaller le paquet Shadow-4.2.1.
est un assistant binaire qui crée des répertoires home. |
|
est utilisé pour interroger et manipuler le fichier compteur de login. |
|
est utilisé pour interroger et manipuler le fichier compteur de login sans certaines limitations de pam_tally. |
|
est utilisé pour vérifier si l'horodatage par défaut est valide. |
|
est un assistant binaire qui vérifie le mot de passe de l'actuel utilisateur. |
|
est un assistant binaire qui met à jour le mot de passe d'un utilisateur donné. |
|
fournit les interfaces entre les applications et les modules PAM. |
Last updated on : 2012-09-23 22:08:11 +020
MIT Kerberos V5 est une implémentation libre de Kerberos 5. Kerberos est un protocole d'authentification réseau. Il centralise la base de données d'authentification et il utilise des applications kerberizées pour fonctionner avec des serveurs ou des services qui supportent Kerberos, ce qui permet des connexions isolées et une communication chiffrée sur des réseaux internes ou sur Internet.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://web.mit.edu/kerberos/www/dist/krb5/1.13/krb5-1.13.1-signed.tar
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 567586cdf02aa8c842c2fab7a94f3c1f
Taille du téléchargement : 12 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 121 Mo (Additional 22 Mo if running the testsuite)
Estimation du temps de construction : 1.0 SBU (additional 2.5 SBU if running the testsuite)
DejaGnu-1.5.2 (pour la suite de tests), GnuPG-2.0.26 (pour identifier les paquets), keyutils-1.5.9 OpenLDAP-2.4.40 Python-2.7.9 (utilisé pendant la suite de tests) et rpcbind-0.2.2 (utilisé pendant la suite de tests)
Certaines fonctionnalités de synchronisation du temps sur votre système (comme ntp-4.2.8p1) sont nécessaires, étant donné que Kerberos n'authentifiera pas s'il y a une différence de temps entre un client kerberizé et le serveur KDC.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mitkrb
MIT Kerberos V5 est
distribué dans un fichier TAR contenant un paquet TAR
compressé et un fichier PGP ASC
détaché. Vous devrez déballer le fichier tar de distribution,
puis déballer le fichier tar compressé avant de commencer la
construction.
Déballez d'abord de l'archive tar de distribution et si vous
avez installé GnuPG-2.0.26, vous pouvez authentifier le
paquet. D'abord vérifiez le contenu du fichier krb5-1.13.1.tar.gz.asc
.
gpg2 --verify krb5-1.13.1.tar.gz.asc krb5-1.13.1.tar.gz
Vous verrez probablement une sortie similaire à :
gpg: Signature made Mon Aug 11 22:53:10 2014 GMT using RSA key ID 749D7889
gpg: Can't check signature: No public key
Vous pouvez importer la clef publique avec :
gpg2 --pgp2 --keyserver pgp.mit.edu --recv-keys 0x749D7889
Maintenant revérifiez le paquet avec la première commande susmentionnée. Vous devriez obtenir une indication de bonne signature, mais la clef ne sera toujours pas certifiée avec une signature de confiance. Faire confiance à la clef téléchargée est une opération séparée mais c'est à vous de détermnier le niveau de confiance.
Construisez MIT Kerberos V5 en lançant les commandes suivantes :
cd src && sed -e "s@python2.5/Python.h@& python2.7/Python.h@g" \ -e "s@-lpython2.5]@&,\n AC_CHECK_LIB(python2.7,main,[PYTHON_LIB=-lpython2.7])@g" \ -i configure.in && sed -e 's@\^u}@^u cols 300}@' \ -i tests/dejagnu/config/default.exp && autoconf && ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var/lib \ --with-system-et \ --with-system-ss \ --with-system-verto=no \ --enable-dns-for-realm && make
Pour testez la construction, tapez: make check. Vosu devez au moins avoir Tcl-8.6.3, qui est utilisé pour piloter la suite de tests. De plus, DejaGnu-1.5.2 doit être disponible pour quelques tests. Si vous avez une version de MIT Kerberos V5 d'installées, il peut arriver que la suite de tests utilisent les versions installées des bibliothèques, plutôt que celle fraichement construite. Donc, il est mieux de lancer la suite de tests après l'installation.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && for LIBRARY in gssapi_krb5 gssrpc k5crypto kadm5clnt kadm5srv \ kdb5 kdb_ldap krad krb5 krb5support verto ; do chmod -v 755 /usr/lib/lib$LIBRARY.so done && unset LIBRARY && mv -v /usr/lib/libkrb5.so.3* /lib && mv -v /usr/lib/libk5crypto.so.3* /lib && mv -v /usr/lib/libkrb5support.so.0* /lib && ln -v -sf ../../lib/libkrb5.so.3.3 /usr/lib/libkrb5.so && ln -v -sf ../../lib/libk5crypto.so.3.1 /usr/lib/libk5crypto.so && ln -v -sf ../../lib/libkrb5support.so.0.1 /usr/lib/libkrb5support.so && mv -v /usr/bin/ksu /bin && chmod -v 755 /bin/ksu && install -v -dm755 /usr/share/doc/krb5-1.13.1 && cp -vfr ../doc/* /usr/share/doc/krb5-1.13.1
sed -e ... : Le premier sed corrige la détection de Python et le second incrémente la largeur du terminal virtuel utilisé pour certain tests, pour empécher certain caratère exotique d'être affiché, ce qui donne un échec.
--localstatedir=/var/lib
: Ce
paramètre est utilisé pour que la variable des données
d'exécution de Kerberos soit dans /var/lib
au lieu de /usr/var
.
--with-system-et
: Ce
paramètre a pour conséquence que la construction utilise les
versions installées sur le système du logiciel support de
table d'erreur.
--with-system-ss
: Ce
paramètre a pour conséquence que la construction utilise les
versions installées sur le système du logiciel support du
logiciel d'interface en ligne de commandes du sous-système.
--with-system-verto=no
: ce
paramètre corrige un dans le paquet: il ne reconnait pas sa
propre bibliothèque verto installé précédement. Ce n'est pas
un problème, à la réinstallation de la même version, mais si
vous mettez à jour, l'ancienne bibliothèque est utilisée
comme celle du système, au lien d'installer la nouvelle
version.
--enable-dns-for-realm
: Ce
paramètre permet à realms d'être résolu en utilisant le
serveur DNS.
mv -v /usr/bin/ksu
/bin
: Déplace le programme ksu dans le répertoire
/bin
pour qu'il soit disponible
alors que le système de fichiers /usr
n'est pas monté.
--with-ldap
: Utilisez ce
paramètre si vous voulez compiler le module au fondement de
la base de données de OpenLDAP.
Vous devriez songer à installer un dictionnaire de
vérification des mots de passe afin de pouvoir
configurer l'installation pour n'accepter que les mots
de passe forts. Un dictionnaire utilisable de manière
convenable est indiqué dans les instructions pour
CrackLib-2.9.2. Remarquez qu'on ne
peut utiliser qu'un fichier, mais vous pouvez compacter
plusieurs fichiers dans un seul. Le fichier de
configuration montré ci-dessous suppose que vous avez
installé un dictionnaire dans /usr/share/dict/words
.
Créez le fichier de configuration Kerberos avec les
commandes suivantes, que vous lancerez en tant
qu'utilisateur root
:
cat > /etc/krb5.conf << "EOF"
# Begin /etc/krb5.conf
[libdefaults]
default_realm = <LFS.ORG>
encrypt = true
[realms]
<LFS.ORG>
= {
kdc = <belgarath.lfs.org>
admin_server = <belgarath.lfs.org>
dict_file = /usr/share/dict/words
}
[domain_realm]
.<lfs.org>
= <LFS.ORG>
[logging]
kdc = SYSLOG[:INFO[:AUTH]]
admin_server = SYSLOG[INFO[:AUTH]]
default = SYSLOG[[:SYS]]
# End /etc/krb5.conf
EOF
Vous devrez mettre votre nom de domaine et d'hôte à la
place des occurrences des noms <belgarath>
et de
<lfs.org>
.
default_realm
devrait être le
nom de votre domaine, modifié en MAJUSCULES. Ce n'est pas
nécessaire mais tant Heimdal que MIT le recommandent.
encrypt = true
fournit le
chiffrement de tout le trafic entre les clients et les
serveurs kerberizés. Ce n'est pas nécessaire et vous
pouvez le laisser désactivé. Si vous le laissez
désactivé, vous pouvez plutôt chiffrer tout le trafic du
client vers le serveur en utilisant un paramètre sur le
client.
Les paramètres [realms]
disent aux clients où chercher les services
d'authentication KDC.
La section [domain_realm]
associe un nom de domaine à un domaine.
Créez la base de données KDC :
kdb5_util create -r <LFS.ORG>
-s
Maintenant vous devriez peupler la base de données avec
des utilisateurs clés (utilisateurs). Utilisez pour
l'instant votre identifiant normal ou root
.
kadmin.localkadmin.local:
add_policy dict-onlykadmin.local:
addprinc -policy dict-only<loginname>
Le serveur KDC et les machines qui font fonctionner des démons kerberizés doivent avoir installée une clé d'hôte :
kadmin.local:
addprinc -randkey host/<belgarath.lfs.org>
Après avoir choisi les paramètres par défaut quand on vous y invite, vous devrez exporter les données vers un fichier de table de clé :
kadmin.local:
ktadd host/<belgarath.lfs.org>
Cela devrait créer un fichier dans /etc
nommé krb5.keytab
(Kerberos 5). Ce fichier
devrait avoir les permissions 600 ( lecture-écriture
seulement par root
). ôter
de l'accès public les fichiers de tables de clés est
crucial pour toute la sécurité de l'installation de
Kerberos.
Quittez le programme kadmin (utilisez quit ou exit) et retournez à l'invite du shell. Démarrez à la main le démon KDC, simplement pour tester l'installation :
/usr/sbin/krb5kdc
Essayez d'obtenir un ticket avec la commande suivante :
kinit <loginname>
On vous demandera le mot de passe que vous avez créé. Après avoir obtenu votre ticket, vous pouvez le lister avec la commande suivante :
klist
Des informations sur le ticket devrait apparaître à l'écran.
Pour tester le fonctionnement du fichier de table de clé, exécutez la commande suivante :
ktutilktutil:
rkt /etc/krb5.keytabktutil:
l
Cela devrait renvoyer une liste d'utilisateurs clés hôtes, ainsi que les méthodes de chiffrement utilisées pour accéder à l'utilisateur clé.
À ce moment-là, si tout s'est bien passé jusqu'ici, vous pouvez avoir confiance dans l'installation, le paramétrage et la configuration du paquet.
Pour des informations supplémentaires, consultez Documentation for krb5-1.13.1 (la documentation) sur laquelle se basent les instructions ci-dessus.
Si vous voulez démarrer des services Kerberos au démarrage, installez le
script de démarrage /etc/rc.d/init.d/krb5
inclu dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304
en utilisant la commande suivante :
make install-krb5
est un outil de manipulation de tables de clés hôtes. |
|
est un outil utilisé pour faire des modifications dans la base de données Kerberos. |
|
est un serveur d'accès pour administrer une base de données Kerberos. |
|
est l'outil de base de données KDC. |
|
supprime le jeu de tickets actuel. |
|
est utilisé pour s'authentifier sur le serveur Kerberos en tant qu'utilisateur clé et obtenir un ticket autorisant un ticket pouvant être utilisé plus tard pour obtenir des tickets pour d'autres services. |
|
lit et affiche les tickets actuels du cache de permissions. |
|
est un programme pour modifier des mots de passe Kerberos 5. |
|
prend une base de données d'utilisateurs clés dans un format spécifié et la convertit dans un flux d'enregistrements de base de données. |
|
reçoit une base de données envoyée par kprop et l'écrit en tant que base de données locale. |
|
donne des informations sur la façon de lier des programmes aux bibliothèques. |
|
est un serveur Kerberos 5. |
|
est le programme super utilisateur utilisant le
protocole Kerberos. Exige un |
|
met en cache les tickets sécifiés, le premier cache pour l'ensemble, si un groupe de caches est disponible. |
|
est le programme de gestion des tables de clés Kerberos. |
|
affiche des numéros de version de clés des utilisateurs clés Kerberos. |
|
utilisé pour contacter un serveur modèle et s'y authentifier en utilisant des tickets de Kerberos version 5, puis affiche la réponse du serveur. |
|
est un modèle de serveur Kerberos version 5. |
|
contient les fonctions Generic Security Service Application Programming Interface (GSSAPI, interface de programmation d'application de service de sécurité générique) qui fournit des services de sécurité aux appelants de manière courante, supportable par une vaste gamme de mécanismes et de technologies sous-jacentes, permettant donc une portabilité au niveau du code source d'applications vers différents environnements. |
|
contient les fonctions de vérification de l'authentification et du mot de passe pour l'administration exigées par les programmes côté client Kerberos 5. |
|
contient les fonctions de vérification de l'authentification et du mot de passe pour l'administration exigées par les serveurs Kerberos 5. |
|
est une bibliothèque d'accès à la base de données Kerberos 5 d'authentication/autorisation. |
|
contient la bibliothèque de support interne des fonctionnalités RADIUS. |
|
est une bibliothèque Kerberos 5 généraliste. |
Last updated on : 2013-04-14 14:48:41 +020
Le paquet nettle contient une bibliothèque de chiffrement de bas niveau conçu pour facilement s'adapter à divers contextes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/nettle/nettle-2.7.1.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/nettle/nettle-2.7.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 003d5147911317931dd453520eb234a5
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 94 Mo
Estimation du temps de construction : 0.6 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/nettle
Installez nettle en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Si vous souhaitez désactiver l'installation des bibliothèques statiques, utilisez ce sed:
sed -i '/^install-here/ s/install-static//' Makefile
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && chmod -v 755 /usr/lib/libhogweed.so.2.5 /usr/lib/libnettle.so.4.7 && install -v -m755 -d /usr/share/doc/nettle-2.7.1 && install -v -m644 nettle.html /usr/share/doc/nettle-2.7.1
calule une valeur hachée en utilisant l'algorithme spécifié. |
|
sort une séquence d'octets pseudoaléatoires (non chiffrés), en utilisant le générateur fibonacci contenu de Knuth. Le flux est utile pour du test, mais vous ne devriez pas l'utiliser pour générer des clés chiffrées ou quoique ce soit qui nécessite du vrai aléatoire. |
|
convertit des clés RSA privées et publiques du format PKCS #1 en format sexp. |
|
convertit une s-expression en un autre encodage. |
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
Le paquet Network Security Services (services de sécurité réseau) (NSS) est un ensemble de bibliothèques conçues pour supporter le développement en plate-forme croisée d'applications et de serveurs sécurisés. Les applications construites avec NSS peuvent supporter SSL v2 et v3, TLS, les certificats PKCS #5, PKCS #7, PKCS #11, PKCS #12, S/MIME, X.509 v3 et d'autres standards de sécurité. C'est utile pour implémenter SSL et S/MIME ou d'autres standards de sécurité sur Internet dans une application.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://ftp.mozilla.org/pub/mozilla.org/security/nss/releases/NSS_3_17_4_RTM/src/nss-3.17.4.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.mozilla.org/pub/mozilla.org/security/nss/releases/NSS_3_17_4_RTM/src/nss-3.17.4.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a77df26072cabf8afb26911b6fa9b755
Taille du téléchargement : 6.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 81 Mo
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/nss
Ce paquet ne supporte pas la construction en parallèle.
Installez NSS en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../nss-3.17.4-standalone-1.patch && cd nss && make BUILD_OPT=1 \ NSPR_INCLUDE_DIR=/usr/include/nspr \ USE_SYSTEM_ZLIB=1 \ ZLIB_LIBS=-lz \ $([ $(uname -m) = x86_64 ] && echo USE_64=1) \ $([ -f /usr/include/sqlite3.h ] && echo NSS_USE_SYSTEM_SQLITE=1) -j1
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
cd ../dist && install -v -m755 Linux*/lib/*.so /usr/lib && install -v -m644 Linux*/lib/{*.chk,libcrmf.a} /usr/lib && install -v -m755 -d /usr/include/nss && cp -v -RL {public,private}/nss/* /usr/include/nss && chmod -v 644 /usr/include/nss/* && install -v -m755 Linux*/bin/{certutil,nss-config,pk12util} /usr/bin && install -v -m644 Linux*/lib/pkgconfig/nss.pc /usr/lib/pkgconfig
BUILD_OPT=1
:
Cette variable est passée à make pour que la
construction s'effectue sans les symboles de débogage intégré
dans les binaires et que les optimisations du compilateur par
défaut soient utilisées.
NSPR_INCLUDE_DIR=/usr/include/nspr
:
Cette comande initialise l'emplacement des entêtes de nspr.
USE_SYSTEM_ZLIB=1
: Cette
option est passée à make pour garantir que la
bibliothèque libssl3.so
est
liée au système installé zlib au lieu de la version incluse dans
l'arborescence.
ZLIB_LIBS=-lz
:
Cette commande fournit le drapeau nécessaire pour lier au
système zlib.
$([ $(uname -m) = x86_64 ]
&& echo USE_64=1) : L'option
USE_64=1
est
exigée sur un x86_64,
sans quoi make
essaiera de créer des objets 32 bits (et échouera). Le test [
$(uname -m) = x86_64 ] garantit que cela n'aura pas d'effet
sur un système 32 bits.
([ -f /usr/include/sqlite3.h ]
&& echo
NSS_USE_SYSTEM_SQLITE=1) : Ceci teste si
sqlite est installé et, si
tel est le cas, il echos l'option
NSS_USE_SYSTEM_SQLITE=1 pour make pour que libsoftokn3.so
se lie à la version
installée sur le système de sqlite.
est l'outil de base de données de certificats de Mozilla. C'est un outil en ligne de commande qui peut modifier les fichiers de base de données cert8.db et key3.db de Netscape Communicator. Il peut aussi lister, générer, modifier ou effacer les certificats d'un fichier cert8.db et créer ou modifier le mot de passe, générer de nouveaux trousseaux de clés publiques et privées, afficher le contenu de la base de données des clés ou effacer des trousseaux de clés du fichier key3.db. |
|
est utilisé pour déterminer les réglages de la bibliothèque NSS de la version installée. |
|
est un outil pour importer des certificats et des clés depuis des fichiers pkcs #12 en NSS ou pour les exporter. Il peut aussi lister les certificats et les clés dans de tels fichiers. |
Last updated on : 2013-03-02 22:55:43 +010
Le paquet OpenSSH contient des clients ssh et le démon sshd. C'est utile dans le cadre d'une authentification chiffrée et d'un trafic réseau consécutif sur un réseau. Les commandes ssh et scp sont des implémentions sécurisées, respectivement de telnet et de rcp.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.openbsd.org/pub/OpenBSD/OpenSSH/portable/openssh-6.7p1.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.openbsd.org/pub/OpenBSD/OpenSSH/portable/openssh-6.7p1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3246aa79317b1d23cae783a3bf8275d6
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 32 Mo (additional 3 Mo if running the tests)
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU (running the tests takes at least 10 minutes, irrespective of processor speed)
OpenSSL-1.0.2 ou LibreSSL Portable
Linux-PAM-1.1.8, X Window System, MIT Kerberos V5-1.13.1, libedit OpenSC et libsectok
OpenJDK-1.8.0.31, Net-tools-CVS_20101030 et Sysstat-11.1.3.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/OpenSSH
OpenSSH lance pas moins de
deux processus en se connectant à d'autres ordinateurs. Le
premier processus est un processus privilégié et il contrôle
comme il faut l'émission de privilèges. Le deuxième processus
communique avec le réseau. Des étapes d'installation
supplémentaires sont nécessaires pour paramétrer le bon
environnement, effectuées en lançant les commandes suivantes
en tant qu'utilisateur root
:
install -v -m700 -d /var/lib/sshd && chown -v root:sys /var/lib/sshd && groupadd -g 50 sshd && useradd -c 'sshd PrivSep' -d /var/lib/sshd -g sshd -s /bin/false -u 50 sshd
Installez OpenSSH en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc/ssh \ --with-md5-passwords \ --with-privsep-path=/var/lib/sshd && make
La suite de tests demande l'installation d'une copie de
scp pour finir
les tests de multiplexage. Pour lancer la suite de tests,
commencez par copier le programme scp dans /usr/bin
, en faisant attention que vous
ayez une sauvegarde de tous les fichiers existants.
Pour lancer la suite de tests, tapez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 contrib/ssh-copy-id /usr/bin && install -v -m644 contrib/ssh-copy-id.1 /usr/share/man/man1 && install -v -m755 -d /usr/share/doc/openssh-6.7p1 && install -v -m644 INSTALL LICENCE OVERVIEW README* /usr/share/doc/openssh-6.7p1
--sysconfdir=/etc/ssh
:
Ceci empêche les fichiers de configuration de s'installer
dans /usr/etc
.
--with-md5-passwords
:
C'est nécessaire avec la configuration par défaut de la suite
de mots de passe Shadow dans LFS.
--with-pam
: Ce
paramètre active le support de Linux-PAM dans la construction.
--with-xauth=/usr/bin/xauth
:
Règle l'emplacement par défaut du binaire xauth pour l'authentication
X. Modifiez l'emplacement si xauth sera installé à un
autre endroit. Vous pouvez aussi contrôler cela depuis
sshd_config
avec le mot-clé
XAuthLocation. Vous pouvez vous passer de cette option si
Xorg est déjà installé.
--with-kerberos5=/usr
:
Cette option est utilisée pour inclure le support Heimdal
dans la construction.
--with-libedit
: Cette
option active les possibilités d'édition de lignes et
d'historique pour sftp.
~/.ssh/*
, /etc/ssh/ssh_config
et /etc/ssh/sshd_config
Aucune modification n'est nécessaire dans aucun de ces
fichiers. Cependant, vous pourriez souhaiter relire les
fichiers /etc/ssh/
et
effectuer les modifications adéquates pour la sécurité de
votre système. Une des modifications recommandées est de
désactiver la connexion en root
via ssh. Exécutez la commande
suivante en tant qu'utilisateur root
pour désactiver la connexion
root
via ssh :
echo "PermitRootLogin no" >> /etc/ssh/sshd_config
Si vous voulez vous loguer sans taper votre mot de passe, commencez par créer ~/.ssh/id_rsa et ~/.ssh/id_rsa.pub avec ssh-keygen et ensuite copiez ~/.ssh/id_rsa.pub dans ~/.ssh/authorized_keys sur l'ordinateur distant ou vous voulez vous loguer. Vous devrez changer REMOTE_USERNAME et REMOTE_HOSTNAME par le nom d'hôte de l'ordinateur distant et vous devrez entrer votre mot de passe pour que la commande ssh réussisse:
ssh-keygen && ssh-copy-id -i ~/.ssh/id_rsa.pubREMOTE_USERNAME
@REMOTE_HOSTNAME
Une fois que vous avez configuré un accès sans mot de
passe, c'est actuellement plus sécurisant que de vous
connecter avec un mot de passe (tant que la clé privé est
plus longue que la plupart des mots de passes). Si vous
voulez maintenant désactiver la connection avec mot de
passe, en tant qu'utilisateur root
:
echo "PasswordAuthentication no" >> /etc/ssh/sshd_config && echo "ChallengeResponseAuthentication no" >> /etc/ssh/sshd_config
Si vous avez ajouté le support de LinuxPAM, vous devrez ajouter un
fichier de configuration pour sshd et permettre l'utilisation de
LinuxPAM. Effectuez les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
sed 's@d/login@d/sshd@g' /etc/pam.d/login > /etc/pam.d/sshd && chmod 644 /etc/pam.d/sshd && echo "UsePAM yes" >> /etc/ssh/sshd_config
Vous pouvez trouver des informations de configuration supplémentaires dans les pages de man de sshd, ssh et de ssh-agent.
Pour lancer le serveur SSH au démarrage du système,
installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/sshd
fourni dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-sshd
est un programme de copie de fichier agissant comme rcp sauf qu'il utilise un protocole chiffré. |
|
est un programme de genre FTP fonctionnant sur les protocoles SSH1 et SSH2. |
|
est un sous-système de serveur SFTP. Ce programme n'est en principe pas appelé directement par l'utilisateur. |
|
est un lien symbolique vers ssh. |
|
est un client du type rlogin/rsh sauf qu'il utilise un protocole chiffré. |
|
est un démon qui écoute les requêtes de connexion ssh login. |
|
est un outil qui ajoute des clés à ssh-agent. |
|
est un agent d'authentication qui peut stocker des clés privées. |
|
est un script qui active les logins sur la machine distante en utilisant les clés local. |
|
est un outil de génération de clés. |
|
est un outil pour réunir des clés d'hôte publiques à partir d'un certain nombre d'hôtes. |
|
est utilisé par ssh pour accéder aux clés de l'hôte local et pour générer la signature numérique requise lors d'une authentification basée sur l'hôte avec le protocole SSH version 2. Ce programme n'est pas, en principe, appelé directement par l'utilisateur. |
|
est un programme d'aide de ssh-agentpour le support de PKCS#11. |
Last updated on : 2013-04-21 20:01:07 +020
Le paquet OpenSSL contient des outils et des bibliothèques de gestion en matière de chiffrement. Elles sont utiles pour fournir des fonctions de cryptographie à d'autres paquets, en particulier OpenSSH, des applications de messagerie électronique et des navigateurs Internet (pour accéder à des sites commençant par HTTPS).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://openssl.org/source/openssl-1.0.2.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://openssl.org/source/openssl-1.0.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 38373013fc85c790aabf8837969c5eba
Taille du téléchargement : 5.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 62 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 1.1 SBU (additional 0.4 SBU for the tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/OpenSSL
Installez OpenSSL avec les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../openssl-1.0.2-fix_parallel_build-1.patch && ./config --prefix=/usr \ --openssldir=/etc/ssl \ --libdir=lib \ shared \ zlib-dynamic && make
Pour tester les résultats, lancez : make test.
Si vous voulez désactiver l'installation des bibliothèques statiques, utilisez la commande sed :
sed -i 's# libcrypto.a##;s# libssl.a##' Makefile
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make MANDIR=/usr/share/man MANSUFFIX=ssl install && install -dv -m755 /usr/share/doc/openssl-1.0.2 && cp -vfr doc/* /usr/share/doc/openssl-1.0.2
shared
: Ce
paramètre oblige la création des bibliothèques partagées
ainsi que des bibliothèques statiques.
zlib-dynamic
:
Ce paramètre ajoute une fonction de compression/décompression
en utilisant la bibliothèque libz
.
no-rc5 no-idea
: Ajouté à la
commande ./config, cela éliminera la
construction de ces méthodes de chiffrement. Il se peut que
des licences d'autorisation soient nécessaires pour que vous
utilisiez une de ces méthodes dans vos projets.
make MANDIR=/usr/share/man
MANSUFFIX=ssl install: Cette commande
installe OpenSSL avec les
pages de manuel dans /usr/share/man
au lieu de /etc/ssl/man
et ajoute le suffix "ssl" aux
noms des pages de manuel pour éviter les conflits avec les
pages de manuel installées par d'autres paquets.
La plupart des utilisateurs voudront installer les certificats de l'Autorité des certificats pour valider les certificats téléchargés. Par exemple, ces certificats sont utilisés par git-2.3.0, cURL-7.40.0 ou Wget-1.16.1 lors de l'accès à des sites sécurisés (protocole https). Pour faire cela, suivez les instructions de la page Certificate Authority Certificates.
Les utilisateurs qui veulent simplement utiliser
OpenSSL pour offrir les
fonctions à d'autres programmes tels que OpenSSH et des navigateurs Internet
n'ont pas besoin de s'inquiéter de faire une configuration
supplémentaire. C'est un sujet avancé et ceux qui en ont
vraiment besoin devraient, en principe, soit savoir comment
mettre à jour correctement /etc/ssl/openssl.cnf
, soit être en mesure
de trouver la manière de le faire.
est un script Perl qui analyse tous les fichiers d'un répertoire et qui ajoute des liens symboliques à leurs valeurs hachées. |
|
est un outil en ligne de commande permettant d'utiliser diverses fonctions de la bibliothèque de chiffrement d'OpenSSL depuis le shell. On peut l'utiliser pour diverses fonctions qui sont documentées dans man 1 openssl. |
|
implémente une grande variété d'algorithmes de chiffrement utilisés dans divers standards Internet. Les services offerts par cette bibliothèque sont utilisés par des implémentations OpenSSL de SSL, de TLS et de S/MIME, et on les utilise aussi pour implémenter OpenSSH, OpenPGP, et d'autres standards de chiffrement. |
|
implémente le protocoles Secure Sockets Layer (SSL v2/v3) et Transport Layer Security (TLS v1). Elle offre une API riche, sur laquelle vous pouvez trouver de la documentation en lançant man 3 ssl. |
Last updated on : 2013-03-08 04:49:03 +010
Le paquet p11-kit offre une façon de charger et de numéroter des modules PKCS #11 (a Cryptographic Token Interface Standard (standard d'interface de chiffrement)).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://p11-glue.freedesktop.org/releases/p11-kit-0.22.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4e9bea1106628ffb820bdad24a819fac
Taille du téléchargement : 972 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 44 Mo (additional 6 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU (additional 0.1 SBU for tests)
Certificate Authority Certificates, libtasn1-4.2, et libffi-3.2.1
NSS-3.17.4, GTK-Doc-1.21 et libxslt-1.1.28
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/p11-kit
Installez p11-kit en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-hash-impl=freebl
: Utilisez
ce paramètre si vous voulez utiliser la bibliothèque Freebl
de NSS pour le calcul des
hashs SHA1 et MD5 hashing.
--enable-doc
: Utilisez ce
paramètre si vous avez installé GTK-Doc-1.21 et libxslt-1.1.28 et souhaitez reconstruire
la documentation et générer les pages de manuel.
Last updated on : 2013-04-17 16:22:59 +020
Polkit est un kit outil au niveau applicatif pour définir et gérer les règles permettant aux processus non privilégiés de communiquer avec des processus privilégiés.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.freedesktop.org/software/polkit/releases/polkit-0.112.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b0f2fa00a55f47c6a5d88e9b73f80127
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 17 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
GLib-2.42.1, et JS-17.0.0
DocBook XML-DTD-4.5, DocBook XSL Stylesheets-1.78.1, GTK-Doc-1.21, libxslt-1.1.28 et Linux-PAM-1.1.8
Si libxslt-1.1.28 est installé, alors
DocBook XML-DTD-4.5 et DocBook XSL
Stylesheets-1.78.1 sont requis. Si vous avez installé
libxslt-1.1.28, mais que vous ne
voulez pas installer un des paquets DocBook mentionnés,
vous devez utiliser --disable-man-pages
dans les instructions
qui suivent.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/polkit
Il doit y avoir un utilisateur et un groupe dédiés pour
prendre le contrôle du démon polkitd après qu'il soit
démarré. Tapez les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
groupadd -fg 27 polkitd && useradd -c "PolicyKit Daemon Owner" -d /etc/polkit-1 -u 27 \ -g polkitd -s /bin/false polkitd
Installez polkit en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --disable-static \ --enable-libsystemd-login=no \ --with-authfw=shadow && make
Pour tester les résultats, tapez : make check. Notez que le démon système D-Bus doit être lancé pur que la suite de tests puisse finir. Il y a également un avertisement à propos de l'abscence de base de données ConsoleKit, mais il peut être ignorer sans danger.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-libsystemd-login=no
:
Ce paramètre corrige la construction sans systemd, qui ne fait pas partie de
LFS/BLFS. Si vous utilisez systemd, remplacez "no" par "yes".
--with-authfw=shadow
: Ce
paramètre configure le paquet pour utiliser le système
d'authentification Shadow au
lieu de Linux-PAM.
Supprimez-le si vous voulez utiliser Linux-PAM.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Si vous n'avez pas construit polkit avec le support Linux PAM, vous pouvez sauter cette section.
Si vous avez construit polkit avec le support Linux PAM, vous devrez modifier le
fichier de configuration de pam qui a été installé par
défaut pour que polkit
fonctionne correctement avec BLFS. Tapez les commandes
suivantes en tant qu'utilisateur root
pour créer le fichier de
configuration pour Linux
PAM :
cat > /etc/pam.d/polkit-1 << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/polkit-1
auth include system-auth
account include system-account
password include system-password
session include system-session
# End /etc/pam.d/polkit-1
EOF
est utilisé pour obtenir des informations sur les actions PolicyKit enregistrées. |
|
est utilisé pour vérifier si un processus est autorisé à faire une action. |
|
permet à un utilisateur autorisé d'exécuter une commande en tant qu'utilisateur différent. |
|
est utilisé pour démarrer un l'agent d'authentification en mode texte. |
|
fournit le service D-Bus de org.freedesktop.PolicyKit1 sur le bus de message du système. |
|
contient les fonctions de l'API de polkit pour l'authentification. |
|
contient les fonctions de l'API d'authentification polkit. |
Last updated on : 2013-03-16 00:11:00 +010
Shadow a effectivement été installé dans LFS et il n'y a aucune raison pour le réinstaller, sauf si vous avez installé CrackLib ou Linux-PAM après que votre système LFS ai été terminé. Si vous avez installé CrackLib après LFS, la réinstallation de Shadow activera le support des mots de passe renforcés. Si vous avez installé Linux-PAM, la réinstallation de Shadow permettra à des programmes tels que login et su d'utiliser PAM.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://pkg-shadow.alioth.debian.org/releases/shadow-4.2.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2bfafe7d4962682d31b5eba65dba4fc8
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 53 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Linux-PAM-1.1.8 ou CrackLib-2.9.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/shadow
Les commandes d'installation indiquées ci-dessous valent pour les installations où on a installé Linux-PAM (avec ou sans installation CrackLib) et Shadow devra être réinstallé pour supporter l'installation Linux-PAM.
Si vous réinstallez Shadow
pour offrir le support des mots de passe forts en utilisant
la bibliothèque CrackLib
sans utiliser Linux-PAM,
assurez-vous d'ajouter le paramètre --with-libcrack
au script
configure
ci-dessous et lancez aussi la commande suivante :
sed -i 's@DICTPATH.*@DICTPATH\t/lib/cracklib/pw_dict@' etc/login.defs
Réinstallez Shadow en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's/groups$(EXEEXT) //' src/Makefile.in && find man -name Makefile.in -exec sed -i 's/groups\.1 / /' {} \; && sed -i -e 's@#ENCRYPT_METHOD DES@ENCRYPT_METHOD SHA512@' \ -e 's@/var/spool/mail@/var/mail@' etc/login.defs && sed -i 's/1000/999/' etc/useradd && ./configure --sysconfdir=/etc --with-group-name-max-length=32 && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mv -v /usr/bin/passwd /bin
sed -i 's/groups$(EXEEXT) //' src/Makefile.in : Cette commande est utilisée pour supprimer l'installation du programme groups vu qu'on préfère la version issue du paquet Coreutils installé avec LFS.
find man -name Makefile.in -exec ... {} ; : Cette commande est utilisée pour supprimer l'installation des pages de man groups pour que ceux existant et issus du paquet Coreutils ne sont pas remplacés.
sed -i -e 's@#ENCRYPT_METHOD
DES@ENCRYPT_METHOD SHA512@' -e 's@/var/spool/mail@/var/mail@'
etc/login.defs : Au lieu d'utiliser la
méthode 'DES' par défaut, cette commande modifie
l'installation pour utiliser la méthode plus sécurisé
'SHA512' de chiffrement des mots de passe plus sécurisée, qui
autorise aussi les mots de passe d'une longueur supérieure à
huit caractères. Elle modifie aussi l'emplacement
/var/spool/mail
obsolète pour
les boîtes aux lettres utilisateur qu'utilise Shadow par défaut en emplacement
/var/mail
.
sed -i 's/1000/999/' etc/useradd: Fait une modification mineur pour faire que l'ajout de l'utilisateur par défaut soit cohérent avec le fichier groups de LFS.
--with-group-name-max-length=32
:
Le nom d'utilisateur utilise au maximum 32 caractères. Faites
la même chose pour le nom du groupe.
mv -v /usr/bin/passwd
/bin : Le programme passwd peut être nécessaire
aux moments où le système de fichiers /usr
n'est pas monté pour qu'il soit
déplacé dans la partition racine.
La configuration stock de Shadow pour l'outil useradd peut ne pas être
désirable pour votre installation. Un paramètre par défaut a
pour conséquence que useradd crée un fichier de
boîte aux lettres pour chaque nouvel utilisateur créé.
useradd donnera
l'appartanenance de ce groupe au groupe mail
avec les droits 0660. Si vous
préféreriez que ces fichiers boîtes aux lettres ne soient pas
créés par useradd, lancez la commande
suivante en tant qu'utilisateur root
:
sed -i 's/yes/no/' /etc/default/useradd
Le reste de cette page est consacré à la configuration de Shadow pour fonctionner correctement avec Linux-PAM. Si vous n'avez pas installé Linux-PAM et si vous avez réinstallé Shadow pour supporter les mots de passe forts via la bibliothèque CrackLib, aucune configuration supplémentaire n'est nécessaire.
La configuration de votre système pour utiliser Linux-PAM peut être une tâche complexe. Les informations ci-dessous fourniront un paramétrage de base pour que la fonctionnalité de connexion et de mot de passe de Shadow fonctionne bien avec Linux-PAM. Regardez les informations et les liens sur la page Linux-PAM-1.1.8 pour des informations de configuration supplémentaires. Pour des informations spécifiques à l'intégration de Shadow, Linux-PAM et CrackLib, vous pouvez visiter les liens suivants :
Le programme login effectue
actuellement beaucoup de fonctions que les modules
Linux-PAM devraient
maintenant gérer. La commande sed suivante va
commenter les lignes adéquates dans /etc/login.defs
et arrêter login d'effectuer ces
fonctions (un fichier de sauvegarde appelé /etc/login.defs.orig
est également créé
pour préserver le contenu du fichier d'origine). Exécutez
les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
install -v -m644 /etc/login.defs /etc/login.defs.orig && for FUNCTION in FAIL_DELAY \ FAILLOG_ENAB \ LASTLOG_ENAB \ MAIL_CHECK_ENAB \ OBSCURE_CHECKS_ENAB \ PORTTIME_CHECKS_ENAB \ QUOTAS_ENAB \ CONSOLE MOTD_FILE \ FTMP_FILE NOLOGINS_FILE \ ENV_HZ PASS_MIN_LEN \ SU_WHEEL_ONLY \ CRACKLIB_DICTPATH \ PASS_CHANGE_TRIES \ PASS_ALWAYS_WARN \ CHFN_AUTH ENCRYPT_METHOD \ ENVIRON_FILE do sed -i "s/^${FUNCTION}/# &/" /etc/login.defs done
Comme indiqué précédemment dans les instructions pour
Linux-PAM, Linux-PAM supporte deux méthodes de
configuration. Les commandes ci-dessous supposent que
vous avez choisi d'utiliser une configuration basée sur
le répertoire, où chaque programme a son propre fichier
de configuration. Vous pouvez éventuellement utiliser un
seul fichier de configuration /etc/pam.conf
en utilisant le texte de
configuration des fichiers ci-dessous, en fournissant le
nom du programme comme premier champ à chaque ligne.
En tant qu'utilisateur root
, remplacez les fichiers de
configuration Linux-PAM
suivants dans le répertoire /etc/pam.d/
(ou ajoutez le contenu du
fichier /etc/pam.conf
) en
utilisant les commandes suivantes :
cat > /etc/pam.d/system-account << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/system-account
account required pam_unix.so
# End /etc/pam.d/system-account
EOF
cat > /etc/pam.d/system-auth << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/system-auth
auth required pam_unix.so
# End /etc/pam.d/system-auth
EOF
cat > /etc/pam.d/system-password << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/system-password
# check new passwords for strength (man pam_cracklib)
password required pam_cracklib.so type=Linux retry=3 difok=5 \
difignore=23 minlen=9 dcredit=1 \
ucredit=1 lcredit=1 ocredit=1 \
dictpath=/lib/cracklib/pw_dict
# use sha512 hash for encryption, use shadow, and use the
# authentication token (chosen password) set by pam_cracklib
# above (or any previous modules)
password required pam_unix.so sha512 shadow use_authtok
# End /etc/pam.d/system-password
EOF
Dans sa configuration par défaut, en fonction des
droits, pam_cracklib permettra des mots de passe avec
plusieurs casses aussi brefs que 6 caractères, même
avec la valeur minlen
réglé sur 11. Vous
devriez relire la page de man de pam_cracklib(8) et
déterminer si ces valeurs par défaut sont acceptables
pour la sécurité de votre système.
cat > /etc/pam.d/system-password << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/system-password
# use sha512 hash for encryption, use shadow, and try to use any previously
# defined authentication token (chosen password) set by any prior module
password required pam_unix.so sha512 shadow try_first_pass
# End /etc/pam.d/system-password
EOF
cat > /etc/pam.d/system-session << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/system-session
session required pam_unix.so
# End /etc/pam.d/system-session
EOF
cat > /etc/pam.d/login << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/login
# Set failure delay before next prompt to 3 seconds
auth optional pam_faildelay.so delay=3000000
# Check to make sure that the user is allowed to login
auth requisite pam_nologin.so
# Check to make sure that root is allowed to login
# Disabled by default. You will need to create /etc/securetty
# file for this module to function. See man 5 securetty.
#auth required pam_securetty.so
# Additional group memberships - disabled by default
#auth optional pam_group.so
# include the default auth settings
auth include system-auth
# check access for the user
account required pam_access.so
# include the default account settings
account include system-account
# Set default environment variables for the user
session required pam_env.so
# Set resource limits for the user
session required pam_limits.so
# Display date of last login - Disabled by default
#session optional pam_lastlog.so
# Display the message of the day - Disabled by default
#session optional pam_motd.so
# Check user's mail - Disabled by default
#session optional pam_mail.so standard quiet
# include the default session and password settings
session include system-session
password include system-password
# End /etc/pam.d/login
EOF
cat > /etc/pam.d/passwd << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/passwd
password include system-password
# End /etc/pam.d/passwd
EOF
cat > /etc/pam.d/su << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/su
# always allow root
auth sufficient pam_rootok.so
auth include system-auth
# include the default account settings
account include system-account
# Set default environment variables for the service user
session required pam_env.so
# include system session defaults
session include system-session
# End /etc/pam.d/su
EOF
cat > /etc/pam.d/chage << "EOF"
#Begin /etc/pam.d/chage
# always allow root
auth sufficient pam_rootok.so
# include system defaults for auth account and session
auth include system-auth
account include system-account
session include system-session
# Always permit for authentication updates
password required pam_permit.so
# End /etc/pam.d/chage
EOF
for PROGRAM in chfn chgpasswd chpasswd chsh groupadd groupdel \ groupmems groupmod newusers useradd userdel usermod do install -v -m644 /etc/pam.d/chage /etc/pam.d/${PROGRAM} sed -i "s/chage/$PROGRAM/" /etc/pam.d/${PROGRAM} done
À cette étape, vous devriez faire un simple test pour
voir si Shadow
fonctionne comme prévu. Ouvrez un autre terminal et
connectez-vous en tant qu'utilisateur, puis
su en
root
. Si vous ne voyez
pas d'erreurs, tout va bien et vous devriez poursuivre
le reste de la configuration. Si vous avez reçu des
erreurs, arrêtez-vous maintenant et vérifiez à deux
reprises les fichiers de configuration ci-dessus à la
main. Vous pouvez aussi lancer la suite de tests à
partir du paquet Linux-PAM pour vous aider à
déterminer le problème. Si vous n'arrivez pas à trouver
et à corriger l'erreur, vous devriez recompiler
Shadow en ajoutant le
paramètre --without-libpam
à la commande configure dans les
instructions ci-dessus (déplacez aussi le fichier de
sauvegarde /etc/login.defs.orig
dans
/etc/login.defs
). Si vous
n'arrivez pas à faire cela et si les erreurs demeurent,
vous ne pourrez pas vous connecter à votre système.
Actuellement, /etc/pam.d/other
est configuré pour
autoriser n'importe qui ayant un compte sur la machine à
utiliser des programmes utilisant PAM sans fichier de
configuration pour ce programme. Après avoir testé la
bonne configuration de Linux-PAM, installez un fichier
other
plus restrictif afin
que les fichiers de configuration spécifiques au
programme soient requis :
cat > /etc/pam.d/other << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/other
auth required pam_warn.so
auth required pam_deny.so
account required pam_warn.so
account required pam_deny.so
password required pam_warn.so
password required pam_deny.so
session required pam_warn.so
session required pam_deny.so
# End /etc/pam.d/other
EOF
Au lieu d'utiliser le fichier /etc/login.access
pour contrôler
l'accès au système, Linux-PAM utilise le module
pam_access.so
ainsi que le
fichier /etc/security/access.conf
. Renommez le
fichier /etc/login.access
en utilisant la commande suivante :
[ -f /etc/login.access ] && mv -v /etc/login.access{,.NOUSE}
Au lieu d'utiliser le fichier /etc/limits
pour limiter l'utilisation
des ressources système, Linux-PAM utilise le module
pam_limits.so
ainsi que le
fichier /etc/security/limits.conf
. Renommez le
fichier /etc/limits
en
utilisant la commande suivante :
[ -f /etc/limits ] && mv -v /etc/limits{,.NOUSE}
Vous pouvez trouver une liste des fichiers installés ainsi que leurs descriptions courtes sur http://www.linuxfromscratch.org/lfs/view/7.7/chapter06/shadow.html#contents-shadow.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
ssh-askpass est un nom d'exécutable générique pour beaucoup de paquets, avec des noms similaires, qui fournissent un service X interactif pour saisir les mots de passe des paquets nécessitant les privilèges administratifs pour être lancés. Il affiche l'utilisateur avec une fenêtre ou le mot de passe nécessaire peut être inséré. Ici nous choisissons le paquet de Damien Miller distribué dans l'archive OpenSSH.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.openbsd.org/pub/OpenBSD/OpenSSH/portable/openssh-6.7p1.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.openbsd.org/pub/OpenBSD/OpenSSH/portable/openssh-6.7p1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3246aa79317b1d23cae783a3bf8275d6
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 7.1 Mo
Estimation du temps de construction : Less than 0.1 SBU
gtk+-2.24.26, sudo-1.8.12 (exécution) Xorg Libraries, et X Window System (exécution)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ssh-askpass
Installez ssh-askpass en lançant les commandes suivantes :
cd contrib && make gnome-ssh-askpass2
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
install -v -d -m755 /usr/libexec/openssh/contrib && install -v -m755 gnome-ssh-askpass2 /usr/libexec/openssh/contrib && ln -sv -f contrib/gnome-ssh-askpass2 /usr/libexec/openssh/ssh-askpass
L'utilisation de /usr/libexec/openssh/contrib et d'un lien symbolique sont justifiés par la nécessité éventuelle d'un programme différent pour ce service.
En tant qu'utilisateur root
, configurez sudo-1.8.12 pour utiliser
ssh-askpass :
cat >> /etc/sudo.conf << "EOF" &&
# Path to askpass helper program
Path askpass /usr/libexec/openssh/ssh-askpass
EOF
chmod -v 0644 /etc/sudo.conf
Si une <application> graphique donnée demande les privilèges administratifs, utilisez sudo -A <application> depuis un x-terminal, depuis un menu de gestionnaire de fenêtres et/ou remplacez "Exec=<application> ..." par "Exec=sudo -A <application> ..." dans le fichier <application>.desktop.
Last updated on 2013-11-08 18:23:05 -0300
Le paquet Stunnel contient un programme qui vous permet de chiffrer des connexions TCP de votre choix en SSL (Secure Sockets Layer) pour que vous puissiez communiquer facilement avec des clients par des canaux sécurisés. Stunnel peut être utilisé pour ajouter la fonctionnalité SSL aux démons Inetd couramment utilisés comme les serveurs POP-2, POP-3, et IMAP, aussi bien qu'à des démons autonomes comme NNTP, SMTP et HTTP. stunnel peut aussi être utilisé pour les tunnels PPP par des sockets réseaux sans modifications du code source du paquet du serveur.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://mirrors.zerg.biz/stunnel/stunnel-5.10.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.stunnel.org/stunnel/stunnel-5.10.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a0edda805eb7d6ea600a230fb0979ea1
Taille du téléchargement : 592 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
tcpwrappers et TOR
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/stunnel
Le démon stunnel sera lancé dans une
cage chroot par
un utilisateur non privilégié. Créez le nouvel utilisateur et
le nouveau groupe en utilisant les commandes suivantes en
tant qu'utilisateur root
:
groupadd -g 51 stunnel && useradd -c "stunnel Daemon" -d /var/lib/stunnel \ -g stunnel -s /bin/false -u 51 stunnel
Un certificat SSL signé et une clé privée sont nécessaires
pour lancer le démon stunnel. Après que le
paquet est installé, il y a des instructions pour les
générer. Cependant si vous possédez ou si vous avez déjà
créé un certificat SSL signé que vous souhaitez l'utiliser,
copiez-le dans /etc/stunnel/stunnel.pem
avant de
commencer la construction (assurez-vous que seul
root
a l'accès en lecture
et écriture). Le fichier .pem
doit être formaté comme décrit ci-dessous :
-----BEGIN PRIVATE KEY-----
<many encrypted lines of private key>
-----END PRIVATE KEY-----
-----BEGIN CERTIFICATE-----
<many encrypted lines of certificate>
-----END CERTIFICATE-----
-----BEGIN DH PARAMETERS-----
<encrypted lines of dh parms>
-----END DH PARAMETERS-----
Installez Stunnel en lançant les commandes suivantes :
Pour certains sytèmes avec une version de binutils inférieure à 2.25, configure peut échouer. Si nécessaire, corrigez le avec:
sed -i '/LDFLAGS.*static_flag/ s/^/#/' configure
ou, si llvm-3.5.1 est installé avec Clang, vous pouvez remplacer ./configure ... avec CC=clang ./configure ... dans la première commande dessous.
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --disable-systemd && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make docdir=/usr/share/doc/stunnel-5.10 install
si vous n'avez pas déjà un certificat SSL signé et une clé
privé, créez le fichier stunnel.pem
dans le répertoire /etc/stunnel
en utilisant la commande
suivante. Vous aurez une invite pour rentrer les informations
nécessaires. Assurez vous de répondre à
Common Name (FQDN of your server) [localhost]:
répondre avec le nom ou l'adresse IP que vous utiliserez pour accéder au(x) service(s).
Pour générer un certificat, en tant qu'utilisateur
root
, tapez:
make cert
--disable-systemd
: Ce
paramètre désactive le support de l'activation de systemd,
qui n'est pas disponible dans BLFS.
make docdir=... install : Cette commande installe le paquet et modifie le répertoire d'installation de la documentation en un nom conforme aux conventions.
En tant qu'utilisateur root
, créez le répertoire utilisé pour
le fichier .pid
créé quand le
démon Stunnel
démarre :
install -v -m750 -o stunnel -g stunnel -d /var/lib/stunnel/run && chown stunnel:stunnel /var/lib/stunnel
Ensuite, créez un fichier de configuration /etc/stunnel/stunnel.conf
de base en
utilisant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
cat >/etc/stunnel/stunnel.conf << "EOF" &&
; File: /etc/stunnel/stunnel.conf
; Note: The pid and output locations are relative to the chroot location.
pid = /run/stunnel.pid
chroot = /var/lib/stunnel
client = no
setuid = stunnel
setgid = stunnel
cert = /etc/stunnel/stunnel.pem
;debug = 7
;output = stunnel.log
;[https]
;accept = 443
;connect = 80
;; "TIMEOUTclose = 0" is a workaround for a design flaw in Microsoft SSL
;; Microsoft implementations do not use SSL close-notify alert and thus
;; they are vulnerable to truncation attacks
;TIMEOUTclose = 0
EOF
chmod -v 644 /etc/stunnel/stunnel.conf
Enfin, ajoutez le(s) service(s) que vous souhaitez chiffrer au fichier de configuration. Le format ressemble à ce qui suit :
[<service>
]
accept = <hostname:portnumber>
connect = <hostname:portnumber>
Si vous utilisez Stunnel
pour chiffrer un démon lancé à partir de [x]inetd, il se peut que
vous deviez désactiver ce démon dans le fichier
/etc/[x]inetd.conf
et activer
un service <service>
_stunnel
correspondant. Il se peut que vous deviez également ajouter
une entrée adéquate dans /etc/services
.
Pour une explication complète des commandes et de leurs syntaxes, utilisées dans le fichier de configuration, lancez man stunnel.
Pour démarrer automatiquement le démon stunnel quand on démarre
le système, installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/stunnel
du paquet
blfs-bootscripts-20150304.
make install-stunnel
est un programme conçu pour fonctionner en tant qu'enveloppe SSL chiffrée entre des clients distants et locaux ({x}inetd-startable) ou des serveurs distants. |
|
est un script enveloppe Perl pour utiliser la syntaxe stunnel 3.x avec stunnel >=4.05. |
|
contient les fonctions API exigées par Stunnel. |
Last updated on : 2012-11-01 23:40:42 +010
Le paquet sudo permet à un
administrateur système de donner à certains utilisateurs (ou
à certains groupes d'utilisateurs) la possibilité de lancer
tout ou partie des commandes en tant qu'utilisateur
root
ou qu'un autre
utilisateur en enregistrant les commandes et les arguments.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.sudo.ws/sudo/dist/sudo-1.8.12.tar.gz
Téléchargement (FTP): ftp://ftp.sudo.ws/pub/sudo/sudo-1.8.12.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 87558f3a55c62bc9244b19594f103ffa
Taille du téléchargement : 2.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 24 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
Linux-PAM-1.1.8, MIT Kerberos V5-1.13.1, OpenLDAP-2.4.40, MTA (qui fournit la commande sendmail ), AFS, FWTK, Opie, et SecurID
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sudo
Installez sudo en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --libexecdir=/usr/lib \ --with-secure-path \ --with-all-insults \ --with-env-editor \ --docdir=/usr/share/doc/sudo-1.8.12 \ --with-passprompt="[sudo] password for %p" && make
Pour tester les résultats, tapez: env LC_ALL=C make check 2>&1 | tee ../make-check.log. Vérifiez les résultats avec grep failed ../make-check.log.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && ln -sfv libsudo_util.so.0.0.0 /usr/lib/sudo/libsudo_util.so.0
--libexecdir=/usr/lib
: Ce
paramètre contrôle où les programmes privés sont installés.
Tous dans ce répertoire est une bibliothèque, alors ils sont
mis dans /usr/lib
au lieu de
/usr/libexec
.
--with-secure-path
:
Ce paramètre ajoute de façon transparente les répertoires
/sbin
et /usr/sbin
dans la variable d'environnement
PATH
.
--with-all-insults
: Ce
paramètre inclut tous les paramètres d'insultes de
sudo.
--with-env-editor
: Ce
paramètre active l'utilisation de la variable d'environnement
EDITOR pour visudo.
--with-passprompt
: Ce
paramètre initialise le prompt.
--without-pam
: empêche de
construire le support PAM
quand PAM est installé sur
le système.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Il y a de nombreuses options pour la commande configure de sudo. Regardez la sortie de configure --help pour une liste complète.
ln -sfv libsudo_util...: contourne un bogue dans le process d'installation, qui lie à la version précédement installé (si elle est la) aulieu de la dernière.
Le fichier sudoers
peut être
très compliqué. Il se compose de deux types
d'entrées : des alias (des variables de base) et des
spécifications utilisateur (qui indiquent qui peut lancer
quoi). L'installation installe une configuration par défaut
qui n'a aucun privilège installés pour aucun utilisateur.
Un exemple d'utilisation est de permettre à l'administrateur système d'exécuter n'importe quel programme sans taper de mots de passe à chaque fois que les privilèges root sont nécessaires. On peut configurer cela ainsi :
# User alias specification User_Alias ADMIN = YourLoginId # Allow people in group ADMIN to run all commands without a password ADMIN ALL = NOPASSWD: ALL
Pour des détails, voir man sudoers.
Les développeurs de Sudo
recommandent fortement d'utiliser le programme
visudo pour
éditer le fichier sudoers
.
Il fournira une vérification de santé de base comme
l'analyse de la syntaxe et les droits du fichiers pour
éviter des erreurs possibles qui pourraient aboutir à une
configuration vulnérable.
Si PAM est installé sur le
système, Sudo est
construit avec le support PAM, exécutez la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
pour créer le fichier de configuration PAM :
cat > /etc/pam.d/sudo << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/sudo
# include the default auth settings
auth include system-auth
# include the default account settings
account include system-account
# Set default environment variables for the service user
session required pam_env.so
# include system session defaults
session include system-session
# End /etc/pam.d/sudo
EOF
chmod 644 /etc/pam.d/sudo
exécute une commande en tant qu'un autre
utilisateur selon les permissions du fichier de
configuration |
|
est un lien symbolique vers sudo qui inclut
l'option |
|
permet une édition sécurisée du fichier
|
|
est utilisé pour rejouer ou afficher les logs de sorties créés par sudo. |
Last updated on : 2013-03-04 00:23:09 +010
Le paquet Tripwire contient des programmes utilisés pour vérifier l'intégrité des fichiers sur un système donné.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/tripwire/tripwire-2.4.2.2-src.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2462ea16fb0b5ae810471011ad2f2dd6
Taille du téléchargement : 704 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 31 Mo
Estimation du temps de construction : 1.3 SBU
An MTA
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/tripwire
Compilez Tripwire en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e 's@TWDB="${prefix}@TWDB="/var@' install/install.cfg && sed -i -e 's/!Equal/!this->Equal/' src/cryptlib/algebra.h && sed -i -e '/stdtwadmin.h/i#include <unistd.h>' src/twadmin/twadmincl.cpp && sed -i -e '/TWMAN/ s|${prefix}|/usr/share|' \ -e '/TWDOCS/s|${prefix}/doc/tripwire|/usr/share/doc/tripwire-2.4.2.2|' \ install/install.cfg && sed -i -e 's/eArchiveOpen e\([^)]*)\)/throw ( eArchiveOpen\1 )/' \ -e '/throw e;/d' src/core/archive.cpp && ./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc/tripwire && make
La configuration par défaut consiste à utiliser un MTA
local. Si vous n'avez pas installé de MTA et si vous ne
souhaitez pas en installer, modifiez install/install.cfg
pour utiliser plutôt
un serveur SMTP. Sans cela, l'installation échouera.
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && cp -v policy/*.txt /usr/share/doc/tripwire-2.4.2.2
sed -i -e
's@TWDB="${prefix}@TWDB="/var@'
install/install.cfg : Cette commande dit
au paquet d'installer la base de données et les rapports du
programme dans /var/lib/tripwire
.
sed ... src/cryptlib/algebra.h : Corrige la compilation avec gcc-4.7.
sed ... src/twadmin/twadmincl.cpp : Corrige la compilation avec gcc-4.7.
sed ... install/install.cfg: Corrige l'emplacement des répertoires man et doc.
sed ... src/core/archive.cpp: Corrige la compilation avec gcc-4.9.
make
install : Cette commande crée les clés
de sécurité Tripwire et
installe les binaires. Il y a deux clés : une clé
distante et une clé locale qui sont stockées dans
/etc/tripwire/
.
Pendant make install, plusieurs questions sont posées, incluant les mots de passe. Si vous voulez faire un script, vous devez appliquer un sed avant de lancer make install:
sed -i -e
's@install/install.sh@& -n -s<site-password>
-l<local-password>
@'
Makefile
biensur, vous devez faire cela avec des mots de passe triviaux et les changer ensuite.
cp -v policy/*.txt /usr/doc/tripwire : Cette commande installe les fichiers de politique modèle tripwire avec le reste de la documentation de tripwire.
Tripwire utilise un
fichier de règles pour déterminer les fichiers dont
l'intégrité est à vérifier. Le fichier de règles par défaut
(/etc/tripwire/twpol.txt
)
vaut pour une installation par défaut et devra être mis à
jour selon votre système.
Vous devriez adapter les fichiers de règles individuels à
chaque distribution et/ou installation. Vous pouvez trouver
certains fichiers de règles d'exemples dans /usr/doc/tripwire/
.
Si vous le souhaitez, copiez le fichier de règles que vous
aimeriez essayer dans /etc/tripwire/
au lieu d'utiliser le
fichier de règles par défaut, twpol.txt
. Néanmoins, on vous recommande
d'éditer votre propre fichier de règles. Inspirez-vous des
exemples ci-dessus et lisez /usr/share/doc/tripwire/policyguide.txt
pour des informations supplémentaires. twpol.txt
est un bon fichier de règles
pour apprendre Tripwire
car il remarquera n'importe quelle modification dans le
système de fichiers et il peut même être utilisé comme une
façon ennuyeuse de garder une trace des changements de
désinstallation d'un logiciel.
Après que votre fichier de règles a été éditez selon vos
désirs, vous pouvez commencer les étapes de configuration
(effectuez en tant qu'utilisateur root
) :
twadmin --create-polfile --site-keyfile /etc/tripwire/site.key \ /etc/tripwire/twpol.txt && tripwire --init
Selon votre système et le contenu du fichier de règles, la phase d'initialisation ci-dessus peut prendre un temps relativement long.
Tripwire identifiera les modifications de fichiers dans les fichiers critiques du système indiqués dans le fichier de règles. L'utilisation de Tripwire si vous modifiez souvent ces répertoires marquera toutes ces modifications. C'est souvent utile après que le système a atteint une configuration considérée comme stable par l'utilisateur.
Pour utiliser Tripwire après avoir créé un fichier de règles pour lancer un signalement, utilisez la commande suivante :
tripwire --check > /etc/tripwire/report.txt
Observez la sortie pour vérifier l'intégrité de vos fichiers. Un rapport automatique d'intégrité peut être obtenu en utilisant une fonctionnalité cron pour programmer à l'avance les exécutions.
Les rapports sont stockés en binaire et, si vous le
désirez, chiffrés. Observez les rapports, en tant
qu'utilisateur root
,
avec :
twprint --print-report -r /var/lib/tripwire/report/<report-name.twr>
Après que vous avez lancé une vérification d'intégrité,
vous devriez examiner le rapport (ou le message
électronique) puis modifier la base de données Tripwire pour refléter les fichiers
modifiés sur votre système. Ceci pour que Tripwire ne vous notifie pas en
permanence que des fichiers que vous avez volontairement
modifiés sont une violation de sécurité. Pour faire cela,
vous devez tout d'abord faire ls -l
/var/lib/tripwire/report/ et remarquer le
nom du fichier le plus récent qui commence par le nom de
votre système tel que présenté par la commande
uname -n
et
qui finit par .twr
. Ces
fichiers ont été créés pendant la création du rapport et le
plus actuel est nécessaire pour mettre à jour la base de
données Tripwire de votre
système. En tant qu'utilisateur root
, entrez la commande suivante en
faisant le nom du rapport adéquat :
tripwire --update --twrfile /var/lib/tripwire/report/<report-name.twr>
Vous serez mis dans vim avec une copie du rapport face à vous. Si tous les changements sont corrects, tapez simplement :wq et après avoir entré votre clé locale, la base de données sera mise à jour. S'il y a des fichiers pour lesquels vous voulez encore être averti, supprimez le 'x' avant le nom du fichier dans le rapport et tapez :wq.
Si vous n'êtes pas content de votre fichier de règles et si
vous aimeriez le modifier ou en utiliser un nouveau,
modifiez le fichier de règles puis exécutez les commandes
suivantes en tant qu'utilisateur root
:
twadmin --create-polfile /etc/tripwire/twpol.txt && tripwire --init
est un outil rassembleur de signatures qui affiche les valeurs de la fonction de hachage pour les fichiers spécifiés. |
|
est le programme principal de vérification d'intégrité des fichiers. |
|
outil d'administration utilisé pour effectuer certaines fonctions administratives et certaines options de configuration liées aux fichiers Tripwire. |
|
affiche une base de données et des fichiers de rapport Tripwire au format texte en clair. |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Les systèmes de fichiers journalisés diminuent le temps nécessaire à la récupération d'un système de fichiers qui n'a pas été démonté correctement. Si cela peut être extrêmement important pour réduire le temps d'indisponibilité des serveurs, c'est aussi devenu populaire pour les environnements de bureau. Ce chapitre contient deux autres systèmes de fichiers journalisés que vous pouvez utiliser à la place du système de fichiers étendu LFS par défaut (ext2/3/4). Il fournit aussi des éléments d'introduction sur la gestion des échelles du disque dur.
La seule fonction d'un initramfs est de monter le système de fichier racine. L'initramfs est un ensemble complet de répertoires que vous pouvez trouver dans un système de fichiers racine normal. Il est regroupé dans une seule archive cpio et compressé avec l'un des nombreux algorithmes de compression.
Au moment du démarrage, le chargeur de démarrage charge le noyau et l'image initramfs dans la mémoire et démarre le noyau. Le noyau vérifie la présence d'un initramfs et, s'il le trouve, le monte sur / et lance /init. Le programme init est typiquement un script shell. Notez que le processus de démarrage est plus long, même significativement plus long, si un initramfs est utilisé.
Pour la plupart des distributions, les modules du noyau sont la plus importante raison d'avoir un initramfs. Dans une distribution générale, il y a beaucoup d'inconnues comme les types de systèmes de fichiers et les couches des disques. Dans un sens, c'est l'opposé de LFS où les capacités et les couches du systèmes sont connus et un noyau personnalisé est normallement construit. Dans cette situation, un initramfs est rarement nécessaire.
Il y a seulement quatre raison d'avoir un initramfs dans un environnement LFS : le chargement du rootfs depuis le réseau, son chargement depuis un volume logique LVM, avoir un rootfs chiffré ou un mot de passe est requis, ou pour le confort d'un rootfs spécifié par un LABEL ou un UUID. Les autres cas signifient souvent que le noyau n'est pas configuré correctement.
Si vous décidez de construire un initramfs, les scripts suivants fourniront les bases pour le faire. Les scripts autoriseront la spécification du rootfs via un UUID de partition ou un LABEL de partition ou un rootfs dans un volume logique LVM. Ils ne supportent pas les systèmes de fichier racine chiffrés ou le montage des rootfs par des cartes réseaux. Pour plus d'informations sur les possibilités,voir L'astuce LFS ou dracut.
Pour installer ces scripts, lancez les commandes suivantes en
tant qu'utilisateur root
:
cat > /sbin/mkinitramfs << "EOF"
#!/bin/bash
# This file based in part on the mkinitrafms script for the LFS LiveCD
# written by Alexander E. Patrakov and Jeremy Huntwork.
copy()
{
local file
if [ "$2" == "lib" ]; then
file=$(PATH=/lib:/usr/lib type -p $1)
else
file=$(type -p $1)
fi
if [ -n $file ] ; then
cp $file $WDIR/$2
else
echo "Missing required file: $1 for directory $2"
rm -rf $WDIR
exit 1
fi
}
if [ -z $1 ] ; then
INITRAMFS_FILE=initrd.img-no-kmods
else
KERNEL_VERSION=$1
INITRAMFS_FILE=initrd.img-$KERNEL_VERSION
fi
if [ -n "$KERNEL_VERSION" ] && [ ! -d "/lib/modules/$1" ] ; then
echo "No modules directory named $1"
exit 1
fi
printf "Creating $INITRAMFS_FILE... "
binfiles="sh cat cp dd killall ls mkdir mknod mount "
binfiles="$binfiles umount sed sleep ln rm uname"
# Systemd installs udevadm in /bin. Other udev implementations have it in /sbin
if [ -x /bin/udevadm ] ; then binfiles="$binfiles udevadm"; fi
sbinfiles="modprobe blkid switch_root"
#Optional files and locations
for f in mdadm udevd udevadm; do
if [ -x /sbin/$f ] ; then sbinfiles="$sbinfiles $f"; fi
done
unsorted=$(mktemp /tmp/unsorted.XXXXXXXXXX)
DATADIR=/usr/share/mkinitramfs
INITIN=init.in
# Create a temporrary working directory
WDIR=$(mktemp -d /tmp/initrd-work.XXXXXXXXXX)
# Create base directory structure
mkdir -p $WDIR/{bin,dev,lib/firmware,run,sbin,sys,proc}
mkdir -p $WDIR/etc/{modprobe.d,udev/rules.d}
touch $WDIR/etc/modprobe.d/modprobe.conf
ln -s lib $WDIR/lib64
# Create necessary device nodes
mknod -m 640 $WDIR/dev/console c 5 1
mknod -m 664 $WDIR/dev/null c 1 3
# Install the udev configuration files
if [ -f /etc/udev/udev.conf ]; then
cp /etc/udev/udev.conf $WDIR/etc/udev/udev.conf
fi
for file in $(find /etc/udev/rules.d/ -type f) ; do
cp $file $WDIR/etc/udev/rules.d
done
# Install any firmware present
cp -a /lib/firmware $WDIR/lib
# Copy the RAID configuration file if present
if [ -f /etc/mdadm.conf ] ; then
cp /etc/mdadm.conf $WDIR/etc
fi
# Install the init file
install -m0755 $DATADIR/$INITIN $WDIR/init
if [ -n "$KERNEL_VERSION" ] ; then
if [ -x /bin/kmod ] ; then
binfiles="$binfiles kmod"
else
binfiles="$binfiles lsmod"
sbinfiles="$sbinfiles insmod"
fi
fi
# Install basic binaries
for f in $binfiles ; do
ldd /bin/$f | sed "s/\t//" | cut -d " " -f1 >> $unsorted
copy $f bin
done
# Add lvm if present
if [ -x /sbin/lvm ] ; then sbinfiles="$sbinfiles lvm dmsetup"; fi
for f in $sbinfiles ; do
ldd /sbin/$f | sed "s/\t//" | cut -d " " -f1 >> $unsorted
copy $f sbin
done
# Add udevd libraries if not in /sbin
if [ -x /lib/udev/udevd ] ; then
ldd /lib/udev/udevd | sed "s/\t//" | cut -d " " -f1 >> $unsorted
elif [ -x /lib/systemd/systemd-udevd ] ; then
ldd /lib/systemd/systemd-udevd | sed "s/\t//" | cut -d " " -f1 >> $unsorted
fi
# Add module symlinks if appropriate
if [ -n "$KERNEL_VERSION" ] && [ -x /bin/kmod ] ; then
ln -s kmod $WDIR/bin/lsmod
ln -s kmod $WDIR/bin/insmod
fi
# Add lvm symlinks if appropriate
# Also copy the lvm.conf file
if [ -x /sbin/lvm ] ; then
ln -s lvm $WDIR/sbin/lvchange
ln -s lvm $WDIR/sbin/lvrename
ln -s lvm $WDIR/sbin/lvextend
ln -s lvm $WDIR/sbin/lvcreate
ln -s lvm $WDIR/sbin/lvdisplay
ln -s lvm $WDIR/sbin/lvscan
ln -s lvm $WDIR/sbin/pvchange
ln -s lvm $WDIR/sbin/pvck
ln -s lvm $WDIR/sbin/pvcreate
ln -s lvm $WDIR/sbin/pvdisplay
ln -s lvm $WDIR/sbin/pvscan
ln -s lvm $WDIR/sbin/vgchange
ln -s lvm $WDIR/sbin/vgcreate
ln -s lvm $WDIR/sbin/vgscan
ln -s lvm $WDIR/sbin/vgrename
ln -s lvm $WDIR/sbin/vgck
# Conf file(s)
cp -a /etc/lvm $WDIR/etc
fi
# Install libraries
sort $unsorted | uniq | while read library ; do
if [ "$library" == "linux-vdso.so.1" ] ||
[ "$library" == "linux-gate.so.1" ]; then
continue
fi
copy $library lib
done
if [ -d /lib/udev ]; then
cp -a /lib/udev $WDIR/lib
fi
if [ -d /lib/systemd ]; then
cp -a /lib/systemd $WDIR/lib
fi
# Install the kernel modules if requested
if [ -n "$KERNEL_VERSION" ]; then
find \
/lib/modules/$KERNEL_VERSION/kernel/{crypto,fs,lib} \
/lib/modules/$KERNEL_VERSION/kernel/drivers/{block,ata,md,firewire} \
/lib/modules/$KERNEL_VERSION/kernel/drivers/{scsi,message,pcmcia,virtio} \
/lib/modules/$KERNEL_VERSION/kernel/drivers/usb/{host,storage} \
-type f 2> /dev/null | cpio --make-directories -p --quiet $WDIR
cp /lib/modules/$KERNEL_VERSION/modules.{builtin,order} \
$WDIR/lib/modules/$KERNEL_VERSION
depmod -b $WDIR $KERNEL_VERSION
fi
( cd $WDIR ; find . | cpio -o -H newc --quiet | gzip -9 ) > $INITRAMFS_FILE
# Remove the temporary directory and file
rm -rf $WDIR $unsorted
printf "done.\n"
EOF
chmod 0755 /sbin/mkinitramfs
mkdir -p /usr/share/mkinitramfs && cat > /usr/share/mkinitramfs/init.in << "EOF" #!/bin/sh PATH=/bin:/usr/bin:/sbin:/usr/sbin export PATH problem() { printf "Encountered a problem!\n\nDropping you to a shell.\n\n" sh } no_device() { printf "The device %s, which is supposed to contain the\n" $1 printf "root file system, does not exist.\n" printf "Please fix this problem and exit this shell.\n\n" } no_mount() { printf "Could not mount device %s\n" $1 printf "Sleeping forever. Please reboot and fix the kernel command line.\n\n" printf "Maybe the device is formatted with an unsupported file system?\n\n" printf "Or maybe filesystem type autodetection went wrong, in which case\n" printf "you should add the rootfstype=... parameter to the kernel command line.\n\n" printf "Available partitions:\n" } do_mount_root() { mkdir /.root [ -n "$rootflags" ] && rootflags="$rootflags," rootflags="$rootflags$ro" case "$root" in /dev/* ) device=$root ;; UUID=* ) eval $root; device="/dev/disk/by-uuid/$UUID" ;; LABEL=*) eval $root; device="/dev/disk/by-label/$LABEL" ;; "" ) echo "No root device specified." ; problem ;; esac while [ ! -b "$device" ] ; do no_device $device problem done if ! mount -n -t "$rootfstype" -o "$rootflags" "$device" /.root ; then no_mount $device cat /proc/partitions while true ; do sleep 10000 ; done else echo "Successfully mounted device $root" fi } init=/sbin/init root= rootdelay= rootfstype=auto ro="ro" rootflags= device= mount -n -t devtmpfs devtmpfs /dev mount -n -t proc proc /proc mount -n -t sysfs sysfs /sys mount -n -t tmpfs tmpfs /run read -r cmdline < /proc/cmdline for param in $cmdline ; do case $param in init=* ) init=${param#init=} ;; root=* ) root=${param#root=} ;; rootdelay=* ) rootdelay=${param#rootdelay=} ;; rootfstype=*) rootfstype=${param#rootfstype=} ;; rootflags=* ) rootflags=${param#rootflags=} ;; ro ) ro="ro" ;; rw ) ro="rw" ;; esac done # udevd location depends on version if [ -x /sbin/udevd ]; then UDEVD=/sbin/udevd elif [ -x /lib/udev/udevd ]; then UDEVD=/lib/udev/udevd elif [ -x /lib/systemd/systemd-udevd ]; then UDEVD=/lib/systemd/systemd-udevd else echo "Cannot find udevd nor systemd-udevd" problem fi ${UDEVD} --daemon --resolve-names=never udevadm trigger udevadm settle if [ -f /etc/mdadm.conf ] ; then mdadm -As ; fi if [ -x /sbin/vgchange ] ; then /sbin/vgchange -a y > /dev/null ; fi if [ -n "$rootdelay" ] ; then sleep "$rootdelay" ; fi do_mount_root killall -w ${UDEVD##*/} exec switch_root /.root "$init" "$@" EOF
Notes d'utilisateur: http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/initramfs
Pour construire un initramfs, lancer ce qui suit en tant
qu'utilisateur root
:
mkinitramfs [KERNEL VERSION]
L'argument facultatif est le répertoire ou les modules
appropriés du noyau sont enregistrés. Cela peut être un
sous-répertoire de /lib/modules
. Si aucun modules n'est
spécifié, alors l'initramfs est appelé initrd.img-no-kmods. Si une
version du noyau est précisé, le fichier initrd est appelé
initrd.img-$KERNEL_VERSION et est
seulement destiné pour le noyau spécifiquement précisé. Les
fichiers de sortie seront enregistré dans le répertoire
courant.
Après avoir généré le fichier initrd, copiez le dans le
répertoire /boot
.
Maintenant éditez /boot/grub/grub.cfg
et ajoutez une nouvelle
entrée dans le menu. En dessous, plusieurs exemples sont
présentés.
# Generic initramfs and root fs identified by UUID menuentry "LFS Dev (LFS-7.0-Feb14) initrd, Linux 3.0.4" { linux /vmlinuz-3.0.4-lfs-20120214 root=UUID=54b934a9-302d-415e-ac11-4988408eb0a8 ro initrd /initrd.img-no-kmods }
# Generic initramfs and root fs on LVM partition menuentry "LFS Dev (LFS-7.0-Feb18) initrd lvm, Linux 3.0.4" { linux /vmlinuz-3.0.4-lfs-20120218 root=/dev/mapper/myroot ro initrd /initrd.img-no-kmods }
# Specific initramfs and root fs identified by LABEL menuentry "LFS Dev (LFS-7.1-Feb20) initrd label, Linux 3.2.6" { linux /vmlinuz-3.2.6-lfs71-120220 root=LABEL=lfs71 ro initrd /initrd.img-3.2.6-lfs71-120220 }
Finalement, redémarrez le système et sélectionnez le système désiré.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
FUSE (Système de fichier dans l'espace utilisateur) est une interface simple pour les programmes de l'espace utilisateur pour exporter un système de fichiers virtuel dans le noyau linux. Fuse vise également à fournir une méthode sécurisée pour les utilisateurs non-privilégiés pour créer et monter leur propre implémentation de système de fichiers.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/fuse/fuse-2.9.3.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 33cae22ca50311446400daf8a6255c6a
Taille du téléchargement : 564 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Doxygen-1.8.9.1 (pour construire la documentation de l'API)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/fuse
Activez les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyaux si nécessaire:
File systems --->
<*/M> FUSE (Filesystem in Userspace) support [CONFIG_FUSE_FS]
Après que le script configure soit terminé, vous pourrez voir l'avertissement ci-dessous. Vous pouvez ignorer cet avertissement.
configure: WARNING:
blfs-en
blfs-fr
compte-screen.sh
decomp-screen.sh
fmoins.sh
ftrop.sh
fuse.xml.en
fuse.xml.en.screen
fuse.xml.fr
listfr
sed8hOP5h
synchro.erreur
synchro_screen.sh
test
* Please install util-linux version 2.18 or later which supports *
* --fake and --no-canonicalize options in mount and umount *
******************************************************************
Installez Fuse en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static INIT_D_PATH=/tmp/init.d && make
Si vous avez installé Doxygen-1.8.9.1 et souhaitez construire la documentation de l'API, tapez doxygen doc/Doxyfile.
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mv -v /usr/lib/libfuse.so.* /lib && ln -sfv ../../lib/libfuse.so.2.9.3 /usr/lib/libfuse.so && rm -rf /tmp/init.d && install -v -m755 -d /usr/share/doc/fuse-2.9.3 && install -v -m644 doc/{how-fuse-works,kernel.txt} \ /usr/share/doc/fuse-2.9.3
Si vous construisez la documentation de l'API, installez la
en tant qu'utilisateur root
en tapant les commandes suivantes:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/fuse-2.9.3/api && install -v -m644 doc/html/* \ /usr/share/doc/fuse-2.9.3/api
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
INIT_D_PATH=/tmp/init.d
:
Ce paramètre installe les scripts de démarrage dans
/tmp/init.d
quand un script de
démarrage n'est pas utile.
mv -v /usr/lib/libfuse.so.*
/lib : Ceci déplace la bibliothèque
FUSE vers le système de
fichiers racine afin qu'il soit disponible très tôt lors du
démarrage au cas où /usr
se
trouve sur une partition séparée et où ntfs-3g-2014.2.15
est construit avec une version du système de FUSE.
rm -rf /tmp/init.d : Cela efface les scripts de démarrage inutiles.
Quelques options au regard de la gestion du montage peuvent
être utilisées dans le fichier /etc/fuse.conf
. Pour installer le fichier
lancez la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
cat > /etc/fuse.conf << "EOF" # Set the maximum number of FUSE mounts allowed to non-root users. # The default is 1000. # #mount_max = 1000 # Allow non-root users to specify the 'allow_other' or 'allow_root' # mount options. # #user_allow_other EOF
Des informations supplémentaires à propos de la signification des options de configuration peuvent être trouvées sur la page de manuel.
est un programme d'initialisation des ID utilisateurs pour monter et démonter les systèmes de fichiers Fuse. |
|
est la commande mount à appeler pour monter un système de fichiers Fuse. |
|
est le serveur de gestion pour le verrouillage de l'espace utilisateur pour les systèmes de fichiers Fuse. |
|
contient les fonctions de l'API de FUSE. |
|
contient les fonctions de l'API de la gestion du verrouillage de l'espace utilisateur. |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet jfsutils contient des outils d'administration et de débogage pour le système de fichiers jfs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7 mais n'a pas été testé.
Téléchargement (HTTP) : http://jfs.sourceforge.net/project/pub/jfsutils-1.1.15.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8809465cd48a202895bc2a12e1923b5d
Taille du téléchargement : 532 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 8.9 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/jfs
Activez l'option suivante dans la configuration du noyau et recompilez le noyau :
File systems --->
<*/M> JFS filesystem support [CONFIG_JFS_FS]
Installez jfsutils en lançant les commandes suivantes :
sed "s@<unistd.h>@&\n#include <sys/types.h>@g" -i fscklog/extract.c && ./configure && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed "s@<unistd.h>@&\n#include <sys/types.h>@g" -i fscklog/extract.c : Corrige la construction avec Glibc 2.17.
est utilisé pour relire le journal de transaction d'un système de fichiers JFS, vérifie les erreurs d'un périphérique au format JFS, et corrige les erreurs qu'il trouve. |
|
est un lien en dur vers fsck.jfs. |
|
construit un système de fichiers JFS. |
|
est un lien en dur vers vers mkfs.jfs. |
|
est un programme qui peut être utilisé pour effectuer diverses actions de bas niveau sur un périphérique au format JFS. |
|
extrait un journal du périphérique fsck de JFS dans un fichier et/ou formatte et affiche le fichier extrait. |
|
envoie le contenu du journal d'un périphérique au format JFS spécifié dans un fichier de sortie ./jfslog.dmp. |
|
ajuste les paramètres personnalisables d'un système de fichiers et les systèmes de fichiers JFS. |
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet lvm2 est un paquet qui gère des partitions logiques. Il permet l'extension de systèmes de fichiers sur plusieurs disques physiques et plusieurs partitions de disque, il permet une navigation dynamique ou le bidouillage de partitions logiques.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://sources.redhat.com/pub/lvm2/LVM2.2.02.116.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3a1104e3d1dc4d5e92a40228161cd660
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 27 Mo (additional 10 Mo to run the test suite)
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU (ajouter 35 SBU pour lancer la suite de tests)
mdadm-3.3.2 (pour les vérifications) et xfsprogs-3.2.2 (pour les vérifications)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lvm2
Activez les options suivantes dans la configuration du noyau et recompiler le noyau :
Il y a d'autres options de mappage de périphérique dans le noyau après celles listées en dessous. Afin d'avoir des résultats raisonnables si les tests de régression sont lancés, tous doivent être activé soit en interne ou soit en module.
Device Drivers --->
[*] Multiple devices driver support (RAID and LVM) ---> [CONFIG_MD]
<*/M> Device mapper support [CONFIG_BLK_DEV_DM]
<*/M/ > Crypt target support [CONFIG_DM_CRYPT]
<*/M/ > Snapshot target [CONFIG_DM_SNAPSHOT]
<*/M/ > Mirror target [CONFIG_DM_MIRROR]
Installez lvm2 en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --exec-prefix= \ --with-confdir=/etc \ --enable-applib \ --enable-cmdlib \ --enable-pkgconfig \ --enable-udev_sync && make
La commande check doit être lancée en tant qu'utilisateur
root
. Aussi les tests sont
connus pour planter si au moins une partition sur un disque
dur n'est pas initialisée en tant que partition LVM Linux
(type 8e00). Pour tester les résultats, tapez: make check en tant
qu'utilisateur root
.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-applib
: Ce
paramètre active la construction des bibliothèques partagées
de l'application.
--enable-cmdlib
: Ce
paramètre construit la bibliothèque de commande partagée.
Elle est nécessaire lors de la construction du démon.
--enable-pkgconfig
: Ce
paramètre installe le support de pkg-config.
--enable-udev_sync
: Ce
paramètre active la synchronisation avec Udev.
--enable-dmeventd
: Cette
option construit le démon d'événement Device Mapper.
utilitaire pour désactiver les périphériques blocs. |
|
(facultatif) est le démon d'événement du Device Mapper. |
|
est un outil de gestion de bas niveau de volumes logiques. |
|
est un outil pour redimensionner ou vérifier le système de fichiers d'un périphérique. |
|
fournit les outils en ligne de commande pour LVM2. Les commandes sont implémentées via des liens sympoliques vers ce programme pour gérer des périphériques physiques (pv*), des groupes de volume (vg*), et de volumes logiques (lv*). |
|
est un script qui modifie le verrouillage d'une configuration dans un fichier de configuration LVM2. |
|
est un outil pour envoyer diverses informations concernant LVM2. |
|
est utilisé pour importer un VG dupliqué (comme un dépôt matériel). |
|
contient les fonctions de l'API de device-mapper. |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
LVM gères les disques durs. Il permet que de multiples disques et partitions soient combinés dans de gros groupes de volumes, assiste la création de sauvegardes au travers de snapshot, et permet le redimensionnement dynamique des volumes. Il peut également fournir une fonction de miroir similaire à une grappe de RAID 1.
Une présentation complète de LVM est au-delà de la portée de cette introduction, mais les concepts de base sont présentés ci-dessous.
Pour exécuter chacunes des commandes présentées ici, le paquet
lvm2-2.02.116 doit être installé. toutes
les commandes doivent être lancées en tant qu'utilisateur
root
.
La gestion des disques avec LVM est accomplie en utilisant les concepts suivants :
Il y a des disques ou des partitions physiques comme /dev/sda3 ou /dev/sdb.
On appelle groupes de volumes physiques ce qui peut être manipulées par l'administrateur. Le nombre de volumes physiques qui constituent un groupe de volumes est arbitraire. Les volumes physiques peuvent être dynamiquement ajoutés ou supprimés à partir d'un groupe de volumes.
Les groupes de volume peuvent être divisés en volumes logiques. Chaque volume logique peut être ainsi formaté individuellement comme s'il s'agissait d'une partition linux normal. Les volumes logiques peuvent être redimensionné dynamiquement par l'administrateur en fonction des besoins.
Pour donner un exemple concret, supposez que vous avez deux
disques de 2 To. Supposons également qu'une grande quantité
d'espace est nécessaire pour une très grosse base de données,
monté en /srv/mysql
. Voila à quoi
rassemblerait l'ensemble des initialisations des
partitions :
Partition Use Size Partition Type
/dev/sda1 /boot 100MB 83 (Linux)
/dev/sda2 / 10GB 83 (Linux)
/dev/sda3 swap 2GB 82 (Swap)
/dev/sda4 LVM remainder 8e (LVM)
/dev/sdb1 swap 2GB 82 (Swap)
/dev/sdb2 LVM remainder 8e (LVM)
En premier initialisez les volumes physiques :
pvcreate /dev/sda4 /dev/sdb2
Ensuite créez un groupe de volume appelé lfs-lvm:
vgcreate lfs-lvm /dev/sda4 /dev/sdb2
L'état du groupe de volumes peut être vérifiés en lançant la commande vgscan. Maintenant créez les volumes logiques. Comme il y a environ 3900 Go d'espace disponible, laissez environ 900 Go d'espace libre pour l'expansion. Notez que le volume logique appelé mysql est plus grand que chacun des disques physiques.
lvcreate --name mysql --size 2500G lfs-lvm lvcreate --name home --size 500G lfs-lvm
Finallement les volumes logiques peuvent être formatés et montés. Dans cet exemple, Le système de fichier jfs (jfsutils-1.1.15) est utilisé pour la démonstration.
mkfs -t ext4 /dev/lfs-lvm/home mkfs -t jfs /dev/lfs-lvm/mysql mount /dev/lfs-lvm/home /home mkdir -p /srv/mysql mount /dev/lfs-lvm/mysql /srv/mysql
Les scripts de démarrage de LFS rendront automatiquement ces
systèmes de fichiers disponible pour les scripts checkfs.
L'édition du fichier /etc/fstab
est nécessaire pour automatiquement le monter.
Un volume logique peut acceuillir un système de fichier racine, mais nécessite l'utilisation d'un initramfs (initial RAM file system) et cela n'est pas présenté ici.
Pour plus d'information sur LVM, voir le LVM HOWTO et les pages de manuel lvm.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
La technologie de stockage connue sous le nom de RAID (Redundant Array of Independent Disks) combine plusieurs disques physiques dans une unité logique. Les disques peuvent généralement être combinés pour fournir une redondance des données ou augmenter la taille des unités logiques au delà des capacités des disques physiques ou les deux. La technologie permet également de fournir une maintenance matériel sans éteindre le système.
Les types des organisations RAID sont décrites dans le Wiki RAID.
Notez que même si RAID fournit une protection contre les pannes de disques, il ne se substitue pas aux sauvegardes. Un fichier effacé sera effacé sur tout les disques de la grappe RAID. Les sauvegardes modernes sont généralement faites via rsync-3.1.1.
Il y a trois types majeurs d'implémentation de RAID : le RAID matériel, le RAID basé sur le BIOS, et le RAID logiciel.
Le RAID matériel fournit les capacités au travers de matériels propriétaires et de couches de données. Le contrôle et la configuration sont généralement fait via le firmware en conjonction avec des programmes fait par le constructeur du périphérique. Les capacités sont généralement fournies via une carte PCI, cependant il y a quelqueq solutions de composants RAID intégrés sur la carte mère. Le RAID matériel peut également être disponible dans un boîtier dédié seul.
Un avantage du RAID matériel est que les disques sont proposés au système d'exploitation comme un disque logique et pas de configuration dépendante du système d'exploitation est nécéssaire.
Les désavantages inclus les difficultés pour transférer les disques d'un sytème à un autre, de mettre à jour le firmware, ou de remplacer un RAID matériel défectueux.
Quelques ordinateurs offrent une implémentations d'un RAID identique à celui matériel dans le BIOS. Parfois cela est mentionné comme un 'faux' RAID avec des capacités généralement incorporées dans un firmware sans aucunes accélérations matériel.
Les avantages et les désavantages d'un RAID basé sur le BIOS sont généralement les mêmes que pour le RAID matériel avec le désavantage supplémentaire qu'il n'y a pas d'accélération matériel.
Dans quelques cas, le RAID basé sur le BIOS est activé par défaut (par exemple pour quelques systèmes DELL). Si le RAID logiciel est souhaité, cette option doit être explicitement désactiver dans le BIOS.
Le RAID logiciel est le plus flexible des solutions RAID. Il est facile à installer et à mettre à jour et il fournit l'ensemble des capacités de tous ou d'une partie des disques installés sur le système. Dans BLFS, le logiciel RAID est dans mdadm-3.3.2.
La configuration d'un périphérique RAID est simple en
utilisant mdadm. Les
périphériques sont généralement créés dans le répertoire
/dev
comme /dev/mdx
ou x est un entier.
La première étape dans la création de la grappe RAID est
d'utiliser un logiciel de partitionnement comme
fdisk
ou
Parted-3.2 pour définir les partitions
nécessaires à la grappe. Normalement, il devrait y avoir une
seule partition sur chaque disque de la grappe RAID, mais
cela n'est pas strictement nécessaire. Dans cet exemple, il y
aura 4 disques : /dev/sda
,
/dev/sdb
, /dev/sdc
, et /dev/sdd
. Ils seront partitionnés comme
cela :
Partition Size Type Use
sda1: 100 MB fd Linux raid auto /boot (RAID 1) /dev/md0
sda2: 10 GB fd Linux raid auto / (RAID 1) /dev/md1
sda3: 2 GB 83 Linux swap swap
sda4 300 GB fd Linux raid auto /home (RAID 5) /dev/md2
sdb1: 100 MB fd Linux raid auto /boot (RAID 1) /dev/md0
sdb2: 10 GB fd Linux raid auto / (RAID 1) /dev/md1
sdb3: 2 GB 83 Linux swap swap
sdb4 300 GB fd Linux raid auto /home (RAID 5) /dev/md2
sdc1: 12 GB fd Linux raid auto /usr/src (RAID 0) /dev/md3
sdc2: 300 GB fd Linux raid auto /home (RAID 5) /dev/md2
sdd1: 12 GB fd Linux raid auto /usr/src (RAID 0) /dev/md3
sdd2: 300 GB fd Linux raid auto /home (RAID 5) /dev/md2
Dans cette solution, une partition de démarrage séparée est
créée dans la première petite grappe RAID et un système de
fichier racine dans la seconde grappe RAID, les deux étant
dupliquées. La troisième partition est une grappe importante
(environ 1 TB) pour le répertoire /home
. Cela permet une capacité à
distribuer des données sur des périphériques multiples,
améliorant la vitesse à la fois pour la lecture et pour
l'écriture des fichiers de grande taille. Finalement, une
quatrième grappe est crée pour ajouter deux partitions dans
un grand périphérique.
Toutes les commandes mdadm
doivent être faites en tant qu'utilisateur root
.
Pour créer ces grappes RAID les commandes sont :
/sbin/mdadm -Cv /dev/md0 --level=1 --raid-devices=2 /dev/sda1 /dev/sdb1 /sbin/mdadm -Cv /dev/md1 --level=1 --raid-devices=2 /dev/sda2 /dev/sdb2 /sbin/mdadm -Cv /dev/md3 --level=0 --raid-devices=2 /dev/sdc1 /dev/sdd1 /sbin/mdadm -Cv /dev/md2 --level=5 --raid-devices=4 \ /dev/sda4 /dev/sdb4 /dev/sdc2 /dev/sdd2
Les périphériques créés peuvent être examiné par
périphérique. Par exemple, pour voir les détails de
/dev/md1
, utilisez
/sbin/mdadm --detail
/dev/md1
:
Version : 1.2
Creation Time : Tue Feb 7 17:08:45 2012
Raid Level : raid1
Array Size : 10484664 (10.00 GiB 10.74 GB)
Used Dev Size : 10484664 (10.00 GiB 10.74 GB)
Raid Devices : 2
Total Devices : 2
Persistence : Superblock is persistent
Update Time : Tue Feb 7 23:11:53 2012
State : clean
Active Devices : 2
Working Devices : 2
Failed Devices : 0
Spare Devices : 0
Name : core2-blfs:0 (local to host core2-blfs)
UUID : fcb944a4:9054aeb2:d987d8fe:a89121f8
Events : 17
Number Major Minor RaidDevice State
0 8 1 0 active sync /dev/sda1
1 8 17 1 active sync /dev/sdb1
A partir de maintenant, les partitions peuvent être formatées
avec le système de fichier de votre choix (ex ext3, ext4,
xfsprogs-3.2.2, reiserfsprogs-3.6.24,
etc). Les partitions peuvent être montées. Le fichier
/etc/fstab
peut être utilisé
pour faire le montage au démarrage et la ligne de commande
linux dans /boot/grub/grub.cfg
peux spécifier root=/dev/md1
.
Les périphériques de swap peuvent être utilisés dans le
fichier /etc/fstab
comme
d'habitude. Le noyau normalement distribue les données de
swap dans différent fichiers de swap et ils ne peuvent pas
être une partie d'une grappe RAID.
Pour plus d'options et les détails de gestion d'un
périphérique RAID, se référer à man mdadm
.
Vous pouvez trouver des détails supplémentaires sur la surveillance des échelles RAID et le traitement des problèmes sur Linux RAID Wiki (le wiki RAID de Linux).
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet mdadm contient les outils d'administrations pour les RAID logiciels.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7 mais n'a pas été testé.
Téléchargement (HTTP) : http://www.kernel.org/pub/linux/utils/raid/mdadm/mdadm-3.3.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 44698d351501cac6a89072dc877eb220
Taille du téléchargement : 402 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 8.3 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mdadm
Autoriser les options suivantes dans la configuration du noyau et recompiler le noyau, si nécéssaire. Seulement le type de RAID souhaité est nécéssaire.
Device Drivers --->
[*] Multiple devices driver support (RAID and LVM) ---> [CONFIG_MD]
<*> RAID support [CONFIG_BLK_DEV_MD]
[*] Autodetect RAID arrays during kernel boot [CONFIG_MD_AUTODETECT]
<*/M> Linear (append) mode [CONFIG_MD_LINEAR]
<*/M> RAID-0 (striping) mode [CONFIG_MD_RAID0]
<*/M> RAID-1 (mirroring) mode [CONFIG_MD_RAID1]
<*/M> RAID-10 (mirrored striping) mode [CONFIG_MD_RAID10]
<*/M> RAID-4/RAID-5/RAID-6 mode [CONFIG_MD_RAID456]
Pour commencer, corrigez un problème introduit par gcc-4.9.0:
sed -i 's/Wall -Werror/Wall/' Makefile
Installez mdadm en lançant les commandes suivantes :
make
Si vous souhaitez lancer les tests, assurez vous que votre
noyau supporte RAID et que la version de mdadm n'est pas
actuellement lancée, et tapez: make test et ensuite, en
tant qu'utilisateur root
:
./test
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
make everything
: Cette cible crée
des programmes supplémentaires, en particulier une version
liée statiquement de mdadm et aussi des versions
de mdassemble.
Ils doivent tous être installés manuellement.
Last updated on : 2013-04-26 00:05:31 +020
Le paquet Ntfs-3g contient un pilote stable et libre réécris pour les partitions NTFS. Les partitions NTFS sont utilisées par les nouveaux OS Microsoft. Ntfs-3g vous permet de monter des partitions NTFS en mode lecture-écriture depuis votre système Linux. Il utilise le module noyau FUSE pour pouvoir implémenter le support NTFS dans l'espace utilisateur.
Ce paquet contient le pilote NTFS-3g lui-même et des utilitaires variés utiles pour la manipulation des partitions NTFS.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://tuxera.com/opensource/ntfs-3g_ntfsprogs-2014.2.15.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f11d563816249d730a00498983485f3a
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 24 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ntfs-3g
Activer les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyau si nécessaire:
File systems --->
<*/M> FUSE (Filesystem in Userspace) support [CONFIG_FUSE_FS]
Installez Ntfs-3g en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && ln -sv ../bin/ntfs-3g /sbin/mount.ntfs && ln -sv /usr/share/man/man8/{ntfs-3g,mount.ntfs}.8
Si vous voulez que les utilisateurs ordinaires puissent
monter des partitions NTFS vous avez besoin d'initialiser
mount.ntfs avec l'ID de l'utilisateur root. Remarque: C'est
probablement une faille de sécurité de faire cela sur un
ordinateur qui à besoin de sécurité (comme un serveur). En
tant qu'utilisateur root
:
chmod -v 4755 /sbin/mount.ntfs
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--with-fuse=external
:
Ntfs-3g vient avec une version de Fuse qui est compilée
statiquement pour lowntfs-3g et ntfs-3g. Si vous avez
installé fuse-2.9.3 utilisez cette option pour lier
dynamiquement lowntfs-3g et ntfs-3g à libfuse.
--disable-ntfsprogs
: Désactive
l'installation de différents utilitaires utilisés pour la
manipulation des partitions NTFS.
ln -sv ../bin/ntfs-3g /sbin/mount.ntfs : La création de /sbin/mount.ntfs fait que par défaut mount utilise Ntfs-3g pour monter les partitions NTFS.
chmod -v 4755 /sbin/mount.ntfs : Fait que mount.ntfs est initialisé avec l'ID root pour autoriser les utilisateurs non root à monter des partitions NTFS.
Pour monter une partition Windows au démarrage, mettez une ligne comme cela dans /etc/fstab:
/dev/sda1 /mnt/windows auto defaults 0 0
Pour autoriser les utilisateurs à monter une clé USB avec un système de fichiers NTFS, mettez une ligne similaire à cela (en changeant sdc1 en ce que les clés USB sont sur votre système) dans /etc/fstab:
/dev/sdc1 /mnt/usb auto user,noauto,umask=0,utf8 0 0
Pour que l'utilisateur qui peut monter une clé USB puisse
écrire dans /mnt/usb
alors en
tant qu'utilisateur root
:
chmod -v 777 /mnt/usb
est similaire à ntfs-3g mais utilise l'interface bas niveau de Fuse. |
|
est un lien symbolique vers mkntfs. |
|
créé un système de fichier NTFS. |
|
est un lien symbolique vers lowntfs-3g. |
|
monte un système de fichier NTFS. |
|
est un lien symbolique vers ntfs-3g. |
|
est un pilote NTFS, qui peut créer, effacer, renomer, déplacer des fichiers, des répertoires , des liens en dur, et des flux; il peut lire et écrire des fichiers, incluant les flux, les fichiers fragmentés et les fichiers compressés de façon transparente; il peut gérer les fichiers spéciaux comme les liens symboliques, les périphériques, et les FIFOs; de plus il fournit la gestion standard des permissions et des appartenances des fichiers en incluant les ACL POSIX. |
|
teste si un volume NTFS est montable en lecture seul ou en lecture-écriture, et sort avec une valeur de status correspondante. Le volume peut être un périphérique bloc ou un fichier image. |
|
audite les données de sécurité NTFS. |
|
crée le fichier définissant la cartographie des comptes Windows pour les logins Linux afin que les utilisateurs puissent avoir leurs propres fichiers de visible depuis Windows et Linux. |
|
identifie les fichiers dans une région spécifique d'un volume NTFS |
|
copie un fichier dans un volume NTFS. |
|
corriges les erreurs courantes et force Windows à vérifier une partition NTFS. |
|
liste les répertoires contenus dans un système de fichiers NTFS. |
|
affiche les fichiers NTFS et les flux sur la sortie standard. |
|
copie un système de fichiers NTFS. |
|
compare deux systèmes de fichiers NTFS et donne les différences. |
|
donne les attributs d'un fichier. |
|
affiche ou change l'étiquette d'un système de fichiers NTFS. |
|
redimensionne un système de fichiers NTFS sans perte de données. |
|
regénère un fichier effacé dans un volume NTFS. |
|
contient les fonctions de l'API de Ntfs-3g. |
Last updated on : 2013-03-01 17:01:45 +010
Le paquet gptfdisk est un ensemble de programmes pour la création et la maintenance des tables de partitions GUID (GPT) des disques. Un disque partionné en GPT est requis pour les disques de plus de 2 To et est un remplaçant moderne aux partions PC-BIOS avec un Master Boot Record (MBR). Le programme principal, gdisk, a une interface similaire au programme classique fdisk.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/project/gptfdisk/gptfdisk/0.8.10/gptfdisk-0.8.10.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9cf4246c181c324bdbd553fe9b348373
Taille du téléchargement : 192 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.9 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Correctif recommandé : http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/gptfdisk-0.8.10-convenience-1.patch
popt-1.16 (requis pour construire sgdisk) et ICU-54.1 (pour les noms de partitions en Unicode)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gptdisk
La paquet gptfdisk à un
Makefile
rudimentaire. En
premier nous le modifions pour fournir une interface de
construction et d'installation simple. Installez gptfdisk en lançant les commandes
suivantes :
patch -Np1 -i ../gptfdisk-0.8.10-convenience-1.patch && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
ICU=1
: Ajoutez cette option
dans la commande make autorise l'utilisation
des caractères Unicode dans les noms de partition.
POPT=1
: Ajoutez cette
option dans la commande make est requis pour
construire sgdisk. Quand elle est
utilisée, cette option doit être dans le make et le make install.
Last updated on : 2013-03-10 18:55:01 +010
Le paquet Parted est un outil de partitionnement et de redimensionnement de disque.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/parted/parted-3.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 0247b6a7b314f8edeb618159fa95f9cb
Taille du téléchargement : 1.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 27 Mo (additional 2 Mo for the tests and additional 1 Mo for optional PDF and Postscript documentation)
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU (additional 0.6 SBU for the tests)
Facultatif, pour corriger la construction sans le support de périphérique mapper: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/parted-3.2-devmapper-1.patch
lvm2-2.02.116 (device-mapper, requis si vous construisez udisks)
Pth-2.0.7 texlive-20140525 (ou install-tl-unx)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/parted
Si vous voulez construire sans le support de périphériques mappés, une correction est nécessaire:
patch -Np1 -i ../parted-3.2-devmapper-1.patch
Installez Parted en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make && make -C doc html && makeinfo --html -o doc/html doc/parted.texi && makeinfo --plaintext -o doc/parted.txt doc/parted.texi
Si vous avez installé texlive-20140525 et souhaitez créer la documentation PDF et Postcript tapez les commandes suivantes :
texi2pdf -o doc/parted.pdf doc/parted.texi && texi2dvi -o doc/parted.dvi doc/parted.texi && dvips -o doc/parted.ps doc/parted.dvi
Si vous souhaitez lancer la suite de tests, en premier enlevé un test qui normalement échoue dans BLFS, car il demande une locale C.UTF-8:
sed -i '/t0251-gpt-unicode.sh/d' tests/Makefile
Pour tester les résultats, tapez: make check. Notez que
beaucoup de tests sont sautés s'ils ne sont pas lancé en tant
qu'utilisateur root
.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/parted-3.2/html && install -v -m644 doc/html/* \ /usr/share/doc/parted-3.2/html && install -v -m644 doc/{FAT,API,parted.{txt,html}} \ /usr/share/doc/parted-3.2
Installez la documentation facultative PDF et Postscript en
tapant la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
install -v -m644 doc/FAT doc/API doc/parted.{pdf,ps,dvi} \ /usr/share/doc/parted-3.2
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--disable-device-mapper
:
Cette option désactive le support du sondeur (mapper) de
périphérique. Ajoutez ce paramètre si vous n'avez pas
installé LVM2.
Last updated on : 2013-03-22 02:36:45 +010
Le paquet reiserfs contient divers outils à utiliser avec le système de fichiers Reiser.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.kernel.org/pub/linux/kernel/people/jeffm/reiserfsprogs/v3.6.24/reiserfsprogs-3.6.24.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 66787380fb418ff7d88a23e47cda7af6
Taille du téléchargement : 316 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 13 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/reiser
Activez l'option suivante dans la configuration du noyau et recompilez le noyau :
File systems --->
<*/M> Reiserfs support [CONFIG_REISERFS_FS]
Installez reiserfs en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sbindir=/sbin && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--sbindir=/sbin
: Ceci
garantit que les outils de reiserfsprogs sont installés dans
/sbin
.
peut parfois aider à résoudre des problèmes avec des systèmes de fichiers ReiserFS. Si on l'appelle sans options, il affiche les superblocs de chaque système de fichiers ReiserFS qui se trouve sur le périphérique. |
|
crée un système de fichiers ReiserFS. |
|
est utilisé pour vérifier et corriger un système de fichiers ReiserFS. |
|
est utilisé pour personnaliser le journal de ReiserFS. ATTENTION : N'utilisez pas cet outil sans avoir lu attentivement d'abord la page de man. |
|
est utilisé pour redimensionner un système de fichiers ReiserFS démonté. |
Last updated on : 2012-10-26 12:58:44 +020
Le paquet Sshfs Fuse contient un client pour les systèmes de fichier basé sur le protocole de transfert de fichiers SSH. Il est pratique pour monter un ordinateur distant ou vous avez un accès SSH dans un système de fichiers local. Cela vous permet de glisser et déposer des fichiers ou lancer des commandes du shell sur des fichiers distants comme s'ils étaient localement sur votre ordinateur.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/fuse/sshfs-fuse-2.5.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 17494910db8383a366b1301e5f5148a9
Taille du téléchargement : 136 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.8 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
fuse-2.9.3, GLib-2.42.1 et OpenSSH-6.7p1.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sshfs-fuse
Installez Sshfs Fuse en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Pour monter un serveur ssh vous avez besoin de vous loguer sur le serveur. Par exemple, pour monter votre dossier home de l'ordinateur appelé THINGY sur le dossier ~/MOUNTPATH (le répertoire doit exister et vous devez avoir le droit d'écrire dedans):
sshfs THINGY:~ ~/MOUNTPATH
Quand vous avez terminé de travailler et voulez le démonter :
fusermount -u ~/MOUNTPATH
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet xfsprogs contient des outils d'administration et de déboguage pour le système de fichier XFS.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://oss.sgi.com/projects/xfs/cmd_tars/xfsprogs-3.2.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b6b0db5e3ee71ceba26d0a5accbd0666
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 45 Mo
Estimation du temps de construction : 0.6 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfs
Activez les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyau:
File systems --->
<*/M> XFS filesystem support [CONFIG_XFS_FS]
Installez xfsprogs en lançant les commandes suivantes :
make DEBUG=-DNDEBUG \ INSTALL_USER=root \ INSTALL_GROUP=root \ LOCAL_CONFIGURE_OPTIONS="--enable-readline"
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make PKG_DOC_DIR=/usr/share/doc/xfsprogs-3.2.2 install && make PKG_DOC_DIR=/usr/share/doc/xfsprogs-3.2.2 install-dev && rm -rfv /usr/lib/libhandle.a && rm -rfv /lib/libhandle.{a,la,so} && ln -sfv ../../lib/libhandle.so.1 /usr/lib/libhandle.so && sed -i "s@libdir='/lib@libdir='/usr/lib@g" /usr/lib/libhandle.la
make DEBUG=-DNDEBUG : Enlève les symboles de déboguage.
INSTALL_USER=root
INSTALL_GROUP=root
: Cela initialise le
propriétaire et le groupe des fichier installés.
LOCAL_CONFIGURE_OPTIONS="..."
:
Cela passe des options de configuration supplémentaire au
script configure
. Le paramètre
d'exemple --enable-readline
active le
lien des programmes XFS avec la bibliothèque libreadline.so
, pour permettre l'édition de
commandes interactives.
OPTIMIZER="..."
: Ajoutez
ce paramètre à la fin de la commande make pour substituer les
optimisations par défaut.
quitte simplement avec un status à zéro, depuis que les partitions XFS sont vérifiées au moment du montage. |
|
construit un système de fichiers XFS. |
|
change les paramètres d'un système de fichiers XFS. |
|
affiche la cartographie des blocs d'un fichier XFS. |
|
copie le contenu d'un système de fichiers XFS vers une ou plusieurs cibles en parallèle. |
|
pour chaque argument répertoire, estime l'espace que le répertoire prendrait s'il était copié sur un système de fichier XFS (n'utilise pas les points de montage). |
|
est utilisé pour déboguer un système de fichiers XFS. |
|
suspend l'accès à un système de fichiers XFS. |
|
applicable seulement sur un système de fichiers XFS, améliorel'organisation des systèmes de fichiers montés, l'algorithme de réorganisation traite les fichiers un par un, compactant ou sinon améliorant le niveau de l'extension du fichier (blocs contigüs de données). |
|
augmente un système de fichiers XFS. |
|
est équivalent à appeler xfs_growfs, mais en spécifiant qu'aucun changement sur le système de fichiers est fait. |
|
est un outil de deboguage comme xfs_db, mais il est destiné à l'examen du chemin de I/O d'un fichier à la place du volume XFS lui-même. |
|
affiche le journal d'un système de fichiers XFS. |
|
restore une image XFS metadump dans une image du système de fichiers. |
|
copie les méta-données du système de fichiers XFS dans un fichier. |
|
crée un fichier XFS, rempli de zéros par défaut. |
|
génère un chemin depuis un numéro d'inode d'un système de fichiers XFS. |
|
est un utilitaire pour afficher et éditer de nombreux aspects des limitations du système de fichiers. |
|
repare les sytèmes de fichiers XFS abimés ou corrompus. |
|
copie un fichier sur la partition d'un système de fichiers XFS en temps réel. |
|
contients des fonctions spécifiques à XFS qui fournissent un moyen de faire certaines opérations du système de fichiers sans utiliser un descripteur de fichier pour accéder à des objets du système de fichiers. |
Last updated on : 2012-12-31 16:09:48 +010
Le livre LFS fait référence à ce chapitre pour ceux souhaitant utiliser d'autres éditeurs sur leur système LFS. On vous indique aussi la façon dont certains programmes installés par LFS tirent un avantage d'être reconstruits après que les bibliothèques de la GUI ont été installées.
Bluefish est un éditeur Gtk s'adressant aux programmeurs et aux concepteurs Web, avec ses nombreuses options pour écrire des sites Internet, des scripts et du code de programmation. Bluefish supporte de nombreux langages de programmation et de balisage, et il s'axe sur l'édition de sites Internet dynamiques et interactifs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.bennewitz.com/bluefish/stable/source/bluefish-2.2.7.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 533c3ef1e7d5ec369893c0fd4094605c
Taille du téléchargement : 3.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 69 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8. Si les deux sont installées, configure utilise par défaut GTK+ 3.
enchant-1.6.0 (pour la vérification orthographique), gucharmap-3.14.2, PCRE-8.36 et Jing
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/bluefish
Installez Bluefish en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --docdir=/usr/share/doc/bluefish-2.2.7 && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Ce paquet installe des fichiers d'icones dans la hiérarchie
/usr/share/icons/hicolor
et
des fichiers de bureau dans la hiérarchie /usr/share/applications
. vous pouvez
améliorer la performance du système et l'utilisation de la
mémoire en mettant à jour /usr/share/icons/hicolor/icon-theme.cache
et /usr/share/applications/mimeinfo.cache
.
Pour réaliser la mise à jour, vous devez avoir installé
gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8 (pour le cache
des icones) et desktop-file-utils-0.22
(pour le cache bureau) et tapez les commandes suivantes en
tant qu'utilisateur root
:
gtk-update-icon-cache -t -f --include-image-data /usr/share/icons/hicolor && update-desktop-database
Last updated on : 2013-03-02 18:06:16 +010
Ed est un éditeur orienté ligne de commande. Il est utilisé pour créer, afficher, modifier voire manipuler des fichiers textes, autant de façon interactive que via des scripts shell. Ed n'est pas quelque chose utilisé par beaucoup de gens. On le décrit ici car le programme patch peut l'utiliser si vous rencontrez un fichier de correctif basé sur ed. Cela arrive rarement car on préfère de nos jours des correctifs basés sur diff.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/pub/gnu/ed/ed-1.10.tar.lz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/pub/gnu/ed/ed-1.10.tar.lz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d1e51bb6e78417af8fb12684c31fd9eb
Taille du téléchargement : 64 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.4 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ed
Installez Ed en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --bindir=/bin && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet Emacs contient un éditeur extensible, personnalisable et dont l'affichage assure une autodocumentation.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/pub/gnu/emacs/emacs-24.4.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/pub/gnu/emacs/emacs-24.4.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ad487658ad7421ad8d7b5152192eb945
Taille du téléchargement : 38 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 426 Mo
Estimation du temps de construction : 1.4 SBU
X Window System, ALSA-Library-1.0.28, D-BUS-1.8.16, GnuTLS-3.3.12, gobject-introspection-1.42.0, GPM-1.20.7, gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8, ImageMagick-6.9.0-6, libjpeg-turbo-1.4.0, libpng-1.6.16, librsvg-2.40.7, LibTIFF-4.0.3 et libungif
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/emacs
Installez Emacs en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-gif=no \ --localstatedir=/var && make bootstrap
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && chown -v -R root:root /usr/share/emacs/24.4
Si vous avez installé gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8, lancez, en tant
qu'utilisateur root
:
gtk-update-icon-cache -qf /usr/share/icons/hicolor
--with-gif=no
: Cette option est
requise si libungif n'est
pas installé.
--libexecdir=/usr/lib
: Met
les exécutables et la bibliothèque à un endroit de la
Filesystem Hierarchy Standard
(FHS).
--localstatedir=/var
: Crée
des fichiers de score de jeu dans /var/games/emacs
et non dans /usr/var/games/emacs
.
crée des fichiers de base de données de tagfiles à références croisées pour du code source. |
|
permet de naviguer dans des hiérarchies de classe C++ depuis l'intérieur d'emacs. |
|
est un éditeur. |
|
attache une session emacs à une session emacsserver déjà en cours d'exécution. |
|
est un autre programme pour générer des tagfiles de références croisées de code source. |
|
écrit des entrées dans des historiques des changements en fonction de divers critères. |
Last updated on : 2012-09-06 23:27:33 +020
JOE (Joe's own editor) (le propre éditeur de Joe) est un petit éditeur de texte capable d'émuler du WordStar, du Pico et du Emacs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/joe-editor/joe-3.7.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://mirror.ovh.net/gentoo-distfiles/distfiles/joe-3.7.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 66de1b073e869ba12abbfcde3885c577
Taille du téléchargement : 680 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/joe
Installez JOE en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --docdir=/usr/share/doc/joe-3.7 && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
est un lien symbolique vers joe utilisé pour lancer le mode d'émulation d'Emacs. |
|
est un petit éditeur de texte capable d'émuler du WordStar, du Pico et du Emacs. |
|
est un lien symbolique vers joe utilisé pour lancer le mode d'émulation Pico. |
|
est un lien symbolique vers joe utilisé pour lancer le mode d'émulation WordStar. |
|
est un lien symbolique vers joe qui limite JOE uniquement à l'édition de fichiers spécifiés sur la ligne de commande. |
|
est un programme utilisé par joe pour générer le fichier d'index termcap. |
Last updated on : 2012-10-26 22:43:31 +020
Le paquet Nano contient un simple petit éditeur de texte qui vise à remplacer Pico, l'éditeur par défaut du paquet Pine.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/nano/nano-2.3.6.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/nano/nano-2.3.6.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : df3d201aecb3155a80633990cc467831
Taille du téléchargement : 1.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Nano
Installez Nano en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --enable-utf8 \ --docdir=/usr/share/doc/nano-2.3.6 && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 doc/nanorc.sample /etc && install -v -m644 doc/texinfo/nano.html /usr/share/doc/nano-2.3.6
--with-slang
> :nbsp;:
Cela force Nano à détecter
S-Lang. Utiliser s'il est
installé.
--enable-utf8
: Ce paramètre
active le support unicode dans Nano.
Exemple de configuration (à créer comme fichier
/etc/nanorc
pour tout le
système ou comme fichier ~/.nanorc
pour un personnel)
set autoindent
set const
set fill 72
set historylog
set multibuffer
set nohelp
set regexp
set smooth
set suspend
Un autre exemple est le fichier nanorc.sample
du répertoire /etc
. Il inclut des configurations de
couleurs et il a de la documentation incluse dans les
commentaires.
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
Le paquet Vim, qui est l'abréviation de VI IMproved (amélioré), contient un clone de vi ayant des fonctionnalités supplémentaires par rapport au vi d'origine.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Les instructions par défaut de LFS installent vim comme composant du système de base. Si vous préférez lier vim à X, vous devriez recompiler vim pour activer le mode GUI. Aucune instruction spéciale n'est nécessaire puisque le support de X est détecté automatiquement.
Téléchargement (HTTP) : http://vim.mirror.fr/unix//vim-7.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 607e135c559be642f210094ad023dc65
Taille du téléchargement : 9.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 90 Mo
Estimation du temps de construction : 1.7 SBU
X Window System et gtk+-2.24.26
GPM-1.20.7, Lua-5.3.0, Python-2.7.9, Ruby-2.2.0, Tcl-8.6.3, et LessTif
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/vim
Si vous recompilez Vim
pour le lier à X et si vos
bibliothèques X ne sont
pas sur la partition racine, vous n'aurez plus d'éditeur en
cas d'utilisation en urgence. Vous pouvez choisir
d'installer un éditeur supplémentaire, de ne pas lier
Vim à X, ou de déplacer l'exécutable
vim actuel
vers le répertoire /bin
sous
un nom différent tels que vi
.
Installez Vim en lançant les commandes suivantes :
echo '#define SYS_VIMRC_FILE "/etc/vimrc"' >> src/feature.h && echo '#define SYS_GVIMRC_FILE "/etc/gvimrc"' >> src/feature.h && sed -i 's/luaL_optlong/(long)luaL_optinteger/' src/if_lua.c && ./configure --prefix=/usr --with-features=huge && make
Pour tester les résultats, lancez : make test. La suite de
tests de vim sort beaucoup
de données binaires à l'écran, ce qui peut poser problème
avec les paramètres du terminal actuel. On peut résoudre cela
en redirigeant la sortie vers un fichier journal. Même si un
des tests ne parvient pas à produire le fichier test.out
dans src/testdir
, le reste des tests sera quand
même exécuté. Si tout se passe bien, le message final du
fichier journal sera ALL DONE
.
Remarque : Des
tests en couleurs s'attendent à s'exécuter sous l'émulateur
de terminal xterm.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Par défaut, la documentation de Vim est installée dans
/usr/share/vim
. Le lien
symbolique suivant permet un accès à la documentation via
/usr/share/doc/vim-7.4
,
devenant cohérent avec l'emplacement de la documentation
d'autres paquets :
ln -snfv ../vim/vim74/doc /usr/share/doc/vim-7.4
Si vous souhaitez mettre à jour les fichiers au moment de l'exécution, lancez la commande suivante (exige rsync-3.1.1) :
rsync -avzcP --delete --exclude="/dos/" --exclude="/spell/" \ ftp.nluug.nl::Vim/runtime/ ./runtime/
Pour installer les fichiers au moment du lancement et
régénérer le fichier tags
, en
tant qu'utilisateur root
,
lancez :
make -C src installruntime && vim -c ":helptags /usr/share/doc/vim-7.4" -c ":q"
sed -i ... src/if_lua.c: Cette commande corrige la construction avec lua 5.3.
--with-features=huge
: Ce
correctif active toutes les fonctionnalités supplémentaires
disponibles dans Vim,
incluant le support pour les caractères mmulti-octets.
--enable-gui=no
: Cela
empêchera la compilation de la GUI. Vim se liera toujours à X, pour que des fonctionnalités telles
que le modèle client-serveur ou la selection x11
(presse-papier) soient disponibles.
--without-x
: Si vous
préférez ne pas lier Vim à
X, utilisez ce paramètre.
--enable-perlinterp
, --enable-pythoninterp
, --enable-tclinterp
, --enable-rubyinterp
: Ces options
incluent les interpréteurs Perl, Python, Tcl, ou Ruby qui
permettent d'utiliser un autre code d'application dans des
scripts vim.
si vous le souhaitez, créez une entrée de menu pour vim
graphique, gvim.desktop
, en
tant qu'utilisateur root
cat > /usr/share/applications/gvim.desktop << "EOF"
[Desktop Entry]
Name=GVim Text Editor
Comment=Edit text files
Comment[pt_BR]=Edite arquivos de texto
TryExec=gvim
Exec=gvim -f %F
Terminal=false
Type=Application
Icon=gvim.png
Categories=Utility;TextEditor;
StartupNotify=true
MimeType=text/plain;
EOF
Vim a un vérificateur d'orthographe intégré que vous pouvez activer si vous lancez ce qui suit dans une fenêtre vim :
:setlocal spell spelllang=ru
Ce paramètre activera la vérification de l'orthographe pour le russe pour la session actuelle.
Par défaut, Vim n'installe
que des dictionnaires pour l'anglais. Si aucun dictionnaire
n'est disponible pour une langue, Vim appellera le greffon $VIMRUNTIME/plugin/spellfile.vim
et
essaiera d'obtenir les *.spl et éventuellement les *.sug
depuis le serveur ftp de vim, en utilisant le greffon
$VIMRUNTIME/plugin/netrwPlugin.vim
.
Sinon, vous pouvez télécharger à la main les fichiers *.spl
et *.sug à partir de : ftp://ftp.vim.org/pub/vim/runtime/spell/
et les enregistrer dans ~/.vim/spell
ou dans /usr/share/vim/vim74/spell/
.
Pour trouver les nouveautés dans Vim-7.4 lancez la commande suivante :
:help version-7.4
Pour des information supplémentaires sur le paramétrage des fichiers de configuration de Vim, voir Les fichiers /etc/vimrc et ~/.vimrc et http://vim.wikia.com/wiki/Example_vimrc.
Vous pouvez trouver une liste des fichiers réinstallés et de leurs descriptions courtes dans les instructions de LFS d'installation de Vim
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
pico est un éditeur de texte installé avec Re-alpine-2.03.
mcedit est un éditeur de texte installé avec mc-4.8.13.
Last updated on : 2012-04-17 19:53:55 +020
Nous sommes tous habitués au Bourne Again SHell, mais il y a deux autres interfaces utilisateur considérées comme des shells modernes utiles– le Berkeley Unix C shell et le shell Korn. Ce chapitre installe des paquets compatibles avec ces types de shell supplémentaires.
Dash est un shell
respectueux de POSIX. On peut l'installer en tant que /bin/sh
ou, comme shell par défaut pour root
ou un deuxième utilisateur ayant un
identifiant (userid) de 0. Il dépend de moins de
bibliothèques que le shell Bash et il est donc probablement moins
touché par des problèmes de mise à jour ou d'échec de disque.
Dash est également utile
pour vérifier qu'un script est entièrement compatible avec la
syntaxe POSIX.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://gondor.apana.org.au/~herbert/dash/files/dash-0.5.8.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5c152209680dab3c319e8923f6c51378
Taille du téléchargement : 220 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.8 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
libedit (bibliothèque d'éditeur en ligne de commande)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/dash
Installez Dash en lançant les commandes suivantes :
./configure --bindir=/bin --mandir=/usr/share/man && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous aimeriez faire de dash la sh par défaut, recréez le
lien symbolique /bin/sh
en tant
qu'utilisateur root
:
Si vous créez le lien symbolique de dash vers sh, vous devrez réinitialiser le lien avec bash pour construire LFS.
ln -svf dash /bin/sh
--bindir=/bin
> : Ce
paramètre place le binaire dash dans le système de
fichier racine.
--with-libedit
: Pour
compiler Dash avec le
support de libedit.
Last updated on : 2012-09-03 05:10:04 +020
Le paquet Tcsh contient « une version améliorée mais pleinement compatible du shell Berkeley Unix C (csh) ». Il est utile en tant que shell alternatif pour ceux qui préfèrent la syntaxe C à celle du shell bash, et ausssi car certains programmes ont besoin d'un shell C pour effectuer des tâches d'installation.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.sfr-fresh.com/unix/misc/tcsh-6.18.01.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.astron.com/pub/tcsh/tcsh-6.18.01.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6eed09dbd4223ab5b6955378450d228a
Taille du téléchargement : 912 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 12.6 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/tcsh
Installez Tcsh en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e 's|\$\*|#&|' -e 's|fR/g|&m|' tcsh.man2html && ./configure --prefix=/usr --bindir=/bin && make && sh ./tcsh.man2html
Pour tester les résultats, tapez: make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install install.man && ln -v -sf tcsh /bin/csh && ln -v -sf tcsh.1 /usr/share/man/man1/csh.1 && install -v -m755 -d /usr/share/doc/tcsh-6.18.01/html && install -v -m644 tcsh.html/* /usr/share/doc/tcsh-6.18.01/html && install -v -m644 FAQ /usr/share/doc/tcsh-6.18.01
sed -i -e 's|\$\*|#&|' -e 's|fR/g|&m|' tcsh.man2html : Cela met à jour du code Perl obsolète.
--bindir=/bin
:
Ceci installe le programme tcsh dans /bin
et non dans /usr/bin
.
sh ./tcsh.man2html : Ceci crée la documentation HTML à partir de la page de man formatée.
ln -v -sf tcsh
/bin/csh : Le FHS pose que si un shell
C est installé, il devrait y
avoir un lien symbolique de /bin/csh
vers lui. Ceci crée ce lien
symbolique.
Il y a beaucoup de fichiers de configuration pour le shell
C. Des exemples de ces derniers sont constitués par
/etc/csh.cshrc
, /etc/csh.login
, /etc/csh.logout
, ~/.tcshrc
, ~/.cshrc
, ~/.history
, ~/.cshdirs
, ~/.login
et ~/.logout
. Vous pouvez trouver plus
d'informations sur ces fichiers sur la page tcsh(1)
.
Last updated on : 2012-10-26 22:43:31 +020
Le paquet ZSH contient un interpréteur de commandes (shell) utilisable en tant que shell de connexion interactif et en tant que manipulateur de commandes de shell script. Parmi les shells standards, ZSH est l'un des plus ressemblant à KSH mais il comprend beaucoup d'améliorations.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.zsh.org/pub/zsh-5.0.7.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1cd396ce17952de50b8a89980d617f0a
Taille du téléchargement : 3.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 63 Mo (includes installing documentation - additional 1 Mo for PDF documentation)
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU (additional moins de 0.1 SBU for PDF documentation and additional 0.2 SBU for the tests)
Documentation facultative : http://www.zsh.org/pub/zsh-5.0.7-doc.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 de la documentation : ec04d46211a20281778ddbbde9aa680f
Taille de téléchargement de la documentation: 2.9 Mo
libcap-2.24 avec PAM PCRE-8.36 et Valgrind-3.10.1,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/zsh
Si vous avez téléchargé la documentation facultative, déballez-la avec la commande suivante :
tar --strip-components=1 -xvf ../zsh-5.0.7-doc.tar.bz2
Installez ZSH en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --bindir=/bin \ --sysconfdir=/etc/zsh \ --enable-etcdir=/etc/zsh && make && makeinfo Doc/zsh.texi --plaintext -o Doc/zsh.txt && makeinfo Doc/zsh.texi --html -o Doc/html && makeinfo Doc/zsh.texi --html --no-split --no-headers -o Doc/zsh.html
Si vous avez installé texlive-20140525, vous pouvez construire des formats supplémentaires de la documentation en exécutant tout ou partie des commandes suivantes :
texi2pdf Doc/zsh.texi -o Doc/zsh.pdf
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && make infodir=/usr/share/info install.info && install -v -m755 -d /usr/share/doc/zsh-5.0.7/html && install -v -m644 Doc/html/* /usr/share/doc/zsh-5.0.7/html && install -v -m644 Doc/zsh.{html,txt} /usr/share/doc/zsh-5.0.7
Si vous avez téléchargé la documentation facultative,
installez-la en exécutant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
make htmldir=/usr/share/doc/zsh-5.0.7/html install.html && install -v -m644 Doc/zsh.dvi /usr/share/doc/zsh-5.0.7
Si vous avez construit la documentation au format PDF ,
installez-le en exécutant la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -m644 Doc/zsh.pdf /usr/share/doc/zsh-5.0.7
--sysconfdir=/etc/zsh
et --enable-etcdir=/etc/zsh
:
Ces paramètres sont utilisés pour que tous les fichiers de
configuration ZSH soient
regroupés dans le répertoire /etc/zsh
. Ne mettez pas ces paramètres si
vous souhaitez assurer une compatibilité historique en
mettant tous les fichiers dans le répertoire /etc
.
--bindir=/bin
:
Ce paramètre met les binaires zsh dans le système de
fichiers racine.
--enable-cap
: Ce paramètre
active les possibilités POSIX.
--disable-gdbm
: Ce
paramètre désactive l'utilisation de la bibliothèque
GDBM.
--enable-pcre
: Ce paramètre
permet à zsh d'utiliser la bibliothèque d'expression
régulière PCRE dans les
intégrations du shell.
Lier dynamiquement ZSH à
PCRE et/ou à GDBM donne des dépendances, au moment
de l'exécution, respectivement de libpcre.so
et/ou de libgdbm.so
, qui se trouvent tous dans la
hiérarchie /usr
. Si
/usr
est un point de montage
séparé et si ZSH doit être
disponible au moment du démarrage, ses bibliothèques de
support devraient se trouver aussi dans /lib
. Vous pouvez déplacer les
bibliothèques comme suit :
mv -v /usr/lib/libpcre.so.* /lib && ln -v -sf ../../lib/libpcre.so.0 /usr/lib/libpcre.so mv -v /usr/lib/libgdbm.so.* /lib && ln -v -sf ../../lib/libgdbm.so.3 /usr/lib/libgdbm.so
Vous pouvez aussi lier statiquement ZSH à PCRE et à GDBM si vous modifiez le fichier
config.modules
(vous devez
d'abord lancer configure pour le générer).
Il y a tout un tas de fichiers de configuration pour
ZSH, incluant /etc/zsh/zshenv
, /etc/zsh/zprofile
, /etc/zsh/zshrc
, /etc/zsh/zlogin
et /etc/zsh/zlogout
. Vous pouvez trouver
plus d'informations à leur sujet dans zsh(1)
et les pages de manuel qui s'y
rapportent.
La première fois que zsh est lancé, vous devrez répondre à
quelques questions. Les réponses seront utilisées pour
créer un fichier ~/.zshrc
. Si
vous souhaitez lancer ces questions de nouveau , lancez
zsh
/usr/share/zsh/5.0.7/functions/zsh-newuser-install
-f.
Il y a plusieurs prompts avancés de construits. Dans le
shell zsh ,
démarrez le support des prompts avancés avec autoload -U promptinit,
ensuite promptinit. Les noms des
prompts disponible sont listés avec prompt -l. Selectionnez
en un en particulier avec prompt <prompt-name>
.
Affichez tous les prompts disponibles avec prompt -p. Sauf pour la
liste et les commandes d'affichages , vous pouvez insérer
les autres dans ~/.zshrc
pour
être automatiquement exécutées au démarrage du shell, avec
le prompt de votre choix.
Last updated on : 2012-09-22 18:38:01 +020
La virtualisation permet d'exécuter en tant que tâche un système d'exploitation entier, ou machine virtuelle (VM), à l'intérieur d'un autre système d'exploitation. Il y a plusieurs environnements commerciaux et open source qui soit émulent un autre processeur ou utilisent les possibilités de virtualisation matériel du processeur hôte.
qemu-kvm est une solution de virtualisation complète pour Linux avec un processeur x86 supportant les extensions de virtualisation (Intel VT ou AMD-V).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://wiki.qemu.org/download/qemu-2.2.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f7a5e2da22d057eb838a91da7aff43c8
Taille du téléchargement : 23 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 300 Mo
Estimation du temps de construction : 1.9 SBU
GLib-2.42.1, Python-2.7.9 et X Window System
ALSA-1.0.28, , check-0.9.14, cURL-7.40.0, MesaLib-10.4.5, et Cyrus SASL-2.1.26.
La liste des dépendances facultatives n'est pas complète. Regardez la sortie de ./configure --help pour une liste plus complète.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/qemu
Avant de construite qemu-kvm, vérifier si votre processeur supporte la technologie de virtualisation :
egrep '^flags.*(vmx|svm)' /proc/cpuinfo
Si vous avez une sortie, vous avez la technologie VT (vmx pour les processeurs Intel et svm pour les processeurs AMD). Vous devez également allez voir dans votre BIOS et vérifier qu'elle est activée. Après l'activation, rédémarrer sur votre LFS.
Activez les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyau si nécessaire :
[*] Virtualization: ---> [CONFIG_VIRTUALIZATION]
<*/M> Kernel-based Virtual Machine (KVM) support [CONFIG_KVM]
<*/M> KVM for Intel processors support [CONFIG_KVM_INTEL]
<*/M> KVM for AMD processors support [CONFIG_KVM_AMD]
Les options Intel ou AMD ne sont pas toutes les deux nécessaire, mais celle correspondante à votre processeur est obligatoire.
Pour le réseau, vérifiez que bridge-utils-1.5 est installé et que les options suivantes dans la configuration du noyau sont actives :
[*] Networking support ---> [CONFIG_NET]
Networking options --->
<*/M> 802.1d Ethernet Bridging [CONFIG_BRIDGE]
Device Drivers --->
[*] Network device support ---> [CONFIG_NETDEVICES]
<*/M> Universal TUN/TAP device driver support [CONFIG_TUN]
Installez qemu en lançant les commandes suivantes :
sed -i '/resource/ i#include <sys/xattr.h>' fsdev/virtfs-proxy-helper.c && ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --docdir=/usr/share/doc/qemu-2.2.0 \ --target-list=x86_64-softmmu && make
Pour lancer la construction en tests, lancez make V=1 check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && [ -e /usr/lib/libcacard.so ] && chmod -v 755 /usr/lib/libcacard.so
Vous pouvez avec besoin d'un groupe dédié qui contient les
utilisateurs (autre que root) autorisé à accéder au
périphérique KVM. Créez ce groupe en lançant la commande
suivante en tant qu'utilisateur root
:
groupadd -g 61 kvm
Ajoutez tous les utilisateurs qui peuvent utiliser le périphérique KVM dans ce groupe :
usermod -a -G kvm <username>
Vous pouvez aussi avoir besoin d'ajouter une rêgle Udev pour que le périphérique KVM ai les bonnes permissions :
cat > /lib/udev/rules.d/65-kvm.rules << "EOF"
KERNEL=="kvm", GROUP="kvm", MODE="0660"
EOF
Par confort vous pouvez vouloir créer un lien symbolique pour lancer qemu-system-x86_64 :
ln -sv qemu-system-x86_64 /usr/bin/qemu
sed ... virtfs-proxy-helper.c: Corrige un problème de construction causé par ddes changements dans certaines versions du ficher include glibc sys/xattr.h.
--target-list=x86_64-softmmu
:
This option limits the build target to the x86_64
architecture. For other hardware emulation see the
--target-list list in configure's help output.
Omitting this option will build all architectures.
--audio-drv-list=alsa
: Ce
paramètre initialise le pilote audio pour ALSA. Pour les
autres pilotes regardez la liste --audio-drv-list dans la
sortie de l'aide de configure. Le pilote audio
par défaut est OSS.
Pour générer une image, lancez :
qemu-img create -f qcow2 vdisk.img 10G
Ajuster la taille du disque virtuel et le nom du fichier image comme souhaités. La taille réelle du fichier sera plus petite que spécifiée, mais s'agrandira quand il sera utilisé.
Les instructions suivantes supposent que vous avez créé le
lien symbolique facultatif, qemu
. En supplément, vous
devez exécuter qemu
depuis un terminal
d'une fenètre X.
Pour installer un système d'exploitation, téléchargez un iso
de votre choix ou utilisez un CD d'installation. Pour les
besoins de cet exemple, nous utilisons une distribution
Fedora 16 qui est téléchargée par l'iso Fedora-16-x86_64-Live-LXDE.iso
dans le
répertoire courant. Exécutez les commandes suivantes :
qemu -enable-kvm -hda vdisk.img \ -cdrom Fedora-16-x86_64-Live-LXDE.iso \ -boot d \ -m 384
Suivre la procédure d'installation normal pour la distribution choisie. L'option boot spécifie l'ordre de démarrage des disques comme une chaîne de lettres de lecteur. Les lettres valides de lecteurs sont : a, b (lecteur de disquettes 1 et 2), c (premier disque dur ), d (premier lecteur CD-ROM). l'option -m est la quantité de mémoire à utiliser pour la machine virtuelle. Si vous avez suffisament de mémoire (2G ou plus), 1G est une valeur correcte. Pour les ordinateurs avec 512Mo de RAM il est prudent d'utiliser -m 192, ou même -m 128 (la valeur par défaut).
Pour exécuter le nouveau système d'exploitation, lancer :
qemu -enable-kvm vdisk.img -m 384
Pour ajouter le réseau à la machine virtuelle ajoutez "-net nic -net user" à la commande précédente. qemu fournit un serveur DHCP pour les machines virtuelles et en fonction de votre système client, initialise le réseau au travers de l'hôte.
un problème avec la solution réseau précédente est qu'elle ne
fournit pas la possibilité de se connecter sur le réseau
local. Pour faire cela, il y a quelques étapes supplémentaire
qui doivent être faites, tout en tant qu'utilisateur
root
:
Initialiser le mode pont avec bridge-utils-1.5.
Autoriser le système hôte à transférer les paquets IP.
sysctl -w net.ipv4.ip_forward=1
Pour rendre cela permanent, ajoutez la commande dans le
fichier /etc/syssysctl.conf
:
cat >> /etc/sysctl.conf << EOF net.ipv4.ip_forward=1 EOF
Permettre les connections réseaux quand l'exécution en tant que membre du groupe kvm:
chgrp kvm /usr/libexec/qemu-bridge-helper && chmod 4750 /usr/libexec/qemu-bridge-helper
Initialisez un fichier de configuration requis:
echo 'allow br0' > /etc/qemu/bridge.conf
Démarrer qemu avec les options "-net nic -net bridge".
Si une connexion, en ssh par exemple, depuis le réseau local vers la VM cliente est souhaitée, le client devra être configuré avec une adresse IP statique.
implémente le support pour les commandes QMP (Protocole de surveillance QEMU) et les événements qui terminent et débutent respectivement au sein de l'invité à l'aide d'un agent intégré dans le cadre de QEMU. |
|
fournit les commandes pour gérer les images disques QEMU. |
|
est un programme de diagnostique et de manipulation pour les médias (virtuels) en mémoire. Il est encore à un stade de développement précoce. |
|
exporte les images disque Qemu en utilisant le protocole disque QEMU "Network Block Device" (NBD). |
|
est l'émulateur QEMU de sytème PC. |
|
est une bibliothèque d'émulation pour une Smart Card virtuelle. |
Last updated on : 2013-03-18 20:44:11 +010
Les bibliothèques contiennent du code qui est souvent exigé par un ou plusieurs programmes. Ceci a l'avantage que chaque programme n'a pas besoin de dupliquer du code (risquant d'introduire des bogues), il n'a qu'à appeler des fonctions de la bibliothèque installée sur le système. L'exemple le plus parlant d'un ensemble de bibliothèques est Glibc qui est installée dans le livre LFS. Elle contient toutes les fonctions de la bibliothèque C utilisées par les programmes.
Il y a deux types de bibliothèques : celles statiques et
celles partagées. Les bibliothèques partagées (en général
libXXX.so
) sont chargées en mémoire
à partir d'une copie partagée au moment de l'exécution (d'où leur
nom). Les bibliothèques statiques (libXXX.a
) sont liées en définitive au fichier
exécutable du programme lui-même, rendant ainsi le fichier du
programme plus gros. Le plus souvent, vous trouverez à la fois
des copies statiques et partagées de la même bibliothèque sur
votre système.
En général, vous n'avez besoin d'installer des bibliothèques que
lorsque vous installez un logiciel qui a besoin de la
fonctionnalité qu'elle fournit. Dans le livre BLFS, chaque paquet
est présenté avec une liste de dépendances (connues). Ainsi, vous
pouvez savoir de quelles bibliothèques vous avez besoin d'avoir
avant l'installation de tel programme. Si vous installez quelque
chose sans utilisez les instructions de BLFS, le fichier
README
ou INSTALL
contiendra généralement les détails des
prérequis du programme.
Il y a des bibliothèques dont presque tout le monde aura besoin à un moment ou un autre. Dans ce chapitre, celles-ci ainsi que d'autres sont listés et il est expliqué pourquoi il se peut que vous vouliez les installer.
Le Apache Portable Runtime (APR) est une bibliothèque de support du serveur web Apache. Il offre un ensemble d'interfaces de programmation d'application (APIs) qui correspondent au système d'exploitation sous-jacent. Quand le système d'exploitation ne supporte pas une fonction en particulier, APR fournira une émulation. Ainsi, les programmeurs peuvent utiliser l'APR pour rendre un programme portable sur différentes plate-formes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.apache.org/dist/apr/apr-1.5.1.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.mirrorservice.org/sites/ftp.apache.org/apr/apr-1.5.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : cc93bd2c12d0d037f68e21cc6385dc31
Taille du téléchargement : 796 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 15.7 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (1.2 avec les tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/apr
Installez Apr en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --with-installbuilddir=/usr/share/apr-1/build && make
Pour tester les résultats, lancez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-04 19:52:20 +010
La bibliothèque Apache Portable Runtime Utility fournit une interface prévisible et cohérente avec des interfaces de bibliothèques clients sous-jacentes. Cette interface de programmation d'application assure la prévisibilité d'un comportement s'il n'est pas identique en fonction des bibliothèques disponibles sur une plate-forme donnée.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.apache.org/dist/apr/apr-util-1.5.4.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.mirrorservice.org/sites/ftp.apache.org/apr/apr-util-1.5.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2202b18f269ad606d70e1864857ed93c
Taille du téléchargement : 680 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 8.7 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Berkeley DB-6.1.19, FreeTDS, MariaDB-10.0.16 ou MySQL, OpenLDAP-2.4.40 PostgreSQL-9.4.1, SQLite-3.8.8.2 et unixODBC-2.3.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/apr-util
Installez Apr-Util en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-apr=/usr \ --with-gdbm=/usr \ --with-openssl=/usr \ --with-crypto && make
Pour tester les résultats, lancez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-gdbm=/usr
: Cette
option entraîne la compilation du greffon apr_dbm_gdbm-1.so
.
--with-openssl=/usr
--with-crypto
: Ces paramètres active le
greffon apr_crypto_openssl-1.so
. Enlevez le si vous
n'avez pas installé OpenSSL-1.0.2.
--with-berkeley-db=/usr
: Si
vous avez installé Berkeley DB-6.1.19, utilisez cette
option pour compiler le greffon apr_dbm_db-1.so
.
--with-ldap
: Si vous avez
installé OpenLDAP-2.4.40, utilisez ce paramètre
pour compiler l'ajout apr_ldap.so
.
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
Le paquet Aspell contient un programme interactif de vérification d'orthographe et les bibliothèques Aspell. Vous pouvez utiliser Aspell soit comme une bibliothèque soit comme un vérificateur d'orthographe indépendant.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/aspell/aspell-0.60.6.1.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/aspell/aspell-0.60.6.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e66a9c9af6a60dc46134fdacf6ce97d7
Taille du téléchargement : 1.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 58 Mo (8 Mo supplémentaires pour le dictionnaire EN)
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
Vous aurez besoin de télécharger au moins un dictionnaire. Le lien ci-dessous vous amènera sur une page contenant des liens vers des dictionnaires en plusieurs langues.
Dictionnaires Aspell : ftp://ftp.gnu.org/gnu/aspell/dict
which-2.20(pour les dictionnaires)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/aspell
Installez Aspell en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/aspell-0.60.6.1/aspell{,-dev}.html && install -v -m644 manual/aspell.html/* \ /usr/share/doc/aspell-0.60.6.1/aspell.html && install -v -m644 manual/aspell-dev.html/* \ /usr/share/doc/aspell-0.60.6.1/aspell-dev.html
Si vous n'envisagez pas d'installer Ispell, copiez le script enveloppe ispell :
install -v -m 755 scripts/ispell /usr/bin/
Si vous n'envisagez pas d'installer Spell, copiez le script enveloppe spell> :
install -v -m 755 scripts/spell /usr/bin/
est un outil qui peut fonctionner en remplacement de ispell -a, comme vérificateur d'orthographe indépendant, comme outil de test pour tester des fonctionnalités d'Aspell et comme outil pour la gestion de dictionnaires. |
|
est une enveloppe d'aspell pour l'appeler en mode ispell compatible. |
|
est une enveloppe d'aspell pour l'appeler en mode spell compatible. |
|
importe de vieux dictionnaires personnels dans Aspell. |
|
décompresse un fichier prezip sur la sortie standard. |
|
décompresse un fichier prezip. |
|
est un compresseur delta de préfixe, utilisé pour compresser des listes organisées de mots ou d'autres fichiers textes semblables. |
|
est appelé par les scripts enveloppes pour effectuer la compression et la décompression finales. |
|
affiche des informations sur l'installation
|
|
est un script pour aider à utiliser Aspell en remplacement d'ispell. |
|
compresse ou décompresse des listes de mots classées pour une utilisation avec le vérificateur d'orthographe Aspell. |
|
contient des fonctions API de vérification d'orthographe. |
|
est une interface avec la bibliothèque |
Last updated on : 2012-07-29 01:46:35 +020
Boost offre un ensemble de bibliothèques sources libres, lues par les autres et portables en C++. Il inclut des bibliothèques d'algèbre linéaire, de génération de nombres pseudo-aléatoires, de multithreading, de traitement d'images, d'expressions régulières et de tests d'unités.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/boost/boost_1_57_0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1be49befbdd9a5ce9def2983ba3e7b76
Taille du téléchargement : 59 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 805 Mo
Estimation du temps de construction : 4.4 SBU
Notes utilisateurs : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/boost
Installez boost en lançant les commandes suivantes :
sed -e '1 i#ifndef Q_MOC_RUN' \ -e '$ a#endif' \ -i boost/type_traits/detail/has_binary_operator.hpp && ./bootstrap.sh --prefix=/usr && ./b2 stage threading=multi link=shared
Pour tester les résultats, tapez pushd status; ../b2; popd.
Quelques tests peuvent échouer. Ils prennent beaucoup de
temps (plus de 120SBU) et utilisent plus de 40Go d'espace
disque. Vous pouvez utiliser le paramètre -jN
pour les accélérer.
Maintenant en tant qu'utilisateur root
:
./b2 install threading=multi link=shared
sed ... has_binary_operator.hpp: Cette commande corrige un entête pour contourner un problem avec la commande moc de QT. C'est nécessaire pour construire quelques paquets de KDE.
threading=multi
: ce
paramètre fait que Boost est
construit avec le support multithread.
link=shared
: Ce
paramètre fait que seulement les bibliothèques partagées sont
créées, excepté pour libboost_exception et
libboost_test_exec_monitor qui sont créés statiquement. La
plupart des personnes n'auront pas besoin des bibliothèques
statiques. En effet la plupart des programmes utilisant
Boost se servent uniquement
des en-têtes, vous pouvez omettre ce paramètre si vous n'en
n'avez pas besoin.
-jN
: CE paramètre peut être
utilisé dans la ligne de commande b2, pour lancez N processus
en parallèle.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
CLucene est une version C++ de Lucene, un moteur de recherche en texte très performant.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/clucene/clucene-core-2.3.3.4.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 48d647fbd8ef8889e5a7f422c1bfda94
Taille du téléchargement : 2.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 78 Mo
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/clucene
Installez CLucene en lançant les commandes suivvantes:
patch -Np1 -i ../clucene-2.3.3.4-contribs_lib-1.patch && mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr \ -DBUILD_CONTRIBS_LIB=ON .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DBUILD_CONTRIBS_LIB=ON
: Cette
variable cmake active la construction de la bibliothèque de
contribution CLucene nécessaire pour lancer les applications
qui utilisent l'analyseurs de texte spécifique comme
LibreOffice par exemple.
Last updated on : 2012-05-12 23:26:38 +020
Le paquet D-Bus GLib contient les interfaces GLib de l'API D-Bus.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://dbus.freedesktop.org/releases/dbus-glib/dbus-glib-0.104.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5497d2070709cf796f1878c75a72a039
Taille du téléchargement : 776 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.4 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/dbus-glib
Installez D-Bus GLib en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static && make
Pour tester le résultat, tapez : make check. Notez que des tests plus compréhensif peuvent être lancé en suivant la même méthode que celle utilisée dans les instructions D-Bus, ce qui demande de construire le paquet deux fois.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on 2013-07-15 00:46:33 +0200
Le paquet enchant fournit une interface générique avec diverses bibliothèques existantes de vérification d'orthographe.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.abisource.com/downloads/enchant/1.6.0/enchant-1.6.0.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.netbsd.org/pub/pkgsrc/distfiles/enchant-1.6.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : de11011aff801dc61042828041fb59c7
Taille du téléchargement : 593 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 17 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
dbus-glib-0.104, Hspell, Hunspell, et Voikko
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/enchant
Installez enchant en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-06-06 01:38:53 +020
Exempi est une implémentation de XMP (Extensible Metadata Platform de Adobe).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://libopenraw.freedesktop.org/download/exempi-2.2.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b55db1031a3b4609c2241f7fc870ce32
Taille du téléchargement : 3.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 123 Mo (additional 13 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : moins de 1.0 SBU (additional 0,3 SBU for the tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/exempi
Installez exempi en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-08-28 16:56:09 +020
Le paquet GLib contient une bibliothèque cœur de bas niveau. C'est utile pour avoir la gestion de structures de données pour C, des enveloppes de portabilité et des interfaces avec des fonctionnalités en cours d'exécution telles que la boucle d'un événement, les défilés (threads), le chargement dynamique et un système objet.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/glib/2.42/glib-2.42.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/glib/2.42/glib-2.42.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 89c4119e50e767d3532158605ee9121a
Taille du téléchargement : 6.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 159 Mo (additional 45 Mo to run the test suite)
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU (ajouter 3.9 SBU pour lancer la suite de tests)
libffi-3.2.1 et Python-2.7.9 ou Python-3.4.2
PCRE-8.36 (construit avec les propriétés Unicode)
, D-BUS-1.8.16 (requis pour lancer les tests), elfutils-0.161, bibliothèque FAM, et GTK-Doc-1.21
Citées directement dans le fichier INSTALL
: « Certaines fonctionnalités de GIO liées aux types mime
exigent update-mime-database et les
outils update-desktop-database »,
qui font partie respectivement de shared-mime-info-1.4 et de
desktop-file-utils-0.22.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/glib2
Installez GLib en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --with-pcre=system && make
La suite de tests de GLib exige desktop-file-utils pour se lancer. Cependant, desktop-file-utils exige GLib pour se compiler. Donc, vous devez installer d'abord GLib puis lancer la suite de test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Vous devriez installer maintenant desktop-file-utils-0.22 et lancer la suite de tests.
Pour tester les résultats, après l'installation du paquet, lancez : make -k check. Les tests doivent être lancés dans un environnement graphique. Quelques tests peuvent échouer, pour des raisons inconnues. Un test (regex) échoue quand on utilise le paquet pcre du système.
--with-pcre=system
: Il
résulte de ce paramètre que la construction utilise une
version de la bibliothèque PCRE fournie par le système à la place
d'une version interne.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
--with-python=python3
: Ajoutez ce
paramètre si vous voulez que GLib utilise Python3 au lieu de
Python2.
peut être utilisé pour démarrer des applications et peut être utilisé pour envoyer des messages aux instances déjà lancées d'autres applications. |
|
est un outil simple utilisé pour fonctionner avec des objets D-Bus. |
|
est utilisé pour générer du code et/ou de la documentation pour une ou plusieurs interfaces D-Bus. |
|
est utilisé pour créer un fichier giomodule.cache dans les répertoires listés. Ce fichier liste les points d'extension implémentés pour chaque module trouvé. |
|
est utilisé pour lire la description des ressources à partir d'un fichier et des fichiers référencés pour créer un catalogue de ressources binaire adapté à une utilisation avec l'API GResource. |
|
est utilisé pour compiler tous les fichiers-schémas XML de GSettings du répertoire dans un fichier binaire nommé gschemas.compiled utilisable par GSettings. |
|
est un outil de génération marshaller de code C pour les closures GLib. |
|
est une variante de l'outil d'internationalisation gettext. |
|
est un outil de génération de description enum du langage C. |
|
est un outil qui dessine une arborescence de types. |
|
offre une interface simple en ligne de commande avec GResource. |
|
offre une interface simple en ligne de commande avec GSettings. |
|
est un outil d'exécution de tests. |
|
est un outil de formatage de rapports de test. |
|
contient une bibliothèque cœur de bas niveau pour le Toolkit GIMP. |
Last updated on : 2012-08-25 09:33:59 +020
Le paquet glibmm est un ensemble de liaisons C++ pour Glib.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/glibmm/2.42/glibmm-2.42.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/glibmm/2.42/glibmm-2.42.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7c52cc42085d30ac3b73d74c3f2eb22e
Taille du téléchargement : 5.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 188 Mo (additional 22 Mo to run the test suite)
Estimation du temps de construction : 1.2 SBU (ajouter 0.3 SBU pour lancer la suite de tests)
GLib-2.42.1, GnuTLS-3.3.12 (pour les tests), et libsigc++-2.4.0
Doxygen-1.8.9.1 et libxslt-1.1.28
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/glibmm
Installez glibmm en lançant les commandes suivantes:
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-07-24 19:08:57 +020
Le paquet GMime contient une chaîne d'outils pour analyser et créer des messages qui utilisent la Multipurpose Internet Mail Extension (extension pour le mail sur Internet à plusieurs objectifs) (MIME) tel que définie par les RFCs applicables. Voir le site Internet GMime pour les RFCs à ce sujet. Ceci est utile car cela fournit une API qui se conforme à la spécification MIME aussi fidèlement que possible tout en fournissant également aux programmeurs une interface avec les fonctions API très facile à utiliser.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gmime/2.6/gmime-2.6.20.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gmime/2.6/gmime-2.6.20.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 82612c42f39f6e75273a92e6de44554f
Taille du téléchargement : 724 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 19 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
GLib-2.42.1 et libgpg-error-1.18
gobject-introspection-1.42.0 et Vala-0.26.2
DocBook-utils-0.6.14, GPGME-1.5.3, GTK-Doc-1.21, et Gtk# (demande Mono)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gmime
Installez GMime en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-smime
: Utilisez
cette option si vous avez installé GPGME-1.5.3 et que vous
souhaitez activer le support S/MIME dans GMime.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-10-19 21:35:45 +020
gobject-introspection est utilisé pour décrire les APIs du programme et les rassembler dans un format uniforme lisible par une machine.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gobject-introspection/1.42/gobject-introspection-1.42.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gobject-introspection/1.42/gobject-introspection-1.42.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4fa52f6b67367d9c1b99b98683ced202
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 45 Mo (additional 4 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (additional 0.2 SBU for the tests)
cairo-1.14.0 (Requis pour les tests) GTK-Doc-1.21 et Mako
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gobject-introspection
Installez gobject-introspection en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
convertit un ou plusieurs fichiers GIR dans une ou plusieurs typelib. |
|
est un outil qui génère des fichiers XML GIR en analysant les en-têtes et en examinant les bibliothèques basées sur GObject. |
|
est un générateur GIR utilisant l'API du dépôt. |
|
offre une API pour accéder aux méta-données du typelib. |
Last updated on : 2012-10-18 08:06:38 +020
Grantlee est un ensemble de bibliothèques de logiciel libre écrit en utilisant la boite à outils Qt. Actuellement deux bibliothèques sont fournies avec Grantlee: Grantlee Templates et Grantlee TextDocument. Le but de Grantlee Templates est de rendre plus facile pour les développeurs d'application pour séparer la structure des documents des données qu'ils contiennent, en ouvrant la porte aux thèmes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.grantlee.org/grantlee-0.5.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 775f22dac0953029b414ed3b7379098c
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 21 Mo
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/grantlee
Installez Grantlee en lançant les commandes suivantes
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ .. && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2013-08-04 11:28:54 -0500
La GNU Scientific Library (GSL, bibliothèque scientifique GNU) est une bibliothèque numérique pour les programmeurs en C et en C++. Elle fournit une vaste gamme de routines mathématiques telles que des générateurs de nombres aléatoires, des fonctions spéciales et les moindres carrés.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/pub/gnu/gsl/gsl-1.16.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/pub/gnu/gsl/gsl-1.16.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e49a664db13d81c968415cd53f62bc8b
Taille du téléchargement : 3.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 208 Mo
Estimation du temps de construction : 2.2 SBU
Installez Gsl en lançant les commandes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make && make html
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mkdir /usr/share/doc/gsl-1.16 && cp doc/gsl-ref.html/* /usr/share/doc/gsl-1.16
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
est un script shell pour obtenir le numéro de version et les drapeaux du compilateur de la bibliothèque Gsl installée. |
|
est un programme de démonstration de la GNU Scientific Library en train de faire un histogramme à partir de données issues de l'entrée standard. |
|
est un programme de démonstration de la GNU Scientific Library en train de générer des modèles aléatoires à partir de diverses distributions. |
|
contient les fonctions qui implémentent une interface C avec Basic Linear Algebra Subprograms (sous-programmes d'algèbre linéaire de base). |
|
contient les fonctions qui fournissent un ensemble de routines numériques pour du calcul scientifique. |
Last updated on : 2012-03-31 16:06:29 +020
Le paquet ICU est un ensemble de bibliothèques C/C++ matures et largement utilisées, offrant aux logiciels le support de l'Unicode et de la Globalisation. ICU est extrêmement portable et il donne aux applications les mêmes résultats sur toutes les plate-formes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.icu-project.org/files/icu4c/54.1/icu4c-54_1-src.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e844caed8f2ca24c088505b0d6271bc0
Taille du téléchargement : 24 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 354 Mo (additional 30 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 1.4 SBU (additional 1.9 SBU for the tests)
llvm-3.5.1 (with Clang)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/icu
Installez ICU en lançant les commandes suivantes :
cd source && ./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
CXX=g++
: si vous préférez, Cette
variable d'environnement, utilisées dans la ligne de
configure, force l'utilisation du compilateur g++ à la place de
clang++ si ce
dernier est installé.
désassemble un ensemble de ressources. |
|
compile des fichiers sources de règle d'itération break ICU dans des fichiers de données binaires. |
|
génère du code C ou de l'assembleur spécifique à la plate-forme depuis une fichier de données ICU. |
|
lit des définitions de caractères confondables en Unicode et écrit les données en binaire. |
|
génère un fichier de données ICU de la carte mémoire. |
|
compile le fichier des alias du convertisseur. |
|
compile une liste de mots dans un dictionnaire tri ICU. |
|
compile un ensemble de ressources. |
|
compile des données StringPrep depuis des fichiers filtrés RFC 3454. |
|
affiche les options de construction d'ICU. |
|
affiche des informations de configuration sur les composants internationaux actuels pour l'Unicode (ICU: International Components for Unicode). |
|
extrait ou modifie une archive ICU .dat. |
|
compile une table de convertisseur. |
|
empaquette des données à utiliser par ICU. |
|
convertit des données d'un encodage à l'autre. |
|
est la bibliothèque de données. |
|
est la bibliothèque d'internationalisation (i18n). |
|
est la bibliothèque ICU E/S (entrée/sortie standard en unicode). |
|
est le moteur de présentation. |
|
est le moteur des extensions de présentation. |
|
est la bibliothèque de test. |
|
est la bibliothèque d'outil. |
|
est la bibliothèque classique. |
Last updated on : 2013-01-19 20:08:57 +010
JS est le moteur Javascript de Mozilla écrit en C/C++.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.mozilla.org/pub/mozilla.org/js/js17.0.0.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.mozilla.org/pub/mozilla.org/js/js17.0.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 20b6f8f1140ef6e47daa3b16965c9202
Taille du téléchargement : 6.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 1.2 GB
Estimation du temps de construction : 2.0 SBU
libffi-3.2.1, NSPR-4.10.8, Python-2.7.9 et Zip-3.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/JS
Installez JS en lançant les commandes suivantes :
cd js/src && ./configure --prefix=/usr \ --enable-readline \ --enable-threadsafe \ --with-system-ffi \ --with-system-nspr && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && find /usr/include/js-17.0/ \ /usr/lib/libmozjs-17.0.a \ /usr/lib/pkgconfig/mozjs-17.0.pc \ -type f -exec chmod -v 644 {} \;
--enable-threadsafe
: Ce
paramètre active le support pour les threads multiples.
--enable-readline
: Ce paramètre
active le support de Readline dans le shell JS.
--with-system-ffi
: Ce paramètre
force le paquet à se lier à la version du système de
libffi au lieu d'utiliser sa
version, et maintenant ancienne, incluse.
--with-system-nspr
: Ce paramètre
force le paquet à se lier à la version du système de
NSPR au lieu d'utiliser sa
version, et maintenant ancienne, incluse.
Last updated on 2013-07-28 19:12:40 +0200
JS est le moteur Javascript de Mozilla écrit en C/C++.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.mozilla.org/pub/mozilla.org/js/mozjs-24.2.0.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.mozilla.org/pub/mozilla.org/js/mozjs-24.2.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5db79c10e049a2dc117a6e6a3bc78a8e
Taille du téléchargement : 15 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 1.8 GB
Estimation du temps de construction : 4.2 SBU (additional 1.6 SBU for the tests)
libffi-3.2.1, NSPR-4.10.8, Python-2.7.9 et Zip-3.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/JS2
Ce paquet peut être installé sans problème, si vous avez installez JS-17.0.0. Il est nécessaire d'initialiser SHELL=/bin/bash si vous être en chroot.
Installez JS en lançant les instructions suivantes :
cd js/src && ./configure --prefix=/usr \ --enable-readline \ --enable-threadsafe \ --with-system-ffi \ --with-system-nspr && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && find /usr/include/mozjs-24/ \ /usr/lib/libmozjs-24.a \ /usr/lib/pkgconfig/mozjs-24.pc \ -type f -exec chmod -v 644 {} \;
--enable-threadsafe
: Ce
paramètre active le support pour les threads multiples.
--enable-readline
: Ce paramètre
active le support Readline
dans le shell JS.
--with-system-ffi
: Ce paramètre
force le paquet à se lier à la version système
de libffi au lieu d'utiliser
la version, et maintenant ancienne, incluse.
--with-system-nspr
: Ce
paramètre force le paquet à se lier à la version
système de NSPR au lieu
d'utiliser la version, et maintenant ancienne, incluse.
Last updated on 2014-03-31 20:26:05 +0200
Le paquet JSON-C implémente un modèle d'objet de comptage de référence qui vous permet de construire facilement des objets JSON en C, de les afficher en chaînes formatées en JSON et d'analyser des chaînes formatées en JSON pour les présenter sous forme d'objets JSON en C.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://s3.amazonaws.com/json-c_releases/releases/json-c-0.12.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3ca4bbb881dfc4017e8021b5e0a8c491
Taille du téléchargement : 496 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.7 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU (add 1.0 SBU for tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/json-c
Ce paquet ne supporte pas la construction parallèle.
Installez JSON-C en lançant les commandes suivantes :
sed -i s/-Werror// Makefile.in && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make -j1
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed ...
: Ces
instructions enlèvent un drapeau qui empêche un fichier de se
compiler.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-02-21 08:59:09 +010
Le paquet JSON-GLib est une bibliothèque fournissant le support de sérialisation et désérialisation pour le format de notation des objets JavaScript (JSON) décrit par la RFC 4627.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/json-glib/1.0/json-glib-1.0.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/json-glib/1.0/json-glib-1.0.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e43efaf6852958207982e79141bf371e
Taille du téléchargement : 540 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo (additional 2 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/json-glib
Installez JSON-GLib en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-06-06 01:38:53 +020
Keyutils est un ensemble d'outils de gestion de la conservation des clés dans le noyau, que peuvent utiliser les systèmes de fichiers, les périphériques de blocs et la base pour conserver l'autorisation et les clés de chiffrement nécessaires pour effectuer des opérations sécurisées.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://people.redhat.com/~dhowells/keyutils/keyutils-1.5.9.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7f8ac985c45086b5fbcd12cecd23cf07
Taille du téléchargement : 76 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.7 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/keyutils
Installez keyutils en lançant les commandes suivantes :
make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make NO_ARLIB=1 install
NO_ARLIB=1
: Ce
drapeau désactive l'installation des bibliothèques statiques.
Last updated on : 2012-04-03 04:14:21 +020
La bibliothèque libarchive fournit une seule interface pour lire et écrire divers formats de compression.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.libarchive.org/downloads/libarchive-3.1.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : efad5a503f66329bb9d2f4308b5de98a
Taille du téléchargement : 4.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 60 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
, , libxml2-2.9.2 ou , lzo-2.09 et nettle-2.7.1 ou OpenSSL-1.0.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libarchive
Installez libarchive en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check .
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--without-xml2
: Ce paramètre
initialise expat pour le support de format d'archive xar au
lieu de libxml2 préféré si les deux paquets sont installés.
--without-nettle
: Ce paramètre
initialise OpenSSL pour le support de cryptographie au lieu
de Nettle préféré si les deux paquets sont installés.
Last updated on : 2013-03-03 15:53:30 +010
Le paques Libassuan contient une bibliothèque de communication entre processus utilisée par certains des paquets liés à GnuPG. L'utilisation primaire de Libassuan est de permettre à un client d'interagir avec un serveur non permanent. Libassuan n'est toutefois pas limité à être utilisé avec des serveurs et des clients GnuPG. Il est conçu pour être suffisamment flexible pour correspondre aux demandes de la plupart des environnements basés sur de la transaction avec des serveurs non permanents.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnupg.org/gcrypt/libassuan/libassuan-2.2.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a104faed3e97b9c302c5d67cc22b1d60
Taille du téléchargement : 508 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5.6 Mo (additional 0.1 Mo for the tests and 2.2 Mo to build and install documentation)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Facultativement, pour corriger la construction de la documentation: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/libassuan-2.2.0-fix_doc_build-1.patch
texlive-20140525 (ou install-tl-unx)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libassuan
Installez Libassuan en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Si vous souhaitez construire la documentation, vous devez avoir installé texlive-20140525, et tapez les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../libassuan-2.2.0-fix_doc_build-1.patch && make -C doc pdf ps
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez construit d'autres formats de documentation,
installez-les en lançant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -dm755 /usr/share/doc/libassuan-2.2.0 && install -v -m644 doc/assuan.{pdf,ps,dvi} \ /usr/share/doc/libassuan-2.2.0
Last updated on : 2012-09-22 18:38:01 +020
Le paquet libatasmart est une bibliothèque de signalement de disques. Elle ne supporte qu'un sous-ensemble de la fonctionnalité ATA de S.M.A.R.T..
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://0pointer.de/public/libatasmart-0.19.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 53afe2b155c36f658e121fe6def33e77
Taille du téléchargement : 248 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libatasmart
Installez libatasmart en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make docdir=/usr/share/doc/libatasmart-0.19 install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-08-24 21:52:55 +020
libatomic_ops fournit des implémentations pour des opérations de mise à jour de la mémoire atomique sur un certain nombre d'architectures. Cela permet leur utilisation directe dans un code raisonnablement portable. Contrairement à des paquets précédents similaires, celui-ci considère les sémantiques de la barrière mémoire de façon explicite et il permet la construction d'un code impliquant le minimum d'overhead sur une large variété d'architectures.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.ivmaisoft.com/_bin/atomic_ops//libatomic_ops-7.4.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1d6538604b314d2fccdf86915e5c0857
Taille du téléchargement : 456 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5.3 Mo (additional 1.9 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU (additional moins de 0.1 SBU for tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libatomic_ops
Installez libatomic_ops en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's#pkgdata#doc#' doc/Makefile.am && autoreconf -fi && ./configure --prefix=/usr \ --enable-shared \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/libatomic_ops-7.4.2 && make
Pour vérifier les résultats, tapez LD_LIBRARY_PATH=../src/.libs make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mv -v /usr/share/libatomic_ops/* \ /usr/share/doc/libatomic_ops-7.4.2 && rm -vrf /usr/share/libatomic_ops
sed -i ...: Ce sed fait que les docs sont installés dans le répertoire approprié.
autoreconf -fi:
cela régénère le script configure et le
Makefile.in
.
--enable-shared
: Ce
paramètre active la construction des bibliothèques partagées
libatomic_ops
.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-12-19 20:57:20 +010
Le paquet libcroco contient la bibliothèque de manipulation et d'analyse CSS2 autonome.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libcroco/0.6/libcroco-0.6.8.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libcroco/0.6/libcroco-0.6.8.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 767e73c4174f75b99695d4530fd9bb80
Taille du téléchargement : 456 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libcroco
Installez libcroco en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour lancer la suite de tests, exécutez LD_LIBRARY_PATH=$(pwd)/src/.libs make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-08-24 13:29:51 +020
Le paquet libdaemon est une bibliothèque C légère facilitant l'écriture de démons UNIX.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://0pointer.de/lennart/projects/libdaemon/libdaemon-0.14.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 509dc27107c21bcd9fbf2f95f5669563
Taille du téléchargement : 332 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Doxygen-1.8.9.1 et Lynx-2.8.8rel.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libdaemon
Installez libdaemon en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Si vous avez installé Doxygen et si vous souhaitez construire la documentation de l'API, lancez la commande suivante :
make -C doc doxygen
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make docdir=/usr/share/doc/libdaemon-0.14 install
Si vous avez construit la documentation de l'API,
installez-la en utilisant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/libdaemon-0.14/api && install -v -m644 doc/reference/html/* /usr/share/doc/libdaemon-0.14/api && install -v -m644 doc/reference/man/man3/* /usr/share/man/man3
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-05-11 15:49:44 +020
Cette bibliothèque offre une implémentation Qt des specs de DBusMenu dont le but est de présenter des menus sur le DBus.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://launchpad.net/libdbusmenu-qt/trunk/0.9.2/+download/libdbusmenu-qt-0.9.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9a49484927669cd2ec91b3bf9ba8b79e
Taille du téléchargement : 37 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.8 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
QJson-0.8.1 (pour construire la suite de tests) et Doxygen-1.8.9.1 (pour construire la documentation API)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libdbusmenu-qt
Installez libdbusmenu-qt en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DWITH_DOC=OFF .. && make
Pour tester les résultats (Qjson doit être installé), tapez: make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
: Ce
paramètre est utilisé pour construire sans les symboles de
déboguage et appliquer un haut niveau d'optimisation à la
compilation.
-DWITH_DOC=OFF
: Cette
option est initialisée pour éviter la construction de la
documentation API. Oubliez la si vous avez installé
doxygen et voulez la
documentation.
Last updated on : 2013-04-23 19:04:04 +020
Le paquet libESMTP contient les bibliothèques libESMTP qui sont utilisées par certains programmes pour gérer l'envoi de messages électroniques à un transporteur de messages.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.stafford.uklinux.net/libesmtp/libesmtp-1.0.6.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://mirror.ovh.net/gentoo-distfiles/distfiles/libesmtp-1.0.6.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : bf3915e627fd8f35524a8fdfeed979c8
Taille du téléchargement : 364 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.1 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libesmtp
Installez libESMTP en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-05-12 06:48:23 +020
La bibliothèque libffi fournit une interface de programmation portable et de haut niveau avec plusieurs conventions d'appel. Elle permet à un programmeur d'appeler une fonction spécifiée avec une description d'interface d'appel lors de l'exécution.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://sourceware.org/pub/libffi/libffi-3.2.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 83b89587607e3eb65c70d361f13bab43
Taille du téléchargement : 920 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.1 Mo (additional 1.7 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU (additional 0.4 SBU for the tests)
DejaGnu-1.5.2 (requis pour lancer la suite de tests)
Notes utilisateur: http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libffi
Installez libffi en lançant les commandes suivantes :
sed -e '/^includesdir/ s/$(libdir).*$/$(includedir)/' \ -i include/Makefile.in && sed -e '/^includedir/ s/=.*$/=@includedir@/' \ -e 's/^Cflags: -I${includedir}/Cflags:/' \ -i libffi.pc.in && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, tapez: make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed ... include/Makefile.in et sed ... libffi.pc.in: Fait que le paquet installe les entêtes dans /usr/include au lieu de /usr/lib/libffi-3.2.1/include.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-04 19:52:20 +010
Le paquet libgcrypt contient une bibliothèque d'encryptage à but généraliste basée sur le code utilisé dans GnuPG. La bibliothèque fournit une interface de haut niveau pour des blocs de construction encryptés en utilisant une API flexible et extensible.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnupg.org/gcrypt/libgcrypt/libgcrypt-1.6.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b54395a93cb1e57619943c082da09d5f
Taille du téléchargement : 2.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 38 Mo (additional 7 Mo for docs)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (additional 0.1 SBU for docs and 0.8 SBU for tests)
libcap-2.24 avec PAM et Pth-2.0.7 texlive-20140525 (ou install-tl-unx)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libgcrypt
Installez libgcrypt en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Seule la documentation info est incluse dans l'archive tar du paquet. Si vous souhaitez construire d'autres formats de la documentation (vous devez avoir installé texlive-20140525 pour construire la documentation PDF et PostScript), puis exécutez les commandes suivantes :
make -j1 -C doc pdf ps html && makeinfo --html --no-split -o doc/gcrypt_nochunks.html doc/gcrypt.texi && makeinfo --plaintext -o doc/gcrypt.txt doc/gcrypt.texi
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -dm755 /usr/share/doc/libgcrypt-1.6.2 && install -v -m644 README doc/{README.apichanges,fips*,libgcrypt*} \ /usr/share/doc/libgcrypt-1.6.2
Si vous avez construit la documentation supplémentaire,
installez-la en exécutant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -dm755 /usr/share/doc/libgcrypt-1.6.2/html && install -v -m644 doc/gcrypt.html/* \ /usr/share/doc/libgcrypt-1.6.2/html && install -v -m644 doc/gcrypt_nochunks.html \ /usr/share/doc/libgcrypt-1.6.2 && install -v -m644 doc/gcrypt.{pdf,ps,dvi,txt,texi} \ /usr/share/doc/libgcrypt-1.6.2
--with-capabilities
: Cette option
active le support de libcap.
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet libgpg-error contient une bibliothèque qui définit les valeurs habituelles d'erreur pour tous les composants de GnuPG.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnupg.org/gcrypt/libgpg-error/libgpg-error-1.18.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 12312802d2065774b787cbfc22cc04e9
Taille du téléchargement : 704 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 8.5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libgpg-error
Installez libgpg-error en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 -D README /usr/share/doc/libgpg-error-1.18/README
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
est utilisé pour déterminer les codes d'erreur de libgpg-error. |
|
est un outil utilisé pour configurer et construire des applications basées sur la bibliothèque libgpg-error. Il peut être utilisé pour interroger le compilateur C et les drapeaux de l'éditeur de liens qui sont nécessaires pour compiler et éditer correctement les liens de l'application à la bibliothèque libgpg-error. |
|
contient les fonctions de l'API libgpg-error API. |
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet libgsf contient la bibliothèque utilisée pour fournit un transporteur d'abstraction entrée/sortie extensible pour des formats de fichiers structurés.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libgsf/1.14/libgsf-1.14.31.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libgsf/1.14/libgsf-1.14.31.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 95a99c9e010d21a78b1f100b18fa74fc
Taille du téléchargement : 592 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo (additional 2 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (additional 0.1 SBU for tests)
, libxml2-2.9.2 et GLib-2.42.1
gdk-pixbuf-2.31.2 (Pour construire gsf-office-thumbnailer)
gobject-introspection-1.42.0 et GTK-Doc-1.21
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libgsf
Installez libgsf en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, tapez : make -k check. Certains tests peuvent échouer pour des raisons inconnues.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
est un utilitaire d'archivage simple, similaire à tar(1). |
|
est utilisé en interne par les applications GNOME comme Nautilus pour générer les vignettes de nombreux types de fichiers d'application bureautique. |
|
est utilisé pour extraire le Visual Basic des macros des applications macros depuis les fichiers. |
|
contient les fonctions API de libgsf. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet libgusb contient les enveloppes de GObject pour libusb-1.0 qui fait qu'il est facile de faire du contrôle asynchrone, de lancer et arrêter des transfers avec une intégration et un arrêt propre dans une boucle principale.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://people.freedesktop.org/~hughsient/releases/libgusb-0.2.4.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 279683b51fa8fc2bb29216cc165a1e32
Taille du téléchargement : 268 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.9 Mo (additional 0.4 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
gobject-introspection-1.42.0 et Vala-0.26.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libgusb
Installez libgusb en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : $
Le paquet libical est une implémentation des protocoles et des formats de données iCalendar.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://github.com/libical/libical/releases/download/v1.0.1/libical-1.0.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : af91db06b22559f863869c5a382ad08a
Taille du téléchargement : 704 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 12 Mo (additional 13 Mo for the API documentation)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Doxygen-1.8.9.1 (pour la documentation de l'API)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libical
Installez libical en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DSHARED_ONLY=yes \ .. && make
Si vous avez installé Doxygen-1.8.9.1 et souhaitez construire la documentation de l'API, tapez:
make docs
Pour tester les résultats, lancez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
si vous avez construit la documentation de l'API, installez
en tapant, en tant qu'utilisateur root
:
install -vdm755 /usr/share/doc/libical-1.0.1/html && cp -vr apidocs/html/* /usr/share/doc/libical-1.0.1/html
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
: Ce
paramètre est utilisé pour appliquer le niveau le plus haut
d'optimisation du compilateur.
-DSHARED_ONLY=yes
: Ce
paramètre est utilisé pour seulement construire les
bibliothèques partagées.
Last updated on : 2012-08-28 16:56:09 +020
libidn est un paquet conçu pour la gestion de chaînes internationales basées sur les spécifications Stringprep, Punycode et IDNA définies par le groupe de travail Internet Engineering Task Force (IETF) Internationalized Domain Names (IDN), utilisées pour les noms de domaine internationaux. C'est utile pour convertir des données d'une représentation originelle du système vers de l'UTF-8, transformant des chaînes Unicode en chaînes ASCII, permettant à des applications d'utiliser certaines étiquettes de nom ASCII (commençant par un préfixe spécial) pour représenter des étiquettes de nom non ASCII et de convertir des noms de domaine entiers à partir et vers la forme ASCII Compatible Encoding (ACE).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/libidn/libidn-1.29.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/libidn/libidn-1.29.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2b67bb507207af379f9461e1307dc84b
Taille du téléchargement : 3.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 23 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Pth-2.0.7, Emacs-24.4, GTK-Doc-1.21, OpenJDK-1.8.0.31, DotGNU Portable.NET ou Mono, et Valgrind-3.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libidn
Installez libidn en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && find doc -name "Makefile*" -delete && rm -rf -v doc/{gdoc,idn.1,stamp-vti,man,texi} && mkdir -v /usr/share/doc/libidn-1.29 && cp -r -v doc/* /usr/share/doc/libidn-1.29
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
est une interface en ligne de commande avec la bibliothèque des noms de domaine internationaux. |
|
contient une implémentation générique de Stringprep qui fait de la normalisation d'Unicode 3.2 NFKC, plan et prohibition de caractères, et gestion des caractères bidirectionnels. Les profils pour Nameprep, iSCSI, SASL et XMPP sont inclus, tout comme le support de Punycode et de l'ASCII Compatible Encoding (ACE) via IDNA. Un mécanisme pour définir les tables de validation spécifiques à Top-Level Domain (TLD) et pour comparer des chaînes en fonction de ces tables, ainsi que des tables par défaut pour des TLDs sont inclus. |
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
libiodbc est une API avec les bases de données compatibles ODBC.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/project/iodbc/iodbc/3.52.10/libiodbc-3.52.10.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ccbbb1e160a8b0e78a8f8e6a5afd5390
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 22 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
gtk+-2.24.26 (pour créer l'outil d'admin)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libiodbc
Installez libiodbc en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-iodbc-inidir=/etc/iodbc \ --includedir=/usr/include/iodbc \ --disable-libodbc \ --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-iodbc-inidir=/etc/iodbc
:
libiodbc installera les
fichiers de configuration dans ce répertoire.
--includedir=/usr/include/iodbc
:
Cela installe les entêtes d'interface dans un répertoire
privé pour éviter les conflits avec les entêtes installés par
unixODBC.
--disable-libodbc
: Cela
empêche l'installation du lien symbolique libodbc.so
pour empécher un conflits avec
unixODBC.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-02-13 03:41:32 +010
Le paquet Libksba contient une bibliothèque utilisée pour faire des certificats X.509 et des CMS (Cryptographic Message Syntax ou syntaxe de messages encryptés) facilement accessibles par d'autres applications. Les deux spécifications construisent des blocs de S/MIME et TLS. La bibliothèque ne remplace pas une autre bibliothèque d'encryptage mais elle fournit des scripts pour une intégration facile avec Libgcrypt.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnupg.org/gcrypt/libksba/libksba-1.3.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c3c9a66e22d87fe3ae59865250b8a09c
Taille du téléchargement : 588 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.8 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libksba
Installez Libksba en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
est un outil pour configurer et construire des applications basées sur la bibliothèque libksba(3). Il peut être utilisé pour interroger les drapeaux du compilateur C et de l'éditeur de liens qui sont requis pour compiler et lier correctement l'application à la bibliothèque libksba(3). |
|
contient les fonctions de l'API d'encryptage. |
Last updated on : 2013-03-31 12:41:33 +020
Ce paquet fournit une bibliothèque pour apprendre les classifieurs linéaires dans un large champs d'applications. Elle supporte les machines à vecteur de support (Support Vector Machines) (SVM) avec les pertes L2 et L1, la regression logique, la classification multi classes et aussi les Machines à programmation linéaire (SVMs à régulation L1). Sa complexité de calcul varie linéairement avec le nombre d'exemples de formation qui en fait l'un des plus rapides solveurs SVM.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Après avoir mis à jour ce paquet depuis liblinear-1.94 ou avant, vous devez réinstaller Nmap-6.47, pour qu'il soit lié à la nouvelle bibliothèque.
Téléchargement (HTTP) : http://www.csie.ntu.edu.tw/~cjlin/liblinear/oldfiles/liblinear-1.96.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e689ab6a01644a3aa615d2613c55c539
Taille du téléchargement : 356 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.2 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/liblinear
Installez liblinear en lançant les commandes suivantes :
make lib
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
install -vm644 linear.h /usr/include && install -vm755 liblinear.so.2 /usr/lib && ln -sfv liblinear.so.2 /usr/lib/liblinear.so
Last updated on 2013-12-09 13:00:04 +0100
Ce paquet est prévu pour fournir une façon simple aux applications pour faire des actions basées sur une dimension de papier du système ou donnée par l'utilisateur.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.debian.org/debian/pool/main/libp/libpaper/libpaper_1.1.24+nmu4.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.debian.org/debian/pool/main/libp/libpaper/libpaper_1.1.24+nmu4.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 155d2e589e2f4ef163de8fbbc5d3dd1e
Taille du téléchargement : 362 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.6 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libpaper
Installez libpaper en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static && make
ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mkdir -vp /etc/libpaper.d && cat > /usr/bin/run-parts << "EOF" #!/bin/sh # run-parts: Runs all the scripts found in a directory. # from Slackware, by Patrick J. Volkerding with ideas borrowed # from the Red Hat and Debian versions of this utility. # keep going when something fails set +e if [ $# -lt 1 ]; then echo "Usage: run-parts <directory>" exit 1 fi if [ ! -d $1 ]; then echo "Not a directory: $1" echo "Usage: run-parts <directory>" exit 1 fi # There are several types of files that we would like to # ignore automatically, as they are likely to be backups # of other scripts: IGNORE_SUFFIXES="~ ^ , .bak .new .rpmsave .rpmorig .rpmnew .swp" # Main loop: for SCRIPT in $1/* ; do # If this is not a regular file, skip it: if [ ! -f $SCRIPT ]; then continue fi # Determine if this file should be skipped by suffix: SKIP=false for SUFFIX in $IGNORE_SUFFIXES ; do if [ ! "$(basename $SCRIPT $SUFFIX)" = "$(basename $SCRIPT)" ]; then SKIP=true break fi done if [ "$SKIP" = "true" ]; then continue fi # If we've made it this far, then run the script if it's executable: if [ -x $SCRIPT ]; then $SCRIPT || echo "$SCRIPT failed." fi done exit 0 EOF chmod -v 755 /usr/bin/run-parts
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
mkdir -pv /etc/libpaper.d: libpaper fait que les paquets installeront les fichiers dans ce répertoire.
cat > /usr/bin/run-parts
<< "EOF" : paperconfig
est un script qui appelera
run-parts si
/etc/libpaper.d
existe. Pas
d'autre paquet de BLFS l'intalle, donc nous le créons ici.
Créez /etc/papersize
pour
initialiser la taille de papier par défaut. Tapez les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
pour l'initialiser à 'A4'
(libpaper attend en majustcules). Vous pouvez vouloir
utiliser une taille différente, comme letter.
cat > /etc/papersize << "EOF" a4 EOF
Last updated on 2014-08-28 16:44:20 +0200
Le paquet libsigc++ implémente un système d'appel (callback) typesafe pour du C++ standard.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libsigc++/2.4/libsigc++-2.4.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libsigc++/2.4/libsigc++-2.4.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c6cd2259f5ef973e4c8178d0abbdbfa7
Taille du téléchargement : 3.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 37 Mo (additional 23 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU (additional 0.1 SBU for the tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libsigc++
Installez libsigc++ en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-01-26 01:27:34 +010
C'est une bibliothèque pour la gestion des erreurs de page en mode utilisateur. Une erreur de page apparaît quand un programme essaye d'accéder à une région de la mémoire qui n'est pas complètement disponible. Communiquer et gérer une erreur de page est une techniuqe pratique pour implémenter la mémoire virtuelle paginable, pour accéder à la mémoire mappée dans les basses de données persistance, pour les collections de déchets générationnels, pour les maqueurs de dépassement de piles, et pour la mémoire distribuée partagée.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/libsigsegv/libsigsegv-2.10.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/libsigsegv/libsigsegv-2.10.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7f96fb1f65b3b8cbc1582fb7be774f0f
Taille du téléchargement : 393 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.2 Mo
Estimation du temps de construction : less than 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libsigsegv
Installez libsigsegv en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --enable-shared \ --disable-static && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-shared
: Ce paramètre
assure que les bibliothèques partagées soiett compilées.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2014-08-28 19:04:20 +0200
libtasn1 est une bibliothèque C très portable qui encode/décode des fichiers de données DER/BER en suivant un schéma ASN.1.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/libtasn1/libtasn1-4.2.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/libtasn1/libtasn1-4.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 414df906df421dee0a5cf7548788d153
Taille du téléchargement : 1.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU (additional 0.1 SBU for the tests)
GTK-Doc-1.21 et Valgrind-3.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libtasn1
Installez libtasn1 en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous n'avez pas passé le paramètre --enable-gtk-doc
au script configure, installez la
documentation de l'API en utilisant la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
make -C doc/reference install-data-local
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
est un encodeur ASN.1 DER. |
|
est un décodeur ASN.1 DER. |
|
est un générateur d'arborescence de syntaxe ASN.1 pour libtasn1. |
|
est une bibliothèque pour Abstract Syntax Notation One (notation Un de syntaxe abstraite) (ASN.1) et la manipulation Distinguish Encoding Rules (règles d'encodage distinguées) (DER). |
Last updated on : 2012-10-07 11:59:17 +020
libunistring est une bibliothèque qui fournit les fonctions pour manipuler des chaînes Unicode et des chaînes C en fonction du standard Unicode.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/libunistring/libunistring-0.9.5.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/libunistring/libunistring-0.9.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6f8766d0b0497380d725639e19c04310
Taille du téléchargement : 1.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 45 Mo
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU
texlive-20140525 (ou install-tl-unx)(pour reconstruire la documentation)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libunistring
Installez libunistring en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/libunistring-0.9.5 && make
Pour tester les résultats, lancez : make check .
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-03-27 01:49:32 +020
Le paquet libusb contient une bibliothèque utilisée par certaines applications pour l'accès à des périphériques USB.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/libusb/libusb-1.0.19.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f9e2bb5879968467e5ca756cb4e1fa7e
Taille du téléchargement : 512 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.3 Mo (additional 2.8 Mo for API documentation)
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libusb
Installez libusb en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Si vous avez installé Doxygen et si vous souhaitez construire la documentation de l'API, lancez la commande suivante :
make -C doc docs
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez construit la documentation de l'API,
installez-la en exécutant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -d -m755 /usr/share/doc/libusb-1.0.19/apidocs && install -v -m644 doc/html/* \ /usr/share/doc/libusb-1.0.19/apidocs
Pour accéder aux périphériques USB raw (ceux non gérés en tant que disques par le pilote mass-storage), le support approprié doit être disponible dans le noyau. Vérifiez la configuration de votre noyau.
Device Drivers --->
[*] USB support ---> [CONFIG_USB_SUPPORT]
<*/M> Support for Host-side USB [CONFIG_USB]
(Select any USB hardware device drivers you may need on the same page)
Pour plus de détails sur le paramétrage des périphériques USB, voir la section intitulée « Problèmes sur les périphériques USB ».
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet libusb-compat vise à ressembler, à apparaître et à se comporter exactement comme libusb-0.1. C'est une couche de compatibilité nécessaire pour les paquets qui n'ont pas été mis à jour vers l'API libusb-1.0.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/libusb/libusb-compat-0.1.5.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2780b6a758a1e2c2943bdbf7faf740e4
Taille du téléchargement : 276 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.4 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libusb-compat
Installez libusb-compat en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet libxml2 contient des bibliothèques et des utilitaires utilisés pour analyser des fichiers XML.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xmlsoft.org/sources/libxml2-2.9.2.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://xmlsoft.org/libxml2/libxml2-2.9.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9e6a9aca9d155737868b3dc5fd82f788
Taille du téléchargement : 5.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 77 Mo (additional 18 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU (additional 0.2 SBU for tests)
Suite de tests facultative : http://www.w3.org/XML/Test/xmlts20130923.tar.gz - Ceci permet à make check de faire un test complet.
Python-2.7.9 ou Python-3.4.2 (pour construire et installer un module de bibliothèque Python, au surplus elle est exigée pour lancer la suite de tests complète)
Certains paquets qui utilisent libxml2 (tels que GNOME Doc Utils) ont besoin que le module Python soit installé pour fonctionner correctement et certains paquets ne se construiront pas correctement si le module Python n'est pas disponible.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libxml2
Appliquez deux correctifs de développement, qui corrigent les bogues dans xmlcatalog et dans le mécanisme de substitution des entitées:
sed \ -e /xmlInitializeCatalog/d \ -e 's/((ent->checked =.*&&/(((ent->checked == 0) ||\ ((ent->children == NULL) \&\& (ctxt->options \& XML_PARSE_NOENT))) \&\&/' \ -i parser.c
Installez libxml2 en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static --with-history && make
Si vous avez téléchargé la suite de tests, exécutez la commande suivante :
tar xf ../xmlts20130923.tar.gz
Pour tester les résultats, lancez : make check > ../check.log. Un résumé des résultats peut être obtenu avec grep -E '^Total|expected' ../check.log.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--with-history
: Ce
paramètre active le support de Readline quand xmlcatalog ou xmllint sont lancés en mode
shell.
--with-python=/usr/bin/python3
:
Ajoutez ce paramètre si vous voulez que libxml2 utilise
Python3 au lieu de Python2.
détermine les drapeaux du compilateur et de
l'éditeur de liens qui devraient être utilisées
pour compiler et lier les programmes qui utilisent
|
|
est utilisé pour gérer et manipuler des catalogues XML et SGML. |
|
analyse des fichiers XML et affiche les rapports (basés sur les options ci-dessus) pour détecter les erreurs dans le code XML. |
|
fournit des fonctions aux programmes pour analyser des fichiers qui utilisent le format XML. |
Last updated on : 2013-03-04 19:52:20 +010
Le paquet libxslt contient
les bibliothèques XSLT utilisés pour étendre les
bibliothèques libxml2
afin
qu'elles supportent les fichiers XSLT.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xmlsoft.org/sources/libxslt-1.1.28.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://xmlsoft.org/libxslt/libxslt-1.1.28.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9667bf6f9310b957254fdcf6596600b7
Taille du téléchargement : 3.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 40 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
DocBook XML-DTD-4.5 et DocBook XSL Stylesheets-1.78.1
libgcrypt-1.6.2 et Python-2.7.9
Même si ce n'est pas une dépendance directe, beaucoup d'applications utilisant libxslt auront besoin que DocBook XML-DTD-4.5 et DocBook XSL Stylesheets-1.78.1 soient présent.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libxslt
Installez libxslt en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
est utilisé pour trouver le pré-processeur, éditer les liens, et compiler les drapeaux nécessaires pour utiliser les bibliothèques libxslt dans des programmes tiers. |
|
est utilisé pour fournir des feuilles de style XSLT aux documents XML. |
|
est utilisée pour fournir des extensions aux fonctions XSLT. |
|
fournit des extensions aux bibliothèques
|
Last updated on : 2013-03-04 21:19:24 +010
Le paquet libzeitgeist contient une bibliothèque cliente utilisée pour accéder et gérer les événements Zeitgeist depuis des langages comme le C et Vala. Zeitgeist est un service qui enregistre les activités et événements de l'utilisateur (fichiers ouverts, sites web visités, conversations passées avec d'autres personnes, etc) et rend les informations disponibles pour les autres applications.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://launchpad.net/libzeitgeist/0.3/0.3.18/+download/libzeitgeist-0.3.18.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d63a37295d01a58086d0d4ae26e604c2
Taille du téléchargement : 516 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.0 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libzeitgeist
Installez libzeitgeist en lançant les commandes suivantes :
sed -i "s|/doc/libzeitgeist|&-0.3.18|" Makefile.in && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed ... Makefile.in: Place la documentation dans un répertoire versionné.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
lzo est une bibliothèque de compression de données qui convient à la décompression et à la compression de données en temps réel. Cela signifie qu'elle favorise la vitesse et le ratio de compression.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.oberhumer.com/opensource/lzo/download/lzo-2.09.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c7ffc9a103afe2d1bba0b015e7aa887f
Taille du téléchargement : 584 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 8.4 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (additional 0.2 SBU to run the tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lzo
Installez lzo en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --enable-shared \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/lzo-2.09 && make
Pour tester les résultats, lancez : make check. Tous les tests devraient réussir. Maintenant, faites make test pour lancer la suite de tests complète.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-12-13 01:13:34 +010
Le paquet mtdev contient une bibliothèque de traduction de protocole Multitouch (Multitouch Protocol Translation Library) utilisée pour transformer toutes les variantes d'événements MT (Multitouch) du noyau en protocole slotted de type B.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://bitmath.org/code/mtdev/mtdev-1.1.5.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 52c9610b6002f71d1642dc1a1cca5ec1
Taille du téléchargement : 268 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.4 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mtdev
Installez mtdev en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-10-19 22:00:31 +020
Netscape Portable Runtime (NSPR) offre une API indifférente à la plate-forme pour des fonctions au niveau système et de type libc.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://ftp.mozilla.org/pub/mozilla.org/nspr/releases/v4.10.8/src/nspr-4.10.8.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.mozilla.org/pub/mozilla.org/nspr/releases/v4.10.8/src/nspr-4.10.8.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8d7c5bd0a5b0a7d0e705be66479030a0
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/nspr
Installez NSPR en lançant les commandes suivantes :
cd nspr && sed -ri 's#^(RELEASE_BINS =).*#\1#' pr/src/misc/Makefile.in && sed -i 's#$(LIBRARY) ##' config/rules.mk && ./configure --prefix=/usr \ --with-mozilla \ --with-pthreads \ $([ $(uname -m) = x86_64 ] && echo --enable-64bit) && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -ri 's#^(RELEASE_BINS =).*#1#' pr/src/misc/Makefile.in: Ce sed désactive l'installation de deux scripts inutiles.
sed -i 's#$(LIBRARY) ##' config/rules.mk: Ce sed désactive l'installation des bibliothèques statiques.
--with-mozilla
:
Ce paramètre ajoute le support Mozilla aux bibliothèques
(exigés si vous voulez construire un autre produit Mozilla et
le lier à ces bibliothèques).
--with-pthreads
: Ce
paramètre oblige à utiliser la bibliothèque pthreads du
système.
$([ $(uname -m) = x86_64 ]
&& echo --enable-64bit)
: L'option
--enable-64bit option est OBLIGATOIRE sur un système x86_64
pour empêcher configure d'échouer du fait
que c'est un système sans support pthread. Le test [ $(uname
-m) = x86_64 ] assure qu'il est sans effet sur un système 32
bits.
offre des options de compilateur et d'éditeur de liens aux paquets utilisant NSPR. |
|
contient les fonctions offrant l'indépendance de plate-forme pour des fonctionalités non graphiques du système d'exploitation telles que les threads, la synchronisation de thread, l'E/S de fichier normal et de réseau, le timing d'intervalle et le temps du calendrier, la gestion de base de la mémoire (malloc et free) et l'édition de liens de bibliothèque partagée. |
|
contient les fonctions qui implémentent de nombreuses fonctionnalités offertes par libnspr4 |
|
contient les fonctions qui fournissent des structures de données. |
Last updated on : 2012-11-28 20:59:26 +010
Le paquet OpenOBEX contient une bibliothèque qui implémente le protocole d'échange d'objets utilisé pour les transferts de fichiers binaires entre périphériques.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/openobex/openobex-1.7.1-Source.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3181bfed9cb7db591605391068cb0085
Taille du téléchargement : 136 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.6 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Doxygen-1.8.9.1, libxslt-1.1.28, OpenJDK-1.8.0.31 et xmlto-0.0.26
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/openobex
OpenOBEX installe une regle
udev qui demande un nom de groupe plugdev. Créez ce groupe en
tant qu'utilisateur root
:
groupadd -g 90 plugdev
Installez OpenOBEX en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr \ -DCMAKE_INSTALL_LIBDIR=lib \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ .. && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mv -fv /usr/share/doc/{openobex,openobex-1.7.1}
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
: Ce
paramètre est utilisé pour appliquer le plus haut niveau
d'optimisation du compilateur.
mv -fv ...: Déplace la documentation dans un répertoire versionnné.
Last updated on : 2012-10-30 04:03:22 +010
Le paquet PCRE contient des bibliothèques Compatible Regular Expression Perl. Elles sont utiles pour implémenter des motifs d'expression régulière correspondant à l'utilisation de la même syntaxe et de la même sémantique que Perl 5.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.csx.cam.ac.uk/pub/software/programming/pcre/pcre-8.36.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b767bc9af0c20bc9c1fe403b0d41ad97
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 21 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pcre
Installez PCRE en lançant les commandes suivantes:
./configure --prefix=/usr \ --docdir=/usr/share/doc/pcre-8.36 \ --enable-unicode-properties \ --enable-pcre16 \ --enable-pcre32 \ --enable-pcregrep-libz \ --enable-pcregrep-libbz2 \ --enable-pcretest-libreadline \ --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mv -v /usr/lib/libpcre.so.* /lib && ln -sfv ../../lib/$(readlink /usr/lib/libpcre.so) /usr/lib/libpcre.so
--enable-unicode-properties
:
Ce paramètre active le support des propriétés Unicode et
inclu le code pour la gestion des chaines de caractères
UTF-8/16/32 dnas la bibliothèque.Vous avez besoin de ce
paramètre si vous allez construire GLib-2.42.1 avec l'option
--with-pcre=system
.
--enable-pcre16
: Ce
paramètre active le support des caractères 16 bits.
--enable-pcre32
: Ce
paramètre active le support des caractères 32 bits.
--enable-pcregrep-libz
:
Ce paramètre ajoute le support à pcregrep pour lire des
fichiers compressés .gz
.
--enable-pcregrep-libbz2
:
Ce paramètre ajoute le support à pcregrep pour lire les
fichiers compressés .bz2
.
--enable-pcretest-libreadline
:
Ce paramètre ajoute les fonctions d'éditions de lignes et
d'historique au programme pcretest.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
mv -v /usr/lib/libpcre.so.* /lib : Déplace la bibliothèque PCRE sur le système de fichiers racine pour qu'elle soit disponible au cas où grep est réinstallé avec le support PCRE.
Last updated on : 2013-03-05 00:08:42 +010
Le paquet popt contient les bibliothèques popt qui sont utilisées par certains programmes pour analyser des options en ligne de commande..
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://rpm5.org/files/popt/popt-1.16.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://anduin.linuxfromscratch.org/BLFS/svn/p/popt-1.16.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3743beefa3dd6247a73f8f7a32c14c33
Taille du téléchargement : 702 kB
Estimation de l'espace disque requis : 8 Mo (includes installing documentation)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/popt
Installez popt en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Si vous avez installé Doxygen-1.8.9.1 et si vous souhaitez construire la documentation de l'API, exécutez doxygen.
Pour tester les résultats, lancez :make check .
make install
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
Si vous avez construit la documentation de l'API,
installez-la en utilisant les commandes suivantes exécutées
par l'utilisateur root
:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/popt-1.16 && install -v -m644 doxygen/html/* /usr/share/doc/popt-1.16
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet Pth contient une bibliothèque POSIX/ANSI-C de base très portable pour des plate-formes Unix qui fournit de la répartition de temps basée sur la priorité non préventive pour des threads multi-plate-formes d'exécution (multithreading) à l'intérieur d'applications qui réagissent aux événements. Tous les threads se lancent dans le même espace adresse de l'application serveur mais chaque thread a son propre compteur, sa propre pile d'exécution, son masque signal et sa variable errno.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/pth/pth-2.0.7.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/pth/pth-2.0.7.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9cb4a25331a4c4db866a31cbe507c793
Taille du téléchargement : 652 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pth
N'ajoutez pas le paramètre --enable-pthread
à la commande configure ci-dessous,
sinon vous écraseriez la bibliothèque pthread et les
en-têtes d'interface installées par le paquet Glibc dans LFS.
Installez Pth en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's#$(LOBJS): Makefile#$(LOBJS): pth_p.h Makefile#' Makefile.in && ./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --mandir=/usr/share/man && make
Pour tester les résultats, lancez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/pth-2.0.7 && install -v -m644 README PORTING SUPPORT TESTS \ /usr/share/doc/pth-2.0.7
sed -i 's#$(LOBJS)
... : Ce sed corrige une concurrence
de mémoire (race condition) dans le Makefile
. Il vous permet de lancer
make avec
plusieurs tâches (comme make
-j4) .
--disable-static
: Cette
option arrête la compilation d'une version statique de la
bibliothèque.
--mandir=/usr/share/man
:
Cette option met les pages de man dans /usr/share/man
et non dans /usr/man
.
est un outil utilisé pour configurer et construire des applications basées sur la bibliothèque pth(3). Vous pouvez l'utiliser pour interroger les drapeaux du compilateur C et de l'éditeur de liens qui sont requis pour compiler et lier correctement les application à la bibliothèque pth(3). |
|
contient les fonctions de l'API utilisées par la bibliothèque GNU Portable Threads Library. |
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet ptlib (Portable Tools Library, bibliothèque d'outils portables) contient une bibliothèque de classe trouvant son origine il y a de nombreuses années dans PWLib (portable Windows Library, bibliothèque de fenêtres portable), une méthode pour créer des applications qui s'exécutent sur diverses plate-formes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/ptlib/2.10/ptlib-2.10.10.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/ptlib/2.10/ptlib-2.10.10.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1fd609e25f101393bb7e42fbf874c174
Taille du téléchargement : 2.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 105 Mo
Estimation du temps de construction : 1.0 SBU
ALSA-Library-1.0.28, et OpenSSL-1.0.2
Cyrus SASL-2.1.26, Lua-5.3.0, OpenLDAP-2.4.40, PulseAudio-5.0, SDL-1.2.15, unixODBC-2.3.2, v4l-utils-1.6.2, libdc1394, et libraw1394,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ptlib
Installez ptlib en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../ptlib-2.10.10-bison_fixes-1.patch && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && chmod -v 755 /usr/lib/libpt.so.2.10.10
Last updated on : 2013-03-03 16:30:53 +010
Qca vise à fournir une API de chiffrement directe et de plate-forme croisée, utilisant des types de données et des conventions Qt. Qca sépare l'API de l'implémentation, en utilisant des plugins connus en tant que fournisseurs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://delta.affinix.com/download/qca/2.0/qca-2.1.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c2b00c732036244701bae4853a2101cf
Taille du téléchargement : 956 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 30 Mo
Estimation du temps de construction : 1.2 SBU (additional 0.3 SBU for the tests)
Certificate Authority Certificates, cmake-3.1.3, Qt-4.8.6 et which-2.20
Cyrus SASL-2.1.26, GnuPG-2.0.26, libgcrypt-1.6.2, libgpg-error-1.18, NSS-3.17.4, NSPR-4.10.8, OpenSSL-1.0.2, p11-kit-0.22.1, Qt-5.4.0, Doxygen-1.8.9.1, et which-2.20
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/qca
Installez Qca en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$QT4DIR \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DQT4_BUILD=ON \ -DQCA_MAN_INSTALL_DIR:PATH=/usr/share/man \ .. && make
Pour tester les résultats, tapez make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
: Ce
paramètre est utilisé pour appliquer le plus haut niveau
d'optimisation du compilateur.
-DQT4_BUILD=ONe
: Ce
paramètre est utilisé pour forcer la construction avec Qt4
même si Qt5 est trouvé.
-DQCA_MAN_INSTALL_DIR:PATH=/usr/share/man
:
Installe les pages de manuel qca à l'emplacement normal.
Last updated on : 2012-07-29 00:15:26 +020
QJson est une bibliothèque basée sur Qt qui associe les données JSON à des objets QVariant et vice versa.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/qjson/qjson-0.8.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 323fbac54a5a20c0b8fe45c1ced03e2d
Taille du téléchargement : 64 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.4 Mo
Estimation du temps de construction : less than 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/qjson
Installez QJson en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ .. && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
: Ce
paramètre est utilisé pour construire sans les symboles de
deboguage et applique un haut niveau d'optimisation à la
compilation.
Last updated on 2013-04-23 19:04:04 +0200
Talloc fournit un système de gestion de mémoire compté, hiérarchique et référentiel avec des destructeurs. C'est ce qui alloue de la mémoire et qui est utilisé dans Samba.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://www.samba.org/ftp/talloc/talloc-2.1.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5dffb86414218a91864ed4453ba9be07
Taille du téléchargement : 409 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.4 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
DocBook XML-DTD-4.5, DocBook XSL Stylesheets-1.78.1 et libxslt-1.1.28 (pour générer les pages de manuel) et Python-2.7.9 (pour construire le module Python).
Notes utilisateur: http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/talloc
Installez talloc en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour vérifier les résultats, lancez make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-01-25 17:32:25 +010
Ce paquet contient des outils pour lire des informations depuis un document MS Word.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7 mais n'a pas été testé.
Téléchargement (HTTP) : http://www.abisource.com/downloads/wv/1.2.9/wv-1.2.9.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : dbccf2e9f747e50c913b7e3d126b73f7
Taille du téléchargement : 608 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 25 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
libgsf-1.14.31 et libpng-1.6.16
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/wv
Installez wv en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-03-14 21:17:43 +010
Xapian est une bibliothèque libre de moteur de recherche.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://oligarchy.co.uk/xapian/1.2.19/xapian-core-1.2.19.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 54ec8333757eb94dbde76d31d185af91
Taille du téléchargement : 3.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 129 Mo (Additional 96 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 1.4 SBU (Additional 16 SBU for tests, using parallelism=4)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xapian
Installez Xapian en lançant les comandes suivantes
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/xapian-core-1.2.19 && make
Pour lancer la suite de tests, tapez: make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2014-04-17 11:47:46 +0200
Selon l'objectif de l'utilisation de votre système, vous pourriez ou pas avoir besoin de bibliothèques de graphismes et de polices. La plupart des machines de bureau les voudront pour utiliser des applications graphiques. Au contraire, la plupart des serveurs n'en auront pas besoin.
AAlib est une bibliothèque pour transformer tout graphisme en Art ASCII.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/aa-project/aalib-1.4rc5.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9801095c42bba12edebd1902bcf0a990
Taille du téléchargement : 388 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
X Window System, S-Lang-2.2.4 et GPM-1.20.7
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/aalib
Corrige un problème mineure avec le fichier m4 fourni:
sed -i -e '/AM_PATH_AALIB,/s/AM_PATH_AALIB/[&]/' aalib.m4
Installez AAlib en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --infodir=/usr/share/info \ --mandir=/usr/share/man \ --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
est le petit jouet de AAlib, transformant un feu animé en Art ASCII. |
|
fournit des informations sur vos paramètres actuels pour AAlib. |
|
fournit des infos de configuration sur AAlib. |
|
montre les possibilités de AAlib dans un petit test. |
|
est un ensemble de routines pour transformer toute entrée graphique en format portable vers l'Art ASCII. Elle peut être utilisé avec divers programmes et elle a une API très bien documentée, donc vous pouvez facilement la mettre dans vos propres programmes. |
Last updated on : 2012-10-22 19:15:03 +020
Le paquet babl est une bibliothèque dynamique de traduction de format pixel par pixel.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.gimp.org/pub/babl/0.1/babl-0.1.12.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 50c8d12cdf5b3991590fa6cba16218a0
Taille du téléchargement : 628 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 12 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/babl
Installez babl en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-docs && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/gtk-doc/html/babl/graphics && install -v -m644 docs/*.{css,html} /usr/share/gtk-doc/html/babl && install -v -m644 docs/graphics/*.{html,png,svg} /usr/share/gtk-doc/html/babl/graphics
--disable-docs
: Ce
paramètre désactive la génération de BablFishPath.html
et index.html
. supprimez le si vous les
voulez.
install -v -m755 -d
/usr/share/gtk-doc/html/babl/graphics :
Ceci ainsi que les commandes qui en résultent installent la
documentation html de la bibliothèque dans /usr/share/gtk-doc/html
où d'autres paquets
gtk placent leur documentation dédiée aux programmeurs.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Exiv2 est une bibliothèque C++ et un outil en ligne de commande pour gérer les métadonnées d'une image.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.exiv2.org/exiv2-0.24.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b8a23dc56a98ede85c00718a97a8d6fc
Taille du téléchargement : 4.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 36 Mo
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/exiv2
Installez exiv2 en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && chmod -v 755 /usr/lib/libexiv2.so
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-08-01 01:44:40 +020
Le paquet FreeType2 contient une bibliothèque pour permettre à des applications de produire correctement des polices TrueType.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/freetype/freetype-2.5.5.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2a7a314927011d5030903179cf183be0
Taille du téléchargement : 1.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 27 Mo (includes installing additional documentation)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Documentation supplémentaire
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/freetype/freetype-doc-2.5.5.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6ffe7865943b3dfd6d04546ab7776a8f
Taille du téléchargement : 108 Ko
which-2.20, Harfbuzz-0.9.38, (en premier installez le sans, après son installation réinstallez FreeType-2.5.5), et libpng-1.6.16
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/freetype2
Si vous avez téléchargé la documentation supplémentaire, déballez-la dans l'arborescence des sources en utilisant la commande suivante :
tar -xf ../freetype-doc-2.5.5.tar.bz2 --strip-components=2 -C docs
Installez FreeType2 en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e "/AUX.*.gxvalid/s@^# @@" \ -e "/AUX.*.otvalid/s@^# @@" \ modules.cfg && sed -ri -e 's:.*(#.*SUBPIXEL.*) .*:\1:' \ include/config/ftoption.h && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/freetype-2.5.5 && cp -v -R docs/* /usr/share/doc/freetype-2.5.5
sed -e ...: La
première commande active GX/AAT et la validation des tables
OpenType et la seconde commande active le rendu Subpixel et
l'astuce Subpixel pour faire le rendu des polices. Notez que
le rendu Subpixel peut avoir un problèmme de licence. Lisez
'Other patent issues'
de
http://www.freetype.org/patents.html
avant d'activer cette option.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-05 00:08:42 +010
Le paquet Fontconfig contient une bibliothèque et des programmes support pour configurer et personnaliser l'accès aux polices.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.freedesktop.org/software/fontconfig/release/fontconfig-2.11.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 824d000eb737af6e16c826dd3b2d6c90
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 17 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
DocBook-utils-0.6.14 et libxml2-2.9.2, texlive-20140525 (ou install-tl-unx)
Si vous avez installé DocBook-utils et si vous supprimez le
paramètre --disable-docs
de la commande
configure
ci-dessous, vous devez aussi avoir installé SGMLSpm-1.1 et
texlive-20140525 sinon la
construction de Fontconfig
échouera.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Fontconfig
Installez Fontconfig en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --disable-docs \ --docdir=/usr/share/doc/fontconfig-2.11.1 && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous n'avez pas enlevé le paramètre --disable-docs
de la commande
configure, vous
pouvez installer la documentation prégénérée en utilisant les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
install -v -dm755 \ /usr/share/{man/man{3,5},doc/fontconfig-2.11.1/fontconfig-devel} && install -v -m644 fc-*/*.1 /usr/share/man/man1 && install -v -m644 doc/*.3 /usr/share/man/man3 && install -v -m644 doc/fonts-conf.5 /usr/share/man/man5 && install -v -m644 doc/fontconfig-devel/* \ /usr/share/doc/fontconfig-2.11.1/fontconfig-devel && install -v -m644 doc/*.{pdf,sgml,txt,html} \ /usr/share/doc/fontconfig-2.11.1
--disable-docs
: Ce
paramètre évite de construire la documentation (l'archive tar
inclut la documentation pré-générée).
Le fichier de configuration principal de Fontconfig est /etc/fonts/fonts.conf
. En général vous ne
voulez pas éditer ce fichier. Il lira aussi /etc/fonts/local.conf
et tous les
fichiers de /etc/fonts/conf.d
. Pour mettre un nouveau
répertoire de polices dans la configuration, créez (ou
mettez à jour) le fichier /etc/fonts/local.conf
avec vos
informations locales ou ajoutez un nouveau fichier dans
/etc/fonts/conf.d
.
L'emplacement par défaut des polices dans Fontconfig est :
/usr/share/fonts
~/.fonts
Fontconfig offre aussi
beaucoup d'exemples de fichiers de configuration dans le
répertoire /etc/fonts/conf.avail
. La création de
liens symboliques vers les fichiers spécifiques à partir de
/etc/fonts/conf.d
les
activera. Le paramétrage par défaut convient généralement à
la plupart des utilisateurs. Voir /etc/fonts/conf.avail/README
pour une
description des fichiers de configuration.
Vous pouvez trouver plus d'informations sur la configuration de Fontconfig dans le manuel de l'utilisateur dans file:///usr/share/doc/fontconfig-2.11.1/fontconfig-user.html.
est utilisé pour créer des caches d'information de polices. |
|
est utilisé pour lire des caches d'information de polices. |
|
est utilisé pour créer des listes de polices. |
|
est utiliser pour associer des polices disponibles ou pour trouver des polices correspondant à un modèle donné. |
|
est utilisé pour analyser un motif (motif vide par défaut) et montrer le résultat de l'analyse. |
|
est utilisé pour chercher les fichiers de police et afficher les modèles qui en résultent. |
|
est utilisé pour analyser les fichiers et les répertoires de police et afficher les modèles qui en résultent. |
|
est utilise pour valider les fichiers de police. |
|
contient des fonctions utilisées par les programmes Fontconfig et par d'autres programmes pour configurer ou personnaliser un accès aux polices. |
Last updated on : 2013-03-05 00:08:42 +010
Le paquet FriBidi est une implémentation du Unicode Bidirectional Algorithm (bidi). C'est utile pour le support des alphabets arabe et hébreux par d'autres paquets.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://fribidi.org/download/fribidi-0.19.6.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ce93d862344991173dabb609bf93ca1d
Taille du téléchargement : 625 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/fribidi
Installez FriBidi en lançant les commandes suivantes :
sed -i "s|glib/gstrfuncs\.h|glib.h|" charset/fribidi-char-sets.c && sed -i "s|glib/gmem\.h|glib.h|" lib/mem.h && ./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i ... : Ces commandes corrigent deux fichiers d'entête si GLib-2 est lié dans la construction.
est une interface en ligne de commande avec la
bibliothèque |
|
contient des fonctions utilisées pour implémenter le Unicode Bidirectional Algorithm. |
Last updated on : 2013-01-11 05:30:13 +010
Ce paquet fournit la bibliothèque GEneric Graphics Library (graphique générale), qui est un format de traitement d'images basées sur des graphes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.gimp.org/pub/gegl/0.2/gegl-0.2.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 32b00002f1f1e316115c4ed922e1dec8
Taille du téléchargement : 7.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 50 Mo
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU
AsciiDoc, cairo-1.14.0, Enscript-1.6.6, exiv2-0.24, FFmpeg-2.5.4, gdk-pixbuf-2.31.2, Graphviz-2.38.0, lensfun, libjpeg-turbo-1.4.0, libopenraw, libpng-1.6.16, librsvg-2.40.7, libspiro, Lua-5.3.0, OpenEXR, Pango-1.36.8, Python-2.7.9, Ruby-2.2.0, SDL-1.2.15, gobject-introspection-1.42.0, Vala-0.26.2, w3m-0.5.3 et libumfpack
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gegl
Installez gegl en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../gegl-0.2.0-ffmpeg2-1.patch && ./configure --prefix=/usr && LC_ALL=en_US make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 docs/*.{css,html} /usr/share/gtk-doc/html/gegl && install -d -v -m755 /usr/share/gtk-doc/html/gegl/images && install -v -m644 docs/images/* /usr/share/gtk-doc/html/gegl/images
install -v
-m644/docs/*/{css,html} ...
: Ceci et la
commande ultérieur installent toutes les documentations
fournies au lieu de seulement operations.html
et la feuille de style
gegl.css
.
--without-vala
: Ne crée pas
d'API vala - utilisez ceci
si vapigen
casse la construction.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
LC_ALL=en_US
: Dans quelques
locales avec Ruby-2.2.0 d'installé, la construction d'un
composant échoue et empêche la fin de la procédure.
L'utilisation de cette variable évite le problème.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet giflib contient des bibliothèques pour lire et écrire des GIFs ainsi que des programmes pour convertir et travailler avec des fichiers GIF.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/giflib/giflib-5.1.1.tar.bz2
Téléchargement (HTTP) MD5 sum> : 1c39333192712788c6568c78a949f13e
Téléchargement (HTTP) size> : 640 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.7 Mo (with documentation; additional 0.4 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU (with documentation)
xmlto-0.0.26 (pour la documentation html)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/giflib
Installez giflib en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, taper : make check. Les résultats
des tests sont gardés dans test.sh.log
.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si xmlto-0.0.26 est installé, alors la
documentation de l'API a été construite. Si vous souhaitez
l'installer la documentation construite et distribuée, taper
en tant qu'utilisateur root
:
find doc \( -name Makefile\* -o -name \*.1 \ -o -name \*.xml \) -exec rm -v {} \; && install -v -dm755 /usr/share/doc/giflib-5.1.1 && cp -v -R doc/* /usr/share/doc/giflib-5.1.1
find doc ... -exec rm -v {}
\;: Cette commande supprime les fichiers
Makefiles
, man et xml du
rpéertoire de documentation qui seront sinon installé par la
commande qui suit.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
convertit des images GIF vers des images 24-bit RGB. |
|
transforme les données GIF dans un format texte, ou le retransforme en GIF. |
|
modifie la palette de couleur d'une image GIF. |
|
génère un GIF depuis du texte ASCII. |
|
tente de réparer maladroitement des images GIF tronquées. |
|
est un processus de fin d'adaptation pour les pipelines de traitement GIF. |
|
affiche (seulement du texte) les informations générales à propos d'un fichier GIF. |
|
est un outil de transformation GIF. |
|
contient des fonctions API demandées par les programmes giflib et n'importe quel autre programme ayant besoin des fonctionnalités de la bibliothèque pour lire, écrire et manipuler des images GIF. |
Last updated on 2011-12-13 01:02:58 +0100
Graphite2 est un moteur de rendu pour les polices graphique. Il y a des polices TrueType avec des tables supplémentaires contenant des informations de rendu et ont été à la base développé pour supporter les systèmes d'écriture complexes non-Roman. Ils peuvent contenir des règles par exemple de ligatures, de substitution de glyph, kerning, justification - ce qui peut les rendre utile sur des textes écrits dans un système d'écriture Roman comme l'anglais. Notez que firefox fournit une copie interne du moteur graphite et ne peut pas utiliser une version du système , mais c'est aussi des bénéfices pour la disponibilité des police graphiques.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/silgraphite/graphite2-1.2.4.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2ef839348fe28e3b923bf8cced440227
Taille du téléchargement : 6.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 44 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
FreeType-2.5.5, Python-2.7.9, et silgraphite pour construire le test comparerender et les outils de tests , et s'il est présent, Harfbuzz-0.9.38 pour lui ajouter plus de fonctionnalités (c'est une dépendance circulaire, vous devez en premier construire graphite2 sans harfbuzz).
Pour construire la documentation, qui est signalé comme cassée, il est demandé d'avoir AsciiDoc, Doxygen-1.8.9.1 et texlive-20140525 (ou install-tl-unx).
Vous devez avoir au moins une police graphique pour que le paquet soit utilisable.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/graphite2
Installez Graphite2 en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr .. && make
Pour tester le résultat, tapez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2014-02-07 00:15:02 +0100
Le paquet Harfbuzz contient un moteur de fonte de texte OpenType.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.freedesktop.org/software/harfbuzz/release/harfbuzz-0.9.38.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8839e574be8089c0de83768798bf7916
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 29 Mo (additional 1 Mo for the API documentation)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
GLib-2.42.1, ICU-54.1 et FreeType-2.5.5 (après que Harfbuzz-0.9.38 soit installé, réinstallez FreeType-2.5.5)
cairo-1.14.0, gobject-introspection-1.42.0, GTK-Doc-1.21, et Graphite2-1.2.4.
Les dépendances recommandées ne sont pas strictement requises pour construire le paquet. Cependant, vous pourriez ne pas obtenir les résultats attendus à runtime si vous ne les installez pas. S'il vous plaît ne nous signalez pas les bugs avec ce paquet si vous n'avez pas installé les dépendances recommandées.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/harfbuzz
Installez Harfbuzz en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --with-gobject && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-gobject
: Ce
paramètre active la construction de l'enveloppe GObject
Harfbuzz. Enlevez la si vous
n'avez pas installé GLib.
--with-graphite2
: Ce paramètre
active le support de Graphite2.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-03-23 01:09:51 +010
Le paquet IJS contient une bibliothèque qui implémente un protocole de transmission d'images en page raster.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://www.openprinting.org/download/ijs/download/ijs-0.35.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 896fdcb7a01c586ba6eb81398ea3f6e9
Taille du téléchargement : 252 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.2 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ijs
Installez IJS en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --mandir=/usr/share/man \ --enable-shared \ --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le projet JasPer est une initiative libre pour fournir une implémentation de référence du codec JPEG-2000 basée sur le logiciel libre.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.ece.uvic.ca/~mdadams/jasper/software/jasper-1.900.1.zip
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a342b2b4495b3e1394e161eb5d85d754
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 11.1 Mo (sans la bibliothèque statique)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
freeglut-2.8.1 (requise pour jiv)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/jasper
Le source du paquet est distribué au format .zip
et exige unzip, mais il a été
correctement packagé et il créera le répertoire
jasper-1.900.1 quand vous le dézipperez.
patch -Np1 -i ../jasper-1.900.1-security_fixes-2.patch && ./configure --prefix=/usr \ --enable-shared \ --disable-static \ --mandir=/usr/share/man && make
Ce paquet est fourni sans suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous souhaitez installer les fichiers PDF du manuel de
références et un tutoriel sur le standard JPEG-2000, lancez
les commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/jasper-1.900.1 && install -v -m644 doc/*.pdf /usr/share/doc/jasper-1.900.1
--enable-shared
: Il
résulte de cette commande que la bibliothèque partagée sera
construite.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--x-includes=DIR
--x-libraries=DIR
: Ceci dit au script
configure où
chercher Xorg s'il n'est pas
dans /usr/X11
, /usr/X11R6
ou /usr
.
compare deux images de la même géométrie. |
|
affiche des informations sur une image. |
|
convertit des images entre des formats (BMP, JPS, JPC, JPG, PGX, PNM, MIF, et RAS). |
|
affiche des images. |
|
est un programme de démonstration d'horloge. |
|
une bibliotrèque utilisée par des programmes de lecture et d'écriture de fichiers au format JPEG2000. |
Last updated on : 2012-07-29 01:46:35 +020
La bibliothèque little cms est utilisée par d'autres programmes pour fournir des fonctionnalités de gestion de couleurs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lcms/lcms-1.19.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8af94611baf20d9646c7c2c285859818
Taille du téléchargement : 927 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 27 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
LibTIFF-4.0.3, libjpeg-turbo-1.4.0 et Python-2.7.9 (avec SWIG-3.0.5 également)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lcms
Installez little cms en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/lcms-1.19 && install -v -m644 README.1ST doc/* \ /usr/share/doc/lcms-1.19
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--with-python
:
Utilisez ce paramètre si vous avez installé Python et SWIG.
génère du PostScript CRD ou du CSA à partir de profils ICC. |
|
lie deux ou plusieurs profils dans un seul profil de lien de périphérique. |
|
est un calculateur d'espace de conversion. |
|
est un applicatif de profil ICC pour des fichiers JPEG. |
|
est un applicatif de profil ICC pour des fichiers TIFF. |
|
Un outil pour comparer des TIFF |
|
montre des médias sans profil en identifiant un locus de corps noir. |
|
est utilisé par les programmes du lcms ou par d'autres programmes pour fournir des fonctionnalités de gestion de couleurs. |
Last updated on : 2013-01-21 18:56:22 +010
Le Little Color Management System (système de gestion des petites couleurs) est un moteur de gestion des couleurs légers, avec une attention particulière à la précision et aux performances. Il utilise le standard International Color Consortium (ICC), qui est le standard moderne de gestion des couleurs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lcms/lcms2-2.6.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f4c08d38ceade4a664ebff7228910a33
Taille du téléchargement : 4.4 MB
Estimation de l'espace disque requis : 15 MB (additional 1 MB for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU (additional 0.1 SBU for the tests)
libjpeg-turbo-1.4.0 et LibTIFF-4.0.3
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lcms2
Installez Little CMS2 en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
est l'applicateur de profil Little CMS ICC pour JPEG. |
|
est le générateur de liens de périphérique Little CMS ICC |
|
est le générateur Little CMS ICC PostScript. |
|
est le générateur Little CMS ICC tiff. |
|
est le calculateur de conversion Little CMS ColorSpace. |
|
contient les fonctions pour implémenter l'API lcms2. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet libexif contient une bibliothèque pour analyser, éditer et enregistrer des données EXIF. La plupart des appareils photo numériques produisent des fichiers EXIF, qui sont des fichiers JPEG avec des tags supplémentaires contenant des informations sur l'image. Tous les tags EXIF décrits dans le standard EXIF 2.1 sont supportés.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/libexif/libexif-0.6.21.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 27339b89850f28c8f1c237f233e05b27
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 17 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Doxygen-1.8.9.1 et Graphviz-2.38.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libexif
Installez libexif en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-doc-dir=/usr/share/doc/libexif-0.6.21 \ --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
La documentation a été construite et installée si vous avez
installé les dépendances décrites ci-dessus. Si vous n'avez
pas installé les dépendances, il y a une archive tar
compressée dans le répertoire doc
de l'arborescence des sources que vous
pouvez déballer dans /usr/share/doc/libexif-0.6.21.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-08-01 01:44:40 +020
libjpeg-turbo est un fork de IJG libjpeg qui utilise SIMD pour accélérer la compression et la décompression JPEG. libjpeg est une bibliothèque qui implémente l'encodage, le décodage et la conversion d'images JPEG.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/libjpeg-turbo/libjpeg-turbo-1.4.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 039153dabe61e1ac8d9323b5522b56b0
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 15 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU (additional 0.2 SBU for the tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libjpeg-turbo
Installez libjpeg-turbo en lançant les commandes suivantes
sed -i -e '/^docdir/ s:$:/libjpeg-turbo-1.4.0:' \ -e '/^exampledir/ s:$:/libjpeg-turbo-1.4.0:' Makefile.in && ./configure --prefix=/usr \ --mandir=/usr/share/man \ --with-jpeg8 \ --disable-static && make
Pour tester le résultat, tapez : make test.
Si l'installation de libjpeg-turbo est fait depuis une
ancienne installation de jpeg, pas tous les liens
symboliques des bibliothèques seront mis à jours
proprement. Pour corriger cela avant l'installation, lancez
la suite en tant qu'utilisateur root
user:
rm -f /usr/lib/libjpeg.so*
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i -e ... Cette commande corrige le Makefile pour installer la documentation et les exemples dans un répertoire séparé.
--with-jpeg8
:
Ce paramètre active la compatibilité avec libjpeg version 8.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
compresse des fichiers image pour produire un fichier JPEG/JFIF sur la sortie standard. Actuellement, les formats de fichiers supportés sont: PPM (PBMPLUS color format), PGM (PBMPLUS gray-scale format), BMP, et Targa. |
|
décompresse des fichiers image du format JPEG/JFIF vers les formats PPM (PBMPLUS color format), PGM (PBMPLUS gray-scale format), BMP, ou Targa. |
|
est utilisé pour des transformations sans perte de fichiers JPEG. |
|
affiche les textes de commentaire d'un fichier JPEG. |
|
est utilisé pour tester les performances de libjpeg-turbo. |
|
insère des textes de commentaires dans un fichie JPEG. |
|
contient les fonctions utilisées pour lire et écrire des images JPEG. |
Last updated on : 2013-01-23 18:56:47 +010
Les bibliothèques libmng sont utilisées par les programmes voulant lire et écrire des fichiers au format MNG qui sont l'équivalent des fichiers PNG en ce qui concerne les animations.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/libmng/libmng-2.0.2.tar.xz
Téléchargement de la somme MD5 : 3804bf2523af9b4e0670b5982b3bf984
Taille du téléchargement :932 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 15 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
libjpeg-turbo-1.4.0 et little cms-1.19
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libmng
Installez libmng en lançant les commandes suivantes :
sed -i "s:#include <jpeg:#include <stdio.h>\n&:" libmng_types.h && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/libmng-2.0.2 && install -v -m644 doc/*.txt /usr/share/doc/libmng-2.0.2
sed -i "..." libmng_types.h: Cette commande ajoute une entête oubliée qui fait que les autres applications qui se lie à ce paquet échoue à se compiler.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2011-12-14 19:32:19 +0100
Le paquet libpng contient des bibliothèques utilisées par d'autres programmes pour lire et écrire des fichiers PNG. Le format PNG a été conçu pour remplacer GIF et, dans une moindre mesure, TIFF, avec beaucoup d'améliorations et d'extensions et sans problèmes ennuyeux
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/libpng/libpng-1.6.16.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 23b7286b5d4a86de950fd2ffc5cac742
Taille du téléchargement : 886 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU (additional 0.3 SBU for the tests)
Correctif facultatif pour inclure la fonction png animés dans libpng : (Ce correctif est nécessaire si vous voulez utiliser le libpng du système dans Firefox) :.http://downloads.sourceforge.net/libpng-apng/libpng-1.6.16-apng.patch.gz
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libpng
Si vous voulez corriger libpng pour supporter les fichiers apng, appliquez le correctif :
gzip -cd ../libpng-1.6.16-apng.patch.gz | patch -p1
Installez libpng en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mkdir -v /usr/share/doc/libpng-1.6.16 && cp -v README libpng-manual.txt /usr/share/doc/libpng-1.6.16
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
teste, optimise et facultativement corrige les entêtes de zlib dans les fichiers PNG. Facultativement, pour les corrections, Optionally, when fixing, dépouille les morceaux ancillaires du fichier. |
|
corrige les fichiers PNG qui ont un champ de longueur incorrect dans les morceaux iTXt. |
|
est un script shell qui fournit des informations de configuration aux applications voulant utiliser libpng. |
|
contient les routines utilisées pour créer et manipuler des fichiers graphiques au format PNG. |
Last updated on : 2013-03-05 00:08:42 +010
Libraw est une bibliothèque pour la lecture des fichiers RAW obtenus des appareils photos numériques (CRW/CR2, NEF, RAF, DNG, et autres).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.libraw.org/data/LibRaw-0.16.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 21f569be043057b754d87e3062e2345a
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 21 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
libjpeg-turbo-1.4.0, JasPer-1.900.1, et Little CMS-2.6
LibRaw-demosaic-pack-GPL2 et LibRaw-demosaic-pack-GPL3
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libraw
Installez libraw en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --enable-jpeg \ --enable-jasper \ --enable-lcms \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/libraw-0.16.0 && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-jpeg
: Ce paramètre
active le support pour le jpeg. Enlevez le si vous n'avez pas
installé libjpeg-turbo-1.4.0.
--enable-jasper
: Ce paramètre
active le support pour jasper. Enlevez le si vous n'avez pas
installé JasPer-1.900.1.
--enable-lcms
: Ce paramètre
active le support pour Little CMS2. Enlevez le si vous n'avez
pas installé Little CMS-2.6.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2014-02-20 08:45:35 -0600
Le paquet librsvg contient une bibliothèque et des outils utilisés pour manipuler, convertir et visualiser des images Scalable Vector Graphic (SVG).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/librsvg/2.40/librsvg-2.40.7.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/librsvg/2.40/librsvg-2.40.7.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c055f255f63ecc9fbc1f1c8a18db5c1e
Taille du téléchargement : 504 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
gdk-pixbuf-2.31.2, libcroco-0.6.8 et Pango-1.36.8
gobject-introspection-1.42.0, GTK+-3.14.8 (Pour rsvg-view-3 et Vala-0.26.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/librsvg
Installez librsvg en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --enable-vala \ --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make -k check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-vala
: Ce
paramètre active la construction des liaisons Vala. Supprimez
ce paramètre si vous n'avez pas installé Vala-0.26.2.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--disable-introspection
:
Ajoutez cette option si vous n'avez pas installé Gobject Introspection.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
est utilisé pour convertir des images en format PNG, PDF, PS, SVG et autres. |
|
est une application Gtk+3 simple qui peut être utilisé pour visualiser un fichier SVG. X. |
|
fournissent les fonctions pour afficher du Scalable Vector Graphics. |
|
est le greffon Pixbuf de Gdk qui permet aux applications Gtk+ d'afficher des images SVG. |
Last updated on : 2012-11-12 23:15:41 +010
Le paquet LibTIFF contient les bibliothèques TIFF et leurs outils associés. Les bibliothèques sont utilisées par de nombreux programmes de lecture et d'écriture de fichiers images et les outils sont utilisés pour des travaux généraux avec des fichiers TIFF.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.osgeo.org/libtiff/tiff-4.0.3.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.remotesensing.org/libtiff/tiff-4.0.3.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 051c1068e6a0627f461948c365290410
Taille du téléchargement : 2.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 27 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
libjpeg-turbo-1.4.0, freeglut-2.8.1 (demandé par tiffgt), et JBIG-KIT
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libtiff
Installez LibTIFF en lançant les commandes suivantes :
sed -i '/glDrawPixels/a glFlush();' tools/tiffgt.c && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i ...: Cette commande corrige un bogue qui fait que tiffgt ouvre une fenêtre blanche dans certains cas.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
convertit une image Microsoft Windows Device Independent Bitmap en image TIFF. |
|
convertit un facsimilée en fichier PostScript compressé. |
|
crée un fichier de fax de Class F TIFF à partir de données fax raw. |
|
crée un fichier TIFF à partir d'un fichier image au format GIF87. |
|
convertit une palette d'image de couleurs TIFF en une image pleinement en couleurs. |
|
crée un fichier TIFF à partir d'un fichier image PPM. |
|
crée un fichier TIFF à partir d'un rasterfile Sun. |
|
convertit une séquence de bytes raw en TIFF. |
|
convertit des images TIFF non-YCbCr TIFF en images YCbCr TIFF. |
|
crée un fichier TIFF avec des images thumbnail. |
|
convertit une image TIFF en couleurs en échelle de gris. |
|
convertit une image TIFF en document PDF. |
|
convertit une image TIFF en fichier PostScript. |
|
convertit une large variété d'images TIFF en image TIFF RGBA. |
|
compare deux fichiers TIFF. |
|
copie (et convertit éventuellement) un fichier TIFF. |
|
sélectionne, copie, découpe, convertit, extrait et/ou traite un ou plusieurs fichiers TIFF. . |
|
convertit une image en échelle de gris en biniveaux en utilisant le dithering. |
|
affiche des informations verbatim sur les fichiers TIFF. |
|
affiche une image enregistrée dans un fichier TIFF. |
|
affiche des informations sur des fichiers TIFF. |
|
applique l'algorithme de coupage de médiane à des données d'un fichier TIFF. |
|
initialise la valeur d'une en-tête TIFF à une valeur spécifiée. |
|
regroupe un TIFF multi-images en des fichiers TIFF d'une seule image. |
|
contient les fonctions de l'API utilisées par les programmes libtiff ainsi que par d'autres programmes de lecture et d'écriture de fichiers TIFF. |
|
contient les fonctions de l'API C++ utilisées par les programmes de lecture et d'écriture de fichiers TIFF. |
Last updated on : 2012-08-01 01:44:40 +020
Le paquet libwebp contient une bibliothèque et un programme de support pour encoder et décoder des images au format Webp.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.webmproject.org/releases/webp/libwebp-0.4.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 404f45a7d695217db2bb49e1e22ad49f
Taille du téléchargement : 956 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
libjpeg-turbo-1.4.0, libpng-1.6.16 et LibTIFF-4.0.3
freeglut-2.8.1 et giflib-5.1.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libwebp
Installez libwebp en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2013-06-06 17:31:50 +0200
Newt est une bibliothèque de programmation pour le mode texte en couleur, les interfaces utilisateur basées sur des widgets. Il peut être utilisé pour ajouter des fenêtres empilés, des fenêtres d'entrée, des cases à cocher, des boutons radion, des labels, des champs de texte, des barres de déplacement, etc. aux interfaces utilisateurs en mode texte. Newt est basé sur la bibliohèque S-Lang.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://fedorahosted.org/releases/n/e/newt/newt-0.52.18.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 685721bee1a318570704b19dcf31d268
Taille du téléchargement : 180 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.8 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
GPM-1.20.7 (exécution)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/newt
Installez newt en lançant les commandes suivantes :
sed -e 's/^LIBNEWT =/#&/' \ -e '/install -m 644 $(LIBNEWT)/ s/^/#/' \ -e 's/$(LIBNEWT)/$(LIBNEWTSONAME)/g' \ -i Makefile.in && ./configure --prefix=/usr --with-gpm-support && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -e ... -i Makefile.in : Désactive l'installation d'une bibliothèque statique.
Last updated on 2014-06-15 13:40:02 -0500
OpenJPEG est une implémentation open-source du standard JPEG-2000. OpenJPEG respecte entièrement les spécifications JPEG-2000 et il peut compresser/dédecompresser des images de 16 bits.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/openjpeg.mirror/openjpeg-1.5.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c41772c30fb1c272358b3707233134a1
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Little CMS-2.6, libpng-1.6.16, LibTIFF-4.0.3 et Doxygen-1.8.9.1 (pour construire la documentation API)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/openjpeg
Installez OpenJPEG en lançant les commandes suivantes:
autoreconf -f -i && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ceci
empêche la bibliothèque statique de se construire.
Last updated on : 2012-03-27 23:22:01 +020
OpenJPEG est une implémentation libre du standard JPEG-2000. OpenJPEG respecte completement les spécifications de JPEG-2000 et peut comprimer/décomprimer des images 16 bits sans perte.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/openjpeg.mirror/openjpeg-2.1.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f6419fcc233df84f9a81eb36633c6db6
Taille du téléchargement : 1.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 13 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Little CMS-2.6, libpng-1.6.16, LibTIFF-4.0.3, et Doxygen-1.8.9.1 (pour construire la documentation de l'API)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/openjpeg2
Installez OpenJPEG en lançant les commandes suivantes:
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr .. && make
Si vous avez construit la suite de tests et souhaitez la lancer, tapez: make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && cd ../doc && for man in man/man?/* ; do install -v -D -m 644 $man /usr/share/$man done
-DBUILD_TESTING=ON
: Ce paramètre
active la construction de la suite de tests.
Last updated on 2014-11-18 09:26:26 +0100
Le paquet pixman contient une librairie qui fournie des outils de manipulation bas niveau de pixel comme par exemple pour la composition d'image et la rastérisation de trapésoide.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Télécharger (HTTP) : http://cairographics.org/releases/pixman-0.32.6.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3a30859719a41bd0f5cccffbfefdd4c2
Taille du téléchargement : 800 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 32 Mo (additional 3 Mo for tests)
Temps de construction estimé : 0.4 SBU (additional 0.8 SBU for tests)
Remarques d'utilisateurs : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pixman
Installez pixman en entrant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester le résultat, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
éxécutez :
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-06 04:05:17 +010
Le paquet Poppler contient une bibliothèque de rendu PDF et des outils en ligne de commande utilisés pour manipuler des fichiers PDF. C'est utile pour fournir la fonctionnalité de rendu PDF en tant que bibliothèque partagée.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://poppler.freedesktop.org/poppler-0.31.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b631498668562ba47732785e54808468
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 163 Mo (building Qt4 libraries, test suites, and poppler-data)
Estimation du temps de construction : 1.5 SBU (building Qt4 libraries and test suites)
Données d'encodage Poppler
Téléchargement (HTTP) : http://poppler.freedesktop.org/poppler-data-0.4.7.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 636a8f2b9f6df9e7ced8ec0946961eaf
Taille du téléchargement : 4.0 Mo
Le paquet supplémentaire consiste dans des fichiers d'encodage pour une utilisation avec Poppler. Les fichiers d'encodage sont facultatifs et Poppler les lira automatiquement s'ils sont présents. Lorsqu'ils sont installé, ils permettent à Poppler de rendre du CJK et du cyrillique correctement.
cairo-1.14.0, libjpeg-turbo-1.4.0 libpng-1.6.16 et OpenJPEG-1.5.2
cURL-7.40.0, gobject-introspection-1.42.0,
GTK-Doc-1.21, gtk+-2.24.26, little cms-1.19 ou
Little
CMS-2.6, LibTIFF-4.0.3, OpenJPEG-2.1.0 (avec
une préférence pour OpenJPEG1, à cause des regressions avec
OpenJPEG2), Qt-4.8.6 (la bibliothèque libpoppler-qt4.so
est nécessaire pour le
support PDF dans Okular) et
Qt-5.4.0.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/poppler
Afin de facultativement lancer la suite de tests, téléchargez en supplément environ 9 Mo, l'utilisation de git-2.3.0, est nécéssaire. Soyez certain que vous n'avez pas de répertoire ../test.
rm -rf testfiles && git clone git://git.freedesktop.org/git/poppler/test testfiles
Ce paquet peut être construit facultativement avec le support pour soit les bibliothèques Qt4 ou soit Qt5, mais il le construira seulement pour l'une d'elle. si vous avez les deux versions de Qt d'installées, vous devez spécifier laquelle utiliser avant d'exécuter la commande configure donnée avant. Utiliser cette commande pour lier à Qt4.
source /usr/bin/setqt4
ou pour utiliser Qt5:
source /usr/bin/setqt5
si vous voulez que Poppler soit lié aux deux versions de Qt, vous devez le construire deux fois.
Installez Poppler en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static \ --enable-xpdf-headers \ --with-testdatadir=$PWD/testfiles && make
Pour tester les résultats, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Pour installer la documentaiton, lancez les commandes
suivantes en tant que root
:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/poppler-0.31.0 && install -v -m644 README* /usr/share/doc/poppler-0.31.0 && cp -vr glib/reference/html /usr/share/doc/poppler-0.31.0
Si vous avez téléchargé le paquet d'encodage de données
supplémentaires, installez-le en utilisant les commandes
suivantes en tant qu'utilisateur root
:
tar -xf ../poppler-data-0.4.7.tar.gz && cd poppler-data-0.4.7
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make prefix=/usr install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-xpdf-headers
:
Installe d'anciennes en-têtes Xpdf exigées par certains programmes
(comme Okular, Libre Office et Inkscape).
--with-testdatadir=$PWD/testfiles
: Indique
aux programmes de tests ou les fichiers auxiliaires sont
placés.
--enable-libcurl
: Utilise libcurl
pour le support HTTP.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
LC_ALL=en_US.UTF-8 make check: Lance la suite de tests. La variable d'environnement LC_ALL=en_US.UTF-8 est seulement nécessaire si la locale par défaut n'inclus pas l'UTF-8.
liste ou extrait des fichiers embarqués dans des fichiers PDF. |
|
liste les polices utilisées dans un fichier PDF file ainsi que des informations multiples sur chaque police. |
|
sauvegarde les images d'un fichier PDF en fichier PPM, PBM, ou JPEG. |
|
affiche le contenu du dictionnaire 'Info' (plus quelques autres informations utiles) d'un fichier PDF. |
|
extrait les pages seuls d'un fichier PDF. |
|
convertit un fichier PDF en un des nombreux formats (PNG, JPEG, PDF, PS, EPS, SVG) en utilisant la sortie du périphérique cairo de la bibliothèque poppler. |
|
convertit un fichier PDF en HTML. |
|
convertit les fichiers PDF aux formats PBM, PGM et PPM. |
|
convertit les fichiers PDF au format Postscript. |
|
convertit les fichiers PDF en texte plain. |
|
assemble plusieurs fichiers PDF, dans l'ordre de leur occurence dans la ligne de commande, en un fichier PDF. |
|
est un outil de démonstration de l'API, et pour utiliser pour tester et déboguer poppler. |
|
contient les fonctions API pour rendre des fichiers PDF. |
|
est une fonction C++ pour afficher des fichiers PDF. |
|
est une bibliothèque enveloppe utilisée comme interface entre les fonctions de rendu PDF et GTK+. |
|
est une bibliothèque enveloppe utilisée comme interface entre les fonctions de rendu PDF et Qt-4. |
|
est une bibliothèque enveloppe utilisée pour interfacer les fonctions de rendu PDF avec Qt5. |
Last updated on : 2013-03-23 01:09:51 +010
Le paquet Qpdf contient des programmes et des bibliothèques pour la ligne de commande qui peuvent faire des transformations de la structure en préservant le contenu sur les fichiers PDF.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/qpdf/qpdf-5.1.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 0bd15ef5eea5f628951ab456c84e78ec
Taille du téléchargement : 7.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 67 Mo (76 Mo, running the tests)
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU (plus 0.4 for the tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/qpdf
Installez Qpdf en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/qpdf-5.1.2 && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Ce chapitre contient divers outils qui ne vont pas dans un autre chapitre. Les programmes comprennent une calculatrice en ligne de commande, plusieurs outils de manipulation de texte et d'images, un programme d'interface avec un pilote Palm, un programme pour entrer les nombres PIN et les pass-phrases et un générateur de hachage.
appdata-tools est utilisé pour valider les fichiers AppData pour se confomer à la spécification du sdandard.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://people.freedesktop.org/~hughsient/releases/appdata-tools-0.1.8.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 47d8500b7b96fac6667c3173c77c1e66
Taille du téléchargement : 248 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.3 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
libxml2-2.9.2, libxslt-1.1.28, DocBook XML-DTD-4.5, DocBook XSL Stylesheets-1.78.1, trang, et lxml
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/appdata-tools
Installez appdata-tools en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2014-04-03 21:28:38 +0200
appstream-glib fournit des GObjects et des méthodes d'aide pour rendre facile la lecture et l'écriture des métadonnées AppStream. Il fournit également une implémentation simple de DOM qui rend facile l'édition d'un noeud et la conversion vers et depuis une représentation XML standardisée.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://people.freedesktop.org/~hughsient/appstream-glib/releases/appstream-glib-0.3.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f4be91093be4d43856258766684e7744
Taille du téléchargement : 1.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
gdk-pixbuf-2.31.2, libarchive-3.1.2 libsoup-2.48.1, et Pango-1.36.8
DocBook XML-DTD-4.5, DocBook XSL Stylesheets-1.78.1, GTK-Doc-1.21, libxslt-1.1.28 et yaml
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/appstream-glib
Installez appstream-glib en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --disable-dep11 && make
Pour tester le résultat, tapez : make -k check. Un test échoue, si yaml n'est pas installé.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
--disable-dep11
:
Enlevez ce paramètre si vous avez installé yaml.
Last updated on 2014-09-01 20:26:44 +0200
Compface fournit des outils et une bibliothèque pour convertir vers/depuis du format X-Face, un format d'image 48x48 utilisé pour placer des vignettes des auteur de messages électroniques dans l'en-tête d'un message.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.xemacs.org/pub/xemacs/aux/compface-1.5.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 62f4f79c0861ad292ba3cf77b4c48319
Taille du téléchargement : 47 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 520 Ko
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/compface
Installez Compface en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --mandir=/usr/share/man && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -m755 -v xbm2xface.pl /usr/bin
est un filtre pour la génération de représentations très compressées de fichiers images de figures 48x48x1. |
|
est un filtre inverse qui effectue une transformation inverse sans perte de données. |
|
est un script pour générer des xfaces. |
|
permet aux algorithmes de compression et de décompression d'être utilisés dans d'autres programmes tels que des MTA. |
Last updated on : 2012-05-11 21:40:10 +020
Le paquet desktop-file-utils contient des outils en ligne de commande pour travailler avec entrées du bureau. Ces outils sont utilisés par par l'environnement de bureau et d'autres applications pour manipuler les bases de données des applications MIME-types et aider à se conformer aux spécifications d'une entrée de bureau.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://freedesktop.org/software/desktop-file-utils/releases/desktop-file-utils-0.22.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c6b9f9aac1ea143091178c23437e6cd0
Taille du téléchargement : 128 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.3 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/desktop-file-utils
Installez desktop-file-utils en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
La spécification XDG Base Directory définit les emplacements standards des applications où l'on met des données et des fichiers de configuration. Vous pouvez utiliser ces fichiers, par example, pour définir la structure d'un menu ou des icônes de menu dans un environnement de bureau.
L'endroit par défaut où sont installés les fichiers de
configuration est /etc/xdg
et
les endroits par défaut pour les fichiers de données sont
/usr/local/share
et
/usr/share
. Vous pouvez
étendre ces emplacements, respectivement avec la variable
d'environnement XDG_CONFIG_DIRS
et XDG_DATA_DIRS
. Les
environnements GNOME,
KDE et XFCE respectent ces paramètres.
Lorsqu'un paquet installe un fichier .desktop
à un endroit dans l'un des
répertoires de données de base, vous pouvez mettre à jour
la base de données qui analyse MIME-types pour les
applications disponibles. Par exemple, vous pouvez
reconstruire le fichier de cache /usr/share/applications/mimeinfo.cache
en
exécutant la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
update-desktop-database /usr/share/applications
est utilisé pour modifier une entrée de fichier de bureau existante. |
|
est utilisé pour installer une entrée de fichier de bureau existante. Il est aussi utilisé pour reconstruire ou modifier la base de données des applications MIME-types. |
|
est utilisé pour vérifier l'intégrité d'un fichier de bureau. |
|
est utilisé pour mettre à jour la base de données de l'application MIME-types. |
Last updated on : 2013-03-06 04:05:17 +010
Le paquet Graphviz contient le logiciel de visualisation de graphes. La visualisation is de Graphes est une manière de représenter des informations structurelles tels que des diagrammes de graphes abstraits et de réseaux. Graphviz a plusieurs programmes principaux de présentation de graphes. Il contient aussi des interfaces graphiques interactives et de Web, des outils, des bibliothèques, des langues et des bindings auxiliaires.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://graphviz.org/pub/graphviz/stable/SOURCES/graphviz-2.38.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5b6a829b2ac94efcd5fa3c223ed6d3ae
Taille du téléchargement : 25 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 350 Mo
Estimation du temps de construction : 1.6 SBU
, FreeType-2.5.5, Fontconfig-2.11.1, freeglut-2.8.1, gdk-pixbuf-2.31.2, libjpeg-turbo-1.4.0, libpng-1.6.16, librsvg-2.40.7, Pango-1.36.8 et Xorg Libraries
DevIL, Electric Fence, libglade-2.6.4, libLASi, GD Library, glitz, GPL-Ghostscript-9.15, gtk+-2.24.26 et Qt-4.8.6
SWIG-3.0.5 (vous devez installer SWIG, sinon aucune liaison ne sera construite), Guile-2.0.11, OpenJDK-1.8.0.31, Io, Lua-5.3.0, Mono, OCaml, PHP-5.6.6, Python-2.7.9, R, Ruby-2.2.0, Tcl-8.6.3 et Tk-8.6.3
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/graphviz
Installez Graphviz en lançant les commandes suivantes :
sed "s:ruby-1.9:ruby-2.2:g" -i configure && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests qui fournisse des résultats significatifs.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous le désirez, créez un lien symbolique dans le
répertoire des documents système vers la documentation
installée dans /usr/share/graphviz/doc
en utilisant la
commande suivante en tant qu'utilisateur root
:
ln -v -s /usr/share/graphviz/doc \ /usr/share/doc/graphviz-2.38.0
sed "s:ruby-1.9:ruby-2.2:g" -i configure: Utilisez cette commande si ruby-2.2.0 est installé et que vous souhaitez construire Graphviz avec le support pour lui.
Il n'y a besoin d'aucune configuration particulière de
Graphviz. Vous pourriez
envisager d'installer des plugins et des outils
supplémentaires disponibles sur la page de téléchargement à
http://www.graphviz.org/Download_source.php
pour des fonctionnalités supplémentaires. Si vous installez
des plugins supplémentaires, vous pouvez lancer
dot -c (en
tant qu'utilisateur root
)
pour mettre à jour le fichier config
dans /usr/lib/graphviz
.
est un filtre qui prend en charge un graphe dirigé en entrée et sort une copie du graphe avec les limites inversées pour faire un graphe acyclique. |
|
décompose des graphes dans leur composants biconnectés, en affichant les composants sur la sortie standard. |
|
décompose des graphes dans leur composants connectés, en affichant les composants sur la sortie standard. |
|
dessine des graphes en utilisant une présentation circulaire. |
|
prend en entrée un graphique au format DOT, trouve les noeuds du clusters et ajoute les informations au graphique. |
|
(nécéssite GD Library) génère une image ou chaque pixel est la différence entre les pixels correspondants dans chacune des 2 images sources. |
|
lit un flux de graphes et calcule pour chacun d'eux la distance entre chaque chaque nœuds et son origine. |
|
dessine des graphes droits. Il fonctionne bien sur des graphes DAGs et autres qui peuvent être dessinés sous une forme hiérarchisée. Il lit les fichiers de graphes avec des attributs et il écrit les dessins. Par défaut, le point du format de sortie est le fichier d'entrée avec la présentation des coordonnées transmises. |
|
fait des conversions de graphes représentés en GXL
et dans le langage DOT. Sauf si vous spécifier un
type de conversion en utilisant un drapeau,
gxl2dot déduira
le type de conversion à partir de l'extension du
fichier d'entrée, une extension |
|
est un éditeur de graphe pour le système X Window. Vous pouvez le lancer comme un éditeur autonome ou comme un appui pour des applications qui utilisent des graphes. Il peut contrôler la visualisation de différents graphes sur des fenêtres multiples. |
|
coloration des bords pour distinguer les bords se croisant. |
|
dessine des graphes non droits en utilisant un modèle « spring ». Il se base sur une approche obligatoirement droite, dans l'esprit de Fruchterman et de Reingold. |
|
est un graphe analogue à wc dans le sens où il affiche sur la sortie standard le nombre de nœuds, de bords, de composants connectés ou de clusters contenus dans les fichiers d'entrée. Il affiche aussi un résultat total de tous les graphes si vous donnez plus d'un graphe. |
|
convertit le graphique spécifiés dans le format GML vers un graphique dans le format GV (formellement DOT). |
|
convertit des graphiques en GXL dans le langage GV. |
|
est un filtre qui règle les couleurs des nœuds à partir des valeurs du point de départ. Les couleurs s'étendent le long des bords des pieds à la tête et sont alignées (comme les vecteurs HSB) aux nœuds. |
|
fournit un éditeur et une visionneuse de graphiques simple. Il permet de voir beaucoup de graphiques dans le même temps. Le texte de chaque graphique est affiché dans sa propre fenêtre. |
|
génère différents graphiques simples, structuré régulièrement, ou abstraits. |
|
prend un graphique en entrée dans le format DOT, trouve les noeuds de cluster et produit un rendu du graphique dans le style d'une carte géographique, avec les clusters éclairés dans le format xdot. |
|
lit le fil de graphes, combine les graphes dans une seule présentation et produit un graphe unique représentant l'union des graphes de l'entrée. |
|
est un éditeur de flux graphiques inspiré d'awk. Il copie les graphes en entrée vers sa sortie, en transformant éventuellement leur structure et leurs attributs, et créant de nouveaux graphes, ou affichant des informations arbitraires. |
|
convertit des graphes représentés en GXL en langage
DOT. Sauf si vous spécifier un type de conversion
en utilisant un drapeau, gxl2dot déduira
le type de conversion de l'extension du fichier
d'entrée, une extension |
|
est un éditeur de d1ux graphes pour des images techniques. |
|
est un éditeur de graphes pour le système X Window. Vous pouvez le lancer comme un éditeur autonome ou comme un support pour des applications qui utilisent des graphes. Il peut contrôler la visualisation de plusieurs fenêtres, la visualisation de plusieurs graphes. |
|
convertit une matrice clairesemée du format Matrix Market en un graphique dans le format GV (formellement DOT). |
|
dessine un graphique sans direction en utilisant le modèle « spring ». Le fichier d'entrée doit être formaté dans le langage de graphique dot. Par défaut, la sortie de neato est le graphique d'entrée avec les coordonnées de calques en annexe. |
|
lit un flux de graphes et les affiche chacun d'eux sur la sortie standard de manière agréable (canonique). Si aucun fichier n'est donné, il lit l'entrée standard. |
|
dessine des graphiques regroupés. En entrée, il prend tous les graphiques au format DOT. |
|
dessine des graphiques regroupés en utilisant un calque d'arborescence. En entrée, il prend tous les graphiques au format DOT. |
|
lit des graphiques droits dans le même format que celui utilisé par dot et supprime les sous-graphes enracinées dans les nœuds spécifiés sur la ligne de commande avec les options. |
|
décompose des diagraphes en composants fortement connectés et en carte auxiliaire des relations entre les composants. Sur cette carte, chaque composant est compris dans un nœud. Les graphes qui en résultent sont affichés sur la sortie standard. |
|
dessine des graphiques sans direction en utilisant le modèle « spring », mais il utilise une approche multi-échelle pour produire les calques des grands graphiques dans un temps raisonnable. |
|
calcule la réduction transitive des graphes droits et affiche les graphes qui en résultent sur la sortie standard. Ceci supprime les bords qu'implique la transitivité. Les nœuds et les sous-graphes ne sont pas affectés autrement. |
|
dessine des graphes en utilisant une présentation en rayons. À la base, un nœud est choisi comme le centre est placé à l'origine. Les nœuds restants sont placés sur une séquences de cercles concentriques focalisés autour de l'origine, chacun étant à une distance de rayon fixe du cercle précédent. |
|
est un préprocesseur de dot utilisé pour améliorer l'aspect ratio des graphes ayant beaucoup de blancs ou de nœuds déconnectés. La présentation normale d'un tel graphique est en général très large ou haute. |
|
est un script simple qui lance gvim ou l'éditeur vim ainsi qu'une fenêtre GUI pour voir la sortie de dot du fichier édité. |
|
gère les dictionnaires pendant l'exécution en utilisant les types de données de contenu standards : set/multiset désordonné, set/multiset rangé, list, stack, et queue. |
|
supporte la programmation de graphique en maintenant les graphiques en mémoire et en lisant et écrivant les fichiers de graphique. Les graphiques sont composés de noeuds, cotés, et de sous-graphiques imbriqués. |
|
fournit un contexte pour les applications souhaitant manipuler et faire du rendu de graphiques. Il fournit un analyseur en ligne de commande, du code de rendu commun, et des greffons de mécanisme de rendu. |
|
contient des fonctions pour trouver le chemin le plus court entre deux points sur un simple polygone. |
|
fournit un support pour analyser et de-analyser des opération spécifiées par le langage xdot. |
Last updated on : 2013-03-03 15:53:30 +010
Le paquet GTK-Doc contient un documentateur de code. C'est utile pour extraire des commentaires spécialement formatés du code pour créer des documentations d'API. Ce paquet est facultatif ; si vous ne l'installez pas, les paquets ne construiront pas la documentation. Cela ne veut pas dire que vous n'aurez aucune documentation. Si GTK-Doc n'est pas disponible, le processus d'installation copiera toute la documentation préconstruite sur votre système.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtk-doc/1.21/gtk-doc-1.21.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtk-doc/1.21/gtk-doc-1.21.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e361de4750b707590d9ea1b5550fa738
Taille du téléchargement : 636 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 13 Mo (additional 2 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU (additional 0.2 SBU for the tests)
DocBook XML-DTD-4.5, DocBook XSL Stylesheets-1.78.1, itstool-2.0.2 et libxslt-1.1.28
dblatex or fop-1.1 (support de XML PDF), GLib-2.42.1 (pour la suite de tests), GNOME Doc Utils et which-2.20 (requis pour la suite de tests et la documentation de gtk-doc documentation), OpenJade-1.3.2 avec DocBook SGML-DTD-4.5 et DocBook DSSSL Stylesheets-1.79 (support de SGML, pas maintenu activement), Python-2.7.9 (construction de gtkdoc-depscan), et Rarian-0.8.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gtk-doc
Installez GTK-Doc dn lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, tapez: make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-08-14 16:33:42 +020
Le paquet hd2u contient un convertisseur de texte depuis et vers n'importe quel format.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://hany.sk/~hany/_data/hd2u/hd2u-1.0.3.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8f6668fafb279aa19f956ec0515717b6
Taille du téléchargement : 64 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 380 Ko
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/hd2u
Installez hd2u en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2007-08-14 01:29:22 +0200
Le paquet hicolor-icon-theme contient un thème de secours par défaut pour les implémentations de la spécification de thème d'icône.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://icon-theme.freedesktop.org/releases/hicolor-icon-theme-0.14.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 56d2c6c3a9df5a0acd332430e3f3ae3e
Taille du téléchargement : 52 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.8 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/hicolor-icon-theme
Installez hicolor-icon-theme en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2011-12-12 06:30:20 +0100
Le paquet icon-naming-utils contient le script a Perl utilisé pour la maintenance de compatibilité des arrières-plans (backwards) avec les thèmes d'icônes du bureau actuel, tout en changeant les noms en ceux spécifiés dans la Spécification de Nomination d'Icônes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://tango.freedesktop.org/releases/icon-naming-utils-0.8.90.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : dd8108b56130b9eedc4042df634efa66
Taille du téléchargement : 57 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 440 Ko
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/icon-naming-utils
Installez icon-naming-utils en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
ImageMagick est un ensemble d'outils et de bibliothèques pour lire, écrire et manipuler une image dans divers formats image. Les opérations de traitement d'images sont disponibles en ligne de commande. Des liaisons pour Perl et C++ sont également disponibles.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.imagemagick.org/pub/ImageMagick/releases/ImageMagick-6.9.0-6.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : fd481f9fdee33ab218184a1412bae93d
Taille du téléchargement : 7.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 150 Mo (with typical dependencies, additional 29 Mo to run the test suite, reputedly 450 Mo with all dependencies)
Estimation du temps de construction : 2.5 SBU (typical build - ajouter 9.1 SBU pour lancer la suite de tests and 17.9 SBU to run the validation suite)
Les sources de ImageMagick
sont mises à jour fréquemment et la version affichée
ci-dessus peut ne plus être disponible sur les emplacements
de téléchargement. Vous pouvez télécharger une version plus
récente et utiliser les instructions de BLFS pour
l'installer. Il y a des chances que cela fonctionne très
bien, mais n'a pas été testé par l'équipe BLFS. Si la
version du paquet affichée ci-dessus n'est pas disponible
aux emplacements indiqués ci-dessus ou dans le répertoire
legacy/
sur ftp.ImageMagick.org/pub/ImageMagick
, vous
pouvez la télécharger sur le serveur de paquets BLFS à
http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/BLFS/svn/i/ImageMagick-6.9.0-6.tar.xz.
Vous devriez installer les dépendances facultatives listées
ci-dessous si vous avez besoin du support d'un format
spécifique ou de l'outil de conversion que la dépendance
fournit. Beaucoup de possibilités et d'usage des dépendances
sont décrites dans la section « MAGICK DELEGATES » du fichier
README.txt
situé dans
l'arborescence du source. Vous pouvez trouver des
informations supplémentaires sur les dépendances tant dans le
fichier Install-unix.txt
situé
dans l'arborescence des sources qu'en lançant la commande
./configure
--help. Vous pouvez lire un résumé de ces
information et des remarques complémentaires en ligne sur
http://www.imagemagick.org/script/advanced-unix-installation.php.
Cups-2.0.2, cURL-7.40.0, FFmpeg-2.5.4, p7zip-9.38
(LZMA), SANE-1.0.24, Wget-1.16.1, xdg-utils-1.1.0-rc3, xterm-314,
Dmalloc,
Electric Fence FFTW, PGP ou
GnuPG-2.0.26 (vous devrez faire quelques
hacks pour utiliser GnuPG),
Profiles, et ufraw (pour les formats
raw listés dans www/formats.html
),
JasPer-1.900.1, little cms-1.19 or Little CMS-2.6, libexif-0.6.21, libjpeg-turbo-1.4.0, libpng-1.6.16, librsvg-2.40.7, LibTIFF-4.0.3, libwebp-0.4.2, OpenJPEG-2.1.0, Pango-1.36.8, DjVuLibre, FlashPIX (libfpx), JBIG-KIT, libgxps, Liquid Rescale, OpenEXR et RALCGM (ou ralcgm)
GPL-Ghostscript-9.15, Gimp-2.8.14, Graphviz-2.38.0, Inkscape-0.91, Blender, corefonts, DejaVu fonts, GhostPCL, Gnuplot, POV-Ray, et Radiance
Enscript-1.6.6, texlive-20140525 (ou install-tl-unx) AutoTrace, Les utilitaires en ligne de commande de GeoExpress, les utilitaires de AKA MrSID (paquet binaire), hp2xx, html2ps, libwmf, UniConvertor, et Utah Raster Toolkit (ou URT-3.1b)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/imagemagick
Installez Imagemagick en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --enable-hdri \ --with-modules \ --with-perl \ --disable-static && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make DOCUMENTATION_PATH=/usr/share/doc/imagemagick-6.9.0 install
Pour tester l'installation, tapez : make check. Un test plus comprehensible est la suite de validation de ImageMagick. Si make check n'a pas été exécuté, lancez make tests/validate pour le compiler. Tapez tests/validate 2>&1 | tee validate.log pour lancer la suite de validation. Le résumé des résultats peut être obtenu avec grep "validation suite" validate.log. Notez que les tests EPS, PS et PDF demandent un Ghostscript fonctionnel. un test demande "Helvetica" de "Standard Fonts" qui est facultativement insallé par GPL-Ghostscript-9.15.
--enable-hdri
: Active
la construction d'une version à espace hautement dynamique de
ImageMagick.
--with-modules
:
Active le support des modules chargeables de façon dynamique.
--with-perl
:
Active la construction et l'installation de PerlMagick.
--disable-static
: Empêche
la construction et l'installation des bibliothèques
statiques.
--with-gslib
: Active le
support pour utiliser la bibliothèque partagée de
Ghostscript.
--with-rsvg
: Active le
support pour utiliser la bibliothèque librsvg.
--with-autotrace
: Active le
support pour utiliser la bibliothèque Autotrace.
--with-wmf
: Active le
support pour utiliser la bibliothèque libwmf.
--with-gvc
: Active le
support pour utiliser GraphViz.
--with-windows-font-dir=
:
Cette option spécifie le répertoire où les CoreFonts Windows
seront installés.
<Un/Répertoire>
--with-dejavu-font-dir=
:
Cette option spécifie le répertoire ou les polices DejaVu
sont isntallées.
<Some/Directory>
Les options et les paramètres listés ci-dessus sont les seuls que vous devriez être obligé de passer au script configure pour activer toutes les fonctions déléguées aux dépendances. Toutes les autres dépendances seront automatiquement détectées et utilisées dans la construction si elles sont installées.
anime une séquence d'images. |
|
compare une image à une image reconstruite. |
|
assemble diverses images sur l'image de base donnée. |
|
exécute un script MSL pour créer une image. |
|
convertit une/des image(s) d'un format en un autre. |
|
affiche une image. |
|
décrit le format et les caractéristiques d'un fichier image. |
|
captures une fenêtre X. |
|
montre des information sur les versions installées des bibliothèques ImageMagick Magick++. |
|
transforme une image. |
|
rassemble plusieurs images sur une nouvelle image. |
|
met en flux un ou plusieurs composants de pixels d'une image ou une portion de l'image vers des formats de stockage de votre choix. |
|
montre les options requises pour utiliser la bibliothèque Wand. |
|
permet de lire, manipuler et écrire un grand nombre
de formats de fichiers images en utilisant la
bibliothèque ImageMagick. Lancez
make
dans le répertoire |
Last updated on : 2013-02-10 18:24:28 +010
Le paquet ISO Codes contient une liste de noms de pays, de langues et de propriétés que l'on utilise en tant que base de données centrale pour l'accès à ces données.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://pkg-isocodes.alioth.debian.org/downloads/iso-codes-3.57.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ea67bb8f94063816d96c972bd00f7720
Taille du téléchargement : 3.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 110 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (additional moins de 0.1 SBU for the tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/iso-codes
Installez ISO Codes en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet lsof est utile pour lister les fichiers ouverts (LiSt Open Files) pour une application lancée donnée ou un processus.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://sunsite.ualberta.ca/pub/Mirror/lsof/lsof_4.88.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1b29c10db4aa88afcaeeaabeef6790db
Taille du téléchargement : 764 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.7 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lsof
Le contenu de l'archive de lsof contient plusieurs fichiers, au milieu desquels, une autre archive avec le code source, qui nécessite d'être déballée. Installez lsof en lançant les commandes suivantes:
tar -xf lsof_4.88_src.tar && cd lsof_4.88_src && ./Configure -n linux && make CFGL="-L./lib -ltirpc"
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
install -v -m0755 -o root -g root lsof /usr/bin && install -v lsof.8 /usr/share/man/man8
./Configure -n linux: Évitez AFS, la personnalisation et contrôles d'inventaire et utilisez le dialecte-cible de Linux.
make CFGL="-L./lib -ltirpc": Renseigne l'emplacement des bibliothèques libtirpc pour la commande make.
Last updated on 2014-01-24 18:22:37 +0100
Le paquet PIN-Entry contient un ensemble de dialogues d'entrée PIN ou de phrases de passe qui utilisent le protocole Assuan comme décrit dans le projet Ägypten. Les programmes PIN-Entry sont en général invoqués par le démon gpg-agent mais ils peuvent être aussi lancés à partir de la ligne de commande. Il y a des programmes pour divers environnements textes ou graphiques, comprenant des interfaces conçues pour Ncurses (mode texte), Gtk+, Gtk+-2, Qt-3 et Qt-4.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnupg.org/gcrypt/pinentry/pinentry-0.9.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 40a05856cb3accf6679987b7899b0f5a
Taille du téléchargement : 456 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.8 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
gtk+-2.24.26, Qt-4.8.6 et libcap-2.24 avec PAM
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pinentry
Si Qt-4.8.6 et Qt-5.4.0 sont installés, utilisez source setqt4, avant de commencer.
Installez PIN-Entry en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's:../../../s/pinentry/qt4/::' qt4/*.moc && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i ... qt4/*.moc Corrige quelques endroits d'entêtes.
Last updated on : 2013-03-31 12:41:33 +020
Le paquet Rarian est une bibliothèque de données de documentation basée sur sur la spec proposée sur Freedesktop.org. Rarian est conçu pour remplacer ScrollKeeper.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/rarian/0.8/rarian-0.8.1.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/rarian/0.8/rarian-0.8.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 75091185e13da67a0ff4279de1757b94
Taille du téléchargement : 317 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
libxslt-1.1.28 (rarian-sk-extract ne sera pas construit sans lui) et DocBook XML-DTD-4.5 (sans cela, les sources des scripts de Rarian DTDs issus du net)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/rarian
Installez Rarian en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --localstatedir=/var && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
affiche une jolie liste de tous les documents disponibles trouvés par la bibliothèque. |
|
émule scrollkeeper-config. |
|
est une enveloppe autour de xsltproc pour mimer scrollkeeper-extract. |
|
génère un uid unique (au hasard). |
|
obtcent une liste de contenu (arborescence de catégorie). |
|
est une enveloppe simple pour faciliter les appels à scrollkeeper-get-cl. |
|
est une enveloppe simple pour faciliter les appels à scrollkeeper-get-cl (étendu). |
|
émule scrollkeeper-get-index-from-index-from-docpath, scrollkeeper-get-toc-from-docpath, et scrollkeeper-get-toc-from-id. |
|
émule scrollkeeper-install et scrollkeeper-uninstall. |
|
prend un répertoire plein de omf's, les lit et les analyse et sort un fichier de défilement équivalent. |
|
crée le fichier omf en lisant un fichier omf existant et en remplaçant l'adresse par une ressource avec son adresse. |
|
est un simple script enveloppe pour émuler scrollkeeper-rebuilddb. |
|
est compatible avec le script scrollkeeper-update qu'il faut lancer lors de l'installation de nouveaux fichiers omf. Il convertit les fichiers omf en défilement new-style. |
|
est l'API pour construire une liste des fichiers de méta données disponibles et permet d'y accéder. |
Last updated on : 2012-03-05 16:41:10 +010
Le paquet rep-gtk contient un binding Lisp et GTK. C'est utile pour étendre les bibliothèques GTK-2 et GDK avec Lisp. En commençant à rep-gtk-0.15, le paquet contient les bindings de GTK et utilise les mêmes instructions. Vous pouvez installer les deux si nécessaire.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.tuxfamily.org/librep/rep-gtk/rep-gtk_0.90.8.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 11ac61d0ade068bcf34d355c5dc2d0b0
Taille du téléchargement : 284 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 13 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
libglade-2.6.4 et librep-0.92.4
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/rep-gtk
Installez rep-gtk en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-10-30 16:46:34 +010
Screen est un gestionnaire de terminaux qui lance plusieurs processus péparément, en général des shells interactifs, sur un seul terminal en mode texte. Chaque terminal virtuel émule un DEC VT100 et plusieurs fonctions ANSI X3.64 et ISO 2022, et fournit une traduction d'entrée et de sortie configurable, le support du port série, l'identification configurable, le support multi-utilisateurs, et de nombreux encodages, y compris l'UTF-8. Vous pouvez détacher des sessions screen et les retrouver plus tard sur un terminal différent.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/screen/screen-4.2.1.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/screen/screen-4.2.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 419a0594e2b25039239af8b90eda7d92
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 8.2 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/screen
Installez Screen en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --infodir=/usr/share/info \ --mandir=/usr/share/man \ --with-socket-dir=/run/screen \ --with-pty-group=5 \ --with-sys-screenrc=/etc/screenrc && sed -i -e "s%/usr/local/etc/screenrc%/etc/screenrc%" {etc,doc}/* && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -m 644 etc/etcscreenrc /etc/screenrc
--with-socket-dir=/run/screen
:
Cette option place les sockets utilisateurs à un endroit
standard.
--with-sys-screenrc=/etc/screenrc
:
Cette option place le fichier screenrc global dans
/etc
.
--with-pty-group=5
: Cette option initialise le gid à la valeur utilisée
par LFS.
Les versions anciennes de LFS utilisent la valeur 4 pour le groupe tty. Si vous utilisez une version 7.1 ou antérieure de LFS, modifiez l'option pty-group en 4.
sed -i -e "s%/usr/local/etc/screenrc%/etc/screenrc%" {etc,doc}/* : Cette commande place les fichiers de configuration et de documentation à l'endroit utilisé ici pour le fichier sereenrc global.
Last updated on : 2012-05-12 21:33:22 +020
Le paquet shared-mime-info contient une base de données MIME. Ceci permet des mises à jour centrales d'informations MIME pour toutes les applications qui le supportent.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://freedesktop.org/~hadess/shared-mime-info-1.4.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 16c02f7b658fff2a9c207406d388ea31
Taille du téléchargement : 528 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 18 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
, libxml2-2.9.2 et GLib-2.42.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/shared-mime-info
Ce paquet ne supporte pas la construction parallèle.
Installez shared-mime-info en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make -j1
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-03 15:53:30 +010
Le paquet sharutils contient des outils pouvant créer des archives 'shell'.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/sharutils/sharutils-4.15.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/sharutils/sharutils-4.15.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4b94e8016adf1a544c90e96132e36c8d
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 21 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sharutils
Maintenant installez sharutils en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester le résultat, lancez make check
.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
crée des "archives shell" (ou des fichiers shar) au format texte et qui peuvent être envoyées par courrier électronique. |
|
déballe un fichier shar. |
|
lit un fichier (ou, par défaut, l'entrée standard) et écrit une version encodée sur la sortie standard. L'encodage n'utilise que des caractères ASCII imprimables. |
|
lit un fichier (ou, par défaut, l'entrée standard) et décode la version désencodée sur la sortie standard. |
Last updated on : 2013-03-14 02:26:59 +010
Le paquet HTML Tidy contient un outil en ligne de commande et des bibliothèques utilisées pour lire des fichiers en HTML, XHTML et en XML et écrire des fichiers correctement présentés. Il détecte et corrige beaucoup d'erreurs de code courantes et s'efforce de produire une présentation visuellement équivalente qui plaît à la fois à W3C et qui soit compatible avec la plupart des navigateurs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/BLFS/svn/t/tidy-cvs_20101110.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : dd1fe109b4259ad3f364b175787ad5e9
Taille du téléchargement : 807 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 12 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Les archives HTML Tidy ne sont plus générées par les mainteneurs. Pour construire HTML Tidy à partir de la source,les développeurs recommandent d'utiliser le CVS actuel. L'archive tar indiquée ci-dessus a été créée par l'équipe BLFS en récupérant une version CVS, puis en générant les composants autotools. BLFS n'a fait aucune modification aux fichiers sources existants.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/tidy
Installez HTML Tidy en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 -D htmldoc/tidy.1 \ /usr/share/man/man1/tidy.1 && install -v -m755 -d /usr/share/doc/tidy-cvs_20101110 && install -v -m644 htmldoc/*.{html,gif,css} \ /usr/share/doc/tidy-cvs_20101110
Si vous souhaitez installer la documentation de l'API, vous
devez avoir installé Doxygen-1.8.9.1 puis vous rendre dans
les répertoires htmldoc
de
l'arborescence des sources, puis lancez la commande
doxygen. Puis,
en tant qu'utilisateur root
,
copiez le répertoire api
dans
/usr/share/doc/tidy-cvs_20101110.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
est un outil pour faire des tabulations et assurer des lignes et des fins de fichier cohérentes. |
|
valide, corrige et améliore l'affichage de fichiers HTML. |
|
bibliothèque qui fournit l'API des fonctions HTML Tidy pour tidy et qui peuvent aussi être appelées par d'autres programmes. |
Last updated on : 2013-03-04 21:19:24 +010
L'utilitaire time est un programme qui mesure plusieurs des ressources CPU, comme le temps et la mémoire, que les autres programmes utilisent. La version GNU peut formater la sortie arbitrairement en utilisant une chaîne de formatage du style de printf pour inclure les nombreuses mesures des ressources.
Autrement le shell a une commande interne fournissant des fonctionnalités similaires, cet utilitaire est requis par la LSB.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/time/time-1.7.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/time/time-1.7.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e38d2b8b34b1ca259cf7b053caac32b3
Taille du téléchargement : 101 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 640 Ko
Estimation du temps de construction : Less than 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/time
Installez Time en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's/$(ACLOCAL)//' Makefile.in && sed -i 's/lu", ptok ((UL) resp->ru.ru_maxrss)/ld", resp->ru.ru_maxrss/' time.c && ./configure --prefix=/usr --infodir=/usr/share/info && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2014-03-11 22:47:06 +0100
L'application tree, comme le nom l'indique, est utile pour afficher, dans un terminal, les contenus des répertoires, les répertoires inclus, les fichiers, les liens.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://mama.indstate.edu/users/ice/tree/src/tree-1.7.0.tgz
Téléchargement (FTP) : ftp://mama.indstate.edu/linux/tree/tree-1.7.0.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : abe3e03e469c542d8e157cdd93f4d8a6
Taille du téléchargement : 48 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 656 Ko
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/tree
Installez tree en lançant les commandes suivantes :
make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make MANDIR=/usr/share/man/man1 install && chmod -v 644 /usr/share/man/man1/tree.1
Last updated on 2014-01-24 18:22:37 +0100
Le paquet unixODBC package est un sous-système Open Source ODBC (Open DataBase Connectivity) et un ODBC SDK pour Linux, Mac OSX et UNIX. ODBC est une spécification libre pour fournir aux développeurs d'applications une API prévisible avec laquelle ils peuvent accéder à des sources de données. Les sources de données comprennent les serveurs SQL optionnels et toutes les sources de données qui ont un pilote ODBC. unixODBC contient les composants suivants, utilisés pour aider à manipuler des sources de données ODBC : un gestionnaire de pilote, une bibliothèque d'installeur et un outil en ligne de commande, des outils en ligne de commande pour aider à installer un pilote et à travailler avec SQL, des pilotes et des bibliothèques de paramétrage de pilotes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.unixodbc.org/unixODBC-2.3.2.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://mirror.ovh.net/gentoo-distfiles/distfiles/unixODBC-2.3.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5e4528851eda5d3d4aed249b669bd05b
Taille du téléchargement : 1.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 33 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/unixodbc
Installez unixODBC en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc/unixODBC && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && find doc -name "Makefile*" -delete && chmod 644 doc/{lst,ProgrammerManual/Tutorial}/* && install -v -m755 -d /usr/share/doc/unixODBC-2.3.2 && cp -v -R doc/* /usr/share/doc/unixODBC-2.3.2
--enable-drivers
: Ce
paramètre active la construction des pilotes installés par
défaut dans les versions précédentes.
--enable-drivers-conf
: Ce
paramètre active la construction des bibliothèques de
configuration des pilotes qui étaient installées par défaut
dans les versions précédentes.
Les fichiers de /etc/unixODBC
doivent être configurés par l'administrateur système (ou
l'administrateur du site ODBC si /etc/unixODBC
a les droits adéquats). Ces
fichiers ne peuvent être édités directement. La
bibliothèque de l'installateur ODBC est responsable de la
lecture et de l'écriture des fichiers de configuration de
unixODBC.
Malheureusement, il n'y a pas de pages de man ou d'info pour les programmes
disponibles dans le paquet unixODBC. Les informations des
« Descriptions
courtes » ci-dessous et la documentation
installée dans /usr/share/doc/unixODBC-2.3.2
, ce sont
des fichiers README
répartis
dans l'arborescence des sources où vous pouvez trouver des
informations sur l'utilisation et les fonctionnalités des
programmes. En outre, vous pouvez utiliser le paramètre
-?
pour des informations de
syntaxe etd'utilisation. Enfin, le site Internet
d'unixODBC sur http://www.unixodbc.org/ a
de très bonnes informations.
est un outil utilisé pour vérifier une bibliothèque partagée pour voir si on peut la charger et si un symbole donné y existe. |
|
est un outil que vous pouvez utiliser pour soumettre du SQL à une source de données et pour formater/afficher les résultats. Vous pouvez l'utiliser comme un script ou en mode interactif. |
|
fournit la même fonctionnalité à l'utilisateur que le programme isql. |
|
est utilisé pour trouver des détails sur l' installation du paquet unixODBC. |
|
est un outil créé pour les auteurs de scripts/RPM
d'installation C'est une interface en ligne de
commande avec la fonctionnalité clé de la
bibliothèque |
Last updated on : 2012-08-24 13:31:46 +020
Ce paquet contient des outils principalement matériel. Il contient aussi des applications utilisées par d'autres applications du livre pour de l'installation et de la configuration.
Le paquet acpid (Advanced Configuration and Power Interface event Daemon) est un démon complètement flexible, totallement extensible pour délivrer les évenements ACPI. Il écoute sur les interfaces et quand un évenement arrive, exécute des programmes pour gérer l'évenement. Les programmes qui sont éxécutés sont configurés au travers un collection de fichiers de configuration, ils peuvent être mis en place par les paquets ou par l'utilisateur.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/acpid2/acpid-2.0.23.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d7bcdcdefcd53b03730e50ba842554ea
Taille du téléchargement : 156 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.6 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/acpid
Installez acpid en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --docdir=/usr/share/doc/acpid-2.0.23 && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /etc/acpi/events && cp -r samples /usr/share/doc/acpid-2.0.23
acpid est configuré par des
évenements définis par l'utilisateur. Placez les fichiers
évenement dans le répertoire /etc/acpi/events
. Si un évenement arrive,
acpid parcourt
récursivement les fichiers d'événements dans l'ordre pour
voir si la "regex" définie aprés "event" correspond. Si c'est
le cas, l'action est éxécutées.
Le bref exemple suivant va suspendre le système quand l'écran d'un portable est fermé (il requiert pm-utils-1.4.1):
cat > /etc/acpi/events/lid << "EOF"event=button/lid action=/etc/acpi/lid.sh
EOF cat > /etc/acpi/lid.sh << "EOF"#!/bin/sh /bin/grep -q open /proc/acpi/button/lid/LID/state && exit 0 /usr/sbin/pm-suspend
EOF chmod +x /etc/acpi/lid.sh
Malheureusement, pas tous les ordinateurs appellent les évenements ACPI de la même façon. Pour déterminer comment votre bouton est reconnu, utilisez l'outil acpi_listen. Egalement, regardez dans les exemples simples de la documentation du paquets pour plus d'exemples.
Pour automatiquement démarrer acpid quand le système
est redémarré, installez le script de démarrage
/etc/rc.d/init.d/acpid
du
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-acpid
est un programme qui écoute les évenements ACPI et éxecute les rêgles qui correspondent à l'évenement reçu. |
|
est un simple outil qui se connecte à acpid et écoute les évenements. |
|
est un programme de surveillance qui se connecte à 3 sources d'évenements ACPI (fichier événements, couche réseau et d'entrée) et qui montre ce qu'il voit tant qu'il est connecté. |
Last updated on 2013-07-11 00:04:20 +0200
Le paquet at fournit un retardateur pour l'exécution de travaux et de processus scriptés. Il est requis pour être conforme à la LSB (Linux Standards Base).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.de.debian.org/debian/pool/main/a/at/at_3.1.16.orig.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.de.debian.org/debian/pool/main/a/at/at_3.1.16.orig.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d05da75d9b75d93917ffb16ab48b1e19
Taille du téléchargement : 124 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.8 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Un MTA
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/at
ce paquet ne support pas la construction parallèle.
Avant la construction at, en
tant qu'utilisateur root
vous
devez créer le groupe et l'utilisateur atd
qui exécutera le démon atd :
groupadd -g 17 atd && useradd -d /dev/null -c "atd daemon" -g atd -s /bin/false -u 17 atd && mkdir -p /var/spool/cron
Corrigez Makefile.in
pour que
le répertoire de la documentation soit installé dans un
répertoire docdir spécifique:
sed -i '/docdir/s/=.*/= @docdir@/' Makefile.in
Installez at avec les commandes suivantes
./configure --with-daemon_username=atd \ --with-daemon_groupname=atd \ SENDMAIL=/usr/sbin/sendmail && make -j1
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install \ docdir=/usr/share/doc/at-3.1.16 \ atdocdir=/usr/share/doc/at-3.1.16
/etc/at.allow
et /etc/at.deny
détermine qui peut soumettre
un travail via at ou batch.
Installez le script d'initialisation /etc/init.d/atd
depuis le paquet
blfs-bootscripts-20150304.
make install-atd
files d'attente, examine ou efface les travaux pour une exécution différée. |
|
est le démon qui place les travaux en file d'attente pour une exécution différée. |
|
affiche la liste des travaux en attente de l'utilisateur, ou tous les travaux pour le superutilisateur. |
|
efface des travaux, identifiés par leur numéro. |
|
lance les travaux en file d'attente pour une exécution différée. |
|
est un script qui exécute les commandes quand le taux de charge du système le permet. |
Last updated on : 2012-05-09 22:19:23 +020
Autofs contrôle les opérations du démon d'automontage. Le démon d'automontage monte automatiquement les systèmes de fichierquand ils sont accessibles et les démonte après une période d'inactivité. C'est fait sur la base d'un ensemble de règles pré-configurées.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.kernel.org/pub/linux/daemons/autofs/v5/autofs-5.1.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kernel.org/pub/linux/daemons/autofs/v5/autofs-5.1.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4c34cacea07db3681b0da1befa229ec4
Taille du téléchargement : 284 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.7 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
libtirpc-0.2.5, NFS Utilities-1.3.2, libxml2-2.9.2, MIT Kerberos V5-1.13.1, OpenLDAP-2.4.40 (le client seulement), et Cyrus SASL-2.1.26
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/autofs
Vérifiez que le support d'auto-montage du noyau a été activé.
File systems --->
<*/M> Kernel automounter version 4 support (also supports v3) [CONFIG_AUTOFS4_FS]
Facultativement, activez les options suivantes dans la configuration du noyau:
File systems --->
[*] Network File Systems ---> [CONFIG_NETWORK_FILESYSTEMS]
<*/M> NFS client support [CONFIG_NFS_FS]
<*/M> CIFS support (advanced network filesystem, SMBFS successor) [CONFIG_CIFS]
Recompilez et installez le nouveau noyau si nécessaire.
Installez Autofs en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e '/include.*config.h/ i #include <stdarg.h>' lib/defaults.c && ./configure --prefix=/ \ --without-openldap \ --mandir=/usr/share/man && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed ... lib/defaults.c: Corrige un problème de construction avec les entêtes actuelles.
--with-libtirpc
: Ce paramètre
active le support de libtirpc s'il est disponible.
--without-openldap
: Ce paramètre
désactive openldap s'il est trouvé. Si openldap est souhaité,
supprimez ce paramètre. Notez que le support de openldap dans
autofs nécéssite MIT Kerberos V5-1.13.1.
/etc/sysconfig/autofs.conf
,
/etc/auto.master
,
/etc/auto.misc
et
/etc/auto.net
Le processus d'installation crée auto.master
, auto.misc
, auto.smb
et auto.net
. Remplacez le fichier
auto.master
avec les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
mv /etc/auto.master /etc/auto.master.bak &&
cat > /etc/auto.master << "EOF"
# Begin /etc/auto.master
/media/auto /etc/auto.misc --ghost
#/home /etc/auto.home
# End /etc/auto.master
EOF
Ce fichier crée un nouveau répertoire de médias,
/media/auto
qui englobera
tous les répertoires existants du même nom. Dans l'exemple,
le fichier /etc/auto.misc
,
contient une ligne :
cd -fstype=iso9660,ro,nosuid,nodev :/dev/cdrom
ce qui montera un cdrom en tant que /media/auto/cd
si ce répertoire est
accessible. L'option --ghost
dit à l'automounteur de créer des versions
« fantômes »
(c'est-à-dire des répertoires vides) de tous les points de
montage listés dans le fichier de configuration, que les
systèmes de fichiers soient effectivement montés ou pas.
C'est très pratique et fortement recommandé car cela vous
affichera les systèmes de fichiers qu'on peut monter
automatiquement comme des répertoires existants, même quand
leur système de fichiers n'est pas actuellement monté. Sans
l'option --ghost
, vous devrez
vous souvenir des noms des répertoires. Dès que vous
essaierez d'accéder à l'un d'entre eux, le répertoire sera
créé et le système de fichiers sera monté. Quand le système
de fichiers est de nouveau démonté, le répertoire est lui
aussi détruit, sauf si on a donné l'option --ghost
.
Une méthode alternative serait de spécifier un autre
emplacement d'automontage tel que /var/lib/auto/cdrom
et de créar un lien
symbolique de /media/cdrom
vers l'emplacement de l'automontage.
Le fichier auto.misc
doit
être configuré pour votre matériel. Le fichier de
configuration chargé chargerait votre cdrom si /dev/cdrom
est actif ou s'il peut être
édité pour s'adapter à votre configuration de
périphériques. Des exemples pour les disquettes sont
disponibles dans le fichier et facilement activables. La
documentation de ce fichier est disponible en utilisant la
commande man 5
autofs.
Sur la deuxième ligne, s'il est activé, un répertoire home
pour l'utilisateur serait monté via NFS lors de la
connexion. Le /etc/home.auto
devrait exister et contenir une entrée du genre :
joe example.org:/export/home/joe
où le répertoire /export/home/joe
est exporté via NFS à
partir du système example.org. Les partages NFS sont
traités à la page suivante.
On pourrait aussi utiliser ce paquet pour monter des partages SMB mais cette fonctionnalité n'est pas configurée dans ces instructions. Pour des informations de configuration supplémentaires, voir les pages de man d'auto.master(5). Il y a aussi des ressources Internet telles que celle disponible sur AUTOFS HOWTO.
autofs installe son propre script de démarrage, mais il n'a pas la capacité d'enregistrement, ni la cohérence visuelle avec d'autres scripts BLFS.
Installez le script de montage /etc/init.d/autofs
inclu dans le paquet
blfs-bootscripts-20150304.
make install-autofs
La variable time-out est définie dans /etc/sysconfig/autofs.conf
. Le fichier
installé définit par défaut 60 secondes d'inactivité avant
de démonter le périphérique. Il se peut qu'un temps bien
plus bref soit nécessaire pour protéger l'écriture en
tampon avec un périphérique amovible si les utilisateurs
ont tendance à enlever le média dans un délai plus court
que celui paramétré.
Last updated on : 2012-08-23 00:30:35 +020
Le paquet BlueZ contient la pile de protocole Bluetooth pour Linux.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7 mais n'a pas été testé.
Téléchargement (HTTP) : http://www.kernel.org/pub/linux/bluetooth/bluez-5.28.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kernel.org/pub/linux/bluetooth/bluez-5.28.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : bc20a8285530758c68f6a60e4ca62a15
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 48 Mo (additional 17 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU (additional 0.2 SBU for the tests)
Correctif facultatif (requis pour fonctionner correctement gnome-bluetooth et/ou kde bluedevil): http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/bluez-5.28-obexd_without_systemd-1.patch
D-BUS-1.8.16, GLib-2.42.1 et libical-1.0.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/bluez
Actives les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyau si nécessaire:
[*] Networking support ---> [CONFIG_NET]
</M> Bluetooth subsystem support ---> [CONFIG_BT]
<*/M> RFCOMM protocol support [CONFIG_BT_RFCOMM]
[*] RFCOMM TTY support [CONFIG_BT_RFCOMM_TTY]
<*/M> BNEP protocol support [CONFIG_BT_BNEP]
[*] Multicast filter support [CONFIG_BT_BNEP_MC_FILTER]
[*] Protocol filter support [CONFIG_BT_BNEP_PROTO_FILTER]
<*/M> HIDP protocol support [CONFIG_BT_HIDP]
Bluetooth device drivers --->
(Select the appropriate drivers for your Bluetooth hardware)
<*/M> RF switch subsystem support ---> [CONFIG_RFKILL]
si vous voulez utiliser BlueZ avec gnome-bluetooth et/ou kde bluedevil, appliquez le correctif suivant:
patch -Np1 -i ../bluez-5.28-obexd_without_systemd-1.patch
Installez BlueZ en lançant les commandes suivantes : commands:
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --enable-library \ --disable-systemd && make
Pour tester les résultats, tapez : make check
.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && ln -svf ../libexec/bluetooth/bluetoothd /usr/sbin
Installez le fichier principal de configuration en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -dm755 /etc/bluetooth && install -v -m644 src/main.conf /etc/bluetooth/main.conf
Si vous le souhaitez, installez la documentation de l'API en
tant qu'utilisateur root
:
install -v -dm755 /usr/share/doc/bluez-5.28 && install -v -m644 doc/*.txt /usr/share/doc/bluez-5.28
--enable-library
: Ce
paramètre active la construction de bibliothèques de
compatibilité BlueZ 4 qui
sont requises par certaines applications.
--disable-systemd
: Ce
paramètre est nécéssaire car systemd ne fait pas partie de LFS/BLFS.
si vous utilisez systemd, enlevez ce paramètre.
ln -svf ../libexec/bluetooth/bluetoothd /usr/sbin: Cette commande donne accès au démon bluetooth de façon plus cohérente.
/etc/bluetooth/main.conf
est
installé automatiquement pendant l'installation. En
supplément, il y a trois fichiers de configuration en plus.
/etc/sysconfig/bluetooth est installé comme une partie des
scripts de démarrage. De plus, vous pouvez facultativement
installer la suite en tant qu'utilisateur root
:
cat > /etc/bluetooth/rfcomm.conf << "EOF"
# rfcomm.conf
# Set up the RFCOMM configuration of the Bluetooth subsystem in the Linux kernel.
# Use one line per command
# See the rfcomm man page for options
# End of rfcomm.conf
EOF
cat > /etc/bluetooth/uart.conf << "EOF"
#uart.conf
# Attach serial devices via UART HCI to BlueZ stack
# Use one line per device
# See the hciattach man page for options
# End of uart.conf
EOF
Pour démarrer automatiquement le démon bluetoothd quand le
système est redémarré, installez le script de démarrage
/etc/rc.d/init.d/bluetooth
depuis le paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-bluetooth
est utilisé pour taper des commandes BlueCore sur les périphériques Cambridge Silicon Radio. |
|
est le programme de contrôle interactif de Bluetooth. |
|
est le démon Bluetooth. |
|
est utilisé pour initialiser, maintenir et inspecter la configuration de CIP des sous-système Bluetooth dans le noyau Linux. |
|
est utilisé pour attacher un port série UART à la pile Bluetooth comme étant une interface de transport HCI. |
|
est utilisé pour configurer les périphériques Bluetooth. |
|
est utilisé pour configurer les connexions Bluetooth et envoyer quelques commandes spéciales aux périphériques Bluetooth. |
|
est utilisé pour initialiser les paramètres par les périphériques Bluetooth supportés dans le mode HCI et revenir. |
|
est utilisé pour envoyer des demandes d'écho L2CAP à l'adresse MAC Bluetooth donné en notation hexadécimale. |
|
est utilisé pour tester les communications RFCOMM de la pile Bluetooth. |
|
est utilisé pour initialiser, maintenir et inspecter la configuration RFCOMM des sous-sytèmes Bluetooth dans le noyau Linux. |
|
est utilisé pour effectuer des demandes SDP sur les périphériques Bluetooth. |
|
contient les fonctions de l'API de BlueZ 4. |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Colord est un démon système activé qui cartographie les périphériques pour les profiles de couleurs. Il est utilisé par GNOME Color Manager pour l'intégration au système et est utilisés quand il n'y a pas d'utilisateurs de connectés.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.freedesktop.org/software/colord/releases/colord-1.2.9.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 57652634e4d13c45b7dacf658820d3fb
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 29 Mo (additional 3 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU (additional 0.2 SBU for the tests)
GLib-2.42.1, Little CMS-2.6, SQLite-3.8.8.2, et D-BUS-1.8.16
libgusb-0.2.4, udev-extras (depuis eudev) (pour GUdev), polkit-0.112, gobject-introspection-1.42.0, et Vala-0.26.2
GNOME-Desktop-3.14.2 et colord-gtk (Pour construire les outils d'exemple), DocBook-utils-0.6.14, GTK-Doc-1.21, libxslt-1.1.28 SANE-1.0.24 ArgllCMS, et Bash Completion,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/colord
Il doit y avoir un utilisateur et un groupe dédié pour
prendre le contrôle du démon colord après son démarrage.
Tapez les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
groupadd -g 71 colord && useradd -c "Color Daemon Owner" -d /var/lib/colord -u 71 \ -g colord -s /bin/false colord
Installez colord en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --with-daemon-user=colord \ --enable-vala \ --enable-systemd-login=no \ --disable-argyllcms-sensor \ --disable-bash-completion \ --disable-static \ --with-systemdsystemunitdir=no && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Pour tester les résultats, tapez : make -k check. Pour des raisons inconnus, quelques tests échouent. Notez que le démon D-Bus doit être lancé ou les tests échoueront.
--with-daemon-user=colord
: Ce
paramètre est utilisé pour que le démon colord puisse être lancé
depuis un utilisateur sans privilège au lieu de l'utilisateur
root
.
--enable-vala
:
Cette option active la contruction des liens Vala. Enlevez
cette option si vous n'avez pas Vala-0.26.2 installé.
--enable-libsystemd-login=no
:
Ce paramètre corrige la construction sans systemd, qui ne fait pas partie de
LFS/BLFS. Si vous utilisez systemd, remplacez "no" par "yes".
--disable-argyllcms-sensor
:
désactive le pilote de capteurs ArgllCMS.
--disable-bash-completion
: Ce
paramètre désactive le support de Bash Completion pour les applications de
Colord.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--with-systemdsystemunitdir=no
:
Désactive la construction avec les bibliothèques systemd.
--enable-gtk-doc
: Utilisez ce
paramètre si GTK-Doc est
installé et que vous souhaitiez construire et installer la
documentation de l'API.
--disable-gusb
: Utilisez ce
paramètre si vous n'avez pas installé libgusb.
--disable-udev
: Utilisez ce
paramètre si vous n'avez pas installé GUdev.
--disable-polkit
: Utilisez ce
paramètre si vous n'avez pas installé Polkit.
est un outil de créations des profiles de couleurs. |
|
est un outil utilisé pour corriger les metadonnées dans les profiles ICC. |
|
est un outil de tests de gestion de couleurs. |
|
est un programme en mode texte qui permet d'interragir avec colord en ligne de commande. |
|
contient les fonctions de l'API de colord. |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet cpio contient des outils d'archivage.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/pub/gnu/cpio/cpio-2.11.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/pub/gnu/cpio/cpio-2.11.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 20fc912915c629e809f80b96b2e75d7d
Taille du téléchargement : 1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 13 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
texlive-20140525 (ou install-tl-unx)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cpio
Installez cpio en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e '/gets is a/d' gnu/stdio.in.h && ./configure --prefix=/usr \ --bindir=/bin \ --enable-mt \ --with-rmt=/usr/libexec/rmt && make && makeinfo --html -o doc/html doc/cpio.texi && makeinfo --html --no-split -o doc/cpio.html doc/cpio.texi && makeinfo --plaintext -o doc/cpio.txt doc/cpio.texi
Si vous avez installé texlive-20140525 et si vous souhaitez créer des formats de documentatin PNG et Postscript, lancez une ou toutes les commandes suivantes :
make -C doc pdf && make -C doc ps
Pour tester les résultats, lancez : make check
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/cpio-2.11/html && install -v -m644 doc/html/* \ /usr/share/doc/cpio-2.11/html && install -v -m644 doc/cpio.{html,txt} \ /usr/share/doc/cpio-2.11
Si vous avez construit la documentation PDF ou Postscrip,
installez-la en exécutant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -m644 doc/cpio.{pdf,ps,dvi} \ /usr/share/doc/cpio-2.11
sed -i -e '/gets is a/d'
gnu/stdio.in.h &&
: Ceci corrige une
incompatibilité avec glibc-2.16.0.
--bindir=/bin
:
Ce paramètre installe cpio dans /bin
au lieu de /usr/bin
comme le recommande les
instructions de la FHS.
--enable-mt
: Ce
paramètre oblige la construction et l'installation du
programme mt.
--with-rmt=/usr/libexec/rmt
:
Ce paramètre désactive la construction du programme
rmt car il est
déjà installé par le paquet Tar de LFS.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
D-BUS est un système bus de message, une manière simple pour les applications de parler entre elles. D-BUS fournit un démon système (pour des événements tels que « nouveau périphérique ajouté » ou « queue de l'imprimante modifiée ») et un démon aligné sur la session de l'utilisateur (pour les besoins IPC généraux des applications de l'utilisateur). Le bus de message est aussi construit au sommet d'un environnement de passage de message entre éléments général, qui peut être utilisé par deux applications pour communiquer directement (sans passer par le démon de bus de message).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://dbus.freedesktop.org/releases/dbus/dbus-1.8.16.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 020824a38850501e7d6ba8307a7c5ac3
Taille du téléchargement : 1.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 28 Mo (additional 81 Mo for the documentations and 8 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU (additional 0.6 SBU for the tests)
Xorg Libraries (pour le programme dbus-launch)
Pour les tests: dbus-glib-0.104, D-Bus Python-1.2.0, et PyGObject-2.28.6; et pour la documentation de développement : Doxygen-1.8.9.1 pour les pages man et pour la documentation XML/HTML: xmlto-0.0.26
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/dbus
S'il n'existe pas déjà, en tant qu'utilisateur root
, créez un utilisateur et un groupe
systèmes pour gérer l'activité du bus de messages
système :
groupadd -g 18 messagebus && useradd -c "D-Bus Message Daemon User" -d /var/run/dbus \ -u 18 -g messagebus -s /bin/false messagebus
Installez D-BUS en lançant les commandes suivantes (vous pouvez d'abord souhaiter observer la sortie de ./configure --help et ajouter des paramètres désirés à la commande configure affichée ci-dessous) :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --disable-doxygen-docs \ --disable-xml-docs \ --disable-static \ --disable-systemd \ --without-systemdsystemunitdir \ --with-console-auth-dir=/run/console/ \ --docdir=/usr/share/doc/dbus-1.8.16 && make
Voir ci-dessous pour les instructions de test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous construisez votre système en chroot ou que vous
n'avez pas encore lancé le démon, mais que vous souhaitez
compiler certains paquets dépendant de D-Bus, générez l'UUID D-Bus afin d'éviter les avertissements
lors de la compilation de certains paquet à l'aide de la
commande suivante en utilisateur root
:
dbus-uuidgen --ensure
Les tests dbus ne peuvent pas être lancé tant que dbus-glib-0.104 n'est pas installé. Ils
peuvent être lancé en tant qu'utilisateur sans privilèges
depuis une session locale avec une adresse de bus. Les test
échouent via ssh. Si vous voulez lancer seulement les tests
unitaires, remplacez, ensuite, --enable-tests
par --enable-embedded-tests
,
autrement, D-Bus Python-1.2.0 a été installé, avant.
Les tests demandent de passer des paramètres supplémentaires
à configure et
d'avoir des fonctionnalités supplémentaires dans les fichiers
binaires. Ces interfaces ne sont pas destinés à être
utilisées dans une construction de production de D-BUS. Si vous souhaitez lancer la suite
de tests, tapez les commandes suivantes (pour les tests, vous
n'avez pas besoin de construire les docs) :
make distclean && ./configure --enable-tests \ --enable-asserts \ --disable-doxygen-docs \ --disable-xml-docs && make && make check
Si run-test.sh échoue, il peut être désactivé avec le sed suivant, avant de lancer les commandes pour les tests:
sed -i -e 's:run-test.sh:$(NULL):g' test/name-test/Makefile.in
Notez qu'il y a un rapport indiquant que les tests peuvent échouer s'ils sont lancés depuis un shell Midnight Commander. Il se peut vous vous ayez des messages d'erreur de dépassement de mémoire lors des tests. Ils sont normaux et vous pouvez sans problème les ignorer.
--disable-doxygen-docs
: Ce
paramètre désactive la construction de la documentation
doxygen et l'installation, si vous n'avez pas installé
doxygen. Effacez, si
doxygen est installé et que
vous souhaitez construire et l'installer.
--disable-xml-docs
:
Ce paramètre désactive la construction et l'installation de
la documentation html si vous avez installé xmlto. Supprimez le, si xmlto est installé et que vous
souhaitiez la contruire et l'installer.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--disable-systemd
: Cette
option désactive le support de systemd dans D-Bus
--without-systemdsystemunitdir
:
Ce paramètre empêche l'installation des fichiers unités de
systemd.
--with-console-auth-dir=/run/console/
:
Ce paramètre spécifie l'endroit pour le répertoire auth de
ConsoleKit.
--enable-tests
:
Construit des parties supplémentaires du code pour tous les
tests. Configure se terminera avec un avertissement NOTE à
propos de l'augmentation de la taille des bibliothèques et de
la perte de sécurité.
--enable-embedded-tests
:
Construit des parties supplémentaires du code pour seulement
les tests unitaires. Configure se terminera avec un
avertissement NOTE à propos de l'augmentation de la taille
des bibliothèques et de la perte de sécurité.
--enable-asserts
: Active
le code de débogage pour exécuter des déclarations d'éléments
supposées normalement vraies. Cela empêche un avertissement
selon lequel '--enable-tests
' n'est utile en
lui-même que pour le profilage et il pourrait ne pas donner
de bon résultats pour tous les tests, mais il ajoute sa
propre remarque selon laquelle cela ne devrait pas être
utilisé dans une construction de production.
/etc/dbus-1/session.conf
,
/etc/dbus-1/system.conf
et
/etc/dbus-1/system.d/*
On ne devrait probablement pas modifier les fichiers de
configuration listés ci-dessus. Si des modifications sont
requises, vous devriez créer /etc/dbus-1/session-local.conf
et/ou
/etc/dbus-1/system-local.conf
et faire les changements désirés à ces fichiers.
Si un paquet installe un fichier .service
de D-Bus hors du répertoire /usr/share/dbus-1/services
standard, vous
devriez ajouter ce répertoire à la configuration de la
session locale. Par exemple, /usr/local/share/dbus-1/services
peut
être ajouté en effectuant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
cat > /etc/dbus-1/session-local.conf << "EOF"
<!DOCTYPE busconfig PUBLIC
"-//freedesktop//DTD D-BUS Bus Configuration 1.0//EN"
"http://www.freedesktop.org/standards/dbus/1.0/busconfig.dtd">
<busconfig>
<!-- Search for .service files in /usr/local -->
<servicedir>/usr/local/share/dbus-1/services</servicedir>
</busconfig>
EOF
Pour démarrer automatiquement dbus-daemon quand on
redémarre le système, installez le script de démarrage
/etc/rc.d/init.d/dbus
depuis
le paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-dbus
Remarquez que ce script de démarrage ne démarre que démon D-BUS de tout le système. Chaque utilisateur ayant besoin d'un accès aux services de D-BUS devront exécuter en plus un démon de session. Il y a beaucoup de méthodes utilisables pour démarrer un démon de session en utilisant la commande dbus-launch. Revoyez la page de man de dbus-launch pour des détails sur les paramètres et les options disponibles. Voici quelques suggestions et exemples :
Ajouter dbus-launch à la
ligne dans le fichier ~/.xinitrc
qui démarre votre
environnement graphique .
Si vous utilisez xdm ou un autre
gestionnaire d'affichage qui appelle le fichier
~/.xsession
, vous
pouvez ajouter dbus-launch à la
ligne dans votre fichier ~/.xsession
qui démarre votre
environnement graphique. La syntaxe ressemblerait à
celle de l'exemple dans le fichier ~/.xinitrc
.
L'exemple montré précédement utilise dbus-launch pour
spécifier un programme à executer. Ceci à le bénéfice
(Quand on utilise également le paramètre --exit-with-session
) de
stopper le démon de la session quand le programme
spécifié est stoppé. Vous pouvez également commencer
le démon de la session dans vos scripts de démarrage
du système où personels en ajoutant les lignes
suivantes :
# Start the D-Bus session daemon
eval `dbus-launch`
export DBUS_SESSION_BUS_ADDRESS
Cette méthode n'arrêtera pas le démon de session
quand vous quittez votre shell, donc vous devriez
ajouter la ligne suivante à votre fichier
~/.bash_logout
:
# Kill the D-Bus session daemon
kill $DBUS_SESSION_BUS_PID
Une astuce a été écrite offrant des moyens de démarrer des scripts utilisant le gestionnaire de sessions KDM de KDE. Les concepts de cette astuce pourraient être éventuellement utilisés aussi avec d'autres gestionnaires de session. L'astuce se trouve sur http://www.linuxfromscratch.org/hints/downloads/files/execute-session-scripts-using-kdm.txt.
nettoie les sockets superflus dans un répertoire. |
|
est le démon de bus de messages D-BUS. |
|
est utilisé pour démarrer dbus-daemon depuis un script shell. Il est en principe appelé par des scripts de connexion d'un utilisateur. |
|
est utilisé pour surveiller les messages à travers un bus de messages D-BUS. |
|
démarre un processus comme une nouvelle session D-Bus. |
|
est utilisé pour envoyer un message à un bus de messages D-BUS. |
|
est utilisé pour générer ou lire un ID unique universel. |
|
contient les fonctions de l'API utilisées par le démon de messages D-BUS. D-BUS est d'abord une bibliothèque qui fournit une communication directe entre deux applications ; dbus-daemon est une application qui utilise cette bibliothèque pour implémenter un démon de bus de messages. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet Fcron contient un lanceur de commande périodique ayant pour but de remplacer Vixie Cron.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://fcron.free.fr/archives/fcron-3.2.0.src.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4b031c2fba32a98fa814d1557158b0e9
Taille du téléchargement : 584 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5.1 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Un MTA, éditeur de texte (par défault vi provenant du paquet Vim-7.4), Linux-PAM-1.1.8, DocBook-utils-0.6.14
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/fcron
Fcron utilise la possibilité cron de
syslog pour
enregistrer tous les messages. Comme LFS ne paramètre pas
cette possibilité dans /etc/syslog.conf
, on doit le faire avant
d'installer Fcron. Cette
commande enverra la ligne nécessaire au /etc/syslog.conf
actuel (faites-la en tant
qu'utilisateur root
) :
cat >> /etc/syslog.conf << "EOF"
# Begin fcron addition to /etc/syslog.conf
cron.* -/var/log/cron.log
# End fcron addition
EOF
Le fichier de configuration a été modifié, donc le
rechargement du démon sysklogd activera les
modifications (de nouveau en tant qu'utilisateur root
).
/etc/rc.d/init.d/sysklogd reload
Pour des raisons de sécurité, vous devriez créer un
utilisateur et un groupe non privilégiés pour Fcron. (faites en tant qu'utilisateur
root
) :
groupadd -g 22 fcron && useradd -d /dev/null -c "Fcron User" -g fcron -s /bin/false -u 22 fcron
Installez Fcron en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --without-sendmail \ --with-boot-install=no \ --with-systemdsystemunitdir=no && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
L'installation DESTDIR doit être faite en tant qu'utilisateur
root
.
--without-sendmail
: Par
défaut, Fcron essaiera
d'utiliser la commande sendmail d'un paquet
MTA
pour vous envoyer par messagerie le résultat du script
fcron. Ce
paramètre est utilisé pour désactiver la notification par
messagerie par défaut. Ne mettez pas ce paramètre pour
activer l'option par défaut. Vous pouvez sinon utiliser
--with-sendmail=
pour utiliser une autre commande de messagerie.
</chemin/vers/la/commande/MTA>
--with-boot-install=no
:
Ceci empêche l'installation du script de démarrage inclu avec
le paquet.
--with-systemdsystemunitdir=no|yes|DIR
:
Utilisez no, si vous utilisez sysvint; yes, si vous utilisez
systemd, ou spécifiez le répertoire DIR pour les unités
systemd.
--with-editor=
:
Ce paramètre vous permet de régler l'éditeur de texte par
défaut.
</chemin/vers/éditeur>
-with-dsssl-dir=
:
Peut être utilisé si vous avez installé DocBook-utils-0.6.14. Actuellement
, les feuilles de styles dsssl sont dans le répertoire
</path/to/dsssl-stylesheets>
/usr/share/sgml/docbook/dsssl-stylesheets-1.79
.
Aucune modification n'est nécessaire dans un fichier de
config. Vous pouvez trouver des informations de
configuration dans la page de man de fcron.conf
.
Les scripts fcron sont écrits en utilisant fcrontab. Reportez-vous à la page de man de fcrontab pour les paramètres adaptés à votre situation.
Si Linux-PAM est installé, deux fichiers
de configuration PAM sont installés dans /etc/pam.d
. Sinon, si /etc/pam.d
n'est pas utilisé,
l'installation enverra deux sections de configuration vers
le fichier /etc/pam.conf
.
Vous devriez vous assurer que les fichiers correspondent à
vos préférences. Modifiez-les comme il faut pour s'adapter
à vos besoins.
Installez le script d'initialisation /etc/rc.d/init.d/fcron
à partir du paquet
blfs-bootscripts-20150304.
make install-fcron
Last updated on : 2013-03-18 07:56:56 +010
Le paquet GPM (General Purpose Mouse daemon (démon généraliste de souris)) contient un serveur de souris pour la console et xterm. Non seulement il offre en général le support du copier coller, mais le copposant de sa bibliothèque est utilisé par divers logiciels tels que Links pour offrir le support de la souris à l'application. Il est utile pour les bureaux, surtout si vous suivez les instructions de (Beyond) Linux From Scratch ; c'est souvent beaucoup plus facile (et moins facteur d'erreur) de copier coller entre deux fenêtres de console que de tout taper à la main !
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.nico.schottelius.org/software/gpm/archives/gpm-1.20.7.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : bf84143905a6a903dbd4d4b911a2a2b8
Taille du téléchargement : 820 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.4 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/GPM
Installez GPM en lançant les commandes suivantes :
./autogen.sh && ./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install-info --dir-file=/usr/share/info/dir \ /usr/share/info/gpm.info && ln -sfv libgpm.so.2.1.0 /usr/lib/libgpm.so && install -v -m644 conf/gpm-root.conf /etc && install -v -m755 -d /usr/share/doc/gpm-1.20.7/support && install -v -m644 doc/support/* \ /usr/share/doc/gpm-1.20.7/support && install -v -m644 doc/{FAQ,HACK_GPM,README*} \ /usr/share/doc/gpm-1.20.7
./autogen.sh : Cette commande crée le script configure manquant.
install-info
... : Ce paquet installe un fichier
.info
mais il ne met pas à jour
le fichier système dir
. Cette
commande fait la mise à jour.
ln -v -sfn libgpm.so.2.1.0
/usr/lib/libgpm.so : Cette commande est
utilisée pour créer (ou mettre à jour) le lien symbolique
.so
vers la bibliothèque.
Installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/gpm
fourni dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-gpm
/etc/gpm-root.conf
et
~/.gpm-root
: Les
fichiers de configuration par défaut et l'utilisateur
individuel gpm-root.
/etc/sysconfig/mouse
:
Ce fichier contient le nom du périphérique de votre souris
et le protocole qu'elle utilise. Pour créer ce fichier,
lancez ce qui suit en tant qu'utilisateur root
:
cat > /etc/sysconfig/mouse << "EOF"
# Begin /etc/sysconfig/mouse
MDEVICE="<yourdevice>
"
PROTOCOL="<yourprotocol>
"
GPMOPTS="<additional options>
"
# End /etc/sysconfig/mouse
EOF
Les exemples de valeurs pour le paramétrage de MDEVICE
, PROTOCOL
et GPMOPTS
sont :
MDEVICE="/dev/input/mice"
PROTOCOL="imps2"
GPMOPTS=""
Vous pouvez trouver une liste des protocoles connus en
lançant gpm -m [périphérique]
-t
-help. Le paramètre MDEVICE
dépend du type de souris que vous
avez. Par exemple, /dev/ttyS0
pour une souris en série (sur Windows, c'est COM1),
/dev/input/mice
est souvent
utilisé pour les souris USB et /dev/psaux
pour les souris PS2.
GPMOPTS
est le 'fourre-tout'
pour toute option supplémentaire nécessaire pour votre
matériel.
est un mécanisme de sécurité utilisé pour désactiver le presse papier. |
|
est un programme simple signalant les boutons de la souris sur lesquels on appuie et qu'on relâche. |
|
est un programme simple qui signale les mouvements de la souris. |
|
est utilisé pour signaler les versions de la bibliothèque GPM et du serveur. |
|
est un outil pour copier coller et un serveur de souris pour des consoles virtuelles. |
|
est un gestionnaire par défaut pour gpm. Il est utilisé pour dessiner des menus sur la fenêtre racine. |
|
est une application modèle simple utilisant la bibliothèque de haut niveau, ce qui signifie qu'elle peut être lu par des programmeurs qui essaient d'utiliser la bibliothèque de haut niveau. |
|
est un programme pour signaler les mouvements de la souris. |
|
est un outil pour déterminer le type de la souris et le périphérique auquel elle est attachée. |
|
contient les fonctions API pour accéder au démon GPM. |
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet hdparm contient un outil utile pour contrôler des contrôleurs ATA/IDE et des disques durs afin d'améliorer les performances et pour augmenter parfois la stabilité.
Bien qu'utile, l'utilisation incorrecte de hdparm peut détruire vos données et, dans de rares cas, vos lecteurs. Utilisez-le prudemment et soyez sûr de savoir ce que vous faites. Si vous avez un doute, il est recommandé de laisser les paramètres du noyau par défaut.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/hdparm/hdparm-9.45.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1c75d0751a44928b6c4bc81fb16d7fe8
Taille du téléchargement : 128 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.1 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/hdparm
Construisez hdparm en lançant les commandes suivantes :
make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Remarquez que par défaut, hdparm est installé dans
/sbin
vu qu'il se peut que
certains systèmes exigent avant pendant le processus
d'amorçage que /usr
soit
monté. Si vous souhaitez installer hdparm sous la hiérarchie
/usr
, remplacez la commande
ci-dessus par ce qui suit :
make binprefix=/usr install
Last updated on : 2013-03-09 02:24:06 +010
Le paquet initd-tools contient des programmes pour installer et supprimer des scripts de démarrage basés sur la LSB.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://people.freedesktop.org/~dbn/initd-tools/releases/initd-tools-0.1.3.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ab6377700ace81ec5a556ebdbae1d8d9
Taille du téléchargement : 291 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.6 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/initd_tools
Installez initd-tools en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-05-24 04:48:38 +020
Le paquet Lm Sensors fournit un support de l'espace utilisateur pour les pilotes de surveillance du matériel dans le noyau linux. C'est pratique pour surveiller la température du processeur et régler les performances de quelques matériels (comme les ventilations).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://dl.lm-sensors.org/lm-sensors/releases/lm_sensors-3.3.5.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : da506dedceb41822e64865f6ba34828a
Taille du téléchargement : 172 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.3 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
RRDtool (requis pour construire le programme sensord).
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lm_sensors
Configurer votre noyau correctement est un processus itératif qui peut conduire à la compilation du noyau un certain nombre de fois. La façon la plus simple de le faire est de commencer par activer les modules et ensuite compiler tous ce qui peut être nécessaire à Lm Sensors en modules:
[*] Enable loadable module support ---> [CONFIG_MODULES]
Bus options (PCI etc.) --->
[*] PCI support [CONFIG_PCI]
Device Drivers --->
I2C support --->
<*/M> I2C device interface [CONFIG_I2C_CHARDEV]
I2C Hardware Bus support --->
<M> (configure all of them as modules)
<*/M> Hardware Monitoring support ---> [CONFIG_HWMON]
<M> (configure all of them as modules)
Recompilez votre noyau et redémarrer avec le nouveau noyau. Ne pas oublier make modules_install. nous reviendrons sur le noyau dans la section de configuration.
Installez Lm Sensors en lançant les commandes suivantes : commands:
patch -Np1 -i ../lm_sensors-3.3.5-upstream_fixes-1.patch && make PREFIX=/usr \ BUILD_STATIC_LIB=0 \ MANDIR=/usr/share/man
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make PREFIX=/usr \ BUILD_STATIC_LIB=0 \ MANDIR=/usr/share/man install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/lm_sensors-3.3.5 && cp -rv README INSTALL doc/* \ /usr/share/doc/lm_sensors-3.3.5
BUILD_STATIC_LIB=0
: Ce
paramètre désactive la compilation et l'installation des
versions statiques de libsensors
.
PROG_EXTRA=sensord
: Ce
paramètre autorise la compilation de sensord, un démon qui peut
surveiller votre système à moment régulier. La compilation de
sensord demande
RRDtool. La compilation
de RRDtool 1.4.6 requiert la commande sed: sed -i '/ sv_undef/d'
bindings/perl-shared/RRDs.xs.
Pour trouver quel capteur matériel votre système
possède,tapez la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
sensors-detect
Les modules appropriés sont chargés et un résumé est affiché à la fin. Maintenant que vous savez ce qui est nécessaire, vous pouvez recompiler votre noyau et activer juste les options dont vous avez besoin (c'est à dire, n'activez pas les modules que vous n'utilisez pas).
est un script shell pour utiliser avec lm_sensors. Il lit ses valeurs de configuration depuis un fichier, ensuite calcule la vitesse des ventilateurs en fonction des températures et initialise la sortie PWM correspondante avec la valeur calculée. |
|
est un petit programme d'aide pour examiner les registres visibles à travers le bus ISA. Il est destiné à sonder une puce qui est sur le bus ISA en fonctionnant avec un registre d'adresse et un registre de données (accès semblable à I2C) ou une plage (de plus de 256 octets). |
|
est un petit programme d'aide pour initialiser les registres visible à travers le bus ISA. |
|
teste la modulation de largeur d'impulsions "pulse width modulation" (PWM) de la sortie des capteurs et configure fancontrol. |
|
affiche la valeur actuelle de tous les capteurs. |
|
est un script Perl pour convertir les fichiers de configuration de lm-sensors version 2 pour qu'ils fonctionnent avec la version 3. |
|
est un script Perl
qui vous guidera à travers le processus d'analyse
de votre système pour de nombreuses puces de
surveillance du matériel, ou des capteurs,
supportés par |
|
contient les fonctions de l'API de lm_sensors. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet logrotate permet la rotation automatique, la compression, la suppression et l'envoi par mail des fichiers de log.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://fedorahosted.org/releases/l/o/logrotate/logrotate-3.8.9.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2660f30742da79870d15d042b07829f6
Taille du téléchargement : 76 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.9 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Fcron-3.2.0 (exécution)
Un MTA (exécution)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/logrotate
Installez logrotate en lançant les commandes suivantes : command:
./autogen.sh && ./configure --prefix=/usr && make
Pour tester le résultat, tapez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Logrotate nécessite un
fichier de configuration, qui peut être passé en argiment à
la commande quand elle est lancée. Créez le fichier en tant
qu'utilisateur root
:
cat > /etc/logrotate.conf << EOF # Begin of /etc/logrotate.conf # Rotate log files weekly weekly # Don't mail logs to anybody nomail # If the log file is empty, it will not be rotated notifempty # Number of backups that will be kept # This will keep the 2 newest backups only rotate 2 # Create new empty files after rotating old ones # This will create empty log files, with owner # set to root, group set to sys, and permissions 644 create 0664 root sys # Compress the backups with gzip compress # No packages own lastlog or wtmp -- rotate them here /var/log/wtmp { monthly create 0664 root utmp rotate 1 } /var/log/lastlog { monthly rotate 1 } # Some packages drop log rotation info in this directory # so we include any file in it. include /etc/logrotate.d # End of /etc/logrotate.conf EOF chmod -v 0644 /etc/logrotate.conf
Maintenant créez le répertoire /etc/logrotate.d
en tant qu'utilisateur
root
:
mkdir -p /etc/logrotate.d
A ce point des commandes de rotation de log supplémentaires
peuvet être entrées, typiquement dans le répertoire
/etc/logrotate.d
. Par exemple:
cat > /etc/logrotate.d/sys.log << EOF /var/log/sys.log { # If the log file is larger than 100kb, rotate it size 100k rotate 5 weekly postrotate /bin/killall -HUP syslogd endscript } EOF chmod -v 0644 /etc/logrotate.d/sys.log
Vous pouvez indiquer des fichiers multiples dans une seule entrée:
cat > /etc/logrotate.d/example.log << EOF file1 file2 file3 { ... postrotate ... endscript } EOF chmod -v 0644 /etc/logrotate.d/example.log
Vous pouvez utiliser dans la même ligne la liste de fichiers: file1 file2 file3. Regardez la page de man de logrotate ou http://www.techrepublic.com/article/manage-linux-log-files-with-logrotate/ pour plus d'exemples.
La commande logrotate
/etc/logrotate.conf peut être lancées
manuellement, cependant, la commande peut être lancées
quotidiennement. D'autres commandes utiles sont logrotate -d
/etc/logrotate.conf pour le déboguage et
logrotate -f
/etc/logrotate.conf pour forcer les commandes
à être lancée immédiatement. En combinant avec les options
-df
, vous pouvez déboguer les
effets des commandes forcées. Pendant le déboguage, la
commande est seulement simulée, pas vraiment lancée, donc,
éventuellement des erreurs qui n'existent pas apparaissent,
quand des fichiers intermédiaires sont créés, car ils ne sont
pas actuellement créés.
Pour initialiser Fcron-3.2.0 pour lancer logrotate ... quotidienneement à 3h00, le crontab de root doit être édité pour ajouter:
0 3 * * * /usr/sbin/logrotate /etc/logrotate.conf
Last updated on 2014-06-15 13:40:02 -0500
MC (Midnight Commander) est un gestionnaire de fichiers plein-écran en mode texte et un shell visuel. Il offre une interface sobre, conviviale et quelque peu protégée, avec un système Unix, tout en rendant plus efficaces de nombreuses opérations courantes avec les fichiers et en préservant toute la puissance de l'invite de commande.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.midnight-commander.org/mc-4.8.13.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.osuosl.org/pub/midnightcommander/mc-4.8.13.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d967caa12765eb86e52a6a63ca202500
Taille du téléchargement : 2.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 71 Mo (119 Mo, running the test suite)
Estimation du temps de construction : 0.7 SBU (additional 0.1 SBU, running the test suite)
Doxygen-1.8.9.1, GPM-1.20.7, Samba-4.1.17, UnZip-6.0, X Window System, et Zip-3.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/MC
Installez MC en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --enable-charset && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && cp -v doc/keybind-migration.txt /usr/share/mc
--sysconfdir=/etc
: Cette
option place le répertoire de configureation global dans
/etc
.
--enable-charset
: Cette
option ajoute un support à mcedit pour éditer des
fichiers dans des encodages différents de celui induit par la
locale actuelle.
Le répertoire ~/.config/mc
et
son contenu sont créés quand vous démarrez mc pour la première fois.
Vous pouvez alors éditer le fichier priniipal de
configuration ~/.config/mc/ini
à la main ou à travers
le shell MC. Consultez la
page de man de mc(1) pour des détails.
Sur les versions 8.x de mc, le nom des associations de
touches utilisé dans les fichiers mc.keymap.* est
modifié. C'est décrit dans keybind-migration.txt
.
Last updated on : 2012-06-06 01:05:56 +020
Le paquet OBEX Data Server contient le service D-Bus offrant un client OBEX de haut niveau et un des fonctionnalités côté serveur.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://tadas.dailyda.com/software/obex-data-server-0.4.6.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 961ca5db6fe9c97024e133cc6203cc4d
Taille du téléchargement : 196 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.2 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
bluez-5.28, dbus-glib-0.104, ImageMagick-6.9.0-6 ou gdk-pixbuf-2.31.2, libusb-compat-0.1.5, et OpenOBEX-1.7.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/obex-data-server
Installez OBEX Data Server en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../obex-data-server-0.4.6-build-fixes-1.patch && ./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-01-25 17:32:25 +010
p7zip est le portage en ligne de commande Unix de 7-Zip, un archiveur de fichier qui compresse avec des gros ratios de compression. Il gère les formats 7z, ZIP, GZIP, BZIP2, XZ, TAR, APM, ARJ, CAB, CHM, CPIO, CramFS, DEB, DMG, FAT, HFS, ISO, LZH, LZMA, LZMA2, MoR, MSI, MSLZ, NSIS, NTFS, RAR RPM, SquashFS, UDF, VHD, WIM, XAR et Z.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/project/p7zip/p7zip/9.38/p7zip_9.38_src_all.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c0394e60078e84d43fbca152cb3a1e1c
Taille du téléchargement : 3.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 52 Mo
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/p7zip
Installez p7zip en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e 's/chmod 555/chmod 755/' -e 's/chmod 444/chmod 644/' install.sh && make all3
Pour tester le résultat, tapez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make DEST_HOME=/usr \ DEST_MAN=/usr/share/man \ DEST_SHARE_DOC=/usr/share/doc/p7zip-9.38 install
Last updated on 2013-12-17 11:36:47 +0100
pax est un utilitaire d'archivage créé par POSIX et défini par le standard POSIX.1-2001. Plutôt que de trier les options incompatibles qui se sont glissées entre tar et cpio, avec leurs implémentations dans différents versions d'UNIX, IEEE a conçu un nouvel utilitaire d'archivage. Le nom « pax » est un acronyme pour "portable archive exchange". Cependant, « pax » signifie « paix » en Latin, donc ce nom implique qu'il veut créer la paix entre les fans des formats tar et cpio . L'invocation de la commande et la structure de la commande est un peu une unification de tar et cpio.
pax est requis dans un système compatible LSB depuis LSB version 3.0.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/heirloom/heirloom-070715.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d846be4b268b1d55b6ffcef847f09979
Taille du téléchargement : 977 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.2 Mo
Estimation du temps de construction : less than 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pax
Ce paquet a des instructions d'installation quelque peu inusuelles, car pax est une partie d'un ensemble plus large d'utilitaires inclus dans la même archive. Tapez la suite :
sed -i build/mk.config \ -e '/LIBZ/s@ -Wl[^ ]*@@g' \ -e '/LIBBZ2/{s@^#@@;s@ -Wl[^ ]*@@g}' \ -e '/BZLIB/s@0@1@' && make makefiles && make -C libcommon && make -C libuxre && make -C cpio
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
install -v -m755 cpio/pax_su3 /usr/bin/pax && install -v -m644 cpio/pax.1 /usr/share/man/man1
sed ... : Cela
modifie le fichier de configuration build/mk.config
pour que les versions
systèmes de zlib et libbz2 soient utilisées et lié comme des
bibliothèques partagées.
make makefiles : Cette commande construit tous les makefiles.
make -C lib... : En premier construisez les bibliothèques nécessaires.
make -C cpio : Ensuite construisez les utilitaires d'archivage.
Last updated on 2014-03-16 18:37:17 +0100
Le paquet PCI Utils est un ensemble de programmes pour lister les périphériques PCI, examiner leur état et paramétrer leurs registres de configuration.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://ftp.kernel.org/pub/software/utils/pciutils/pciutils-3.3.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kernel.org/pub/software/utils/pciutils/pciutils-3.3.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3c19adf32a8457983b71ff376ef7dafe
Taille du téléchargement : 300 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.3 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pciutils
Installez PCI Utils en lançant les commandes suivantes :
make PREFIX=/usr \ SHAREDIR=/usr/share/misc \ SHARED=yes
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make PREFIX=/usr \ SHAREDIR=/usr/share/misc \ SHARED=yes \ install install-lib && chmod -v 755 /usr/lib/libpci.so
SHARED=yes
: Ce
paramètre active la construction des bibliothèques partagées
au lieu des statiques.
ZLIB=no
: Ce paramètre
empêche la compression du fichier pci.ids
.
Le fichier de données pci.ids
est mis à jour en permanence. Pour obtenir une version
actuelle de ce fichier, lancez update-pciids en tant
qu'utilisateur root
. Ce
programme exige que le script which-2.20 ou le
programme quc trouve cURL-7.40.0, Wget-1.16.1 ou Lynx-2.8.8rel.2, utilisés
pour télécharger le fichier le plus actuel, puis remplacer le
fichier existant dans /usr/share/misc
.
Il se peut que vous souhaitiez ajouter une entrée au crontab
de root
(ou à celui de
n'importe quel utilisateur ayant les droits d'écriture sur
/usr/share
) pour mettre à jour
automatiquement et régulièrement le fichier pci.ids
.
est un outil pour afficher des informations sur tous les bus PCI du système et tous les périphériques qui y sont connectés. |
|
est un outil pour interroger et configurer des périphériques PCI. |
|
rapatrie la version actuelle de la liste des identifieurs PCI. Exige cURL-7.40.0, Wget-1.16.1 ou Lynx-2.8.8rel.2. |
|
est la bibliothèque qui permet aux applications d'accéder au sous-système PCI. |
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet Power Management Utilities est une petite collection de scripts pour suspendre et mettre en hibernation l'ordinateur qui peut être utilisé pour lancer des scripts fournis par l'utilisateur à la mise en sommeil et au réveil.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://pm-utils.freedesktop.org/releases/pm-utils-1.4.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1742a556089c36c3a89eb1b957da5a60
Taille du téléchargement : 204 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.6 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
xmlto-0.0.26 (pour générer les pages de manuel)
hdparm-9.45, Wireless Tools-29, ethtool et vbetool
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pm-utils
Installez Power Management Utilities en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --docdir=/usr/share/doc/pm-utils-1.4.1 && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous n'avez pas installé xmlto-0.0.26, copiez les pages de manuel prégénérées :
install -v -m644 man/*.1 /usr/share/man/man1 && install -v -m644 man/*.8 /usr/share/man/man8 && ln -sv pm-action.8 /usr/share/man/man8/pm-suspend.8 && ln -sv pm-action.8 /usr/share/man/man8/pm-hibernate.8 && ln -sv pm-action.8 /usr/share/man/man8/pm-suspend-hybrid.8
La fonctionnalité de mise en sommeil et de réveil peut être
facilement modifiée en installant les fichiers dans le
répertoire /etc/pm/sleep.d
. Les
fichiers, appelés recettes, sont lancés quant le système est
mis en état de sommeil ou est réveillé. Les recettes par
défaut sont dans /usr/lib/pm-utils/sleep.d
, et les recettes
de l'utilisateur peuvent être mises dans /etc/pm/sleep.d
Voir la page de manuel
pm-action(8) pour plus d'informations.
Pour utiliser l'hibernation avec GRUB et une partition de swap, vous
devez ajouter le paramètre noyau resume=
(par
exemple swap_partition
resume=/dev/sda1
) dans
la ligne du noyau dans le fichier de configuration de
/boot/grub/grub.cfg
est un script qui détermine quand le système est branché sur le secteur (plutôt que sur batteries). |
|
est un lien symbolique vers le script pm-action qui met l'ordinateur en mode hibernation (l'ordinateur est commplètement éteint et l'état du système est sauvegardé sur le disque). |
|
est un script qui vérfie quand les possibilités de gestion de l'énergie tel que la mise en sommeil ou le réveil sont supportés. |
|
est un script qui met l'ordinateur dans un mode de sauvegarde d'énergie (basse puissance). |
|
est un lien symbolique vers le script pm-action qui met l'ordinateur en mode suspendu (la plupart des périphériques est étteint et l'état du système est sauvegardé en RAM). |
|
est un lien symbolique vers le script pm-action qui met l'ordinateur en mode hybride suspendu ( le système fait tout ce qu'il faut pour hiberner, mais est suspendu à la place d'être étteint). |
Last updated on 2013-07-10 14:18:46 +0200
Raptor est une bibliothèque C qui offre un ensemble d'analyseurs et de "metteurs en série" qui génèrent des triples Resource Description Framework (RDF, environnement de description de ressources).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.librdf.org/source/raptor2-2.0.15.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a39f6c07ddb20d7dd2ff1f95fa21e2cd
Taille du téléchargement : 1.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 28 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (additional 0.5 SBU for the tests)
GTK-Doc-1.21, ICU-54.1 et libyajl
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/raptor
Installez Raptor en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, tapez: mak check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--with-icu-config=/usr/bin/icu-config
:
Utilisez ce paramètre si vous avez installé ICU-54.1 et souhaitez
construire Raptor avec ce
support.
Last updated on : 2013-03-03 15:53:30 +010
Rasqal est une bibliothèque C qui gère les syntaxes du langage de requêtes Resource Description Framework (RDF, environnement de description de ressources), la construction de requêtes et l'exécution de requêtes qui s'y rapportent aboutissent à des bindings, des booléens, des graphes/triples RDF ou des syntaxes. Elle est exigée par Soprano pour construire Nepomuk.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.librdf.org/source/rasqal-0.9.33.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1f5def51ca0026cd192958ef07228b52
Taille du téléchargement : 1.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 22 Mo (additional 4 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (additional 0.7 SBU for the tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/rasqal
Installez Rasqal en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, tapez: make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Redland est un ensemble de bibliothèques C du logiciel libre qui fournissent le support du Resource Description Framework (RDF).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.librdf.org/source/redland-1.0.17.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e5be03eda13ef68aabab6e42aa67715e
Taille du téléchargement : 1.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 18 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Berkeley DB-6.1.19, libiodbc-3.52.10, SQLite-3.8.8.2, MariaDB-10.0.16 ou MySQL, PostgreSQL-9.4.1, virtuoso, et 3store
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/redland
Installez Redland en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, tappez make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet sg3_utils contient des outils de bas niveau pour des périphériques utilisant un jeu de commandes SCSI. Sauf les périphériques d'interface parallèles SCSI (SCSI parallel interface, (SPI), le jeu de commandes SCSI est utilisé par les périphériques ATAPI (CD/DVDs et lecteurs de bandes), les périphériques de stockage USB, les disques Fibre Channel, les périphériques de stockage IEEE 1394 (qui utilise le protocole "SBP" ), les périphériques SAS, iSCSI et FCoE (entre autres).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://sg.danny.cz/sg/p/sg3_utils-1.40.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4bfdb74d20dd1dac12150c9ba0be6120
Taille du téléchargement : 728 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 18 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sg3_utils
Installez sg3_utils en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
envoie la commande "SCSI COMPARE AND WRITE" à un périphérique. |
|
envoie la commande "SCSI RECEIVE COPY RESULTS". |
|
copie des données à partir et vers des fichiers et des périphériques. Spécialisé dans les périphériques qui comprennent le jeu de commandes SCSI. |
|
prend les données des détecteurs SCSI en binaire ou en tant que séquence ASCII héxadécimale et les décode. |
|
modifie l'appertanance d'un LUN d'un autre Service-Processor à celui-ci. |
|
formatte ou redimensionne un disque SCSI (modifie peut-être la taille de ses blocs). |
|
envoie une commande SCSI GET CONFIGURATION (MMC-4 +). |
|
envoie la commande SCSI GET LBA STATUS. |
|
envoie une commande SCSI REPORT ou SET IDENTIFYING INFORMATION. |
|
accède à la page de mode d'informations d'un périphérique SCSI (ou ATAPI). |
|
envoie une commande SCSI INQUIRY or ATA IDENTIFY (PACKET) DEVICE et sort la réponse. |
|
accède aux pages du journal avec SCSI LOG SENSE. |
|
envoie la commande SCSI REPORT LUNS. |
|
affiche le plan entre le sg linux et d'autres périphériques SCSI. |
|
associe un fichier spécial à un périphérique générique (sg) SCSI (ou vice versa). |
|
copie des données vers et depuis des fichiers et des périphériques. Spécialisé dans les périphériques qui comprennent le jeu de commandes SCSI et qui font le transfert de mémoire associé à partir de périphériques sg. |
|
lit des pages de mode avec la commande SCSI MODE SENSE. |
|
signale des informations sur les commandes SCSI supportées ou les fonctions de gestion de tâches. |
|
copie des données vers et depuis des fichiers et des périphériques. Spécialisé dans les périphériques qui comprennent le jeu de commandes SCSI. |
|
envoie une commande SCSI PERSISTENT RESERVE (IN or OUT) pour manipuler les enregistrements et les réservations. |
|
envoie une commande SCSI PREVENT ALLOW MEDIUM REMOVAL. |
|
envoie une commande SCSI de votre choix à un périphérique. |
|
lit des données en utilisant la commande SCSI READ BUFFER. |
|
Affiche ou Modifie RDAC Redundant Controller Page (page du contrôleur redondant RDAC). |
|
lit des blocs de données en continu à partir du même offset. |
|
envoie une commande SCSI READ BLOCK LIMITS. |
|
envoie une commande SCSI READ BUFFER. |
|
envoie une commande SCSI READ CAPACITY. |
|
envoie une commande SCSI READ LONG. |
|
envoie une commande SCSI REASSIGN BLOCKS. |
|
envoie la commande SCSI REPORT REFERRALS. |
|
envoie la commande SCSI REPORT ZONES command. |
|
envoie une ou plusieurs commandes SCSI REQUEST SENSE. |
|
ordonne la réinitialisation du périphérique, de la cible, du bus ou de l'hôte SCSI ; ou vérifie l'état de la réinitialisation. |
|
envoie la commande SCSI RESET WRITE POINTER. |
|
envoie une commande SCSI READ MEDIA SERIAL NUMBER. |
|
envoie une commande SCSI REPORT TARGET PORT GROUPS. |
|
récupère le statut d'un périphérique SCSI Accessed Fault-Tolerant Enclosure (SAF-TE, limite de tolérance d'erreur d'accès)). |
|
envoie une commande SCSI SANITIZE. |
|
envoie une commande ATA IDENTIFY (PACKET) DEVICE via une couche de traduction SCSI-ATA. |
|
envoie une commande ATA READ LOG EXT par un chemin SAT pour récupérer la page journal 11h contenant des compteurs d'événements phy SATA. |
|
utilise la commande ATA READ LOG EXT via une couche de traduction SCSI-ATA (SAT). |
|
envoie une commande ATA SET FEATURES via une couche de traduction SCSI-ATA (Translation (SAT). |
|
effectue une analyse des périphériques sg (ou de périphériques SCSI/ATAPI/ATA donnés) et affiche le résultat. |
|
effectue une commande SCSI SEND DIAGNOSTIC. |
|
envoie des status de contrôles et de rapatriment à partir d'un périphérique SCSI Enclosure Services (SES). |
|
envoie un microcode à une entitée SCSI. |
|
envoie une commande SCSI START STOP UNIT pour démarrer, arrêter, charger ou éjecter un média. |
|
envoie une commande SCSI SET TARGET PORT GROUPS. |
|
envoie la commande scsi synchronize cache. |
|
teste l'adaptateur de l'hôte SCSI en effectuant des opérations d'écriture et de lecture sur le tampon d'un périphérique et en calculant les sommes de contrôle. |
|
envoie une ou plusieurs commandes SCSI TEST UNIT READY. |
|
envoie une commande SCSI UNMAP. |
|
appelle la/les commande(s) SCSI VERIFY sur un bloc de périphérique. |
|
récupère des pages Vital Product Data (VPD) en utilisant une commande SCSI INQUIRY. |
|
envoie une commande SCSI WRITE BUFFER. |
|
envoie la commande SCSI WRITE LONG. |
|
envoie la commande SCSI WRITE SAME. |
|
envoi ela commande SCSI WRITE AND VERIFY. |
|
écrit une page de mode. |
|
copie des données vers et depuis des fichiers et des périphériques en utilisant SCSI EXTENDED COPY (XCOPY). |
|
contsent les fonctions de l'API de sg3_utils. |
Last updated on : 2013-03-03 15:53:30 +010
Strigi est un programme pour l'indexation rapide et la recherche de données personnelles. Il peut recueillir des informations et indexer des fichiers dans le système de fichiers, même s'ils sont cachés dans les courriels ou archives.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.vandenoever.info/software/strigi/strigi-0.7.8.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d69443234f4286d71997db9de543331a
Taille du téléchargement : 811 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 52 Mo
Estimation du temps de construction : 1.2 SBU
D-BUS-1.8.16 et Qt-4.8.6 (compilé avec le support D-Bus)
FFmpeg-2.5.4, exiv2-0.24, CLucene version 0.9x , et log4cxx
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/strigi
Installez strigi en lançant les commandes suivantes :
sed -i "s/BufferedStream :/STREAMS_EXPORT &/" libstreams/include/strigi/bufferedstream.h && mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr \ -DCMAKE_INSTALL_LIBDIR=lib \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DENABLE_CLUCENE=OFF \ -DENABLE_CLUCENE_NG=OFF \ .. && make
Pour tester les résultats, tapez make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i "...": Cette commande corrige la construction avec les versions récentes de GCC.
-DCMAKE_INSTALL_LIBDIR=lib
: Ce
paramètre est utilisé pour que le paquet n'écrive pas les
liens symboliques lib64 sur un système 64 bits.
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
: Ce
paramètre est utilisé pour appliquer un niveau haut
d'optimisation au compilateur.
-DENABLE_DBUS=OFF
: utilisez cette
variable cmake
si vous n'avez pas D-Bus
d'installé.
-DENABLE_QT4=OFF
: Utilisez cette
variable cmake
si vous n'avez pas installé Qt4 ou si vous avez compilé Qt4 sans le support D-Bus.
-DENABLE_CLUCENE*=OFF
: Ces
variables désactives l'utilisation de clucene-2.3.3.4
(version stable actuelle).
est un utilitaire pour chercher un nom de fichier dans des archives comprimés en tar, cpio, et zip |
|
est un utilitaier pour chercher des archives comprimés en tar, cpio, et zip |
|
gère et réalise l'indéxage des données RDF pour des entités présentes sur votre site. |
|
est un client Qt4 (GUI) pour le programme de recherche Strigi. |
|
est un programme pour créer et demander des indices |
|
est un programme démon pour maintenir les indices |
|
indexe les documents XML |
Last updated on : 2012-10-24 22:29:52 +020
Le paquet Sysstat contient des outils pour surveiller les performances du système et son activité. Sysstat contient l'outil sar, habituel à beaucoup d'Unixes commerciaux, et des outils que vous pouvez activer périodiquement pour récupérer et archiver des données d'activité et deperformances.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://perso.wanadoo.fr/sebastien.godard/sysstat-11.1.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 27385bcb6c1e585de8ba7cb25ac67aef
Taille du téléchargement : 300 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.6 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Il n'y a pas d'éxigence de temps de construction pour ce paquet; Cependant, il est conçu pour être contrôlé par un démon cron comme Fcron-3.2.0.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sysstat
Installez Sysstat en lançant les commandes suivantes :
sa_lib_dir=/usr/lib/sa \ sa_dir=/var/log/sa \ conf_dir=/etc/sysconfig \ ./configure --prefix=/usr \ --disable-file-attr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sa_lib_dir
: Cette variable
d'environnement spécifie l'emplacement du répertoire de la
bibliothèque spécifique au paquet.
sa_dir
: Cette variable
d'environnement spécifie l'emplacement du répertoire
contenant les fichiers de données.
conf_dir
: Cette variable
d'environnement spécifie l'emplacement du répertoire de
configuration système.
--disable-file-attr
:
N'initialise pas les attributs des fichiers installés. Ce
paramètre fait que l'installation ignore la varialbe de
groupe man dans les fichiers ayant root
:root
en propriétaire.
Lancez ./configure
--help pour voir les autres variables
d'environnement influentes que vous pouvez passer à
configure. Il
se peut que vous vouliez utiliser les variables
history
et compressafter
pour personnaliser la quantité
de fichiers de données récupérée sur le système.
Pour commencer à réunir des informations d'historiques de
Sysstat, vous devez
ajouter ou créer le crontab d'un utilisateur privilégié.
L'emplacement des données d'historique est /var/log/sa
. L'utilisateur qui exécute
les outils Sysstat via
cron doit avoir un accès en écriture à cet emplacement.
Voici ci-dessous un exemple de ce qu'il faut installer dans la crontab. Ajustez les paramètres pour qu'ils conviennent à vos besoins. Utilisez man sa1 et man sa2 pour des information sur les commandes.
# 8am-7pm activity reports every 10 minutes during weekdays
0 8-18 * * 1-5 /usr/lib/sa/sa1 600 6 &
# 7pm-8am activity reports every hour during weekdays
0 19-7 * * 1-5 /usr/lib/sa/sa1 &
# Activity reports every hour on Saturday and Sunday
0 * * * 0,6 /usr/lib/sa/sa1 &
# Daily summary prepared at 19:05
5 19 * * * /usr/lib/sa/sa2 -A &
Assurez-vous d'envoyer la crontab modifiée au démon cron.
Au démarrage du système, il faut insérer un message LINUX
RESTART dans le fichier de données quotidiennes pour
réinitialiser les compteurs du noyau. On peut automatiser
cela en installant le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/sysstat
inclu avec le
paquet blfs-bootscripts-20150304,
en utilisant la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
make install-sysstat
affiche des statiques des opérations de lecture et d'écriture sur des systèmes de fichiers CIFS. |
|
rapporte les statistiques du processeur et les statistiques d'entrée/sortie des périphériques et des partitions. |
|
écrit les activités de chaque processeur disponible. |
|
affiche des statiques des opérations de lecture et d'écriture sur des systèmes de fichiers NFS. |
|
est utilisé pour surveiller des tâches individuelles gérées actuellement par le noyau Linux. |
|
est utilisé pour afficher le contenu de fichiers de données créés par la commande sar. Mais peu probable que sar, sadf puisse écrire ses données dans beaucoup de formats différents. |
|
est utilisé pour afficher le contenu des compteurs d'activité cumulée choisis du système d'exploitation. |
Last updated on 2011-11-16 22:55:20 +0100
Eudev est déjà installée dans LFS et il n'y a aucune raison de le réinstaller sans que l'utilisateur veuille installer un paquet comme UPower qui demande libgudev. Ces instructions activent la construction de libgudev et aussi facultativement créent les données gir pour Eudev.
Contrairement à tous les autres paquets de BLFS, il n'y a pas de version d'indiquée dans le titre de la page Eudev. Par cohérence, il n'y a pas de version de spécifiée pour le chargement également. Les mises à jour de version de Eudev dans le développement de LFS rend probable que le système de l'utilisateur puisse avoir une version différente de Eudev de celle de LFS actuel. Cependant, les utilisateurs doivent charger et utiliser la version de Eudev que leur ordinaeur utilise actuellement. Avec quelques exceptions, l'équipe BLFS n'a pas d'expérience de mise à jour (ou de retour à une version plus ancienne) du paquet Eudev « à la volée ».
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Si vous utilisez une version de BLFS différente de la version de votre système LFS installé, vous devez utiliser les sources d'Eudev de votre construction LFS. Les nouvelles versions de Eudev peuvent parfois être incompatible avec les plus anciennes, soit car elles demandent des nouvelles options qui doivent être activées dans le noyau, ou parce que elle modifie la façon dons les règles sont analysées. Vous pouvez consulter la page Gentoo pour la mise à jour de Udev.
Téléchargement (HTTP) : http://dev.gentoo.org/~blueness/eudev
gobject-introspection-1.42.0 (pour gir-data, utile pour Gnome), DocBook XSL Stylesheets-1.78.1 et libxslt-1.1.28 (pour construire les pages de man, qui ne sont pas fournies avec le paquet) et GTK-Doc-1.21 (pour reconstruire la documentation)
PCI Utils-3.3.0 et usbutils-008
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/udev-extras
Tout d'abord, reconstruisez eudev:
sed -r -i 's|/usr(/bin/test)|\1|' test/udev-test.pl && ./configure --prefix=/usr \ --bindir=/sbin \ --sbindir=/sbin \ --libdir=/usr/lib \ --sysconfdir=/etc \ --libexecdir=/lib \ --with-rootprefix= \ --with-rootlibdir=/lib \ --enable-split-usr \ --enable-libkmod \ --enable-rule_generator \ --enable-keymap \ --disable-introspection \ --disable-gtk-doc-html \ --with-firmware-path=/lib/firmware && make
Pour tester les résultats, tapez: make check.
Maintenant réinstallez en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-introspection
: Cela
empêche les instructions de gir-data d'être éxécutées.
Enlevez cette option si le paquet facultatif gobject-introspection-1.42.0
est installé.
--disable-gtk-doc-html
: Cela
empêche la construction des données html. Enlevez cette
option si le paquet facultatif GTK-Doc-1.21 est
installé.
Last updated on : 2012-08-24 13:41:00 +020
Le paquet uDisks est un démon qui offre des interfaces pour avoir des informations et effectuer des opérations sur des périphériques de stockage.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://hal.freedesktop.org/releases/udisks-1.0.5.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 70d48dcfe523a74cd7c7fbbc2847fcdd
Taille du téléchargement : 720 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 12 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
dbus-glib-0.104, libatasmart-0.19, lvm2-2.02.116, Parted-3.2, polkit-0.112, sg3_utils-1.40 et udev-extras (depuis eudev) (pour gudev)
GTK-Doc-1.21, libxslt-1.1.28 et sudo-1.8.12 (pour lancer le test)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/udisks
Installez uDisks en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make profiledir=/etc/bash_completion.d install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet UDisks fournit un démon, des outils et des bibliothèques pour accéder et manipuler des disques et des périphériques de stockage.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://udisks.freedesktop.org/releases/udisks-2.1.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2a3c9206b8f672d007e035988e3c3386
Taille du téléchargement : 884 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 33 Mo (additional 4 Mo for docs creation)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (additional 0.3 SBU for docs creation)
, libatasmart-0.19, libxslt-1.1.28, polkit-0.112 et udev-extras (depuis eudev) (pour GUdev)
gptfdisk-0.8.10, GTK-Doc-1.21, ntfs-3g-2014.2.15, Parted-3.2, et dosfstools
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/udisks2
Installez UDisks en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-10-07 11:59:17 +020
Le paquet UnRar contient un
outil d'extraction RAR
utilisé
pour extraire des fichiers d'archives RAR
. Les archives RAR
sont en général créés avec WinRAR, surtout dans un environnement
Windows.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.rarlab.com/rar/unrarsrc-5.2.6.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 86736fdc652dcbedddac6ac1dff3115a
Taille du téléchargement : 216 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.3 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/unrar
Installez UnRar en lançant les commandes suivantes :
make -f makefile
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
install -v -m755 unrar /usr/bin
Last updated on : 2013-01-25 17:32:25 +010
Le paquet UnZip contient des
outils d'extraction ZIP
. Ils
sont utiles pour extraire des fichiers à partir d'archives
ZIP
. Les archives ZIP
sont créées avec les outils
PKZIP ou Info-ZIP, surtout dans un environnement
DOS.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
La précédente version du paquet UnZip avait des problèmes liés aux locales. Aucun éditeur de BLFS n'est actuellement capable'de tester ces problèmes de locale. On a donc laissé sur cette page les informations liées aux locales mais elles n'ont pas été testées.' Vous pouvez trouver une approche plus générale de ces problèmes dans la section Program Assumes Encoding de la page Problèmes liées aux locales.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/infozip/unzip60.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 62b490407489521db863b523a7f86375
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 9 Mo
Estimation du temps de construction : Less than 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/unzip
L'utilisation de UnZip dans l'installation de JDK, Mozilla, DocBook ou tout autre paquet BLFS n'est pas un problème vu que les instructions de BLFS n'tilisent jamais UnZip pour extraire un fichier ayant dans son nom des caractères non ASCII.
Le paquet UnZip suppose que
les noms des fichiers stockés dans les archives ZIP créées
sur des systèmes non Unix sont encodés en CP850, et qu'ils
devraient être convertis en ISO-8859-1 lors de l'écriture des
fichiers sur le système de fichiers. De telles suppositions
ne sont pas toujours valides. En fait, dans l'archive ZIP,
les noms de fichiers sont encodés en codepage du DOS utilisé
dans le pays concerné et les noms de fichier sur le disque
devraient être dans l'encodage de la locale. Dans MS Windows,
la fonction C OemToChar() (de User32.DLL
) effectue la bonne conversion
(qui est effectivement la conversion de CP850 vers une couche
d'ISO-8859-1 si MS Windows est paramétré pour utiliser la
langue anglaise américaine), mais il n'y a pas d'équivalent
sur Linux.
Lors de l'utilisation de unzip pour déballer une archive ZIP contenant des noms de fichiers non ASCII, les noms de fichiers sont endommagés car unzip utilise une mauvaise conversion quand une de ses suppositions d'encodage n'est pas bonne. Par exemple, dans la locale ru_RU.KOI8-R, la conversion des noms de fichiers de CP866 en KOI8-R est nécessaire, mais la conversion de CP850 en ISO-8859-1 se fait, ce qui donne des noms de fichiers composés de caractères indéchiffrables au lieu de mots (l'exemple équivalent le plus parlant pour des utilisateurs anglophones est rot13). Il y a plusieurs manières de contourner cette limitation :
1) Pour déballer des archives ZIP ayant des noms de fichiers contenant des caract\res non ASCII, utilisez WinZip en lançant l'émulateur Windows Wine.
2) Après avoir exécuté unzip, réparez les dommages sur les noms de fichiers en utilisant l'outil convmv (http://j3e.de/linux/convmv/). Ce qui suit est un exemple pour la locale ru_RU.KOI8-R :
Étape 1. Annulez la conversion effectuée par unzip :
convmv -f iso-8859-1 -t cp850 -r --nosmart --notest \</path/to/unzipped/files>
Étape 2. Faites la bonne conversion :
convmv -f cp866 -t koi8-r -r --nosmart --notest \</path/to/unzipped/files>
case `uname -m` in i?86) sed -i -e 's/DASM_CRC"/DASM_CRC -DNO_LCHMOD"/' unix/Makefile make -f unix/Makefile linux ;; *) sed -i -e 's/CFLAGS="-O -Wall/& -DNO_LCHMOD/' unix/Makefile make -f unix/Makefile linux_noasm ;; esac
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make prefix=/usr MANDIR=/usr/share/man/man1 install
sed ... : Cette commande s'assure que ne Soit pas effectué un appel système obsolète.
linux,
linux_noasm
: La cible linux dans
Makefile
fait des suppositions
qui sont utiles pour un système Linux lors de la compilation
d'exécutables, mais elle utilise aussi du code d'assembleur
x86 32 bits. La cible linux_noasm se construira sur tous les
hôtes Linux. Pour avoir des alternatives à ces cibles,
utilisez make
list
permet à la sortie des commandes unzip d'être redirigées. |
|
liste, teste ou extrait des fichiers d'une archive
|
|
est un stub auto-extrait qui peut être envoyé vers
|
|
cherche dans des fichiers d'une archive
|
|
produit des informations techniques sur des
fichiers d'une archive |
Last updated on : 2013-03-04 19:52:20 +010
Le paquet UPower offre une interface pour énumérer les périphériques d'énergie, écouter les événements de périphériques et chercher l'historique et les statistiques. Toute application ou service du système peut accéder au service org.freedesktop.UPower via le bus de message du système.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://upower.freedesktop.org/releases/upower-0.9.23.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 39cfd97bfaf7d30908f20cf937a57634
Taille du téléchargement : 416 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 10 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
dbus-glib-0.104, libusb-1.0.19, polkit-0.112 et udev-extras (depuis eudev) (pour GUdev)
GTK-Doc-1.21 et Python-3.4.2 (utilisé seulement pour la suite de tests).
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/upower
Installez UPower en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --enable-deprecated \ --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-deprecated
: Ce paramètre
active les fonctionnalités obsolètes qui restent nécessaire
pour quelques applications.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Pour utiliser la commande upower -w pour avoir des informations sur les réveils du processeur (c'est la commande utilisée par gnome-power-manager), vous devez activer CONFIG_TIMER_STATS. Cela se fait dans make menuconfig en vous rendant sur 'kernel-hacking' menu and selecting 'Collect kernel timers statistics'.
Last updated on : 2013-01-12 02:35:45 +010
Le paquet usbutils contient des outils utilisés pour afficher des informations sur les bus USB du système et sur les périphériques qui y sont connectés.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.kernel.org/pub/linux/utils/usb/usbutils/usbutils-008.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kernel.org/pub/linux/utils/usb/usbutils/usbutils-008.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2780b6ae21264c888f8f30fb2aab1259
Taille du téléchargement : 284 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.8 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/usbutils
Installez usbutils en lançant les commandes suivantes :
sed -i '/^usbids/ s:usb.ids:hwdata/&:' lsusb.py && ./configure --prefix=/usr --datadir=/usr/share/hwdata && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Le script lsusb.py affiche des information dans une forme plus facilement lisible que lsusb. Pour trouver les options, utilisez lsusb.py -h. Une utilisation recommandée par le développeur est lsusb.py -ciu.
sed ...
lsusb.py: Indique à susb.py où chercher
usb.ids
.
Le fichier usb.ids
est mis à
jour en permanence. Pour obtenir une version actuelle de ce
fichier,en utilisant Wget-1.16.1, lancez en tant qu'utilisateur
root
user :
install -dm755 /usr/share/hwdata/ && wget http://www.linux-usb.org/usb.ids -O /usr/share/hwdata/usb.ids
Il se peut que vous souhaitiez ajouter une entrée au crontab
de root
(ou à celui de
n'importe quel utilisateur ayant les droits d'écriture sur
/usr/share/hwdata
) pour mettre
à jour automatiquement et régulièrement le fichier
usb.ids
.
est un outil pour afficher des ing informations sur tous les bus USB du système et sur tous les périphériques qui y sont connectés, mais pas selon une présentation humainement lisible. |
|
affiche des informations sur tous les bus USB du système et tous les périphériques connectés selon une présentation raisonablement lisible. |
|
est un script shell qui affiche des détails sur les bus USB et les périphériques qui y sont connectés. Il est conçu pour être utilisé si /proc/bus/usb/devices n'est pas disponible sur votre système. |
|
est utilisé pour générer des descripteurs et des flux de rapports des interfaces HID (human interface device) des périphériques USB. |
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
La présence ou l'absence du programme which dans le livre LFS principal est sans doute un des sujets les plus controversés sur les listes de diffusion. Il s'en est suivi au moins une guerre enflammée par le passé. En espérant y mettre fin une bonne fois pour toutes, deux options sont ici présentées pour équiper votre système de which. La décision sur la question de quel « which » vous appartient.
La première option est d'install le paquet GNU which final.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/which/which-2.20.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/which/which-2.20.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 95be0501a466e515422cde4af46b2744
Taille du téléchargement : 135 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/which
Installez which en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
La deuxième option (pour ceux qui ne veulent pas installer le
paquet) est de créer un simple script (exécutez en tant
qu'utilisateur root
) :
cat > /usr/bin/which << "EOF"
#!/bin/bash
type -pa "$@" | head -n 1 ; exit ${PIPESTATUS[0]}
EOF
chmod -v 755 /usr/bin/which
chown -v root:root /usr/bin/which
Cela devrait bien fonctionner et c'est peut-être la solution la plus facile pour la plupart des cas, mais ce n'est pas l'implémentation la plus complète.
Last updated on : 2013-03-04 00:23:09 +010
Le paquet Zip contient les
outils Zip. Ils sont utiles
pour compresser des fichiers dans des archives ZIP
..
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/infozip/zip30.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.info-zip.org/pub/infozip/src/zip30.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7b74551e63f8ee6aab6fbc86676c0d37
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 6.4 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/zip
Installez Zip en lançant les commandes suivantes :
make -f unix/Makefile generic_gcc
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make prefix=/usr MANDIR=/usr/share/man/man1 -f unix/Makefile install
make prefix=/usr -f
unix/Makefile install : Cette commande
écrase la variable prefix
paramétrée sur /usr/local
dans
le unix/Makefile
. Vous pouvez
voir les alternatives à generic_gcc
avec une commande make -f unix/Makefile list.
Last updated on : 2013-03-04 19:52:20 +010
Un système basé sur LFS peut être utilisé en tant que plate-forme de développement, cependant le système de base n'inclut que le support de langages C, C++ et Perl. Ce chapitre fournit des instructions pour construire de nombreux environnements de programmation populaires pour étendre énormément les capacités de développement de votre système.
Check est un environnement de test d'unités de C. Il a été installé par LFS dans le répertoire des "outils temporaires". Ces instructions l'installent de manière permanente.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/check/check-0.9.14.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 38263d115d784c17aa3b959ce94be8b8
Taille du téléchargement : 744 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.8 Mo (additional 0.4 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU (additional 2.1 SBU for the tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/check
Installez Check en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester l'installation, lancez make check. Quelques tests peuvent échouer, mais les échecs sont attendus.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make docdir=/usr/share/doc/check-0.9.14 install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2012-01-24 04:05:41 +0100
GNU Clisp est une implémentation de Common Lisp qui inclue un interpréteur, un compilateur, un débogueur et plusieurs extensions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/pub/gnu/clisp/latest/clisp-2.49.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/pub/gnu/clisp/latest/clisp-2.49.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1962b99d5e530390ec3829236d168649
Taille du téléchargement : 7.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 163 Mo (add 8 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU (17.5 SBU avec les tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/clisp
Ce paquet ne supporte pas la construction parallèle.
Supprimez un test, qui échoue pour des raisons inconnues:
sed -i '/socket/d' tests/tests.lisp
Installez Clisp en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && ../configure --srcdir=../ \ --prefix=/usr \ --docdir=/usr/share/doc/clisp-2.49 \ --with-libsigsegv-prefix=/usr && ulimit -s 16384 && make -j1
Pour tester les résultats, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
uimit -s 16384 : cela augmente la taille maximale de la pile, comme recommendé par configure.
/usr/lib/clisp-$clisp-version;/base/
Last updated on 2014-08-28 20:24:36 +0200
Le paquet CMake contient un ensemble d'outils moderne utilisé pour générer des fichiers Makefile. C'est le successeur du script configure autogénéré et souhaite être indépendant de la plate-forme et du compilateur. Un utilisateur significatif de CMake est KDE depuis la version 4.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.cmake.org/files/v3.1/cmake-3.1.3.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5697a77503bb5636f4b4057dcc02aa32
Taille du téléchargement : 5.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 259 Mo (additional 245 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 1.9 SBU (additional 1.9 SBU for tests, with paralelism=4)
cURL-7.40.0, libarchive-3.1.2 et
Qt-4.8.6 ou Qt-5.4.0 (pour l'interface basée sur Qt), Subversion-1.8.11 (pour les tests) et Sphinx (pour la construction de la documentation)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cmake
Si Qt4 et Qt5 sont installés dans /opt
, utilisez source setqt4 ou
source setqt5
pour choisir lequel sera utilisé pour construire le GUI basé
sur QT.
Installez CMake en lançant les commandes suivantes :
./bootstrap --prefix=/usr \ --system-libs \ --mandir=/share/man \ --docdir=/share/doc/cmake-3.1.3 && make
Pour tester les résultats, tapez: bin/ctest -j<N>
-O
../cmake-3.1.3-test.log, ou <N>
est un entier entre
1 et le nombre de coeurs inclus de votre processeur.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--system-libs
:
Ce paramètre oblige le système de construction à se lier à
Zlib, Bzip2, cURL, Expat et libarchive installés sur le système.
--qt4-gui
: Ce paramètre
construit une interface graphique basée sur Qt pour CMake.
Last updated on : 2013-01-25 17:32:25 +010
CVS est le Concurrent Versions System. C'est un système de gestion de versions utile pour les projets qui utilisent un dépôt central pour conserver les fichiers et traquer tous les changements qui y sont apportés. Ces instructions installent le client utilisé pour manipuler le dépôt, la création d'un dépôt est couverte au Running a CVS Server.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/non-gnu/cvs/source/stable/1.11.23/cvs-1.11.23.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/non-gnu/cvs/source/stable/1.11.23/cvs-1.11.23.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 0213ea514e231559d6ff8f80a34117f0
Taille du téléchargement : 2.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 32.3 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (ajouter ~20 SBU pour éxécuter la suite de tests)
Correctif recommandé: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/cvs-1.11.23-zlib-1.patch
Tcsh-6.18.01, OpenSSH-6.7p1, krb4, MIT Kerberos V5-1.13.1 (pour les bibliothèques GSSAPI), GPL-Ghostscript-9.15 et un MTA (qui fournit une commande sendmail)
CVS appellera un éditeur de
texte par défaut pour créer un message de commit si le
paramètre -m "Commit
message"
n'a pas été utilisé lorsque les
changements ont été committés sur un dépôt. Pendant la
configuration, CVS cherche
les éditeurs de texte suivants, dans l'ordre affiché
ci-dessous, afin de déterminer celui par défaut. Vous pouvez
toujours écraser ce paramètre par défaut par les variables
d'environnement CVSEDITOR
ou
EDITOR
et vous pouvez en spécifier
un directement en passant le paramètre --with-editor=
au script configure.
<éditeur de texte
désiré>
Re-alpine-2.03 (pour Pico)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cvs
Par défaut, CVS est lié statiquement à la bibliothèque Zlib incluse dans l'arborescence de ses sources. Ceci l'expose à des vulnérabilités de sécurité dans cette bibliothèque. Si vous voulez modifier CVS pour utiliser la bibliothèque partagée Zlib du système, appliquez le correctif suivant :
patch -Np1 -i ../cvs-1.11.23-zlib-1.patch
Maintenant corrigez un conflit avec de nouvelles bibliothèques:
sed -i -e 's/getline /get_line /' lib/getline.{c,h} && sed -i -e 's/^@sp$/& 1/' doc/cvs.texinfo && touch doc/*.pdf
Installez CVS en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --docdir=/usr/share/doc/cvs-1.11.23 && make
Si vous voulez créer des docs HTML ou texte à partir des fichiers sources de la documentation, faites la commande suivante :
make -C doc html txt
Pour tester les résultats, lancez : make check. Ceci prendra
beaucoup de temps. Si vous n'avez pas configuré rsh pour l'accès au hôte
sur lequel vous êtes en train de construire, (ou si vous
n'avez pas passé le paramètre --with-rsh=
au script configure, il se peut que
certains tests échouent. Si vous avez passé le paramètre
--with-rsh=ssh
pour activer
ssh comme
programme de shell distant par défaut, vous devrez faire la
commande suivante afin que le test se termine sans
échec :
sed -e 's/rsh};/ssh};/' \ -e 's/g=rw,o=r$/g=r,o=r/' \ -i src/sanity.sh
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && make -C doc install-pdf && install -v -m644 FAQ README /usr/share/doc/cvs-1.11.23
Si vous avez créé une documentation supplémentaire, installez
la en lançant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
install -v -m644 doc/*.txt /usr/share/doc/cvs-1.11.23 && install -v -m755 -d /usr/share/doc/cvs-1.11.23/html/cvs{,client} && install -v -m644 doc/cvs.html/* \ /usr/share/doc/cvs-1.11.23/html/cvs && install -v -m644 doc/cvsclient.html/* \ /usr/share/doc/cvs-1.11.23/html/cvsclient
~/.cvsrc
est le fichier de
configuration principal de CVS. Ce fichier est utilisé par les
utilisateurs pour spécifier les paramètres par défaut pour
différentes commandes cvs commands. Par
exemple, pour que toutes les commandes cvs diff se lancent avec
-u
, un utilisateur ajouterait
diff -u
à son fichier
.cvsrc
.
~/.cvswrappers
spécifie les
emballeurs utilisés en plus de ceux spécifiés dans le
fichier CVSROOT/cvswrappers
du dépôt.
~/.cvspass
contient les mots
de passe utilisés pour s'identifier sur les serveurs.
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Cette section va décrire la manière de paramétrer, d'administrer et de sécuriser un serveur CVS.
On va paramétrer un serveur CVS en utilisant OpenSSH comme méthode d'accès à distance. Les autres méthodes d'accès, comme :pserver: et :server:, ne seront pas utilisées pour l'accès en écriture au dépôt CVS. La méthode :pserver: envoie les mots de passe en clair sur le réseau et la méthode :server: n'est pas supportée dans tous les ports CVS. Vous pouvez trouver des Instructions pour un accès anonyme en lecture seule au serveur CVS en utilisant la méthode :pserver: à la fin de cette section.
La configuration d'un serveur CVS tient à quatre étapes :
Créez un nouveau dépôt CVS avec les commandes suivantes :
mkdir /srv/cvsroot && chmod 1777 /srv/cvsroot && export CVSROOT=/srv/cvsroot && cvs init
Importez un module source dans le dépôt avec les commandes suivantes exécutées à partir d'un compte utilisateur sur la mâme machine que le dépôt CVS :
cd<sourcedir>
&& cvs import -m "<repository test>
"<cvstest>
<vendortag>
<releasetag>
Testez l'accès au dépôt CVS depuis le même compte utilisateur avec la commande suivante :
cvs co cvstest
Testez l'accès au dépôt CVS à partir d'une machine distante en utilisant un compte utilisateur ayant un accès ssh au serveur CVS avec les commandes suivantes :
Remplacez <nomserveur>
par
l'adresse IP ou le nom d'hôte de la machine du dépôt CVS.
On vous invitera à entrer le mot de passe du compte shell
de l'utilisateur avant de poursuivre la récupération.
export CVS_RSH=/usr/bin/ssh &&
cvs -d:ext:<servername>
:/srv/cvsroot co cvstest
CVS peut être réglé pour autoriser l'accès anonyme en lecture
seule en utilisant la méthode :pserver: en se connectant
en tant qu'utilisateur root
et en exécutant les commandes suivantes :
(grep anonymous /etc/passwd || useradd anonymous -s /bin/false -u 98) && echo anonymous: > /srv/cvsroot/CVSROOT/passwd && echo anonymous > /srv/cvsroot/CVSROOT/readers
Le test de l'accès anonyme au nouveau dépôt exige un compte sur une autre machine, qui peut atteindre le serveur CVS par le réseau. Aucun compte n'est nécessaire sur le dépôt CVS. Pour tester l'accès anonyme au dépôt CVS, connectez-vous à une autre machine en tant qu'utilisateur non privilégié et exécutez la commande suivante :
cvs -d:pserver:anonymous@<servername>
:/srv/cvsroot co cvstest
Remplacez <nomserveur>
par
l'adresse IP ou le nom d'hôte du serveur CVS.
mkdir /srv/cvsroot : Crée le répertoire du dépôt CVS.
chmod 1777
/srv/cvsroot : Met des droits sur be bit
sticky pour CVSROOT
.
export
CVSROOT=/srv/cvsroot : Spécifie le
nouveau CVSROOT
pour toutes les
commandes cvs.
cvs init : Initialise le nouveau dépô] CVS.
cvs import -m "repository test"
cvstest vendortag releasetag : Tous les
modules du code source doivent être importés dans le dépôt
CVS avant d'être utilisés, avec la commande cvs import. Le drapeau
-m
spécifie une entrée
descriptive de départ pour le nouveau module. Le paramètre
cvstest
est le nom utilisé pour
le module dans toutes les commandes cvs consécutives. Les
paramètres vendortag
et
releasetag
sont utilisés pour
identifier davantage le module CVS et ils sont obligatoires
qu'on l'utilise ou pas.
(grep anonymous /etc/passwd ||
useradd anonymous -s /bin/false -u 98) :
Vérifie l'existence d'un utilisateur anonymous
et en crée un s'il n'en trouve
pas.
echo anonymous: >
/srv/cvsroot/CVSROOT/passwd : Ajoute
l'utilisateur anonymous
au
fichier passwd de CVS, qui n'est pas utilisé hors de cette
configuration.
echo anonymous >
/srv/cvsroot/CVSROOT/readers : Ajoute
l'utilisateur anonymous
au
fichiers readers (lecteurs) de CVS, une liste des
utilisateurs ayant un accès en lecture seule au dépôt.
Last updated on : 2012-02-12 05:47:30 +010
DejaGnu est un environnement
de travail pour lancer des suites de test sur les outils GNU.
Il est écrit en expect, ce qui utilise
Tcl (Tool command language).
Il a été installé par LFS dans le répertoire temporaire
/tools
. Ces instructions
l'installent de façon permanente.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/pub/gnu/dejagnu/dejagnu-1.5.2.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/pub/gnu/dejagnu/dejagnu-1.5.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 97a86a21c92ac456641a97f712ea40ac
Taille du téléchargement : 584 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5.2 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
DocBook-utils-0.6.14 et docbook2X (les deux sont regardés par le script configure mais pas utilisé dans la construction)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/dejagnu
Installez DejaGnu en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && makeinfo --html --no-split -o doc/dejagnu.html doc/dejagnu.texi && makeinfo --plaintext -o doc/dejagnu.txt doc/dejagnu.texi
Pour tester l'installation, lancez make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -dm755 /usr/share/doc/dejagnu-1.5.2 && install -v -m644 doc/dejagnu.{html,txt} \ /usr/share/doc/dejagnu-1.5.2
Last updated on : 2013-03-14 02:26:59 +010
Le paquet Doxygen contient un système de documentation pour C++, C, Java, C objet, Corba IDL et certaines extensions PHP, C# et D. C'est utile pour la génération de documentation HTML et/ou un manuel de référence hors ligne à partir d'un ensemble de fichiers sources documentés. Il y a aussi un support pokr générer une sortie RTF, PostScript, des PDF avec hyperliens, du HTML compressé, et et pages de man Unix. La documentation est extraite directement des sources ce qui rend beaucoup plus facile la conservation de la cohérence de la documentation avec le code source.
Vous pouvez aussi configurer Doxygen pour extraire la structure du code des fichiers sources non documentés. C'est très utile pour pous y retrouver rapidement dans le source de grosses distributions. Utilisé avec Graphviz, vous pouvez aussi visualiser les relations entre les divers éléments par les sens des graphes de dépendance incluses, l'héritage des diagrammes, et des diagrammes de collaborations tous générés automatiquement.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.stack.nl/pub/doxygen/doxygen-1.8.9.1.src.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.stack.nl/pub/doxygen/doxygen-1.8.9.1.src.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3d1a5c26bef358c10a3894f356a69fbc
Taille du téléchargement : 4.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 119 Mo (with doxywizard - additional 26 Mo for docs)
Estimation du temps de construction : 1.7 SBU (with doxywizard - additional 1 SBU for docs)
Graphviz-2.38.0, GPL-Ghostscript-9.15, llvm-3.5.1 (avec clang), Python-2.7.9 ou Python-3.4.2, Qt-4.8.6 (pour doxywizard), texlive-20140525 (ou install-tl-unx), et xapian-1.2.19 (pour doxyindexer)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/doxygen
Installez Doxygen en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix /usr \ --docdir /usr/share/doc/doxygen-1.8.9.1 && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make MAN1DIR=share/man/man1 install
Si vous souhaitez générer et installer la documentation du
paquet (remarquez que les pages de man ont déjà été
installées), vous devez avoir installé Python, TeX
Live (pour les docs HTML) et Ghostscript (pour les docs PDF), puis
exécutez la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
make install_docs
--with-doxywizard
: Utilisez
ce paramètre si Qt4 est
installé et si vous souhaitez construire l'interface
graphique. Si Qt4 et
Qt5 sont installés, utilisez
source setqt4.
Si Qt4 est installés dans
/opt
, tapez export QTDIR=$QT4DIR.
--with-doxysearch
: Utilisez ce
paramètre si xapian est
installé et que vous souhaitiez construire les outils de
recherche externes (doxysearch.cgi et
doxyindexer)).
--with-libclang
: tilisez ce
paramètre si llvm avec
clang sont isntallé, pour
ajouter le support pour l'analyse de libclang.
Il n'y a pas réellement de configuration nécessaire pour le paquet Doxygen bien que trois paquets supplémentaires sont requis si vous souhaitez utiliser les fonctionnalités étendues. Si vous avez besoin d'utiliser les fonctions de traduction de langue, vous devez avoir installé Python-2.7.9. Si vous exigez des formul5s pour créer de la documentation PDF, vous devez avoir installé texlive-20140525. Si vous demandez des formules pour convertir des fichiers PostScript en bitmap, vous devez avoir installé GPL-Ghostscript-9.15 .
est un outil basé sur la ligne de commande utilisé pour générer des fichiers modèles de configuration puis pour générer de la documentation à partir de ces modèles. Utilisez doxygen --help pour une explication des paramètres de la ligne de commande. |
|
est un front-end graphique pour configurer et lancer doxygen. |
|
génère un index de recherche appelé |
|
est un programme CGI pour chercher des données indéxées par doxyindexer. |
Last updated on : 2013-03-12 01:31:48 +010
Le paquet elfutils contient un ensemble d'utilitaires et de bibliothèques pour la gestion des fichiers ELF (Executable and Linkable Format).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://fedorahosted.org/releases/e/l/elfutils/0.161/elfutils-0.161.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e1b9847c9a6a1ad340de8d47a863ec52
Taille du téléchargement : 5.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 94 Mo (additional 3 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU (additional 0.2 SBU for the tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/elfutils
Installez elfutils en lançant les commandes suivantes :
sed -e '/*runp =/,+2d' \ -e '/runp +=/s/r.*;/*runp++ = '\0';/' \ -i libelf/elf_begin.c && ./configure --prefix=/usr --program-prefix="eu-" && make
si vous souhaitez lancer la suite de tests, en premier corrigez la pour passer deux tests qui échouent:
sed -i '/srcdir/ iexit 77\n' \ tests/run-backtrace-native.sh \ tests/run-backtrace-native-core.sh
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed ... libelf/elf_begin.c: CEtte commande corrige une vulnérabilité potentielle identifiée par les développeurs.
--program-prefix="eu-"
: Ce
paramètre renomme les programmes installés pou réviter les
conflits avec les programmes Binutils installés dans LFS.
Last updated on 2013-08-02 15:28:19 +0200
Le paquet Expect a été installé dans le répertoire des outils temporaires de LFS pour tester d'autres paquets. Ces procédures l'installent de manière permanente. Il contient des outils pour automatiser des applications interactives telles que telnet, ftp, passwd, fsck, rlogin, tip, etc. Expect est également utile pour tester ces mêmes applications et pour faciliter soutes sortes de tâches difficiles au point d'en être prohibitives avec autre chose.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://prdownloads.sourceforge.net/expect/expect5.45.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 44e1a4f4c877e9ddc5a542dfa7ecc92b
Taille du téléchargement : 620 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.1 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/expect
Installez Expect en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-tcl=/usr/lib \ --enable-shared \ --mandir=/usr/share/man \ --with-tclinclude=/usr/include && make
Pour tester les résultats, lancez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && ln -svf expect5.45/libexpect5.45.so /usr/lib
-with-tcl=/usr/lib
: Ce
paramètre est utilisé pour dire au script configure où se trouve
tclConfig.sh.
--enable-shared
: Cette
option active la construction de la bibliothèque partagée.
ln -sf ... : Cette commande crée un lien requis vers la bibliothèque partagée.
Référez-vous à la page de man de expect pour des
informations sur l'utilisation des fichiers de
configuration de expect.rc
.
En outre, beaucoup d'outils contenus dans le paquet
Expect vont utiliser leurs
propres fichiers de configuration. Référez-vous aux pages
de man qui les concerne, ou examinez le script directement
pour des informations sur le fichier de configuration.
génère un script Expect à partir de l'observation d'une session. |
|
est une enveloppe pour rendre passwd(1) non interactif. |
|
chiffre tous les fichiers dans un répertoire. |
|
déchiffre tous les fichiers d'un répertoire. |
|
autorise les processus à être déconnectés et reconnectés à un terminal. |
|
est un programme qui « parle » à d'autres programmes interactifs selon un script. |
|
récupère le une RFC (ou l'index) depuis UUNET. |
|
permet à deux personnes (ou plus) d'interagir avec un shell (ou un programme de leur choix). |
|
décroche une imprimante qui est suspendue sur « En attente de verrouillage ». |
|
génère des mots de passe et peut les appliquer automatiquement aux utilisateurs. |
|
modifie un mot de passe sur plusieurs machines. |
|
ressemble beaucoup à ftp sauf qu'il
utilise |
|
est rlogin sauf qu'il utilise le répertoire local actuel en tant que répertoire de travail actuel sur la machine distante. |
|
lit une ligne complète à partir de stdin et s'arrête après un nombre de secondes donné. |
|
lance un programme pour une durée donnée. |
|
désactive la mise en tampon de sortie qui se produit lorsque la sortie du programme est redirigée. |
|
récupère un bulletin météo (merci à l'université du Michigan) pour une ville ou une zone géographique données. |
|
crée plusieurs xterms qui peuvent être pilotés ensemble ou séparément. |
|
affiche une fenêtre lorsqu'il y a des nouvelles non lues sur vos newsgroups favorits et supprime la fenêtre après que vous avez lu les nouvelles. |
|
est un script pour modifier des mots de passe en utilisant expect et Tk. |
|
permet aux utilisateurs dans des xterms séparés de partager un shell (ou n'importe quel programme qui s'exécute sur xterm). |
|
est un script qui agit comme un front-end pour xpilot. |
|
contient des fonctions qui permettent à Expect d'être utilisées comme une extension Tcl ou directement à partir de C ou de C++ (sans Tcl). |
Last updated on : 2013-03-14 02:26:59 +010
Le paquet GCC contient une collection de compilateurs GNU. Cette page décrit l'installation des compilateurs pour les langages suivants: C, C++, Fortran, Objective C, Objective C++, et Go. Deux langages supplémentaires, Ada et Java sont disponibles dans cette collection. Il y a des impositions spécifiques, donc ils sont décrits dans des pages séparées (GCC-Ada-4.9.2 et GCC-Java-4.9.2). Comme C et C++ sont installés dans LFS, cette page est soit pour mettre à jour C et C++, ou pour installer des compilateurs supplémentaires.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Si vous mettez à jour depuis une version de GCC antérieure à 4.9.2, vous devez faire attention en compilant les modules externes au noyau. Vous devriez vous assurer que le noyau et tous ses modules natifs sont aussi compilés en utilisant la même version de GCC que celle utilisée pour construire les modules externes. Ce problème ne touche pas les mises à jour du noyau natif (et des modules du noyau), car les instructions ci-dessous sont une réinstallation complète de GCC. Si vous avez installé des modules externes, assurez-vous qu'ils sont recompilés en utilisant la version mise à jour de GCC. Comme toujours, ne mettez jamais à jour les en-têtes du noyau à partir de celles utilisées quand on a compilé Glibc dans LFS.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/gcc/gcc-4.9.2/gcc-4.9.2.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/gcc/gcc-4.9.2/gcc-4.9.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4df8ee253b7f3863ad0b86359cd39c43
Taille du téléchargement : 86 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 5.2 Go
Estimation du temps de construction : 138 SBU (including 95 SBU for tests)
DejaGnu-1.5.2 pour les tests
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gcc
Sauf si vous spécifiez des langages autre que C et C++ à la commande ./configure dessous, processus d'installation écrasera les compilateurs C et C++ et les bibliothèques existants de GCC. Avoir les paquets Tcl, Expect et DejaGnu d'installer avant de commencer la construction est hautement recommandé afin que vous puissiez lancer la suite de tests complète.
Ne continuez pas avec la commande make install avant d'être sûr que la construction a réussi. Vous pouvez comparer vos résultats de test avec ceux qui se trouvent sur http://gcc.gnu.org/ml/gcc-testresults/. Il se peut que vous vouliez également vous reporter aux informations qui se trouvent dans la section GCC du chapitre 6 du livre LFS (http://www.fr.linuxfromscratch.org/view/lfs-stable/chapter06/gcc.html).
Les instructions dessous utilisent intentionnellement le
processus « bootstrap ».
Le bootstrap est utile pour la robustesse et est fortement
recommandé pour un changement de version des compilateurs.
Pour désactiver, passez --disable-bootstrap
dans les
options ./configure ci-dessous.
Installez GCC en lançant les commandes suivantes:
mkdir ../gcc-build && cd ../gcc-build && ../gcc-4.9.2/configure \ --prefix=/usr \ --libdir=/usr/lib \ --enable-shared \ --enable-threads=posix \ --enable-__cxa_atexit \ --enable-clocale=gnu \ --disable-multilib \ --with-system-zlib \ --enable-languages=c,c++,fortran,go,objc,obj-c++ && make
Si vous avez installé des paquets supplémentaires comme Valgrind et GDB, la partie de GCC de la suite de tests lancera plus de tests que dans LFS. Certain d'entre eux signaleront des FAIL et d'autres XPASS (passage quand échec attendu). Pour lancer les vérifications:
ulimit -s 32768 && make -k check
Les tests sont très longs, et les résultats peuvent être très difficiles à trouver dans les logs, spécialment si vous utilisez des travaux en parallèle avec make. Vous pouvez avoir un résumé des tests avec:
../gcc-4.9.2/contrib/test_summary
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mkdir -pv /usr/share/gdb/auto-load/usr/lib && mv -v /usr/lib/*gdb.py /usr/share/gdb/auto-load/usr/lib && chown -v -R root:root \ /usr/lib/gcc/*linux-gnu/4.9.2/include{,-fixed}
Quelques paquets veulent trouver le préprocesseur C dans
/lib
ou peuvent se référer au
compilateur C sous le nom de cc. Les liens symboliques
suivants ne sont pas utiles si vous avez suivi les
instructions LFS, depuis qu'ils sont déjà créés. Si vous ne
les avez pas sur votre système, tapez en tant qu'utilisateur
root
:
ln -v -sf ../usr/bin/cpp /lib && ln -v -sf gcc /usr/bin/cc
mkdir ../gcc-build; cd ../gcc-build : La documentation de GCC recommande de construire le paquet dans un répertoire de construction dédié.
--enable-shared
--enable-threads=posix
--enable-__cxa_atexit
: Ces paramètres sont
requis pour construire les bibliothèques de C++ pour des standards publiés.
--enable-clocale=gnu
:
Ce paramètre est une sécurité pour les données locales
incomplètes.
--disable-multilib
: Ce
paramètre assure que les fichiers sont créés pour
l'architecture spécifique à votre ordinateur.
--with-system-zlib
:
Utilise la version système de zlib au lieu de la version fournie.
zlib est utilisé pour
compresser et décompresser les langages intermédiares de
GCC dans les fichiers objets
LTO "(Link Time Optimization)".
--enable-languages=c,c++,fortran,go,objc,obj-c++
> :
Cette commande identifie les langages à construire. Il se
peut que vous modifiez cette commande pour supprimer des
langages non désirés.
ulimit -s 32768: Cette commande empêche plusieurs scripts de se lancer en dehors de l'espace de la pile.
make -k check : Cette commande lance une suite de tests sans s'arrêter si une erreur est rencontrée.
../gcc-4.9.2/contrib/test_summary : Cette commande produira un résumé des résultats de la suite de tests. Vous pouvez ajouter | grep -A7 Summ à la commande pour produire ue version du résumé encore plus condensée. Il se peut que vous souhaitiez aussi rediriger la sortie vers un fichier pour visualiser et comparer à l'avenir.
mv -v /usr/lib/*gdb.py
...: Le processus d'installation mets
quelques fichiers utilisé par gdb sous le répertoire /usr/lib
. Cela génère des messages d'erreur
curieux quand ldconfig est utilisé. cette
commande déplace les fichiers à un autre endroit.
chown -v -R root:root
/usr/lib/gcc/*linux-gnu/... : Si le
paquet est construit par un utilisateur différent de root, le
propriétaire du répertoire include
installé sera incorrect. Ces
commandes modifient l'appartenance vers l'utilisateur et le
groupe root
.
Plusieurs noms de programmes et de bibliothèques et des descriptions ne sont pas listés ici, mais peuvent être trouvé dans http://www.fr.linuxfromscratch.org/view/lfs-stable/chapter06/gcc.html#contents-gcc depuis qu'ils sont initialement installés dans LFS.
/usr/lib/gcc
, /usr/libexec/gcc
, et /usr/lib/go
Last updated on : 2013-03-14 02:26:59 +010
Ada est un langage de programmation moderne pour des applications larges — et pour des systèmes embarqués en particulier — ou la fiabilité et l'efficatité sont essentielles. Il a un ensemble de fonctions techniques uniques qui font qu'il est très efficace pour une utilisation dans des projets importants, complexes et critiques en terme de sécurité.
Le compilateur et les outils associés de cette page sont connus sous le nom de technologie GNAT, développés par Adacore, en utilisant le moteur de GCC. Depuis qu'une partie du compilateur Ada est écrit en Ada, il y a une dépendance circulaire dans le compilateur Ada. Les instructions dessous commencent par installer un binaire de compilateur.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
L'utilisation des instructions de cette page aura pour effet que les compilateurs et bibliothèques C et C++ seront réinstallés, écrasant celle de votre système. Cela peut causer des problèmes. Mercu de lire la note et l'avertissement sur la page GCC-4.9.2.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/gcc/gcc-4.9.2/gcc-4.9.2.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/gcc/gcc-4.9.2/gcc-4.9.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4df8ee253b7f3863ad0b86359cd39c43
Taille du téléchargement : 86 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 5.1 Go (0.7 Go added if GNAT install dir is not removed)
Estimation du temps de construction : 114 SBU (including 72 SBU for tests)
Vous aurez besoin d'installer GNAT temporairement pour satisfaire la dépendance circulaire. vous pouvez pointer avec votre navigateur sur la page de téléchargement de AdaCore, choisissez votre plateforme et 2014, ensuite sélectionnez le fichier à télécharger. Alternativement, des liens directs pour les versions de linux 32 bits et 64 bits sont donnés en dessous.
Binaire GNAT 64 bits: http://mirrors.cdn.adacore.com/art/7427735035ecc98968ebfcee17494161b0de28ef
Somme de contrôle de GNAT 64 bits: c0863ed75109b5aa737becfd5a6ec038
Taille de GNAT 64 bits: 225 Mo
Binaire GNAT 32 bits: http://mirrors.cdn.adacore.com/art/3fc05fc61cbc7ab4f291ed19ea4cb269fffd17bd
Somme de contrôle de GNAT 32 bits: 69423c7ad8d9759377d4fff71a78992d
Taille de GNAT 32 bits: 222 Mo
DejaGnu-1.5.2, pour les tests
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gcc-ada
Avant de déballer et aller dans le répertoire des sources de
GCC, en premier déballez l'archive GNAT, et allez dans le répertoire de
GNAT. Ensuit, installez le binaire GNAT en lançant la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
make ins-all prefix=/opt/gnat
Le compilateur GNAT peut
être appelé en éxécutant le binaire gcc installé dans
/opt/gnat/bin
.
vous pouvez maintenant enlever le répertoire des sources de GNAT si désiré.
Preparez la compilation de GCC en plaçant la version de
GNAT de gcc au début de la variable
PATH
en utilisant la suite
PATH_HOLD=$PATH && export PATH=/opt/gnat/bin:$PATH_HOLD
Faire cela à l'inconvénient que les exécutables GCC et Binutils sont pris dans le paquet
GNAT qui est juste installé,
mais les versions de ses éxécutables sont dépassés comparés à
ceux installés dans LFS. Ce n'est pas important pour les
compilateurs GCC depuis
qu'ils se recompilent eux même pendant le processus de
"bootstrap". D'un autre coté, les outils dépassés
ld et
as sont
utilisés pendant tous le temps. Pour utiliser les outiles
LFS, tappez en tant qu'utilisateur root
:
find /opt/gnat -name ld -exec mv -v {} {}.old \; find /opt/gnat -name as -exec mv -v {} {}.old \;
Installez GCC Ada en lançant la suite
mkdir ../gcc-build && cd ../gcc-build && ../gcc-4.9.2/configure \ --prefix=/usr \ --libdir=/usr/lib \ --enable-shared \ --enable-threads=posix \ --enable-__cxa_atexit \ --enable-clocale=gnu \ --disable-multilib \ --with-system-zlib \ --enable-languages=ada && make
si vous avez installé des paquets supplémentaires comme Valgrind et GDB, La partie GCC de la suite de tests lancera plus de tests que dans LFS. Certain d'entre eux seront signalé FAIL et d'autres XPASS (passé avec un FAIL attendu). Pour lancer les tests, tapez:
ulimit -s 32768 && make -k check
Les tests sont très longs, et les résultats peuvent être difficiles à trouver dans les logs, spécialmeent si vous avez utilisé des travaux parallèles avec make, Vous pouvez avoir un résumé des tests avec:
../gcc-4.9.2/contrib/test_summary
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mkdir -pv /usr/share/gdb/auto-load/usr/lib && mv -v /usr/lib/*gdb.py /usr/share/gdb/auto-load/usr/lib && chown -v -R root:root \ /usr/lib/gcc/*linux-gnu/4.9.2/include{,-fixed} \ /usr/lib/gcc/*linux-gnu/4.9.2/ada{lib,include}
vous pouvez maintenant supprimer l'installation de GNAT et faire d'autres nettoyages:
rm -rf /opt/gnat && export PATH=$PATH_HOLD && unset PATH_HOLD
mkdir ../gcc-build; cd ../gcc-build : La documentation de GCC recommande de construire le paquet dans un répertoire de construction dédié.
--enable-shared
--enable-threads=posix --enable-__cxa_atexit
:
Ces paramètres sont requis pour construire les bibliothèques
de C++ pour publier les
standards.
--enable-clocale=gnu
: Ce paramètre est une sécurité contre les données locale
incomplètes.
--disable-multilib
:
Ce paramètre assure que les fichiers sont créés pour
l'architecture spécifique à votre ordinateur.
--with-system-zlib
:
utilise la version zlib au
lieu de celle empaqueté. zlib est utilisé pour compresser et
décompresser les langages intermédiaires de GCC dans les fichiers objets LTO (Link
Time Optimization).
--enable-languages=ada
:
indique au système de construction de construire les outils
Ada et le compilateur. Il est inévitable que les compilateurs
C et C++ soient reconstruits.
ulimit -s 32768 : Cette commande empêche plusieurs tests de se lancer en dehors de la pile.
make -k check : Cette commande lance la suite de tests sans stopper si quelques erreurs sont générées.
../gcc-4.9.2/contrib/test_summary : Cette commande produira un résumé des résultats de la suite de tests. Vous pouvez ajouter | grep -A7 Summ à la commande pour produite une version encore plus condensée du résumé. Vous pouvez également souhaiter rediriger la sortie dans un fichier pour étudier et comparer plus tard.
chown -v -R root:root
/usr/lib/gcc/*linux-gnu/... : Si le paquet
est construit par un utilisateur autre que root, les droits
des répertoires include
et
adalib
installés (et leur
contenu) seront incorrects. Ces commandes changes les droits
vers l'utilisateur et le groupe root
.
/usr/libexec/<arch-triplet>/4.9.2
/usr/lib/gcc/<arch-triplet>/4.9.2/adalib
Seulement mes fichiers spécifiques à Ada sont listés ici. Les autres peuvent être trouvés sur la page http://www.fr.linuxfromscratch.org/view/lfs-stable/chapter06/gcc.html#contents-gcc comme ils ont été installé initialement pendant la construction de LFS.
est une enveloppe qui accepte un nombre de commandes et d'appels aux outils correspondants dans la liste suivante. |
|
est utilisé pour attacher des objets compilés. |
|
est utile pour renommer des fichiers pour satisfaire les conventions de nommage standard par défaut du fichier Ada. |
|
est utilisé pour supprimer des fichiers associés à un projet GNAT. |
|
est le chercheur de définitions/utilisation GNAT. |
|
est utilisé pour déterminer le nom crunché d'un fichier donné, lorsqu'un crunch a été réglé à une longueur maximum spécifiée. |
|
est utilisé pour lier des programmes et construire un fichier exécutable. |
|
est le navigateur d'unités compilées. |
|
est une possibilité make automatique. |
|
listera les fichiers associés à un projet GNAT. |
|
est le préprocesseur externe de GNAT. |
|
est le référenceur croisé GNAT. |
Last updated on 2014-05-10 22:28:15 +0200
Regardez l'introduction au langage et au système Java java-1.8.0.31. La collection de compilateur GNU (GCC) contient un compilateur Java de code natif. Et avec le compilateur Java ecj d'Eclipse (vers du bytecode), il fournit un moyen de construire un JVM acceptable depuis les sources. Cependant, depuis la publication de OpenJDK, le développement de GCC-Java a été stoppé, et la construction de JVM est une ancienne version. Une raison de construire ce système est qu'il peut être utilisé pour "booststrapper" OpenJDK-1.8.0.31, sans avoir besoin de télécharger un binaire Java.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
L'utilisation des instructions de cette page aura pour effet que les compilateurs et bibliothèques C et C++ seront réinstallés, écrasant celle de votre système. Cela peut causer des problèmes. Mercu de lire la note et l'avertissement sur la page GCC-4.9.2.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/gcc/gcc-4.9.2/gcc-4.9.2.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/gcc/gcc-4.9.2/gcc-4.9.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4df8ee253b7f3863ad0b86359cd39c43
Taille du téléchargement : 86 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 3.0 Go
Estimation du temps de construction : 84 SBU (including 70 SBU for tests)
Compilateur Java d'Eclipse: ftp://sourceware.org/pub/java/ecj-latest.jar
binaire ANTLR, pour construire gjdoc (facultatif): http://www.antlr.org/download/antlr-4.2.2-complete.jar
Zip-3.0, UnZip-6.0, et which-2.20
DejaGnu-1.5.2, pour les tests
gtk+-2.24.26 et Libart pour la construction de AWT
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gcc-java
Les instructions dessous considèrent que les compilateurs C
et C++ ont la même version que ceux que vous avez installé,
pour qu'un « bootstrap »
ne soit pas nécessaire. si vous avez mis à jour la version de
GCC, alors effacez --disable-bootstrap
des options de
./configure.
Installez GCC Java en lançant la suite
sed -i 's/\(install.*:\) install-.*recursive/\1/' libffi/Makefile.in && sed -i 's/\(install-data-am:\).*/\1/' libffi/include/Makefile.in && cp ../ecj-latest.jar ./ecj.jar && mkdir ../gcc-build && cd ../gcc-build && ../gcc-4.9.2/configure \ --prefix=/usr \ --libdir=/usr/lib \ --enable-shared \ --enable-threads=posix \ --enable-__cxa_atexit \ --enable-clocale=gnu \ --disable-multilib \ --with-system-zlib \ --disable-bootstrap \ --enable-java-home \ --with-jvm-root-dir=/opt/gcj \ --with-antlr-jar=$(pwd)/../antlr-4.2.2-complete.jar \ --enable-languages=java && make
si vous avez installé des paquets supplémentaires comme Valgrind et GDB, la suite de tests de GCC lancera plus de tests que dans LFS. Certain de ceux la seront signalés FAIL (en ECHEC) et d'autres XPASS (passage avec un échec attendu). Pour lancer les test, tapez :
ulimit -s 32768 && make -k check
Les tests sont très longs, et les résultats peuveut être difficiles à trouver dans les logs, principalement si vous utilisez un contrôle de travaux avec make. Vous pouvez avoir un résumé des tests avec :
../gcc-4.9.2/contrib/test_summary
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mkdir -pv /usr/share/gdb/auto-load/usr/lib && mv -v /usr/lib/*gdb.py /usr/share/gdb/auto-load/usr/lib && chown -v -R root:root \ /usr/lib/gcc/*linux-gnu/4.9.2/include{,-fixed} && gcj -o ecj ../ecj-latest.jar \ --main=org.eclipse.jdt.internal.compiler.batch.Main && mv ecj /usr/bin && ln -sfv ../../../usr/bin/ecj /opt/gcj/bin/javac
Les deux commandes sed empêchent l'installation de la bibliothèque libffi livrée avec GCC, depuis qu'elle est dépassée comparée à libffi-3.2.1.
mkdir ../gcc-build; cd ../gcc-build : La documentation de GCC recommande de construire le paquet dans un répertoire de construction dédié.
--enable-shared
--enable-threads=posix --enable-__cxa_atexit
:
Ces paramètres sont requis pour construire les bibliothèques
C++ standards.
--enable-clocale=gnu
: Ce paramètre est une sécurité pour les données de locale
incomplète.
--disable-multilib
:
Ce paramètre assure que les fichiers sont créés pour
l'architecture spécifique à votre ordinateur.
--with-system-zlib
:
Utilise la version zlib du
système à la place de celle empaquetée.
--disable-bootstrap
:
Empêche les compilateurs C et C++ de se recompiler eux-même.
Vous devez utiliser ce paramètre seulement si les
compilateurs C et C++ sotn de la même version que cele que
vous installez.
--enable-java-home
:
Crée une couche de répertoires similaire à JVM.
--with-jvm-root-dir=/opt/gcj
:
Installe JVM dans un endroit spécifique.
--with-antlr-jar=...
: Spécifie l'endroit pour ANTLR, qui est utilisé pour construire
gjdoc. A
supprimer si vous n'avez pas téléchargé antlr.
--enable-languages=java
: Cette
commande identifie quel langage construire. Notez qu'il est
inévitable que les compilateurs C et C++ soient reconstruit également.
--enable-java-awt=gtk
: Permet de
construire le pair GTK+2 de
Java AWT. Utile pour avoir un JVM pleinement fonctionnel.
ulimit -s 32768 : Cette commande empêche plusieurs tests de se lancer en dehors de la pile.
make -k check : Cette commande lance la suite de tests sans stopper si quelques erreurs sont générées.
../gcc-4.9.2/contrib/test_summary : Cette commande produira un résumé des résultats de la suite de tests. Vous pouvez ajouter | grep -A7 Summ à la commande pour produite une version encore plus condensée du résumé. Vous pouvez également souhaiter rediriger la sortie dans un fichier pour étudier et comparer plus tard.
chown -v -R root:root
/usr/lib/gcc/*linux-gnu/... : Si le paquet
est construit par un utilisateur autre que root, les droits
du répertoire include
installé
(et son contenu) seront incorrects. Ces commandes changes les
droits vers l'utilisateur et le groupe root
.
gcj -o ecj ... : compile le compilateur eclipse depuis le code natif, qui est plus rapide que le bytecode. Ce compilateur est également utilisé comme une alternative à javac dans JVM.
La configuration est la même que pour OpenJDK-1.8.0.31,
en remplaçant /opt/jdk
par
/opt/gcj
.
/opt/gcj/bin
/usr/lib/gcc
et /usr/libexec/gcc
Quelques programmes et bibliothèques ne sont pas listés ici, mais peuvent être trouvés http://www.fr.linuxfromscratch.org/view/lfs-stable/chapter06/gcc.html#contents-gcc comme ils sont initialement installés pendant la construction de LFS.
cherche un répertoire pour le bytecode de Java et utilise gcj pour le compiler en code natif. |
|
est le compialteur eclipse. |
|
charge et lance une applet Java. |
|
analyse les "garbage collector" (GC) des vidages de mémoire du code Java code. |
|
est un compilateur d'avance de temps pour le langage Java. |
|
est un outil pour créer et manipuler des bases de données cartographique de fichier de classes. |
|
génère les fichiers d'entêtes des fichiers de classes de Java. |
|
est l'interpréteur GNU pour le code binaire Java. |
|
est une implémentation (partielle) de l'utilitaire jar qui vient avec le JDK de Sun. |
|
est un outil de vérification et signature des fichiers Java ARchive (JAR). |
|
génére les fichiers d'entêtes depuis les fichiers de class Java. |
|
est un outil de documentation similaire à javadoc. |
|
gère les clés privés et les certificats publiques dans un environnement Java. |
|
est un convertisseur d'encodage pour Java. |
|
est un démon de demandes d'objets cassés. |
|
génère des bouts d'appels à une méthode distante. |
|
est un démon d'activation du sytème RMI. |
|
démarre un registre objet distant sur l'hôte actuel. |
|
affiche le serialVersionUID de la classe spécifiée. |
|
démarre un service de noms. |
|
affiche des informations sur les fichiers de classe Java. |
|
convertit des fichiers d'un encodage à l'autre. |
|
Fusionne la base de données de per-solib fait par aot-compile dans la base de données coté système. |
Last updated on 2014-05-10 22:28:15 +0200
Le paquet GC contient le collecteur de déchets recyclables Boehm-Demers-Weiser, qui peut être utilisé comme un collecteur de déchets remplaçant la fonction malloc de C ou le nouvel opérateur de C++. Il vous permet d'allouer de la mémoire de façon basique, comme vous le le feriez normalement sans désaffecter de la mémoire qui n'est plus utile. Le collecteur recycle automatiquement la mémoire quand il détermine qu'on ne peut plus y accéder autrement. Le collecteur est également utilisé par un certain nombre d'implémentations de langage de programmation qui utilisent soit C comme code intermédiaire, soit qui veulent faciliter une interéperation plus facile des bibliothèques, soit simplement préfèrent l'interface simple du collecteur. En alternative, le collecteur de déchets peut être utilisé comme un détecteur de fuites pour les programmes C ou C++, bien que ce ne soit pas sa finalité première.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.hboehm.info/gc/gc_source/gc-7.4.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 12c05fd2811d989341d8c6d81f66af87
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 9.7 Mo (additional 2.3 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (additional 0.2 SBU for the tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gc
Installez GC en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's#pkgdata#doc#' doc/doc.am && autoreconf -fi && ./configure --prefix=/usr \ --enable-cplusplus \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/gc-7.4.2 && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 doc/gc.man /usr/share/man/man3/gc_malloc.3 && ln -sfv gc_malloc.3 /usr/share/man/man3/gc.3
sed -i 's#pkgdata#doc#'
doc/doc.am et --docdir=/usr/share/doc/gc-7.4.2
: Ces
commandes sont utilisées pour que la paquet install la
documentation dans un répertoire versionné.
autoreconf -fi:
Cela régénère le script configure et les fichiers
Makefile.in
.
--enable-cplusplus
: Ce
paramètre oblife la construction et l'installation de la
bibliothèque C++ avec la bibliothèque C standard.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-07-23 22:27:31 +020
GDB, est un débogueur de projet GNU qui vous permet de voir ce qu'il se passe « à l'intérieur » d'un autre programme, pendant qu'il s'exécute -- ou ce que faisait un autre programme au moment où il a planté. Notez que GDB est plus performant quand les programmes et les bibliothèques tracés sont construits avec les symboles de déboguage et qu'ils n'ont pas été effacés.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://ftp.gnu.org/gnu/gdb/gdb-7.9.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/gdb/gdb-7.9.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e6279f26559d839f0b4218a482bcb43e
Taille du téléchargement : 17 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 370 Mo (additional 147 Mo with checks, 1.2 Go for API docs)
Estimation du temps de construction : 2.2 SBU (add up to 8.6 SBU for checks, 0.4 SBU for API docs)
DejaGnu-1.5.2 (pour les tests), Doxygen-1.8.9.1, Guile-2.0.11 et Python-2.7.9
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gdb
Installez gdb en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --with-system-readline && make
Facultativement, pour construire la documentation de l'API en utilisant Doxygen-1.8.9.1, lancez:
make -C gdb/doc doxy
Pour tester les résultats, lancez : make -k check. Il y a beaucoup de problèmes avec la suite de tests. En fonction des compilateurs installés, il y a des différences s'ils sont lancés en local ou à distance, un grand nombre de temps dépassés (il y a une variable qui peut être initialisée pour augmenter le temps limite, mais en le changeant, il semble que le nombre total de test n'est pas conservé), Il y a des échecs associés avec la version système de readline 6.x, entre autres. Les échecs inatendus sont de l'ordre de 0.5%.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make -C gdb install
si vous avez construit la documentation de l'API, c'est
maintenant dans gdb/doc/doxy. Vous pouvez l'installer (en
tant qu'utilisateur root
:)
install -d /usr/share/doc/gdb-7.9 && cp -Rv gdb/doc/doxy /usr/share/doc/gdb-7.9
génère un "core dump" d'un programme en cours d'exécution. |
|
est le débogueur GNU. |
|
est un serveur distant pour le débogueur GNU (il permet de déboguer des programmes depuis une autre machine). |
|
contient les fonctions pour l'agent de traçage dans les processus. L'agent autorise l'installation rapide de balises, le listage des marqueurs statiques de balises, et le démarrage de la surveillance. |
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
Git est un système de contrôle de versions distribué librement et open-source, conçu pour gérer du plus petit au plus gros projet rapidement et efficacement. Chaque clônage Git est un dépôt complet avec l'historique et les possibilités de poursuite des révisions, indépendamment de l'accès réseau ou d'un serveur central. Le système de branches et de synchronisation est rapide et facile à utiliser. Git est utilisé pour le contrôle de la version de fichiers pour de nombreux outils comme Mercurial, Bazaar, Subversion-1.8.11, CVS-1.11.23, Perforce, et Team Foundation Server.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://www.kernel.org/pub/software/scm/git/git-2.3.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kernel.org/pub/software/scm/git/git-2.3.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e5880760d1f43f4f49b3bf94b9046eee
Taille du téléchargement : 3.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 219 Mo (additional 13 Mo for downloaded docs and man pages, or 27 Mo building docs and man pages)
Estimation du temps de construction : 0.7 SBU and additional 2.1 SBU for tests (using parallelism=4) or 2.4 SBU for docs and man build
https://www.kernel.org/pub/software/scm/git/git-manpages-2.3.0.tar.xz (Si vous préférez la version d'origine, pas nécessaire si vous n'avez pas installé asciidoc et xmlto et préférez les construire)
https://www.kernel.org/pub/software/scm/git/git-htmldocs-2.3.0.tar.xz et d'autres docs (Si vous préférez la version d'origine,pas nécessaire si vous n'avez pas installé asciidoc et préférez le construire).
cURL-7.40.0 (nécessaire pour utiliser Git par http, https, ftp ou ftps), OpenSSL-1.0.2 et Python-2.7.9
PCRE-8.36 et Subversion-1.8.11 avec les liaisons Perl (pour git svn), et Tk-8.6.3 (gitk, un simple visualiseur de dépôts Git, utilise Tk au moment de l'exécution)
xmlto-0.0.26 et AsciiDoc ou AsciiDoctor
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/git
Installez Git en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --with-gitconfig=/etc/gitconfig && make
Vous pouvez construire les pages de manuel et/ou les docs html, ou utiliser les versions téléchargées. Si vous choisissez de les construire, utilisez les deux instructions suivantes.
Si vous avez installé AsciiDoc et xmlto-0.0.26 vous pouvez créer la version html des pages de manuel et des autres docs :
make html
Si vous avez installé AsciiDoc et si vous souhaitez créer les pages de man :
make man
La suite de tests peut être lancée en mode parallèle. Pour lancer la suite de tests, tapez: make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Installez les pages de manuel en tant qu'utilisateur
root
:
make install-man
Installez les docs html en tant qu'utilisateur root
:
make htmldir=/usr/share/doc/git-2.3.0 install-html
Si vous avez téléchargé les pages de manuel déballez les en
tant qu'utilisateur root
:
tar -xf ../git-manpages-2.3.0.tar.xz \ -C /usr/share/man --no-same-owner --no-overwrite-dir
Si vous avez téléchargé les documentations HTML déballez les
en tant qu'utilisateur root
:
mkdir -vp /usr/share/doc/git-2.3.0 && tar -xf ../git-htmldocs-2.3.0.tar.xz \ -C /usr/share/doc/git-2.3.0 --no-same-owner --no-overwrite-dir && find /usr/share/doc/git-2.3.0 -type d -exec chmod 755 {} \; && find /usr/share/doc/git-2.3.0 -type f -exec chmod 644 {} \;
Pour les deux méthodes, réorganisez les fichiers, en tant
qu'utilisateur root
:
mkdir -vp /usr/share/doc/git-2.3.0/man-pages/{html,text} && mv /usr/share/doc/git-2.3.0/{git*.txt,man-pages/text} && mv /usr/share/doc/git-2.3.0/{git*.,index.,man-pages/}html && mkdir -vp /usr/share/doc/git-2.3.0/technical/{html,text} && mv /usr/share/doc/git-2.3.0/technical/{*.txt,text} && mv /usr/share/doc/git-2.3.0/technical/{*.,}html && mkdir -vp /usr/share/doc/git-2.3.0/howto/{html,text} && mv /usr/share/doc/git-2.3.0/howto/{*.txt,text} && mv /usr/share/doc/git-2.3.0/howto/{*.,}html
--with-gitconfig=/etc/gitconfig
:
cela initialise /etc/gitconfig
comme le fichier ou sont enregistrées les valeurs par défaut,
une vue du système, les initialisations de Git.
--without-python
: utilisez
cette option si Python n'est
pas installé.
--with-libpcre
: Utilisez
cette option si PCRE est
installé.
tar -xf
../git-manpages-2.3.0.tar.gz -C /usr/share/man
--no-same-owner : Cela va déballer
git-manpages-2.3.0.tar.gz
.
L'option -C
fait que tar change
de répertoire pour /usr/share/man
avant de commencer à
décompresser les docs. L'option --no-same-owner
arrête tar pour préserver les
informations d'utilisateur et de groupe des fichiers. Cela
est utile quand l'utilisateur ou le groupe n'existe pas sur
votre système; Cela peut être (potentiellement) une faille de
sécurité.
mv /usr/share/doc/git-2.3.0 ... : Ces commandes déplacent certains des fichiers dans des sous-répertoires pour rendre plus facile le tri des docs et trouver plus facilement ce que vous cherchez.
find ... chmod ...: Ces commandes corrigent les permissions dans les fichiers tar de la documentation fournie.
est un stupide pourchasseur de contenu. |
|
est un émulateur de serveur CVS pour Git. |
|
est un navigateur graphique de dépôt Git (exige Tk-8.6.3). |
|
est appelé par git send-pack et met à jour le dépôt avec les informations issue du dépôt distant. |
|
est un shell de connexion pour que des comptes SSH donnent des accès Git restreints. |
|
est appelé par git archive --remote et envoie une archive générée à l'autre bout du protocole git. |
|
est appelé par git fetch-pack, il détecte les objets manquant à l'autre bout et il les envoie ensuite en paquets. |
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
Le paquet Guile contient la bibliothèque du langage d'extension du projet GNU. Guile contient aussi un interpréteur Scheme autonome.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/pub/gnu/guile/guile-2.0.11.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/pub/gnu/guile/guile-2.0.11.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 03f1bce1a4983076d955003472306a13
Taille du téléchargement : 4.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 109 Mo (additional 4 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 8.0 SBU (additional 0.7 SBU for the tests)
GC-7.4.2, libffi-3.2.1, et libunistring-0.9.5
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/guile
Installez Guile en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/guile-2.0.11 && make && make html && makeinfo --plaintext -o doc/r5rs/r5rs.txt doc/r5rs/r5rs.texi && makeinfo --plaintext -o doc/ref/guile.txt doc/ref/guile.texi
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && make install-html && mv /usr/lib/libguile-*-gdb.scm /usr/share/gdb/auto-load/usr/lib && mv /usr/share/doc/guile-2.0.11/{guile.html,ref} && mv /usr/share/doc/guile-2.0.11/r5rs{.html,} && find examples -name "Makefile*" -delete && cp -vR examples /usr/share/doc/guile-2.0.11 && for DIRNAME in r5rs ref; do install -v -m644 doc/${DIRNAME}/*.txt \ /usr/share/doc/guile-2.0.11/${DIRNAME} done && unset DIRNAME
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
est un interpréteur Scheme autonome pour Guile. |
|
est un script Guile qui fournit les informations nécessaires pour lier vos programmes à la bibliothèque Guile, de la même manière que ne le fait PkgConfig. |
|
est un script pour parser les déclarations de votre code C pour les fonctions visibles C de Scheme |
|
est un programme enveloppe installé avec guile qui sait ou un module particulier est installé et l'appelle, en passant ses arguments dans le programme. |
|
est un lien symbolique pour guild. |
Last updated on : 2013-01-10 19:03:28 +010
Le paquet librep contient un système Lisp. C'est utile pour le scriptage ou pour des applications qui veulent utiliser l'interpréteur Lisp comme langage d'extension.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.tuxfamily.org/librep/librep_0.92.4.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3a9db9adf47625527b08f9b7affe69d5
Taille du téléchargement : 636 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 15 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/librep
Installez librep en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2011-12-12 02:28:51 +0100
Le paquet LLVM contient une collection de compilateur modulaire et réutilisable et des technologies de chaînes d'outils. Le cœur des bibliothèques Low Level Virtual Machine (LLVM) fournit un optimiseur moderne de source- et cible- indépendant,ainsi que le support de génération de code pour beaucoup des processeurs populaires (ainsi que quelques autres moins courants!) Ces bibliothèques sont construites autour d'une représentation du code bien connu comme précise la représentation LLVM intermédiaire ("LLVM IR").
Les paquets facultatifs Clang et Compiler RT fournissent de nouvelles interfaces C, C++, C objet et C++ objet et des bibliothèques d'exécution pour LLVM.
Ce paquet présente un bogue avec gcc-4.9.0 ou un gcc-4.9.1 non-modifié. Pour construire ce paquet, gcc doit être mis à jour si vous avez une de ses versions. voir GCC-4.9.2 pour les instructions d'installation de gcc.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://llvm.org/releases/3.5.1/llvm-3.5.1.src.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2d3d8004f38852aa679e5945b8ce0b14
Taille du téléchargement : 12 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 618 Mo (1.2 Go with Clang) and 78 Mo for the tests
Estimation du temps de construction ;
Téléchargement: http://llvm.org/releases/3.5.1/cfe-3.5.1.src.tar.xz
Somme de contrôle MD5: 93f9532f8f7e6f1d8e5c1116907051cb
Taille du téléchargement: 7.9 Mo
Téléchargement: http://llvm.org/releases/3.5.1/compiler-rt-3.5.1.src.tar.xz
Somme de contrôle MD5: d626cfb8a9712cb92b820798ab5bc1f8
Taille du téléchargement: 1.1 Mo
cmake-3.1.3, Doxygen-1.8.9.1, Graphviz-2.38.0, libxml2-2.9.2, texlive-20140525 (ou install-tl-unx), Valgrind-3.10.1, Zip-3.0, OCaml et Sphinx
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/llvm
Si vous avez téléchargé les paquets facultatifs, installez-les dans l'arborescence des sources :
tar -xf ../cfe-3.5.1.src.tar.xz -C tools && tar -xf ../compiler-rt-3.5.1.src.tar.xz -C projects && mv tools/cfe-3.5.1.src tools/clang && mv projects/compiler-rt-3.5.1.src projects/compiler-rt
Installez LLVM en lançant les commandes suivantes :
sed -e "s:/docs/llvm:/share/doc/llvm-3.5.1:" \ -i Makefile.config.in && CC=gcc CXX=g++ \ ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --enable-libffi \ --enable-optimized \ --enable-shared \ --disable-assertions && make
Si vous avez installé Sphinx et que vous souhaitez générer les pages de manuel, tapez la commande suivante:
make -C docs -f Makefile.sphinx man
Pour testez les résultats, tapez: make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && for file in /usr/lib/lib{clang,LLVM,LTO}*.a do test -f $file && chmod -v 644 $file done
Si vous avez installé Python-2.7.9 et vous avez construit
Clang, installez
Clang Analyzer en lançant la
commande suivante en tant qu'utilisateur root
:
install -v -dm755 /usr/lib/clang-analyzer && for prog in scan-build scan-view do cp -rfv tools/clang/tools/$prog /usr/lib/clang-analyzer/ ln -sfv ../lib/clang-analyzer/$prog/$prog /usr/bin/ done && ln -sfv /usr/bin/clang /usr/lib/clang-analyzer/scan-build/ && mv -v /usr/lib/clang-analyzer/scan-build/scan-build.1 /usr/share/man/man1/
si vous avez constuit les pages de manuel, installez les en
lançant la commande suivant en tant qu'utilisateur
root
:
install -v -m644 docs/_build/man/* /usr/share/man/man1/
sed -e ... Makefile.config.in: Ce sed corrige l'emplacement d'installation de la documentation.
--enable-libffi
: Ce
paramètre initialise LLVM
pour utiliser libffi.
Effacez le si vous n'avaz pas installé libffi.
--enable-optimized
:
Ce paramètre active les optimisations du compilateur pour
augmenter la vitesse du code et diminuer sa taille.
--enable-shared
: Ce
paramètre active la construction des bibliothèques partagées
de LLVM qui contiennent
toutes les bibliothèques statiques liées dans une seule
bibliothèque.
--disable-assertions
:
Désactive quelques vérifications de compilation non utile sur
un système de production.
est l'outil automatique de réduction des tests de case |
|
est le compilateur Clang de C, C++, et C objet. |
|
est le compilateur statique de LLVM. |
|
est utilisé pour exécuter directement des programmes depuis le binaire LLVM . |
|
est l'archiveur LLVM. |
|
est l'assembleur LLVM. |
|
est l'analyseyr binaire de LLVM. |
|
Affiche les options de compilation de LLVM. |
|
est utiliser pour émettre des informations de couverture. |
|
est le diff de LLVM. |
|
est le désassembleur de LLVM. |
|
est utilisé pour extraire une fonction d'un module LLVM. |
|
est le lieur de LLVM. |
|
est utilisé pour lister des tables de symboles des fichiers binaires et objet de LLVM. |
|
est utilisé pour générer un index pour les archives LLVM. |
|
est utilisé pour générer des fichiers aléatoires
|
|
est le générateue de description de cible du code C++ de LLVM. |
|
est l'optimiseur de LLVM. |
|
est un script Perl qui appelle l'analyseur statique de Clang. |
|
contient les fonctions de l'API de LLVM. |
Last updated on : 2013-03-06 04:05:17 +010
Lua est un langage de programmation puissant et assez léger conçu pour les applications d'extension. Il est aussi souvent utilisé de façon plus générale en langage utilisé seul. Lua est implémenté comme une petite bibliothèque de fonction C, écrite en C ANSI, et compilé sans modification sur toutes les plate-formes connus. Les buts de l'implémentation sont simplicité, efficience, portabilité, et coût d'embarquement faible. Le résultat est un moteur de langage rapide avec de petites empreinte, le rendant idéal pour les systèmes embarqués.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.lua.org/ftp/lua-5.3.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a1b0a7e92d0c85bbff7a8d27bf29f8af
Taille du téléchargement : 272 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4 Mo
Estimation du temps de construction : Less than 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lua
Installez Lua en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../lua-5.3.0-shared_library-1.patch && sed -i '/#define LUA_ROOT/s:/usr/local/:/usr/:' src/luaconf.h && make linux
Pour tester le résultat, tapez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make INSTALL_TOP=/usr TO_LIB="liblua.so liblua.so.5.3 liblua.so.5.3.0" \ INSTALL_DATA="cp -d" INSTALL_MAN=/usr/share/man/man1 install && mkdir -pv /usr/share/doc/lua-5.3.0 && cp -v doc/*.{html,css,gif,png} /usr/share/doc/lua-5.3.0
Quelques paquets vérifient le fichier pkg-config pour Lua. En tant qu'utilisateur root
:
cat > /usr/lib/pkgconfig/lua.pc << "EOF"
V=5.3
R=5.3.0
prefix=/usr
INSTALL_BIN=${prefix}/bin
INSTALL_INC=${prefix}/include
INSTALL_LIB=${prefix}/lib
INSTALL_MAN=${prefix}/man/man1
INSTALL_LMOD=${prefix}/share/lua/${V}
INSTALL_CMOD=${prefix}/lib/lua/${V}
exec_prefix=${prefix}
libdir=${exec_prefix}/lib
includedir=${prefix}/include
Name: Lua
Description: An Extensible Extension Language
Version: ${R}
Requires:
Libs: -L${libdir} -llua -lm
Cflags: -I${includedir}
EOF
sed -i ... src/luaconf.h: Cette commande modifie le chemin de recherche de Lua pour correspondre au chemin d'installation.
Last updated on 2013-06-19 13:58:39 +0200
Mercurial est un outil de gestion de contrôle des sources distribuées identique à Git et Bazaar. Mercurial est écrit en Python et il est utilisé par des projets tels que Mozilla, Vim et Audacious.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://mercurial.selenic.com/release/mercurial-3.3.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9d158d96aef4ad02cc3c15509257d13b
Taille du téléchargement : 4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 45 Mo (additional 276 Mo for the tests and 2.3 Mo for docs generation)
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU (additional 2.1 SBU for tests, using parallelism=8)
CVS-1.11.23, git-2.3.0, GnuPG-2.0.26 (gpg2 avec les liaisons Python), Subversion-1.8.11 (avec les liaisons Python), Bazaar, Docutils (requis pour construire la documentation), pyflakes, pygments, and pyOpenSSL
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mercurial
Construisez Mercurial en lançant la commande suivante :
make build
Pour construire la documentation (exige Docutils), lancezqnbsp;:
make doc
Le lancement de la suite de tests est facultatif. S'il y a un
échec, par exemple test-parse-date.t, ces tests peuvent être
désactivé. Pour tester les résultats dans le sous-répertoire
tmp
, en blacklistant ce test,
tapez:
cat > tests/blacklists/failed-tests << "EOF"# Test Failures test-parse-date.t
EOF rm -rf tests/tmp && TESTFLAGS="-j<N>
--tmpdir tmp --blacklist blacklists/failed-tests" \ make check
Ou <N>
est un
nombre entier entre un et le nombre de coeurs du processeur.
Afin de pouvoir investiguer un test échouant en particulier,
par exemple « test-parse-date.t » taper la commande
suivante (notez qu'en oubliant --debug
cela modifie parfois le résultat):
pushd tests && rm -rf tmp && ./run-tests.py --debug --tmpdir tmp test-parse-date.t && popd
Installez Mercurial en
lançant la commande suivante (en tant qu'utilisateur
root
) :
make PREFIX=/usr install-bin
Si vous avez construit la documentation, installez-la en
lançant la commande suivante (en tant qu'utilisateur
root
) :
make PREFIX=/usr install-doc
Après l'installation, deux rapides et simples tests peuvent être lancé correctement. Le premier demande quelque configuration:
cat >> ~/.hgrc << "EOF"
[ui]
username = <user_name> <your@mail>
EOF
ou vous devez remplacer <user_name> et <your@mail> (mail est facultatif et peut être omis). Avec l'identité de l'utilisateur défini, lancé hg debuginstall et quelques lignes seront affichées, la dernière affichant "no problems detected". Un autre test rapide et simple est juste hg, qui doit afficher les commandes basiques qui peuvent être utilisée avec hg.
/etc/mercurial/hgrc
Si vous avez installé Certificate
Authority Certificates et voulez que Mercurial les utilise, en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -d -m755 /etc/mercurial &&
cat > /etc/mercurial/hgrc << "EOF"
[web]
cacerts = /etc/ssl/ca-bundle.crt
EOF
Last updated on : 2013-02-12 01:13:43 +010
NASM (Netwide Assembler) est un assembleur 80x86 prévu pour la compatibilité et la portabilité. Il inclut un désassembleur.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.nasm.us/pub/nasm/releasebuilds/2.11.06/nasm-2.11.06.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2b958e9f5d200641e6fc9564977aecc5
Taille du téléchargement : 748 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 19 Mo (additional 8 Mo for the documentation)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Documentation facultative : http://www.nasm.us/pub/nasm/releasebuilds/2.11.06/nasm-2.11.06-xdoc.tar.xz
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/nasm
Si vous avez téléchargé la documentation facultative, mettez-la dans l'arborescence des sources :
tar -xf ../nasm-2.11.06-xdoc.tar.xz --strip-components=1
Installez NASM en exécutant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez téléchargé la documentation facultative,
installez-la avec les instructions suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -m755 -d /usr/share/doc/nasm-2.11.06/html && cp -v doc/html/*.html /usr/share/doc/nasm-2.11.06/html && cp -v doc/*.{txt,ps,pdf} /usr/share/doc/nasm-2.11.06 && cp -v doc/info/* /usr/share/info && install-info /usr/share/info/nasm.info /usr/share/info/dir
Last updated on : 2013-03-06 04:05:17 +010
NPAPI-SDK est un ensemble d'entêtes de programmation d'application greffon de Netscape par Mozilla. Ce paquet fournit un moyen propre d'installer ses entêtes et leurs dépendances.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://bitbucket.org/mgorny/npapi-sdk/downloads/npapi-sdk-0.27.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e81db61e206cd615cf56c4a9f301e636
Taille du téléchargement : 65 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 520 Ko
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/NPAPI-SDK
Installez NPAPI-SDK en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2013-10-10 11:05:51 +0200
Les paquets de modules Perl ajoutent des objets utiles au langage Perl. Voici les modules utilisés par paquets à travers BLFS avec leurs dépendances. L'installation des modules décrite sur cette page devrait être effectuée en installant les dépendances dans l'ordre indiqué. Les instructions d'installation et de construction du modules Perl standard sont montrés à la fin de cette page.
Le module Archive::Zip permet à un programme Perl de créer, de manipuler, de lire et d'écrire des fichiers d'archives Zip. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://cpan.metacpan.org/authors/id/P/PH/PHRED/Archive-Zip-1.45.tar.gz
Somme MD5: 07805e1c2c6b2b6561ac29489a6dd7dd
Le module autovivification vous permet de désactiver l'autovivification. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/V/VP/VPIT/autovivification-0.14.tar.gz
Somme de contrôle MD5: bf0f5133a32685218e8d7ad1aba02deb
Le module Business::ISBN est pour travailler avec les "International Standard Book Numbers". Ce module et ses dépendances utilisent le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/B/BD/BDFOY/Business-ISBN-2.09.tar.gz
Somme MD5: 5ebf339c409d99cdfa6f96974ef96780
Business::ISBN::Data
(http://search.cpan.org/~bdfoy/Business-ISBN-Data/)
Le module Business::ISMN est pour travailler avec les "International Standard Music Numbers". Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://search.cpan.org/authors/id/B/BD/BDFOY/Business-ISBN-2.09.tar.gz
Somme de contrôle MD5: e8696a78b4aa8a99869fbb0625c5cc13
Tie::Cycle
(http://search.cpan.org/~bdfoy/Tie-Cycle/)
Le module Business::ISSN est pour travailler avec les "International Standard Serial Numbers". Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/B/BD/BDFOY/Business-ISSN-0.91.tar.gz
Somme de contrôle MD5: d1f609422d3a0ad5e301ae694d142fe4
Le module Data::Compare compare deux structures de données perl. Ce module est ses dépendances utilient le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/D/DC/DCANTRELL/Data-Compare-1.25.tar.gz
Somme de contrôle MD5: 6a397ab5833237f3ca05ed7277b19a7a
File::Find::Rule
(http://search.cpan.org/~rclamp/File-Find-Rule/)
Number::Compare
(http://search.cpan.org/dist/Number::Compare/)
Text::Glob
(http://search.cpan.org/dist/Text::Glob/)
Ce module fournit un affichge des structures de données. Il utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/G/GA/GAAS/Data-Dump-1.22.tar.gz
Somme MD5: db211fe64a5cab15b1e86e5b0dc379a4
Date::Simple fournit un objet date simple. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/I/IZ/IZUT/Date-Simple-3.03.tar.gz
Somme de contrôle MD5: 436049dc2c7dfd8423d8bcc807248b31
Encode::EUCJPASCII fournit un mappage eucJP-open mapping. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/N/NE/NEZUMI/Encode-EUCJPASCII-0.03.tar.gz
Somme de contrôle MD5: 5daa65f55b7c2050bb0713d9e95f239d
Le module Encode::HanExtra fournit des ensembles supplémentaires d'encodage Chinois. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/A/AU/AUDREYT/Encode-HanExtra-0.23.tar.gz
Somme de contrôle MD5: e1d3bc32c1c8ee304235a06fbcd5d5a4
Le module Encode::JIS2K fournit l'encodage JIS X 0212 (c'est à dire JIS 2000). Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/D/DA/DANKOGAI/Encode-JIS2K-0.02.tar.gz
Somme MD5: 00e73ee943fb2f882b00b7b61e4c9db1
Le module File::Slurp fournit un moyen simple et efficace d'écrire/lire/modifier des fichiers complets. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/U/UR/URI/File-Slurp-9999.19.tar.gz
Somme MD5: 7d584cd15c4f8b9547765eff8c4ef078
File::Which fournit une implémentation portable de l'utilitaire 'which'. Ce module et ses dépendances utilisent le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/A/AD/ADAMK/File-Which-1.09.tar.gz
Somme MD5: b9429edaad7f45caafa4d458afcfd8af
Test::Script
(http://search.cpan.org/dist/Test-Script/)
Probe-Perl
(http://search.cpan.org/dist/Probe-Perl/
La distribution HTML::Parser est un ensemble de modules qui analysent et extraient des informations à partir de documents HTML. Ce module et les modules dépendants utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/G/GA/GAAS/HTML-Parser-3.71.tar.gz
Somme MD5: 9128a45893097dfa3bf03301b19c5efe
HTML::Tagset
(http://search.cpan.org/~petdance/HTML-Tagset/)
libwww-perl-6.13 (circulaire; cependant, il peut être installé après HTML::Parser car c'est seulement une obligation d'exécution pour le module HTML::HeadParser fourni)
Le module IPC::Run3 est utilisé pour lancer un sous-processus avec une redirection d'entrée/sortie. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/R/RJ/RJBS/IPC-Run3-0.048.tar.gz
Somme MD5: 85b36bcd2fd2450718ee14f894f0d3d1
L'ensemble libwww-perl (LWP) est un rassemblement de modules Perl qui offrent une interface de programmation d'applications simple et cohérente avec le World-Wide Web. Le principal but de la bibliothèque est de fournir des classes et des fonctions vous permettant d'écrire des clients WWW. La bibliothèque contient aussi des modules d'un usage plus général et même des classes qui vous aident à implémenter de simples serveurs HTTP. L'ensemble LWP et tous les modules dépendants utilisent le standard build and installation instructions. Les dépendances doivent être installées dans l'ordre listé après. Assurez vous d'installer la chaîne de dépendance pour chaque module avant d'installer les modules.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
https://cpan.metacpan.org/authors/id/E/ET/ETHER/libwww-perl-6.13.tar.gz
MD5 sum: 85b36bcd2fd2450718ee14f894f0d3d1
Encode::Locale
(http://search.cpan.org/~gaas/Encode-Locale/)
HTML::Form
(http://search.cpan.org/~gaas/HTML-Form/)
HTTP::Message
(http://search.cpan.org/~gaas/HTTP-Message/)
HTTP::Date
(http://search.cpan.org/~gaas/HTTP-Date/)
IO::HTML
(http://search.cpan.org/~cjm/IO-HTML/)
LWP::MediaTypes
(http://search.cpan.org/~gaas/LWP-MediaTypes/")
HTTP::Cookies
(http://search.cpan.org/~gaas/HTTP-Cookies/)
HTTP::Negotiate
(http://search.cpan.org/~gaas/HTTP-Negotiate/)
Net::HTTP
(http://search.cpan.org/~gaas/Net-HTTP/)
WWW::RobotRules
(http://search.cpan.org/~gaas/WWW-RobotRules/)
HTTP::Daemon
(http://search.cpan.org/~gaas/HTTP-Daemon/)
File::Listing
(http://search.cpan.org/~gaas/File-Listing/)
Après l'installation de LWP, si vous voulez le support du protocole HTTPS, installez la suite (application et modules):
LWP::Protocol::https
(http://search.cpan.org/~gaas/LWP-Protocol-https/)
IO::Socket::SSL
(http://search.cpan.org/~behroozi/IO-Socket-SSL/)
Net::SSLeay
(http://search.cpan.org/dist/Net-SSLeay/)
Mozilla::CA
(http://search.cpan.org/~abh/Mozilla-CA/)
Le module List::Allutils combine List::Util et List::MoreUtils dans un paquet plus compacte. Ce module et ses dépendances utilisent le standard build and installation instructions.
Ce paquet échouera (les tests, mais pas pour une raison triviale, et à l'éxécution) si le module List::Util est plus ancien que 1.31, ce qui arrive par exemple avec perl-5.18.2 de LFS-7.5. Pour tester la version, vous pouvez lancer la commande suivante
strings /usr/lib/perl5/5.*/*/auto/List/Util/Util.so | grep v5 -A 1 | tail -n 1
et si nécessaire installer Scalar::List::Utils (http://search.cpan.org/dist/Scalar-List-Utils/) pour avoir une nouvelle version de ce module sans mettre à jour l'ensemble de perl.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/D/DR/DROLSKY/List-AllUtils-0.09.tar.gz
Somme MD5: 3e2dfeeef80c4e1952443c6b7d48583c
Number::Compare
(http://search.cpan.org/dist/Number::Compare/)
Text::Glob
(http://search.cpan.org/dist/Text::Glob/)
Log-Log4perl fournit une implémentation de Log4j pour perl. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/M/MS/MSCHILLI/Log-Log4perl-1.46.tar.gz
Somme MD5: d247d2327d7f32dca09cbeb51a953fc5
Net::DNS est un résolveur de DNS implémenté dans Perl. On peut l'utiliser pour effectuer presque n'importe quel type de requête DNS à partir d'un script Perl. Le module Nett::DNS et toutes ses dépendances s'installent en utilisant le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/N/NL/NLNETLABS/Net-DNS-0.82.tar.gz
Somme MD5: 95660d1f81ddd087639a6ea13ffff2b8
Digest::HMAC
(http://search.cpan.org/~gaas/Digest-HMAC/)(requis par la suite de tests)
IO::Socket::INET6
(http://search.cpan.org/~shlomif/IO-Socket-INET6-2.72/) (requis pour le support IPV6)
IO::Socket::INET
(http://search.cpan.org/~gbarr/IO/lib/IO/Socket/INET.pm) (required for IPv6 support)
Socket6
(http://search.cpan.org/~umemoto/Socket6/)
Le module Readonly::XS est un module compagnon pour Readonly.pm, pour accélérer les variables scalaires en lecture seul.Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/R/RO/ROODE/Readonly-XS-1.05.tar.gz
Somme MD5: df71f29abfcbd14c963f912d6d6ded6b
Readonly
(http://search.cpan.org/dist/Readonly/)
this uses the instructions for packages using Build.PL
Regexp::Common fournit des expressions régulières requises. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/A/AB/ABIGAIL/Regexp-Common-2013031301.tar.gz
Somme MD5: 2b9c335312dcfd9980ff7acbad0e5905
Le module SGMLSpm est une bibliothèque de Perl utilisé pour analyser la sortie des analyseurs SGML et NSGML de James Clark. Ces modules utilisent le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Avant de commencer la construction, tapez la commande suivante pour éviter une erreur :
chmod -v 644 MYMETA.yml
Après que l'installation soit faite, lancez la commande
suivante tant qu'utilisateur root
:
ln -sv sgmlspl.pl /usr/bin/sgmlspl
http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/BLFS/conglomeration/perl-modules/SGMLSpm-1.1.tar.gz
Somme MD5: 746c74ae969992cedb1a2879b4168090
Ce module teste le code de sortie, STDOUT, ou STDERR, d'une commande externe. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/D/DA/DANBOO/Test-Command-0.11.tar.gz
somme MD5: 9ab83c4695961dbe92cd86efe08f0634
Text::BibTeX fournit une interface pour lire et analyser les fichiers BibTeX. Ce module utilise instructions for packages using Build.PL, mais à l'exception de ce qui est noté, ses dépendances sont installées en utilisant le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/A/AM/AMBS/Text-BibTeX-0.70.tar.gz
Somme MD5: 2dfdccab7c747d1805df432f4935ce66
Config::AutoConf
(http://search.cpan.org/dist/Config-AutoConf/)
Capture=Tiny
(http://search.cpan.org/dist/Capture-Tiny/
ExtUtils-LibBuilder
(http://search.cpan.org/dist/LibBuilder/)
this uses the instructions for packages using Build.PL
Unicode::Collate fournit un algorithme pour Unicode. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://search.cpan.org/authors/id/S/SA/SADAHIRO/Unicode-Collate-1.11.tar.gz
Somme MD5: 982f6d811b522656de0ae9eea0df47a1
Unicode::LineBreak fournit une algorithme pour les lignes Unicode cassées de UAX #14. Ce module et ses dépendances utilisent le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/N/NE/NEZUMI/Unicode-LineBreak-2014.06.tar.gz
Somme MD5: c908890e6a00f4203da5d4a5d6060586
MIME::Charset
(http://search.cpan.org/dist/MIME-Charset/)
Encode-JISX0213
(http://search.cpan.org/dist/Encode-JISX0213/
Encode-ISO2022
(http://search.cpan.org/dist/Encode-ISO2022/>)
Ce module implémente la classe URI. Les objets de cette classe représentent les références "Uniform Resource Identifier" selon la spécification de la RFC 2396 ( et mise à jour par la RFC 2732). Un identifiant de ressource uniforme est une chaîne de caractères courte qui identifie une ressource physique ou abstraite. Un identifiant de ressource uniforme peut être soit une "Uniform Resource Locator" URL ou soit un "Uniform Resource Name" (URN). La différence entre URL et URN n'a pas d'importance dans l'interface de classes URI. Une "Référence URI" est une URI qui peut avoir des informations supplémentaires d'attachées sous la forme d'un fragment d'identifiant. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/E/ET/ETHER/URI-1.65.tar.gz
Somme MD5: 12c5d612a20ddd42041a5aa426f66269
Le module XML::Simple est une extension Perl qui offre une API facile pour lire et écrire des XML (en particulier des fichiers de configuration). Le module et les modules dépendants utilisent le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://cpan.org/authors/id/M/MA/MARKOV/XML-LibXML-Simple-0.95.tar.gz
Somme MD5: 862fd977c97c4ec777a235522e12229d
File::Slurp::Tiny
(http://search.cpan.org/dist/File-Slurp-Tiny/)
Le module XML::LibXSLT fournit une interface pour libxslt. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/S/SH/SHLOMIF/XML-LibXSLT-1.94.tar.gz
Somme MD5: a32045699c001d960d6f94891f9e853c
Le module XML::Simple est une extension Perl qui offre une API facile pour lire et écrire des XML (en particulier des fichiers de configuration). Le module et les modules dépendants utilisent le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://cpan.org/authors/id/G/GR/GRANTM/XML-Simple-2.20.tar.gz
Somme MD5: 4d10964e123b76eca36678464daa63cd
XML::SAX
(http://search.cpan.org/~grantm/XML-SAX/)
(Note: Ce paquet ne supporte par la construction parallèle)
XML::NamespaceSupport
(http://search.cpan.org/~perigrin/XML-NamespaceSupport/)
XML::SAX::Base
(http://search.cpan.org/~grantm/XML-SAX-Base/)
XML::SAX::Expat
(http://search.cpan.org/~bjoern/XML-SAX-Expat/)
(Note: Ce paquet ne supporte par la construction parallèle)
XML::LibXML
(http://search.cpan.org/~shlomif/XML-LibXML/)
(recommandé pour une analyse plus rapide)
Tie::IxHash
(http://search.cpan.org/~chorny/Tie-IxHash/)
(utilisé facultativement par la suite de tests)
XML::Writer fournit une extension Perl pour l'écriture des documents XML. Ce module utilise le standard build and installation instructions.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
http://www.cpan.org/authors/id/J/JO/JOSEPHW/XML-Writer-0.625.tar.gz
Somme MD5: b9c2420c243c6a36ce45a008740fcede
Installez les modules Perl en lançant les commandes suivantes :
perl Makefile.PL && make && make test
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Lorsque vous réinstallez un module Perl, d'anciennes versions du module
que vous réinstallez sont parfois dans des répertoires
spécifiés dans @INC
. Pour effacer toutes les
autres versions du module que vous réinstallez (et pas
seulement ceux anciens), paramétrez la variable
UNINST
:
make install UNINST=1
Installez les modules Perl qui utilisent Build.PL en lançant les commandes suivantes:
perl Build.PL && ./Build && ./Build test
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
./Build install
Il y a une autre façon d'installer les modules en utilisant la commande install du shell cpan. La commande télécharge automatiquement les sources de l'archive CPAN, elle les extrait, elle exécute les commandes de compilation, de test et d'installation mentionnées ci-dessus, et elle supprime l'arborescence de construction des sources. Il se peut que vous deviez installer des paquets de bibliothèques de dépendance avant de lancer la méthode d'installation automatique.
La première fois que vous lancez cpan, on vous demandera
d'entrer des informations sur les emplacements et les
méthodes de téléchargement. Ces informations sont
conservées dans des fichiers qui se trouvent dans
~/.cpan
. Démarrez le shell
cpan en
exécutant 'cpan' en tant
qu'utilisateur root
. Ã
présent, vous pouvez installer n'importe quel module Ã
partir de l'invite cpan>
avec la commande :
install <Module::Name>
Pour de l'aide et des commandes supplémentaires, exécutez
'help' depuis
l'invite cpan>
.
Sinon, pour les installations scriptées ou non interactives,
utilisez la syntaxe suivante en tant qu'utilisateur
root
pour installer un ou
plusieurs modules :
cpan -i <Module1::Name> <Module2::Name>
Voyez la page de man de cpan.1
pour des des paramètres supplémentaires que vous pouvez
passer à cpan en ligne de commande.
Last updated on 2014-08-30 06:50:58 +0200
PHP est le PHP Hypertext Preprocessor. Utilisé à l'origine sur des sites Internet dynamiques, il permet au code d'être directement embarqué dans la balise HTML. Il sert aussi de langage de script généraliste.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.php.net/distributions/php-5.6.6.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.isu.edu.tw/pub/Unix/Web/PHP/distributions/php-5.6.6.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ed0c9ad2419fffde1d8c03a2d8164179
Taille du téléchargement : 11 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 446 Mo (additional 1 Mo to run the test suite and 102 Mo for documentation)
Estimation du temps de construction : 4.1 SBU (ajouter 2.3 SBU pour lancer la suite de tests)
Documentation précompilée (facultatif) : http://www.php.net/download-docs.php
Apache-2.4.12 et libxml2-2.9.2
libxslt-1.1.28, PCRE-8.36, Aspell-0.60.6.1, enchant-1.6.0, Pth-2.0.7, un MTA (qui fournit une commande sendmail) OSSP mm, Net-SNMP, re2c, XMLRPC-EPI, et Dmalloc
libjpeg-turbo-1.4.0, LibTIFF-4.0.3, libpng-1.6.16, libexif-0.6.21, FreeType-2.5.5, X Window System, ClibPDF, GD, t1lib et FDF Toolkit
cURL-7.40.0, HTML Tidy-cvs_20101110, mnoGoSearch, Hyperwave, Roxen WebServer, Caudium, et WDDX
OpenLDAP-2.4.40, Berkeley DB-6.1.19, MariaDB-10.0.16 ou MySQL, PostgreSQL-9.4.1, unixODBC-2.3.2, SQLite-3.8.8.2, QDBM, cdb, Mini SQL, Empress, Birdstep, DBMaker, Adabas, FrontBase et Monetra
PHP fournit aussi un support pour de nombreux outils commerciaux de base de données tels que Oracle, SAP et ODBC Router.
OpenSSL-1.0.2, Cyrus SASL-2.1.26, MIT Kerberos V5-1.13.1, libmcrypt et mhash
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/php
Vous pouvez utiliser PHP pour faire des scripts côté serveur, des scripts en ligne de commande ou des applications graphiques côté client. Ce livre fournit des instructions pour paramétrer PHP pour faire des scripts côté serveur car c'est sa forme la plus courante.
PHP dispose de beaucoup plus d'options configure qui activeront le support de divers éléments. Vous pouvez utiliser ./configure --help pour voir une liste complète des options disponibles. En outre, l'utilisation du site Internet de PHP est fortement recommandée vu que leurs docs en ligne sont très bonnes. Vous pouvez trouver un exemple d'une commande configure qui utilise beaucoup d'éléments parmi les dépendances les plus courantes sur http://anduin.linuxfromscratch.org/files/BLFS/svn/php_configure.txt.
Si, pour une raison quelconque, vous n'avez pas installé
libxml2-2.9.2, vous devez ajouter
--disable-libxml
à la commande
configure
dans les instructions ci-dessous. Remarquez que cela
empêchera la commande pear d'être construite.
Installez PHP en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --datadir=/usr/share/php \ --mandir=/usr/share/man \ --enable-fpm \ --with-fpm-user=apache \ --with-fpm-group=apache \ --with-config-file-path=/etc \ --with-zlib \ --enable-bcmath \ --with-bz2 \ --enable-calendar \ --enable-dba=shared \ --with-gdbm \ --with-gmp \ --enable-ftp \ --with-gettext \ --enable-mbstring \ --with-readline && make
Pour tester les résultats, lancez : make test. Quelques tests peuvent échouer, dans certains cas vous serez interrogez si vous voulez envoyer un rapport aux developpeurs de PHP. Si vous voulez automatiser les tests, vous pouvez préfixer la commande avec yes "n" | .
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 php.ini-production /etc/php.ini && mv -v /etc/php-fpm.conf{.default,} && install -v -m755 -d /usr/share/doc/php-5.6.6 && install -v -m644 CODING_STANDARDS EXTENSIONS INSTALL NEWS README* UPGRADING* php.gif \ /usr/share/doc/php-5.6.6 && ln -v -sfn /usr/lib/php/doc/Archive_Tar/docs/Archive_Tar.txt \ /usr/share/doc/php-5.6.6 && ln -v -sfn /usr/lib/php/doc/Structures_Graph/docs \ /usr/share/doc/php-5.6.6
La documentation HTML précompilée est emballée sous deux
formes : un archive tar contenant beaucoup de fichiers
individuels, utile pour être chargés rapidement dans votre
navigateur, et un gros fichier individuel, qui est utile pour
une utilisation de l'outil de recherche de votre navigateur.
Si vous avez téléchargé un des deux ou les deux fichiers de
documentation, exécutez les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
pour les
installer (remarquez que ces instructions supposent des docs
en anglais, modifiez le nom des archives tar ci-dessous si
nécessaire).
Pour le fichier « Unique en HTML » :
install -v -m644 ../php_manual_en.html.gz \ /usr/share/doc/php-5.6.6 && gunzip -v /usr/share/doc/php-5.6.6/php_manual_en.html.gz
Pour l'archive tar « beaucoup de fichiers HTML » :
tar -xvf ../php_manual_en.tar.gz \ -C /usr/share/doc/php-5.6.6 --no-same-owner
--with-datadir=/usr/share/php
:
Ce travail contourne un bogue dans la machine de construction
qui installe quelques données dans un mauvais endroit.
--enable-fpm
: Ce
paramètre permet de construire le gestionnaire de processus
fastCGI.
--with-config-file-path=/etc
:
Ce paramètre amène PHP à
chercher le fichier de configuration php.ini
dans /etc
.
--with-zlib
: Ce
paramètre ajoute le support pour la compression Zlib.
--enable-bcmath
: Active
les fonctions mathématiques bc de précision de style.
--with-bz2
:
Ajoute le support pour les fonctions Bzip2 de compression.
--enable-calendar
: Ce
paramètre offre un support pour la conversion de calendrier.
--enable-dba=shared
: Ce
paramètre active le support pour les fonctions de la couche
d'abstraction de base de données (dbm-style).
--enable-ftp
:
Ce paramètre active les fonctions FTP.
--with-gettext
:
Active les fonctions qui utilisent la traduction de texte
Gettext.
--enable-mbstring
: Ce
paramètre active le support des chaînes multioctets.
--with-readline
: Ce
paramètre active le support Readline en ligne de commande.
--with-mysql
: Ce paramètre inclus
le support MariaDB/MySQL.
--disable-libxml
: Cette
option permet de construire PHP sans que libxml2 ne soit installé.
--with-apxs2
: au lieu de
construire le gestionnaire de processus fastCGI , il est
possible de construire un module apache. cela pénalise un peu les
performances pour des serveurs fortement chargés, mais peut
être plus facile à initialiser. Ce paramètre est incompatible
avec --enable-fpm
et
--with-fpm-...
.
Le fichier utilisé en tant que fichier de configuration
/etc/php.ini
par défaut est
recommandé par l'équipe de développement de PHP. Ce fichier modifie le
comportement par défaut de PHP. Si vous n'utilisez pas de
/etc/php.ini
, tous les
paramètres de configuration retombent sur ceux par défaut.
Vous devriez observer les commentaires dans ce fichier et
vous assurer que les modifications sont acceptables pour
votre environnement particulier.
Il se peut que vous ayez noté la suite de la sortie de la commande make install :
You may want to add: /usr/lib/php to your php.ini include_path
Si désiré, ajoutez l'entrée en utilisant la commande
suivante en tant qu'utilisateur root
:
sed -i 's@php/includes"@&\ninclude_path = ".:/usr/lib/php"@' \ /etc/php.ini
Pour activer le support fastCGI dans un serveur web
Apache , deux directives
de chargement LoadModule doivent être ajoutées dans le
fichier httpd.conf
. Elles
sont commentées, donc il suffit de taper la commande
suivante en tant qu'utilisateur root
:
sed -i -e '/proxy_module/s/^#//' \ -e '/proxy_fcgi_module/s/^#//' \ /etc/httpd/httpd.conf
Ces modules acceptent différentes directives ProxyPass. Une
possibilité est (en tant qu'utilisateur root
):
echo \ 'ProxyPassMatch ^/(.*\.php)$ fcgi://127.0.0.1:9000/srv/www/$1' >> \ /etc/httpd/httpd.conf
En outre, il peut être utile d'ajouter une entrée pour
index.php
à la ligne
DirectoryIndex du fichier httpd.conf
. Enfin, l'ajout d'une ligne
pour paramétrer l'extension .phps
pour montrer un surlignement
PHP peut être
désirable :
AddType application/x-httpd-php-source .phps
Vous devrez redémarrer le serveur Internet Apache après avoir apporté une
modification au fichier httpd.conf
.
Pour automatiquement démarrer le démon php-fpm quand le système
est redémarré, installez le script de démarrage e
/etc/rc.d/init.d/php
depuis
le paquet blfs-bootscripts-20150304
en tant qu'utilisateur root
:
make install-php
est une interface en ligne de commande qui vous permet de parser et d'exécuter du code PHP. |
|
est l'extension PHP et le gestionnaire de paquet PHP Extension and Application Repository (PEAR, dépôt des extensions et des applications PHP). |
|
est le gestionnaire de processus fastCGI pour PHP. |
Last updated on : 2013-03-14 02:39:01 +010
Le paquet Python 2 contient l'environnement de développement Python. C'est utile pour faire de la programmation orientée objet, écrire des scripts, faire des prototypes de gros programmes, ou développer des applications entières. Cette version est là pour des questions de rétro-compatibilité avec d'autres paquets qui en dépendent.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://www.python.org/ftp/python/2.7.9/Python-2.7.9.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 38d530f7efc373d64a8fb1637e3baaa7
Taille du téléchargement : 12 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 228 Mo (additional 18 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 1.0 SBU (additional 4.6 SBU for tests)
Correctif requis si vous souhaitez lancer la suite de tests http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/Python-2.7.9-skip_test_gdb-1.patch
Documentation HTML facultative
Téléchargement (HTTP) : https://docs.python.org/ftp/python/doc/2.7.9/python-2.7.9-docs-html.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8804bc888f6b7a1cc217be1acbb59ad6
Taille du téléchargement : 4.4 Mo
Berkeley DB-6.1.19, OpenSSL-1.0.2, SQLite-3.8.8.2 et Tk-8.6.3
Si vous construisez Thunderbird-31.5.0 ou Firefox-36.0, vous devez installer openssl avant de construire Python 2.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Python
Installez Python 2 en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --enable-shared \ --with-system-expat \ --with-system-ffi \ --enable-unicode=ucs4 && make
Si vous souhaitez lancer la suite de tests, désactivez les tests qui échouent:
patch -Np1 -i ../Python-2.7.9-skip_test_gdb-1.patch
Pour tester les résultats, lancez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && chmod -v 755 /usr/lib/libpython2.7.so.1.0
Depuis que Python 2 est en
mode maintenance, et que Python
3 est recommandé par les developpeurs pour le
développement , probablement, vous n'avez pas besoin
d'installer la documentation. Cependant, si vous voulez
installer la documentation pour les deux versions de
Python, soyez certain de
définir la variable PYTHONDOCS
pour la version que vous voulez utiliser, chaque fois que
vous avez besoin de consulter la documentation. Si vous avez
téléchargé la documentation depuis http://docs.python.org/download.html,
installez la en tant qu'utilisateur root
:
install -v -dm755 /usr/share/doc/python-2.7.9 && tar --strip-components=1 -C /usr/share/doc/python-2.7.9 \ --no-same-owner -xvf ../python-2.7.9-docs-html.tar.bz2 && find /usr/share/doc/python-2.7.9 -type d -exec chmod 0755 {} \; && find /usr/share/doc/python-2.7.9 -type f -exec chmod 0644 {} \;
--with-system-expat
: Ce
paramètre active l'édition de liens contre la version système
de Expat. Supprimez le si
vous n'avez pas installé .
--with-system-ffi
: Ce
paramètre active l'édition de liens contre la version système
de libffi. Supprimez le si
vous n'avez pas installé libffi-3.2.1.
--enable-unicode=ucs4
: Ce
paramètre active le support Unicode 32 bits dans Python.
--with-dbmliborder=bdb:gdbm:ndbm
:
Utilisez ce paramètre si vous voulez construire le module
Python DBM contre
Berkeley DB au lieu de
GDBM.
chmod ... : Corrige les permissions pour que les bibliothèques soient compatibles avec les autres bibliothèques.
Pour que python trouve la documentation installée, vous devez ajouter la variable d'environnement suivante au profil individuel de l'utilisateur ou du système global :
export PYTHONDOCS=/usr/share/doc/python-2.7.9
est un programme Python qui lit les codes sources Python 2.x et applique une série de corrections pour le transformer en un code Python 3.x valide. |
|
est un script enveloppe ouvrant un éditeur graphique de Python. Pour que ce script fonctionne, vous devez installer Tk avant Python afin que le module Python Tkinter soit construit. |
|
est l'outil de documentation de Python. |
|
est un langage de programmation interprété, interactif, orienté objet. |
|
est un nom spécifique à la version du programme python. |
|
est une implémentation de proxy SMTP en Python. |
Last updated on : 2013-04-24 11:37:16 +020
Le paquet Python 3 contient l'environnement de développement Python. C'est utile pour la programmation orientée objet, l'écriture de scripts, le prototypage de gros programmes ou le développement d'applications entières.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://docs.python.org/3/archives/python-3.4.2-docs-html.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 36fc7327c02c6f12fa24fc9ba78039e3
Taille du téléchargement : 14 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 230 Mo (additional 38 Mo for the docs and 19 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 1.1 SBU (additional 2.3 SBU for the tests)
Documentation HTML facultative
Téléchargement (HTTP) : http://docs.python.org/3/archives/python-3.4.2-docs-html.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c33045fa70eadf023ecd77f500ac093f
Taille du téléchargement : 5.2 Mo
et libffi-3.2.1
bluez-5.28 gdb-7.9, et Valgrind-3.10.1
Berkeley DB-6.1.19 OpenSSL-1.0.2, SQLite-3.8.8.2 et Tk-8.6.3
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Python3
Installez Python 3 en lançant les commandes suivantes :
CXX="/usr/bin/g++" \ ./configure --prefix=/usr \ --enable-shared \ --with-system-expat \ --with-system-ffi \ --without-ensurepip && make
La suite de tests doit être lancée séparément, en utilisant un terminal X (voir après)
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && chmod -v 755 /usr/lib/libpython3.4m.so && chmod -v 755 /usr/lib/libpython3.so
Si vous avez téléchargé la documentation préformatée depuis
http://docs.python.org/download.html,
installez la en tant qu'utilisateur root
:
install -v -dm755 /usr/share/doc/python-3.4.2/html && tar --strip-components=1 \ --no-same-owner \ --no-same-permissions \ -C /usr/share/doc/python-3.4.2/html \ -xvf ../python-3.4.2-docs-html.tar.bz2
La suite de tests doit être lancée séparément de la construction, après que le paquet soit construit et installé. Ne lancez pas make install, après avoir lancé la suite de tests. Pour installer le paquet, vous devez démarrer avec des sources fraichement déballées ou propres. Pour les tests, vous avez aussi besoin de sources propres, en déballant l'archive des sources ou en lançant make clean. Ensuite configurez le de nouveau, en ajoutant « --with-pydebug » à configure, lancez make, ensuite make test. Souvenez vous que quelques tests échouent, s'ils ne sont pas lancés dans un terminal X.
CXX="/usr/bin/g++" ./configure ...: empêche un message idiot pendant la configuration.
--with-system-expat
: Ce
paramètre active le lien contra la version du système de
Expat. Effacez le si vous
n'avez pas installé les dépendances recommandées de .
--with-system-ffi
: Ce
paramètre active le lien contra la version du système de
libffi. Effacez le si vous
n'avez pas installé les dépendances recommandées de libffi-3.2.1.
--with-dbmliborder=bdb:gdbm:ndbm
:
Utilisez ce paramètre si vous voulez construire le module
Python contre Berkeley DB au lieu de GDBM.
--without-ensurepip
:
Ce paramètre désactive la construction des programmes
pip et
setuptools.
chmod ... : Corrige les droits pour que les bibliothèques soient cohérentes avec les autres.
Pour que python3 trouve la documentation installée, vous devez ajouter la variable d'environnement suivante au profil individuel de l'utilisateur ou du système :
export PYTHONDOCS=/usr/share/doc/python-3.4.2/html
est un script enveloppe qui ouvre un éditeur graphique Python. Pour que ce script fonctionne, vous devez avoir installé Tk avant Python pour que le module Python de Tkinter soit construit. |
|
est l'outil de documentation Python. |
|
est une langage de programmation interprété, interactif, orienté objet. |
|
est un nom spécifique à la version pour le programme python. |
|
crée des environnements Python virtuels dans un ou plusieurs répertoires cibles. |
Last updated on : 2013-04-24 11:37:16 +020
Le paquet des modules Python ajoute des objets utiles au langage Python. Voici les modules utilisés par des paquets à travers BLFS, avec leurs dépendances. L'installation des modules décrite sur cette page est censée être suivie du haut en bas pour gérer les dépendances facultatives dans chaque module.
D-Bus Python fournit les liaisons Python pour D-Bus.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://dbus.freedesktop.org/releases/dbus-python/dbus-python-1.2.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b09cd2d1a057cc432ce944de3fc06bf7
Taille du téléchargement : 592 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
dbus-glib-0.104 et Python-2.7.9 et/or Python-3.4.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/dbus-python
Les deux modules Python 2 et Python 3 peuvent être installés et construits sans aucun conflits.
Pour construire D-Bus Python en tant que module Python 2 module, lançez les commandes suivantes :
mkdir python2 && pushd python2 && PYTHON=/usr/bin/python \ ../configure --prefix=/usr --docdir=/usr/share/doc/dbus-python-1.2.0 && make && popd
Pour tester le résultat, tapez : make -C python2 check.
Pour construire D-Bus Python en tant que module Python 3, lancez les commandes suivantes :
mkdir python3 && pushd python3 && PYTHON=/usr/bin/python3 \ ../configure --prefix=/usr --docdir=/usr/share/doc/dbus-python-1.2.0 && make && popd
Pour tester le résultat, tapez : make -C python3 check.
Pour installer le module Python
2, lancez les commandes suivante en tant
qu'utilisateur root
:
make -C python2 install
Pour installer le module Python
3, lancez les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
make -C python3 install
Py2cairo fournit Python2 pour des liaisons à Cairo.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://cairographics.org/releases/py2cairo-1.10.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 20337132c4ab06c1146ad384d55372c5
Taille du téléchargement : 400 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.6 Mo
Estimation du temps de construction : less than 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/py2cairo
Installez Py2cairo en lançant les commandes suivantes :
./waf configure --prefix=/usr && ./waf build
La suite de tests doit être lancée après que le paquet soit installé
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
./waf install
La suite de test nécessite le paquet facultatif
pytest. S'il est installé,
il est lancé en allant dans le répertoire test
et en lançant py.test en étant un
utilisateur sans privilèges.
Pycairo fournit la liaison Python 3 pour Cairo.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://cairographics.org/releases/pycairo-1.10.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e6fd3f2f1e6a72e0db0868c4985669c5
Taille du téléchargement : 244 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.0 Mo
Estimation du temps de construction : less than 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pycairo
Installez PyCairo en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../pycairo-1.10.0-waf_unpack-1.patch && wafdir=$(./waf unpack) && pushd $wafdir && patch -Np1 -i ../../pycairo-1.10.0-waf_python_3_4-1.patch && popd && unset wafdir && PYTHON=/usr/bin/python3 ./waf configure --prefix=/usr && ./waf build
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
./waf install
PyGObject fournit les bindings Python à la classe GObject à partir de GLib.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/pygobject/2.28/pygobject-2.28.6.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/pygobject/2.28/pygobject-2.28.6.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9415cb7f2b3a847f2310ccea258b101e
Taille du téléchargement : 732 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 24 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
GLib-2.42.1 et Py2cairo-1.10.0
gobject-introspection-1.42.0 et libxslt-1.1.28 (pour construire la documentation)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pygobject2
Installez PyGObject en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../pygobject-2.28.6-fixes-1.patch && ./configure --prefix=/usr --disable-introspection && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-introspection
:
Oubliez ce paramètre si vous avez installé gobject-introspection-1.42.0.
Notez que cela est en conflit avec PyGObject-3.14.0.
--disable-docs
: Cette
option désactive la reconstruction de la documentation html
si libxslt-1.1.28 est installé.
PyGObject3 fournit les liaisons de Python pour la classe GObject de GLib.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/pygobject/3.14/pygobject-3.14.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/pygobject/3.14/pygobject-3.14.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 17722912afa982a6feace4bb9bf52778
Taille du téléchargement : 704 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 21 Mo (additional 3 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (additional 0.2 SBU for the tests)
gobject-introspection-1.42.0 et Py2cairo-1.10.0 (pour les liaisons Python 2) et/ou PyCairo-1.10.0 (pour les liaisons Python 3)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pygobject3
Les deux modules pour Python 2 et Python 3 peuvent être constuits et installés sans conflits.
Si vous soihaitez lancer la suite de tests, facultativement utilisez la commande suivante mais un des tests est indiqué comme "expected failure":
sed -i '/test_out_glist/ i\ @unittest.expectedFailure' \ tests/test_atoms.py
Pour construire PyGObject3 en tant que module Python 2, lancer la commande suivante:
mkdir python2 && pushd python2 && ../configure --prefix=/usr --with-python=/usr/bin/python && make && popd
Pour tester le résultat, tapez : make -C python2 check. Une session graphique déjà active avec une adresse dbus est nécessaire pour lancer les tests.
Pour construire PyGObject3 en tant que module Python 3, lancer la commande suivante:
mkdir python3 && pushd python3 && ../configure --prefix=/usr --with-python=/usr/bin/python3 && make && popd
Pour tester le résultat, tapez : make -C python2 -k check. Une session graphique déjà active avec une adresse dbus est nécessaire pour lancer les tests.
Pour installez le module Python
2 , lancez les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
make -C python2 install
Pour installez le module Python
3 , lancez les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
make -C python3 install
PyGTK facilite la création de programmes avec une une interface graphique qui utilise le langage de programmation Python.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/pygtk/2.24/pygtk-2.24.0.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/pygtk/2.24/pygtk-2.24.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a1051d5794fd7696d3c1af6422d17a49
Taille du téléchargement : 2.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 83 Mo
Estimation du temps de construction : 0.7 SBU
Py2cairo-1.10.0 et Pango-1.36.8
Py2cairo-1.10.0 et gtk+-2.24.26
Py2cairo-1.10.0 et libglade-2.6.4
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pygtk
Installez PyGTK en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Les tests doivent être lancés depuis une un affichage X actif. Dans ce cas, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-docs
: Cette
option active la construction de la documentation html si
libxslt-1.1.28 est installé.
PyXDG est une bibliothèque Python pour accéder aux standards de freedesktop.org.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://people.freedesktop.org/~takluyver/pyxdg-0.25.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : bedcdb3a0ed85986d40044c87f23477c
Taille du téléchargement : 48 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 800 Ko
Estimation du temps de construction : less than 0.1 SBU
Python-2.7.9 et/or Python-3.4.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pyxdg
Les deux modules Python 2 et Python 3 peuvent être construits et installés sans aucun conflit.
Pour installer le module Python
2, lancez la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
python setup.py install --optimize=1
Pour installer le module Python
3, lancez la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
python3 setup.py install --optimize=1
Last updated on : 2013-03-16 00:11:00 +010
Le paquet Ruby contient l'environnement de développement Ruby. C'est utile pour écrire des scripts orientés objet.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://cache.ruby-lang.org/pub/ruby/2.2/ruby-2.2.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 54b43c6c6c9dd4c4b08ceb03ad0ded7a
Taille du téléchargement : 9.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 342 Mo (additional 183 Mo for docs)
Estimation du temps de construction : 1.9 SBU (additional 1.1 SBU for docs and 0.2 SBU for tests)
Berkeley DB-6.1.19, Doxygen-1.8.9.1, Graphviz-2.38.0, OpenSSL-1.0.2 Tk-8.6.3 et libyaml.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ruby
Installez Ruby en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --enable-shared \ --docdir=/usr/share/doc/ruby-2.2.0
Facultativement, construisez les documents CAPI en lançant les commandes suivantes :
cp -v template/Doxyfile.tmpl Doxyfile && doxygen
Compilez et liez Ruby en lançant la commande suivante:
make
Pour tester les résultats, lancez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-shared
: Ce
paramètre construit la bibbliothèque partagée libruby
.
--disable-install-doc
: Ce
paramètre désactive la construction et l'installation des
index rdoc et les documents de l'API C.
--disable-install-rdoc
: Ce
paramètre désactive la construction et l'installation des
indexs rdoc.
--disable-install-capi
: Ce
paramètre désactive la construction et l'installation des
documents de l'API C.
est un langage de script interprété pour la programmation facile et orientée objet. |
|
est l'interface interactive avec Ruby. |
|
est Tiny eRuby. Il interprète un fichier texte de code embarqué Ruby. |
|
affiche la documentation à partir d'une base de données sur des classes, des modules et des méthodes Ruby. |
|
contient les fonctions de l'API exigées par Ruby. |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
SCons est un outil pour construire des logiciels ( et d'autres fichiers) implémenté en Python.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/scons/scons-2.3.4.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 91fbbb67c2c65b03c746601baac4a6a5
Taille du téléchargement : 608 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 12 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
DocBook XSL Stylesheets-1.78.1, libxml2-2.9.2, et libxslt-1.1.28
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/scons
Installez SCons en lançant
les commandes suivantes : commands as the root
user:
python setup.py install --prefix=/usr \ --standard-lib \ --optimize=1 \ --install-data=/usr/share
Last updated on 2013-07-31 18:05:27 +0200
S-Lang est un langage interprété qui peut être incorporé dans une application pour rendre l'application extensible. Il fournit les fonctionnalités nécessaires à des applications interactives telles que affichage / écran de gestion, saisie au clavier et les plans de codage.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://space.mit.edu/pub/davis/slang/v2.1/slang-2.2.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7fcfd447e378f07dd0c0bae671fe6487
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 9.4 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
libpng-1.6.16, PCRE-8.36 et Oniguruma
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/slang
Ce paquet ne supporte pas la construction en parallèle.
Installez S-Lang en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --with-readline=gnu && make -j1
Pour tester les résultats, lancez : make check. Notez que ceci va aussi créer la version statique de la bibliothèque qui sera ensuite installée à la prochaine étape.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install_doc_dir=/usr/share/doc/slang-2.2.4 \ SLSH_DOC_DIR=/usr/share/doc/slang-2.2.4/slsh \ install-all && chmod -v 755 /usr/lib/libslang.so.2.2.4 \ /usr/lib/slang/v2/modules/*.so
--with-readline=gnu
:
Ce paramètre initialise GNU Readline à être utilisé par l'interface
de l'analyseur au lieu de la version interne de S-Lang.
make install_doc_dir=/usr/share/doc/slang-2.2.4 SLSH_DOC_DIR=/usr/share/doc/slang-2.2.4/slsh install-all : Cette commande installe la bibliothèque statique et sa version partagée dynamique et les modules associés. Elle modifie aussi les répertoires d'installation de la documentation vers un répertoire versionné.
Last updated on : 2012-07-02 19:14:42 +020
Subversion est un système de contrôle des versions prévu pour être un superbe remplacement de CVS dans la communauté du libre. Il améliore et prend en charge les caractéristiques de CVS tout en conservant une interface identique pour ceux familiers de CVS. Ces instructions installent le logiciels client et serveur utilisés pour manipuler un dépôt Subversion. La création d'un dépôt est couverte au Exécuter un serveur subversion.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.apache.org/dist/subversion/subversion-1.8.11.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 766a89bbbb388f8eb76166672d3b9e49
Taille du téléchargement : 6.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 123 Mo (272 Mo with all bindings and API documentation built; additional 694 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 1.9 SBU (3.6 SBU with all bindings and API documentation built; additional 11 SBU for tests)
Apr-Util-1.5.4, SQLite-3.8.8.2.
Serf-1.3.8 (pour gérer les adresses http:// et https://)
Apache-2.4.12, Cyrus SASL-2.1.26, D-BUS-1.8.16, kdelibs-4.14.5 (pour KWallet support), Python-2.7.9 (avec le support sqlite pour les tests), Ruby-2.2.0, et SWIG-3.0.5 (pour construire les liaisons Perl, Python et Ruby)
Un de OpenJDK-1.8.0.31, Dante, or Jikes, et JUnit-4.11 (pour tester les bindings Java)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/subversion
Installez Subversion en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --with-apache-libexecdir && make
Si vous avez installé Doxygen-1.8.9.1 et si vous souhaitez construire la documentation de l'API, lancez : doxygen doc/doxygen.conf.
Si vous avez passé le paramètre --enable-javahl
à configure et si vous
souhaitez construire les liaisons Java, tapez la commande:
make javahl
Si vous avez un CPU multi-coeur et lancez normalement
make avec les
compilations multiples (c'est à dire make -j4) alors un bogue
dans le Makefile
empêchera les
liaisons Perl de compiler
correctement. Corrigez le Makefile
avec:
sed -i 's#Makefile.PL.in$#& libsvn_swig_perl#' Makefile.in
Si vous voulez compiler les liaisons Perl, Python2, ou Ruby , tapez les commandes suivantes:
make swig-pl # for Perl make swig-py \ swig_pydir=/usr/lib/python2.7/site-packages/libsvn \ swig_pydir_extra=/usr/lib/python2.7/site-packages/svn # for Python make swig-rb # for Ruby
.
Pour tester les résultats, lancez : make -k check. Un test (wc-queries-test) est connu pour échour avec la dernière version de SQLite.
Pour tester les résultats de la construction des bindings Java, faites make check-javahl. Notez qu'il faut que l'environnement de tests JUnit soit installé.
Pour tester les résultats de certains des bindings SWIG, vous pouvez utiliser les commandes suivantes : make check-swig-pl, make check-swig-py, or make check-swig-rb.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make -j1 install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/subversion-1.8.11 && cp -v -R doc/* \ /usr/share/doc/subversion-1.8.11
Si vous construisez les liaisons Java, tapez les commandes
suivantes en tant qu'utilisateur root
pour les installer:
make install-javahl
Si vous construisez les liaisons Perl, Python2, ou Ruby, tapez une des commandes suivantes
en tant qu'utilisateur root
pour les installer:
make install-swig-pl make install-swig-py \ swig_pydir=/usr/lib/python2.7/site-packages/libsvn \ swig_pydir_extra=/usr/lib/python2.7/site-packages/svn make install-swig-rb
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--with-apache-libexecdir
: Si
Apache-2.4.12 est installé, les modules
partagés de Apache sont
construits. Ce paramètre permet d'avoir ces modules installé
dans le répertoire configuré de Apache au lieu de /usr/libexec
. Il n'a pas d'effet si
Apache n'est pas installé.
/etc/subversion/config
est le
fichier de configuration général du système Subversion. Ce fichier est utilisé
pour spécifier des paramètres par défaut pour différentes
commandes svn.
~/.subversion/config
est le
fichier de configuration personnel de l'utilisateur. Il est
utilisé pour remplacer les paramètres par défaut globaux
réglés dans /etc/subversion/config
.
est un programme de client en ligne de commande utilisé pour accéder à des dépôts Subversion. |
|
est un outil pour la création, la modification ou la réparation d'un dépôt Subversion. |
|
est un programme pour le filtrage des streamings de format dumpfile d'un dépôt Subversion. |
|
est un outil pour examiner un dépôt Subversion. |
|
est un client de commande de plusieurs URL pour Subversion. |
|
est un outil pour écrire ou charger un dépôt Subversion. |
|
est un programme de serveur autonome personnalisable capable de se lancer en tant qu'un processus démon ou s'il est invoqué par SSH. |
|
est un outil de synchronisation de dépôts Subversion. |
|
est utilisé pour signaler le numéro de version et l'état de la copie d'un dépôt Subversion. |
|
sont les bibliothèques de support utilisées par les programmes Subversion. |
|
est un module plug-in pour le serveur HTTP Apache, utilisé pour authentifier les utilisateurs sur un dépôt Subversion à travers Internet ou un réseau intranet. |
|
est un module plug-in pour le serveur HTTP Apache, utilisé pour rendre un dépôt Subversion disponible pour autrui à travers Internet or un réseau intranet. |
Last updated on : 2013-03-04 19:52:20 +010
Cette section décrira la façon de paramétrer, administrer et sécuriser un serveur Subversion.
Les instructions suivantes installeront un serveur Subversion, qui sera paramétré pour utiliser OpenSSH comme méthode sécurisée à distance, avec svnserve disponible pour un accès anonyme.
La configuration du serveur Subversion consiste dans les étapes suivantes :
Vous devrez être l'utilisateur root
pour la partie initiale de la
configuration. Créez l'utilisateur et groupe svn
avec les commandes suivantes :
groupadd -g 56 svn && useradd -c "SVN Owner" -d /home/svn -m -g svn -s /bin/false -u 56 svn
Si vous envisagez d'avoir plusieurs dépôts, vous devriez
avoir un groupe décjé à chaque dépôt pour faciliter
l'administration. Créez le groupe svntest
pour le dépôt de test et
ajoutez l'utilisateur svn
au groupe avec les commandes suivantes :
groupadd -g 57 svntest && usermod -G svntest -a svn
En outre, vous devriez régler umask 002 pendant que vous travaillez avec un dépôt pour que tous les nouveaux fichiers soient accessibles en écriture au propriétaire et au groupe. Ceci est rendu obligatoire par la création d'un script enveloppe pour svn et svnserve :
mv /usr/bin/svn /usr/bin/svn.orig && mv /usr/bin/svnserve /usr/bin/svnserve.orig && cat >> /usr/bin/svn << "EOF"#!/bin/sh umask 002 /usr/bin/svn.orig "$@"
EOF cat >> /usr/bin/svnserve << "EOF"#!/bin/sh umask 002 /usr/bin/svnserve.orig "$@"
EOF chmod 0755 /usr/bin/svn{,serve}
Si vous utilisez Apache pour travailler avec le dépôt par HTTP, même pour un accès anonyme, vous devriez envelopper /usr/sbin/httpd dans un script similaire.
Avec subversion-1.1.0 et supérieur, un nouveau type de dépôt de stockage de données est disponible, FSFS. Il y a un échange pour plus de vitesse avec la nouvelle fondation, cependant on peut mettre maintenant le dépôt sur un montage réseau, et toute corruption n'a pas besoin d'admin pour récupérer le dépôt. Pour plus d'informations et par comparaison avec FSFS et BDB, voir http://svnbook.red-bean.com/svnbook-1.1/ch05.html#svn-ch-5-sect-1.2.A.
Créez un nouveau dépôt Subversion avec les commandes suivantes :
install -v -m 0755 -d /srv/svn && install -v -m 0755 -o svn -g svn -d /srv/svn/repositories && svnadmin create --fs-type fsfs /srv/svn/repositories/svntest
Maintenant que le dépôt est créé, vous devriez le peupler
avec quelque chose d'utile. Vous devrez avoir une
présentation de répertoire prédéfinie paramétrée
ressemblant exactement à ce à quoi vous voudriez que votre
dépôt ressemble. Par exemple, voici un modèle du
paramétrage de BLFS avec une racine de svntest/
. Vous devrez paramétrer une
arborescence de répertoire ressemblant à ce qui suit :
svntest/ # The name of the repository
trunk/ # Contains the existing source tree
BOOK/
bootscripts/
edguide/
patches/
scripts/
branches/ # Needed for additional branches
tags/ # Needed for tagging release points
Une fois que vous avez créé votre aménagement de répertoire, comme indiqué ci-dessus, vous êtes prêt à faire l'importation initiale :
svn import -m "Initial import." \
</path/to/source/tree>
\
file:///srv/svn/repositories/svntest
Maintenant modifiez les informations de propriétaire et de
groupe du dépôt et ajoutez un utilisateur non privilégié
aux groupes svn
et
svntest
:
chown -R svn:svntest /srv/svn/repositories/svntest &&
chmod -R g+w /srv/svn/repositories/svntest &&
chmod g+s /srv/svn/repositories/svntest/db &&
usermod -G svn,svntest -a <username>
svntest
est le groupe
affecté au dépôt svntest. Comme indiqué plus haut, cela
facilite l'administration de plusieurs dépôts lors de
l'utilisation de OpenSSH
pour l'authentication. En anticipant, vous devrez ajouter
votre utilisateur non privilégié et n'importe quel
utilisateur supplémentaire auquel vous pouvez vouloir
donner accès en écriture au dépôt, aux groupes svn
et svntest
.
En outre, vous remarquerez que le nouveau répertoire du
dépôt db
est set-groupID. Si
le raisonnement n'est pas immédiatement évident, quand on
utilise une méthode d'authentication externe (telle que
ssh), le bit
sticky est réglé de sorte que tout les nouveaux fichiers
appartiendront à l'utilisateur, mais au groupe svntest
. Quiconque dans le groupe
svntest
peut créer des
fichiers, mais donnez encore l'accès en écriture à tout le
groupe à ces fichiers. Ceci évite d'exclure d'autres
utilisateurs du dépôt.
Maintenant, repassez en accès pour utilisateur non privilégié, et jetez un œil sur le nouveau dépôt en utilisant svnlook :
svnlook tree /srv/svn/repositories/svntest/
Il se peut que vous deviez vous déconnecter et y revenir
pour rafraîchir vos appartenances au groupe.
'su <nom_utilisateur>
'
devrait aussi fonctionner.
Comme indiqué précédemment, ces instructions configureront le serveur pour n'utiliser que ssh pour un accès en écriture au dépôt et pour fournir un accès anonyme en utilisant svnserve. Il y a plusieurs autres manières de fournir un accès au dépôt. Ces configurations supplémentaires sont mieux expliquées sur http://svnbook.red-bean.com/.
La configuration de l'accès doit se faire pour chaque
dépôt. Créez le fichier svnserve.conf
pour le dépôt svntest en
utilisant les commandes suivantes :
cp /srv/svn/repositories/svntest/conf/svnserve.conf \
/srv/svn/repositories/svntest/conf/svnserve.conf.default &&
cat > /srv/svn/repositories/svntest/conf/svnserve.conf << "EOF"
[general]
anon-access = read
auth-access = write
EOF
Il n'y a pas grand à chose du tout avoir avec le fichier de
configuration. Vous remarquerez que seule la section
générale est est nécessaire. Jetez un œil sur le fichier
svnserve.conf.default
pour
des informations sur l'utilisation de la méthode
d'authentication de svnserve intégrée.
Pour démarrer le serveur au démarrage, installez le script de démarrage svn inclus dans le paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-svn
Last updated on 2011-11-16 05:12:05 +0100
SWIG (Simplified Wrapper et Interface Generator) est un compilateur qui intègre C et C++ avec des languages incluant Perl, Python, Tcl, Ruby, PHP, Java, C#, D, Go, Lua, Octave, R, Scheme, Ocaml, Modula-3, Common Lisp, et Pike. SWIG peut aussi exporter ses arbres ad'analyse en s-expressions Lisp et XML.
SWIG lit les fichiers d'entête annotés C/C++ et crée un code enveloppe (code glue) afin de faire correspondre les bibliothèques disponibls C/C++ dans les languages listés, ou pour completer les programmes C/C++ avec un langage de script.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/swig/swig-3.0.5.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : dcb9638324461b9baba8e044fe59031d
Taille du téléchargement : 5.60 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 80 Mo (up to 1.1 Go for tests)
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU (22 SBU for tests of Guile, Go, Java, Lua, Perl, PHP, Python 2 and 3, Ruby, and Tcl)
boost-1.57.0 pour les tests, et tous les langages mentionnés dans l'introduction, en tant que dépendances d'éxécution.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/swig
Corrige un problème avec gccgo-4.9.2:
sed -e 's/"\.")/"_")/' -i Source/Modules/go.cxx
Installez SWIG en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --without-clisp \ --without-maximum-compile-warnings && make
Pour tester le résultat, tapez : make -k check. Si vous avez Python-2.7.9 et Python-3.4.2 d'installés, seulement les tests Python-2 seront lancés. Vous pouvez lancer les tests pour Python-3 en tapant PY3=1 make check-python-examples suivi par PY3=1 make check-python-test-suite. Selon la documentation de SWIG, l'échec de quelques tests ne doit pas être considéré comme alarmant.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/swig-3.0.5 && cp -v -R Doc/* /usr/share/doc/swig-3.0.5
--without-maximum-compile-warnings
:
désactive la compatibilité renforcée ansi du compilateur, qui
génère des erreurs dans les entêtes Lua (depuis Lua 5.3).
--without-<language>
:
permet de désactiver la construction des tests et exemples
pour <language>, mais tous les possibilités des
langages de SWIG sont
toujours construites.
Last updated on 2013-12-14 20:03:50 +0100
Le paquet Tcl contient le Tool Command Language, (outil de langage de commande), un langage de scriptage robuste généraliste.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/tcl/tcl8.6.3-src.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : db382feca91754b7f93da16dc4cdad1f
Taille du téléchargement : 8.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 73 Mo (includes documentation installation)(add 10MB for tests)
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU (adittional 2.2 SBU for the tests)
Documentation facultative
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/tcl/tcl8.6.3-html.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 912142f117a090e83e8ec3d771572191
Taille du téléchargement : 1.2 Mo
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/tcl
Ce paquet est aussi installé par LFS dans l'étape du bootstrap. Comme il n'est pas installé au chapitre 6 de LFS, les instructions d'installation sont incluses dans BLFS.
Si vous avez téléchargé la documentation facultative, déballez l'archive tar en exécutant la commande suivante :
tar -xf ../tcl8.6.3-html.tar.gz --strip-components=1
Installez Tcl en lançant les commandes suivantes :
export SRCDIR=`pwd` && cd unix && ./configure --prefix=/usr \ --without-tzdata \ --mandir=/usr/share/man \ $([ $(uname -m) = x86_64 ] && echo --enable-64bit) && make && sed -e "s#$SRCDIR/unix#/usr/lib#" \ -e "s#$SRCDIR#/usr/include#" \ -i tclConfig.sh && sed -e "s#$SRCDIR/unix/pkgs/tdbc1.0.2#/usr/lib/tdbc1.0.2#" \ -e "s#$SRCDIR/pkgs/tdbc1.0.2/generic#/usr/include#" \ -e "s#$SRCDIR/pkgs/tdbc1.0.2/library#/usr/lib/tcl8.6#" \ -e "s#$SRCDIR/pkgs/tdbc1.0.2#/usr/include#" \ -i pkgs/tdbc1.0.2/tdbcConfig.sh && sed -e "s#$SRCDIR/unix/pkgs/itcl4.0.2#/usr/lib/itcl4.0.2#" \ -e "s#$SRCDIR/pkgs/itcl4.0.2/generic#/usr/include#" \ -e "s#$SRCDIR/pkgs/itcl4.0.2#/usr/include#" \ -i pkgs/itcl4.0.2/itclConfig.sh && unset SRCDIR
Pour tester les résultats, lancez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && make install-private-headers && ln -v -sf tclsh8.6 /usr/bin/tclsh && chmod -v 755 /usr/lib/libtcl8.6.so
Si vous avez téléchargé la documentation facultative,
installez-la en exécutant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
mkdir -v -p /usr/share/doc/tcl-8.6.3 && cp -v -r ../html/* /usr/share/doc/tcl-8.6.3
--without-tzdata
: Ce paramètre
empêche l'installation des données de timezone fournies qui
sont plus anciennes que celles présentes dans LFS.
$([ $(uname -m) = x86_64 ]
&& echo --enable-64bit)
: Ce
paramètre est utilisé pour activer le support 64 bit dans
Tcl sur les OS 64 bit.
make install-private-headers : Cette commande est utilisée pour installer les en-têtes de l'interface bibliothèque Tcl utilisées par d'autres paquets s'ils se lient à la bibliothèque Tcl.
ln -v -sf tclsh8.6 /usr/bin/tclsh : Cette commande est utilisée pour créer un lien symbolique de compatibilité vers le fichier tclsh8.6 vu que de nombreux paquets s'attentent à trouver un fichier appelé tclsh.
sed -e ... : Le paquet Tcl s'attend à ce que l'arborescence de ses sources soit préservée afin que les paquets qui en dépendent pour leur compilation puissent les utiliser. Ce sed supprime les références au répertoire de construction et il les remplace par des emplacements plus sains de tout le système.
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet Tk contient un outil graphique TCL.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/tcl/tk8.6.3-src.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 85ca4dbf4dcc19777fd456f6ee5d0221
Taille du téléchargement : 4.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 25 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/tk
Installez Tk en lançant les commandes suivantes :
cd unix && ./configure --prefix=/usr \ --mandir=/usr/share/man \ $([ $(uname -m) = x86_64 ] && echo --enable-64bit) && make && sed -e "s@^\(TK_SRC_DIR='\).*@\1/usr/include'@" \ -e "/TK_B/s@='\(-L\)\?.*unix@='\1/usr/lib@" \ -i tkConfig.sh
L'exécution des tests n'est pas recommandé. Des échecs apparaitront dans les tests, en fonction de votre résolution d'écran, des polices installées et des autres paramètres relatif à X. Certains tests peuvent planter votre serveur X. Pour tester malgré tout les résultats, lancez : make test. Assurez-vous de l'exécuter depuis un périphérique d'affichage X Window où les extensions GLX sont chargées, sinon les tests planteront.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && make install-private-headers && ln -v -sf wish8.6 /usr/bin/wish && chmod -v 755 /usr/lib/libtk8.6.so
$([ $(uname -m) = x86_64 ]
&& echo --enable-64bit)
: Ce
paramètre active le support 64 bit dans Tk sur les OS 64 bit.
make install-private-headers : Cette commande est utilisée pour installer les en-têtes de l'interface avec la bibliothèque Tk utilisées par d'autres paquets s'ils se lient à la bibliothèque Tk.
ln -v -sf wish8.6 /usr/bin/wish : Cette commande est utilisée pour créer un lien symbolique de compatibilité vers le fichier wish8.6 vu que de nombreux paquets s'attendent à trouver un fichier nommé wish.
sed -e ... tkConfig.sh : Le paquet Tk s'attend à ce que son arborescence source soit préservée afin que les paquets qui en dépendent pour leur compilation puissent l'utiliser. Ce sed supprime les références au répertoire de construction et il les remplace par des emplacements plus sains sur tout le système.
Last updated on : 2013-03-14 02:26:59 +010
Vala est un nouveau langage de programmation visant à apporter de nouvelles fonctionnalités des langages de programmation modernes aux développeurs GNOME sans rien exiger de plus au moment de l'exécution et sans utiliser d'ABI différent par rapport aux applications et aux bibliothèques écrites en C.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/vala/0.26/vala-0.26.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/vala/0.26/vala-0.26.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : cb712cc5785e2133d58af9e54b2c79db
Taille du téléchargement : 2.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 100 Mo
Estimation du temps de construction : 1.1 SBU (ajouter 0.1 SBU pour lancer la suite de tests)
D-BUS-1.8.16 (Requis pour les tests) et libxslt-1.1.28 (Requis pour générer la documentation)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/vala
Installez Vala en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
est un compilateur qui traduit du code source Vala en sources et en-têtes C. |
|
génère un fichier GI pour des paquets basés sur GObject et GLib. |
|
vérifie les bindings générés. |
|
est un outil qui génère les fichiers de l'API de Vala (VAPI) à partir de fichiers GI. |
|
contient les fonctions de l'API de Vala. |
Last updated on : 2012-06-06 01:05:56 +020
Valgrind est une boite à outils d'instrumentation pour construire des outils d'analyses dynamiques. Il y a les outils de Valgrind qui peuvent automatiquement détecter plusieurs bogues de gestion de mémoires et de threading, et des programmes de profilages en détail. Valgrind peut également être utilisé pour construire de nouveaux outils. ing dynamic analysis tools. There are Valgrind tools that can automatically detect many memory management et threading bugs, et profile programs in detail. Valgrind can also be used to build new tools.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://valgrind.org/downloads/valgrind-3.10.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 60ddae962bc79e7c95cfc4667245707f
Taille du téléchargement : 10.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 401 Mo and an additional 20 Mo for tests
Estimation du temps de construction : 1.1 SBU and an additional 4.7 SBU for tests
boost-1.57.0, llvm-3.5.1 (avec Clang), gdb-7.9 (pour les tests), et OpenMP
libxslt-1.1.28 et texlive-20140525 (ou install-tl-unx)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/valgrind
commencez par appliquer le correctif suivant pour permettre au script configure d'utiliser glibc-2.21:
patch -Np1 -i ../valgrind-3.10.1-glibc_2.21-1.patch
Installez Valgrind en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's/-mt//g' configure && sed -i 's|/doc/valgrind||' docs/Makefile.in && ./configure --prefix=/usr \ --datadir=/usr/share/doc/valgrind-3.10.1 && make
Pour tester le résultat, tapez : make regtest. Les tests peuvent planter si gdb-7.9 n'est pas installé.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i 's/-mt//g' configure: Corrige configure pour trouver la nouvelle version de Boost
sed -i ... docs/Makefile.in : This sed provides for installing the documentation in a versioned directory.
is a program for debugging et profiling Linux executables. |
|
takes an output file produced by the Valgrind tool Callgrind et prints the information in an easy-to-read form. |
|
controls programs being run by the Valgrind tool Callgrind. |
|
is a post-processing tool for the Valgrind tool Cachegrind. |
|
compares two Cachegrind output files. |
|
merges multiple Cachegrind output files into one. |
|
takes an output file produced by the Valgrind tool Massif et prints the information in an easy-to-read form. |
|
is a server that reads debuginfo from objects stored on a different machine. |
|
listens on a socket for Valgrind commentary. |
|
is an intermediary between Valgrind et GDB or a shell. |
Last updated on 2014-03-16 00:51:18 +0100
Yasm est une réécriture complète de l'assembleur NASM-2.11.06. Il supporte les jeux d'instruction x86 et AMD64, il accepte les syntaxes d'assembleur nasm et GAS et il produit du binaire et des formats obje ELF32 et ELF64.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.tortall.net/projects/yasm/releases/yasm-1.3.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : fc9e586751ff789b34b1f21d572d96af
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 27 Mo (additional 12 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU (additional 0.1 SBU for the tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/yasm
Python-2.7.9 ou Python-3.4.2, et Cython
Installez yasm en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's#) ytasm.*#)#' Makefile.in && ./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i 's#) ytasm.*#)#' Makefile.in : Ce sed empêche la compilation de 2 programmes (vsyasm et ytasm) qui ne sont utiles que sur Microsoft Windows.
est un assembleur portable et ciblable qui supporte les jeux d'instructions x86 et AMD64, accepte les syntaxes d'assembleur nasm et GAS et il produit des binaires au format objet ELF32 et ELF64. |
|
fournit toutes les fonctions cœur de yasm, pour manipuler des instructions machine et construire des fichiers objet. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Cette section vise à vous montrer quelques outils de programmation supplémentaires pour lesquels aucune instruction n'a été créée dans le livre ou ceux non adéquats au livre. Remarquez qu'il se peut que ces paquets n'aient pas été testés par l'équipe BLFS, mais leur mention ici vise à former une source pratique d'informations supplémentaires.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/OtherProgrammingTools
A+ est un langage de programmation puissant et utile. Il est disponible librement sous la GNU General Public License. It inclut un ensemble riche de fonctions et d'opérateurs, une interface graphique moderne avec la plupart des widgets et de la synchronisation automatique de widgets et des variables, l'exécution asynchrone de fonctions associées à des variables et des événements, le chargement dynamique des sous-routines compilées pour l'utilisateur, et bien d'autres fonctionnalités. L'exécution se fait par un interpréteur plutôt efficace. A+ a été créé à Morgan Stanley. Utilisées d'abord dans un environnement d'entreprise spécialisée en informatique, beaucoup d'applications critiques écrites en A+ ont résisté aux demandes des développeurs du monde réel pendant de nombreuses années. Écrites dans un langage interprété, les applications A+ visent à être portables.
Page d'accueil du projet : http://www.aplusdev.org/
Emplacement de téléchargement : http://www.aplusdev.org/Download/index.html
ABC est un langage de programmation et un environnement interactif pour l'informatique personnel, visant à l'origine à être un bon substitut à BASIC. Il était conçu au début pour effectuer une analyse de tâche de la tâche de programmation. ABC est facile à apprendre (une heure environ pour quelqu'un qui a déjà programmé), et encore plus facile à utiliser. Conçu à l'origine comme un langage pour débutants, il a évolué vers un outil puissant pour débutants et aussi experts. Certaines fonctionnalités du langage comprennent : un ensemble puissant d'à peine cinq types de données qui combine facilement le typage fort, sans encore de déclarations, sans limites (telles que le max de int), sauf les rafinements du pur et simple épuisement de la mémoire pour supporter la programmation top-down, le nesting par indentation et les programmes pèsent en général le quart ou le cinquième d'un programme équivalent en Pascal ou en C.
Page d'accueil du projet : http://homepages.cwi.nl/~steven/abc/
Emplacement du téléchargement : http://homepages.cwi.nl/~steven/abc/implementations.html
ALF est un langage qui combine des techniques de programmation fonctionnelles et logiques. Le fondement de ALF est la clause Horn de logique avec égalité qui consiste dans des prédictions et des propositions de Horn pour la programmation logique, et des fonctions et des équations pour la programmation fonctionnelle. Le système ALF est une implémentation efficace de la combinaison de la résolution, de la réduction, de la réécriture et du rejet. Comme Prolog, ALF utilise une stratégie de backtracking correspondant à une recherche immédiatement approfondie dans l'arborescence des dérivés.
Page d'accueil du projet : http://www.informatik.uni-kiel.de/~mh/systems/ALF.html
Emplacement du téléchargement : http://www.informatik.uni-kiel.de/~mh/systems/ALF/
ASM est un environnement de manipulation de bytecode Java. Il peut être utilisé pour générer de façon dynamique des morceaux de classe ou d'autres classes de proxy directement sous forme binaire, ou pour modifier de façon dynamique des classes au moment de leur chargement, à savoir juste avant qu'ils ne soient chargés dans une machine virtuelle Java. ASM offre des fonctionnalités semblables à BCEL ou à SERP, mais il est beaucoup plus petit (33Ko au lieu de 350Ko pour BCEL et 150Ko pour SERP) et rapide que ces outils (le décalage de la transformation de classe en temps de charge est de l'ordre de 60% par rapport à ASM, 700% ou plus par rapport à BCEL, et 1100% ou plus par rapport à SERP). En effet, ASM a été conçu pour être utilisé de façon dynamique (bien qu'il fonctionne de manière statique) et a donc été conçu et implémenté pour être aussi petit et rapide que possible.
Page d'accueil du projet : http://asm.objectweb.org/
Emplacement du téléchargement : http://forge.objectweb.org/projects/asm/
BCPL est un langage simple non typé qui a été conçu en 1966 par Martin Richards et implémenté pour la première fois au MIT en le Spring de 1967.
Page d'accueil du projet : http://www.cl.cam.ac.uk/users/mr/BCPL.html
Emplacement du téléchargement : http://www.cl.cam.ac.uk/users/mr/BCPL/
BETA est développé dans l'École Scandinave de orientation objet, où a été développé le premier langage orienté objet. BETA est un langage moderne dans la tradition de Simula. Le langage qui en résulte est plus petit que Simula bien qu'il coûte beaucoup plus cher. BETA est un langage fortement typé, comme Simula Eiffel et C++, avec la plupart des contrôles de types pris en charge au moment de la compilation. Il est bien connu qu'il n'est pas possible d'obtenir la vérification de tous les types au moment de la compilation sans sacrifier le coût du langage. BETA a un bilan optimal entre le contrôle des types au moment de la compilation et au moment de l'exécution.
Page d'accueil du projet : http://www.daimi.au.dk/~beta/
Emplacement du téléchargement : ftp://ftp.daimi.au.dk/pub/beta/
<bigwig> est un langage de programmation de haut niveau pour développer des services Web interactifs. Les programmes sont compilés dans un conglomérat de technologies de bas niveau telles que le code C, HTTP, HTML, JavaScript, et SSL, tous s'exécutant en haut d'un système en cours d'exécution basé sur un module serveur Web Apache. C'est un descendant du projet Mawl mais le concept est entièrement nouveau et l'implémentation a développé de vastes ambitions. Le langage <bigwig> est véritablement un ensemble de petit langages ayant un domaine spécifique et se focalisant sur différents aspects des services Web interactifs. Ces langages de contribution sont maintenus ensembles par un langage squelettique de type C. <bigwig> a ainsi l'air et l'envie de programmes C, mais avec des données et des structures de contrôle spéciales.
Page d'accueil du projet : http://www.brics.dk/bigwig/
Emplacement du téléchargement : http://www.brics.dk/bigwig/download/
Bigloo est une implémentation de Scheme vouée à un objectif : activer le style de programmation basé sur Scheme là où C(++) est en général requis. Bigloo s'efforce de rendre Scheme pratique en offrant des fonctionnalités habituellement présentées par les langages de programmation traditionels mais non offertes par Scheme et la programmation fonctionelle. Bigloo compile des modules Scheme et délivre des exécutables binaires autonomes petits et rapides. Cela donne une connexion complète entre Scheme et les programmes C, entre Scheme et les programmes Java et entre Scheme et les programmes C#.
Page d'accueil du projet : http://www-sop.inria.fr/mimosa/fp/Bigloo/
Emplacement du téléchargement : ftp://ftp-sop.inria.fr/mimosa/fp/Bigloo/
C-- est un langage assembleur portable qui peut être généré par une interface et implémenté par n'importe quel générateur de code. Il sert d'interface entre les compilateurs de haut niveau et ceux qu'on peut recibler, optimisant les générateurs de code. Les auteurs des interfaces et des générateurs de code peuvent facilement coopérer.
Page d'accueil du projet : http://www.cminusminus.org/
Emplacement du téléchargement : http://www.cminusminus.org/code.html
Caml est un langage de programmation généraliste, conçu dans l'esprit de la sûreté du programme et de sa fiabilité. Il est très intuitif, facile à apprendre et à utiliser. Caml supporte les styles de programmation fonctionnelle, impérative et orientée objet. Il est développé et distribué par l'INRIA, l'Institut National de Recherche en Informatique français, depuis 1985. Le système Caml Objective est l'implémentation principale du langage Caml. Il offre un système de module puissant et une couche à part entière orientée objet. Il est fourni avec un compilateur de code natif qui supporte de nombreuses architectures, pour de hautes performances ; un compilateur bytecode, pour une portabilité accrue ; et une boucle interactive, pour l'expérimentation et le développement rapide.
Page d'accueil du projet : http://caml.inria.fr/
Emplacement du téléchargement : http://caml.inria.fr/pub/distrib/
Ch est un interpréteur C/C++ embarquable pour scripter sur des plate-formes croisées : programmation shell, restitution 2D/3D, calcul numériqke, faire du script embarqué.
Page d'accueil du projet : http://www.softintegration.com/
Emplacement du téléchargement : http://www.softintegration.com/products/chstandard/download/
Clean est généraliste, conçu pour l'art (state-of-the-art, pour de la programmation à couche purement fonctionnelle afin de faire des applications pour le monde réel. Clean est le seul langage fonctionnel du monde qui offre du typage singularisé. Ce systèmes de typage rend possible dans un langagement purement fonctionnel d'incorporer des mises à jour destructrices de structures de données de votre choix (y compris les échelles) et de mettre à disposition directe des interfaces avec le monde impératif extérieur. Le système de typage rend possible le développement d'applications efficaces.
Page d'accueil du projet : http://wiki.clean.cs.ru.nl/Clean
Emplacement du téléchargement : http://wiki.clean.cs.ru.nl/Download_Clean
Cyclone est un langage de programmation basé sur le C qui est sécurisé, c'est-à-dire qu'il exclut les programmes ayant des débordements de mémoire, des pointeurs en suspens, des attaques de chaîne de format, et ainsi de suite. De haut niveau, les langages aux types sécurisés tels que Java, Scheme, ou ML offrent aussi cette sécurité, mais ils ne donnent pas le même contrôle des représentations des données et de la gestion de mémoire que le C (sans compter le fait que les systèmes d'exécution de ces langages sont en général écrits en C.) Au surplus, le portage du code C de base vers ces langages ou l'interfaçage avec les bibliothèques C est un processus difficile et source d'erreurs. Le but de Cyclone est de donner aux programmeurs le même contrôle de bas niveau et la performance du C sans y sacrifier la sécurité, et d'en faciliter le portage ou l'interfaçage avec le code C de base.
Page d'accueil du projet : http://cyclone.thelanguage.org/
Emplacement du téléchargement : http://cyclone.thelanguage.org/wiki/Download/
D est un langage de programmation pour les systèmes et les les applications généralistes. C'est un langage de plus haut niveau que C++, mais il en tire la possibilité d'écrire du code et une interface de haute performance et directs avec les APIs du système d'exploitation et le matériel. D convient très bien pour écrire des médias de grande échelle et des programmes de millions de lignes avec des équipes de développeurs. Il est facile à apprendre, il offre de nombreuses fonctionnalités pour aider le programmeur, il s'adaptera à la technologie des optimisations agressives du compilateur. D n'est ni un langage de scriptage ni un langage interprété. Il n'est pas fourni avec une VM, une religion ou une philosophie remplaçantes. C'est un langage pratique pour des progpammeurs pragmatiques qui ont besoin que le boulot se fasse rapidement, de façon fiable et en laissant derrière un code maintenable et facile à comprendre. D est l'aboutissement de décennies d'expérience dans l'implémentation des compilateurs pour beaucoup de langages variés, essayant de bâtir de gros projets en utilisant les langages. Il tire son inspiration ces autres langages (en particulier C++) et il le tempère avec l'expérience et la pratique du monde réel.
Page d'accueil du projet : http://www.digitalmars.com/d/
Emplacement du téléchargement : ftp://ftp.digitalmars.com/
DMDScript signifie implémentation de Digital Mars du langage de scriptage ECMA 262. Sur l'implémentation de Netscape appelée JavaScript, l'implémentation de Microsoft est appelée JScript. DMDScript est beaucoup plus rapide que les autres implémentations, ce que vous pouvez périfier avec les tests de performance inclus.
Page d'accueil du projet : http://www.digitalmars.com/dscript/index.html
Emplacement du téléchargement : ftp://ftp.digitalmars.com/
Le but de DotGNU Portable.NET est de construire une suite de logiciels libres pour construire et exécuter des applications .NET, y compris un compilateur, un assembleur, un désassembleur et un moteur d'exécution C#. Si la plate-forme cible était au début GNU/Linux, il est aussi connu pour fonctionner sous Windows, Solaris, NetBSD, FreeBSD et MacOS X. Le moteur d'exécution a été testé sur les processeurs x86, PowerPC, ARM, Sparc, PARISC, s390, Alpha, et IA-64. DotGNU Portable.NET fait partie du projet DotGNU, construit selon las exigences du projet GNU. DotGNU Portable.NET se concentre sur la compatibilité avec les spécifications ECMA pour CLI. Il y a d'autres projets sous le méta-projet DotGNU pour construire d'autres parties nécessaires de l'infrastructure et pour explorer des approches non CLI pour une implémentation sur machine virtuelle.
Page d'accueil du projet : http://www.gnu.org/software/dotgnu/
Emplacement du téléchargement : http://www.gnu.org/software/dotgnu/pnet-packages.html
Dylan est un langage avancé, orienté objet et dynamique qui supporte le développement de programmes rapides. Lorsque cela est nécessaire, les programmes peuvent être optimisés pour une exécution plus efficace en offrant davantage d'informations de type au compilateur. Presque toutes les entités dans Dylan (y compris les fonctions, les classes et les types données de base tels que les entiers) sont d'abord des classes objet. En outre, Dylan supportse plusieurs héritages, le polymorphisme, le dispatch multiple, les arguments mots-clés, l'introspection objet, les macros et beaucoup d'autres fonctionnalités avancées... --Peter Hinely.
Page d'accueil du projet : http://www.opendylan.org/
Emplacement du téléchargement : http://opendylan.org/download/index.html
E est un langage de scriptage sécurisé distribué et basé sur Java pour une plate-forme et un p2p purement orientée objet. Il comprend deux parties : ELib et le langage E. Elib fournit les éléments continuant entre les objets. En tant que bibliothèque pure Java, ELib distribue une programmation ayant une capacité sécurisée inter-processeurs. Son protocole de capacité de chiffrement permet aux processus Java malveillants de coopérer mutuellement en sécurité et son concurrency de boucle d'événements et son pipelining promis permettent que le deadlock de haute performance soit distribué librement dans un calcul purement en objet. Vous pouvez utiliser le langage E pour exprimer ce qu'il se passe dans un objet. Il offre une notation pratique et familière pour le modèle de calcul ELib, vous pouvez donc programmer dans un modèle plutôt que dans deux. Sous certaines précautions, cette notation s'étend à Kernel-E, un langage lambda minimaliste ressemblant beaucoup à Scheme ou à Smalltalk. Des objets écrits en langage E ne peuvent interagir qu'avec d'autres objets respectant les sémantiques d'ELib, ce qui permet une sécurité entre processus de granularité objets, comprenant la possibilité d'exécuter en sécurité du code mobile non trusté (tel que caplets).
Page d'accueil du projet : http://www.erights.org/
Emplacement du téléchargement : http://www.erights.org/download/
elastiC est un langage interprété portable orienté objet de haut niveau ayant un syntaxe similaire au C. Ses caractéristiques principales sont : open source, interprété, il a une compilation bytecode portable, le typage dynamique, la récupération des déchets très rapide et vraiment automatique, orienté objet avec le support de la méta-programmation (à la Smalltalk), support de programmation fonctionnelle, (guillemets à la Scheme avec une finalité lexicale, et fonctionnalité du type eval), espaces de noms hiérarchisés, un ensemble riche de types intégrés utiles (gamme dynamique, dictionnaires, symboles, ...), extensible avec le C (vous pouvez ajouter des fonctions, des types, des classes, des méthodes, des paquets, ...), embarquables dans le C. elastiC a beaucoup été influencé par le C, Smalltalk, Scheme et Python et il essaie de rassembler les meilleures caractéristiques de tous ces langages tout en maintenant toujours sa personnalité unique de façon cohérente.
Page d'accueil du projet : http://www.elasticworld.org/
Emplacement du téléchargement : http://www.elasticworld.org/download.html
Erlang/OTP est un environnement de développement basé sur Erlang. Erlang est un langage de programmation ayant beaucoup de fonctionnalités associées plus souvent à un système d'exploitation qu'à un langage de programmation : processus en même simultanés, horodatage, gestion de mémoire, distribution, réseau, etc. La version open-source initiale d'Erlang contient l'implémentation d'Erlang ainsi qu'une grande partie du middleware d'Ericsson pour construire des systèmes distribués très disponibles. Erlang se caractérise par les fonctionnalités suivantes : robuste, temps réel logiciel, mises à jour à chaud du code et chargement incrémental du code.
Page d'accueil du projet : http://www.erlang.org/
Emplacement du téléchargement : http://www.erlang.org/download.html
Euphoria est un langage de programmation simple, flexible et facile à apprendre. Il vous permet de développer facilement et rapidement des programmes pour Windows, DOS, Linux et FreeBSD. Euphoria a été publié pour la première fois en 1993. Depuis, Rapid Deployment Software l'améliore progressivement à l'aide du nombre croissant d'utilisateurs motivés. Bien que Euphoria fournisse le contrôle des sous-scripts, des variables non initialisées et de nombreux autres pendant l'exécution, il est extrêmement rapide. Les gens l'utilisent pour développer des jeux DOS très rapides, des programmes GUI Windows et des programmes X Windows Linux. Il est aussi très utile pour la programmation CGI (basé sur le Web).
Page d'accueil du projet : http://www.rapideuphoria.com/
Emplacement du téléchargement : http://www.rapideuphoria.com/v20.htm
Felix est un langage de programmation procédural de type Algol avec un sous-système fonctionnel fort. Il a pour caractéristique le typage statique du style ML, les fonctions de première classe, la correspondance de modèle, la récupération des déchets, le polyformisme et il a un support intégré de microthreading haute performance, du parsing d'expressions régulières et du contexte libre. Le système offre un ensemble de scriptage pour pouvoir utiliser le langage comme d'autres langages de scriptage tels que Python et Perl, mais il génère en-dessous du code natif pour obtenir une haute performance. Une fonctionnalité clé du système tient à ce qu'il utilise le modèle objet de C/C++ et qu'il offre un sous-langage de binding avancé pour supporter l'intégration avec C/C++, tant au niveau du source que de l'objet, aussi bien pour les types de données C/C++ embarquées que les fonctions de Felix et pour les Felix emballés dans les architectures C++ existantes. Le compilateur Felix est écrit en Objective Caml et il génère du C++ ISO qui devrait se compiler sur n'importe quelle plate-forme.
Page d'accueil du projet : http://felix.sourceforge.net/
Emplacement du téléchargement : http://felix-lang.org/$/usr/local/lib/felix/tarballs
ferite est un langage et un moteur de scriptage compris dans un ensemble gérable. Il est conçu pour être facilement étendu en termes d'API et pour être utilisé dans d'autres applications qui les rendent plus configurables et utiles pour l'utilisateur final. Il a une syntaxe identique à un certain nombre d'autres langages mais il demeure propre et garde son propre langage.
Page d'accueil du projet : http://www.ferite.org/
Emplacement du téléchargement : http://www.ferite.org/download.html
Forth est un langage basé sur des piles et extensible sans vérification des types. Il est probablement plus connu pour sa notation mathématique en "polonais inversé (postfix), familier pour les utilisateurs des calculatrices Hewlett-Packard. Forth est un langage de programmation en temps réel développé à l'origine pour contrôler les téléscopes. Forth a de nombreuses fonctionnalités et de nombreuses applications uniques : il peut se compiler dans un nouveau compilateur, coder en polonais inversé, éditer la vérification d'erreurs de temps et la compilation (comme BASIC), langage basé sur un thread extrêmement efficace, il peut être utilisé pour s'auto déboguer, extensible ; il peut ainsi devenir ce dont vous aviez toujours besoin qu'il soit. Les liens ci-dessous mènent au site Internet du Forth Interest Group (FIG), une association mondiale à but non lucratif visant l'enseignement et la promotion du langage informatique Forth. Un autre site Internet mondial consacré à la commaunauté Forth est http://wiki.forthfreak.net/.
Page d'accueil du projet : http://www.forth.org/
Emplacement du téléchargement : http://www.forth.org/compilers.html
GNU Smalltalk est une implémentation libre du langage Smalltalk-80 qui fonctionnent sur la plupart des versions d'Unix et, en général, partout où vous pouvez trouver une bibliothèque conforme à POSIX. Une fonctionnalité originale est qu'il est orienté vers des tâches de scriptage des actes de headless. Voir http://www.gnu.org/software/smalltalk/manual/html_node/Overview.html pour une explication plus détaillée de GNU Smalltalk.
Page d'accueil du projet : http://smalltalk.gnu.org/
Emplacement du téléchargement : http://ftp.gnu.org/gnu/smalltalk/
Haskell est un langage de programmation informatique. En particulier, c'est un langage typé de façon polymorphe, avec une couche, purement fonctionnel, très différent de la plupart des autres langages de programmation. Le langage s'appelle Haskell Brooks Curry, dont le travail en logique mathématique sert de fondement aux langages fonctionnels. Haskell se base sur des calculs lambda. Il y a de nombreuses implémentations de Haskell, parmi lesquelles :
Hugs : http://www.haskell.org/hugs/
nhc98 : http://www.haskell.org/nhc98/
Le langage HLA a été développé en tant qu'outil pour aider à enseigner la programmation en langage d'assembleur et l'organisation machine aux étudiants de l'Université de Californie, Riverside. L'idée de base était d'enseigner aux étudiants la programmation en langage d'assembleur en s'appuyant sur leurs connaissances en langages de haut niveau comme le C/C++ et le Pascal/Delphi. En même temps, HLA a été conçu pour permettre aux programmeurs en assembleur avancés d'écrire un code en langage assembleur plus lisible et plus puissant.
Page d'accueil du projet : http://www.plantation-productions.com/Webster/HighLevelAsm/index.html
Emplacement du téléchargement : http://www.plantation-productions.com/Webster/HighLevelAsm/dnld.html
Icon est un langage de programmation de haut niveau généraliste ayant un large éventail de fonctionnalités pour traiter des structures de données et des chaînes de caractères. C'est un langage impératif, procédural avec une syntaxe rappelant le C et le Pascal mais avec des sémantiques à niveau beaucoup plus élevé.
Page d'accueil du projet : http://www.cs.arizona.edu/icon/
Emplacement du téléchargement : ftp://ftp.cs.arizona.edu/icon/
Io est un petit langage de programmation basé sur un prototype. La plupart des idées de Io s'inspirent de Smalltalk (toutes les valeurs sont des objets), de Self (basée sur le prototype), NewtonScript (héritage différentiel), Act1 (les acteurs et les prémices pour l'aspect simultané), LISP (on peut observer/modifier l'arborescence du code en cours d'exécution), et Lua (petit, embarquable).
Page d'accueil du projet : http://iolanguage.org
Emplacement du téléchargement : http://iobin.suspended-chord.info/
J est un langage de programmation moderne, de haut niveau, généraliste, à haute performance. Il est portable et fonctionne sur des portables Windows, Unix, Mac, and PocketPC, autant en graphique qu'en console. De vrais systèmes J 64 bits sont disponibles sur XP64 ou Linux64, sur AMD64 ou des plate-formes Intel EM64T. Les systèmes J peuvent être installés et distribués librement.
Page d'accueil du projet : http://www.jsoftware.com/
Emplacement du téléchargement : http://www.jsoftware.com/stable.htm
Jamaica, l'asseubleur macro JVM, est un langage d'assembleur facile à utiliser et à apprendre pour la programmation en bytecodes JVM. Il utilise la syntaxe Java pour définir une classe JVM, sauf pour le corps de la méthode qui prend des instructions en bytecode, y compris des macros intégrées de Jamaica. Dans Jamaica, les instructions en bytecode utilisent des noms nemonics et symboliques pour toutes les variables, les paramètres, les champs de données, les constantes et les étiquettes.
Page d'accueil du projet : http://judoscript.org/jamaica.html
Emplacement du téléchargement : http://judoscript.org/download.html
Joy est un langage de programmation purement fonctionnel. Alors que les autres langages fonctionnels se basent sur l'application de fonctions à des arguments, Joy se base sur la création de fonctions. De telles fonctions ainsi créées prennent en argument une pile et elles produisent comme valeur une pile. Par conséquent, une grande part du langage Joy ressemble à de la notation postfix ordinaire. Cependant, dans Joy, une fonction peut consommer n'importe quel nombre de paramètres à partir de la pile et laisser n'importe quel nombre de résultats sur la pile. La concaténation des programmes appropriés révèle la composition des fonctions que révèlent les programmes.
Page d'accueil du projet : http://www.latrobe.edu.au/humanities/research/research-projects/past-projects/joy-programming-language
Judo est un langage de scriptage pratique et fonctionnel. Il est conçu pour traiter des cas d'utilisation d'une programmation non uniquement basée sur l'algorithme/orientée objet/multithreadée et le scriptgag Java, mais aussi pour de nombreuses tâches de domaine d'application majeures telles que le scriptage pour JDBC, WSDL, ActiveX, OS, plusieurs formats de fichier/données, etc. Malgré ses possibilités riches, le langage de base est extrêmement simple et sa syntaxe de support de domaine est complètement intuitive pour les experts en domaine, si bien que même si vous n'avez jamais programmé en Judo, vous auriez peu de difficultés à comprendre ce que fait le code.
Page d'accueil du projet : http://judoscript.org/judo.html
Emplacement du téléchargement : http://judoscript.org/download.html
JWIG est un langage de programmation de haut niveau basé sur Java pour le développement de services Web interactifs. Il contient un modèle avancé de session, un mécanisme flexible pour la construction dynamique de documents XML, en particulier XHTML, et une API puissante pour simplifier l'utilisation du protocole HTTP, et bien d'autres aspects de la programmation de services Web. Pour supporter le développement d'un programme, JWIG offre une suite unique d'analyseurs de programmes hautement spécialisés qui vérifie au moment de la compilation que, dans un programme donné, aucune erreur ne se produira au moment de son exécution lors de la construction de documents ou de la réception d'un formulaire complété, et que tous les documents affichés sont valides selon la définition du type de document pour XHTML 1.0. L'objectif principal du projet JWIG est de simplifier le développement de services Web complexes par rapport à des alternatifs tels que Servlets, JSP, ASP, et PHP. JWIG est un héritier du langage de recherche <bigwig>.
Page d'accueil du projet : http://www.brics.dk/JWIG/
Emplacement du téléchargement : http://www.brics.dk/JWIG/download.html
Lava est le nom malheureusement choisi pour plusieurs langages/projets de développement de logiciels divers. Bien que BLFS n'en préfère aucun par rapport à l'autre, les sites Internet des projets sont listés ci-dessous, sans description des possibilités ou des fonctionnalités de l'un d'entre eux.
Page d'accueil du projet : http://lavape.sourceforge.net/index.htm
Page d'accueil du projet : http://mathias.tripod.com/IavaHomepage.html
Mercury est un nouveau langage de programmation logique/fonctionnel qui associe la clarté et l'expressivité de la programmation déclarative avec l'analyse statique avancée et des fonctionnalités de détection d'erreurs. Son algorithme d'exécution hautement optimisé offre une bien plus grande efficacité que les systèmes de programmation logique existants, et se limitant aux systèmes de programmation conventionnels. Mercury traite les problèmes de développement de programmes à granee échelle en permettant la modularité, la compilation séparée et de nombreux trade-off d'optimisation/de temps.
Page d'accueil du projet : http://mercurylang.org/
Emplacement du téléchargement : http://mercurylang.org/download.html
Mono offre le logiciel nécessaire pour développer et exécuter des applications clients et serveurs .NET sur Linux, Solaris, Mac OS X, Windows, et Unix. Soutenu par Novell, le projet open source Mono dispose d'une communauté de contributeurs active et motivée et peut devenir le choix final pour le développement d'applications Linux.
Page d'accueil du projet : http://www.mono-project.com/Main_Page
Emplacement du téléchargement : http://ftp.novell.com/pub/mono/archive/
MPD est une variante du langage de programmation SR. SR dispose d'une syntaxe ressemblant au Pascal et il utilise des commandes réservées pour l'établissement de contrôles. MPD a une syntaxe et des établissements de contrôle similaires au C. Cependant, les composants principaux des deux langages sont les mêmes : ressources, globales, opérations, procs, procédures, processus et machines virtuelles. De plus, MPD supporte la même variété de mécanismes de programmation simultanés que SR : co établissements, sémaphores, invocations d'appel/envoi/transfert et établissements de réceptions et d'entrées.
Page d'accueil du projet : http://www.cs.arizona.edu/mpd/
Emplacement du téléchargement : http://www.cs.arizona.edu/mpd/download/
Nemerle est un langage de programmation de haut niveau typé de façon statique pour la plate-forme .NET. Il offre des fonctionnalités fonctionnelles, orientées objet et impératives. Il dispose d'une syntaxe similaire au C et d'un puissant système de méta-programmation. Des fonctionnalités issues de la sphère fonctionnelle sont des variantes, une correspondance de modèle, la déduction de types et le polymorphisme des paramètres (génériques aka). Le système de méta-programmation permet une extensibilité énorme du compilateur, des langages spécifiques à des matières dans l'embarqué, l'évaluation partielle et la programmation orientée objet.
Page d'accueil du projet : http://nemerle.org/About
Emplacement du téléchargement : http://nemerle.org/Downloads
GNU Octave est un langage de haut niveau, conçu à la base pour des calculs numériques. Il fournit une interface pratique en ligne de commande pour résoudre des problèmes linéaires et non linéaires de façon numérique, et pour effectuer d'autres expérimentations numériques en utilisant un langage qui est compatible avec la plupart des Matlab. Il peut aussi être utilisé en tant que langage orienté batch. Octave dispose d'outils extensibles pour résoudre des problèmes d'algèbre linéaire numériques courants, pour rechercher les racines des équations non linéaires, pour intégrer des fonctions ordinaires, pour manipuler des polynômes et pour intégrer des différenciels ordinaires et des équations algébriques différencielles. Il est facilement extensible et personnalisables à travers des fonctions définies par l'utilisateur écrites dans le propre langage Octave, ou en utilisant des modules chargés de façon dynamique et écrits en C++, C, Fortran, ou dans d'autres langages.
Page d'accueil du projet : http://www.gnu.org/software/octave/
Emplacement du téléchargement : http://www.gnu.org/software/octave/download.html
OO2C est une plate-forme de développement Oberon-2. Il consiste dans un compilateur d'optimisation, dans un certain nombre d'outils liés, dans un ensemble de modules de bibliothèque standards et dans un manuel de référence. Oberon-2 est un langage de programmation généraliste dans la tradition de Pascal et de Modula-2. Ses fonctionnalités les plus importantes sont la structure en blocs, la modularité, la compilation séparée, le typage statique avec un contrôle rigoureux des types (même dans les limites du module) et l'extension de type avec des procédures spécifiques aux types. L'extension de type fait d'Oberon-2 un langage orienté objet.
Page d'accueil du projet : http://sourceforge.net/projects/ooc/
Emplacement du téléchargement : http://downloads.sourceforge.net/ooc/
OGDL est un format de texte structuré qui représente des informations sous la forme de graphes, où les nœuds sont des chaînes et les arcs ou les bords sont des espaces ou de l'indentation.
Page d'accueil du projet : http://ogdl.sourceforge.net/
Emplacement du téléchargement : http://downloads.sourceforge.net/ogdl/
Pike est un langage de programmation dynamique ayant une syntaxe similaire au Java et au C. Il est simple à apprendre, il n'exige pas de longues passes de compilation et il a des types de données intégrés puissants permettant la manipulation simple et rapide de données. Pike is publié sous la GNU GPL, GNU LGPL et MPL.
Page d'accueil du projet : http://pike.ida.liu.se/
Emplacement du téléchargement : http://pike.ida.liu.se/download/pub/pike
Pyrex est un langage spécialement conçu pour écrire des modules d'extension Python. Il est conçu pour combler le fossé entre le monde sympathique, de haut niveau et facile à utiliser de Python et le monde cahotique de bas niveau du C. Pyrex vous permet d'écrire du code qui mélange des types de données Python et C de la façon que vous voulez et de le compiler dans une extension C pour Python.
Page d'accueil du projet : http://www.cosc.canterbury.ac.nz/greg.ewing/python/Pyrex/
Q est un langage de programmation fonctionnel basé sur la réécriture du terminal. Un programme Q ou un « script » est ainsi simplement un ensemble d'équations utilisées pour évaluer les expressions d'une manière symbolique. Les équations établissent établissent des identifieurs algébriques et sont interprétées comme la réécriture de règles afin de réduire des expressions en des « formes normales ».
Page d'accueil du projet : http://q-lang.sourceforge.net/
Emplacement du téléchargement : http://downloads.sourceforge.net/q-lang/
R est un langage et un environnement pour le calcul statistique et les graphiques. C'est un projet GNU similaire au langage et à l'environnement S qui a été développé dans les laboratoires Bell (anciennement AT&T, maintenant Lucent Technologies) par John Chambers et ses collègues. R peut être considéré comme une implémentation différente du S. Il y a des différences importantes mais beaucoup de code écrit pour S fonctionne sans effort sous R. R fournit une grande variété de statistiques (modélisation linéaire et non linéaire, tests statistiques classiques, analyses de séries temporelles, classification, clustering, ...) et de techniques graphiques, et il est hautement extensible. Le langage S est souvent le choix privilégié pour la recherche en méthodologie statistiques et R offre une voie open source pour participer à cette activité.
Page d'accueil du projet : http://www.r-project.org/
Emplacement du téléchargement : http://cran.r-project.org/mirrors.html
Regina est un interpréteur Rexx qui porté vers la plupart des plate-formes Unix (Linux, FreeBSD, Solaris, AIX, HP-UX, etc.) et vers OS/2, eCS, DOS, Win9x/Me/NT/2k/XP, Amiga, AROS, QNX4.x, QNX6.x BeOS, MacOS X, EPOC32, AtheOS, OpenVMS, SkyOS et OpenEdition. Rexx est un langage de programmation conçu pour être facile à utiliser par des programmeurs inexpérimentés mais assez puissant pour des utilisateurs expérimentés. C'est aussi un langage qui convient parfaitement pour être un langage de macro pour d'autres applications.
Page d'accueil du projet : http://regina-rexx.sourceforge.net/
Emplacement du téléchargement : http://downloads.sourceforge.net/regina-rexx
SDCC est un compilateur gratuit, qu'on peut recibler et qui optimise l'ANSI-C et qui cible Intel 8051, Maxim 80DS390 et les MCUs basés sur Zilog Z80. Le travail progresse autour du support de Motorola 68HC08 et des séries Microchip PIC16 et PIC18. Tout le code source pour le compilateur est distribué sous la GPL.
Page d'accueil du projet : http://sdcc.sourceforge.net/
Emplacement du téléchargement : http://sdcc.sourceforge.net/snap.php#Source
SmartEiffel se veut être « le compilateur multi-plate-formes Eiffel le plus rapide et le plus léger de la terre ». Eiffel est un langage de programmation orienté objet qui met en valeur la production de logiciels robustes. Sa syntaxe est orientée mots-clés dans la tradition d'ALGOL et du Pascal. Eiffel typé de façon très statique, avec une gestion automatique de la mémoire (gérée en général par la récupération de déchets). Une des caractéristiques remarquables d'Eiffel inclut le Design by contract (DbC, la conception par contraction), utilisation libérale de l'héritage comprenant plusieurs héritages, des sémantiques de gestion de type système à la fois en valeur et en référence et des classes génériques. Eiffel dispose d'un système de type unifié—tous les types d'Eiffel sont des classes, donc il est possible de créer des sous-classes de classes de base telles que INTEGER. Eiffel dispose d'une surcharge de l'opérateur, comprenant la possibilité de définir de nouveaux opérateurs, mais qui ne dispose d'aucune méthode de surcharge.
Page d'accueil du projet : http://smarteiffel.loria.fr/
Emplacement du téléchargement : https://gforge.inria.fr/frs/?group_id=184
Squeak est une implémentation ouverte, et très portable de Smalltalk, avec laquelle est écrite la machine virtuelle in Smalltalk, ce qui la rend facile à déboguer, à analyser et à modifier. Pour obtenir des performances pratiques, un traducteur produit un programme équivalent à du C dont la performance est comparable à des Smalltalks commerciales. D'autres aspects intéressants de Squeak incluent : le son en temps réel et le synthétiseur de musique écrit complètement en Smalltalk, extensions de BitBlt pour gérer la couleur de n'importe quelle profondeur et la rotation et l'échelonage d'images sans aliases, le support de l'accès réseau qui permet de construire facilement des serveurs et d'autres infrastructures utiles, il exécute des bits identiques sur beaucoup de plate-formes (Windows, Mac, Unix, et autres), un format objet compact qui n'exige en général qu'un mot d'overhead par objet et un collecteur de déchets simple mais efficace pour les pointeurs direct 32 bits et une mutation de masse efficace des objets.
Page d'accueil du projet : http://www.squeak.org/
Emplacement du téléchargement : http://www.squeak.org/Download/
SR est un langage pour écrire des programmes concurrents. Les constructions principales du langage sont les ressources et les opérations. Les ressources encapsulent des processus et des variables qu'elles partagent ; les opérations fournissent le mécanisme primaire de l'interaction de processus. SR offre une intégration originale des mécanismes pour les opérations appel et de mise en service. Par conséquent, tout l'appel local et la procédure distante rendezvous, laisser un message, la création de processus dynamiques, le multicast, et les sémaphores sont supportées. SR supporte aussi des variables globales et des opérations partagées.
Page d'accueil du projet : http://www.cs.arizona.edu/sr/index.html
Emplacement du téléchargement : ftp://ftp.cs.arizona.edu/sr/
ML Standard est un langage de programmation sécurisé, modulaire, strict, fonctionnel, polymorphe avec une vérification de type au moment de la compilation et l'inference de type, la récupération des déchets, la gestion des exceptions, les types de données immuables et des références qui peuvent être mises à jour, des types de données abstraits et des modules paramétriques. Il comporte des implémentations efficaces et une définition formelle avec un épreuve sans sons. Il existe de nombreuses implémentations du ML Standard, parmi lesquelles :
Kit ML : http://www.it-c.dk/research/mlkit/
MLton : http://mlton.org/
Poly/ML : http://www.polyml.org/
ML Standard de New Jersey : http://www.smlnj.org/
SBCL est un compilateur en un système d'exécution immédiate open source (logiciel libre) pour l'ANSI Common Lisp. Il offre un environnement interactif comprenant un compilateur natif intégré, un débogueur et beaucoup d'extensions. SBCL fonctionne sur un grand nombre de plate-formes.
Page d'accueil du projet : http://www.sbcl.org/
Emplacement du téléchargement : http://downloads.sourceforge.net/sbcl/
Tiny C Compiler est un petit compilateur C qui peut être utilisé pour compiler et exécuter du code C n'importe où, par exemple sur des disques de secours (environ 100Ko pour un exécutable TCC x86, y compris le préprocesseur C, le compilateur C, l'assembleur et l'éditeur de liens). TCC est rapide. Il génère du code x86 optimisé, il n'a pas de bytecode overhead et il compile, assemble et lie beaucoup plus vite que GCC. TCC est souple, n'importe quelle bibliothèque C dynamique peut être directement utilisée. Il se rapproche des exigences complètes de ISOC99 et il peut se compiler. Le compilateur est sécurisé car il inclut un vérificateur de mémoire et de liens facultatif. Le code des liens vérifiés peut être librement mêlé avec du code standard. TCC compile et exécute directement du code source C. Pas besoin d'édition de liens ou de d'assemblage. Un préprocesseur C complet et un assembleur de type GNU est inclu. Le script C est supporté ; ajoutez simplement « #!/usr/local/bin/tcc -run » sur la première ligne de votre source C, et exécutez-le directement depuis la ligne de commande. Avec libtcc, vous pouvez utiliser TCC comme support pour la génération de code dynamique.
Page d'accueil du projet : http://bellard.org/tcc/
Emplacement du téléchargement : http://download.savannah.gnu.org/releases-noredirect/tinycc/
TinyCOBOL est un compilateur COBOL développé par les membres de la communauté du logiciel libre. Sa mission est de produire un compilateur COBOL basé sur les standards COBOL 85. TinyCOBOL est disponible pour l'architecture Intel (IA32) et les processeurs compatibles sur les plate-formes suivantes : BeOS, FreeBSD, Linux et MinGW sur Windows.
Page d'accueil du projet : http://sourceforge.net/projects/tiny-cobol/
Emplacement du téléchargement : http://downloads.sourceforge.net/tiny-cobol/
Yorick est un langage de programmation interprété conçu pour traiter et gérer de grands codes de simulation scientifique. Des simulations ou des calculs scientifiques plus petits, tels que le passé flottant d'une aile ou le déplacement d'une peau, peuvent être écrits sous forme de programmes yorick autonomes. Les fonctionnalités de langue, une syntaxe compacte pour de nombreuses opérations d'échelle habituelle, donc il calcule des nombres à grande échelle de façon très efficace. Contrairement à beaucoup d'interpréteurs, qui sont cent fois plus lents que le code compilé pour la récupération de nombres, Yorick effectuer de nombreuses tâches courantes avec une vitesse réduite d'un facteur approchant quatre ou cinq. De façon superficielle, le code Yorick ressemble à du code C mais les variables Yorick ne sont jamais explicitement déclarées et elles ont un pointage dynamique similaire à de nombreux dialectes Lisp. Vous pouvez trouver la page d'accueil « non officielle » de Yorick sur http://www.maumae.net/yorick.
Page d'accueil du projet : http://yorick.sourceforge.net/index.php
Emplacement du téléchargement : http://sourceforge.net/projects/yorick/files/
ZPL est un langage de programmation d'échelle conçu à partir des principes d'exécution rapide des ordinateurs séquentiels et parallèles. Il offre un média de programmation pratique de haut niveau pour les super-ordinateurs et les clusters à grande échelle d'une efficacité comparable au passage de messages codés à la main. C'est l'alternative parfaite à l'utilisation d'un langage séquentiel tel que le C ou Fortran et à une bibliothèque de passage de messages comme MPI.
Page d'accueil du projet : http://www.cs.washington.edu/research/zpl/home/index.html
Emplacement du téléchargement : http://www.cs.washington.edu/research/zpl/download/download.html
BECL vise à donner aux
utilisateurs une possibilité pratique pour analyser, créer
et manipuler des fichiers de classe Java (binaires) (ces
dernier se terminant par .class
). Les classes sont représentées
par des objets qui contiennent toutes les informations
symboliques de la classe donnée : en particulier les
méthodes, les champs et les instructions de code byte. De
tels objets peuvent être lus à partir d'un fichier
existant, elles peuvent être transformées par un programme
(comme un chargeur de classes au moment de l'exécution) et
renvoyées vers un fichier. Une application encore plus
intéressante consiste dans la création de classes à partir
de rien au moment de l'exécution. La bibliothèque
d'ingénierie de code byte (Byte Code Engineering Library)
peut aussi être utile si vous voulez en apprendre davantage
sur la machine virtuelle Java (Java Virtual Machine, JVM)
et le format des fichiers Java .class
. BCEL est déjà utilisé avec succès dans
plusieurs projets tels que des compilateurs, des
optimiseurs, des assombrisseurs, des générateurs et des
analyseurs de code.
Page d'accueil du projet : http://jakarta.apache.org/bcel/index.html
Emplacement du téléchargement : http://archive.apache.org/dist/jakarta/bcel/
Choco est une bibliothèque Java pour les problèmes de satisfaction des contraintes (constraint satisfaction problems, CSP), la programmation contrainte (constraint programming, (CP) et la résolution contrainte basée sur l'explication (explanation-based constraint solving, e-CP). Il se base sur un mécanisme d'extension basé sur l'événement avec des structures qu'on peut suivre.
Page d'accueil du projet : http://sourceforge.net/projects/choco/
Emplacement du téléchargement : http://choco.sourceforge.net/download.html
FFTW est une bibliothèque de sous-routine C pour calculer la transformation distincte Fourier (discrete Fourier transform, DFT) dans une ou plusieurs dimensions, d'une taille d'entrée de votre choix, et de données complexes et réelles (ainsi que des données even/odd, c'est-à-dire les transformations distinctes cosinus/sinus ou DCT/DST).
Page d'accueil du projet : http://www.fftw.org/
Emplacement du téléchargement : http://www.fftw.org/download.html
GOB (en tout cas, GOB2) est un préprocesseur pour faire du GObjects avec du code C aligné afin que les fichiers générés ne soient pas édités. La syntaxe s'inspire de Java et de Yacc ou de Lex. L'implémentation est volontairement simple et aucun parsing de code C final n'est effectué.
Page d'accueil du projet : http://www.5z.com/jirka/gob.html
Emplacement du téléchargement : http://ftp.5z.com/pub/gob/
Les bindings de langage GTK+/GNOME permettent à GTK+ d'être utilisé à partir d'autres langages de programmation, dans le style de ces langages.
Page d'accueil du projet : http://www.gtk.org/language-bindings.php
Java-GNOME est un ensemble de bindings Java pour les bibliothèques GNOME et GTK+ qui permettent aux applications GNOME et GTK+ d'être écrites en Java. L'API Java-GNOME a été conçu avec soin pour être facile à utiliser, tout en maintenant un bon paradigme OO, et en enveloppant toute les fonctionnalités des bibliothèques sous-jacentes. Java-GNOME peut être utilisé avec l'environnement de développement Eclipse et le concepteur convivial Glade pour créer facilement des applications.
Page d'accueil du projet : http://java-gnome.sourceforge.net/4.0/
Emplacement du téléchargement : http://java-gnome.sourceforge.net/4.0/get/
gtk2-perl est le nom collectif d'un ensemble de bindings perl pour GTK+ 2.x et diverses bibliothèques liées. Ces modules facilitent l'écriture d'applications GTK et GNOME en utilisant une syntaxe naturelle, de style perl et orientée objet.
Page d'accueil du projet : http://gtk2-perl.sourceforge.net/
Emplacement du téléchargement : http://downloads.sourceforge.net/gtk2-perl
KDE et la plupart des applications KDE sont implémentées en utilisant le langage de programmation C++, cependant de nombreux bindings vers d'autres langages sont disponibles. Ils incluent des langages de script comme Perl, Python et Ruby et des langages de programmation systèmes tels que Java et C#.
Page d'accueil du projet : http://techbase.kde.org/Development/Languages
Numerical Python ajoute un niveau d'infrastructure rapide au langage Python.
Page d'accueil du projet : http://numeric.scipy.org/
Emplacement du téléchargement : http://downloads.sourceforge.net/numpy/
Il existe de nombreux scripts Perl et des modules supplémentaires situés sur le site Internet du Comprehensive Perl Archive Network (CPAN, réseau complet d'archives perl). Vous y trouverez « All Things Perl » (tout sur Perl).
Page d'accueil du projet : http://cpan.org/
A-A-P facilite la localisation, le téléchargement, la construction et l'installation de logiciels. Il supporte aussi la navigation dans le code source, le développement de programmes, la gestion de versions et de distributions différentes d'un logiciel et la documentation. Cela signifie que A-A-P est autant utile pour les utilisateurs que pour les dévelopeurs.
Page d'accueil du projet : http://www.a-a-p.org/index.html
Emplacement du téléchargement : http://www.a-a-p.org/download.html
Anujuta est un environnement de développement (Integrated Development Environment, IDE) souple pour C et C++ sur GNU/Linux. Il a été écrit pour GTK/GNOME et il comporte un grand nombre d'infrastructures de programmation avancées. Cela inclut la gestion de projets, des assistants d'application, un débogueur interactif à la volée et un puissant éditeur de code source avec possibilité de naviguer dans le code source et de mise en relief de la syntaxe.
Page d'accueil du projet : http://projects.gnome.org/anjuta/index.shtml
Emplacement du téléchargement : http://projects.gnome.org/anjuta/downloads.html
Eclipse est une communauté open source dont les projets se concentrent sur la fourniture d'une plate-forme de développement extensible et d'environnements d'applications pour la construction de logiciels. Eclipse contient de nombreux projets, y compris un environnement de développement intégré (Integrated Development Environment, IDE) pour Java.
Page d'accueil du projet : http://www.eclipse.org/
Emplacement du téléchargement : http://www.eclipse.org/downloads/
Le système de programmation Mozart est une plate-forme de développement avancée pour des applications intelligentes et distribuées. Mozart se fonde sur le langage Oz qui supporte la programmation declarative, la programmation orientée objet, la programmation contrainte et la diversité simultanée comme part d'un ensemble cohérent. Pour la distribution, Mozart offre une vraie implémentation transparente de réseau avec un support pour la conscience, l'ouverture et la tolérance d'erreurs de réseau. La sécurité arrive. C'est une plate-forme idéale pour des applications généralistes distribuées et des problèmes difficiles exigeant des possibilités d'optimisation et d'inférence sophistiquées.
Page d'accueil du projet : http://mozart.github.io/
Emplacement du téléchargement : https://github.com/mozart/mozart2#downloads
cachecc1 est un cache GCC. On peut le comparer au paquet bien connu ccache. Il contient certaines fonctionnalités uniques, incluant l'utilisation d'un objet partagé LD_PRELOADed pour récupérer les appels à cc1, cc1plus et as, il supporte de façon transparente toutes les méthodes de construction, il peut mettre en cache des bootstraps can cache GCC et il peut être associé à distcc pour distribuer de façon transparentle des compilations.
Page d'accueil du projet : http://cachecc1.sourceforge.net/
Emplacement du téléchargement : http://downloads.sourceforge.net/cachecc1
ccache est un cache de
compilateur. Il agit un préprocesseur de mise en cache dans
les compilateurs C/C++ en utilisant le paramètre
-E
du compilateur et un tiret
pour détecter lorsqu'une compilation peut être satisfaite à
partir du cache. Il s'en suit souvent une vitesse 5 ou 10
fois supérieure à celle des compilations habituelles.
Page d'accueil du projet : http://ccache.samba.org/
Emplacement du téléchargement : http://samba.org/ftp/ccache/
GNU DDD est une interface graphique avec des débogueurs en ligne de commande tels que GDB, DBX, WDB, Ladebug, JDB, XDB, le débogueur Perl, le débogueur Bash ou le débogueur Python. Outre les fonctionnalités d'une interface « ordinaire » telles que la visualisation du texte source, DDD jouit d'un affichage de données en graphique interactif, avec lequel les structures de données sont affichées comme des graphes.
Page d'accueil du projet : http://www.gnu.org/software/ddd/
Emplacement du téléchargement : http://ftp.gnu.org/gnu/ddd/
distcc est un programme pour distribuer des constructions de code C, C++, C objet ou C++ objet à travers plusieurs machines d'un réseau. distcc devrait toujours générer les mêmes résultats qu'une construction locale, il est simple à installer et à utiliser et il est normalement beaucoup plus rapide qu'un compilateur local. distcc ne nécessite pas que toutes les machines partagent un système de fichiers, qu'elles aient des heures synchronisées ou qu'elles disposent des mêmes bibliothèques ou des mêmes fichiers d'en-tête installés. Elles peuvent même avoir des processeurs ou des systèmes d'exploitation différents si des compilateurs croisés sont installés.
Page d'accueil du projet : http://distcc.samba.org/
Emplacement du téléchargement : http://distcc.samba.org/download.html
Exuberant Ctags génère un fichier index (ou tag) des objets de langage qu'on trouve dans les fichiers sources, ce qui permett à ces éléments d'être rapidement et facilement localisés par un éditeur de texte ou un autre outil. Un tag signifie un objet de langage pour lequel une entrée index est disponible (ou, sinon, l'entrée index créée pour cet objet). La génération d'un tag est supportée pour les langages suivants : Assembleur, AWK, ASP, BETA, Bourne/Korn/Zsh Shell, C, C++, COBOL, Eiffel, Fortran, Java, Lisp, Lua, Make, Pascal, Perl, PHP, Python, REXX, Ruby, S-Lang, Scheme, Tcl, Vim et YACC. Vous pouvez trouver une liste des éditeurs et des outils qui utilisent des fichiers de tag sur http://ctags.sourceforge.net/tools.html.
Page d'accueil du projet : http://ctags.sourceforge.net/
Emplacement du téléchargement : http://downloads.sourceforge.net/ctags/
ccache est un clone de ccache, dont le but est de supporter des compilateurs autres que GCC et d'ajouter des fonctionnalités supplémentaires. Des compilateurs embarqués seront surtout visés.
Page d'accueil du projet : http://sourceforge.net/projects/gocache/
Emplacement du téléchargement : http://downloads.sourceforge.net/gocache/
OProfile est un éditeur de profil global pour les systèmes Linux, capable de profiler tout le code exécuté à une faible overhead. OProfile est publié sous la GNU GPL. Il consiste en un pilote noyau et un démon pour récupérer des échantillons de données et plusieurs outils de post profilage pour convertir des données en into informations. OProfile exploite la performance des calculateurs matériels d'un processeur pour permettre le profilage d'une grande variété de statistiques intéressantes, qui peuvent aussi être utilisées pour le profilage de base du temps qui passe. Tout le code est profilé : les gestionnaires d'interruption matériels et logiciels, modules du noyau, le noyau, les bibliothèques partagées et les applications. OProfile est actuellement dans l'état alpha ; cependant il a prouvé sa stabilité sur un grand nombre de configurations différentes. Il est utilisé sur des machines allant du portable aux machines 16 way NUMA-Q.
Page d'accueil du projet : http://oprofile.sourceforge.net/news/
Emplacement du téléchargement : http://oprofile.sourceforge.net/download/
strace est un traqueur d'appels systèmes, c'est-à-dire un outil de débogage qui affiche une trace de tous les appels systèmes effectués par un autre processus ou un autre programme.
Page d'accueil du projet : http://sourceforge.net/projects/strace/
Emplacement du téléchargement : http://downloads.sourceforge.net/strace/
Valgrind est un ensemble de cinq outils : deux détecteurs d'erreur de mémoire, un détecteur d'erreur de thread, un profileur de cache et un profileur en masse pour le débogage et le profilage de programmes Linux. Des fonctionnalités comprennent la détection automatique de nombreux bogues de gestion et de threading de mémoire ainsi que le profilage détaillé pour accélérer et réduire l'utilisation de vos programmes.
Page d'accueil du projet : http://valgrind.org/
Emplacement du téléchargement : http://valgrind.org/downloads/source_code.html
Last updated on 2009-10-09 04:18:50 +0200
Java est différent de la plupart des paquets LFS et BLFS. C'est un langage de programmation qui fonctionne avec des fichiers binaires pour obtenir les instructions et exécuter ensuite dans un machine virtuelle Java (JVM). une introduction à un programme java ressemble à :
public class HelloWorld
{
public static void main(String[] args)
{
System.out.println("Hello, World");
}
}
Ce programme est enregistré en tant que HelloWorld.java
. Le nom du fichier,
HelloWorld, doit
correspondre au nom de la classe. il est ensuite convertit en
code binaire avec javac
HelloWorld.java. Le fichier de sortie est
HelloWorld.class
. Le programme
est exécuté avec java
HelloWorld. Cela crée une JVM et lance le
code. L'extension 'class' ne doit pas être spécifiée.
Plusieurs fichiers class peuvent être combiné en un seul fichier avec la commande jar. C'est similaire à la commande standard tar. Par exemple, la commande jar cf myjar.jar *.class combinera tous les fichiers de classes d'un répertoire dans un seul fichier. Ce qui fait des fichiers de bibliothèque.
La JVM peut chercher et utiliser les classes des fichiers jar
automatiquement. Il utilise la variable d'environnement
CLASSPATH
pour cherches les
fichiers jar. C'est une liste standard de noms de répertoires
séparés en colonnes comme la variable d'environnement
PATH
.
La création d'une JVM depuis les sources demande un ensemble de dépendances circulaires. La première chose nécessaire est un ensemble de programmes appelé Java Development Kit (JDK). Cet ensemble de programmes inclus java, javac, jar, et plusieurs autres. Il inclut également plusieurs fichiers jar de base.
Pour commencer, nous initialisons une installation binaire de
JDK créée par les auteurs de BLFS. Elle est installée dans le
répertoire /opt
pour permettre
plusieurs installations, en incluant une version basée sur
les sources.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement du binaire (x86): http://anduin.linuxfromscratch.org/files/BLFS/OpenJDK-1.8.0.31/OpenJDK-1.8.0.31-i686-bin.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : da24f4f123ea149924932779cc81b947
Taille du téléchargement (binaire): 57 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 165 Mo
Téléchargement du binaire (x86_64): http://anduin.linuxfromscratch.org/files/BLFS/OpenJDK-1.8.0.31/OpenJDK-1.8.0.31-x86_64-bin.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 140784dc0dc976d238517b1689cda4e2
Taille du téléchargement (binaire): 57 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 169 Mo
ALSA-Library-1.0.28, Cups-2.0.2, giflib-5.1.1, et Xorg Libraries
Commencez par extraire l'archive du binaire approprié pour
votre architecture et allé dans le répertoire extrait.
Installez le binaire OpenJDK
avec les commandes suivants en tant qu'utilisateur
root
:
install -vdm755 /opt/OpenJDK-1.8.0.31-bin && mv -v * /opt/OpenJDK-1.8.0.31-bin && chown -R root:root /opt/OpenJDK-1.8.0.31-bin
AL version binaire est maintenant installée. Vous pouvez
créer un lien symbolique vers cette version en tapant, en
tant qu'utilisateur root
user:
ln -sf OpenJDK-1.8.0.31-bin /opt/jdk
Vous pouvez maintenant faire Configuring the JAVA environment, ou les instructions considèrent que le lien précédent existe.
Last updated on 2013-07-16 22:07:29 +0200
OpenJDK est une implémentation libre de la plateforme d'édition standard Java d' Oracle. OpenJDK est utile pour développer des programmes Java, et forunir un environnement d'exécution complet pour lancer des programmes Java.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Un greffon de navigateur et une implémentation de webstart, aussi bien que le moteur de sons pulseaudio sont fournis par le projet Icedtea. Pour fournir une implémentation complète, vous devrez installer plus tard IcedTea-Web-1.5.2 et IcedTea-Sound-1.0.1.
OpenJDK est du code GPL, cependant, il convient de préciser qu'il y a eu une exception spéciale pour les projets non-libres d'utiliser ces classes dans leurs produits propriétaires. De façon similaire à la LGPL, qui autorise des programmes non-libre à lier des bibliothèques fournit par des programmes libres, La GNU General Public License, version 2, avec l'exception des chemins de classe autorise des programmes tierces à utiliser des classes fournit par des programmes libres sans l'obligation que le programme tierce soit également libre. Comme avec la LGPL, toutes les modifications faite dans des parties d'un programme libre d'une application tierce,doit également être librement disponible.
Les sources de OpenJDK inclu une très complète, open source suite de tests appelée JTreg. Les instructions de tests suivantes permettent de tester le JDK juste construit pour une compatibilité raisonnable avec le JDK fermé d'Oracle. Cependant, pour qu'une implémentation indépendante revendique la compatibilité, incluant le projet sponsorisé par Oracle JDK, elle doit passer une suite de tests fermée JCK/TCK. Pas de revendication de compatibilité, même une compatibilité partielle, peut être faite sans passer une suite de tests approuvées.
Oracle fournit un accès libre communautaire, au cas par cas, à des outils fermés pour assurer une compatibilité à 100% avec leur JDK propriétaire. Cependant la version binaire fournit sur la page java-1.8.0.31 comme le JVM construit avec les instructions suivantes ont été testée avec TCK. Toutes les versions qui seront construites en utilisant les instructions données, ne pourront pas revendiquer d'être compatible avec le JDK propriétaire, sans que l'utilisateur demande, et réussissent les tests de compatibilités.
Avec cela en tête, les binaires produits en utilisant cette méthode de construction sont régulièrement testé avec le TCK par les membres listés sur le site au dessus. En supplément de la licence communautaire, une licence pour l'éducation, non-commerciale pour TCK peut être obtenue ici.
Paquet des sources OpenJDK
Téléchargement:
http://hg.openjdk.java.net/jdk8u/jdk8u/archive/jdk8u31-b13.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement :
1e9071c62fd02a5b0c2874d9967b38e7
Taille de téléchargement: 384 Ko
Les fichiers suivants peuvent être téléchargé depuis le dépot mercurial d'OpenJDK en utilisant l'adresse http://hg.openjdk.java.net/jdk8u/jdk8u/<component>/archive/jdk8u31-b13.tar.bz2, ou <component> est le nom du composant JVM (corba, hotspot, et ainsi de suite) mais cela implique de renommer les fichiers téléchargés, et renommer les répertoires extraits. Par confort les auteurs de BLFS ont rendu les fichiers disponibles sur le site web LFS.
Source de Corba
Téléchargement:
http://anduin.linuxfromscratch.org/files/BLFS/OpenJDK-1.8.0.31/corba.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement :
35763069a8a69b1510d70d7e77a95fea
Taille de téléchargement: 915 Ko
Source de Hotspot
Téléchargement:
http://anduin.linuxfromscratch.org/files/BLFS/OpenJDK-1.8.0.31/hotspot.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement :
76deba8b0c7ee042df4cc441d29b1da0
Taille de téléchargement: 6.2 Mo
Source de JAXP
Téléchargement:
http://anduin.linuxfromscratch.org/files/BLFS/OpenJDK-1.8.0.31/jaxp.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement :
baf2f923fe29a7ceff6d0f7cb5331b9d
Taille de téléchargement: 2.2 Mo
Source de JAXWS
Téléchargement:
http://anduin.linuxfromscratch.org/files/BLFS/OpenJDK-1.8.0.31/jaxws.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement :
5d99e16e146e920b5fa3360b26bb13a8
Taille de téléchargement: 2.2 Mo
Source de Langtools
Téléchargement:
http://anduin.linuxfromscratch.org/files/BLFS/OpenJDK-1.8.0.31/langtools.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement :
19d9a21aa51e8afb80d0a35681c2467f
Taille de téléchargement: 2.0 Mo
Source de JDK
Téléchargement:
http://anduin.linuxfromscratch.org/files/BLFS/OpenJDK-1.8.0.31/jdk.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement :
79f0b2cd008497a8011bfbc2bd7f2b01
Taille de téléchargement: 36.2 Mo
source de Nashorn
Téléchargement:
http://anduin.linuxfromscratch.org/files/BLFS/OpenJDK-1.8.0.31/nashorn.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement:
7ed0b17f2d925d3263a344b7fc746d24
Taille de téléchargement: 1.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 3.1 Go (additional 350 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 15 SBU (additional 126 SBU for tests)
Paquet facultatif (pour avoir une icône pour le fichier
openjdk-8-policytool.desktop
):
http://icedtea.classpath.org/download/source/icedtea-web-1.5.2.tar.gz
Suite de tests optionnelle : https://adopt-openjdk.ci.cloudbees.com/job/jtreg/lastStableBuild/artifact/jtreg4.1-b10.tar.gz
Un binaire existant ( java-1.8.0.31 ou une version construite récente de ce paquet, ALSA-Library-1.0.28, cpio-2.11, Cups-2.0.2, UnZip-6.0, which-2.20, Xorg Libraries et Zip-3.0.
Certificate Authority Certificates et giflib-5.1.1
mercurial-3.3 et twm-1.0.8 (pour les tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/openjdk
Contrairement aux autres paquets dans BLFS, les sources de
OpenJDK sont distribuées
dans de multiples téléchargements. Vous devez commencer par
extraire les sources racines depuis le fichier jdk8u31-b13.tar.bz2
, allez dans le
répertoire extrait, ensuite continuez avec les instruction
suivantes :
tar -xf ../corba.tar.xz && tar -xf ../hotspot.tar.xz && tar -xf ../jaxp.tar.xz && tar -xf ../jaxws.tar.xz && tar -xf ../jdk.tar.xz && tar -xf ../langtools.tar.xz && tar -xf ../nashorn.tar.xz
Si vous avez téléchargé la suite de tests, décompressez la également:
tar -xf ../jtreg4.1-b10.tar.gz
Corrigez un problème avec la nouvelle API de giflib (depuis 5.1.0):
sed -e 's/DGifCloseFile(gif/&, NULL/' \ -e '/DGifOpen/s/c)/c, NULL)/' \ -i jdk/src/share/native/sun/awt/splashscreen/splashscreen_gif.c
corrigez un bogue dans un script shell utilisé pour initialisé les drapeaux pour make:
sed 's/\([ \t]\)\]\([^\]\)/\1I]\2/g' \ -i hotspot/make/linux/makefiles/adjust-mflags.sh
Avant de continuer, vous devez vous assurer que votre
variable d'environnement PATH
contient l'endroit du compilateur Java utilisé pour
boostrapper OpenJDK. C'est
le seul impératif pour l'environnement. Les installations
modernes de Java n'ont pas besoin de JAVA_HOME
et CLASSPATH
n'est pas utilisé ici. De plus les
développeur d'OpenJDK recommandent de ne pas initialiser
JAVA_HOME
.
Le système de construction ne supporte pas le paramètre
-j
dans MAKEFLAGS
.
Configurez et construisez le paquet avec les commandes suivantes (la valeur --with-milestone peut être modifiée selon les préférences de l'utilisateur):
unset JAVA_HOME && sh ./configure \ --with-update-version=31 \ --with-build-number=b13 \ --with-milestone=BLFS \ --enable-unlimited-crypto \ --with-zlib=system \ --with-giflib=system && make DEBUG_BINARIES=true all
Il semble que l'infrastructure de tests de OpenJDK est en cours de réalisation, donc tester la nouvelle version construite de JVM demande quelques étapes. En premiet, il est mieux de lancer la suite de test dans un frame buffer sur un affichage différent, en utilisant Xvfb:
if [ -n "$DISPLAY" ]; then OLD_DISP=$DISPLAY fi export DISPLAY=:20 nohup Xvfb $DISPLAY \ -fbdir $(pwd) \ -pixdepths 8 16 24 32 > Xvfb.out 2>&1 & echo $! > Xvfb.pid echo Waiting for Xvfb to initialize; sleep 1 nohup twm -display $DISPLAY \ -f /dev/null > twm.out 2>&1 & echo $! > twm.pid echo Waiting for twm to initialize; sleep 1 xhost +
Ensuite, il est nécéssaire de modifier quelques fichiers:
echo -e " jdk_all = :jdk_core \\ :jdk_svc \\ :jdk_beans \\ :jdk_imageio \\ :jdk_sound \\ :jdk_sctp \\ com/sun/awt \\ javax/accessibility \\ javax/print \\ sun/pisces \\ com/sun/java/swing" >> jdk/test/TEST.groups && sed -e 's/all:.*jck.*/all: jtreg/' \ -i langtools/test/Makefile
Quelques variables doivent être initialisée:
JT_JAVA=$(type -p javac | sed 's@/bin.*@@') && JT_HOME=$(pwd)/jtreg && PRODUCT_HOME=$(echo $(pwd)/build/*/images/j2sdk-image)
Les tests sont lancé comme la suite:
LANG=C make -k -C test \ JT_HOME=${JT_HOME} \ JT_JAVA=${JT_JAVA} \ PRODUCT_HOME=${PRODUCT_HOME} all LANG=C ${JT_HOME}/linux/bin/jtreg -a -v:fail,error \ -dir:$(pwd)/hotspot/test \ -k:\!ignore \ -jdk:${PRODUCT_HOME} \ :jdk
Les résultats des tests peuvent être comparé avec ces résultats. Finallement, arrêtez le frame buffer virtuel et nettoyez:
kill -9 `cat twm.pid` && kill -9 `cat Xvfb.pid` && rm -f Xvfb.out twm.out && rm -f Xvfb.pid twm.pid && if [ -n "$OLD_DISP" ]; then DISPLAY=$OLD_DISP fi
Installez le paquet avec les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
find build/*/images/j2sdk-image -iname \*.jar -exec chmod a+r {} \; && chmod a+r build/*/images/j2sdk-image/lib/ct.sym && find build/*/images/j2sdk-image -iname \*.diz -delete && find build/*/images/j2sdk-image -iname \*.debuginfo -delete && cp -R build/*/images/j2sdk-image /opt/OpenJDK-1.8.0.31 && chown -R root:root /opt/OpenJDK-1.8.0.31
Il y a maintenant deux SDK d'OpenJDK installé dans /opt
. Vous pouvez décider de laquelle vous
voulez utiliser par défaut. Normalement, vous devez opter
pour la version OpenJDK que
vous venez d'installer. Dans ce cas, faite la ligne suivante
en tant qu'utilisateur root
:
ln -v -nsf OpenJDK-1.8.0.31 /opt/jdk
Si vous le souhaitez, vous pouvez installer un fichier .desktop correspondant à une netrée dans le menu du bureau pour policytool. En premier, vous devez obtenir un icone de IcedTea-Web-1.5.2:
tar -xf ../icedtea-web-1.5.2.tar.gz \ icedtea-web-1.5.2/javaws.png \ --strip-components=1
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
mkdir -pv /usr/share/applications &&
cat > /usr/share/applications/openjdk-8-policytool.desktop << "EOF" &&
[Desktop Entry]
Name=OpenJDK Java Policy Tool
Name[pt_BR]=OpenJDK Java - Ferramenta de Política
Comment=OpenJDK Java Policy Tool
Comment[pt_BR]=OpenJDK Java - Ferramenta de Política
Exec=/opt/jdk/bin/policytool
Terminal=false
Type=Application
Icon=javaws
Categories=Settings;
EOF
install -v -Dm0644 javaws.png /usr/share/pixmaps/javaws.png
Le choix de pt_BR est juste un exemple. Vous pouvez ajouter des traductions en ajoutant les lignes correspondantes à votre locale, par exemple fr_FR, avec les valeurs « Name[fr_FR]= » et « Comment[fr_FR]= » données par votre traduction.
sh
configure...: Le niveau supérieur de
configure
est une enveloppe
pour autotools. Ce n'est pas un éxécutable et il doit être
lancé avec sh.
--with-boot-jdk
: Ce
paramètre fournit l'emplacement du JDK temporaire.Ce n'est normalement pas
nécéssaire si java est trouvé dans le
PATH
.
--with-update-version
:
Actuellement, le système de construction n'inclu pas le
numéro de mise à jour dans la chaine de version. Il est
spécifié ici.
--with-build-number
:
De nouveau, le sysètme de construction n'inclu pas le numéro
de construction dans la chaîne de version. Il est spécifié
ici également.
--with-milestone
:
Utilisé pour personnaliser la chaîne de version.
--enable-unlimited-crypto
: A
cause des limitations de l'usage de la cryptographie dans
certain pays, il y a le possibilité de limiter la taille des
clés de codage et l'utilisation de certains algorythmes dans
un fichier de filtrage. Ce paramètre permet de garder un
fichier de filtrage sans restriction. Il est de la
responsabilité de l'utilisateur de s'assurer de son propre
respect de la loi.
--with-zlib=system,
--with-giflib=system
: Permet d'utiliser les
bibliothèques du système au lieu de celles livrées.
--with-jobs=N
: Permet
d'initialiser le nombre de travaux pour make à N. Par défaut, il
s'agit du résultat du calcul prenant en compte la mémoire
disponible et le nomvre de processeurs . Notez que si vous
spécifiez N=1, certaines parallélisations peuvent être
utilisées pendant la construction. Les SBU donnés sont avec
les travaux parallèles désactivés, sur un simple processeur,
simple coeur, sur une machine virtuelle.
--with-cacerts-file=...
: Spécifie
ou trouver un fichier cacerts
.
sinon, un fichier vide est créé. Vous pouvez l'avoir eu avec
une précédente version du paquet, ou utiliser le script
suivant pour le générer.
make DEBUG_BINARIES=true all: La constuction échoue si DEBUG_BINARIES n'est pas initialisé à true.
find ... -iname '*.jar' -exec chmod a+r {} ; et les lignes suivantes: Corrige les permissions dans quelques fichiers de bibliothèque, pour permettre que tous les utilisateurs puissent y accéder.
find ... -iname '*.diz' -delete: Cette comande et la suivante suppriment les fichier redondants.
Normallement, l'environnement JAVA a été configurée après l'installation de la version binaire, et peut être utilisé avec le paquet fraichement construit aussi bien. Regardez Configuring the JAVA environment dans le cas ou vous voudriez modifier quelque chose.
Pour tester que les pages de man sont correctement installées, tapez source /etc/profile et man java pour afficher les pages de man respectives.
Utilisez la procédure suivante pour installer le fichier
cacerts
ou pour en générer un
nouveau si Certificate Authority
Certificates a été mis à jour. Pour commencer, s'il
n'est pas déjà présent, générez le script mkcacerts en tant
qu'utilisateur root
:
cat > /opt/jdk/bin/mkcacerts << "EOF"
#!/bin/sh
# Simple script to extract x509 certificates and create a JRE cacerts file.
function get_args()
{
if test -z "${1}" ; then
showhelp
exit 1
fi
while test -n "${1}" ; do
case "${1}" in
-f | --cafile)
check_arg $1 $2
CAFILE="${2}"
shift 2
;;
-d | --cadir)
check_arg $1 $2
CADIR="${2}"
shift 2
;;
-o | --outfile)
check_arg $1 $2
OUTFILE="${2}"
shift 2
;;
-k | --keytool)
check_arg $1 $2
KEYTOOL="${2}"
shift 2
;;
-s | --openssl)
check_arg $1 $2
OPENSSL="${2}"
shift 2
;;
-h | --help)
showhelp
exit 0
;;
*)
showhelp
exit 1
;;
esac
done
}
function check_arg()
{
echo "${2}" | grep -v "^-" > /dev/null
if [ -z "$?" -o ! -n "$2" ]; then
echo "Error: $1 requires a valid argument."
exit 1
fi
}
# The date binary is not reliable on 32bit systems for dates after 2038
function mydate()
{
local y=$( echo $1 | cut -d" " -f4 )
local M=$( echo $1 | cut -d" " -f1 )
local d=$( echo $1 | cut -d" " -f2 )
local m
if [ ${d} -lt 10 ]; then d="0${d}"; fi
case $M in
Jan) m="01";;
Feb) m="02";;
Mar) m="03";;
Apr) m="04";;
May) m="05";;
Jun) m="06";;
Jul) m="07";;
Aug) m="08";;
Sep) m="09";;
Oct) m="10";;
Nov) m="11";;
Dec) m="12";;
esac
certdate="${y}${m}${d}"
}
function showhelp()
{
echo "`basename ${0}` creates a valid cacerts file for use with IcedTea."
echo ""
echo " -f --cafile The path to a file containing PEM"
echo " formated CA certificates. May not be"
echo " used with -d/--cadir."
echo ""
echo " -d --cadir The path to a directory of PEM formatted"
echo " CA certificates. May not be used with"
echo " -f/--cafile."
echo ""
echo " -o --outfile The path to the output file."
echo ""
echo " -k --keytool The path to the java keytool utility."
echo ""
echo " -s --openssl The path to the openssl utility."
echo ""
echo " -h --help Show this help message and exit."
echo ""
echo ""
}
# Initialize empty variables so that the shell does not pollute the script
CAFILE=""
CADIR=""
OUTFILE=""
OPENSSL=""
KEYTOOL=""
certdate=""
date=""
today=$( date +%Y%m%d )
# Process command line arguments
get_args ${@}
# Handle common errors
if test "${CAFILE}x" == "x" -a "${CADIR}x" == "x" ; then
echo "ERROR! You must provide an x509 certificate store!"
echo "\'$(basename ${0}) --help\' for more info."
echo ""
exit 1
fi
if test "${CAFILE}x" != "x" -a "${CADIR}x" != "x" ; then
echo "ERROR! You cannot provide two x509 certificate stores!"
echo "\'$(basename ${0}) --help\' for more info."
echo ""
exit 1
fi
if test "${KEYTOOL}x" == "x" ; then
echo "ERROR! You must provide a valid keytool program!"
echo "\'$(basename ${0}) --help\' for more info."
echo ""
exit 1
fi
if test "${OPENSSL}x" == "x" ; then
echo "ERROR! You must provide a valid path to openssl!"
echo "\'$(basename ${0}) --help\' for more info."
echo ""
exit 1
fi
if test "${OUTFILE}x" == "x" ; then
echo "ERROR! You must provide a valid output file!"
echo "\'$(basename ${0}) --help\' for more info."
echo ""
exit 1
fi
# Get on with the work
# If using a CAFILE, split it into individual files in a temp directory
if test "${CAFILE}x" != "x" ; then
TEMPDIR=`mktemp -d`
CADIR="${TEMPDIR}"
# Get a list of staring lines for each cert
CERTLIST=`grep -n "^-----BEGIN" "${CAFILE}" | cut -d ":" -f 1`
# Get a list of ending lines for each cert
ENDCERTLIST=`grep -n "^-----END" "${CAFILE}" | cut -d ":" -f 1`
# Start a loop
for certbegin in `echo "${CERTLIST}"` ; do
for certend in `echo "${ENDCERTLIST}"` ; do
if test "${certend}" -gt "${certbegin}"; then
break
fi
done
sed -n "${certbegin},${certend}p" "${CAFILE}" > "${CADIR}/${certbegin}.pem"
keyhash=`${OPENSSL} x509 -noout -in "${CADIR}/${certbegin}.pem" -hash`
echo "Generated PEM file with hash: ${keyhash}."
done
fi
# Write the output file
for cert in `find "${CADIR}" -type f -name "*.pem" -o -name "*.crt"`
do
# Make sure the certificate date is valid...
date=$( ${OPENSSL} x509 -enddate -in "${cert}" -noout | sed 's/^notAfter=//' )
mydate "${date}"
if test "${certdate}" -lt "${today}" ; then
echo "${cert} expired on ${certdate}! Skipping..."
unset date certdate
continue
fi
unset date certdate
ls "${cert}"
tempfile=`mktemp`
certbegin=`grep -n "^-----BEGIN" "${cert}" | cut -d ":" -f 1`
certend=`grep -n "^-----END" "${cert}" | cut -d ":" -f 1`
sed -n "${certbegin},${certend}p" "${cert}" > "${tempfile}"
echo yes | env LC_ALL=C "${KEYTOOL}" -import \
-alias `basename "${cert}"` \
-keystore "${OUTFILE}" \
-storepass 'changeit' \
-file "${tempfile}"
rm "${tempfile}"
done
if test "${TEMPDIR}x" != "x" ; then
rm -rf "${TEMPDIR}"
fi
exit 0
EOF
chmod -c 0755 /opt/jdk/bin/mkcacerts
Faire un très grand copier/coller directement dans un terminal peut donner un fichier corrompu.Copier depuis un éditeur peut contourner ce problème.
Si vous avez besoin de générer un fichier cacerts
, et qu'il y en a déjà un dans
/opt/jdk/jre/lib/security
, il
est mieux de faire une sauvegarde. Ensuite vous pouvez en
créer un nouveau, en tant qu'utilisateur root
:
/opt/jdk/bin/mkcacerts \ -d "/etc/ssl/certs/" \ -k "/opt/jdk/bin/keytool" \ -s "/usr/bin/openssl" \ -o "/opt/jdk/jre/lib/security/cacerts"
Utilisez les commandes suivantes pour vérifier si le
fichier cacerts
a été
installé avec succès:
cd /opt/jdk bin/keytool -list -keystore jre/lib/security/cacerts
A l'invite "Enter keystore password:", appuyez sur "Enter"
s'il n'y a pas de mots de passe de défini. Si le fichier
cacerts
est installé
correctement, vous verrez une liste de certificats avec des
informations relatives à chacun. Sinon, vous devez les
réinstaller.
autorise de lancer des applets en dehors du navigateur web. |
|
vérifie un fichier jar spécifié pour les conflits de titre et de version avec toutes les extensions installés dans le logiciel OpenJDK. |
|
génère les liaisons Java depuis un fichier IDL donné. |
|
combine des fichiers différents en une seule archive jar. |
|
signe les fichiers jar et vérifie la signature et l'intégrité d'un fichier jar signé. |
|
lance une application Java en démarrant l'environnement d'exécution Java, chargeant une classe spécifiée et invoquant sa méthode main. |
|
lit les définitions de classe et d'interface, écrit un langage de programmation Java, et les compiles en des fichiers de classe bytecode. |
|
analyse les déclarations et les commentaires de documentation dans un ensemble de fichiers source Java et produit l'ensemble correspondant des pages HTML décrivant les classes, les interfaces les méthodes de constructions et les champs. |
|
génère les entêtes C et les fichiers sources qui sont nécéssaires pour implémenter des méthodes natives. |
|
désassemble un fichier de classe Java. |
|
est le client RMI de Java. |
|
est un utilitaire pour envoyer les demandes de diagnostique à une machine virtuelle Java. |
|
est un outil graphique de la console pour surveiller et gérer les applications Java locales et distantes et les machines virtuelles. |
|
est un simple débogueur en ligne de commande pour les classes Java. |
|
montre les dépendances (package-level ou class-level) des fichiers de classes Java. |
|
analyse un fichier Java de heap dump et permet de le voir dans un navigateur web. |
|
affiche les informations de configuration de Java pour un processus Java donné, un fichier core, ou un serveur de déboguage distant. |
|
est un outil en ligne de commande utilisé pour appeler le moteur Nashorn. Il peut être utilisé pour interpréter un ou plusieurs fichiers de script, ou les lancer dans un shell intéractif. |
|
affiche les cartes mémoires des objets partagés ou les détails mémoire d'un processus donné, d'un fichier core, ou d'un serveur de déboguage distant. |
|
liste les JVM instrumenté sur le système cible. |
|
est un script shell en ligne de commandes. |
|
s'attache à un processus Java ou à un fichier core et agit en tant que serveur de déboguage. |
|
affiche la pile des traces JAVA, des treads Java pour pour un processus Java donné, un fichier core, ou un serveur de déboguage distant. |
|
affiche les statistiques de performance pour une JVM instrumentée. |
|
est une application serveur RMI qui surveille la création et l'arrêt des JVM instrumentés. |
|
est un utilitaire de gestion des clés et certificats. |
|
est un script simple pour extraire les certificats x509 et créer un fichier cacerts JRE en utilisant keytool. |
|
converti les fichiers qui contiennent des caractères non-supporté par l'encodage en des fichiers contenant des caractères Latin-1 ou Unicode. |
|
est utilisé pour activer les clients pour trouver de façon transparente et invoquer les objets persistants sur les serveurs dans un environnement CORBA. |
|
est une application Java qui transforme un fichier jar en un fichier compressé pack200 un utilisant un comptacteur gzip. |
|
crée et gère les fichiers de politique graphiquement. |
|
génère des fichiers de classes tampon et squelette pour des objets distants depuis le nom des classes JAVA compilées qui contiennent des implémentations d'objets distants. |
|
démarre le démon d'activation du système. |
|
crée et démarre un registre d'objet distant sur le port spécifié de l'hôte actuel. |
|
est un générateur de schéma de liaison Java XML. |
|
retourne l'UID pour une ou plusieurs classes sous une forme appropriée pour la copie dans une classe évolutive. |
|
fournit une interface facile à utiliser pour les programmeurs d'applications pour inscrire, désinscrire, démarrer et arrêter un serveur. |
|
démarre le serveur de nom Java IDL. |
|
est une implémentation native qui transforme un fichier produit par pack200 en un fichier jar. |
|
génère des artifactes portables JAX-WS utilisés dans les services web JAX-WS. |
|
génère des artifactes JAX-WS portables. |
|
est un compilateur de liaison Java XML. |
Last updated on : 2013-01-15 03:50:02 +010
Après que l'installation des paquets est terminée, l'étape
suivante est d'être certain que le système peut trouver
proprement les fichiers. Si vous initialiseé vos scripts de
login comme recommandé dans Les fichiers de
démarrage du shell Bash, mettez à jour
l'environnement en créant le script openjdk.sh
, en tant qu'utilisateur
root
:
cat > /etc/profile.d/openjdk.sh << "EOF"
# Begin /etc/profile.d/openjdk.sh
# Set JAVA_HOME directory
JAVA_HOME=/opt/jdk
# Adjust PATH
pathappend $JAVA_HOME/bin
# Add to MANPATH
pathappend $JAVA_HOME/man MANPATH
# Auto Java CLASSPATH: Copy jar files to, or create symlinks in, the
# /usr/share/java directory. Note that having gcj jars with OpenJDK 8
# may lead to errors.
AUTO_CLASSPATH_DIR=/usr/share/java
pathprepend . CLASSPATH
for dir in `find ${AUTO_CLASSPATH_DIR} -type d 2>/dev/null`; do
pathappend $dir CLASSPATH
done
for jar in `find ${AUTO_CLASSPATH_DIR} -name "*.jar" 2>/dev/null`; do
pathappend $jar CLASSPATH
done
export JAVA_HOME
unset AUTO_CLASSPATH_DIR dir jar
# End /etc/profile.d/openjdk.sh
EOF
For allowing mandb to include the OpenJDK
man pages in its database, issue, as the root
user:
cat >> /etc/man_db.conf << "EOF" &&
# Begin Java addition
MANDATORY_MANPATH /opt/jdk/man
MANPATH_MAP /opt/jdk/bin /opt/jdk/man
MANDB_MAP /opt/jdk/man /var/cache/man/jdk
# End Java addition
EOF
mkdir -p /var/cache/man
mandb -c /opt/jdk/man
L'installation des certificats de l'autorité de certification JRE (cacerts) est décrit dans la section Certificats de l'autorité de certification JRE. Si vous avez utilisé la version binaire, ces certificats doivent déjà être installé.
Last updated on 2015-03-04 23:17:44 +0100
Le paquet Apache Ant est un outil de compilation basé sur Java. En théorie, ça ressemble beaucoup à make, mais sans les inconvénients de make. Ant est différent. Au lieu d'un modèle où il serait étendu avec des commandes basées sur le shell, Ant s'étend en utilisant des classes Java. Plutôt que d'écrire des commandes shell, les fichiers de configuration sont basés sur XML, utilisant une arborescence cible où diverses tâches s'exécutent. Chaque tâche est exécutée par un objet qui implémente une interface de tâche spécifique.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.apache.org/dist/ant/source/apache-ant-1.9.4-src.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7a7253ec047195d755c5318a4de8a3a4
Taille du téléchargement : 3.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 108 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
Fichier requis: http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/other/junit-4.11.jar
Fichier requis: http://hamcrest.googlecode.com/files/hamcrest-1.3.tgz
Documentation facultative: https://archive.apache.org/dist/ant/manual/apache-ant-1.9.4-manual.tar.bz2
Un JDK (Java Binary ou OpenJDK-1.8.0.31) et GLib-2.42.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/apache-ant
Il se peut que vous ayez besoin de bibliothèques
supplémentaires pour satisfaire les exigences de
construction de divers paquets installés en utilisant
Apache Ant. Voyez le
tableau sur
http://ant.apache.org/manual/install.html#librarydependencies
pour les bibliothèques prérequises dont vous pourriez avoir
besoin.Placez toutes les bibliothèques nécessaire dans
lib/optional
.
Déballez et copiez les fichiers jar junit et hamcrest dans l'arbre des répertoires lcal.
tar -xvf ../hamcrest-1.3.tgz && cp -v ../junit-4.11.jar \ hamcrest-1.3/hamcrest-core-1.3.jar lib/optional
Si vous souhaitez installer la documentation, déballez la:
tar -xvf ../apache-ant-1.9.4-manual.tar.bz2
Installez Apache Ant en lançant les commandes suivantes :
Les tests de régression de l'unité sont effectués au moment
de la construction ci-dessous, sauf si vous n'avez pas
installé JUnit. Maintenant,
en tant qu'utilisateur root
:
./build.sh -Ddist.dir=/opt/ant-1.9.4 dist && ln -v -sfn ant-1.9.4 /opt/ant
Soyez certain que la variable d'environnement JAVA_HOME est
initialisée pour l'utilisateur root
.
Installez la documentation en tant qu'utilisateur
root
:
install -m755 -d /opt/ant-1.9.4/docs && cp -Rv apache-ant-1.9.4/* /opt/ant-1.9.4/docs
cp -v ... lib/optional: Cette commande copie les fichiers jar JUnit et hamcrest dans un répertoire ou Apache Ant les cherchera.
./build.sh
-Ddist.dir=/opt/ant-1.9.4 dist : Cette
commande fait tout. Elle construit, teste, puis installe le
paquet dans /opt/ant-1.9.4
.
ln -v -sfn ant-1.9.4 /opt/ant : Cette commande est facultative et crée un lien symbolique pratique.
Certains paquets exigeront que ant soit dans le chemin
de recherche et que la variable ANT_HOME
soit définie. Satisfaites ces
exigences en tapant en tant qu'utilisateur root
:
cat >> /etc/profile.d/extrapaths.sh << EOF
# Begin Apache-ant addition
pathappend /opt/ant/bin
export ANT_HOME=/opt/ant
# End Apache-ant addition
EOF
Les instructions précédentes considèrent que vous avez configuré votre système comme décrit dans Les fichiers de démarrage du shell Bash.
est un outil de construction basé sur Java utilisé par de nombreux paquets à la place du programme make conventionnel. |
|
est un script de support utilisé pour démarrer les scripts de construction de ant dans un répertoire donné. |
|
est un script Perl qui fournit les mêmes fonctionnalités qu'offre le script antRun. |
|
est un script Perl qui permet à Bash de compléter une ligne de commande ant. |
|
est un script enveloppe Perl utilisé pour appeler ant. |
|
est un script enveloppe Python utilisé pour appeler ant. |
|
fichiers qui sont les bibliothèques Apache Ant de la classe Java. |
Last updated on : 2012-10-22 23:47:32 +020
Le paquet JUnit contient un environnement de travail simple et libre pour écrire et lancer des tests qu'on peut répéter. C'est un exemple de l'architecture xUnit pour des environnements de test d'unité. Les fonctionnalités JUnit incluent des assertions pour tester les résultats attendus, des équipements de tests pour le partage de données de tests communes, et des lanceurs de tests pour lancer des tests.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://launchpad.net/debian/+archive/primary/+files/junit4_4.11.orig.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b4d163832583dcec8bedb5427c795cc4
Taille du téléchargement : 1.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 34 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Fichier requis: http://hamcrest.googlecode.com/files/hamcrest-1.3.tgz
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/junit
La commande javadoc venant avec OpenJDK 8 est devenu plus strict qu'avant à propos de la conformité des commentaires javadoc dans le code source vers l'HTML. La documentation de Junit ne respecte pas ces stantards, aussi les tests de conformité ont été désactivés. Cela peut être fait avec la commande suivante:
sed -i '\@/docs/@a<arg value="-Xdoclint:none"/>' build.xml
Maintenant, placez les fichiers jar requis de hamcrest ou il le faut et construisez le paquet:
tar -xf ../hamcrest-1.3.tgz && cp -v hamcrest-1.3/hamcrest-core-1.3{,-sources}.jar lib/ && ant populate-dist
Testez le paquet en tapant ant dist. Un test échoue pour une raison inconnue.
Installez les fichiers dans l'endroit final en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -m755 -d /usr/share/{doc,java}/junit-4.11 && chown -R root:root . && cp -v -R junit*/javadoc/* /usr/share/doc/junit-4.11 && cp -v junit*/junit*.jar /usr/share/java/junit-4.11 && cp -v hamcrest-1.3/hamcrest-core*.jar /usr/share/java/junit-4.11
Si vous avez suivi les instructions dans Configuring the JAVA
environment, il n'y a rien à faire de plus; la variable
CLASSPATH
sera automatiquement
mise à jour.
Last updated on : 2012-06-07 06:40:05 +020
Le livre LFS couvre la configuration du réseau en se connectant à un LAN avec une IP stat que. Il existe néanmoins d'autres méthodes pour se connecter à des LAN et à d'autres réseaux comme Internet. Nous couvrons les méthodes les plus populaires (DHCP et PPP) dans ce chapitre.
DHCP signifie Dynamic Host Configuration Protocol. C'est un protocole utilisé par la plupart des sites pour fournir automatiquement aux ordinateurs des informations comme les adresses IP, les masques de sous-réseau et les informations de routage. Si votre réseau utilise DHCP, vous aurez besoin d'un client DHCP afin de vous y connecter.
PPP signifie Potint-to-Point Protocol. C'est un protocole de lien de données couramment utilisé pour établir des connexions IP authentifiées à travers une ligne téléphonique avec un modem, ou à travers les ondes radio avec un téléphone mobile. Il existe aussi une variante (PPPoE) qui fonctionne à travers Ethernet et qui est utilisée par les fournisseurs d'accès par le câble pour authentifier les connexions Internet.
dhcpcd est une implémentation du client DHCP spécifié dans RFC2131. Un client DHCP sert à connecter votre ordinateur à un réseau qui utilise DHCP pour affecter les adresses réseau. dhcpcd vise à être un client très emmplet mais tounjours très léger.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://roy.marples.name/downloads/dhcpcd/dhcpcd-6.7.1.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://roy.marples.name/pub/dhcpcd/dhcpcd-6.7.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ffb716b0e9327968e7200d519e1d4c0d
Taille du téléchargement : 160 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.2 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
llvm-3.5.1 (avec Clang)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/dhcpcd
Installez dhcpcd en lançant les commandes suivantes :
./configure --libexecdir=/lib/dhcpcd \ --dbdir=/var/tmp && make
Ce paquet est fourni sans suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--libexecdir=/lib/dhcpcd
: le
répertoire par défaut /libexec
n'est pas compatible FHS. Depuis que le répertoire doit être
disponible plus tôt dans le démarrage, /usr/libexec
ne peut pas être utilisé non
plus.
--dbdir=/var/tmp
: le
répertoire par défaut /var/lib
n'est pas compatible FHS
--with-hook=...
: Vous pouvez
facultativement installez plus de crochets, par exemple pour
installer quelques fichiers de configuration comme
ntp.conf
. L'ensemble des
crochets est dans le répertoire dhcpcd-hooks
dans l'arbre de construction.
Pour configurer dhcpcd, vous avez tout
d'abord besoin d'installer le script du service réseau,
/lib/services/dhcpcd
inclu
dans le paquet blfs-bootscripts-20150304
(comme utilisateur root
) :
make install-service-dhcpcd
Chaque fois que dhcpcd configure ou éteint une interface réseau, il exécute les scripts (hooks). Pour plus de détails sur ces scripts, voir la page de manuel de dhcpcd-run-hooks et de dhcpcd.
Enfin, en
tant qu'utilisateur root
,
créez le fichier de configuration /etc/sysconfig/ifconfig.eth0
en utilisant
les commandes suivantes. Ajustez de façon appropriée les
interfaces supplémentaires.
cat > /etc/sysconfig/ifconfig.eth0 << "EOF"
ONBOOT="yes"
IFACE="eth0"
SERVICE="dhcpcd"
DHCP_START="-b -q <insert appropriate start options here>
"
DHCP_STOP="-k <insert additional stop options here>
"
EOF
Pour plus d'informations sur les valeurs appropriées de
DHCP_START
et DHCP_STOP
, consultez la page de man de
dhcpcd.
Le
comportement par défaut de dhcpcd est de régler le
nom de l'hôte et les paramètres du MTU. Il écrasee aussi
/etc/resolv.conf
et
/etc/ntp.conf
. Toutes les
modifications des fichiers de système et les paramétrages
des fichiers de configuration système sont faites par les
scripts conservés dans /lib/dhcpcd/dhcpcd-hooks
. Paramétrez
dhcpcd en
supprimant ou en ajoutant des scripts dans ce répertoire.
Vous pouvez désactiver l'exécution des scripts en
utilisaant l'option --nohook
(-C
) de la ligne de commande
ou via l'option nohook
du
fichier /etc/dhcpcd.conf
.
Voir la page de man de dhcpcd pour les
paramètres à ajouter à la valeur de DHCP_START
.
Même si
c'est pas commun, il est possible que vous vouliez
configurer dhcpcd pour
utiliser une ip fixe. Ici, nous donnons un exemple. En tant
qu'utilisateur root
créez
le fichier de configuration /etc/sysconfig/ifconfig.eth0
en utilisant
les commandes suivantes. Ajustez comme il le faut pour les
interfaces supplémentaires et pour l'ip actuelle et le
routeur dont vous avez besoin:
cat > /etc/sysconfig/ifconfig.eth0 << "EOF"
ONBOOT="yes"
IFACE="eth0"
SERVICE="dhcpcd"
DHCP_START="-b -q -S ip_address=192.168.0.10/24 -S routers=192.168.0.1"
DHCP_STOP="-k"
EOF
Vous pouvez également utiliser les serveurs DNS de
/etc/resolv.conf
par un autre
système, vos serveurs préférés, ou juste le ficher
d'exemple /etc/resolv.conf.head
dessous:
cat > /etc/resolv.conf.head << "EOF"
# OpenDNS servers
nameserver 208.67.222.222
nameserver 208.67.220.220
EOF
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet ISC DHCP contient le client et le serveur DHCP. dhclient (le client) est utile pour connecter votre ordinateur à un réseau utilisant DHCP pour attribuer des adresses réseau. dhcpd (le serveur) est utile pour affecter des adresses réseau sur votre réseau privé.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.isc.org/isc/dhcp/4.3.1/dhcp-4.3.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b3a42ece3c7f2cd2e74a3e12ca881d20
Taille du téléchargement : 8.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 109 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Correctif requis : http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/dhcp-4.3.1-client-script-1.patch
Correctif facultatif : http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/dhcp-4.3.1-missing_ipv6-1.patch
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/dhcp
Vous devez avoir le support Packet Socket:
[*] Networking support ---> [CONFIG_NET]
Networking options --->
<*> Packet socket [CONFIG_PACKET]
Si vous n'aves par le support IPv6:
[*] Networking support ---> [CONFIG_NET]
Networking Options --->
<*> The IPv6 Protocol ---> [CONFIG_IPV6]
compilé, ensutie vous devez utiliser le correctif « missing_ipv6 ».
Si vous n'avez pas compilé en dur dans le noyau le support d'IPV6, appliquez le correctif missing_patch
patch -Np1 -i ../dhcp-4.3.1-missing_ipv6-1.patch
Faite attention avec les instructions qui suivent. Le simple et le double quotes son important car les variables définies sont utilisés mot pour mot dans le code.
Installez ISC DHCP en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../dhcp-4.3.1-client_script-1.patch && CFLAGS="-D_PATH_DHCLIENT_SCRIPT='\"/sbin/dhclient-script\"' \ -D_PATH_DHCPD_CONF='\"/etc/dhcp/dhcpd.conf\"' \ -D_PATH_DHCLIENT_CONF='\"/etc/dhcp/dhclient.conf\"'" \ ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc/dhcp \ --localstatedir=/var \ --with-srv-lease-file=/var/lib/dhcpd/dhcpd.leases \ --with-srv6-lease-file=/var/lib/dhcpd/dhcpd6.leases \ --with-cli-lease-file=/var/lib/dhclient/dhclient.leases \ --with-cli6-lease-file=/var/lib/dhclient/dhclient6.leases && make
Pour tester les résultats, lancez : make check
Si vous ne souhaitez installer que le client ISC DHCP, lancez les commandes suivantes
en tant qu'utilisateur root
:
make -C client install && mv -v /usr/sbin/dhclient /sbin && install -v -m755 client/scripts/linux /sbin/dhclient-script
Passez au la section intitulée « Configuration du client » pour configurer le client
Si vous ne voulez installer que le serveur ISC DHCP, lancez la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
make -C server install
Passez au la section intitulée « Configuration du serveur » pour configurer le serveur.
Vous pouvez aussi installer tout le paquet, incluant le
client, le serveur, le relai, les bibliothèques statiques et
les en-têtes de développement, en lançant les commandes
suivantes en tant qu'utilisateur root
:
make install && mv -v /usr/sbin/dhclient /sbin && install -v -m755 client/scripts/linux /sbin/dhclient-script
Créez un /etc/dhcp/dhclient.conf
de base en
lançant la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
cat > /etc/dhcp/dhclient.conf << "EOF"
# Begin /etc/dhcp/dhclient.conf
#
# Basic dhclient.conf(5)
#prepend domain-name-servers 127.0.0.1;
request subnet-mask, broadcast-address, time-offset, routers,
domain-name, domain-name-servers, domain-search, host-name,
netbios-name-servers, netbios-scope, interface-mtu,
ntp-servers;
require subnet-mask, domain-name-servers;
#timeout 60;
#retry 60;
#reboot 10;
#select-timeout 5;
#initial-interval 2;
# End /etc/dhcp/dhclient.conf
EOF
Voir man 5 dhclient.conf pour des options supplémentaires.
Maintenant, créez le répertoire /var/lib/dhclient
qui contiendra les
interfaces client DHCP en lançant la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
install -v -dm 755 /var/lib/dhclient
À cet instant, vous pouvez tester si dhclient se comporte
comme prévu en lançant la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
dhclient <eth0>
Remplacez <eth0>
par votre
interface désirée. Si vous voulez une sortie plus verbeuse,
ajoutez le paramètre -v à la commande
ci-dessus.
Si
vous voulez configurer des interfaces réseaux au démarrage
en utilisant dhclient, vous devez
installer le script /lib/services/dhclient
inclus dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304 :
make install-service-dhclient
Ensuite, créez le fichier de configuration /etc/sysconfig/ifconfig.eth0
avec les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
cat > /etc/sysconfig/ifconfig.eth0 << "EOF"
ONBOOT="yes"
IFACE="eth0"
SERVICE="dhclient"
DHCP_START=""
DHCP_STOP=""
# Set PRINTIP="yes" to have the script print
# the DHCP assigned IP address
PRINTIP="no"
# Set PRINTALL="yes" to print the DHCP assigned values for
# IP, SM, DG, and 1st NS. This requires PRINTIP="yes".
PRINTALL="no"
EOF
Ajustez le fichier pour correspondre à vos besoins.
Pour plus d'informations sur les bonnes valeurs de
DHCP_START
DHCP_STOP
, voir man 8 dhclient.
Remarquez que vous n'avez du serveur DHCP que si vous voulez donner des adresses LAN sur votre réseau. Le client DHCP n'a pas besoin de serveur pour bien fonctionner.
Commencez par créer /etc/dhcp/dhcpd.conf
en lançant la
commande suivante en tant qu'utilisateur root
:
cat > /etc/dhcp/dhcpd.conf << "EOF"
# Begin /etc/dhcp/dhcpd.conf
#
# Example dhcpd.conf(5)
# Use this to enble / disable dynamic dns updates globally.
ddns-update-style none;
# option definitions common to all supported networks...
option domain-name "example.org";
option domain-name-servers ns1.example.org, ns2.example.org;
default-lease-time 600;
max-lease-time 7200;
# This is a very basic subnet declaration.
subnet 10.254.239.0 netmask 255.255.255.224 {
range 10.254.239.10 10.254.239.20;
option routers rtr-239-0-1.example.org, rtr-239-0-2.example.org;
}
# End /etc/dhcp/dhcpd.conf
EOF
Ajustez le fichier pour correspondre à vos besoins. Voir man 5 dhcpd.conf pour des options supplémentaires.
Créez maintenant le répertoire /var/lib/dhcpd
qui contiendra les
interfaces du serveur DHCP en lançant la commande suivante
en tant qu'utilisateur root
:
install -v -dm 755 /var/lib/dhcpd
Si vous voulez démarrer le serveur DHCP au démarrage,
installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/dhcpd
inclus dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304 :
make install-dhcpd
Vous devrez éditer /etc/sysconfig/dhcpd
pour régler
l'interface sur laquelle dhcpd adressera ses
requêtes DHCP.
est l'implémentation du client DHCP. |
|
est utilisé par dhclient pour (re)configurer les interfaces. Il peut faire des modifications supplémentaires en appelant un dhclient-{entry,exit}-hooks personnalisé. |
|
implémente les requêtes Dynamic Host Configuration Protocol (DHCP, protocole de configuration d'hôte dynamique) et Internet Bootstrap Protocol (BOOTP) pour les adresses réseaux. |
|
offre un moyen d'accepter des requêtes DHCP et BOOTP sur un sous-réseau sans serveur DHCP et les relayer vers le serveur DHCP d'un autre sous-réseau. |
|
fournit une façon interactive de se connecter, de chercher et éventuellement de modifier, l'état du serveur ISC DHCP via OMAPI Object Management API, 2l'API de gestion des objets). |
Last updated on : 2013-03-31 12:41:33 +020
Ces applications sont en général des applications client utilisées pour accéder à un serveur adéquat sur la plate-forme ou dans le monde. Tcpwrappers et portmap sont des programmes de support pour des démons que vous pouvez lancer sur votre machine.
Le paquet bridge-utils contient un utilitaire necessaire pour créer et gérer un périphérique de pont. Il est pratique dans l'initialisation d'un réseau pour une machine virtuelle (VM).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://sourceforge.net/projects/bridge/files/bridge/bridge-utils-1.5.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ec7b381160b340648dede58c31bb2238
Taille du téléchargement : 36 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/bridge
Activez les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyau si nécessaire :
[*] Networking support ---> [CONFIG_NET]
Networking options --->
<*/M> 802.1d Ethernet Bridging [CONFIG_BRIDGE]
Installez bridge-utils en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../bridge-utils-1.5-linux_3.8_fix-1.patch && autoconf -o configure configure.in && ./configure --prefix=/usr && make
Le test des résultats demande de lancer les six scripts dans
le répertoire tools/
. Deux des
tests demandent d'avoir 2 ports ethernet. Quelques tests ne
garderont pas la configuration actuelle du réseau. Voir pour
les détails tests/README
.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Pour automatiser la création et la configuration d'un pont,
installez script de service /lib/services/etc/bridge
inclu dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-service-bridge
Le script bridge
dépend des
comamndes /sbin/ifup et
/sbin/ifdown et le
script de service ipv4-static des scripts de
démarrage LFS en
date du 27 janvier 2012 ou plus tard.
Le fichier de configuration suivant va créer un périphérique de bridge au moment du démarrage et y rattacher l'eth0. Si vous désirez plus d'un périphérique, utilisez une liste d'INTERFACE_COMPONENTS séparés chacun par un espace . Cette configuration est utile lorsqu'on envisage de faire fonctionner une machine virtuelle telle que kvm/qemu.
D'autres combinaisons de SERVICE sont possibles, par exemple, SERVICES="bridge dhcp". Dans ce cas, les paramètres d'adresse ne sont pas nécessaires mais ils n'interfèrent pas s'ils sont présents. Vous pouvez utiliser le service bridge seul, mais vous aurez besoin d'une configuration consécutive supplémentaire.
Ne lancez pas de configuration parallèle pour un
périphérique dans la liste INTERFACE_COMPONENTS. Par
exemple, dans l'exemple ci-dessous, ne configurez pas
/etc/sysconfig/ifconfig.eth0
pour se
lancer au moment du démarrage. La commande ifdown br0 suivie de la
commande ifup
eth0 fonctionnera, mais n'essayez pas de
faire marcher les deux en même temp.
cat > /etc/sysconfig/ifconfig.br0 << "EOF"
ONBOOT=yes
IFACE=br0
SERVICE="bridge ipv4-static" # Space separated
IP=192.168.1.32
GATEWAY=192.168.1.1
PREFIX=24
BROADCAST=192.168.1.255
CHECK_LINK=no # Don't check before bridge is created
STP=no # Spanning tree protocol, default no
INTERFACE_COMPONENTS="eth0" # Add to IFACE, space separated devices
IP_FORWARD=true
EOF
Vous devriez changer toutes les adresses pour correspondre à votre contexte.
Last updated on : 2013-03-10 20:13:21 +010
Le paquet cifs-utils donne le moyen de monter des partages SMB/CIFS sur un système Linux.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://ftp.samba.org/pub/linux-cifs/cifs-utils/cifs-utils-6.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b7d75b67fd3987952896d27256c7293d
Taille du téléchargement : 384 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.1 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
keyutils-1.5.9, Linux-PAM-1.1.8, MIT Kerberos V5-1.13.1, talloc-2.1.1, Samba-4.1.17, et libcap-ng ou libcap-2.24 avec PAM
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cifsutils
Activez les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyau si nécessaire:
File systems --->
[*] Network File Systems ---> [CONFIG_NETWORK_FILESYSTEMS]
<*/M> CIFS support (advanced network filesystem, SMBFS successor) [CONFIG_CIFS]
Installez cifs-utils en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-pam \ --disable-systemd && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-pam
: Pour
ne pas construire le support PAM. Enlevez le et utilisez
--with-pamdir
(voir ensuite), si
Linux-PAM-1.1.8 est installé et que
vous souhaitez le support PAM.
--disable-systemd
:
Désactive les spécifications à systemd pour mount.cifs. Enlevez le pour
les systèmes lancés avec systemd.
--with-pamdir=/lib/security
:
Installe le module PAM dans /lib/security
.
est un programme de soutien côté utilisateur pour le système de fichiers client CIFS de Linux. De nombreuses activités ne sont pas faisables facilement par le noyau lui-même. Ce programme est un programme extérieur qui effectue ces actions à la place du noyau et qui renvoie le résultat. |
|
Est un programme d'aide de l'espace utilisateur pour le système de fichier du client linux CIFS. Il est concu pour être lancé quand le noyau appelle une request-key d'un type particulier. Il n'est pas conçu pour être lancé depuis la ligne de commande. |
|
est un outil pour gérer les accès (nom d'utilisateur et mot de passe) pour la possibilité d'établir des sessions dans des montages multi-utilisateur. |
|
est un programme de soutien côté utilisateur pour afficher un ACL dans un descripteur sécurisé de type Common Internet File System (CIFS). |
|
monte un système de fichiers Linux CIFS. Il est en général appelé indirectement par la commande mount(8) en utilisant l'option "-t cifs" |
|
vise à modifier l'ACL d'un descripteur sécurisé de l'objt d''un système de fichiers. |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet NcFTP contient une interface puissante et flexible avec le standard Internet File Transfer Protocol. Il vise à remplacer ou compléter le programme de stockage ftp.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.ncftp.com/ncftp/ncftp-3.2.5-src.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b05c7a6d5269c04891f02f43d4312b30
Taille du téléchargement : 452 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.4 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ncftp
Il y a deux façons de construire NcFTP. La première (et optimale) façon
construit la plupart des fonctionnalités comme une
bibliothèque partagée puis construit et installe le programme
lié à cette bibliothèque. La seconde méthode lie simplement
tous les fonctionnalités au binaire de façon statique. Elle
ne rend pas la bibliothèque dynamique disponible pour que
d'autres applications s'y lient. Vous devez choisir quelle
méthode vous convient le mieux. Notez que la seconde méthode
ne crée pas un binaire
lié entièrement de façon dynamique ; dans ce cas seules
les parties libncftp
sont liées
de façon statique. Sachez que la construction et
l'utilisation de la bibliothèque partagée est couverte par la
Clarified Artistic License ;
cependant le développement d'applications utilisant la
bibliothèque partagée est soumis à une autre licence.
Pour installer NcFTP en utilisant la première (et optimale) méthode, lancez les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make -C libncftp shared && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make -C libncftp soinstall && make install
Pour installer NcFTP en
utilisant la seconde meéthode (avec la fonctionnalité
libncftp
liée de façon
statique) lancez les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
make -C ... && make -C
... : Ces commandes fabriquent et
installent la bibliothèque dynamique libncftp
qui est ensuite utilisée pour s'y
lier lors de la compilation du programme principal.
/etc/ncftp.*
and ~/.ncftp/*
; especially /etc/ncftp.prefs_v3
et ~/.ncftp/prefs_v3
La plupart de la configuration de NcFTP se fait dans le programme et les
fichiers de configuration sont gérés automatiquement. Une
exception réside dans ~/.ncftp/prefs_v3
. Il y a plusieurs
options à y modifier notamment :
yes-i-know-about-NcFTPd=yes
Ceci désactive la publicité à l'écran d'accueil du serveur NcFTPd.
Il y a d'autres options dans le fichier prefs_v3
. La plupart d'entre elles
s'expliquent d'elles-mêmes. Vous pouvez mettre les
paramètres globaux par défaut dans /etc/ncftp.prefs_v3
.
est un programme de navigation pour File Transfer Protocol. |
|
est un processeur de tâches FTP batch individuelles. |
|
est l'éditeur de signets NcFTP (basé sur NCurses). |
|
est un programme de transfert de fichiers par Internet pour des scripts, utilisé pour récupérer les fichiers. |
|
est un programme de transfert de fichiers par Internet pour des scripts, utilisé pour lister des fichiers. |
|
est un programme de transfert de fichiers par Internet pour des scripts, utilisé pour transférer les fichiers. |
|
est un processeur de tâches FTP batch globales. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet Net-tools contient un ensemble de programmes de contrôle du sous-système réseau du noyau Linux.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/BLFS/svn/n/net-tools-CVS_20101030.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://anduin.linuxfromscratch.org/BLFS/svn/n/net-tools-CVS_20101030.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6be14ed473cacdd68edeaa9605adc469
Taille du téléchargement : 222 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.0 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/net-tools
Les instructions ci-dessous automatisent le processus de configuration en mettant yes dans une tube vers la commande make config. Si vous souhaitez lancer le processus de configuration interactif (en modifiant les instruction en make config), mais si vous n'êtes pas sr de savoir comment répondreà toutes les questions, acceptez simplement les réponses par défaut. Ceci ira très bien dans la majorité des cas. Vous sont ici posées une série de questions sur les protocoles réseau que vous avez activés dans votre noyau. Les réponses par défaut activeront les outils de ce paquet pour fonctionner avec les protocoles les plus courants : TCP, PPP et plusieurs autres. Vous avez enfin besoin d'activer ces protocoles dans le noyau — ce que vous faites ici n'est que de dire au paquet d'inclure le support de ces protocoles dans ses programmes, mais c'est au noyau de rendre les protocoles disponibles.
Ce paquet contient plusieurs fonctions inutiles, spécifiques à des protocoles inutiles ou des périphériques, qui sont obsolètes. Pour ne construire que le minimum nécessaire pour votre système, passez la commande yes et répondez à chaque question de façon interactive. Les options minimales nécessaires sont 'UNIX protocol family' et 'INET (TCP/IP) protocol family'.
Le correctif nettoie l'installation pour qu'elle n'écrase pas les programmes ifconfig et hostname qui sont installés par LFS.
Installez Net-tools en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../net-tools-CVS_20101030-remove_dups-1.patch && yes "" | make config && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make update
yes "" | make config : En mettant yes dans un tuyau vers make config, on saute la configuration interactive et on accepte les réponses par défaut.
est utilisé pour manipuler le cache A du noyau, souvent pour ajouter ou supprimer une entrée ou pour vider le cache entier. |
|
ajoute, supprime et montre des adresses multicast d'une interface. |
|
ajoute, modifie, supprime et montre les tunnels d'une interface. |
|
vérifie ou paramètre le statut d'une Media Independent Interface (MII) d'une interface. |
|
nomme les interfaces réseau basées sur les adresses MAC. |
|
est utilisé pour signaler les connexions réseau, les tables de routage, et les statistiques d'une interface. |
|
est utilisé pour bien ajuster les paramètres du périphérique PLIP, pour améliorer ses performances. |
|
est utilisé pour manipuler la table RARP du noyau. |
|
est utilisé pour manipuler la table de routage IP. |
|
attache une interface réseau à une ligne série. Ceci vous permet d'utiliser les lignes du terminal normal pour des liaisons point-à-point avec d'autres ordinateurs. |
Last updated on : 2013-03-05 00:08:42 +010
Le paquet NFS Utilities contient le serveur utilisateur et le client nécessaires pour utiliser les possibilités NFS du noyau. NFS est un protocole qui permet le partage de systèmes de fichiers sur un réseau.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/nfs/nfs-utils-1.3.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1e2f3c1ed468dee02d00c534c002ea10
Taille du téléchargement : 772 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
SQLite-3.8.8.2 et libnfsidmap (pour le support NFSv4), libevent-2.0.22 , MIT Kerberos V5-1.13.1 ou libgssapi, librpcsecgss (pour le support de la sécurité GSS et RPC) et libcap-2.24 avec PAM
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/nfs-utils
Activez les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyau si nécessaire :
File systems --->
[*] Network File Systems ---> [CONFIG_NETWORK_FILESYSTEMS]
<*/M> NFS client support [CONFIG_NFS_FS]
<*/M> NFS server support [CONFIG_NFSD]
Sélectionnez les sous-options adéquates qui apparaissent quand les options ci-dessus sont sélectionnées.
Avant de compiler le programme, assurez-vous que
l'utilisateur nobody
et le
groupe nogroup
ont été créé
dans la version actuelle du livre LFS. Vous pouvez les
ajouter en lançant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
groupadd -g 99 nogroup && useradd -c "Unprivileged Nobody" -d /dev/null -g nogroup \ -s /bin/false -u 99 nobody
Les valeurs d'uid et de gid classiques sont 65534, ce qui
signifie -2 interprété en nombre 16 bits signé. Ces valeurs
affectent d'autres fichiers sur quelques systèmes de
fichiers qui ne supportent pas les fichiers éparpillés. Les
valeurs nobody
et
nogroup
sont relativement
arbitraires. L'impact sur un serveur est nul si le fichier
exports
est configuré
correctement. S'il est mal configuré, un listage par
ls -l or
ps affichera
un numéro d'uid ou de gid de 65534 à la place d'un nom. Le
client n'utilise nobody
qu'en tant qu'utilisateur qui lance rpc.statd.
Corrigez un problème qui empécherait rpd.statd de démarrer:
sed -i "/daemon_init/s:\!::" utils/statd/statd.c
Installez NFS Utilities en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --without-tcp-wrappers \ --disable-nfsv4 \ --disable-gss && make
Si votre répertoire /usr
est
monté en NFS, vous devriez installer les exécutables dans
/sbin
en passant un paramètre
supplémentaire --sbindir=/sbin
à
la commande ./configure ci-dessus.
Pour tester les résultats, tapez: make check
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--without-tcp-wrappers
: Cette
option est nécessaire car TCP Wrappers n'est pas dans BLFS.
--disable-nfsv41
:
Désactive le support des versions 4 de NFS.
--disable-gss
:
Désactive le support de RPCSEC GSS (RPC Security).
/etc/exports
contient les
répertoires exportés sur des serveurs NFS. Reportez-vous à
la page de manuel exports.5
pour la syntaxe de ce fichier. Reportez-vous aussi au
"guide pratique NFS" disponible sur http://nfs.sourceforge.net/nfs-howto/
pour des information ons sur la manière de configurer les
serveurs et les clients de façon sécurisée. Par exemple,
pour partager le répertoire /home
via le réseau local, vous pouvez
ajouter la ligne suivante :
/home 192.168.0.0/24
(rw,subtree_check,anonuid=99,anongid=99)
Soyez certain de remplacer le répertoire, l'adresse réseau et le préfixe pour correspondre à votre réseau. Le seul espace dans la ligne dessus doit être entre le répertoire et l'adresse réseau.
Installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/nfs-server
fourni dans
le paquet blfs-bootscripts-20150304
pour lancer le serveur au démarrage.
make install-nfs-server
Maintenant créez le fichier de configuration /etc/sysconfig/nfs-server
:
cat > /etc/sysconfig/nfs-server << "EOF"
PORT="2049"
PROCESSES="8"
QUOTAS="no"
KILLDELAY="10"
EOF
Les paramètres ci-dessus peuvent être mis,
éventuellement, dans /etc/sysconfig/rc.site
.
/etc/fstab
contient les
répertoires qui doivent être montés sur le client. Les
partitions peuvent aussi être montées par l'utilisation de
mount command
avec les bonnes options. Pour monter les partitions
/home
et /usr
, ajoutez ce qui suit au fichier
/etc/fstab
:
<server-name>
:/home /home nfs rw,_netdev 0 0<server-name>
:/usr /usr nfs ro,_netdev 0 0
Les options qui peuvent être utilisées sont spécifiées dans
man 5 nfs. Si
le client et le server utilisent des versions récentes de
linux, la plupart des options pourront être négociées. vous
pouvez spécifier soit rw
ou
ro
, _netdev
si le système de fichier doit être
monté automatiquement au démarrage, ou noauto
(et peut être user
) pour les autres systèmes de
fichiers.
Si le serveur de fichiers n'utilise pas une version récente de linux, vous devrez spécifier d'autres options.
Si vous utilisez systemd, vous devrez activer autofs v4
dans votre noyau, et ajouter l'option comment=systemd.automount
. Certaines
machines ont besoin de cela, car systemd tente de monter
les fs externes avant que le réseau soit actif, les autres
n'ont pas besoin de cela. Une alternative est pour
root
de lancer mount -a.
Le script de démarrage suivant n'est pas requis si vous avez installé le script nfs-server.
Installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/nfs-client
fourni dans
le paquet blfs-bootscripts-20150304
pour lancer les services clients au démarrage.
make install-nfs-client
Pour monter automatiquement des systèmes de fichiers
nfs
, les clients devront
également installer le script de démarrage the
netfs
comme décrit au
chapitre Configuration
pour les systèmes de fichier réseau.
maintient une liste des systèmes de fichiers exportés par NFS. |
|
affiche des statistiques par montage des clients NFS. |
|
Utilisé pour monter un partage réseau en utilisant NFS |
|
Utilisé pour monter un partage réseau en utilisant NFSv4 |
|
Signale les statistiques d'entrée/sortie des systèmes de fichiers réseaux. |
|
affiche des statistiques sur le client NFS et l'activité du serveur. |
|
implémente le protocole de montage NFS sur un serveur NFS. |
|
implémente la partie du serveur niveau utilisateur du service ou du serveur NFS. |
|
est utilisé par le service de verrouillage de fichier NFS. Lancé des deux côtés, côté client et serveur, quand vous voulez activer le verrouillage de fichier. |
|
paramètre ou vide les drapeaux de débogage du client et du serveur NFS. |
|
affiche des informations de montage d'un serveur NFS. |
|
est utilisé pour envoyer des messages de redémarrage au Network Status Monitor. |
|
est un script appelé par nfsmount lors du montage d'un système de fichiers avec le verrouillage activé, si statd ne semble pas fonctionner. On peut l'automatiser avec n'importe quel drapeau approprié à la situation. |
|
Utilisé pour démonter un partage réseau utilisant NFS |
|
Utilisé pour démonter un partage réseau utilisant NFSv4 |
Last updated on : 2013-04-22 01:03:22 +020
Si LFS est capable de monter des systèmes de fichiers réseaux
tels que NFS, ils ne sont pas montés par le script de démarrage
mountfs
. Les systèmes de fichiers
réseaux doivent être montés après que le réseau est activé et
démontés avant que le réseau ne s'éteigne. Le script de
démarrage netfs
a été écrit pour
gérer à la fois le montage des systèmes de fichiers réseaux au
moment du démarrage, si l'entrée dans /etc/fstab
contient l'option _netdev
, et le démontage de tous les systèmes
de fichiers réseaux avant que le réseau ne soit éteint.
En tant qu'utilisateur root
,
installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/netfs
inclu avec le paquet
blfs-bootscripts-20150304.
make install-netfs
Last updated on : 2011-11-04 00:05:47 +010
Le paquet ntp contient un client et un serveur pour synchroniser le temps entre divers ordinateurs d'un réseau. Ce paquet est l'implémentation de référence officiel du protocole NTP.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://www.eecis.udel.edu/~ntp/ntp_spool/ntp4/ntp-4.2/ntp-4.2.8p1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 65d8cdfae4722226fbe29863477641ed
Taille du téléchargement : 6.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 59 Mo
Estimation du temps de construction : 0.7 SBU
libcap-2.24 avec PAM, OpenSSL-1.0.2 et libedit
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ntp
Il doit y avoir un utilisateur et un groupe dédiés pour
prendre le contrôle du démon ntpd après qu'il soit
démarré. Tapez les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
groupadd -g 87 ntp && useradd -c "Network Time Protocol" -d /var/lib/ntp -u 87 \ -g ntp -s /bin/false ntp
Installez ntp en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --bindir=/usr/sbin \ --sysconfdir=/etc \ --enable-linuxcaps \ --with-lineeditlibs=readline \ --docdir=/usr/share/doc/ntp-4.2.8p1 && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -o ntp -g ntp -d /var/lib/ntp
--bindir=/usr/sbin
: Ce
paramètre met les programmes d'administration dans
/usr/sbin
.
--enable-linuxcaps
:
ntpd est lancé en tant qu'utilisateur ntp, donc utilisation
des possibilités de pour le contrôle de l'horloge en
non-root.
--with-lineeditlibs=readline
:
Cette option active le support Readline pour les programmes
ntpdc et
ntpq. En ne le
mettant pas, libedit sera
utilisé s'il est installé, sinon aucune fonctionnalités
readline ne sera compilée.
Le fichier de configuration suivant définit plusieurs serveurs ntp libres d'accès sur différents continents. Il crée aussi un fichier drift où ntpd conserve la fréquence de temps et un fichier pid pour stocker l'ID du processus ntpd. Comme il y a peu de documentation fournie avec le paquet, visitez le site Internet de ntp sur http://www.ntp.org/ et http://www.pool.ntp.org/ pour plus informations.
cat > /etc/ntp.conf << "EOF"
# Asia
server 0.asia.pool.ntp.org
# Australia
server 0.oceania.pool.ntp.org
# Europe
server 0.europe.pool.ntp.org
# North America
server 0.north-america.pool.ntp.org
# South America
server 2.south-america.pool.ntp.org
driftfile /var/lib/ntp/ntp.drift
pidfile /var/run/ntpd.pid
EOF
Vous pouvez souhaiter ajouter une « Session de sécurité ». Pour les explications voir https://www.eecis.udel.edu/~mills/ntp/html/accopt.html#restrict.
cat >> /etc/ntp.conf << "EOF"
# Security session
restrict default limited kod nomodify notrap nopeer noquery
restrict -6 default limited kod nomodify notrap nopeer noquery
restrict 127.0.0.1
restrict ::1
EOF
Il y a deux options. L'option un est de lancer ntpd en permanence et de l'autoriser à synchrnmiser le temps de façon graduée. L'autre option est de lancer ntpd périodiquement (en utilisant cron) et de mettre à jour l'heure chaque fois que ntpd est modifié.
Si vous choisissez l'option un, installez le script de
démarrage /etc/rc.d/init.d/ntp
inclu dans le paquet
blfs-bootscripts-20150304.
make install-ntpd
Si vous préférez lancer ntpd périodiquement,
ajoutez la commande suivante au crontab
de root
:
ntpd -q
Exécutez la commande suivante si vous aimeriez régler l'heure matérielle à l'heure actuelle du système lorsqu'il s'éseint et redémarre :
ln -v -sf ../init.d/setclock /etc/rc.d/rc0.d/K46setclock && ln -v -sf ../init.d/setclock /etc/rc.d/rc6.d/K46setclock
L'autre façon est déjà réglée par LFS.
calcule la valeur optimal pour les tops donnés par le fichier drift de ntp. |
|
génère des fichiers de données encryptées utilisés par les schèmes NTPv4 d'authentification et d'identification. |
|
est utile au moment du démarrage, pour faire attendre la séquence de démarrage jusqu'à ce que ntpd ait réglé l'heure. |
|
est un démon ntp qui se lance en tâche de fond et qui maintient la date et l'heure synchronizés à partir des réponses des serveurs ntp configurés. Il fonctionne aussi comme un serveur NTP. |
|
est un programme client qui règle la date et l'heure à partir des réponses d'un serveur NTP. Cette commande est obsolète. |
|
est utilisé pour interroger le démon ntp sur son état actuel et pour demander des changements de cet état. |
|
est un outil utilisé pour gérer les opérations de ntpd et déterminer les performances. |
|
lit et affiche les variables du noyau relatives à l'heure. |
|
établit une chaîne entre les serveurs ntp et la source primaire. |
|
est un client Simple Network Time Protocol (SNTP ou simple protocole de temps réseau). |
|
lit et, éventuellement, modifies plusieurs variables relatives à la conservation du temps dans des noyaux anciens qui n'ont pas de support pour la conservation du temps de précision. |
Last updated on : 2013-03-11 06:22:02 +010
Le programme rpcbind remplace portmap. Il est nécessaire pour importer ou exporter les répertoires partagés d'un système de fichier réseau
sed -i "/servname/s:rpcbind:sunrpc:" src/rpcbind.c && sed -i "/error = getaddrinfo/s:rpcbind:sunrpc:" src/rpcinfo.c
(Network File System, NFS).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/rpcbind/rpcbind-0.2.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8acf839bfef2364a05fbd6be5f8edf9a
Taille du téléchargement : 112 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.5 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/rpcbind
Pour faire fonctionner rpcbind correctement, corrigez d'abord le paquet pour utiliser les bons noms de service.
./configure --prefix=/usr \ --bindir=/sbin \ --with-rpcuser=root \ --without-systemdsystemunitdir && make
Installez rpcbind en lançant les commandes suivantes :
make install
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install-rpcbind
--with-rpcuser=root: Ce travail contourne une erreur dans le script configure.
--without-systemdsystemunitdir: BLFS ne supporte pas systemd.
Installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/rpcbind
inclu dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet rsync contient l'outil rsync. C'est utile pour synchroniser de grosses archives de fichiers sur un réseau.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://www.samba.org/ftp/rsync/src/rsync-3.1.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 43bd6676f0b404326eee2d63be3cdcfe
Taille du téléchargement : 869 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.0 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/rsync
Pour des raisons de sécurité, il est recommandé d'exécuter le
serveur rsync en tant
qu'utilisateur et que groupe non privilégiés. Si vous
souhaitez lancer rsync en tant que démon,
créez l'utilisateur et le groupe rsyncd
avec les commandes suivantes
lancées en tant qu'utilisateur root
:
groupadd -g 48 rsyncd && useradd -c "rsyncd Daemon" -d /home/rsync -g rsyncd \ -s /bin/false -u 48 rsyncd
Installez rsync en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --without-included-zlib && make
Si vous avez installé Doxygen-1.8.9.1 et si vous souhaitez construire la documentation de l'API en HTML, lancez doxygen.
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez construit la documentation, installez-la en
utilisant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/rsync-3.1.1/api && install -v -m644 dox/html/* /usr/share/doc/rsync-3.1.1/api
--without-included-zlib
: Ce
paramètre active la compilation avec la bibliothèque zlib
installée sur le système.
Pour un accès client aux fichiers distants, il se peut que vous deviez installer le paquet OpenSSH-6.7p1 pour vous connecter au serveur distant.
C'est une configuration simple pour le téléchargement seulement pour régler un rsync fonctionnant comme un serveur. Voir la page de man de rsyncd.conf(5) pour des options supplémentaires (donc l'authentication utilisateur).
cat > /etc/rsyncd.conf << "EOF"
# This is a basic rsync configuration file
# It exports a single module without user authentication.
motd file = /home/rsync/welcome.msg
use chroot = yes
[localhost]
path = /home/rsync
comment = Default rsync module
read only = yes
list = yes
uid = rsyncd
gid = rsyncd
EOF
Vous pouvez trouver des informations de configuration et de la documentation générale concernant rsync sur http://rsync.samba.org/documentation.html.
Remarquez que vous ne voudrez démarrer le serveur rsync que si vous voulez fournir une archive rsync sur votre machine locale. Vous n'avez pas besoin de ce script pour lancer le client rsync.
Installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/rsyncd
fourni dans le
script de démarrage blfs-bootscripts-20150304.
make install-rsyncd
est le remplaçant de rcp (et scp) qui a beaucoup plus de fonctionnalités. Il utilise l'« algorithme rsync » qui fournit une méthode de synchronisation des fichiers distants très rapide. Il fait cela en n'envoyant que les différences dans les fichiers à travers le lien, sans exiger que les deux ensembles de fichiers soient présents à l'avance à une fin de lien. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet Samba offre des services de fichiers et d'imprimante à des clients SMB/CIFS et du partage réseau Windows à des clients Linux. Samba peut aussi se configurer en tant que remplaçant du contrôleur de domaine Windows, un serveur de fichiers/imprimantes agissant comme membre d'un domaine Windows ou Active Directory et un serveur DNS NetBIOS (rfc1001/1002) (qui offre entre autres choses le support de la navigation dans un LAN).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://download.samba.org/pub/samba/stable/samba-4.1.17.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8fed0f23a672e6a8d0716d96aca88671
Taille du téléchargement : 19 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 416 Mo (additional 397 Mo for the quicktest, reputedly up to 500 Mo additional for all tests)
Estimation du temps de construction : 2.7 SBU, using parallelism=4 (additional 4.5 SBU for the quicktest, reputedly up to 110 SBU to run all tests)
libxslt-1.1.28 (pour la documentation)
avahi-0.6.31, Cups-2.0.2, GnuTLS-3.3.12, libcap-2.24 avec PAM, libgpg-error-1.18, Linux-PAM-1.1.8, MIT Kerberos V5-1.13.1, OpenLDAP-2.4.40, popt-1.16, Valgrind-3.10.1(utilisé facultativement par la suite de tests) xfsprogs-3.2.2, Gamin, ctdb, libaio, libunwind, OpenAFS, et tdb
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/samba4
Si vous souhaitez lancer la suite de tests après que les
binaires soient construits, vous devez ajouter les
paramètres --enable-socket-wrapper
et --enable-selftest
dans le script
configure
dessous. Vous pouvez vouloir lancer configure avec le
paramètre --help
en premier. Il
peut y avoir d'autres paramètres utiles pour utiliser les
dépendances facultatives.
Installez Samba en lançant les commandes suivantes :
./configure \ --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --with-piddir=/run/samba \ --with-pammodulesdir=/lib/security \ --without-systemd \ --enable-fhs \ --enable-nss-wrapper && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
sed -i "/samba3.blackbox.failure.failure/i \^samba3.raw.eas" selftest/knownfail
Selon les développeurs de Samba, la limitation de 108 caractères
de la longueur du chemin d'un socket tunnel unix nommé peut
causer des erreurs, et donc plus de 1/3 des tests peuvent
échouer. Pour cette raison, le paramètre --with-selftest-prefix=/tmp/quick
(ou un
autre chemin avec un petit nombre de caractères) peut être
utilisé avec configure. Sinon, le test « samba3.raw.eas
»
peut échouer, apparement pour la même raison. Si un test
rapide échoue, il peut être désactivé. Par exemple,
« samba3.raw.eas
»
peut être désactivé avec la commande suivante :
make install && mv -v /usr/lib/libnss_win{s,bind}.so* /lib && ln -v -sf ../../lib/libnss_winbind.so.2 /usr/lib/libnss_winbind.so && ln -v -sf ../../lib/libnss_wins.so.2 /usr/lib/libnss_wins.so && install -v -m644 examples/smb.conf.default /etc/samba && mkdir -pv /etc/openldap/schema && install -v -m644 examples/LDAP/README \ /etc/openldap/schema/README.LDAP && install -v -m644 examples/LDAP/samba* \ /etc/openldap/schema && install -v -m755 examples/LDAP/{get*,ol*} \ /etc/openldap/schema && install -v -m755 -d /usr/share/doc/samba-4.1.17 && install -v -m644 lib/ntdb/doc/design.pdf \ /usr/share/doc/samba-4.1.17
Pour tester les résultats, en tant qu'utilisateur
root
, tapez: make quicktest 2>&1 | tee
quicktest.log. Un résumé des résultats de
tests et quelques autre information peuvent être obtenue avec
grep -A5 testsuites
quicktest.log. Il y a d'autres cibles (test,
subunit-test) disponibles, mais elles prennent un temps trés
long (plus de 100 SBU).
--enable-fhs
:
Affecte tous les autres chemins de fichiers de façon conforme
au Filesystem Hierarchy Standard
(standard de hiérarchie de système de fichiers) (FHS).
--enable-nss-wrapper
:
Construit la bibliothèque nss-wrapper.
--without-systemd
:
Désactive l'intégration de systemd, qui ne fait pas parti de
LFS/BLFS. Si vous utilisez systemd, remplacez par --with-systemd
.
mv -v /usr/lib/libnss_win{s,bind}.so* /lib: Les bibliothèques nss sont installées dans /usr/lib par défaut. Déplacez les dans /lib.
ln -v -sf ../../lib/libnss_winbind.so.2 /usr/lib/libnss_winbind.so et ln -v -sf ../../lib/libnss_wins.so.2 /usr/lib/libnss_wins.so: Ces liens symboliques sont requis pour faire des constructions contre ses bibliothèques.
install -v -m644
examples/LDAP/* /etc/openldap/schema: Ces
commandes sont utilisées pour copier des schémas d'exemples
de Samba dans le schema
d'OpenLDAP.
install -v -m644
../examples/smb.conf.default
/etc/samba : Ceci copie un fichier
smb.conf
par défaut dans
/etc/samba
. Ce modèle de
configuration ne fonctionnera pas tant que vous ne la copiez
pas dans /etc/samba/smb.conf
et
ne ferez pas les modifications adaptées à votre installation.
Voir la section de configuration pour les valeurs minimum à
régler.
Si vous utilisez CUPS pour
les services d'impression, et si vous souhaitez imprimer
sur une imprimante attachée à un client SMB, vous devez
créer un périphérique de fond SMB. Pour créer le
périphérique, lancez la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
ln -v -sf /usr/bin/smbspool /usr/lib/cups/backend/smb
Compte tenu de la complexité et des usages très variés de
Samba, une configuration
complète pour toutes les possibilités du paquet va bien
au-delà du but du livre BLFS. Cette section fournit des
instructions pour configurer le fichier /etc/samba/smb.conf
pour deux scénari
classiques. Le contenu complet de /etc/samba/smb.conf
dépendra de la
finalité de l'installation de Samba.
Il se peut que vous trouviez plus facile de copier les
paramètres de configuration indiqués ci-dessous dans un
fichier /etc/samba/smb.conf
vierge plutôt que de copier et d'éditer le fichier par
défaut comme l'indique la section « Explication des commandes ». La façon
de créer et d'éditer le fichier /etc/samba/smb.conf
vous appartient.
Assurez-vous que le fichier n'est accessible en écriture
que pour l'utilisateur root
(mode 644).
Choisissez cette variante si vous ne voulez que transférer des fichiers en utilisant smbclient, monter des partages Windows et imprimer sur des imprimantes Windows et si vous ne voulez pas partager vos fichiers et vos imprimantes avec des machines Windows.
Un fichier /etc/samba/smb.conf
avec les trois
paramètres suivants suffit :
[global]
workgroup = MYGROUP
dos charset = cp850
unix charset = ISO-8859-1
Les valeurs de cet exemple indiquent que l'ordinateur
appartient à un groupe de travail Windows appelé
« MONGROUPE
»,
il utilise l'encodage « cp850
» sur
la toile lorsqu'il parle à MS-DOS et à MS Windows 9x, et
les noms de fichier sont stockés dans l'encodage
« ISO-8859-1
»
sur le disque. Adaptez ces valeurs à votre installation.
La valeur « unix
charset » doit être la même que la sortie de
locale
charmap lorsqu'on l'exécute avec la
variable LANG
paramétrée sur
votre locale préférée, sinon il se peut que ls n'affiche pas de
bons noms de fichiers pour les fichiers téléchargés.
Il n'est pas nécessaire de lancer de serveurs Samba dans ce scénario, vous n'avez donc pas besoin d'installer les scripts de démarrage fournis.
Choisissez cette variante si vous voulez partager vos fichiers et vos imprimantes avec des machines Windows sur votre groupe de travail, en plus des possibilités indiquées au scénario 1.
Dans ce cas, le fichier /etc/samba/smb.conf.default
peut être
un bon modèle de point de départ. Ajoutez également les
paramètres « dos
charset » et « unix
charset » à la section « [global] » comme décrit au scénario 1
pour empêcher la corruption des noms de fichiers.Pour des
raisons de sécurité, vous pouvez souhaiter définir
path =
/home/alice/shared-files
, en supposant que
vous nom d'utilisateur est alice
et que vous voulez
seulement partager les fichiers dans ce répertoire, au
lien de votre dossier home Alors, remplacez homes
par shared-files
et changez
également « comment
» si le fichier de
configuation dessous est utilisé ou /etc/samba/smb.conf.default
pour créer
le votre.
Le fichier de configuration suivant crée un partage séparé pour chaque répertoire home d'utilisateur et il rend disponibles toutes les imprimantes disponibles sur des machines Windows :
[global]
workgroup = MYGROUP
dos charset = cp850
unix charset = ISO-8859-1
[homes]
comment = Home Directories
browseable = no
writable = yes
[printers]
comment = All Printers
path = /var/spool/samba
browseable = no
guest ok = no
printable = yes
Les autres paramètres que vous pourriez vouloir personnaliser dans la section « [global] » comprennent :
server string =
security =
hosts allow =
load printers =
log file =
max log size =
socket options =
local master =
Reportez-vous aux commentaires dans le fichier
/etc/samba/smb.conf.default
pour des informations concernant ces paramètres.
Vu que les démons smbd et nmbd sont nécessaires
dans ce cas, installez le script de démarrage
samba
. Assurez-vous de
lancer smbpasswd (avec
l'option -a
) pour ajouter des
utilisateurs) pour activer et paramétrer les mots de
passe des comptes ayant besoin d'un accès Samba. En utilisant la fondation
passdb par défaut de Samba, tout utilisateur que vous
essaierez d'ajouter devra aussi exister dans le fichier
/etc/passwd
.
Des scénarios plus complexes impliquant le contrôle de domaine ou de la qualité de membre sont envisageables. Ces configurations sont des choses avancées qui ne peuvent pas être couvertes correctement par BLFS. De nombreux livres entiers ont été écrit sur ces sujets seuls. Notes que dans certains scénario d'appartenance à un domaine, le démon winbindd et les scripts de démarrage correspondants sont nécessaires.
Il y a très peu de documentation disponible capable de traiter bon nombre de ces configurations avancées. Pointez votre navigateur Internet vers les liens ci-dessous pour trouver une partie de la documentation incluse avec le paquet Samba :
Using Samba, 2nd Edition; a popular book published by O'Reilly (Utiliser Samba, 2ème édition, livre populaire publié par O'Reilly) http://www.samba/swat/using_samba/toc.html
The Official Samba HOWTO et Reference Guide (Le Guide de référence et le guide pratique de SAMBA officiels) http://www.samba/swat/help/Samba-HOWTO-Collection/index.html
Samba-3 by Example (Samba-3 par l'exemple) http://www.samba/swat/help/Samba-Guide/index.html
Pour vous être commode, on a écrit des scripts de
démarrage pour Samba.
Deux sont inclus dans le paquet blfs-bootscripts-20150304.
Le premier, samba
, lancera
les démons smbd et nmbd nécessaires pour
fournir les services SMB/CIFS. Le deuxième script,
winbind
, lance le démon
winbindd,
utilisé pour fournir les services de domaine Windows aux
clients Linux.
L'installation Samba par
défaut utilise l'utilisateur nobody
pour l'accès invité au
serveur. On peut éviter cela en réglant le paramètre
guest account =
dans le
fichier /etc/samba/smb.conf
. Si vous utilisez
le paramètre guest account =
,
assurez-vous que cet utilisateur existe dans le fichier
/etc/passwd
. Pour utiliser
l'utilisateur par défaut, lancez les commandes suivantes
en tant qu'utilisateur root
:
groupadd -g 99 nogroup && useradd -c "Unprivileged Nobody" -d /dev/null -g nogroup \ -s /bin/false -u 99 nobody
Installez le script samba
avec la commande suivante effectuée en tant
qu'utilisateur root
:
make install-samba
Si vous avez aussi besoin du script winbind
pour résoudre les noms
depuis les clients Windows, lancez:
make install-winbindd
est utilisé pour enregistrer l'entrée standard, la
source spécifiée et les entrées du registre du
journal d'événement DLL dans un journal
d'événements et pour afficher les noms des journaux
d'événement actifs (à partir de |
|
est un utilitaire en ligne de commande pour ajouter des enregistrements dans une base de données LDB. |
|
est un programme en ligne de commande pour effacer des enregistrements dans une base de données LDB. |
|
vous autorise à éditer la base de données LDB en utilisant votre éditeur de texte préféré. |
|
vous autorise à modifier des enregistrements dans la base de données LDB. |
|
vous autorise à éditer la base de données LDB en utilisant votre éditeur de texte préféré. |
|
cherche un enregistrement de la base de données LDB en utilisant un filtre basé sur une expression spécifiée. |
|
est un outil d'administration de Samba et des serveurs CIFS distants, ressemblant à l'outil net pour DOS/Windows. |
|
est le serveur de DNS NetBIOS Samba. |
|
est utilisé pour chercher des noms NetBIOS et les associer à des adresses IP. |
|
est un outil pour autoriser l'accès extérieur à la fonction d'authentication NTLM de Winbind. |
|
est un outil pour gérer la base de données SAM. |
|
est un outil qui affiche et modifie les SIDs dans les fichiers du registre Windows. Il ne supporte actuellement que Windows NT. |
|
est utilisé pour exécuter les fonctions MS-RPC côté client. |
|
manipule les permissions de partages ACL dans les partages de fichiers SMB. |
|
est utilisé pour manipuler des listes de contrôle d'accès Windows NT. |
|
est un outil d'accès à SMB/CIFS, ressemblant à FTP. |
|
est utilisé pour contrôler le fonctionnement des démons smbd, nmbd et winbindd. |
|
est utilisé pour manipuler les quotas de Windows NT sur des partages de fichiers SMB. |
|
est le démon Samba principal, qui fournit les services SMB/CIFS aux clients. |
|
est un simple outil avec las sémantiques du type wget qui peut télécharger des fichiers sur des serveurs SMB. Vous pouvez spécifier les fichiers que vous aimeriez télécharger sur la ligne de commande. |
|
modifie le mot de passe Samba de l'utilisateur. |
|
envoie une tâche d'impression sur une imprimante SMB. |
|
affiche les connexions Samba actuelles. |
|
est un script shell utilisé pour sauvegarder des partages SMB/CIFS directement sur des lecteurs de bandes Linux ou dans un fichier. |
|
est un navigateur réseau SMB en mode texte. |
|
est un outil pour sauvegarder ou valider
l'intégrité de fichiers Samba |
|
est un outil utilisé pour imprimer le contenu d'un
fichier Samba
|
|
est un outil qui permet une manipulation simple en ligne de commande de la base de données. |
|
vérifie la bonne syntaxe d'un fichier |
|
cherche un démon winbindd en fonction. |
|
résout des noms à partir de serveurs Windows NT. |
|
fournis les fonctions de l'API Name Service Switch API pour la résolution de noms depuis les serveurs NT. |
|
fournis les fonctions API pour l'implémentation dans Sambaion des Windows Internet Naming Service. |
|
fournis l'API pour les fonctions des outils d'administration utilisés par Samba et les serveurs CIFS. |
|
fournis l'API pour les fonctions des outils client Samba SMB. |
|
fournis l'API des fonctions pour accéder aux modes de partage SMB (locks etc.) |
|
fournis l'API des fonctions pour les services client du domaine Windows. |
Last updated on : 2013-03-10 22:16:29 +010
Le paquet Wget contient un outil utile pour le téléchargement non interactif de fichiers issus du Web.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/wget/wget-1.16.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/wget/wget-1.16.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 78942cc0cce0a23e18114d982789e360
Taille du téléchargement : 1.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 23 Mo (additional 4 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (additional 0.2 SBU for the tests)
OpenSSL-1.0.2 ou GnuTLS-3.3.12
libidn-1.29, PCRE-8.36; libwww-perl-6.13 avec IO::Socket::SSL (requis poru la suite de tests); Valgrind-3.10.1 (facultative pour la suite de tests, mais des échecs sont introduits), Dante et libpsl
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/wget
Installez Wget en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --with-ssl=openssl && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--sysconfdir=/etc
: Ceci
replace le fichier de configuration de /usr/etc
vers /etc
.
--with-ssl=openssl
: Ceci
permet au programme de fonctionner avec OpenSSL-1.0.2. Vous
pouvez vous en passer si GnuTLS-3.3.12 est présent ou si le
protocole https n'est pas nécessaire.
--enable-valgrind-tests
: Cela
permet aux tests d'être lancé sous valgrind. Malheureusement
des échecs sont introduits.
/etc/wgetrc
et ~/.wgetrc
Si vous avez installé les Certificate
Authority Certificates et si vous voulez que
Wget les utilise, en tant
qu'utilisateur root
:
echo ca-directory=/etc/ssl/certs >> /etc/wgetrc
Last updated on : 2013-03-04 00:23:09 +010
L'extension Wireless (WE) est une API générique du noyau Linux qui permet à un pilote de produire des statistiques et de la configuration spécifique à des LAN sans fil courants dans l'espace de l'utilisateur. Un seul chaîne d'outils peut supporter tous les types de LANs sans fil selon leur type, tant que le pilote supporte les extensions Wireless. Vous pouvez aussi modifier les paramètres WE à la volée sans redémarrer le pilote (ou Linux).
Le paquet Wireless Tools (WT) est une chaîne d'outils qui permet de manipuler les extensions Wireless. Ils utilise une interface textuelle pour supporter toute l'extension Wireless.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.hpl.hp.com/personal/Jean_Tourrilhes/Linux/wireless_tools.29.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e06c222e186f7cc013fd272d023710cb
Taille du téléchargement : 288 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.0 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/WirelessTools
Pour utiliser Wireless Tools, le noyau doit avoir les pilotes adéquats et les autres supports disponibles. Le bus adéquat doit être également disponible. Pour la plupart des portables, le bus PCMCIA (CONFIG_PCCARD) doit être construit. Dans certains cas, le support de ce bus devra aussi être construit pour les cartes Wifi internes. Le support pour le pont adéquat doit aussi être construit. Pour la plupart des portables récents, le pont hôte CardBus (CONFIG_YENTA) sera nécessaire.
En plus du bus, le pilote actuel pour la carte Wifi spécifique doit aussi être disponible. Il y a beaucoup de cartes Wifi et elles ne fonctionnent pas toutes avec Linux. Le premier endroit pour trouver le support des cartes est le noyau. Les pilotes se trouvent dans Device Drivers → Network Device Support → Wireless LAN (non-hamradio). Il y a aussi des pilotes externes disponibles pour des cartes très classiques. Pour des informations, regardez les notes utilisateur.
Après que les bons pilotes ont été chargés, l'interface
apparaîtra dans /proc/net/wireless
.
Pour installer Wireless Tools, utilisez les commandes suivantes :
make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make PREFIX=/usr INSTALL_MAN=/usr/share/man install
INSTALL_MAN=/usr/share/man : Installez les pages de manuel dans /usr/share/man au lieu de /usr/man
renrmme les interfaces réseau basées sur divers critères statiques. |
|
configure une interface de réseau sans fil. |
|
affiche les événements Wifi générés par les pilotes et les changements de paramétrage. |
|
signale une adresse ESSID, NWID ou AP/Cell de réseaux sans fil. |
|
obtient des informations détaillées du Wifi à partir d'une interface Wifi. |
|
configure des paramètres facultatifs (privés) de l'interface d'un réseau sans fil. |
|
obtient des statistiques du sans fil depuis un nœud spécifique. |
|
contient les fonctions requises par les programmes Wifi et fournit une API pour d'autres programmes. |
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
wpa_supplicant est un client d'accès au Wi-Fi protégé (WPA) et compatible IEEE 802.1X. Il implémente la négociation de clé WPA avec une authentification WPA et le protocole d'authentification étendue (EAP) avec un serveur d'authentification. De plus, il contrôle l'itinérance et l'authentification/association IEEE 802.11 des pilotes. Il est pratique pour se connecter à un point d'accès protégé par mot de passe.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://hostap.epitest.fi/releases/wpa_supplicant-2.3.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f2ed8fef72cf63d8d446a2d0a6da630a
Taille du téléchargement : 2.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 30 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
libnl-3.2.25 et OpenSSL-1.0.2.
D-BUS-1.8.16, libxml2-2.9.2 et Qt-4.8.6
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/wpa_supplicant
Activez les options suivantes dans la configuration du noyau aussi bien que les pilotes spécifiques pour votre matériel et recompilez si nécessaire :
[*] Networking support ---> [CONFIG_NET]
[*] Wireless ---> [CONFIG_WIRELESS]
<*/M> cfg80211 - wireless configuration API [CONFIG_CFG80211]
[*] cfg80211 wireless extensions compatibility [CONFIG_CFG80211_WEXT]
<*/M> Generic IEEE 802.11 Networking Stack (mac80211) [CONFIG_MAC80211]
Device Drivers --->
[*] Network device support ---> [CONFIG_NETDEVICES]
[*] Wireless LAN ---> [CONFIG_WLAN]
Ouvrez le sous-menu et selectionnez les options que supportent votre matériel : lspci de PCI Utils-3.3.0 peut être utilisé pour voir votre configuration matérielle.
En premier vous devez créer un fichier de configuration
initial pour la construction. Vous pouvez lire wpa_supplicant/README
et wpa_supplicant/defconfig
pour les
explications des options suivantes aussi bien que pour les
autres options qui peuvent être utilisées. Créer un fichier
de configuration qui peut fonctionner avec les
initialisations standards pour le WiFi en lançant les
commandes suivantes:
cat > wpa_supplicant/.config << "EOF"
CONFIG_BACKEND=file
CONFIG_CTRL_IFACE=y
CONFIG_DEBUG_FILE=y
CONFIG_DEBUG_SYSLOG=y
CONFIG_DEBUG_SYSLOG_FACILITY=LOG_DAEMON
CONFIG_DRIVER_NL80211=y
CONFIG_DRIVER_WEXT=y
CONFIG_DRIVER_WIRED=y
CONFIG_EAP_GTC=y
CONFIG_EAP_LEAP=y
CONFIG_EAP_MD5=y
CONFIG_EAP_MSCHAPV2=y
CONFIG_EAP_OTP=y
CONFIG_EAP_PEAP=y
CONFIG_EAP_TLS=y
CONFIG_EAP_TTLS=y
CONFIG_IEEE8021X_EAPOL=y
CONFIG_IPV6=y
CONFIG_LIBNL32=y
CONFIG_PEERKEY=y
CONFIG_PKCS12=y
CONFIG_READLINE=y
CONFIG_SMARTCARD=y
CONFIG_WPS=y
CFLAGS += -I/usr/include/libnl3
EOF
Si vous souhaitez utiliser WPA Supplicant avec NetworkManager-1.0.0, soyez certain d'avoir installé D-BUS-1.8.16 et libxml2-2.9.2, ensuite ajoutez les options suivantes dans le fichier de configuration de WPA Supplicant en lançant les commandes suivantes :
cat >> wpa_supplicant/.config << "EOF"
CONFIG_CTRL_IFACE_DBUS=y
CONFIG_CTRL_IFACE_DBUS_NEW=y
CONFIG_CTRL_IFACE_DBUS_INTRO=y
EOF
Installez WPA Supplicant en lançant les commandes suivantes:
cd wpa_supplicant && make BINDIR=/sbin LIBDIR=/lib
Si vous avez installé Qt-4.8.6 et souhaitez construire l'interface graphique de WPA Supplicant, lancez les commandes suivantes:
pushd wpa_gui-qt4 && qmake wpa_gui.pro && make && popd
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de tests.
Maintenant en tant qu'utilisateur root
:
install -v -m755 wpa_{cli,passphrase,supplicant} /sbin/ && install -v -m644 doc/docbook/wpa_supplicant.conf.5 /usr/share/man/man5/ && install -v -m644 doc/docbook/wpa_{cli,passphrase,supplicant}.8 /usr/share/man/man8/
Si vous avez construit WPA
Supplicant avec le support D-Bus, vous devez installez les fichiers
de configuration de D-Bus.
Installez les en lançant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -m644 dbus/fi.{epitest.hostap.WPASupplicant,w1.wpa_supplicant1}.service \ /usr/share/dbus-1/system-services/ && install -v -m644 dbus/dbus-wpa_supplicant.conf \ /etc/dbus-1/system.d/wpa_supplicant.conf
Si vous avez construit l'interface graphique de WPA Supplicant, installez le en lançant
les commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
install -v -m755 wpa_gui-qt4/wpa_gui /usr/bin/ && install -v -m644 doc/docbook/wpa_gui.8 /usr/share/man/man8/ && install -v -m644 wpa_gui-qt4/wpa_gui.desktop /usr/share/applications/ && install -v -m644 wpa_gui-qt4/icons/wpa_gui.svg /usr/share/pixmaps/
Vous devrez redémarrer le démon du système D-Bus avant que vous puissiez utiliser l'interface D-Bus de WPA Supplicant.
Ce paquet installe des fichiers du bureau dans la
hiérarchie /usr/share/applications
et vous pouvez
améliorer les performances du système et l'utilisation de
la mémoire en mettant à jour /usr/share/applications/mimeinfo.cache
.
Pour réaliser la mise à jour vous devez avoir installé
desktop-file-utils-0.22 et
tapez la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
update-desktop-database
Pour se connecter à un point d'acces qui utilise un mot de
passe vous devez mettre la clé public dans /etc/sysconfig/wpa_supplicant-
. SSID est
la chaîne que le point d'accès ou le routeur transmet pour
s'identifier. En tant qu'utilisateur wifi0
.confroot
:
wpa_passphraseSSID
SECRET_PASSWORD
> /etc/sysconfig/wpa_supplicant-wifi0
.conf
/etc/sysconfig/wpa_supplicant-
peut
retenir les détails de plusieurs points d'accès. Quand vous
lancez wpa_supplicant il
scannera les SSIDs qu'il peut voir et choisira le mot de
passe approprié pour se connecter.
wifi0
.conf
Si vous souhaitez vous connecter à un point d'accès qui
n'est pas protégé par un mot de passe, indiquez une entrée
comme cela dans in etc/sysconfig/wpa_supplicant-
.
Remplacez "Some-SSID" avec le SSID du point
d'accès/routeur.
wifi0
.conf
network={
ssid="Some-SSID
"
key_mgmt=NONE
}
Il y a beaucoup d'options que vous pouvez utiliser pour
personnaliser la façon de se connecter à chaque point
d'accès. Elles sont décrites en détails dans le fichier
wpa_supplicant/wpa_supplicant.conf
dans
les sources.
Si vous voulez
configurer une interface réseau au démarrage en utilisant
wpa_supplicant, vous
devez installer le script /lib/services/wpa
fourni dans le paquet
blfs-bootscripts-20150304 :
make install-service-wpa
Si votre routeur/point d'accès utilise DHCP pour allouer
les adresses IP, vous pouvez installer un client DHCP-4.3.1 et
l'utiliser pour obtenir automatiquement une adresse réseau.
Créez /etc/sysconfig/ifconfig-
en lançant la
commande suivante en tant qu'utilisateur wifi0
root
:
cat > /etc/sysconfig/ifconfig.wifi0
<< "EOF"ONBOOT="yes" IFACE="
EOFwlan0
" SERVICE="wpa" # Additional arguments to wpa_supplicant WPA_ARGS="" WPA_SERVICE="dhclient" DHCP_START="" DHCP_STOP="" # Set PRINTIP="yes" to have the script print # the DHCP assigned IP address PRINTIP="no" # Set PRINTALL="yes" to print the DHCP assigned values for # IP, SM, DG, and 1st NS. This requires PRINTIP="yes". PRINTALL="no"
Si vous préférez dhcpcd-6.7.1 au lieu du client DHCP-4.3.1,
alors créez /etc/sysconfig/ifconfig-
en lançant la
commande suivante en tant qu'utilisateur wifi0
root
:
cat > /etc/sysconfig/ifconfig.wifi0
<< "EOF"ONBOOT="yes" IFACE="
EOFwlan0
" SERVICE="wpa" # Additional arguments to wpa_supplicant WPA_ARGS="" WPA_SERVICE="dhcpcd" DHCP_START="-b -q<insert appropriate start options here>
" DHCP_STOP="-k<insert additional stop options here>
"
Sinon, si vous utilisez une adresse statique de votre
réseau local. alors créez /etc/sysconfig/ifconfig-
en lançant la
commande suivante en tant qu'utilisateur wifi0
root
:
cat > /etc/sysconfig/ifconfig.wifi0
<< "EOF"ONBOOT="yes" IFACE="
EOFwlan0
" SERVICE="wpa" # Additional arguments to wpa_supplicant WPA_ARGS="" WPA_SERVICE="ipv4-static" IP="192.168.1.1" GATEWAY="192.168.1.2" PREFIX="24" BROADCAST="192.168.1.255"
Vous pouvez vous connecter au point d'accès sans fil en
lançant la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
ifup wifi0
Remplacez wifi0
par l'interface sans fil correspondante et wifi0
par le nom du fichier
de configuration souhaité. Merci de noter que les fichiers
de configuration wpa_supplicant-*.conf
et ifconfig.*
doivent avoir des noms
identiques, c'est à dire les deux contiennent wifi0
dans leur nom.
est une interface graphique pour interagir avec wpa_supplicant. |
|
est un démon qui peut se connecter à un point d'accès protégé par un mot de passe. |
|
prend un SSID et un mot de passe et génère une configuration simple que wpa_supplicant peut comprendre. |
|
est une interface en ligen de commandes pour contrôler le lancement du démon wpa_supplicant. |
Last updated on : 2013-03-26 17:39:48 +010
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/othernetprogs
NCPFS contient les outils client et d'administration pour une utilisation avec les réseaux Novell. Voir les notes utilisateur pour des détails.
Last updated on : 2007-04-04 21:42:53 +020
Ce chapitre comporte des outils qui viennent en aide quand le réseau nécessite des investigations.
Notes d'utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/basicnetworkingutilities
Le paquet avahi est un système qui facilite la découverte des services dans un réseau local.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://avahi.org/download/avahi-0.6.31.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2f22745b8f7368ad5a0a3fddac343f2d
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 23 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
et GLib-2.42.1
gobject-introspection-1.42.0, gtk+-2.24.26, GTK+-3.14.8, libdaemon-0.14 et libglade-2.6.4
D-Bus Python-1.2.0, PyGTK-2.24.0 et Qt-4.8.6
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/avahi
Il doit y avoir un utilisateur et un groupe dédiés pour
prendre le controle du démon avahi-daemon après qu'il
soit démarré. Taper les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
groupadd -fg 84 avahi && useradd -c "Avahi Daemon Owner" -d /var/run/avahi-daemon -u 84 \ -g avahi -s /bin/false avahi
Il doit y avoir un groupe d'accès dédiés pour les clients
Avahi . Taper les commandes
suivantes en tant qu'utilisateur root
:
groupadd -fg 86 netdev
Installez avahi en lançant les commandes suivantes:
sed -i 's/\(CFLAGS=.*\)-Werror \(.*\)/\1\2/' configure && sed -e 's/-DG_DISABLE_DEPRECATED=1//' \ -e '/-DGDK_DISABLE_DEPRECATED/d' \ -i avahi-ui/Makefile.in && ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --disable-static \ --disable-mono \ --disable-monodoc \ --disable-python \ --disable-qt3 \ --disable-qt4 \ --enable-core-docs \ --with-distro=none \ --with-systemdsystemunitdir=no && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i ...: Ces
seds permettent au paquet de se construire après la
désapprobation des symboles dans gtkstock.h
par la version actuelle de
gtk+-3 en supprimant
-Werror
et en supprimant les
définitions de G{,DK,TK}_DISABLE_DEPRECATED.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--disable-mono
:
Ce paramètre désactive la construction de l'intégration de
Mono.
--disable-monodoc
: Ce
paramètre désactive la documentation pour l'intégration de
Mono.
--disable-python
: Ce
paramètre désactive les scriptes qui dépendent de
Python. Il permet aussi à
une installation régulière (sans destdir) de réussir
entièrement.
--disable-qt43
:
Ce paramètre désactive la construction de l'intégration
mainloop Qt3.
--disable-qt44
:
Ce paramètre désactive la construction de l'intégration
mainloop Qt4Core Ne mettez
pas cela si vous avez installé Qt.
--enable-core-docs
: Ce
paramètre active la construction de la documentation.
--with-distro=none
: C'est
un script de démarrage obsolète de la distribution LFS. Cette
option est désactivée.
--with-systemdsystemunitdir=no
:
Sans cela, le démon échoue à démarrer dans BLFS, qui ne
supporte pas systemd.
--disable-dbus
: Ce
paramètre désactive l'utilisation de D-Bus.
--disable-gtk
: Ce paramètre
désactive l'utilisation de GTK+2.
--disable-gtk3
: Ce
paramètre désactive l'utilisation de GTK+3.
--disable-libdaemon
: Ce
paramètre désactive l'utilisation de libdaemon. Si vous utilisez cette
option, avahi-daemon ne sera pas
construit.
--enable-tests
: Cette
option active la construction des tests et des exemples.
--enable-compat-howl
: Cette
option active la compatibilité pour HOWL.
--enable-compat-libdns_sd
:
Cette option active la compatibilité pour libdns_sd.
Pour automatiquement démarrer avahi-daemon quand le
système est redémarré, installer le script de démarrage
/etc/rc.d/init.d/avahi
depuis
le paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-avahi
est un démon de configuration des adresses réseau IPv4LL. |
|
est un service Web montrant les services mDNS/DNS-SD annoncé HTTP utilisant le démon Avahi. |
|
parcourt les services mDNS/DNS-SD utilisant le démon Avahin. |
|
parcourt les services mDNS/DNS-SD en utilisant le démon Avahi. |
|
est le démon Avahi mDNS/DNS-SD. |
|
parcourt les services mDNS/DNS-SD en utilisant le démon Avahi. |
|
parcourt les services de mDNS/DNS-SD en utilisant le démon Avahi. |
|
est un serveur DNS Unicast pour la configuration du démon mDNS/DNS-SD. |
|
enregistre un service mDNS/DNS-SD ou un nom d'hote ou une adresse utilisant le démon Avahi . |
|
enregistre un service mDNS/DNS-SD ou un nom d'hote ou une adresse utilisant le démon Avahi . |
|
enregistre un service mDNS/DNS-SD ou un nom d'hote ou une adresse utilisant le démon Avahi . |
|
resoud un ou plusieurs nom(s) d'hote mDNS/DNS en adresse(s) IP (et vice versa) utilisant le démon Avahi. |
|
resoud un ou plusieurs nom(s) d'hote mDNS/DNS en adresse(s) IP (et vice versa) utilisant le démon Avahi. |
|
resoud un ou plusieurs nom(s) d'hote mDNS/DNS en adresse(s) IP (et vice versa) utilisant le démon Avahi. |
|
change le nom d'hote mDNS. |
|
parcourt les serveurs SSH sur le réseau local. |
|
parcourt les serveurs VNC sur le réseau local. |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
BIND Utilities n'est pas un paquet séparé, c'est une collection de programmes clients inclus avec BIND-9.10.1-P2. Le paquet BIND inclut les programmes clients nslookup, dig et host. Si vous installez le serveur BIND, ces programmes seront installés automatiquement. Cette section est pour les utilisateurs n'ayant pas besoin du serveur BIND complet, mais ayant besoin des applications clients.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.isc.org/isc/bind9/9.10.1-P2/bind-9.10.1-P2.tar.gz
Téléchargement de la somme MD5 : 2ca3474c5cefebbbeea32710b048cd1c
Taille du téléchargement : 8.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 109 Mo
Estimation du temps de construction : 0.6 SBU
libcap-2.24 avec PAM, libxml2-2.9.2 et OpenSSL-1.0.2
Notes d'utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/bind-utils
Installez BIND Utilities en exécutant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make -C lib/dns && make -C lib/isc && make -C lib/bind9 && make -C lib/isccfg && make -C lib/lwres && make -C bin/dig
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make -C bin/dig install
make -C lib/... : Cette commande construit les bibliothèques nécessaires aux programmes clients.
make -C bin/dig : Cette commande construit les programmes clients.
Voyez les descriptions des programmes dans la section BIND-9.10.1-P2.
Last updated on : 2013-03-31 12:41:33 +020
Le paquet mod_dnssd est un module Apache HTTPD qui ajoute le support Zeroconf via DNS-SD en utilisant Avahi. Cela autorise Apache à annoncer lui-même et les sites disponibles pour les clients compatibles avec le protocole.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://0pointer.de/lennart/projects/mod_dnssd/mod_dnssd-0.6.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : bed3d95a98168bf0515922d1c05020c5
Taille du téléchargement : 84 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mod_dnssd
Installez mod_dnssd en lanèant les commandes suivantes:
sed -i 's/unixd_setup_child/ap_&/' src/mod_dnssd.c && ./configure --prefix=/usr \ --disable-lynx && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install sed -i 's| usr| /usr|' /etc/httpd/httpd.conf
sed ... src/mod_dnssd.c: Corrige un appel à une fonction externe qui a été mise ç jour depuis que le paquet est publié.
--disable-lynx
: Ce
paramètre désactive l'utilisation de Lynx pour la génération de la
documentation. Effacez le si vous avez installé Lynx.
sed ... /etc/httpd/httpd.conf: Corrige un chemin de répertoire que la procédure d'installation mets incorrectement dans le fichier de configuration de httpd.
Last updated on : 2013-01-25 17:32:25 +010
NetworkManager est un ensemble d'outils associés qui simplifient et rendent le réseau plus directement gérable. Que ce soit en WiFi, filaire, 3G ou Bluetooth, NetworkManager vous permet de passer rapidement d'un réseau à l'autre : une fois qu'un réseau a été configuré et qu'on s'y est relié une fois, on peut le détecter et s'y reconnecter automatiquement la prochaine fois qu'il sera disponible.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/NetworkManager/1.0/NetworkManager-1.0.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/NetworkManager/1.0/NetworkManager-1.0.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 71cae8707a90fa92e28cafbc9262b548
Taille du téléchargement : 3.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 221 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 1.8 SBU (additional 0.1 SBU for the tests)
dbus-glib-0.104, libndp-1.4, libnl-3.2.25, NSS-3.17.4, (ou GnuTLS-3.3.12), et udev-extras (depuis eudev) (pour GUdev)
ConsoleKit-0.4.6, dhcpcd-6.7.1 ou DHCP-4.3.1 (client seulement), gobject-introspection-1.42.0, iptables-1.4.21, libsoup-2.48.1, newt-0.52.18 (pour nmtui), polkit-0.112, UPower-0.9.23 et Vala-0.26.2
bluez-5.28, GTK-Doc-1.21, Qt-4.8.6, Valgrind-3.10.1, wpa_supplicant-2.3 (construit avec le support D-Bus), libteam, et ModemManager
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/NetworkManager
Si Qt-4.8.6 et Qt-5.4.0 sont installés, vous devez choisir de choisir Qt4 avec source setqt4, avant de démarrer. Installez NetworkManager en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --with-nmtui \ --disable-ppp \ --with-systemdsystemunitdir=no \ --docdir=/usr/share/doc/network-manager-1.0.0 && make
Une sessions graphique déjà active avec une adresse bus est nécessaire pour lancer les tests. Pour tester les résultats, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-nmtui
: Ce
paramètre active la construction de nmtui.
--with-systemdsystemunitdir=no
:
Ce paramètre est utilisé pour le système d'initialisation
sysv. Si vous utilisez systemd, remplacez "no" par le bon
répertoire.
--disable-ppp
: Ce paramètre
désactive le support facultatif de PPP dans NetworkManager.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si vous avez installé GTK-Doc-1.21 et souhaitez
construire les manuels de l'API.
--wihout-iptables
: Utilisez
ce paramètre si vous n'avez pas installé Iptables.
Pour que NetworkManager
fonctionne, il faut qu'il y ait au moins un fichier de
configuration minimal. Ce fichier n'est pas installé par
make install.
Lancez la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
pour créer un fichier
NetworkManager.conf
minimal :
cat >> /etc/NetworkManager/NetworkManager.conf << "EOF"
[main]
plugins=keyfile
EOF
Vous pouvez ajouter dns=none
pour supprimer les changements de /etc/resolv.conf
. Voir man 5 NetworkManager.conf
pour toutes les options supplémentaires.
Pour démarrer automatiquement le démon NetworkManager au moment
du redémarrage du système, installez le script de démarrage
/etc/rc.d/init.d/networkmanager
du paquet
blfs-bootscripts-20150304.
make install-networkmanager
est un outil en ligne de commande pour contrôler NetworkManager et obtenir son état. |
|
est un outil pour savoir si on est connecté. |
|
interface basée sur ncurses pour nmcli |
|
interface intéractive basée sur ncurses pour activer/désactiver les connexions. |
|
interface intéractive basée sur ncurses pour editer les connexions. |
|
interface intéractive basée sur ncurses pour editer le nom d'hote. |
|
est le démon de gestion réseau. |
|
contient des fonctions utilisées par NetworkManager. |
|
contient des fonctions utilisées par les greffons VPN de NetworkManager. |
|
contient des fonctions utilisées par les outils de NetworkManager. |
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
Nmap est un utilitaire d'exploration de réseaux et d'audit de sécurité. Il supporte le scan par ping, le scan de ports et les empreintes TCP/IP.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://nmap.org/dist/nmap-6.47.tar.bz2
Téléchargement de la somme MD5 : edfe81f6763223c0a29bfa15a8526e2a
Taille du téléchargement : 7.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 133 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 1.3 SBU (additional 0.1 SBU for the tests)
Ces paquets sont recommandés car s'ils ne sont pas installés, le processus de construction compilera et se liera contre ses propres (souvent anciennenes) versions.
libpcap-1.6.2, PCRE-8.36, et liblinear-1.96
OpenSSL-1.0.2, PyGTK-2.24.0 (requis pour zenmap), Python-2.7.9 (requis pour ndiff) et Subversion-1.8.11 (requis pour nmap-update)
Notes d'utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/nmap
Ce paquet ne supporte pas la construction parallèle.
Installez Nmap en exécutant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --with-liblua=included && make -j1
Si vous voulez lancer la suite de tests, lancer la commande suivante:
sed -i 's/lib./lib/' zenmap/test/run_tests.py
Pour tester les résultats, tapez : make -k check en tant
qu'utilisateur root
. Les
tests nécessitent une session graphique. Quelques tests
peuvent échouer.
>Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-liblua=included
: Ce
paramètre est requis pour corriger la compilation avec
lua 5.3.
est un outil pour lire et écrire des données à travers des réseaux à partir de la ligne de commande. |
|
est un outil pour vous aider à comparer des analyses de Nmap. |
|
est un utilitaire d'exploration de réseaux et d'audit de sécurité. Il supporte le scan par ping, le scan de ports et les empreintes TCP/IP. |
|
est un lien symbolique vers zenmap. |
|
est un programme de mise à jours pour les fichiers Nmap indépendants de l'architecture. |
|
est un lien symbolique vers zenmap. |
|
est une interface graphique Python de visualisation nmap. |
Last updated on : 2012-10-26 12:26:07 +020
Le paquet Traceroute contient un programme qui est utilisé pour afficher la route réseau que les paquets prennent pour accéder à un hôte donné. C'est un outil de diagnoctic standard de problèmes réseau. Si vous êtes dans l'incapacité de vous connecter à un autre système, traceroute peut vous aider à trouver le problème.
Ce paquet écrase la version de traceroute qui a été installée par le paquet inetutils de LFS. Cette version est plus puissante et autorise beaucoup plus d'options que la version standard.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/traceroute/traceroute-2.0.21.tar.gz
Téléchargement de la somme MD5 : 79289adabd6f3ebf9160fc0815ab3150
Taille du téléchargement : 68 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 912 Ko
Estimation du temps de construction : Less than 0.1 SBU
Notes d'utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/traceroute
Installez Traceroute en exécutant les commandes suivantes :
make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de test
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make prefix=/usr install && mv /usr/bin/traceroute /bin && ln -sv -f traceroute /bin/traceroute6 && ln -sv -f traceroute.8 /usr/share/man/man8/traceroute6.8 && rm -fv /usr/share/man/man1/traceroute.1
Le fichier traceroute.1 qui est installé dans LFS par inetutils n'est plus d'actualité. Ce paquet écrase cette version de la page de manuel de traceroute et installe la page de manuel dans le chapitre 8 de man.
Last updated on : 2013-03-05 00:08:42 +010
Whois est une application côté client, qui recherche dans le service de répertoire whois des informations sur un nom de domaine particulier. Ce paquet installera par défaut deux programmes : whois et mkpasswd. La commande mkpasswd est aussi installée par le package Expect-5.45.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.debian.org/debian/pool/main/w/whois/whois_5.2.4.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.debian.org/debian/pool/main/w/whois/whois_5.2.4.tar.xz
Téléchargement de la somme MD5 : be5828dd4e24b264a3c818d254382ae3
Taille du téléchargement : 84 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.6 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes d'utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/whois
Construisez l'application avec :
make
Vous pouvez installer le programme whois, le programme
mkpasswd, et
les fichiers de locale indépendemment. Contrôlez le choix de
ce que vous installez avec les commandes en tant
qu'utilisateur root
:
L'installation de cette version de mkpasswd remplacera la même commande installée par Expect-5.45.
make prefix=/usr install-whois make prefix=/usr install-mkpasswd make prefix=/usr install-pos
HAVE_LIBIDN=1
: Cette variable
make ajoute le support des entêtes de chaînes
internatianalisés à whois.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Wicd est un gestionnaire de réseau écrit en Python. Il simplifie le paramétrage du réseau en détectant et en se connectant automatiquement à des réseaux sans fil et filaires. Wicd inclut le support de l'authentification WPA et la configuration DHCP. Il offre des interfaces Curses- et graphiques basées sur GTK pour un contrôle convivial. Une excellente interface basée sur KDE est également disponible ici.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://launchpad.net/wicd/1.7/1.7.3/+download/wicd-1.7.3.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 162ca2e6f4ab903bb7ab2bc0adb7d1aa
Taille du téléchargement : 532 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.1 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Wicd utilise ifconfig pour activer les
connexions réseaux. ifconfig est fourni par
les paquets Inetutils et Net-tools. Le paquet Inetutils
fait partie de LFS, mais la commande ifconfig n'est pas
installée par les instructions de LFS. Si vous choisissez
d'installer la version Inetutils de ifconfig
, vous devez réinstaller le paquet
et le configurer sans le paramètre --disable-ifconfig
.
Python-2.7.9, D-Bus Python-1.2.0, Wireless Tools-29 et Net-tools-CVS_20101030 (Wicd a besoin de ifconfig et de mii-tool dans ce paquet)
PyGTK-2.24.0 (pour vinterface GTK), wpa_supplicant-2.3 (pour le support WPA) et dhcpcd-6.7.1 or DHCP-4.3.1 (for DHCP support)
pm-utils-1.4.1 (pour l'intégration de "suspend/resume"), Urwid (pour l'interface basé sur Curses) et Babel (pour l'internationalisation)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/wicd
Installez Wicd en lançant les commandes suivantes :
sed -e "/wpath.logrotate\|wpath.systemd/d" \ -e "/detection failed/ a\ self.init=\'init\/default\/wicd\'" \ -i setup.py && rm po/*.po && python setup.py configure --no-install-kde \ --no-install-acpi \ --no-install-pmutils \ --no-install-init \ --no-install-gnome-shell-extensions \ --docdir=/usr/share/doc/wicd-1.7.3
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
, installez le paquet :
LANG=C python setup.py install
sed -e ... -i setup.py: La première commande dans ce sed empêche l'installation des fichiers de configuration de logrotate et systemd. Vous pouvez l'oublier si vous utilisez ces utilitaires. La seconde commande dans ce sed corrige la construction avec la « distribution » BLFS.
rm po/*.po: Cette commande enlève les messages internationnaux associés avec ce paquet. La commande est requise si Babel n'est pas installé. S'il est installé, po/ast.po doit être effacé pour que la construction se termine.
--no-install-kde
: Empêche
l'installation du fichier de démarrage automatique sur le
bureau. pour KDE. Si vous utilisez KDE, vous devriez
installer plutôt le
Client Wicd KDE.
--no-install-acpi
: Empêche
l'installation des scripts suspend et resume pour acpid. Enlevez
cette option si vous utilisez acpid.
--no-install-pmutils
:
Empêche l'installation de repères pour pm-utils. Enlevez
cette option si vous utilisez pm-utils.
--no-install-init
: Empêche
l'installation d'un script de démarrage comme les scripts de
démarrage sont installés plus tard dans les instructions.
--no-install-gnome-shell-extensions
: Empêche
l'installation des extensions respectives. Supprimez ce
paramètre si vous utilisez Gnome Shell.
--wicdgroup=
:
Le groupe qui aura le droit d'utiliser le client Wicd (par
défaut, il s'agit du groupe <groupe>
users
).
LANG=C
: Cette variable
d'environnement est nécéssaire pour permettre de terminer
l'installation.
/etc/wicd/manager-settings.conf
,
/etc/wicd/wired-settings.conf
et /etc/wicd/wireless-settings.conf
Pour démarrer automatiquement Wicd au moment de l'amorçage,
vous devez d'abord installer le script de démarrage Wicd,
/etc/rc.d/init.d/wicd
, fourni
dans le paquet blfs-bootscripts-20150304
(en tant qu'utilisateur (root
) :
make install-wicd
Vu que Wicd prendra désormais en charge toute la
configuration des pçriphériques réseaux, le script de
démarrage du réseau installé par LFS devrait être
désactivé. Vous pouvez faire cela en supprimant tous les
liens symboliques S*network
et K*network
des répertoires
/etc/rc*.d
ou en réglant
ONBOOT=no
dans les fichiers
/etc/sysconfig/ifconfig.*
.
Aucune configuration manuelle de Wicd n'est nécessaire si
vous utilisez les interfaces graphiques. Si vous n'allez
utiliser Wicd qu'en ligne de commandes, vous pouvez le
configurer en utilisant les fichiers de configuration de
/etc/wicd
. Pour une liste des
options disponibles, regardez les pages de man de :
wicd-manager-settings.conf, wicd-wired-settings.conf et
wicd-wireless-settings.conf.
Assurez-vous d'ajouter tous les utilisateurs qui doivent
avoir les droits pour ouvrir et fermer les connexions
réseaux avec Wicd au groupe users
(ou au groupe spécifié avec
l'option de configuration --wicdgroup
).
est le démon wicd. |
|
est une interface en ligne de commande pour configurer le démon wicd. |
|
est le client wicd. Ce script tente de choisir automatiquement l'interface de configuration pertinente. |
|
est une interface curses pour configurer le démon wicd. |
|
est une interface GTK pour configurer le démon wicd. |
Last updated on : 2013-02-12 01:13:43 +010
Le paquet Wireshark contient un analyseur de protocole réseau connu aussi sous le nom de « sniffer ». Ceci est utile pour analyser les données capturées « hors connexion » à partir d'une connexion réseau en direct ou de données lues à partir d'un fichier de capture. Wireshark fournit à la fois un mode graphique et un front-end TTY-mode pour examiner les paquets réseau capturés de plus de 500 protocoles, ainsi que la capacité de lire des fichiers de capture à partir de nombreux autres analyseurs de réseau populaires.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://www.wireshark.org/download/src/all-versions/wireshark-1.12.3.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.uni-kl.de/pub/wireshark/src/wireshark-1.12.3.tar.bz2
Téléchargement de la somme MD5 : e6318b8451d4e56d39bd911da296ef19
Taille du téléchargement : 28 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 875 Mo (1.1 Go, with the Qt GUI)
Estimation du temps de construction : 5.5 SBU (7.3 SBU, with the Qt GUI)
Correctif requis: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/wireshark-1.12.3-lua_5_3_0-1.patch
Documentation supplémentaire : https://www.wireshark.org/download/docs/
Depuis cette page, vous pourrez télécharger de nombreux documents différents dans une variété de formats.
GLib-2.42.1 (pour ne construire que l'interface en mode ligne de commande)
Notez que si vous devez avoir installé Gtk+ ou Qt4, sinon,passez --disable-wireshark
à la commande
configure. SBU
et l'espace disque requis sont plus grand pour l'interface
Qt.
GTK+-3.14.8 (pour contruire l'interface Gtk+3 ) et libpcap-1.6.2 (requis pour capturer les données)
GnuTLS-3.3.12, libgcrypt-1.6.2, Lua-5.3.0, MIT Kerberos V5-1.13.1, OpenSSL-1.0.2, adns, GeoIP, and PortAudio
gtk+-2.24.26, Qt-4.8.6 ou Qt-5.4.0
Notes d'utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/wireshark
Le noyau doit avoir le protocole de paquets (Packet protocol) activé pour que Wireshark capture les paquets en direct à partir du réseau:
[*] Networking support ---> [CONFIG_NET]
Networking options --->
<*/M> Packet socket [CONFIG_PACKET]
Si la construction est faite en tant qu'un module, le nom est
af_packet.ko
.
Éventuellement, corrigez la description du programme dans titre. Le premier changement écrase le "SVN Unknown" (SVN inconnu) par défaut dans le titre et le second écrase un script qui réinitialise la version à to "unknown" (inconnue).
cat > svnversion.h << "EOF" #define SVNVERSION "BLFS" #define SVNPATH "source" EOF cat > make-version.pl << "EOF" #!/usr/bin/perl EOF
Wireshark est une
application très grosse et très complexe. Ces instructions
donnent les mesures de sécurité pour garantir que seuls les
utilisateurs de confiance soient autorisés à voir le trafic
réseau. Tout d'abord, définissez le groupe system pour
wireshark. En tant qu'utilisateur root
:
groupadd -g 62 wireshark
Si vous avez GTK+2 et 3, et Qt4 et 5, une interface liée à GTK+3 et une autre liée à Qt5 sont construites par défaut. A la place, nous choisissons de construire l'interface GTK+3, comme étant celle par défaut pour BLFS. si vous préférez autrement, quelques modifications sont nécessaires. Pour les modifications dans les paramètres de configure, regardez "L'explications des commandes".
Si vous voulez construire une interface Qt et avez Qt4 et 5 d'installés, tapez soit:
source setqt5
si vous voulez la construction de l'interface Qt5, ou:
source setqt4 && sed -i 's/Qt5 Qt/Qt/' configure
si vous voulez la construction de l'interface Qt4.
Continuez à installer Wireshark en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../wireshark-1.12.3-lua_5_3_0-1.patch && ./configure --prefix=/usr \ --with-gtk3=yes \ --with-qt=no \ --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de test
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/wireshark-1.12.3 && install -v -m755 -d /usr/share/pixmaps/wireshark && install -v -m644 README{,.linux} doc/README.* doc/*.{pod,txt} \ /usr/share/doc/wireshark-1.12.3 && pushd /usr/share/doc/wireshark-1.12.3 && for FILENAME in ../../wireshark/*.html; do ln -s -v -f $FILENAME . done && popd && install -v -m644 -D wireshark.desktop \ /usr/share/applications/wireshark.desktop && install -v -m644 -D image/wsicon48.png \ /usr/share/pixmaps/wireshark.png && install -v -m644 image/*.{png,ico,xpm,bmp} \ /usr/share/pixmaps/wireshark
Si vous avez téléchargé un des fichiers de documentation
mentionnés dans 'Téléchargements supplémentaires', installez
les en suivant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
install -v -m644 <Downloaded_Files>
/usr/share/doc/wireshark-1.12.3
Maintenant, définissez le propriétaire et les droits des
applications sensibles pour ne permettre qu'aun utilisateurs
autorisés de l'utiliser. En tant qu'utilisateur root
:
chown -v root:wireshark /usr/bin/{tshark,dumpcap} && chmod -v 6550 /usr/bin/{tshark,dumpcap}
Enfin, ajoutez les utilisateurs au groupe wireshark (en tant qu'utilisateur root):
usermod -a -G wireshark <username>
sed -i 's/Qt5 Qt/Qt/' ...: Cette commande est requise car sans elle, les bibliothèques et include de Qt5 sont trouvés et utilisés en premier, si les deux versions sont installées, quand on tente de construire avec Qt4, et que make ne se termine pas.
--disable-wireshark
: Cette option
est requise si vous avez installé GTK+ mais ne voulez pas construire les
interfaces GTK+ et Qt.
--with-gtk3=yes
: Ce
paramètre est requis pour utiliser GTK+3 pour l'interface, Si vous utilisez
--with-qt=no
. Changez
gtk3 par gtk2,pour utiliser GTK+3 pour l'interface.
--with-qt=no
: Cette
option désactive la construction de l'interface Qt. Remplacez
"no" par "yes", si vous voulez la construire.
--with-gtk2=yes
: Cette option est
requise si vous voulez utiliser GTK+2, au lieu de 3, pour l'interface
graphique. Notez que l'interface graphique pour seulement une
version de GTK+ (soit 2 ou 3) peut être construite.
Si les paramètres de configuration par défaut sont très clairs, reportez vous à la section de configuration du Guide de l'utilisateur de Wireshark (Wireshark User's Guide) pour les informations de configuration. La majorité de la configuration de Wireshark peut être réalisée en utilisant les options du menu des interfaces graphiques de wireshark.
Si l'interface Qt est construite et que vous souhaitez une entrée dans le menu du bureau, il y a deux possibilités (les instructions doivent être exécutées en tant que root).
Si seulement l'interface Qt est construite:
mv -v /usr/share/applications/wireshark.desktop \ /usr/share/applications/wireshark-qt.desktop
Si les deux interfaces GTK+ et Qt sont construites:
cp -v /usr/share/applications/wireshark.desktop \ /usr/share/applications/wireshark-qt.desktop
Maintenant corriger pour wireshark-qt:
sed -e 's/ireshark/&-qt/' \ -e 's/^\(Icon=wireshark\)-qt/\1/' \ -i /usr/share/applications/wireshark-qt.desktop
Si vous voulez regarder les paquets, assurez vous que vous ne les filtrez pas avec iptables-1.4.21. Si vous voulez exclure certaines classes de paquets, il est plus efficace de le faire avec iptables qu'avec Wireshark.
lit un fichier de capture sauvegardé et retourne certaines ou toutes les différentes statistiques sur ce fichier. Il est capable de détecter et lire toutes les captures supportées par le paquet Wireshark. |
|
affiche les types de fichier des fichiers de capture. |
|
est un programme test d'affichage-filtrage-compilation. |
|
est un outil de vidage de traffic réseau. Il vous permet de capturer en direct les paquets de données d'un réseau et écrire ces paquets dans un fichier. |
|
édite et/ou traduit le format des fichiers de capture. Il sait comment lire les fichiers de capture libpcap dont ceux de tcpdump, Wireshark et autres outils qui capturent dans ce format. |
|
combine de multiples fichiers de capture en un fichier unique de sortie. |
|
crée des fichiers de capture de paquets aléatoires. |
|
crée et analyse des données raw libpcap. |
|
re-arrange les marqueurs de temps des paquets d'un fichier d'entrée vers un fichier de sortie. |
|
lit dans une sauvegarde ASCII hexadécimale et écrit les données décrites dans un fichier de capture de style libpcap. |
|
est un analyseur de protocole réseau mode TTY. Il vous permet de capturer directement les paquets de donnée à partir d'un réseau ou lire les paquets à partir d'un fichier de capture sauvegardé précédemment. |
|
est l'interface GTK+ de l'analyseur de protocole réseau. Il vous permet de parcourir intéractivement en direct les paquets à partir d'un réseau ou à partir d'un fichier de capture sauvegardé précédemment. |
|
est l'interface Qt de l'analyseur de protocole réseau. Il vous permet de parcourir intéractivement en direct les paquets à partir d'un réseau ou à partir d'un fichier de capture sauvegardé précédemment. |
|
contient les fonctions utilisés par les programmes de Wireshark pour effectuer le filtrage et la capture de paquets. |
|
est une bibliothèque développée afin de remplacer
dans le futur |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Ces applications sont des bibliothèques de support pour d'autres applications du livre. Il est peu probable que vous vous contentiez d'installer ces bibliothèques, en général vous serez renvoyé à ce chapitre pour satisfaire une dépendance à d'autres applications.
Le paquet cURL contient un utilitaire et une bibliothèque utilisés pour le transfert de fichiers avec la syntaxe du lien vers un des protocoles suivants : FTP, FTPS, HTTP, HTTPS, SCP, SFTP, TFTP, TELNET, DICT, LDAP, LDAPS et FILE. Cette capacité de télécharger et de déposer des fichiers peut être incorporée à d'autres programmes pour supporter des fonctions comme le streaming de média.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://curl.haxx.se/download/curl-7.40.0.tar.lzma
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d18fb866d97b536e8948833b84a58a73
Taille du téléchargement : 2.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 41 Mo (additional 7 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU (additional 10 SBU for tests)
Certificate Authority Certificates et OpenSSL-1.0.2 ou GnuTLS-3.3.12
libidn-1.29, MIT Kerberos V5-1.13.1, OpenLDAP-2.4.40, Samba-4.1.17, c-ares, libmetalink, libssh2, et SPNEGO
Stunnel-5.10 (pour les tests HTTPS et FTPS) et Valgrind-3.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/curl
Installez cURL en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --enable-threaded-resolver && make
Le lancement de la suite de tests est facultatives. Environ 2% des tests échouent.L'augmentation du temps de test pour chaque test échouant est d'environ 10%. Le SBU des tests est obtenu en désactivant les tests qui échouent, avec :
cat >> tests/data/DISABLED << "EOF"
564
700
701
703
706
707
708
709
710
711
712
EOF
et lancez make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && find docs \( -name Makefile\* -o -name \*.1 -o -name \*.3 \) -exec rm {} \; && install -v -d -m755 /usr/share/doc/curl-7.40.0 && cp -v -R docs/* /usr/share/doc/curl-7.40.0
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-threaded-resolver
:
Ce paramètre active le résolveur DNS construit dans
cURL.
--with-gssapi
: Ce paramètre
ajoute le support de Kerberos
5 à libcurl
.
--without-ssl
--with-gnutls
: Utilisé pour construire le
support de GnuTLS au lieu
d'OpenSSL pour SSL/TLS.
find docs ( -name "Makefile*"
-o -name "*.1" -o -name "*.3" ) -exec rm {}
; : Cette commande supprime Makefiles
et les fichiers de man du
répertoire de documentation qui seraient, sans cela,
installés par les commandes qui suivent.
Last updated on : 2013-04-14 14:48:41 +020
GeoClue est un service de géoinformation modulaire construit sur la base du système de messages D-Bus. Le but du projet GeoClue est de créer des applications auto-géolocalisables de la manière la plus simple possible.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://launchpad.net/geoclue/trunk/0.12/+download/geoclue-0.12.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 33af8307f332e0065af056ecba65fec2
Taille du téléchargement : 556 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Correctif requis (si GPSD est installé): http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/geoclue-0.12.0-gpsd_fix-1.patch
dbus-glib-0.104, GConf-3.2.6 et libxslt-1.1.28
libsoup-2.48.1 and NetworkManager-1.0.0.
GPSD, gtk+-2.24.26 et oFono.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/geoclue
Installez GeoClue en lançant les commandes commands:
patch -Np1 -i ../geoclue-0.12.0-gpsd_fix-1.patch && sed -i "s@ -Werror@@" configure && sed -i "s@libnm_glib@libnm-glib@g" configure && sed -i "s@geoclue/libgeoclue.la@& -lgthread-2.0@g" \ providers/skyhook/Makefile.in && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i 's# -Werror@@'
configure : Ce sed supprime -Werror
de la variable
CFLAGS
, sans quoi la construction
échouera avec gcc-4.7.
sed -i "s@libnm_glib@libnm-glib@g" configure : Ce sed corrige la détection des bibliothèques de NetworkManager.
sed -i "s@geoclue/libgeoclue.la@& -lgthread-2.0@g" .. : Ce sed corrige la construction de GeoClue avec l'actuel binutils.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet glib-networking contient les modules gio liés au réseau pour GLib.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/glib-networking/2.42/glib-networking-2.42.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/glib-networking/2.42/glib-networking-2.42.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2959c3f9b5f2ed838ce373130d8d4500
Taille du téléchargement : 368 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.1 Mo (additional 2.7 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU (0.1 SBU for the tests)
GnuTLS-3.3.12 et gsettings-desktop-schemas-3.14.1
Certificate Authority Certificates et p11-kit-0.22.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/glib-networking
Installez glib-networking en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-ca-certificates=/etc/ssl/ca-bundle.crt \ --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make -k check. Quelques tests échouent pour des raisons inconnues.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-ca-certificates=/etc/ssl/ca-bundle.crt
:
Ce paramètre spécifie l'endroit où se trouvent les
certificats root de confiance.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
ldns est une bibliothèque DNS rapide avec le but de simmplifier la programmation DNS et pour permettre aux developpeurs de facilement créer des programmes qui soient conformes aux RFC actuelles et aux modelès Internet. Ce paquet inclu l'outil drill.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.nlnetlabs.nl/downloads/ldns/ldns-1.6.17.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a79423bcc4129e6d59b616b1cae11e5e
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 18 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Certificate Authority Certificates et libpcap-1.6.2 (pour les programmes d'exemple), Python-2.7.9 et SWIG-3.0.5 (pour les liaisons Python), et Doxygen-1.8.9.1 (pour la documentation html)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ldns
Installez ldns en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static \ --with-drill && make
Si vous avez le paquet Doxygen-1.8.9.1 d'installé et voulez construire la documentation html, lancez les commandes suivantes:
make doc
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez construit la documentation html, installez la en
lançant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/ldns-1.6.17 && install -v -m644 doc/html/* /usr/share/doc/ldns-1.6.17
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--with-drill
: Cette
option active la construction de l'outil drill.
--with-examples
: Cette option
active la construction des programmes d'exemples.
--with-pyldns
: Cette option
active la construction des liaisons Python.
est un outil comme dig de BIND Utilities-9.10.1-P2 conçu pour donner toutes sortes d'information sur le DNS. |
|
montre les drapeaux de compilation et de liens pour l'utilisation de ldns. |
|
fournit les fonctions de l'API de ldns pour programmer. |
Last updated on 2013-07-21 19:15:00 +0200
Libevent est une bibliothèque de notification d'événements asynchrone. L'API de libevent offre un mécanisme pour exécuter une fonction de secours si un événement spécifique se produit sur un descripteur de fichier ou après un certain délai. De plus, libevent supporte aussi les secours issus de signaux ou de délais réguliers.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/levent/libevent-2.0.22-stable.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c4c56f986aa985677ca1db89630a2e11
Taille du téléchargement : 835 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 19 Mo (additional 1 Mo for the tests and 6 Mo for the API documentation)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (additional 1.3 SBU for the tests)
Doxygen-1.8.9.1 (pour la documentation de API)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libevent
Installez Libevent en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Si vous avez installé Doxygen-1.8.9.1 et souhaitez construire la documentation de l'API, tapez doxygen Doxyfile.
Pour tester le résultat, tapez : make verify.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous construisez la documentation de l'API, installez la
en tapant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/libevent-2.0.22/api && cp -v -R doxygen/html/* \ /usr/share/doc/libevent-2.0.22/api
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-03 18:03:49 +010
La suite libnl est une collection de bibliothèques fournissant des API pour le protocole netlink basé sur le noyau Linux.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.carisma.slowglass.com/~tgr/libnl/files/libnl-3.2.25.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 03f74d0cd5037cadc8cdfa313bbd195c
Taille du téléchargement : 816 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 22 Mo (additional 1 Mo for the tests and 37MB for the API documentation)
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Téléchargement (HTTP): http://www.carisma.slowglass.com/~tgr/libnl/files/libnl-doc-3.2.25.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement: 641f73052d9f54e720efe1a476a20237
Taille du téléchargement: 15 Mo
check-0.9.14 (pour les tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libnl
Installez libnl en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous souhaitez installer la documentation de l'API, en
tant qu'utilisateur root
:
mkdir -vp /usr/share/doc/libnl-3.2.25 && tar -xf ../libnl-doc-3.2.25.tar.gz --strip-components=1 --no-same-owner \ -C /usr/share/doc/libnl-3.2.25
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--disable-cli
: Utiliser ce
parametre si vous voulez installer les outils cli fournit par
le paquet.
Last updated on : 2013-03-26 17:39:48 +010
libpcap fournit des fonctions pour la capture de paquets de niveau utilisateur, utilisée pour la surveillance réseau de bas niveau.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.tcpdump.org/release/libpcap-1.6.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5f14191c1a684a75532c739c2c4059fa
Taille du téléchargement : 636 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.1 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Correctif recommandé: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/libpcap-1.6.2-enable_bluetooth-1.patch (nécessaire pour bluez-5.21)
bluez-5.28, libnl-3.2.25, libusb-1.0.19, Distribution logiciel pour DAG et Septel ensemble de surveillance de cartes réseaux passives.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libpcap
Installez libpcap en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../libpcap-1.6.2-enable_bluetooth-1.patch && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Si vous voulez désactiver l'installation des bibliothèques statiques, utilisez ce sed:
sed -i '/INSTALL_DATA.*libpcap.a\|RANLIB.*libpcap.a/ s/^/#/' Makefile
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-bluetooth=no
:
Nécessaire, si le correctif recommandé n'est pas appliqué,
car depuis la version 1.6.1 cette application demande une
correction, pour se construire avec bluez-5.21.
Last updated on : 2012-10-30 19:56:15 +010
Le paquet libndp fournit une enveloppe pour le protocol de découverte de voisinage IPV6. Il fournit aussi un outil appelé ndptool pour envoyer et recevoir des messages NDP.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://libndp.org/files/libndp-1.4.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 52c708d4b8729ae6e3781b3737a85e16
Taille du téléchargement : 332 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.4 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libndp
Installez libndp en lançant les commandes suivantes : command:
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2014-06-15 13:40:02 -0500
Le paquet libsoup contient une bibliothèque client/serveur HTTP pour GNOME. Elle utilise GObject et la boucle principale de glib pour s'intégrer aux applications GNOME et elle dispose aussi d'une API synchronisée afin d'être utilisable dans des applications threadées.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libsoup/2.48/libsoup-2.48.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libsoup/2.48/libsoup-2.48.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 0a8d96e317c29a1fd711687931f8c10c
Taille du téléchargement : 1.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 23 Mo (additional 10 Mo to run the test suite)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (ajouter 0.3 SBU pour lancer la suite de tests)
glib-networking-2.42.1, libxml2-2.9.2 et SQLite-3.8.8.2
Apache-2.4.12 (requis pour lancer la suite de tests), cURL-7.40.0 (requis pour lancer la suite de tests), GTK-Doc-1.21, PHP-5.6.6 compilé avec le support de XMLRPC-EPI (utilisé seulement pour les tests de régression XMLRPC) et Samba-4.1.17 (ntlm_auth est requis pour lancer la suite de test).
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libsoup
Installez libsoup en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet libtirpc contient des bibliothèques qui supportent des programmes utilisant l'API de Remote Procedure Call (RPC). Il remplace le RPC, mais pas les entrées de la bibliothèque NIS qui se trouvaient dans glibc.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/project/libtirpc/libtirpc/0.2.5/libtirpc-0.2.5.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8cd41a5ef5a9b50d0fb6abb98af15368
Taille du téléchargement : 452 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.4 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
MIT Kerberos V5-1.13.1 pour GSSAPI
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libtirpc
Installez libtirpc en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static \ --disable-gssapi && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mv -v /usr/lib/libtirpc.so.* /lib && ln -sfv ../../lib/libtirpc.so.1.0.10 /usr/lib/libtirpc.so
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--disable-gssapi
: Ce
paramètre est utile si aucun GSSAPI est installé. Effacez ce
paramètre si vous en avez un d'installé (par exemple
MIT Kerberos V5-1.13.1) et que
vous souhaitiez l'utiliser.
mv -v /lib/libtirpc.so.* ... : Déplace les bibliothèques partagées dans /lib pour qu'elles soient disponibles avant que /usr ne soit monté.
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
neon est une bibliothèque de client HTTP et WebDAV, avec une interface C.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.webdav.org/neon/neon-0.30.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 231adebe5c2f78fded3e3df6e958878e
Taille du téléchargement : 892 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.9 Mo (additional 18 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU (additional 0.2 SBU for the tests)
OpenSSL-1.0.2 ou GnuTLS-3.3.12
libxml2-2.9.2, MIT Kerberos V5-1.13.1 libproxy, et pakchois,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/neon
Installez neon en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --enable-shared --with-ssl --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make -k check. Quelques tests sont connus pour échouer.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-ssl=openssl
: Cette
option active le support SSL en utilisant openssl ou GnuTLS. Effacez le si vous n'avez aucun
de ceux la d'installé. Pour forcer l'utilisatation de
GnuTLS quand les deux sont
présents, passez simplement --with-ssl=gnutls
au script configure.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--with-libxml2
: Ce paramètre
force l'utilisation de libxml2 au lieu de Expat.
Last updated on : 2013-03-04 19:52:20 +010
Le paquet Serf contient une bibliothèque d'un client HTTP en C construite contre la bibliothèque Apache Portable Runtime (APR) library. Il gère les connexions multiples, la lecture/écriture des communications asynchrones. Les copies de la mémoire et les transformations sont minimales pour laisser une performance élevée.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://serf.googlecode.com/svn/src_releases/serf-1.3.8.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2e4efe57ff28cb3202a112e90f0c2889
Taille du téléchargement : 140 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.6 Mo (additional 2.2 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU (additional 0.3 SBU for the tests)
Apr-Util-1.5.4, OpenSSL-1.0.2 et SCons-2.3.4
MIT Kerberos V5-1.13.1, pour GSSAPI
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/serf
Installez Serf en lançant les commandes suivantes :
sed -i "/Append/s:RPATH=libdir,::" SConstruct && sed -i "/Default/s:lib_static,::" SConstruct && sed -i "/Alias/s:install_static,::" SConstruct && scons PREFIX=/usr
Si vous souihaitez lancer la suite de tests, corrigez un fichier:
sed -i test/test_buckets.c \ -e 's://\( buf_size = orig_len + (orig_len / 1000) + 12;\):/\*\1\ */:'
Pour tester le résultat, tapez : scons check. Avec la correction précédente, 1 des 65 tests reste en échec pour des raisons inconnues.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
scons PREFIX=/usr install
sed -i "...": Le premier Sed enlève le chemin d'exécution à une bibliothèque partagé et les deux commandes suivantes désactivent la construction et l'installation de la bibliothèque statique.
GSSAPI=/usr
: Utilisez ce
paramètre si vous avez installé une bibliothèque GSSAPI et
vous voulez que serf
l'utilise.
Last updated on 2013-07-02 15:19:17 +0200
Les gens qui sont nouveaux pour des systèmes à base d'UNIX ont tendance à poser la question 'Pourquoi diable voudrais-je un navigateur en mode texte ? Je vais compiler X et utiliser Konqueror/Mozilla/ ou quoi que ce soit d'autre!". Ceux qui ont été pour peu de temps autour des systèmes savent que quand (pas si ) vous réussissez à rater l'installation de votre navigateur graphique et que vous devez chercher quelques informations sur le Web, un navigateur basé sur la console vous sauvera. Aussi, il y a quelques personnes qui préfèrent utiliser un de ces navigateurs comme leur méthode principale de navigation ; éviter le désordre et la largeur de bande qui accompagne des images ou parce qu'ils peuvent utiliser un synthétiseur vocal qui peuvent leurs lire la page (utilisation par exemple par des utilisateurs partiellement ou totalement aveugles ). Nous avons actuellement des instructions d'installation pour trois navigateurs internet console :
Links est un navigateur en mode texte et graphique. Il inclut le support pour le rendu des tableaux et des cadres, permet les téléchargements en arrière plan, peut afficher les couleurs et dispose de nombreuses autres fonctionnalités.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://links.twibright.com/download/links-2.9.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://mirror.ovh.net/gentoo-distfiles/distfiles/links-2.9.tar.bz2
Téléchargement de la somme MD5 : b0b1a0110d0845cc97da7f6f7c5e007c
Taille du téléchargement : 3.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 31 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Le mode graphique exige au moins un GPM-1.20.7 (le support de la souris pour être utilisé dans une console basée sur framebuffer), SVGAlib, DirectFB, et X Window System
Pour décoder différents formats d'image, Links peut utiliser libpng-1.6.16, libjpeg-turbo-1.4.0, et LibTIFF-4.0.3
Notes d'utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/LinksBrowser
Installez Links en exécutant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --mandir=/usr/share/man && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de test
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -d -m755 /usr/share/doc/links-2.9 && install -v -m644 doc/links_cal/* KEYS BRAILLE_HOWTO \ /usr/share/doc/links-2.9
--enable-graphics
: Cette
option permet le support pour le mode graphique.
Last updated on : 2012-09-04 22:00:49 +020
Lynx est un navigateur web texte.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://lynx.isc.org/current/lynx2.8.8rel.2.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://lynx.isc.org/current/lynx2.8.8rel.2.tar.bz2
Téléchargement de la somme MD5 : b231c2aa34dfe7ca25681ef4e55ee7e8
Taille du téléchargement : 2.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 31 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
OpenSSL-1.0.2 or GnuTLS-3.3.12 (experimental), Zip-3.0, UnZip-6.0, un MTA (qui fournit une commande sendmail) et sharutils-4.15 (for a uudecode program)
Notes d'utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Lynx
Installez Lynx en exécutant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc/lynx \ --datadir=/usr/share/doc/lynx-2.8.8rel.2 \ --with-zlib \ --with-bzlib \ --with-screen=ncursesw \ --enable-locale-charset && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de test
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install-full && chgrp -v -R root /usr/share/doc/lynx-2.8.8rel.2/lynx_doc
--sysconfdir=/etc/lynx
:
Ce paramètre est utilisé de façon à ce que les fichiers de
configuration soient localisés dans /etc/lynx
au lieu de /usr/etc
.
--datadir=/usr/share/doc/lynx-2.8.8rel.2
:
Ce paramètre est utilisé de façon à ce que les fichiers de
documentation soient installés dans /usr/share/doc/lynx-2.8.8rel.2
au lieu de
/usr/share/lynx_{doc,help}
.
--with-zlib
:
Ceci autorise le support pour la liaison de libz
dans Lynx.
--with-bzlib
:
Ceci autorise le support pour la liaison de libbz2
dans Lynx.
--with-screen=ncursesw
:
Ceci permet l'utilisation du support avancé pour les
caractères larges présent dans la bibliothèque système
NCurses. Ceci est nécessaire
pour afficher correctement les groupes de caractères et
lignes dans les locales multibytes.
--enable-locale-charset
:
Ceci permet à Lynx de
déduire à partir de la locale en cours, le bon codage des
caractères pour un terminal de sortie . Une étape de
configuration reste nécessaire (voir ci-dessous), mais
contrairement à la situation sans ce réglage, l'étape de
configuration devient la même pour tous les utilisateurs
(sans ce réglage, chaque utilisateur doit le préciser de lui
même explicitement). Ceci est important pour les
environnements tels que les LiveCD pour lesquels les étapes
de configuration spécifique au système doivent être réduites
au maximum.
--enable-nls
: Ce réglage
permet à Lynx d'imprimer les
messages traduits (tels que les questions à propos des
cookies et certificats SSL).
--with-ssl
: Ceci permet le
support de la liaison de SSL dans Lynx.
--with-gnutls
: Ceci permet
le support expérimental de la liaison deGnuTLS dans Lynx.
make install-full : En addition à l'installation standard, ceci installe les fichiers de documentation et d'aide.
chgrp -v -R root /usr/share/doc/lynx-2.8.8rel.2/lynx_doc : Cette commande corrige le mauvaise attibution du groupe propriétaire aux fichiers de documentation.
Il faut examiner la locale courante pour afficher
correctement le jeu de caractères. Cependant, Lynx ne le fait pas par défaut. En
tant qu'utilisateur root
,
changez ce réglage :
sed -i 's/#\(LOCALE_CHARSET\):FALSE/\1:TRUE/' /etc/lynx/lynx.cfg
L'éditeur interne de Lynx
Breaks Multibyte Characters. Ceci se manifeste dans les
locales multibytes, e.g., tel que la touche Backspace qui
n'efface pas les caractères non-ASCII proprement, et tel
que des données incorrectes qui sont envoyées au réseau
quand quelqu'un édite les contenus de zones textes. La
seule solution pour ce problème est de configurer
Lynx pour utiliser un
éditeur externe (relié à la combinaison de touches par
défaut « Ctrl+X e »)
Restez en utilisateur root
:
sed -i 's/#\(DEFAULT_EDITOR\):/\1:vi/' /etc/lynx/lynx.cfg
Lynx transmet les valeurs suivantes de l'option DEFAULT_EDITOR spécialement en ajoutant les arguments de positionnement du curseur : « emacs », « jed », « jmacs », « joe », « jove », « jpico », « jstar », « nano », « pico », « rjoe », « vi » (mais pas « vim » : dans le but de positionner le curseur dans Vim-7.4, positionnez cette option à « vi »).
Par défaut, Lynx ne
sauvegarde pas les cookies entre les sessions. Toujours en
tant qu'utilisateur root
,
changez ce réglage:
sed -i 's/#\(PERSISTENT_COOKIES\):FALSE/\1:TRUE/' /etc/lynx/lynx.cfg
Divers réglages tels que les proxies peuvent être réalisés
dans le fichier système global /etc/lynx/lynx.cfg
.
Last updated on : 2013-03-10 18:55:01 +010
w3m est initialement un pageur mais il peut être utilisé en tant que navigateur WWW en mode texte.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/w3m/w3m-0.5.3.tar.gz
Téléchargement de la somme MD5 : 1b845a983a50b8dec0169ac48479eacc
Taille du téléchargement : 2.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 26 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
GPM-1.20.7, OpenSSL-1.0.2, Imlib2-1.4.6, gtk+-2.24.26, Imlib (pas recommandé: obsolète, développement abandonné, buggy, et ne donnes pas de fonctionnalités supplémentaires en comparaison des autres bibliothèques de chargement d'images), gdk-pixbuf-2.31.2, Compface-1.5.2, et nkf, un MTA (Mail User Agent) et un navigateur externe
Notes d'utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/W3M
Installez w3m en exécutant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../w3m-0.5.3-bdwgc72-1.patch && sed -i 's/file_handle/file_foo/' istream.{c,h} && sed -i 's#gdk-pixbuf-xlib-2.0#& x11#' configure && ./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de test
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 -D doc/keymap.default /etc/w3m/keymap && install -v -m644 doc/menu.default /etc/w3m/menu && install -v -m755 -d /usr/share/doc/w3m-0.5.3 && install -v -m644 doc/{HISTORY,READ*,keymap.*,menu.*,*.html} \ /usr/share/doc/w3m-0.5.3
patch -p1 < ../w3m-0.5.3-bdwgc72-1.patch : Ce correctif corrige la compilation de w3l avec une version de GC-7.2 d'installée.
sed -i 's/file_handle/file_foo/' istream.{c,h} : Ce sed renomme la fonction file_handle function pour éviter un conflit une fonction de glibc qui porte le même nom, définie dans /usr/include/bits/fcntl.h.
sed -i 's#gdk-pixbuf-xlib-2.0#& x11#' configure : Ce sed corrige la compilation de w3m en utilisant gtk+-2.24.26 comme bibliothèque image. Cela n'a aucune conséquence si gtk+-2.24.26 n'est pas installé.
--sysconfdir=/etc
: Cette
option met les fichiers de configuration dans /etc.
Last updated on : 2013-01-25 17:32:25 +010
Les clients de courrier vous aide à sauvegarder (Fetchmail), trier (Procmail), lire et rédiger des réponses (Heirloom mailx, Mutt, Pine, Kmail, Balsa, Evolution, SeaMonkey) en courriel.
Les nouveaux clients vous aide également à sauvegarder, trier, lire et rédiger des réponses, mais ces messages transitent par USENET (un système de bulletins électroniques mondial) utilisant le protocole de transfert Network News Transfer Protocol (NNTP).
Le paquet Fetchmail contient un programme de récupération de courrier. Il récupère le courrier de serveurs de courrier distants et les fait suivre au système de distribution de la machine locale (client), afin qu'il puisse être lu par des agents d'utilisateur normaux.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/fetchmail/fetchmail-6.3.26.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.at.gnucash.org/pub/infosys/mail/fetchmail/fetchmail-6.3.26.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 61b66faad044afa26e142bb1791aa2b3
Taille du téléchargement : 1.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
OpenSSL-1.0.2 et a local MDA (Procmail-3.22)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/fetchmail
Installez Fetchmail en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --with-ssl --enable-fallback=procmail && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-ssl
:
Ceci active le support SSL, afin que vous puissiez gérer les
connexions à des serveurs POP3 et IMAP sécurisés.
--enable-fallback=procmail
:
Ceci dit à Fetchmail de
confier le courrier entrant à Procmail pour distribution, si le port
25 du serveur de courrier n'est pas présent ou s'il ne répond
pas.
cat > ~/.fetchmailrc << "EOF"
set logfile /var/log/fetchmail.log
set no bouncemail
set postmaster root
poll SERVERNAME :
user <username>
pass <password>
;
mda "/usr/bin/procmail -f %F -d %T";
EOF
chmod -v 0600 ~/.fetchmailrc
Ceci est un exemple de configuration qui devrait suffir à la plupart des gens. Vous pouvez rajouter autant d'utilisateurs et de serveurs que ce dont vous avez besoin, en utilisant la même syntaxe.
man fetchmail : Cherchez la section vers le bas nommée CONFIGURATION EXAMPLES (exemples de configuration). Cela donne quelques exemples rapides. Il y a d'innombrables autres options de configuration, une fois que vous serez habitué.
exécuté en tant qu'utilisateur, ceci prend sa
source dans |
|
il vous aidera à paramétrer et éditer un fichier de
configuration |
Last updated on : 2013-03-26 17:39:48 +010
Le paquet Heirloom mailx (connu anciennement comme le paquet Nail) contient mailx, a agent d'utilisateur de courrier en ligne de commande dérivé de Berkeley Mail. Il vise à fournir la fonctionnalité de la commande POSIX mailx avec un support supplémentaire des messages MIME, le threading/routage, la hiérarchisation et le filtrage des messages IMAP (y compris la mise en cache), POP3, SMTP, S/MIME. Heirloom mailx est surtout utile pour écrire des scripts et faire des traitements batch.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.debian.org/debian/pool/main/h/heirloom-mailx/heirloom-mailx_12.5.orig.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.debian.org/debian/pool/main/h/heirloom-mailx/heirloom-mailx_12.5.orig.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 29a6033ef1412824d02eb9d9213cb1f2
Taille du téléchargement : 317 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.2 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
OpenSSL-1.0.2 ou NSS-3.17.4, MIT Kerberos V5-1.13.1 (pour l'authentification IMAP GSSAPI), et un MTA
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mailx
Ce paquet ne supporte pas la construction parallèle.
Installez Heirloom mailx en lançant les commandes suivantes.
patch -Np1 -i ../heirloom-mailx-12.5-fixes-1.patch && make SENDMAIL=/usr/sbin/sendmail -j1
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make PREFIX=/usr UCBINSTALL=/usr/bin/install install && ln -v -sf mailx /usr/bin/mail && ln -v -sf mailx /usr/bin/nail && install -v -m755 -d /usr/share/doc/heirloom-mailx-12.5 && install -v -m644 README /usr/share/doc/heirloom-mailx-12.5
make SENDMAIL=/usr/sbin/sendmail : Ceci modifie le chemin du MTA par défaut de /usr/lib/sendmail.
make PREFIX=/usr
UCBINSTALL=/usr/bin/install install :
Ceci modifie le chemin d'installation par défaut de
/usr/local
et le chemin par
défaut de la commande install de /usr/ucb
.
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet Mutt contient un agent d'utilisateur courrier. Ceci est utile pour lire, écrire, répondre, enregistrer et effacer votre courrier.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.mutt.org/mutt/mutt-1.5.23.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 11f5b6a3eeba1afa1257fe93c9f26bff
Taille du téléchargement : 3.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 36 Mo (plus a further 8MB for the PDF manual)
Estimation du temps de construction : 0.7 SBU (plus a further 0.2SBU to regenerate the html if the required dependencies are present, and 0.2 SBU to build the PDF manual)
Aspell-0.60.6.1, Cyrus SASL-2.1.26, gdb-7.9, GnuPG-2.0.26, GPGME-1.5.3, libgssapi, libidn-1.29, MIT Kerberos V5-1.13.1, Mixmaster, un MTA (qui fournit une commande sendmail .) S-Lang-2.2.4, OpenSSL-1.0.2 ou GnuTLS-3.3.12, Berkeley DB-6.1.19 ou QDBM ou Tokyo Cabinet
libxslt-1.1.28 et soit Lynx-2.8.8rel.2, w3m-0.5.3 ou ELinks
DocBook DSSSL Stylesheets-1.79 OpenJade-1.3.2, et texlive-20140525 (ou install-tl-unx)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mutt
Cette version de Mutt est une version de développement. L'équipe BLFS a déterminé qu'elle fournit un programme stable et elle corrige deux problèmes dans la version stable actuelle de Mutt : une erreur de segmentation qui se produit dans certaines conditions et un problème de compilation lors d'une construction avec des versions récentes de GCC. Pour trouver la version stable actuelle, merci de vous référer à la Page d'accueil de Mutt.
Mutt exige un groupe nommé
mail
. Vous pouvez ajouter ce
groupe s'il n'existe pas avec cette command :
groupadd -g 34 mail
Si vous n'avez pas installé un MTA,
, vous devez modifier le propriétaire de /var/mail
avec cette commande :
chgrp -v mail /var/mail
Installez Mutt en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../mutt-1.5.23-upstream_fixes-1.patch && ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --with-docdir=/usr/share/doc/mutt-1.5.23 \ --enable-pop \ --enable-imap \ --enable-hcache \ --without-qdbm \ --with-gdbm \ --without-bdb \ --without-tokyocabinet && make
Pour générer le manuel PDF avec texlive-20140525, lancez la commande suivante :
make -C doc manual.pdf
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez généré le manuel PDF, installez-le avec le
fichier source TeX en lançant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -m644 doc/manual.{pdf,tex} \ /usr/share/doc/mutt-1.5.23
--enable-pop
:
Ce paramètre active le support de POP3.
--enable-imap
:
Ce paramètre active le support d'IMAP.
--enable-hcache
: Ce
paramètre active la mise en cache des en-têtes.
--without-qdbm
:
Ce paramètre désactive QDBM
en tant que support du cache d'en-tête.
--without-tokyocabinet
:
Ce paramètre désactive Tokyo
Cabinet en tant que support du cache d'en-tête.
--with-gdbm
: Ce
paramètre active GDBM en
tant que support du cache d'en-tête.
--without-bdb
:
Ce paramètre désactive Berkeley
DB en tant que support du cache d'en-tête.
--enable-smtp
: Ce paramètre
active le support du relai SMTP.
--with-ssl
: Ce paramètre
ajoute le support de SSL/TLS de OpenSSL-1.0.2 in
POP3/IMAP/SMTP s'ils sont activés.
--with-sasl
: Ce paramètre
ajoute le support d'authentification de Cyrus SASL-2.1.26
en POP3/IMAP/SMTP s'ils sont activés. Selon la configuration
du serveur, cela peut ne pas être nécessaire pour POP3 ou
IMAP. Cependant, c'est nécessaire pour l'authentication SMTP.
--with-slang
: Utilise
S-Lang au lieu de
Ncurses.
Aucun changement n'est nécessaire dans ces fichiers pour
commencer à utiliser Mutt.
Lorsque vous êtes prêt à faire des changements, la page de
man pour muttrc
sera un bon
point de départ.
Afin d'utiliser GnuPG, utilisez la commande suivante :
cat /usr/share/doc/mutt-1.5.23/samples/gpg.rc >> ~/.muttrc
est un soumetteur de bogues pour Mutt. |
|
est un agent d'utilisateur courrier (is a Mail User Agent, MUA) qui vous permet de lire, écrire et et effacer votre courrier. |
|
implémente le verrouillage du fichier de spool de courrier. |
|
est un script qui exécute flea. |
|
prépare une ligne de commande pour les outils GnuPG-2.0.26. |
|
est un générateur de trousseau de clés pour PGP. Il n'est pas nécessaire pour GnuPG-2.0.26. |
|
gère un ensemble de clé pour les certificats S/MIME. |
Last updated on : 2013-03-26 17:39:48 +010
Le paquet Procmail contient un gestionnaire de courrier autonome. C'est utile pour le filtrage et le tri du courrier entrant.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.ring.gr.jp/archives/net/mail/procmail/procmail-3.22.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.ucsb.edu/pub/mirrors/procmail/procmail-3.22.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1678ea99b973eb77eda4ecf6acae53f1
Taille du téléchargement : 226 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.7 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/procmail
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Installez Procmail en
lançant les commandes commands en tant qu'utilisateur
root
:
sed -i 's/getline/get_line/' src/*.[ch] && make LOCKINGTEST=/tmp MANDIR=/usr/share/man install && make install-suid
sed -i 's/getline/get_line/' src/*.[ch] : Ceci renomme la fonction getline de procmail pour éviter un conflit avec la fonction getline de glibc.
make LOCKINGTEST=/tmp install : Ceci empêche make de vous demander où tester les motifs de verrouillage de fichier.
make install-suid : Modifie les droits des fichiers installés.
Vous devez écrire des règles et les mettre dans
~/.procmailrc
pour qu'elles
s'appliquent. La page de man de procmailex est le point de
départ pour apprendre comment écrire des règles. Pour des
informations supplémentaires, voir aussi http://pm-doc.sourceforge.net/.
est un filtre qui peut être utilisé pour formatter le courrier dans le format de la boîte aux lettres. |
|
est un outil qui peut verrouiller un fichier pour un usage unique de façon interactive ou dans un script. |
|
affiche un rapport résumant le courrier qui a été filtré par procmail depuis la dernière fois que mailstat a été exécuté. |
|
est un gestionnaire de courrier autonome. Il comporte toutes les fonctions d'un MDA (Mail Delivery Agent, agent de remise de courrier). |
Last updated on : 2013-03-26 17:39:48 +010
Re-alpine est la suite de Alpine; un client mail en mode texte développé par l' Université de Washington.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://sourceforge.net/projects/re-alpine/files/re-alpine-2.03.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 566d269d4bd43aba68f377110a6295d5
Taille du téléchargement : 5.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 122 Mo
Estimation du temps de construction : 1.0 SBU
OpenLDAP-2.4.40, MIT Kerberos V5-1.13.1, Aspell-0.60.6.1, Tcl-8.6.3 et Linux-PAM-1.1.8
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/re-alpine
Installez Re-alpine en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --without-ldap \ --without-krb5 \ --with-ssl-dir=/usr \ --with-passfile=.pine-passfile && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--without-ldap
:
Désactive le support LDAP.
--without-krb5
:
Désactive le support Kerberos.
--with-ssl-dir=/usr
:
Initialise le chemin root pour les bibliothèques OpenSSL et
inclus les fichiers.
--with-passfile=.pine-passfile
:
Initialise le fichiers de cache des mots de passe.
--without-ssl
: Désactive le
support OpenSSL.
est le client mail Alpine. |
|
est un éditeur de texte indépendant similaire au compositeur de messages Alpine. |
|
est un navigateur de fichiers système indépendant. |
|
est un utilitaire pour télécharger un fichier pinerc ou un carnet d'adresse dans la machine locale. |
|
est un utilitaire pour charger un fichier pinerc local ou un carnet d'adresse sur un serveur IMAP. |
Last updated on : 2013-02-12 01:13:43 +010
Balsa-2.5.1 est un client de courrier basé sur GTK2.
SeaMonkey-2.32.1 inclut à la fois un client de courrier et un lecteur de nouvelles dans son installation.
Thunderbird-31.5.0 est un client de courrier/nouvelles basé sur le code de Mozilla.
Last updated on : 2012-05-12 06:34:03 +020
Les serveurs principaux sont des programmes qui offrent du contenu ou des services aux utilisateurs ou à d'autres programmes.
Le paquet Apache HTTPD contient un serveur HTTP open-source. C'est utile pour créer des sites Internet d'Intranet locaux ou lancer d'immenses opérations de service Internet.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://archive.apache.org/dist/httpd/httpd-2.4.12.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b8dc8367a57a8d548a9b4ce16d264a13
Taille du téléchargement : 4.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 93 Mo
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU
Berkeley DB-6.1.19, Doxygen-1.8.9.1, libxml2-2.9.2, Lynx-2.8.8rel.2 ou Links-2.9 ou ELinks, OpenLDAP-2.4.40 (Apr-Util-1.5.4 doit être installé avec le support ldap), rsync-3.1.1, Distcache et Lua-5.3.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/apache
Pour des raisons de sécurité, l'exécution du serveur en tant
qu'utilisateur et groupe non privilégiés est fortement
conseillée. Créez le groupe et l'utilisateur suivant en
utilisant les commandes suivantes (en tant qu'utilisateur
root
) :
groupadd -g 25 apache && useradd -c "Apache Server" -d /srv/www -g apache \ -s /bin/false -u 25 apache
Construisez et installez Apache HTTPD en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../httpd-2.4.12-blfs_layout-1.patch && sed 's/ldump_writer, &b/&, NULL/' -i modules/lua/mod_lua.c && sed '/dir.*CFG_PREFIX/s@^@#@' -i support/apxs.in && ./configure --enable-authnz-fcgi \ --enable-layout=BLFS \ --enable-mods-shared="all cgi" \ --enable-mpms-shared=all \ --enable-suexec=shared \ --with-apr=/usr/bin/apr-1-config \ --with-apr-util=/usr/bin/apu-1-config \ --with-suexec-bin=/usr/lib/httpd/suexec \ --with-suexec-caller=apache \ --with-suexec-docroot=/srv/www \ --with-suexec-logfile=/var/log/httpd/suexec.log \ --with-suexec-uidmin=100 \ --with-suexec-userdir=public_html && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
(notez que DESTDIR ne
fonctionne pas correctement en tant qu'utilisateur sans
privilège):
make install && mv -v /usr/sbin/suexec /usr/lib/httpd/suexec && chgrp apache /usr/lib/httpd/suexec && chmod 4754 /usr/lib/httpd/suexec && chown -v -R apache:apache /srv/www
sed 's/ldump_writer, &b/&, NULL/'...: Ce sed corrige la compilation avec lua 5.3.
sed '/dir.*CFG_PREFIX/s@^@#@'...: Force l'utilitaire apxs à utiliser les chemins absolus pour les modules quand les instructions le font.
--enable-authnz-fcgi
:
construit les authentifications basées sur FastCGI authorizer
et les autorisations (module fast CGI mod_authnz_fcgi.so).
--enable-mods-shared="all
cgi"
: Les modules devraient être compilés
et utilisés comme objets partageables dymamiquement
(Dynamic Shared Objects, DSOs)
pour pouvoir être inclus et exclus du serveur qui utilise les
lignes de configuration au moment de l'exécution.
--enable-mpm-shared=all
:
CE paramètre assure que tous les MPM (Multi Processing
Modules) sont constuit en tant que Dynamic Shared Objects
(DSOs), pour que l'utilisateur puisse choisir lequel utiliser
à l'éxécution.
--enable-suexec
: Ce
paramètre active la construction du module suEXEC de
Apache qui peut être utilisé
pour autoriser les utilisateurs à lancer des scripts CGI et
SSI avec un ID différent de l'ID de l'utilisateur du serveur
web appelant.
--with-suexec-*
: Ces
paramètres contrôlent le comportement du module suEXEC, comme
le document racine par défaut, l'UID minimal qui peut être
utilisé pour lancer des scripts dans le suEXEC. Merci de
noter qu'avec un UID minimal de 100, vous ne pouvez pas
lancer de scripts CGI ou SSI dans suEXEC en tant
qu'utilisateur apache
.
...
/usr/lib/httpd/suexec : Ces commandes
mettent l'enveloppe suexec au bon endroit, car
il n'est pas destiné à être exécuté directement. Ils ajustent
aussi les permissions pour le binaire, mettant sont segid à
apache
.
chown -R apache:apache
/srv/www : Par défaut, le processus
d'installation installe des fichiers (documentation, messages
d'erreur, icônes par défaut, etc.) avec comme propriétaire
l'utilisateur qui a extrait les fichiers de l'archive tar. Si
vous voulez modifier la propriété au profit d'un autre
utilisateur, vous devriez le faire à ce moment. La seule
exigence est que les répertoires des documents soient
accessibles par le processus httpd avec les droits (r-x)
et il faut que les fichiers soient lisibles (r--) par
l'utilisateur apache
.
Voir file:///usr/share/httpd/manual/configuring.html pour des instructions détaillées sur la personnalisation de votre fichier configuration du servur HTTP Apache.
Si vous voulez que le serveur Apache HTTPD démarre automatiquement
quand le système se lance, installez le script de démarrage
/etc/rc.d/init.d/httpd
inclu
dans le paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-httpd
est un outil d'évaluation de votre serveur HTTP Apache. |
|
est une interface avec le serveur HTTP Apache conçue pour aider l'administrateur à contrôler le fonctionnement du démon httpd d'Apache. |
|
est un outil pour construire et installer les modules pour le serveur HTTP Apache. |
|
est un programme qui vérifie s'il peut initialiser le gid du groupe spécifié. C'est pour voir si un groupe valide existe pour Apache2 afin de l'utiliser à l'éxécution. Si l'utilisateur (doit être lancé en superutilisateur) est dans ce groupe, ou peut être initialisé dans ce groupe, le programme retournera 0. |
|
est utilisé pour créer et mettre à jour les fichiers au format DBM utilisés pour stocker les noms d'utilisateur et les mots de passe pour l'authentication de base des utilisateurs HTTP. |
|
est utilisé pour nettoyer le cache disque. |
|
est utilisé pour manipuler la basse de données DBM des mots de passe. |
|
est utilisé pour créer et mettre à jour les fichiers plats utilisés pour stocker les noms d'utilisateur, les realms et les mots de passe pour une authentication digest des utilisateurs HTTP. |
|
est utilisé pour créer et mettre à jour les fichiers plats utilisés pour stocker les noms d'utilisateur et les mots de passe pour une authentication des utilisateurs HTTP. |
|
est le serveur HTTP Apache. |
|
est utilisé pour générer les fichiers DBM depuis des entrées textes, qui seront utilisés dans RewriteMap. |
|
est un programme de post-traitement pour résoudre des adresses IP dans des fichiers journaux d'accès d'Apache. |
|
est un programme simple pour une utilisation conjointe avec la fonctionnalité de redirection du fichier journal d'Apache. |
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
Le paquet BIND offre un serveur et un client DNS. Si vous n'êtes intéressé que par les outils, reportez-vous au chapitre BIND Utilities-9.10.1-P2.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.isc.org/isc/bind9/9.10.1-P2/bind-9.10.1-P2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2ca3474c5cefebbbeea32710b048cd1c
Taille du téléchargement : 8.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 102 Mo (additional 43 Mo to run the test suite)
Estimation du temps de construction : 1.1 SBU (additional 16 minutes, processor independent, to run the complete test suite)
Correctif facultatif (si net-tools n'est pas installé) : http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/bind-9.10.1-P2-use_iproute2-1.patch
libcap-2.24 avec PAM, libxml2-2.9.2, MIT Kerberos V5-1.13.1, OpenSSL-1.0.2, et geoip
PostgreSQL-9.4.1, MariaDB-10.0.16 ou MySQL, Berkeley DB-6.1.19, OpenLDAP-2.4.40, et unixODBC-2.3.2
Net::DNS-0.82 et Net-tools-CVS_20101030 (vous pouvez vous passer de net-tools en utilisant le correctif facultatif pour utiliser iproute2, mais il se peut que les tests IPV6 échouent)
Doxygen-1.8.9.1, texlive-20140525 (ou install-tl-unx), et libxslt-1.1.28
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/bind
Si vous avez choisi de ne pas installer net-tools, appliquez le correctif iproute2 avec la commande suivante :
patch -Np1 -i ../bind-9.10.1-P2-use_iproute2-1.patch
Installez BIND en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --mandir=/usr/share/man \ --enable-threads \ --with-libtool \ --disable-static \ --with-randomdev=/dev/urandom && make
Exécutez les commandes suivantes pour lancer la suite de
tests complète. Tout d'abord, en tant qu'utilisateur
root
, paramétrez quelques
interfaces de test :
Si IPv6 n'est pas activé dans le noyau, il y aura plusieurs messages d'erreur: "RTNETLINK answers: Operation not permitted". ces messages n'affectent pas les tests.
La suite de test peut indiquer des échecs en fonction des dépendances facultatives et des options de configuration utilisées. Pour exécuter la suite de tests en tant qu'utilisateur non privilégié, lancez :
make check
De nouveau en tant qu'utilisateur root
, nettoyez les interfaces de
test :
bin/tests/system/ifconfig.sh down
Enfin, installez le paquet en tant qu'utilisateur
root
:
make install && chmod -v 0755 /usr/lib/lib{bind9,dns,isc{,cc,cfg},lwres}.so && install -v -m755 -d /usr/share/doc/bind-9.10.1-P2/{arm,misc} && install -v -m644 doc/arm/*.html \ /usr/share/doc/bind-9.10.1-P2/arm && install -v -m644 \ doc/misc/{dnssec,ipv6,migrat*,options,rfc-compliance,roadmap,sdb} \ /usr/share/doc/bind-9.10.1-P2/misc
sed ... bin/tests/system/conf.sh.in: Cette commande enlève un test qui échouent (certain pour des raisons inconnues.
--sysconfdir=/etc
: Ce
paramètre oblige BIND à
chercher des fichiers de configuration dans /etc
et non dans /usr/etc
.
--enable-threads
: Ce
paramètre active la fonctionnalité de multi-threading.
--with-libtool
:
Ce paramètre oblige la construction de bibliothèques et de
liens dynamiques vers les binaires installés vers ces
bibliothèques.
--with-randomdev=/dev/urandom
:
Ce paramètre spécifie un périphérique aléatoire non bloquant
pour utiliser avec des signatures numériques.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
chmod 755 /usr/lib/{lib{bind9,dns,isc{,cc,cfg},lwres}.so: Active le bit d'exécution pour empêcher un avertissement lors de l'utilisation de ldd pour vérifier les dépendances de bibliothèque.
cd doc; install ... : Ces commandes installent la documentation supplémentaire du paquet. Ne mettez pas tout ou partie de ces commandes si vous le désirez.
BIND sera configurer pour
se lancer dans une cage chroot en tant
qu'utilisateur non privilégié (named
). Cette configuration est plus
sécurisée dans la mesure où la compromission d'un DNS ne
peut toucher que quelques fichiers du répertoire de la
variable HOME
de l'utilisateur
named
.
Créez l'utilisateur et le groupe non privilégiés
named
:
groupadd -g 20 named && useradd -c "BIND Owner" -g named -s /bin/false -u 20 named && install -d -m770 -o named -g named /srv/named
Paramétrez des fichiers, des répertoires et des périphériques dont a besoin BIND :
cd /srv/named && mkdir -p dev etc/namedb/{slave,pz} usr/lib/engines var/run/named && mknod /srv/named/dev/null c 1 3 && mknod /srv/named/dev/urandom c 1 9 && chmod 666 /srv/named/dev/{null,urandom} && cp /etc/localtime etc && touch /srv/named/managed-keys.bind && cp /usr/lib/engines/libgost.so usr/lib/engines && [ $(uname -m) = x86_64 ] && ln -sv lib usr/lib64
Le fichier rndc.conf
contient
des informations pour contrôler les opérations de
named avec
l'outil rndc.
Générez une clé à utiliser dans named.conf
et rdnc.conf
avec la commande rndc-confgen :
rndc-confgen -r /dev/urandom -b 512 > /etc/rndc.conf && sed '/conf/d;/^#/!d;s:^# ::' /etc/rndc.conf > /srv/named/etc/named.conf
Complétez le fichier named.conf
à partir duquel named lira l'emplacement
des fichiers de zone, le serveur de DNS racine, et les clés
DNS sécurisées :
cat >> /srv/named/etc/named.conf << "EOF"
options {
directory "/etc/namedb";
pid-file "/var/run/named.pid";
statistics-file "/var/run/named.stats";
};
zone "." {
type hint;
file "root.hints";
};
zone "0.0.127.in-addr.arpa" {
type master;
file "pz/127.0.0";
};
// Bind 9 now logs by default through syslog (except debug).
// These are the default logging rules.
logging {
category default { default_syslog; default_debug; };
category unmatched { null; };
channel default_syslog {
syslog daemon; // send to syslog's daemon
// facility
severity info; // only send priority info
// and higher
};
channel default_debug {
file "named.run"; // write to named.run in
// the working directory
// Note: stderr is used instead
// of "named.run"
// if the server is started
// with the '-f' option.
severity dynamic; // log at the server's
// current debug level
};
channel default_stderr {
stderr; // writes to stderr
severity info; // only send priority info
// and higher
};
channel null {
null; // toss anything sent to
// this channel
};
};
EOF
Créez un fichier de zone ayant le contenu suivant :
cat > /srv/named/etc/namedb/pz/127.0.0 << "EOF"
$TTL 3D
@ IN SOA ns.local.domain. hostmaster.local.domain. (
1 ; Serial
8H ; Refresh
2H ; Retry
4W ; Expire
1D) ; Minimum TTL
NS ns.local.domain.
1 PTR localhost.
EOF
Créez le fichier root.hints
avec les commandes suivantes :
Faites bien attention à vous assurer qu'il n'y a pas de grands espaces dans ce fichier.
cat > /srv/named/etc/namedb/root.hints << "EOF"
. 6D IN NS A.ROOT-SERVERS.NET.
. 6D IN NS B.ROOT-SERVERS.NET.
. 6D IN NS C.ROOT-SERVERS.NET.
. 6D IN NS D.ROOT-SERVERS.NET.
. 6D IN NS E.ROOT-SERVERS.NET.
. 6D IN NS F.ROOT-SERVERS.NET.
. 6D IN NS G.ROOT-SERVERS.NET.
. 6D IN NS H.ROOT-SERVERS.NET.
. 6D IN NS I.ROOT-SERVERS.NET.
. 6D IN NS J.ROOT-SERVERS.NET.
. 6D IN NS K.ROOT-SERVERS.NET.
. 6D IN NS L.ROOT-SERVERS.NET.
. 6D IN NS M.ROOT-SERVERS.NET.
A.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 198.41.0.4
B.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 192.228.79.201
C.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 192.33.4.12
D.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 199.7.91.13
E.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 192.203.230.10
F.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 192.5.5.241
G.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 192.112.36.4
H.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 128.63.2.53
I.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 192.36.148.17
J.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 192.58.128.30
K.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 193.0.14.129
L.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 199.7.83.42
M.ROOT-SERVERS.NET. 6D IN A 202.12.27.33
EOF
Le fichier root.hints
est une
liste de serveurs de DNS racines. Il faut mettre
régulièrement à jour ce fichier avec l'outil dig. Vous pouvez obtenir
une copie actuelle de root.hints sur ftp://rs.internic.net/domain/named.root.
Consultez le the BIND 9 Administrator
Reference Manual (manuel de référence de
l'administrateur BIND 9) pour des détails.
Créez ou modifiez resolv.conf
pour utiliser le nouveau serveur de DNS avec les commandes
suivantes :
Remplacez <votredomaine.com>
par votre propre nom de domaine valide.
cp /etc/resolv.conf /etc/resolv.conf.bak &&
cat > /etc/resolv.conf << "EOF"
search <yourdomain.com>
nameserver 127.0.0.1
EOF
Réglez les droits de la cage chroot avec la commande suivante :
chown -R named:named /srv/named
Pour lancer le serveur DNS au démarrage, installez le
script de démarrage /etc/rc.d/init.d/bind
inclu dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-bind
Maintenant démarrez BIND avec le nouveau script de démarrage :
/etc/rc.d/init.d/bind start
Testez la nouvelle installation de BIND 9. Cherchez tout d'abord l'adresse de l'hôte local avec dig :
dig -x 127.0.0.1
Maintenant essayez une recherche de nom externe, en observant la différence de vitesse dans des recherches répétées du fait de la mise en cache. Lancez la commande dig deux fois sur la même adresse :
dig www.linuxfromscratch.org && dig www.linuxfromscratch.org
Vous pouvez voir presque des résultats instantanés avec les
recherches de mise en cache nommées. Consultez le
Administrator Reference Manual
(manuel de référence de l'administrateur BIND) qui se trouve dans doc/arm/Bv9ARM.html
dans l'arborescence
des sources du paquet, pour plus d'options de
configuration.
interroge les serveurs de DNS. |
|
est un générateur de clés pour du DNS sécurisé. |
|
génère des versions signées des fichiers de zone. |
|
est un outil de recherche de DNS. |
|
est un serveur de DNS pour la mise en cache seulement pour l'utilisation d'un processus local. |
|
est le démon du serveur de DNS. |
|
vérifie la syntaxe des fichiers |
|
vérifie la validité d'un fichier de zone. |
|
est un programme utilisé pour interroger des serveurs de nom de domaine sur Internet. |
|
est utilisé pour soumettre des demandes de mise à jour de DNS. |
|
contrôle le fonctionnement de BIND. |
|
génère des fichiers |
Last updated on : 2013-03-26 17:39:48 +010
Le paquet ProFTPD contient un démon FTP sécurisé et hautement configurable. C'est utile pour donner de grosses archives de fichiers sur un réseau.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.proftpd.org/distrib/source/proftpd-1.3.5.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : aff1bff40e675244d72c4667f203e5bb
Taille du téléchargement : 7.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 34 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
, libcap-2.24 avec PAM, Linux-PAM-1.1.8, MariaDB-10.0.16 ou MySQL, OpenSSL-1.0.2, PCRE-8.36, PostgreSQL-9.4.1 et pour lancer les tests check-0.9.14 et Test::Unit-0.14
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/proftpd
Pour des raisons de sécurité, vous devriez installer
ProFTPD en utilisant un
utilisateur et un groupe non privilégiés. En tant
qu'utilisateur root
:
groupadd -g 46 proftpd && useradd -c proftpd -d /srv/ftp -g proftpd \ -s /usr/bin/proftpdshell -u 46 proftpd && install -v -d -m775 -o proftpd -g proftpd /srv/ftp && ln -v -s /bin/false /usr/bin/proftpdshell && echo /usr/bin/proftpdshell >> /etc/shells
Installez ProFTPD en tant qu'utilisateur non privilégié en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc --localstatedir=/var/run && make
Les tests de ce paquet exigent une version très ancienne
(2001) du module perl Test::Unit. Même en utilisant cette
version de Test::Unit, il y a de nombreux échecs (41/1397)
bien que le programme semble correctement s'exécuter. Les
tests mettent beaucoup de temps (45 minutes, indépendamment
du processeur) et ils ne sont pas recommandées. Pour tester
quand même les résultats, ajoutez le paramètre: --enable-tests
à configure, et tapez :
make check. Si
les tests sont lancés avec les privilèges root, beaucoup de
tests sont lancés, mais il y a beaucoup d'erreurs.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
install -v -d -m775 -o proftpd -g proftpd /srv/ftp : Crée le répertoire home de ProFTPD.
ln -v -s /bin/false /usr/bin/proftpdshell : Règle le shell par défaut comme un lien vers un shell invalide.
echo /usr/bin/proftpdshell >> /etc/shells : Fait croire à un shell valide pour des raisons de compatibilité.
Vous pouvez vous passer des deux commandes ci-dessus si vous mettez la ligne suivante dans le fichier de configuration :
RequireValidShell off
Par défaut, proftpd exigera que les utilisateurs qui se connectent aient des shells valides. La ligne RequireValidShell désactive cette exigence. Ce n'est recommandé que si vous paramétrez votre serveur FTP exclusivement pour des téléchargements anonymes.
Le support de la plupart des paquets dépendants demande d'utiliser des options passées au script configure. Regardez la sortie de ./configure --help pour des informations complètes sur comment activer les paquets dépendants.
C'est une configuration simple, un modèle pour
téléchargement uniquement. Voir la documentation de
ProFTPD dans /usr/share/doc/proftpd
et consultez le
site Internet sur http://www.proftpd.org/ pour
des configurations d'exemple.
cat > /etc/proftpd.conf << "EOF"
# This is a basic ProFTPD configuration file
# It establishes a single server and a single anonymous login.
ServerName "ProFTPD Default Installation"
ServerType standalone
DefaultServer on
# Port 21 is the standard FTP port.
Port 21
# Umask 022 is a good standard umask to prevent new dirs and files
# from being group and world writable.
Umask 022
# To prevent DoS attacks, set the maximum number of child processes
# to 30. If you need to allow more than 30 concurrent connections
# at once, simply increase this value. Note that this ONLY works
# in standalone mode, in inetd mode you should use an inetd server
# that allows you to limit maximum number of processes per service
MaxInstances 30
# Set the user and group that the server normally runs at.
User proftpd
Group proftpd
# To cause every FTP user to be "jailed" (chrooted) into their home
# directory, uncomment this line.
#DefaultRoot ~
# Normally, files should be overwritable.
<Directory /*>
AllowOverwrite on
</Directory>
# A basic anonymous configuration, no upload directories.
<Anonymous ~proftpd>
User proftpd
Group proftpd
# Clients should be able to login with "anonymous" as well as "proftpd"
UserAlias anonymous proftpd
# Limit the maximum number of anonymous logins
MaxClients 10
# 'welcome.msg' should be displayed at login, and '.message' displayed
# in each newly chdired directory.
DisplayLogin welcome.msg
DisplayChdir .message
# Limit WRITE everywhere in the anonymous chroot
<Limit WRITE>
DenyAll
</Limit>
</Anonymous>
EOF
Installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/proftpd
fourni avec le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-proftpd
est le démon FTP. |
|
affiche le nombre actuel de connexions. |
|
est utilisé pour contrôler le démon proftpd pendant qu'il est lancé. |
|
est un script perl conçu pour créer et gérer AuthUserFiles and AuthGroupFiles du bon format pour proftpd. |
|
est un script perl pour envoyer des messages électroniques basés sur le TransferLog de proftpd. |
|
est un script Perl conçu pour créer et gérer l'association des modules mod_quotatab + mod_quotatab_file de proftpd des fichiers limits et tally. |
|
fournit une manière de nettoyer le fichier tableau de bord (scoreboard) à la demande. |
|
arrête tous les serveurs proftpd à une heure donnée. |
|
affiche le statut d'exécution des connexions. |
|
affiche des informations sur le processus actuel pour chaque session. |
Last updated on : 2012-08-23 00:30:35 +020
Le paquet vsftpd contient un démon FTP très petit et très sécurisé. C'est utile pour partager des fichiers sur un réseau.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://security.appspot.com/downloads/vsftpd-3.0.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8b00c749719089401315bd3c44dddbb2
Taille du téléchargement : 196 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.8 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
libcap-2.24 avec PAM, Linux-PAM-1.1.8, et OpenSSL-1.0.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/vsftpd
Pour des raisons de sécurité, l'exécution de vsftpd en tant qu'utilisateur et groupe
non privilégiés est recommandée. Vous devriez aussi créer un
utilisateur pour apsocier aux utilisateurs anonymes. En tant
qu'utilisateur root
, créez
les répertoires, les utilisateurs et les groupes nécessaires,
avec les commandes suivantes :
install -v -d -m 0755 /usr/share/vsftpd/empty && install -v -d -m 0755 /home/ftp && groupadd -g 47 vsftpd && groupadd -g 45 ftp && useradd -c "vsftpd User" -d /dev/null -g vsftpd -s /bin/false -u 47 vsftpd && useradd -c anonymous_user -d /home/ftp -g ftp -s /bin/false -u 45 ftp
Si vous n'avez pas installé le paquet facultatif libcap, lancez ce qui suit pour éviter ue erreur de construction :
sed -i -e 's|#define VSF_SYSDEP_HAVE_LIBCAP|//&|' sysdeputil.c
Construisez vsftpd en tant qu'utilisateur non privilégié en utilisant la commande suivante :
make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
De nouveau, devenez utilisateur root
et installez vsftpd avec les commandes
suivantes :
install -v -m 755 vsftpd /usr/sbin/vsftpd && install -v -m 644 vsftpd.8 /usr/share/man/man8 && install -v -m 644 vsftpd.conf.5 /usr/share/man/man5 && install -v -m 644 vsftpd.conf /etc
install -v -d
... : Ceci crée le répertoire que les
utilisateurs anonymes utiliseront (/home/ftp
) et le répertoire sur lequel se
chrootera le démon (/var/ftp/empty
).
/home/ftp
ne devrait pas
appartenir à l'utilisateur vsftpd
, ou à l'utilisateur ftp
.
echo "#define VSF_BUILD_TCPWRAPPERS" >>builddefs.h : Utilisez ceci avant make pour ajouter le support de tcpwrappers.
echo "#define VSF_BUILD_SSL" >>builddefs.h : Utilisez ceci avant make pour ajouter le support de SSL.
install -v -m
... : Le Makefile
utilise des chemins d'
installation non standards. Ces commandes installent les
fichiers dans /usr
et
/etc
.
vsftpd est fourni avec une
fichier de configuration pour utilisateur anonyme seulement
qui a été copié ci-dessus dans /etc
. Toujours en tant qu'utilisateur
root
, cvous devriez
modifier ce fichier car il n'est pas recommandé de lancer
vsftpd en
mode autonome . Vous devriez aussi spécifier une séparation
des privilèges avec l'utilisateur créé ci-dessus. Enfin,
vous devriez indiquer le répertoire chroot. man vsftpd.conf vous
donnera tous les détails.
cat >> /etc/vsftpd.conf << "EOF"
background=YES
listen=YES
nopriv_user=vsftpd
secure_chroot_dir=/usr/share/vsftpd/empty
EOF
Installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/vsftpd
fourni dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-vsftpd
Last updated on : 2012-10-31 17:49:58 +010
Les MTAs sont des programmes qui transportent les messages électroniques d'une machine à une autre. Le MTA traditionnel est Sendmail, mais il existent plusieurs autres choix.
Il existe tant des serveurs SMTP que des serveurs POP (qpopper) et qu'un serveur IMAP (Courier-IMAP).
Dovecot est une serveur "Internet Message Access Protocol" (IMAP) et "Post Office Protocol" (POP), écrit avec pour principale idée la sécurité. Dovecot veut être léger, rapide et facile à initialiser aussi bien que hautement configurable et facilement extensible avec des greffons.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.dovecot.org/releases/2.2/dovecot-2.2.15.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c6c176943bd832c780fbb5d2f8850952
Taille du téléchargement : 4.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 164 Mo
Estimation du temps de construction : 1.4 SBU (additional 0.5 SBU for the tests)
clucene-2.3.3.4, libcap-2.24 avec PAM, Linux-PAM-1.1.8, MariaDB-10.0.16 ou MySQL, MIT Kerberos V5-1.13.1, OpenLDAP-2.4.40, OpenSSL-1.0.2, PostgreSQL-9.4.1, SQLite-3.8.8.2, et Valgrind-3.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/dovecot
Il doit y avoir des utilisateurs et des groupes dédiés pour
les processus Dovecot sans droit et pour les logins des
utilisateurs de processus. Tapez les commandes suivantes en
tant qu'utilisateur root
:
groupadd -g 42 dovecot && useradd -c "Dovecot unprivileged user" -d /dev/null -u 42 \ -g dovecot -s /bin/false dovecot && groupadd -g 43 dovenull && useradd -c "Dovecot login user" -d /dev/null -u 43 \ -g dovenull -s /bin/false dovenull
Installez Dovecot en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --docdir=/usr/share/doc/dovecot-2.2.15 \ --disable-static && make
Pour tester les résultats, tapez make -k check. Un test échoue pour une raison inconnue.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--with-ldap
: Ce paramètre active
le support d'identification OpenLDAP.
--with-pgsql
: Ce paramètre
active le support d'identification PostgreSQL.
--with-mysql
: Ce paramètre
active le support d'identification MySQL.
--with-sqlite
: Ce paramètre
active le support d'identification SQLite.
--with-lucene
: Ce paramètre
active le support de recherche de texte CLucene.
--with-krb5
: Ce paramètre active
le support d'identificaiton GSSAPI.
Copiez un exemple de configuration, que vous pouvez utiliser comme point de départ:
cp -rv /usr/share/doc/dovecot-2.2.15/example-config/* /etc/dovecot
La configuration suivante est un simple exemple avec le
service IMAP utilisant les utilisateurs locaux pour
l'identification et l'emplacement des boîtes à lettres. La
lecture des fichiers dans le répertoire conf.d
est commenté tant que les fichiers
d'exemples inclus demandent OpenSSL et Linux PAM.
sed -i '/^\!include / s/^/#/' /etc/dovecot/dovecot.conf &&
chmod -v 1777 /var/mail &&
cat > /etc/dovecot/local.conf << "EOF"
protocols = imap
ssl = no
# The next line is only needed if you have no IPv6 network interfaces
listen = *
mail_location = mbox:~/Mail:INBOX=/var/mail/%u
userdb {
driver = passwd
}
passdb {
driver = shadow
}
EOF
Vous devez prévoir de lire la documentation officiel à l'adresse http://wiki2.dovecot.org/ si vous planifiez d'utiliser Dovecot dans un environnement de production.
Si vous voulez que le serveur Dovecot démarre automatiquement quand
le système est démarré, installez le script
d'initialisation /etc/rc.d/init.d/dovecot
inclus dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-dovecot
Last updated on 2013-10-24 12:10:30 +0200
Le paquet Exim contient un Mail Transport Agent écrit par l'université de Cambridge, publié sous la GNU Public License.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.exim.org/pub/exim/exim4/exim-4.85.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.exim.org/pub/exim/exim4/exim-4.85.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ebae28762b6f125726283dc9434e8709
Taille du téléchargement : 1.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
On peut télécharger des formats supplémentaires de la documentation (docs basés sur le texte sont fournis dans les sources) en suivant les liens décrits dans http://exim.org/docs.html.
Berkeley DB-6.1.19 ou TDB (en tant qu'alternative à GDBM, construit dans LFS), X Window System, OpenLDAP-2.4.40, OpenSSL-1.0.2 or GnuTLS-3.3.12, Cyrus SASL-2.1.26, MariaDB-10.0.16 ou MySQL, PostgreSQL-9.4.1, SQLite-3.8.8.2, Linux-PAM-1.1.8, et OpenDMARC
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/exim
Avant de construire Exim, en
tant qu'utilisateur root
,
vous devriez créer le groupe et l'utilisateur exim
qui exécuteront le démon
exim :
groupadd -g 31 exim && useradd -d /dev/null -c "Exim Daemon" -g exim -s /bin/false -u 31 exim
Installez Exim avec les commandes suivantes :
sed -e 's,^BIN_DIR.*$,BIN_DIRECTORY=/usr/sbin,' \ -e 's,^CONF.*$,CONFIGURE_FILE=/etc/exim.conf,' \ -e 's,^EXIM_USER.*$,EXIM_USER=exim,' \ -e 's,^EXIM_MONITOR,#EXIM_MONITOR,' src/EDITME > Local/Makefile && printf "USE_GDBM = yes\nDBMLIB = -lgdbm\n" >> Local/Makefile && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 doc/exim.8 /usr/share/man/man8 && install -v -d -m755 /usr/share/doc/exim-4.85 && install -v -m644 doc/* /usr/share/doc/exim-4.85 && ln -sfv exim /usr/sbin/sendmail
sed -e ... >
Local/Makefile : La plupart des options
de configuration d'Exim
options sont compilées en dur en utilisant les lignes de
Local/Makefile
créé à partir du
fichier src/EDITME
. Cette
commande indique l'ensemble d'options minimum. Les
descriptions des options sont listées ci-dessous.
printf... > Local/Makefile: initialisation des variables autorise l'utilisation de GDBM à la place de Berkeley DB par défaut. Enlevez cette commande si vous avez installé Berkeley DB-6.1.19.
BIN_DIRECTORY=/usr/sbin
:
Ceci installe tous les binaires et les scripts d'Exim dans /usr/sbin
.
CONFIGURE_FILE=/etc/exim.conf
:
Ceci installe le fichier principal de configuration
d'Exim dans /etc
.
EXIM_USER=exim
:
Ceci dit à Exim que, plus
tard, le démon ne doit pas avoir les privilèges root
, le processus donne le démon à
l'utilisateur exim
.
#EXIM_MONITOR
:
Ceci annule la construction du surveillant Exim car il exige le support
X Window System, en
commentant la ligne EXIM_MONITOR
dans Makefile
. Si vous souhaitez construire le
surveillant, ne mettez pas la commande sed et lancez la commande
suivante avant de construire le paquet (modifiez Local/eximon.conf
, si nécessaire) :
cp exim_monitor/EDITME
Local/eximon.conf.
ln -sfv exim /usr/sbin/sendmail : Crée un lien vers sendmail pour les applications en ayant besoin, Exim acceptera la plupart des options Sendmail en ligne de commande.
Pour utiliser tout ou partie des paquets de dépendance, vous
devrez modifier Local/Makefile
pour inclure les directives adéquates et des paramètres pour
lier des bibliothèques supplémentaires avant de construire
Exim. Local/Makefile
est énormément commenté par
des instructions sur la façon de s'y prendre. Voici la liste
d'informations supplémentaires pour vous aider à lier ces
paquets de dépendance ou ajouter des fonctionnalités
supplémentaires.
Si vous souhaitez construire et installer la documentation
.info
, reportez-vous à
http://exim.org/exim-html-4.85/doc/html/spec_html/ch04.html#SECTinsinfdoc.
Si vous souhaitez construire en dur les interfaces d'Exim
avec l'appel à des logiciels anti-virus et anti-spams
directement à partir des listes de contrôle d'accès,
décommentez le paramètre WITH_CONTENT_SCAN=yes
et relisez les
informations qui se trouvent sur
http://exim.org/exim-html-4.85/doc/html/spec_html/ch41.html.
Pour utiliser une base de données de fond différente de Berkeley DB, voir les instructions sur http://exim.org/exim-html-4.85/doc/html/spec_html/ch04.html#SECTdb.
Pour la fonctionnalité SSL, voir les instructions sur http://exim.org/exim-html-4.85/doc/html/spec_html/ch04.html#SECTinctlsssl et http://exim.org/exim-html-4.85/doc/html/spec_html/ch39.html.
Pour la fonctionnalité tcpwrappers voir les instructions sur http://exim.org/exim-html-4.85/doc/html/spec_html/ch04.html#SECID27.
Pour des informations sur l'ajout de mécanismes d'authentication à la construction, voir les chapitres 33 à 37 de http://exim.org/exim-html-4.85/doc/html/spec_html/index.html.
Pour des informations pour le lien avec Linux-PAM, reportez-vous aux instructions sur http://exim.org/exim-html-4.85/doc/html/spec_html/ch11.html#SECTexpcond.
Pour des informations sur le lien avec des bibliothèques du moteur de base de données utilisées pour les recherches de noms Exim, voir les instructions sur http://exim.org/exim-html-4.85/doc/html/spec_html/ch09.html.
Si vous souhaitez ajouter le support Readline à Exim quand on l'appelle en mode
« test expansion »
(-be
), voir les informations dans
la section -be
de
http://exim.org/exim-html-4.85/doc/html/spec_html/ch05.html#id2525974.
Il se peut que vous souhaitiez modifier la configuration par
défaut et envoyer des fichiers journaux à syslog plutôt qu'au
répertoire /var/spool/exim/log
.
Voir les informations sur
http://exim.org/exim-html-4.85/doc/html/spec_html/ch49.html.
Un fichier /etc/aliases
par
défaut (qui ne fait rien car tout est en commentaire) est
installé pendant l'installation du paquet si ce fichier
n'existait pas sur votre système. Créez les aliases
nécessaires et démarrez le démon Exim en utilisant les commandes
suivantes :
cat >> /etc/aliases << "EOF"
postmaster: root
MAILER-DAEMON: root
EOF
exim -v -bi &&
/usr/sbin/exim -bd -q15m
Pour protéger un fichier /etc/aliases
existant, la commande
ci-dessus y envoie ces aliases. Vous devriez vérifier ce
fichier et recopier les aliases supprimés s'il y en a.
La commande /usr/sbin/exim -bd -q15m démarre le démon Exim avec un intervalle de 15 minute dans le traitement de la file d'attente de courriers. Ajustez ce paramètre pour l'adapter à vos souhaits.
Pour automatiser le lancement d'exim au démarrage,
installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/exim
fourni dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-exim
Le script de démarrage démarre aussi le démon Exim et envoie un processus de lanceur
de file d'attente de courriers toutes les 15 minutes.
Modifiez le paramètre -q
dans <intervalle de
temps>
/etc/rc.d/init.d/exim
, si nécessaire pour
votre installation.
parcourt les fichiers journaux d'Exim. |
|
recherche les fichiers journaux d'Exim. |
|
est un lien symbolique vers le démon MTA exim-4.85-3. |
|
est le démon d'agent de transport de courrier Exim. |
|
établit si une adresse de destinataire donnée sur un hôte est acceptable ou pas. |
|
crée et reconstruit des bases de données Exim. |
|
écrit le contenu des bases de données Exim sur la sortie standard. |
|
modifie des données dans les bases de données Exim. |
|
verrouille un fichier de boîte aux lettres. |
|
supprime les vieux enregistrements des bases de données Exim. |
|
génère des statistiques de courrier à partir des fichiers journaux Exim. |
|
demande le délai entre les essais sur l'hôte distant. |
|
sélectionne des messages basés sur divers critères. |
|
est un outil de listage sélectif de la file d'attente. |
|
produit un résumé des messages dans la file d'attente du courrier. |
|
cherche les processus Exim en cours. |
|
est un script shell de démarrage pour eximon.bin utilisé pour paramétrer les variables d'environnement nécessaires avant de lancer le programme. |
|
est un programme de surveillance qui affiche les informations actuelles dans une fenêtre X et contient aussi une interface en menus avec les options en ligne de commande d'administration d'Exim. |
Last updated on : 2012-09-08 04:31:02 +020
Le paquet Postfix contient un Mail Transport Agent (MTA, agent de transport de courriers électroniques). C'est utile pour envoyer des courriers électroniques à d'autres utilisateurs dde votre machine hôte. On peut aussi le configurer pour être un serveur central de messagerie électronique pour votre domaine ou un agent de relai de courriers électroniques avec votre fournisseur d'accès à Internet (FAI).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.porcupine.org/mirrors/postfix-release/official/postfix-3.0.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a4a83f8d729f31c803bf9c2277701d56
Taille du téléchargement : 4.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 159 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Berkeley DB-6.1.19, Cyrus SASL-2.1.26 et OpenSSL-1.0.2
ICU-54.1 pour le support d'internationalisation des adresses email (SMTPUTF8) MariaDB-10.0.16 ou MySQL, OpenLDAP-2.4.40, PCRE-8.36, PostgreSQL-9.4.1, SQLite-3.8.8.2 et CDB ou TinyCDB
Remarquez que Sqlite, Mysql, Postgresql et cdb ne servent que s'il y en a un besoin connu.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/postfix
Avant de compiler le programme, vous devez créer des
utilisateurs et des groupes qui doivent être opérationnels
pendant l'installation. Ajoutez les utilisateurs et les
groupes avec les commandes suivantes lancées depuis
l'utilisateur root
:
groupadd -g 32 postfix && groupadd -g 33 postdrop && useradd -c "Postfix Daemon User" -d /var/spool/postfix -g postfix \ -s /bin/false -u 32 postfix && chown -v postfix:postfix /var/mail
Les fichiers README sont formatés pour être lus avec un pageur comme Less ou More. Si vous voulez les lire dans un éditeur de texte, rendez-les lisibles avec le sed suivant :
sed -i 's/.\x08//g' README_FILES/*
L'arborescence des sources de Postfix ne contient pas de script
configure
, mais le makefile
du répertoire tout en haut de la hiérarchie contient une
cible makefiles
qui régénère
tous les autres makefiles d'une arborescence de
construction. Si vous souhaitez utiliser des logiciels
supplémentaires tels qu'un fondement de base de données
pour des utilisateurs virtuels ou une authentification
TLS/SSL, vous devrez régénérer les makefiles en utilisant
un ou plusieurs paramètres CCARGS
et AUXLIBS
adéquats listés ci-dessous.
Pour plus de détails lisez les fichiers readme.
Pour utiliser Cyrus-SASL avec Postfix, utilisez les arguments suivants :
CCARGS='-DUSE_SASL_AUTH -DUSE_CYRUS_SASL -I/usr/include/sasl'
AUXLIBS='-lsasl2'
Pour utiliser OpenLDAP avec Postfix, utilisez les arguments suivants :
CCARGS='-DHAS_LDAP'
AUXLIBS='-lldap -llber'
Pour utiliser Sqlite avec Postfix, utilisez les arguments suivants :
CCARGS='-DHAS_SQLITE'
AUXLIBS='-lsqlite3 -lpthread'
Pour utiliser MySQL avec Postfix,, utilisez les arguments suivants :
CCARGS='-DHAS_MYSQL -I/usr/include/mysql'
AUXLIBS='-lmysqlclient -lz -lm'
Pour utiliser PostgreSQL avec Postfix, utilisez les arguments suivants :
CCARGS='-DHAS_PGSQL -I/usr/include/postgresql'
AUXLIBS='-lpq -lz -lm'
Pour utiliser CDB ou TinyCDB avec Postfix, utilisez les arguments suivants :
CCARGS='-DHAS_CDB'
AUXLIBS='</path/to/CDB>
/libcdb.a'
Si vous avez installé Cyrus SASL et OpenSSL, installez Postfix en lançant les commandes suivantes :
make CCARGS="-DUSE_TLS -I/usr/include/openssl/ \ -DUSE_SASL_AUTH -DUSE_CYRUS_SASL -I/usr/include/sasl" \ AUXLIBS="-lssl -lcrypto -lsasl2" \ makefiles && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
sh postfix-install -non-interactive \ daemon_directory=/usr/lib/postfix \ manpage_directory=/usr/share/man \ html_directory=/usr/share/doc/postfix-3.0.0/html \ readme_directory=/usr/share/doc/postfix-3.0.0/readme
make
makefiles : Cette commande reconstruit
les makefiles de l'arborescence des sources pour utiliser les
options contenues dans les variables CCARGS
et AUXLIBS
.
sh postfix-install
-non-interactive : Ceci empêche le
script d'installation de poser des questions, acceptant les
répertoires de destination par défaut dans quelques cas. Si
les options html_directory
et
readme_directory
ne sont pas
définis, la documentation ne sera pas installée.
CCARGS="-DNO_EAI ..."
: cela
désactivera le support SMTPUTF8 , par exemple si le reste de
votre infrastructure d'adresse mail ne gère pas les adresses
email en UTF8 et les valeurs d'entête de message.
Créez (ou envoyez vers un fichier existant) /etc/aliases
avec la commande suivante.
Modifiez <LOGIN>
par votre
identifiant non root pour que les messages envoyés à
root
vous soient
transférés. En tant qu'utilisateur root
:
cat >> /etc/aliases << "EOF"
# Begin /etc/aliases
MAILER-DAEMON: postmaster
postmaster: root
root: <LOGIN>
# End /etc/aliases
EOF
Pour protéger un fichier /etc/aliases
existant, la commande
ci-dessus y envoie ces aliases. Vous devriez vérifier ce
fichier et recopier les aliases supprimés s'il y en a.
Le fichier main.cf
et
master.cf
doivent être
personnalisés selon votre système. Le fichier
aliases
a besoin de votre
nom d'hôte pleinement qualifié. Vous trouverez que le
fichier main.cf
est
auto-documenté donc chargez-le dans votre éditeur pour
effectuez les modifications dont vous avez besoin dans
votre situation.
Postfix peut aussi être
configuré pour être lancé dans un environnement chroot.
Voir le fichier dans les sources examples/chroot-setup/LINUX2
pour les
détails.
Si vous avez une configuration existante,, vous pouvez
lancer l'outil postfix pour ajouter les
définitions nécessaires à vos fichiers existants. En tant
qu'utilisateur root
:
/usr/sbin/postfix upgrade-configuration
Avant de démarrer Postfix,
vous devriez vérifier que votre configuration et les droits
de votre fichier fonctionneront correctement. Lancez les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
pour vérifier et démarrer votre
servekr Postfix :
/usr/sbin/postfix check && /usr/sbin/postfix start
Pour automatiser le lancement de Postfix au démarrage,
installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/postfix
inclu dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-postfix
Un lien symbolique vers |
|
Un lien symbolique vers |
|
est un outil Postfix de maintenance de bases de données d'alias |
|
Affiche le contenu de fichiers de la queue Postfix sous une forme lisible par un humain. |
|
Affiche ou modifie la valeur des paramètres de configuration de Postfix. |
|
Crée un fichier et un répertoire maildrop et copie son entrée standard dans le fichier. |
|
est le programme de contrôle dePostfix. |
|
Envoie des requêtes au service spécifié via le canal local de transport. |
|
Verrouille un dossier de messages pour un usage exclusif et il exécute des commandes qui lui sont passées. |
|
Une interface de journalisation compatible avec Postfix qui peut être utilisée, par exemple, dans des scripts shell. |
|
Crée ou interroge une ou plusieurs tables de recherche Postfix ou met à jour une existante. |
|
est le gestionnaire multi-instances Postfix. Il permet à un administrateur système de gérer plusieurs sessions Postfix sur un seul hôte. |
|
L'interface utilisateur Postfix pour gérer la queue. |
|
L'interface utilisateur Postfix pour gérer la queue du super-utilisateur. |
|
est l'interface de compatibilité Postfix avec Sendmail. |
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet sendmail contient un Mail Transport Agent (MTA).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.sendmail.org/pub/sendmail/sendmail.8.15.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a45308a08d8ce64be91b7d86a7523e4f
Taille du téléchargement : 2.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
OpenSSL-1.0.2 et Cyrus SASL-2.1.26
Procmail-3.22, nph, et GPL-Ghostscript-9.15 (pour la création de la documentation PDF)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sendmail
Avant de construire sendmail, créez l'utilisateur, le groupe
et le répertoire requis en effectuant les commandes suivantes
en tant qu'utilisateur root
:
groupadd -g 26 smmsp && useradd -c "Sendmail Daemon" -g smmsp -d /dev/null \ -s /bin/false -u 26 smmsp && chmod -v 1777 /var/mail && install -v -m700 -d /var/spool/mqueue
Voir le fichier sendmail/README
de l'arborescence des
sources pour des informations sur l'édition de liens avec
des paquets facultatifs dans la construction. Utilisez
l'exemple ci-dessous qui ajoute le support de SASL,
StartTLS (OpenSSL) et
OpenLDAP, comme point de
départ. Modifiez-le bien entendu pour l'adapter à vos
besoins particuliers.
cat >> devtools/Site/site.config.m4 << "EOF"
APPENDDEF(`confENVDEF',`-DSTARTTLS -DSASL -DLDAPMAP')
APPENDDEF(`confLIBS', `-lssl -lcrypto -lsasl2 -lldap -llber -ldb')
APPENDDEF(`confINCDIRS', `-I/usr/include/sasl')
EOF
Installez sendmail avec les commandes suivantes :
cat >> devtools/Site/site.config.m4 << "EOF"
define(`confMANGRP',`root')
define(`confMANOWN',`root')
define(`confSBINGRP',`root')
define(`confUBINGRP',`root')
define(`confUBINOWN',`root')
EOF
sed -i 's|/usr/man/man|/usr/share/man/man|' \
devtools/OS/Linux &&
cd sendmail &&
sh Build &&
cd ../cf/cf &&
cp generic-linux.mc sendmail.mc &&
sh Build sendmail.cf
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
install -v -d -m755 /etc/mail && sh Build install-cf && cd ../.. && sh Build install && install -v -m644 cf/cf/{submit,sendmail}.mc /etc/mail && cp -v -R cf/* /etc/mail && install -v -m755 -d /usr/share/doc/sendmail-8.15.1/{cf,sendmail} && install -v -m644 CACerts FAQ KNOWNBUGS LICENSE PGPKEYS README RELEASE_NOTES \ /usr/share/doc/sendmail-8.15.1 && install -v -m644 sendmail/{README,SECURITY,TRACEFLAGS,TUNING} \ /usr/share/doc/sendmail-8.15.1/sendmail && install -v -m644 cf/README /usr/share/doc/sendmail-8.15.1/cf && for manpage in sendmail editmap mailstats makemap praliases smrsh do install -v -m644 $manpage/$manpage.8 /usr/share/man/man8 done && install -v -m644 sendmail/aliases.5 /usr/share/man/man5 && install -v -m644 sendmail/mailq.1 /usr/share/man/man1 && install -v -m644 sendmail/newaliases.1 /usr/share/man/man1 && install -v -m644 vacation/vacation.1 /usr/share/man/man1
Installez le sendmail Installation and Operations Guide (guide d'installation et du fonctionnement) avec les commandes suivantes :
Enlevez op.pdf
des commandes
suivantes make et install si vous n'avez
pas installé Ghostscript.
cd doc/op && sed -i 's/groff/GROFF_NO_SGR=1 groff/' Makefile && make op.txt op.pdf
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
install -v -d -m755 /usr/share/doc/sendmail-8.15.1 && install -v -m644 op.ps op.txt op.pdf /usr/share/doc/sendmail-8.15.1 && cd ../..
cat > devtools/Site/site.config.m4 << "EOF" : Ceci crée un fichier de configuration en modifiant certains des réglages par défaut.
sed ... devtools/OS/Linux: site.config.m4 n'effectue pas une modification dans le répertoire man, donc corrigez cela dans la définition de l'OS.
sed ... include/sm/bdb.h: cela permet à sendmail de se construire correctement avec Berkeley DB-6.1.19 versions 5 et plus.
sh Build; sh Build sendmail.cf;
sh Build install-cf; sh Build install :
sendmail utilise un script
de construction basé sur m4
pour créer les divers Makefile
s. Ces commandes construisent et
installent le paquet.
for manpage in...;do...;done; install ... : Les pages de man sont installées déjà formattées et man les affiche un peu déformées. Ces commandes remplacent les pages formattées par des pages que man peut afficher correctement.
Asusrez vous d'avoir un nom pleinement qualifié défini
dans /etc/hosts
pour votre
système avant de procéder.
Créez les fichiers /etc/mail/local-host-names
et
/etc/mail/aliases
en
utilisant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
echo $(hostname) > /etc/mail/local-host-names
cat > /etc/mail/aliases << "EOF"
postmaster: root
MAILER-DAEMON: root
EOF
newaliases
Le fichier de configuration primitif de sendmail, /etc/mail/sendmail.cf
, est complexe et
n'est pas conçu pour être édité directement. La méthode
recommandée pour le modifier est de modifier /etc/mail/sendmail.mc
et divers fichiers
m4, puis lancez le
traiteur de macro m4 depuis l'intérieur de
/etc/mail
comme suit :
cd /etc/mail && m4 m4/cf.m4 sendmail.mc > sendmail.cf
Vous pouvez trouver une explication complète des fichiers à
modifier, et des paramètres disponibles dans /etc/mail/README
.
Pour automatiser le lancement de sendmail au démarrage, installer le
script de démarrage /etc/rc.d/init.d/sendmail
inclu dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-sendmail
L'option -qNm pour sendmail, où N est le nombre de minutes, contrôle la fréquence de traitement de la file d'attente du courrier par sendmail. On utilise 5 minutes par défaut dans le script de démarrage. Il se peut que les utilisateurs de stations de travail individuelles souhaitent diminuer cette fréquence à 1 minute, il se peut que les grosses installations gérant plus de courrier souhaitent la régler à un niveau supérieur.
interroge et édite les fichiers de plan sendmail. |
|
affiche le statut de l'hôte persistant de sendmail. |
|
affiche les statistiques de sendmail. |
|
affiche un résumé du courrier outbound attendant d'être envoyés. |
|
crée des fichiers de plan sendmail. |
|
reconstruit |
|
affiche les aliases sendmail actuels. |
|
pousse sendmail à vider (purger) toutes ces informations de statut des hôtes. |
|
est l'agent de transport de courrier sendmail. |
|
est un shell restreint pour sendmail. |
|
est un répondeur aux courriers. |
Last updated on : 2012-08-01 14:04:22 +020
Ce chapitre inclut des bases de données allant de la base de données en lecture/écriture pour un seul utilisateur aux serveurs de base de données industriels avec le support de transaction. Vous serez envoyé ici en général pour satisfaire des dépendances d'autres applications, bien que la construction d'un serveur SQL sur un système LFS de base est tout à fait possible.
Le paquet Berkeley DB contient des programmes et des outils utilisés par de nombreuses autres applications pour des fonctions liées à la base de données.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.oracle.com/berkeley-db/db-6.1.19.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : bfea581b42dc0fc247041e7d48cfd7fb
Taille du téléchargement : 36 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 300 Mo with Java and Tcl supports
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU
Tcl-8.6.3, OpenJDK-1.8.0.31 et sharutils-4.15 (pour la commande uudecode)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/db
Installez Berkeley DB en lançant les commandes suivantes :
cd build_unix && ../dist/configure --prefix=/usr \ --enable-compat185 \ --enable-dbm \ --disable-static \ --enable-cxx && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make docdir=/usr/share/doc/db-6.1.19 install && chown -v -R root:root \ /usr/bin/db_* \ /usr/include/db{,_185,_cxx}.h \ /usr/lib/libdb*.{so,la} \ /usr/share/doc/db-6.1.19
cd build_unix && ../dist/configure --prefix=/usr... : Ceci This remplace la commande ./configure normale car Berkeley DB est fourni avec divers répertoires de construction pour divers plate-formes.
--enable-compat185
: Ce
paramètre active la construction de l'API de compatibilité
DB-1.85.
--enable-cxx
: Ce paramètre
active la construction les bibliothèques de l'API de C++.
--enable-dbm
: Active le
support de l''interface primitive dont ont besoins certains
vieux paquets.
make
docdir=/usr/share/doc/db-6.1.19
install : Ceci installe la documentation
à l'endroit standard et non dans /usr/docs
.
chown -v -R root:root ... : Cette commande modifie l'appartenance de divers fichiers installés de l'uid:gid du constructeur en root:root.
--enable-tcl
--with-tcl=/usr/lib
: Active le support
Tcl dans DB et crée la
bibliothèque libdb_tcl
.
--enable-java
: Active le
support Java dans DB et crée
la bibliothèque libdb_java
.
affiche le chemin des fichiers journaux qui ne sont plus utilisé. |
|
est un processus démon utilisé pour surveiller et vérifier la base de données des journaux. |
|
est utilisé pour arrêter des requêtes de verrouillage quand des deadlocks sont détectés. |
|
convertit des fichiers de base de données en format de fichier lisibles par db_load. |
|
crée "une sauvegarde à chaud" ou une image de "basculement à chaud" pour les bases de données Berkeley DB. |
|
est utilisé pour créer des fichiers de base de données à partir de fichiers plats créés avec db_dump. |
|
verifie les fichiers journaux de la base de données. |
|
convertit des fichiers journaux de base de données en texte lisible par un humain. |
|
est utilisé pour restaurer une base de données à un état cohérent après un échec. |
|
est un processus de démon qui fournit les servieces de réplication dans un environnement transactionnel. |
|
affiche des statistiques d'environnement de la base de données. |
|
analyse les données dans une base de données btree, et suggère la taille de page qui est la meilleure pour avoir des opérations optimales. |
|
est utilisé pour mettre à jour des fichiers de base de données vers une version plus récente de Berkeley DB. |
|
est utilisé pour effectuer des tests de cohérence sur des fichiers de bases de données. |
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
MariaDB est un fork développé par la communauté et un remplaçant dpour le système de gestion de bases de données relationnelles MySQL.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://downloads.mariadb.org/interstitial/mariadb-10.0.16/source/mariadb-10.0.16.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://mirrors.fe.up.pt/pub/mariadb/mariadb-10.0.16/source/mariadb-10.0.16.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7b1a197ea5d4027833a3a2ed26fc4cae
Taille du téléchargement : 54 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 1.4 Go (additional 3 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 3.6 SBU (using parallelism=4) (additional 0.4 SBU for the tests)
La taille installée de MariaDB est 388 Mo, mais cela puet être réduit à environ 168 Mo, si désiré, en effaçant le répertoire /usr/share/mysql/test après l'installation.
boost-1.57.0, libxml2-2.9.2, Linux-PAM-1.1.8, lzo-2.09, PCRE-8.36, unixODBC-2.3.2, Valgrind-3.10.1, Groonga, KyTea, Judy, libaio, MeCab, MessagePack, mruby, Sphinx, TokuDB, and ZeroMQ,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mariadb
MariaDB et MuSQL ne peuvent pas être installées sur le même système sans des modifications dans la configuration de la construction de une des deux applications.
Pour des raisons de sécurité, lancer le serveur en tant
qu'utilisateur et groupe sans privilèges est fortement
encouragé. Tapez la suite ( en tant que root
) pour créer l'utilitateur et le
groupe :
groupadd -g 40 mysql && useradd -c "MySQL Server" -d /srv/mysql -g mysql -s /bin/false -u 40 mysql
Installez MariaDB en lançant la suite
sed -i "s@data/test@\${INSTALL_MYSQLTESTDIR}@g" sql/CMakeLists.txt && sed -i "s/srv_buf_size/srv_sort_buf_size/" storage/innobase/row/row0log.cc && mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr \ -DINSTALL_DOCDIR=share/doc/mariadb-10.0.16 \ -DINSTALL_DOCREADMEDIR=share/doc/mariadb-10.0.16 \ -DINSTALL_MANDIR=share/man \ -DINSTALL_MYSQLSHAREDIR=share/mysql \ -DINSTALL_MYSQLTESTDIR=share/mysql/test \ -DINSTALL_PLUGINDIR=lib/mysql/plugin \ -DINSTALL_SBINDIR=sbin \ -DINSTALL_SCRIPTDIR=bin \ -DINSTALL_SQLBENCHDIR=share/mysql/bench \ -DINSTALL_SUPPORTFILESDIR=share/mysql \ -DMYSQL_DATADIR=/srv/mysql \ -DMYSQL_UNIX_ADDR=/run/mysqld/mysqld.sock \ -DWITH_EXTRA_CHARSETS=complex \ -DWITH_EMBEDDED_SERVER=ON \ -DTOKUDB_OK=0 \ .. && make
Pour tester le résultat, tapez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i ... : Le premier sed initialise correctement le répertoire d'installation pour quelques composants. Le second sed corrige un bogue dans le code.
-DWITH_EMBEDDED_SERVER=ON
: Ce
paramètre active la compilation de la bibliothèque serveur
embarquée nécessaire pour certaines applications, comme
Amarok..
-DWITH_EXTRA_CHARSETS=complex
:
Ce paramètre active le support pour les ensembles de
caractères complexes.
-DWITHOUT_SERVER=ON
-DWITH_UNIT_TESTS=OFF
: Utilisez ces paramètres si
vous ne voulez pas le serveur et souhaitez construire le
client seulement.
Il y a de nombreuses options disponible pour cmake. Vérifier la sortie de cmake . -LH pour des options de personnalisation supplémentaires.
Créez un fichier /etc/mysql/my.cnf
basique en utilisant la
commande suivante en tant qu'utilisateur root
:
install -v -dm 755 /etc/mysql &&
cat > /etc/mysql/my.cnf << "EOF"
# Begin /etc/mysql/my.cnf
# The following options will be passed to all MySQL clients
[client]
#password = your_password
port = 3306
socket = /run/mysqld/mysqld.sock
# The MySQL server
[mysqld]
port = 3306
socket = /run/mysqld/mysqld.sock
datadir = /srv/mysql
skip-external-locking
key_buffer_size = 16M
max_allowed_packet = 1M
sort_buffer_size = 512K
net_buffer_length = 16K
myisam_sort_buffer_size = 8M
# Don't listen on a TCP/IP port at all.
skip-networking
# required unique id between 1 and 2^32 - 1
server-id = 1
# Uncomment the following if you are using BDB tables
#bdb_cache_size = 4M
#bdb_max_lock = 10000
# Uncomment the following if you are using InnoDB tables
#innodb_data_home_dir = /srv/mysql
#innodb_data_file_path = ibdata1:10M:autoextend
#innodb_log_group_home_dir = /srv/mysql
# You can set .._buffer_pool_size up to 50 - 80 %
# of RAM but beware of setting memory usage too high
#innodb_buffer_pool_size = 16M
#innodb_additional_mem_pool_size = 2M
# Set .._log_file_size to 25 % of buffer pool size
#innodb_log_file_size = 5M
#innodb_log_buffer_size = 8M
#innodb_flush_log_at_trx_commit = 1
#innodb_lock_wait_timeout = 50
[mysqldump]
quick
max_allowed_packet = 16M
[mysql]
no-auto-rehash
# Remove the next comment character if you are not familiar with SQL
#safe-updates
[isamchk]
key_buffer = 20M
sort_buffer_size = 20M
read_buffer = 2M
write_buffer = 2M
[myisamchk]
key_buffer_size = 20M
sort_buffer_size = 20M
read_buffer = 2M
write_buffer = 2M
[mysqlhotcopy]
interactive-timeout
# End /etc/mysql/my.cnf
EOF
Vous pouvez maintenant installez une base de données et
changer le propriétaire en utilisateur et groupe sans
privilèges ( à faire en tant qu'utilisateur root
):
mysql_install_db --basedir=/usr --datadir=/srv/mysql --user=mysql && chown -R mysql:mysql /srv/mysql
Les configurations suivantes demandent que le serveur
MariaDB soit lancé.
Démarrez le serveur en utilisant les commandes suivantes en
tant qu'utilisateur root
:
install -v -m755 -o mysql -g mysql -d /run/mysqld && mysqld_safe --user=mysql 2>&1 >/dev/null &
Une installation par défaut n'initialise pas un mot de
passe pour l'administrateur, aussi utilisez la commande
suivante en tant qu'utilisateur root
pour l'initialiser.
mysqladmin -u root password
La configuration du serveur est maintenant terminée.
Arrêtez le serveur en utilisant la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
mysqladmin -p shutdown
Installez le script d'initialisation /etc/rc.d/init.d/mysql
inclus dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304
en tant qu'utilisateur root
pour démarrer le serveur MariaDB au démarrage du système.
make install-mysql
Les descriptions de tous les programmes et bibliothèques prendraient plusieurs pages. A la place, consultez les pages de man ou la documentation en ligne https://mariadb.com/kb/en/mariadb-documentation/.
The Perl DBI modules must be installed for some of the MariaDB support programs to function properly.
Last updated on 2013-11-11 18:10:53 +0100
PostgreSQL est un advanced object-relational database management system (ORDBMS, système avancé de gestion de base de données relationnelles), dérivé du système de gestion de base de données Berkeley Postgres.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.postgresql.org/pub/source/v9.4.1/postgresql-9.4.1.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.postgresql.org/pub/source/v9.4.1/postgresql-9.4.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2cf30f50099ff1109d0aa517408f8eff
Taille du téléchargement : 17 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 191 Mo (additional 6 Mo to run the testsuite)
Estimation du temps de construction : 1.5 SBU (additional 0.2 SBU to run the testsuite)
Python-2.7.9, Tcl-8.6.3, OpenSSL-1.0.2, libxml2-2.9.2, libxslt-1.1.28, OpenLDAP-2.4.40, Linux-PAM-1.1.8, MIT Kerberos V5-1.13.1 et Bonjour
DocBook SGML-DTD-4.5, DocBook DSSSL Stylesheets-1.79, OpenJade-1.3.2 et SGMLSpm-1.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/postgresql
Installez PostgreSQL avec les commandes suivantes :
sed -i '/DEFAULT_PGSOCKET_DIR/s@/tmp@/run/postgresql@' src/include/pg_config_manual.h && ./configure --prefix=/usr \ --enable-thread-safety \ --docdir=/usr/share/doc/postgresql-9.4.1 && make
Il y a de nombreux programmes dans le répertoire contrib/
. Si vous allez lancer cette
installation en tant que serveur et souhaitez construire
certain d'entre eux, entrez make -C contrib ou
make -C contrib/<SUBDIR-NAME>
pour chaque sous-répertoire.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && make install-docs
Si vous avez fait tous les programmes de contrib/
, en tant qu'utilisateur
root
:
make -C contrib/<SUBDIR-NAME>
install
ce paquet contient un trou de sécurité connu que permet aux autres utilisateurs de la même machine de gagner l'accès à un compte OS quand il fait "make check": CVE-2014-0067. Jusqu'à ce que le correctif soit disponible, les utilisateurs sont fortement conseillé de ne pas lancer "make check" sur les machines ou des utilisateurs non-approuvés ont des comptes.
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Si vous pensez utiliser PostgreSQL en tant que client pour se connecteur a un serveur sur une autre machine, votre installation est terminée et vous pouvez ne pas lancer les commandes suivantes.
Initialisez un morceau (cluster) de base de données par les
commandes suivantes effectuées par l'utilisateur root
:
install -v -dm700 /srv/pgsql/data && install -v -dm755 /run/postgresql && groupadd -g 41 postgres && useradd -c "PostgreSQL Server" -g postgres -d /srv/pgsql/data \ -u 41 postgres && chown -Rv postgres:postgres /srv/pgsql /run/postgresql && su - postgres -c '/usr/bin/initdb -D /srv/pgsql/data'
En tant qu'utilisateur root
,
démarrez le serveur de base de données avec la commande
suivante :
su - postgres -c '/usr/bin/postmaster -D /srv/pgsql/data > \ /srv/pgsql/data/logfile 2>&1 &'
Toujours en tant qu'utilisateur root
, créez une base de données et
vérifiez l'installation :
su - postgres -c '/usr/bin/createdb test' && echo "create table t1 ( name varchar(20), state_province varchar(20) );" \ | (su - postgres -c '/usr/bin/psql test ') && echo "insert into t1 values ('Billy', 'NewYork');" \ | (su - postgres -c '/usr/bin/psql test ') && echo "insert into t1 values ('Evanidus', 'Quebec');" \ | (su - postgres -c '/usr/bin/psql test ') && echo "insert into t1 values ('Jesse', 'Ontario');" \ | (su - postgres -c '/usr/bin/psql test ') && echo "select * from t1;" | (su - postgres -c '/usr/bin/psql test')
sed -i ...: Ce
sed modifie: l'endroit du socket de /tmp
vers /run/postgresql
--docdir=/usr/share/doc/postgresql-9.4.1
> :nbsp;:
Ce paramètre met la documentation dans un répertoire
versionné.
--enable-thread-safety
:
Ce paramètre rend les bibliothèques client enfilées de
manière sécurisée en autorisant les filages concurrents
libpq
et aux programmes ECPG de
contrôler en sécurité leur gestions de connexion privée.
--with-openssl
: construit
avec le support de OpenSSL
pour les connexions chiffrées.
--with-perl
> :nbsp;:
Construit le langage PL/Perl coté serveur.
--with-python
> :nbsp;:
Construit le langage PL/Python coté serveur.
--with-tcl
: construit le
langaga PL/Tcl coté serveur.
groupadd ... ; useradd ... : Ces commandes ajoutent un utilisateur et un groupe non privilégiés pour lancer le serveur de base de données.
createdb test; create table t1; insert into t1 values...; select * from t1 : Crée une base de données, y ajoute une table, insère des lignes dans la table et les sélectionne pour vérifier que l'installation fonctionne correctement.
$PGDATA/pg_ident.con
,
$PGDATA/pg_hba.conf
et
$PGDATA/postgresql.conf
La variable d'environnement PGDATA
est utilisée pour distinguer les
clusters de base de données entre eux en la réglant sur la
valeur du répertoire qui contient le cluster désiré. Les
trois fichiers de configuration existent dans tout
répertoire PGDATA/
directory.
Vous pouvez trouver des détails sur le format des fichiers
et les options qu'on peut régler dans chacun d'eux sur
file:///usr/share/doc/postgresql-9.4.1/html/index.html.
Installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/postgresql
inclu dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-postgresql
est un outil pour reconstruire (reclustering) des tables dans une base de données PostgreSQL. |
|
crée une nouvelle base de données PostgreSQL. |
|
définit un nouveau langage procédural PostgreSQL. |
|
définit un nouveau compte utilisateur PostgreSQL. |
|
supprime une base de données PostgreSQL. |
|
supprime un langage procédural PostgreSQL. |
|
supprime un compte utilisateur PostgreSQL. |
|
est le préprocesseur SQL embarqué. |
|
crée un nouveau cluster de base de données. |
|
résoud les OIDs (Object IDs) et les noeuds de fichier dans le répertoire des données de PostgreSQL. |
|
nettoie les fichiers d'archives de PostgreSQL WAL (write-ahead log). |
|
fait des sauvegardes de la base sur une grappe PostgreSQL. |
|
récupère des informations sur la version de PostgreSQL. |
|
retourne des informations initialisées pendant initdb, telles que la version du catalogue et la locale du serveur. |
|
contrôle l'arrêt et le démarrage du serveur de base de données. |
|
place dans un script des données et des méta-données de base de données, elles sont utilisées pour recréer la base de données. |
|
appelle de manière récursive pg_dump pour chaque base de données d'un cluster. |
|
vérifie le statut de la connexion du serveur PostgreSQL. |
|
contrôle les flux de décodage logique de PostgreSQL. |
|
nettoie le journal écrit et réinitialise
éventuellement des champs dans le fichier
|
|
crée des bases de données à partir de fichiers cachés créés par pg_dump. |
|
supporte la création d'un serveur PostgreSQL de secours à chaud. |
|
détermine la méthode wal_sync la plus rapide pour PostgreSQL. |
|
mesure le temps de synchronisation. |
|
met à jour une instance de serveur PostgreSQL. |
|
affiche une sortie lisible par un humain du log d'écriture d'un cluster de base de données PostgreSQL. |
|
lane un test de performance sur PostgreSQL. |
|
est un script de support utilisé pour effacer un module d'une table PL/Tcl. La commande exige que le paquet Pgtcl soit aussi installé. |
|
est un script support utilisé pour lister les modules d'une table PL/Tcl. La commande exige que le paquet Pgtcl soit aussi installé. |
|
est un script support utilisé pour charger un module d'une table PL/Tcl. La commande exige que le paquet Pgtcl soit aussi installé. |
|
est un serveur de base de données mono-utilisateur, utilisée en général pour du débogage. |
|
(un lien symbolique vers postgres) est un démon de base de données multi-utilisateurs. |
|
est un shell de base de données en console. |
|
est un outil pour reconstruire les index d'une base de données. |
|
compacte des bases de données et génère des statistiques pour l'analyseur de demandes. |
|
efface les gros objets orphelins d'une base de données PostgreSQL. |
|
contient des fonctions pour supporté du SQL embarqué dans des programmes C. |
|
est la bibliothèque de compatibilité ecpg. |
|
est le sous-système de port spécifique du backend Postgres. |
|
contient des fonctions pour traiter des types de données Postgres. |
|
est l'API de programmation C pour Postgres. |
Last updated on : 2012-10-01 02:19:42 +020
Le paquet SQLite est une bibliothèque software library qui implémente un moteur de base de données SQL transactionnel autonome, sans serveur, sans configuration.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://sqlite.org/2015/sqlite-autoconf-3080802.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3425fa580a56880f56bcb887dd26cc06
Taille du téléchargement : 1.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 22 Mo (additional 25 Mo for the Optional Documentation)
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Documentation supplémentaire
Téléchargement (HTTP) : http://sqlite.org/2015/sqlite-doc-3080802.zip
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 785a45179b03a2e63c23fa37436f3632
Taille du téléchargement : 4.7 Mo
UnZip-6.0 (Requis pour décompresser la documentation)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sqlite
Si vous avez téléchargée la documentation supplémentaire, taper la commande suivante pour installer la documentation dans l'arborescence des sources:
unzip -q ../sqlite-doc-3080802.zip
Installer SQLite en exécutant les commandes suivantes:
./configure --prefix=/usr --disable-static \ CFLAGS="-g -O2 -DSQLITE_ENABLE_FTS3=1 \ -DSQLITE_ENABLE_COLUMN_METADATA=1 \ -DSQLITE_ENABLE_UNLOCK_NOTIFY=1 \ -DSQLITE_SECURE_DELETE=1" && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez téléchargée la documentation supplémentaire,
taper les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
pour l'installer:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/sqlite-3.8.8.2 && cp -v -R sqlite-doc-3080802/* /usr/share/doc/sqlite-3.8.8.2
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
CFLAGS="-g -O2
-DSQLITE_SECURE_DELETE
-DSQLITE_ENABLE_UNLOCK_NOTIFY=1"
: Des
applications comme firefox
nécéssitent une suppression sécurisée et l'activation de la
notification de verrouillage. La seule façon de faire cela
est de les inclure dans le CFLAGS. Par défaut, il est
initialisé à "-g -O2"
alors nous
spécifions cela pour préserver ces réglages. Vous pouvez,
bien sûr, souhaiter omettre le '-g'
si vous n'avez pas souhaitez créer des
informations de débogage. Pour plus d'informations sur ce qui
peut être spécifiée voir http://www.sqlite.org/compile.html.
Last updated on : 2013-03-31 12:41:33 +020
Vous trouverez ici de nombreux moyens de partager votre machine avec le reste du monde ou votre réseau local. Avant d'installer n'importe quel paquet de ce chapitre, vous devez être sûr de comprendre ce que fait le paquet et de la manière de le paramétrer correctement. L'apprentissage des conséquences d'un mauvais paramétrage pourrait vous aider à analyser les risques.
Le paquet OpenLDAP fournit une implémentation libre de Lightweight Directory Access Protocol (protocole d'accès au répertoire).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.openldap.org/pub/OpenLDAP/openldap-release/openldap-2.4.40.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 423c1f23d2a0cb96b3e9baf7e9d7dda7
Taille du téléchargement : 5.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 47 Mo (client) 101 Mo (server - additional 5 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU (client) 1.8 SBU (server - additional 3.4 SBU for the tests)
Berkeley DB-6.1.19 (seulement pour la construction du serveur) Cyrus SASL-2.1.26 et OpenSSL-1.0.2
ICU-54.1, MariaDB-10.0.16 ou MySQL ou PostgreSQL-9.4.1, OpenSLP, Pth-2.0.7 et unixODBC-2.3.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/openldap
Si vous souhaitez installer seulement le client ldap*, les man-pages correspondantes, les bibliothèques et fichiers d'entêtes (soit une installation comme « client-seul »), taper ces commandes au lieu des autres suivantes (pas de suite de test disponible):
patch -Np1 -i ../openldap-2.4.40-blfs_paths-1.patch && patch -Np1 -i ../openldap-2.4.40-symbol_versions-1.patch && autoconf && sed -i '/6.0.20/ a\\t__db_version_compat' configure && ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static \ --enable-dynamic \ --disable-debug \ --disable-slapd && make depend && make
Ensuite, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Il doit y avoir un utilisateur et un groupe dédié pour
prendre le contrôle du démon slapd après qu'il soit
démarré. Tapez les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
groupadd -g 83 ldap && useradd -c "OpenLDAP Daemon Owner" -d /var/lib/openldap -u 83 \ -g ldap -s /bin/false ldap
Installez OpenLDAP en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../openldap-2.4.40-blfs_paths-1.patch && patch -Np1 -i ../openldap-2.4.40-symbol_versions-1.patch && autoconf && sed -i '/6.0.20/ a\\t__db_version_compat' configure && ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --libexecdir=/usr/lib \ --disable-static \ --disable-debug \ --enable-dynamic \ --enable-crypt \ --enable-spasswd \ --enable-modules \ --enable-rlookups \ --enable-backends=mod \ --enable-overlays=mod \ --disable-ndb \ --disable-sql && make depend && make
Pour tester les résultats, lancez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && chmod -v 700 /var/lib/openldap && chown -v -R ldap:ldap /var/lib/openldap && chmod -v 640 /etc/openldap/{slapd.{conf,ldif},DB_CONFIG.example} && chown -v root:ldap /etc/openldap/{slapd.{conf,ldif},DB_CONFIG.example} && install -v -dm700 -o ldap -g ldap /etc/openldap/slapd.d && install -v -dm755 /usr/share/doc/openldap-2.4.40 && cp -vfr doc/drafts /usr/share/doc/openldap-2.4.40 && cp -vfr doc/rfc /usr/share/doc/openldap-2.4.40 && cp -vfr doc/guide /usr/share/doc/openldap-2.4.40
Avoir les fichiers de configuration sldap et les bases de données ldap dans /var/lib/openldap qui est lisible par tous est un PROBLEME DE SECURITE, particulièrement depuis qu'un fichier enregistre le mot de passe de l'administrateur en TEXTE. C'est pourquoi le mode 640 et la propriétée root:ldap sont utilisés. Le propriétaire est root, donc seulement root peut modifier le fichier, et le groupe est ldap, donc le groupe auquel appartient le démon slapd peut lire mais pas modifier le fichier en cas de faille de sécurité.
sed ... configure: corrige le script configure pour construire avec Berkeley DB-6.0.20 ou supérieur.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--disable-debug
: Ce
paramètre désactive le code de déboguage dans OpenLDAP.
--enable-dynamic
: Ce
paramètre oblige les bibliothèques OpenLDAP à se lier dynamiquement aux
programmes de l'exécutable.
--enable-crypt
:
Ce paramètre active les mots de passe crypt(3).
--enable-spasswd
: Ce
paramètre active la vérification de mot de passe avec
SASL.
--enable-modules
: Ce
paramètre active le support des modules dynamiques.
--enable-rlookups
: Ce
paramètre active les recherches inversées des noms d'hôte du
client.
--enable-backends
: Ce
paramètre active toutes les fondations disponibles.
--enable-overlays
: Ce
paramètre active toutes les couches disponibles.
--disable-ndb
:
Ce paramètre désactive le serveur de Cluster MySQL NDB qui cause un échec de
configuration si MySQL est
présent.
--disable-sql
:
Ce paramètre désactive explicitement le terminal sql. Ne
mettez pas ce paramètre si un serveur SQL est installé et que
vous l'utilisez.
--libexecdir=/usr/lib
: Ce
paramètre contrôle où le répertoire /usr/lib/openldap
est installé. Ce
répertoire ne contient que des bibliothèques, donc il est
mieux dans /usr/lib
au lieu de
/usr/libexec
.
--enable-slp
: Ce paramètre
active le support SLPv2. Utilisez ce paramètre si vous avez
installé OpenSLP.
Vous pouvez lancer ./configure --help pour voir s'il y a d'autres paramètres que vous pouvez passer à la commande configure pour activer d'autres options ou d'autres paquets de dépendance.
Configurer des serveurs slapd peut être complexe.
Securiser le repertoire LDAP, spécialement si vous stocker
des données privées comme une base de données de mots de
passe, peut être également une tache compliquée. Vous
devrez éditer le fichier /etc/openldap/slapd.conf
et /etc/openldap/ldap.conf
pour paramétrer
OpenLDAP pour vos besoins
particuliers.
Parmi les ressources pour vous aider sur des sujets tels
que le choix de configuration d'un répertoire, les
définitions de la fondation et de la base de données, les
paramètres du contrôle d'accès, l'exécution en tant
qu'utilisateur différent de root
et le paramétrage d'un
environnement chroot, il y a :
La page de man slapd
La page de man slapd.conf
Le OpenLDAP 2.4
Administrator's Guide (guide de l'administrateur)
(installé aussi localement dans /usr/share/doc/openldap-2.4.40/guide/admin
)
Des documents qui se trouve sur http://www.openldap.org/pub/
Par défaut le support LDAPv2 est désactivé dans le fichier
slapd.conf
. Une fois que la
base de données est correctement paramétrée et que
Mozilla est configuré pour
utiliser le répertoire, vous devez ajouter allow bind_v2
au fichier slapd.conf
.
Pour automatiser le démarrage du serveur LDAP au lancement
du système, installez le script de démarrage /etc/rc.d/init.d/slapd
inclu dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304
en utilisant la commande suivante :
make install-slapd
Vous devrez modifier le script /etc/sysconfig/slapd
pour inclure les
paramètres nécessaires à votre configuration spécifiques.
Voir les pages de man de slapd pour des
informations de paramètre.
Démarrez le serveur LDAP en utilisant le script de démarrage :
/etc/rc.d/init.d/slapd start
Vérifiez l'accès au serveur LDAP avec la commande suivante :
ldapsearch -x -b '' -s base '(objectclass=*)' namingContexts
Le résultat attendu est :
# extended LDIF
#
# LDAPv3
# base <> with scope base
# filter: (objectclass=*)
# requesting: namingContexts
#
#
dn:
namingContexts: dc=my-domain,dc=com
# search result
search: 2
result: 0 Success
# numResponses: 2
# numEntries: 1
ouvre une connexion sur un serveur LDAP, sonde et ajoute les entrées. |
|
ouvre une connexion sur un serveur LDAP, sonde et effectue une comparaison en utilisant des paramètres spécifiés. |
|
ouvre une connexion sur un serveur LDAP, sonde et supprime une ou plusieurs entrées. |
|
délivre les opérations étendues de LDAP spécifiées par oid ou l'un des mots-clés spéciaux whoami, cancel, or refresh. |
|
ouvre une connexion sur un serveur LDAP, sonde et modifie des entrées. |
|
ouvre une connexion sur un serveur LDAP, sonde et modifie tle RDN des entrées. |
|
est un outil utilisé pour paramétrer le mot de passe d'un utilisateur LDAP. |
|
ouvre une connexion sur un serveur LDAP, sonde et effectue une recherche en utilisant des paramètres spécifiés. |
|
est une commande qui permet soit de composer ou soit de décomposer des URL LDAP. |
|
ouvre une connexion sur un serveur LDAP, sonde et affiche des informations sur qui on est. |
|
est utilisé pour vérifier le comportement de slapd en vérifiant l'accès aux répertoires de données par rapport aux directives de la liste des contrôles d'accès définies dans sa configuration. |
|
est utilisé pour ajouter des entrées spécifiées au format LDAP Directory Interchange Format (LDIF, format d'échange de répertoire LDAP) dans une base de données LDAP. |
|
est utilisé pour vérifier le comportement de slapd dans le mappage des identités pour l'authentication et l'usage des autorisations, tel que spécifié dans in slapd.conf. |
|
est utilisé pour justifier une sortie LDAP LDIF basée sur le contenu d'une base de données slapd. |
|
est le serveur LDAP autonome. |
|
vérifie la liste des DNS représentée sous forme de chaîne basée sur une syntaxe de schéma. |
|
est utilisé pour régénérer des index slapd basés sur le contenu actuel d'une base de données. |
|
est un outil de mot de passe de OpenLDAP. |
|
est utilisé pour vérifier le respect des schémas dans le contenu de la base de données slapd. |
|
vérifie la sanité du fichier |
|
est un ensemble de routines de règles d'encodage de base lightweight Ces routines sont utilisées par les routines de la bibliothèque LDAP pour encoder et décoder des éléments du protocole LDAP en utilisant les règles de l'encodage de base (légèrement simplifié) définies par LDAP. Elles ne sont en général pas utilisées en principe par une application LDAP sauf dans la gestion des contrôles et des opérations étendues. |
|
supporte les programmes LDAP et offre des fonctionnalités pour d'autres programmes qui interagissent avec LDAP. |
|
contient les fonctions exigées par des programmes LDAP pour produire des résultats à partir de requêtes LDAP. |
Last updated on : 2013-04-06 00:01:58 +020
Unbound est un solveur DNS de validation récursif et pour le cache. Il est conçu comme un ensemble de composants modulaires qui incorporent des fonctions modernes, comme la validation de sécurité embarqué (DNSSEC), Le protocole internet Version 6 (IPv6), et une bibliothèque d'API du solveur client comme une partie intégrale de l'architecture.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.unbound.net/downloads/unbound-1.5.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ed4c46476dcfb8a507cc08b1ba12a8f1
Taille du téléchargement : 4.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 38 Mo (additional 69 Mo for docs and 4 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU (additional moins de 0.1 SBU for docs and 0.2 SBU for tests)
libevent-2.0.22, Python-2.7.9 et SWIG-3.0.5 (pour les liaisons Python) Doxygen-1.8.9.1 (pour la documentation html) et dnstap
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/unbound
Il doit y avoir un utilisateur et un groupé dédié pour
prendre le contrôle du démon unbound après son
démarrage. Tapez la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
groupadd -g 88 unbound && useradd -c "Unbound DNS resolver" -d /var/lib/unbound -u 88 \ -g unbound -s /bin/false unbound
Installez Unbound en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static \ --with-pidfile=/run/unbound.pid && make
si vous avez le paquet Doxygen-1.8.9.1 installé et voulez construire la documentation html, lancez les commandes suivantes:
make doc
Pour tester les résultats, tapez make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mv -v /usr/sbin/unbound-host /usr/bin/
Si vous avez construit la documentation html, installez la en
lançant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/unbound-1.5.1 && install -v -m644 doc/html/* /usr/share/doc/unbound-1.5.1
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--with-libevent
: Cette option
active le support libevent permettant une utilisation d'une
plage de port de sortie importante.
--with-pyunbound
: Cette option
active la construction des liaisons Python.
Dans la configuration par défaut, unbound se liera au
localhost (adresse IP 127.0.0.1) et permettra les requetes
récursives seulement depuis les clients locaux. Si vous
voulez utiliser unbound pour la
résolution DNS local, lancez les commandes suivantes en
tant qu'utilisateur root
:
echo "nameserver 127.0.0.1" > /etc/resolv.conf
Si vous utilisez un client DHCP pour vous connecter au
réseau, /etc/resolv.conf
sera
écrasé avec les valeurs fournies par le serveur DHCP. Vous
pouvez empêcher cela, par exemple dans DHCP-4.3.1, en lançant
la commande suivante en tant qu'utilisateur root
:
sed -i '/request /i\supersede domain-name-servers 127.0.0.1;' \ /etc/dhcp/dhclient.conf
Pour une configuration avancée, regardez le fichier
/etc/unbound/unbound.conf
et
la documentation.
Quand Unbound est
installé, quelques paquets échoue à la construction si le
fichier /etc/unbound/root.key
n'est pas trouvé. Ce fichier est créé en lançant le script
de démarrage (les instructions d'installation sont à la
suite). Alternativement, il peut être créé en lançant la
commant suivant en tant qu'utilisateur root
:
unbound-anchor
Si vous voulez que le serveur Unbound démarre automatiquement quand
le système est démarré, installez le script
d'initialisation /etc/rc.d/init.d/unbound
inclu dans le
paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-unbound
est le démon du solveur DNS. |
|
réalise la configuration ou la mise à jour l'ancre de confiance de la racine pour la validation DNSSEC. |
|
vérifie la syntaxe du fichier de configuration unbound et les autres erreurs. |
|
réalise l'administration distante du solveur DNS unbound. |
|
génère un certification auto-signé et les clès privées pour le serveur et le client. |
|
est l'utilitaire de recherhce DNS similaire à host de BIND Utilities-9.10.1-P2. |
|
fournit les fonctions de l'API de Unbound pour programmer. |
Last updated on 2013-07-21 21:06:50 +0200
xinetd est le démon des services eXtended InterNET, un remplaçant sécurisé de inetd.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://anduin.linuxfromscratch.org/BLFS/svn/x/xinetd-2.3.15.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 77358478fd58efa6366accae99b8b04c
Taille du téléchargement : 308 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5.0 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xinetd
Installez xinetd en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e "s/exec_server/child_process/" xinetd/builtins.c && sed -i -e "/register unsigned count/s/register//" xinetd/itox.c && ./configure --prefix=/usr --mandir=/usr/share/man --with-loadavg && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed ... xinetd/builtins.c: Cette commande corrige un problème de sécurité.
sed ... xinetd/itox.c: Cette commande corrige quelques avertissement du compilateur.
Assurez-vous que le chemin vers tous les démons est
/usr/sbin
, plutôt que celui
path of /usr/bin
par défaut
et installez les fichiers de configuration de xinetd en lançant les commandes
suivantes en tant qu'utilisateur root
:
cat > /etc/xinetd.conf << "EOF"
# Begin /etc/xinetd
# Configuration file for xinetd
defaults
{
instances = 60
log_type = SYSLOG daemon
log_on_success = HOST PID USERID
log_on_failure = HOST USERID
cps = 25 30
}
# All service files are stored in the /etc/xinetd.d directory
includedir /etc/xinetd.d
# End /etc/xinetd
EOF
Tous les fichiers suivants contiennent la ligne "disable = yes". Pour activer n'importe lequel de ces services, il faudra modifier ce paramètre en "disable = no".
Les fichiers suivants sont listés pour démontrer quelques applications de xinetd. Dans bien des cas, ces applications sont inutiles. Quelques applications classiques sont considérées risqués pour la sécurité. Par exemple, telnet, rlogin, rexec et rsh transmettent des noms d'utilisateur et des mots de passe en clair sur le réseau et on peut facilement les remplacer par une alternative plus sécurisée : ssh.
install -v -d -m755 /etc/xinetd.d && cat > /etc/xinetd.d/systat << "EOF" &&# Begin /etc/xinetd.d/systat service systat { disable = yes socket_type = stream wait = no user = nobody server = /bin/ps server_args = -auwwx only_from = 128.138.209.0 log_on_success = HOST } # End /etc/xinetd.d/systat
EOF cat > /etc/xinetd.d/echo << "EOF" &&# Begin /etc/xinetd.d/echo service echo { disable = yes type = INTERNAL id = echo-stream socket_type = stream protocol = tcp user = root wait = no } service echo { disable = yes type = INTERNAL id = echo-dgram socket_type = dgram protocol = udp user = root wait = yes } # End /etc/xinetd.d/echo
EOF cat > /etc/xinetd.d/chargen << "EOF" &&# Begin /etc/xinetd.d/chargen service chargen { disable = yes type = INTERNAL id = chargen-stream socket_type = stream protocol = tcp user = root wait = no } service chargen { disable = yes type = INTERNAL id = chargen-dgram socket_type = dgram protocol = udp user = root wait = yes } # End /etc/xinetd.d/chargen
EOF cat > /etc/xinetd.d/daytime << "EOF" &&# Begin /etc/xinetd.d/daytime service daytime { disable = yes type = INTERNAL id = daytime-stream socket_type = stream protocol = tcp user = root wait = no } service daytime { disable = yes type = INTERNAL id = daytime-dgram socket_type = dgram protocol = udp user = root wait = yes } # End /etc/xinetd.d/daytime
EOF cat > /etc/xinetd.d/time << "EOF"# Begin /etc/xinetd.d/time service time { disable = yes type = INTERNAL id = time-stream socket_type = stream protocol = tcp user = root wait = no } service time { disable = yes type = INTERNAL id = time-dgram socket_type = dgram protocol = udp user = root wait = yes } # End /etc/xinetd.d/time
EOF
Le format de /etc/xinetd.conf
est documenté dans la page de man xinetd.conf.5
.
En tant qu'utilisateur root
, installez le script de démarrage
/etc/rc.d/init.d/xinetd
inclu
dans le paquet blfs-bootscripts-20150304.
make install-xinetd
En tant qu'utilisateur root
, utilisez le nouveau script de
démarrage pour lancer xinetd :
/etc/rc.d/init.d/xinetd start
Vérifier le fichier /var/log/daemon.log
pour vous assurer que
les services appropriés sont démarrés. Si aucun service
n'est activé, le programme ne démarrera pas sans l'option
-stayalive
.
Last updated on : 2012-05-12 23:54:09 +020
Ce chapitre contient des instructions pour construire et configurer un environnement d'utilisateur graphique.
Xorg, en plus d'éclaircir certains problèmes de licence avec XFree86, introduit une construction complétement automatisé pour le système de fenêtre X. Cela signifie que les paquets se construisent et s'installent en utilisant les commandes conventionnelles configure, make et make install, à l'opposé d'une système de construction propriétaire qui demandait des éditions à la main des paramètres de configuration dans une syntaxe semblable au C.
Xorg est également avec un système de construction modulaire. Tandis que cette séparation en modules permet un contrôle total des fonctions disponibles sur le serveur X d'une installation donnée, il fait également que l'installation est plus fastidieuse car elle demande d'installer plus de 100 paquets différents pour obtenir un environnement X fonctionnel.La plupart des distributions commerciales ont choisi d'utiliser Xorg sur la distribution XFree86 à cause des problèmes de licence et de l'augmentation des fonctionnalités fournit en étant au dessus de XFree86. Avec le système de construction modulaire, vient aussi l'incrémentation individuel des mises à jour des paquets. La distribution de Xorg a un numéro de version donné par les développeurs, dans ce cas Xorg-7.7, est est référencé comme étant la "katamari" par les développeurs amont.
Xorg est une implémentation très distribuable et libre du système de fenêtres X. Ce système offre une interface client/serveur entre le matériel d'affichage (la souris, le clavier et les afficheurs graphiques) et l'environnement de bureau, tout en fournissant aussi à la fois l'infrastructure de fenêtres et une interface d'applications standardisée (API).
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Xorg7
Xorg-7.0 a introduit un système de construction complètement auto-tooled et modulaire. Avec le nouveau système de construction modulaire, il n'est plus possible de télécharger tout le paquet dans un seul fichier. En fait, il peut y avoir plus de 1000 paquets à récupérer sur le lieu du téléchargement. Pour vous aider pour une tâche si importante, l'installation de Wget-1.16.1 est fortement recommandée pour télécharger les fichiers nécessaires. On fournit une liste complète des fichiers wget pour chaque page incluant plusieurs paquets.
Étant donné le nombre de paquets disponibles, la décision des paquets à installer selon votre configuration particulière peut paraître de prime abord écrasante. Jetez un œil sur cette page et ce fil pour vous faire une idée de ce dont vous aurez besoin. Si vous n'êtes pas sûr, vous devriez installer tous les paquets, au prix d'un espace disque supplémentaire.
Même si vous ne voulez télécharger que les paquets nécessaires, vous devriez télécharger les listes de fichiers wget. La liste des fichiers est rangée par dépendances et les versions des paquets listés dans les fichiers sont connues pour bien fonctionner ensembles. En outre, les listes de fichiers wget contiennent des commentaires pour des paquets spécifiques obsolètes ou dont on ne recommande pas l'installation. Les paquets plus récents sont probablement prévus pour la prochaine version de Xorg et ils ont déjà prouvé leur incompatibilité avec les versions actuelles des logiciels installés dans BLFS. La taille du Xorg installé peut être réduite considérablement en n'installant que les paquets dont vous avez besoin et que vous utiliserez, mais le livre BLFS ne peut pas tenir compte de toutes les dépendances et de toutes les options de construction des paquets Xorg individuels. Les instructions supposent que tous les paquets ont été construits. Une page wiki contenant des informations de dépendances est en développement. On vous encourage à compléter ces pages si vous trouvez des informations supplémentaires qui peuvent aider les autres utilisateurs qui installent de manière sélective les paquets individuels.
De plus, du fait du grand nombre de commandes répétitives, on
vous invite à automatiser partiellement la construction. On
vous donne ici des instructions qui utilisent le paquet
sudo-1.8.12. Il est recommandé à
l'utilisateur qui va construire les paquets de xorg d'utiliser
l'option de configuration :NOPASSWD
.
Les intructions suivantes considèrent que les fichiers de démarrage du shell sont configurés comme décrit dans Les fichiers de démarrage du shell Bash.
Tout d'abord, vous devrez créer un répertoire de travail :
mkdir xc && cd xc
Comme avec les versions précédentes du système X Window, il
peut être souhaitable d'installer Xorg dans un préfixe alternatif. Ce
n'est plus une pratique courante dans les distributions
Linux. Le préfixe d'installation habituelle de Xorg sur Linux est /usr
. Il n'y a pas de préfixe alternatif
standard, ni d'exception dans la révision actuelle du
standard de hiérarchie des systèmes de fichiers (FHS) pour la
version 7 du système X Window. Alan Coopersmith de Sun
Microsystems, a déclaré récemment « Chez Sun, nous utilisions
/usr/X11
et nous envisageons de
continuer comme ça. » Seul le préfixe /opt/*
ou le préfixe /usr
correspondent aux lignes directrices
actuelles du FHS actuel.
Choisissez votre préfixe d'installation et réglez la variable
XORG_PREFIX
avec la commande
suivante :
export XORG_PREFIX="<PREFIX>
"
Tout au long de ces instructions, vous utiliserez les
paramètres configure suivants pour
tous les paquets. Créez la variable XORG_CONFIG
à utiliser en remplacement de ce
paramètre :
export XORG_CONFIG="--prefix=$XORG_PREFIX --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var --disable-static"
Créez un fichier de configuration /etc/profile.d/xorg.sh
contenant ces
variables en tant que root
:
cat > /etc/profile.d/xorg.sh << "EOF"
XORG_PREFIX="<PREFIX>
"
XORG_CONFIG="--prefix=$XORG_PREFIX --sysconfdir=/etc --localstatedir=/var --disable-static"
export XORG_PREFIX XORG_CONFIG
EOF
chmod 644 /etc/profile.d/xorg.sh
Si vous décidez d'utiliser le préfixe standard /usr
, vous pouvez omettre le rappel de
cette page et continuez par util-macros-1.19.0.
Si vous décidez de ne
pas utiliser le préfixz standard prefix, soyez
certain d'ajouter $XORG_PREFIX/bin
à votre variable
d'environnement PATH
, et
$XORG_PREFIX/lib/pkgconfig
et
$XORG_PREFIX/share/pkgconfig
à
votre variable PKG_CONFIG_PATH
. Il
est également utile de spécifier un répertoire de recherche
supplémentaire pour gcc et un répertoire
d'"include" pour le programme aclocal. Taper les
commandes suivantes en tant que root
:
cat >> /etc/profile.d/xorg.sh << "EOF" pathappend $XORG_PREFIX/bin PATH pathappend $XORG_PREFIX/lib/pkgconfig PKG_CONFIG_PATH pathappend $XORG_PREFIX/share/pkgconfig PKG_CONFIG_PATH pathappend $XORG_PREFIX/lib LIBRARY_PATH pathappend $XORG_PREFIX/include C_INCLUDE_PATH pathappend $XORG_PREFIX/include CPLUS_INCLUDE_PATH ACLOCAL='aclocal -I $XORG_PREFIX/share/aclocal' export PATH PKG_CONFIG_PATH ACLOCAL LIBRARY_PATH C_INCLUDE_PATH CPLUS_INCLUDE_PATH EOF
Vous pouvez aussi ajouter $XORG_PREFIX/lib
dans le fichier
/etc/ld.so.conf
. De nouveau, en
tant que root
, taper la
commande suivante:
echo "$XORG_PREFIX/lib" >> /etc/ld.so.conf
Vous pouvez aussi modifier /etc/man_db.conf
, en ajoutant les entrées
appropriées MANDATORY_MANPATH, MANPATH_MAP, et MANDB_MAP
comme le montre les exemples de /usr/X11R6
. Taper la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
sed "s@/usr/X11R6@$XORG_PREFIX
@g" -i /etc/man_db.conf
Quelques applications cherchent les fichiers partagés dans
/usr/share/X11
. Créez un lien
symbolique vers le bon endroit en tant qu'utilisateur
root
:
ln -sf $XORG_PREFIX/share/X11 /usr/share/X11
Si vous construisez KDE, certains fichiers cmake cherche l'emplacement de Xorg plutot que $XORG_PREFIX. Permettez à cmake de trouver Xorg avec:
ln -sf $XORG_PREFIX /usr/X11R6
Enfin, si vous construisez en x86_64, vous devrez créer le
répertoire $XORG_PREFIX/lib
et
le lien symbolique $XORG_PREFIX/lib64
. De nouveau en tant que
root
, taper les
commandes suivantes :
install -v -m755 -d $XORG_PREFIX && install -v -m755 -d $XORG_PREFIX/lib && ln -sf lib $XORG_PREFIX/lib64
Last updated on : 2012-12-30 23:17:40 +010
Le paquet util-macros contient les macros m4 utilisées par tous les paquets Xorg.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/util/util-macros-1.19.0.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/util/util-macros-1.19.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1cf984125e75f8204938d998a8b6c1e1
Taille du téléchargement : 80 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 500 Ko
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Environnement de construction de Xorg (doit être initialisé pour que les instructions suivantes fonctionnent)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/util-macros
Installer util-macros en exécutant les commandes suivantes:
./configure $XORG_CONFIG
Ce paquet n'a pas de suite de test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
$XORG_PREFIX
/share/pkgconfig et
$XORG_PREFIX
/share/util-macros
Last updated on : 2012-05-16 18:46:55 +020
Les en-têtes du protocole Xorg fournissent les fichiers d'en-tête requis pour construire le système et pour permettre à d'autres applications de se construire contre le système X Window installé.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/proto/
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/proto/
Taille du téléchargement : 3.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 26 Mo
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU
fop-1.1, libxslt-1.1.28, xmlto-0.0.26 et AsciiDoc (pour construire la documentation supplémentaire)
C'est une dépendance réciproque avec fop-1.1. Si vous souhaitez construire la documentation, vous devrez réinstaller les entêtes de protocole après la fin de l'installation et après que fop-1.1 aura été installé.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Xorg7ProtocolHeaders
Tout d'abord, créez une liste des fichieq à télécharger. Ce fichier sera utilisé également pour vérifier l'intégrité des téléchargements après leur accomplissement :
cat > proto-7.7.md5 << "EOF"
1a05fb01fa1d5198894c931cf925c025 bigreqsproto-1.1.2.tar.bz2
98482f65ba1e74a08bf5b056a4031ef0 compositeproto-0.4.2.tar.bz2
998e5904764b82642cc63d97b4ba9e95 damageproto-1.2.1.tar.bz2
4ee175bbd44d05c34d43bb129be5098a dmxproto-2.3.1.tar.bz2
b2721d5d24c04d9980a0c6540cb5396a dri2proto-2.8.tar.bz2
a3d2cbe60a9ca1bf3aea6c93c817fee3 dri3proto-1.0.tar.bz2
e7431ab84d37b2678af71e29355e101d fixesproto-5.0.tar.bz2
36934d00b00555eaacde9f091f392f97 fontsproto-2.1.3.tar.bz2
5565f1b0facf4a59c2778229c1f70d10 glproto-1.4.17.tar.bz2
6caebead4b779ba031727f66a7ffa358 inputproto-2.3.1.tar.bz2
677ea8523eec6caca86121ad2dca0b71 kbproto-1.0.6.tar.bz2
2d569c75884455c7148d133d341e8fd6 presentproto-1.0.tar.bz2
ce4d0b05675968e4c83e003cc809660d randrproto-1.4.0.tar.bz2
1b4e5dede5ea51906f1530ca1e21d216 recordproto-1.14.2.tar.bz2
a914ccc1de66ddeb4b611c6b0686e274 renderproto-0.11.1.tar.bz2
cfdb57dae221b71b2703f8e2980eaaf4 resourceproto-1.2.0.tar.bz2
edd8a73775e8ece1d69515dd17767bfb scrnsaverproto-1.2.2.tar.bz2
e658641595327d3990eab70fdb55ca8b videoproto-2.3.2.tar.bz2
5f4847c78e41b801982c8a5e06365b24 xcmiscproto-1.2.2.tar.bz2
70c90f313b4b0851758ef77b95019584 xextproto-7.3.0.tar.bz2
120e226ede5a4687b25dd357cc9b8efe xf86bigfontproto-1.2.0.tar.bz2
a036dc2fcbf052ec10621fd48b68dbb1 xf86dgaproto-2.1.tar.bz2
1d716d0dac3b664e5ee20c69d34bc10e xf86driproto-2.1.1.tar.bz2
e793ecefeaecfeabd1aed6a01095174e xf86vidmodeproto-2.3.1.tar.bz2
9959fe0bfb22a0e7260433b8d199590a xineramaproto-1.2.1.tar.bz2
6c3345111a8044f730984988aacfa567 xproto-7.0.27.tar.bz2
EOF
Pour télécharger les fichiers nécessaires en utilisant wget, utilisez les commandes suivantes :
mkdir proto && cd proto && grep -v '^#' ../proto-7.7.md5 | awk '{print $2}' | wget -i- -c \ -B http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/proto/ && md5sum -c ../proto-7.7.md5
Pour l'installation de paquets multiples dans un script, les installations doivent être faites en tant qu'utilisateur root. Il y a trois options générales qui peuvent être utilisées pour faire cela :
Lancer le script entièrement en tant qu'utilisateur root (pas recommandé).
Use the sudo command from the sudo-1.8.12 package.
Use su -c "command arguments" (guillemet requis) qui demandera le mot de passe root à chaque itération de la boucle.
Une façon de gérer cette situation est de créer une petite fonction bash qui sélectionne automatiquement la méthode appropriée. Une fois que la commande est initialisée dans l'environnement, il n'est plus nécessaire de le refaire.
as_root() { if [ $EUID = 0 ]; then $* elif [ -x /usr/bin/sudo ]; then sudo $* else su -c \\"$*\\" fi } export -f as_root
Tout d'abord, démarrez un sous-shell d'où on sortira en cas d'erreur :
bash -e
Installez toutes les paquets en lançant les commandes suivantes :
for package in $(grep -v '^#' ../proto-7.7.md5 | awk '{print $2}') do packagedir=${package%.tar.bz2} tar -xf $package pushd $packagedir ./configure $XORG_CONFIG as_root make install popd rm -rf $packagedir done
Enfin, quittez le shell démarré tout à l'heure :
exit
bash -e : Cette commande démarre un sous-shell qui quittera si une commande retourne une autre valeur que 0, ce qui ferait sortir immédiatement de la boucle loop si une erreur se produit. Ceci élimine aussi le besoin d'utiliser && partout dans le livre.
$XORG_PREFIX
/include/GL, $XORG_PREFIX
/include/X11, $XORG_PREFIX
/share/doc/bigreqsproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/compositeproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/damageproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/dri2proto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/dri3proto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/fixesproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/fontsproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/kbproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/presentproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/randrproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/recordproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/renderproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/resourceproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/scrnsaverproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/videoproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/xcmiscproto,
$XORG_PREFIX
/share/doc/xextproto et
$XORG_PREFIX
/share/doc/xproto
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet libXau contient une bibliothèque qui implémente le protocole d'Autorisation X11. C'est utile pour restreindre l'accès du client à l'affichage.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/lib/libXau-1.0.8.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/lib/libXau-1.0.8.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 685f8abbffa6d145c0f930f00703b21b
Taille du téléchargement : 289 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.6 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libXau
Installez libXau en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-06 04:05:17 +010
Le paquet libXdmcp contient une bibliothèque implémentant le X Display Manager Control Protocol (protocole de contrôle du gestionnaire d'affichage). C'est utile pour autoriser les clients à interagir avec le gestionnaire d'affichage de X (X Display Manager).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/lib/libXdmcp-1.1.1.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/lib/libXdmcp-1.1.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b94af6cef211cf3ee256f7e81f70fcd9
Taille du téléchargement : 304 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.6 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libXdmcp
Installez libXdmcp en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
$XORG_PREFIX
/share/doc/libXdmcp
Last updated on : 2012-05-16 18:46:55 +020
Le paquet xcb-proto fournit les descriptions du protocole XML-XCB qu'utilise libxcb pour générer la majorité de son code et de son API.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xcb.freedesktop.org/dist/xcb-proto-1.11.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6bf2797445dc6d43e9e4707c082eff9c
Taille du téléchargement : 136 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.1 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Python-2.7.9 ou Python-3.4.2 et Environnement de construction de Xorg (doit être initialisé pour que les instructions suivantes fonctionnent )
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xcb-proto
Installez xcb-proto en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
$XORG_PREFIX
/share/xcb et $XORG_PREFIX
/lib/python2.7/site-packages/xcbgen
ou $XORG_PREFIX
/lib/python3.4/site-packages/xcbgen
Last updated on : 2012-12-30 23:17:40 +010
Le paquet libxcb offre une interface avec le protocole du système X Window, ce qui remplace l'interface Xlib. Xlib peut aussi utiliser XCB comme couche de transport, permettant aux logiciels de faire des requêtes et de recevoir des réponses avec les deux.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xcb.freedesktop.org/dist/libxcb-1.11.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5a873ebd383d1a60612dd6ec6b42c781
Taille du téléchargement : 506 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 41 Mo (124 Mo with doxygen generated documentation)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (additional 0.1 to generate API documentation)
libXau-1.0.8 et xcb-proto-1.11
Doxygen-1.8.9.1 (pour générer la documentation de l'API), check-0.9.14 (pour lancer les tests) et libxslt-1.1.28
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libxcb
Installez libxcb en lançant les commandes suivantes :
sed -i "s/pthread-stubs//" configure && ./configure $XORG_CONFIG \ --enable-xinput \ --docdir='${datadir}'/doc/libxcb-1.11 && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed "s/pthread-stubs//" -i configure: Ce sed enlève les dépendances au paquet libpthread-stubs qui est inutile avec Linux.
--enable-xinput
: Ce
paramètre active l'extension XCB Xinput.
--without-doxygen
: Ce
paramètre peut être utilisé pour désactiver la documentation
de l'API si Doxygen-1.8.9.1 est installé.
$XORG_PREFIX
/include/xcb et $XORG_PREFIX
/share/doc/libxcb-1.11
Last updated on : 2012-12-30 23:17:40 +010
Les bibliothèques Xorg fournissent des routines de bibliothèque utilisées dans touts les applications X Window.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/lib/
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/lib/
Taille du téléchargement : 13 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 239 Mo
Estimation du temps de construction : 2.9 SBU
Fontconfig-2.11.1 et libxcb-1.11
xmlto-0.0.26 avec au moins un des suivants > : fop-1.1, Links-2.9, Lynx-2.8.8rel.2, et w3m-0.5.3 (pour générer le documentation supplémentaire en PDF ou texte pour le paquet libXfont).
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Xorg7Libraries
Tout d'abord, créez une liste des fichieq à télécharger. Ce fichier sera utilisé également pour vérifier l'intégrité des téléchargements après leur accomplissement :
cat > lib-7.7.md5 << "EOF"
c5ba432dd1514d858053ffe9f4737dd8 xtrans-1.3.5.tar.bz2
c35d6ad95b06635a524579e88622fdb5 libX11-1.6.2.tar.bz2
52df7c4c1f0badd9f82ab124fb32eb97 libXext-1.3.3.tar.bz2
a8a0dbd2299b2568d8c919883f5c8501 libFS-1.0.6.tar.bz2
addfb1e897ca8079531669c7c7711726 libICE-1.0.9.tar.bz2
499a7773c65aba513609fe651853c5f3 libSM-1.2.2.tar.bz2
7a773b16165e39e938650bcc9027c1d5 libXScrnSaver-1.2.2.tar.bz2
03149823ae57bb02d0cec90d5b97d56c libXt-1.1.4.tar.bz2
41d92ab627dfa06568076043f3e089e4 libXmu-1.1.2.tar.bz2
769ee12a43611cdebd38094eaf83f3f0 libXpm-3.5.11.tar.bz2
7446f5fba888672aad068b29c0928ba3 libXaw-1.0.12.tar.bz2
b985b85f8b9386c85ddcfe1073906b4d libXfixes-5.0.1.tar.bz2
f7a218dcbf6f0848599c6c36fc65c51a libXcomposite-0.4.4.tar.bz2
2bd9a15fcf64d216e63b8d129e4f1f1c libXrender-0.9.8.tar.bz2
1e7c17afbbce83e2215917047c57d1b3 libXcursor-1.1.14.tar.bz2
0cf292de2a9fa2e9a939aefde68fd34f libXdamage-1.1.4.tar.bz2
ad2919764933e075bb0361ad5caa3d19 libfontenc-1.1.2.tar.bz2
664629bfa7cdf8b984155019fd395dcb libXfont-1.5.0.tar.bz2
331b3a2a3a1a78b5b44cfbd43f86fcfe libXft-2.3.2.tar.bz2
9c4a69c34b19ec1e4212e849549544cb libXi-1.7.4.tar.bz2
9336dc46ae3bf5f81c247f7131461efd libXinerama-1.1.3.tar.bz2
210ed9499a3d9c96e3a221629b7d39b0 libXrandr-1.4.2.tar.bz2
45ef29206a6b58254c81bea28ec6c95f libXres-1.0.7.tar.bz2
25c6b366ac3dc7a12c5d79816ce96a59 libXtst-1.2.2.tar.bz2
e0af49d7d758b990e6fef629722d4aca libXv-1.0.10.tar.bz2
2e4014e9d55c430e307999a6b3dd256d libXvMC-1.0.8.tar.bz2
d7dd9b9df336b7dd4028b6b56542ff2c libXxf86dga-1.1.4.tar.bz2
e46f6ee4f4567349a3189044fe1bb712 libXxf86vm-1.1.3.tar.bz2
ba983eba5a9f05d152a0725b8e863151 libdmx-1.1.3.tar.bz2
1f65be5ffc55641c1846c2f41d180d00 libpciaccess-0.13.3.tar.bz2
19e6533ae64abba0773816a23f2b9507 libxkbfile-1.0.8.tar.bz2
66662e76899112c0f99e22f2fc775a7e libxshmfence-1.2.tar.bz2
EOF
Pour télécharger les fichiers nécessaires en utilisant wget, utilisez les commandes suivantes :
mkdir lib && cd lib && grep -v '^#' ../lib-7.7.md5 | awk '{print $2}' | wget -i- -c \ -B http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/lib/ && md5sum -c ../lib-7.7.md5
Pour l'installation de paquets multiples dans un script, les installations doivent être faites en tant qu'utilisateur root. Il y a trois options générales qui peuvent être utilisées pour faire cela :
Lancer le script entièrement en tant qu'utilisateur root (pas recommandé).
Use the sudo command from the sudo-1.8.12 package.
Use su -c "command arguments" (guillemet requis) qui demandera le mot de passe root à chaque itération de la boucle.
Une façon de gérer cette situation est de créer une petite fonction bash qui sélectionne automatiquement la méthode appropriée. Une fois que la commande est initialisée dans l'environnement, il n'est plus nécessaire de le refaire.
as_root() { if [ $EUID = 0 ]; then $* elif [ -x /usr/bin/sudo ]; then sudo $* else su -c \\"$*\\" fi } export -f as_root
Certaines bibliothèques ont des suites de tests si vous souhaitez les lancer, soit commentez le rm -rf ... suivant, pour que, après que toutes les bibliothèques soient installées, vous puissez aller dans le répertoire correspondant et lancer make check, ou pour des constructions individuelles, lancer les tests pour chacun de ceux distribués avec une suite de tests fonctionnant. Alternatatibement, vous pour décommenter la ligne #make check ..., et à la fin, vérifier les résultats des tests avec:
grep -A9 summary *make_check.log
Les developpeurs de BLFS ont confirmé que libX11, libXt et libxshmfence sont distribuées avec des suites de tests qui fonctionnent.
Tout d'abord, démarrez un sous-shell d'où on sortira en cas d'erreur :
bash -e
Installez toutes les paquets en lançant les commandes suivantes :
for package in $(grep -v '^#' ../lib-7.7.md5 | awk '{print $2}') do packagedir=${package%.tar.bz2} tar -xf $package pushd $packagedir case $packagedir in libXfont-[0-9]* ) ./configure $XORG_CONFIG --disable-devel-docs ;; libXt-[0-9]* ) ./configure $XORG_CONFIG \ --with-appdefaultdir=/etc/X11/app-defaults ;; * ) ./configure $XORG_CONFIG ;; esac make #make check 2>&1 | tee ../$packagedir-make_check.log as_root make install popd rm -rf $packagedir as_root /sbin/ldconfig done
Enfin, quittez le shell démarré tout à l'heure :
exit
--with-fop
> :nbsp;:
Utiliser fop-1.1 pour générer la documentation PDF
(seulement pour le paquet libXfont).
--disable-devel-docs
> :nbsp;:
Désactive la génération de la documentation text dans le
paquet libXfont si xmlto-0.0.26 est installé dans un
navigateur de texte. Omettre ce parametre (ou la condition
case entière)
si un navigateur de text est installé.
Si vous avez choisi d'installer Xorg dans /usr
, aucune configuration supplémentaire
n'est nécessaire et vous pouvez passer le reste de cette
section. Si vous avez opté pour un préfixe alternatif, vous
devriez créer trois liens symboliques pour satisfaire
l'environnement attendu de plusieurs paquets. Exécutez les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root :
ln -sv $XORG_PREFIX/lib/X11 /usr/lib/X11 && ln -sv $XORG_PREFIX/include/X11 /usr/include/X11
$XORG_PREFIX
/include/X11/fonts,
$XORG_PREFIX
/include/X11/Xtrans,
$XORG_PREFIX
/share/doc/libFS,
$XORG_PREFIX
/share/doc/libICE,
$XORG_PREFIX
/share/doc/libSM,
$XORG_PREFIX
/share/doc/libX11,
$XORG_PREFIX
/share/doc/libXaw,
$XORG_PREFIX
/share/doc/libXext,
$XORG_PREFIX
/share/doc/libXi,
$XORG_PREFIX
/share/doc/libXmu,
$XORG_PREFIX
/share/doc/libXrender,
$XORG_PREFIX
/share/doc/libXt,
$XORG_PREFIX
/share/doc/libXtst,
$XORG_PREFIX
/share/doc/libXvMC,
$XORG_PREFIX
/share/doc/xtrans
et $XORG_PREFIX
/share/X11/locale
vérifie le format d'un fichier XPM. |
|
affiche un fichier XPM et/ou convertit des fichiers XPM 1 ou 2 en XPM 3. |
|
est la bibliothèque d'extension X Window System DMX (Distributed Multihead X). |
|
est la bibliothèque d'encodage des polices X11. |
|
est l'interface de la bibliothèque pour le server de police X. |
|
est la bibliothèque X Inter Clients Exchange. |
|
est la bibliothèque pour l'accès PCI générique pour X. |
|
est la bibliothèque de gestion d'une session X. |
|
est la bibliothèque Xlib. |
|
est la bibliothèque X Athena Widgets, version 6. |
|
est la bibliothèque X Athena Widgets, version 7. |
|
sont des liens symboliques vers la bibliothèque actuelle X Athena Widgets, version 7. |
|
est la bibliothèque X Composite. |
|
est la bibliothèque de gestion du curseur X. |
|
est la bibliothèque X Damage. |
|
est la bibliothèque Misc X Extension. |
|
fournit des versions supérieures des requêtes du coeur du procole. |
|
est la bibliothèque de polices X. |
|
est la bibliothèque interface de X FreeType. |
|
est la bibliothèque Xinerama. |
|
est la bibliothèque d'extension X Input. |
|
est la bibliothèque xkbfile. |
|
est la bibliothèque d'interface X pour des utilitaires supplémentaires qui ne font pas parti de la Xlib standard. |
|
est la bibliothèque Mini Xmu. |
|
est la bibliothèque X Pixmap. |
|
est la bibliothèque d'extension de X pour le redimensionnement, la rotation et la symétrie. |
|
est la bibliothèque X de rendu. |
|
est la bibliothèque du client d'extension des ressources X. |
|
place un événement de API au dessus du Linux futexes. |
|
est la bibliothèque d'extension du client X11 de l'économiseur d'écran. |
|
est la bibliothèquee X Toolkit. |
|
est la bibliothèque Xtst. |
|
est la bibliothèque de compensation de mouvement de X-Video. |
|
est l'enveloppe XvMC incluant l'extension VLD non standard. |
|
est la bibliothèque d'extension du système X Window. |
|
est la bibliothèque du client pour l'extension XFree86-DGA. |
|
est la bibliothèque du client pour l'extension XFree86-VidMode X. |
Last updated on : 2013-01-19 20:08:57 +010
Le paquet xcb-util fournit des extensions supplémentaires de la bibliothèque XCB dont beaucoup se trouvaient auparavant dans Xlib, mais elles ne font pas partie du cœur du protocole X.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xcb.freedesktop.org/dist/xcb-util-0.4.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2e97feed81919465a04ccc71e4073313
Taille du téléchargement : 292 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.6 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xcb-util
Installez xcb-util en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 00:11:43 +010
Le paquet xcb-util-image fournit des extensions supplémentaires à la bibliothèque XCB.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xcb.freedesktop.org/dist/xcb-util-image-0.4.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 08fe8ffecc8d4e37c0ade7906b3f4c87
Taille du téléchargement : 324 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.2 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xcb-util-image
Installez xcb-util-image en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Pour tester le résultat, tapez : LD_LIBRARY_PATH=$XORG_PREFIX/lib make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-06 04:05:17 +010
Le paquet xcb-util-keysyms contient une bibliothèque pour gérer les touches constantes du standard X et la conversion de/vers les codes de touches.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xcb.freedesktop.org/dist/xcb-util-keysyms-0.4.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1022293083eec9e62d5659261c29e367
Taille du téléchargement : 284 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.2 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xcb-util-keysyms
Installez xcb-util-keysyms en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Pour tester le résultat, tapez : LD_LIBRARY_PATH=$XORG_PREFIX/lib make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2013-06-16 14:23:21 +0200
Le paquet xcb-util-renderutil fournit des extensions supplémentaires à la bibliothèque XCB.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xcb.freedesktop.org/dist/xcb-util-renderutil-0.3.9.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 468b119c94da910e1291f3ffab91019a
Taille du téléchargement : 288 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.4 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xcb-util-renderutil
Installez xcb-util-renderutil en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-06 04:05:17 +010
Le paquet xcb-util-wm contient des bibliothèques qui fournissent un client et une fenêtre d'aide pour EWMH et ICCCM.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xcb.freedesktop.org/dist/xcb-util-wm-0.4.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 87b19a1cd7bfcb65a24e36c300e03129
Taille du téléchargement : 316 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.3 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xcb-util-wm
Installez xcb-util-wm en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Pour tester le résultat, tapez : LD_LIBRARY_PATH=$XORG_PREFIX/lib make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2013-06-16 14:23:21 +0200
Mesa est une bibliothèque graphique compatible OpenGL 3D.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.freedesktop.org/pub/mesa/10.4.5/MesaLib-10.4.5.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : fd44bf89d48d1744591d9dbe0ce1d54e
Taille du téléchargement : 7.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 214 Mo (additional 2 Mo for the docs)
Estimation du temps de construction : 5.3 SBU
Correctif recommandé: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/MesaLib-10.4.5-add_xdemos-1.patch (installes 2 programmes de démo pour tester - pas utile si vous isntallez le paquet mesa-demos )
Xorg Libraries, libdrm-2.4.59, et Python-2.7.9
elfutils-0.161 (requis pour le pilote Gallium3D radeonsi), libvdpau-0.9 (pour construire les pilotes VDPAU), llvm-3.5.1 (requis pour Gallium3D r300 et les pilotes de radeonsi et aussi pour llvmpipe qui est connu pour être le plus rapide des trois rasteriseurs, regardez http://www.mesa3d.org/faq.html#part3
mesa-demos fournit plus de 300 démos supplémentaires pour tester MesaLib; ce qui inclu les mêmes programme ajoutés par le correctif) et Wayland
Les instructions qui suivent considèrent que elfutils et LLVM sont installés. Vous devrez modifier les instructions si vous choisissez de ne pas les installer Merci de noter que elfutils et LLVM sont requis pour les pilotes Gallium3D r300 et Radeon. Pour une explication de gallium merci de regarder https://en.wikipedia.org/wiki/Gallium3D.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mesalib
Sans autres paquets, l'archive MesaLib-10.4.5.tar.bz2
sera extraite dans
le repertoire Mesa-10.4.5
.
Si vous avez téléchargé le correctif xdemos (Nécessaire pour tester l'installation de Xorg par les instructions de BLFS). appliquez le en lançant les commandes suivantes:
patch -Np1 -i ../MesaLib-10.4.5-add_xdemos-1.patch
Installez MesaLib en lançant les commandes suivantes :
autoreconf -f -i && ./configure CFLAGS='-O2' CXXFLAGS='-O2' \ --prefix=$XORG_PREFIX \ --sysconfdir=/etc \ --enable-texture-float \ --enable-gles1 \ --enable-gles2 \ --enable-osmesa \ --enable-xa \ --enable-gbm \ --enable-glx-tls \ --with-egl-platforms="drm,x11" \ --with-gallium-drivers="nouveau,r300,r600,radeonsi,svga,swrast" && make
Si vous avez appliqué le correctif xdemos, construisez les programmes de démo en lançant la commande suivante:
make -C xdemos DEMOS_PREFIX=$XORG_PREFIX
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez construit les programmes de démo, installez les
en lançant la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
make -C xdemos DEMOS_PREFIX=$XORG_PREFIX install
Si vous le souhaitez, installez les documentations
facultatives en lançant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -dm755 /usr/share/doc/MesaLib-10.4.5 && cp -rfv docs/* /usr/share/doc/MesaLib-10.4.5
CFLAGS="-O2"
CXXFLAGS="-O2"
: Par défaut, Autoconf initialise CFLAGS et CXXFLAGS à
"-g -O2". Ce qui fait que les binaires et les bibliothèques
sont construits avec les symboles de déboguage ce qui fait
qu'ils sont plus lourd. Ecrasez les drapeaux par défauts pour
omettre le drapeau -g du compilateur pour avoir au final des
bibliothèques plus légeres.
--enable-texture-float
:
Ce paramètre active les textures et les tampons d'affichage
de points flottants. Merci de consulter docs/patents.txt
pour voir s un problème
légal existe en cas d'utilisation de cette fonctionnalité.
--enable-gles1
:
Ce paramètre active le support de l'API d'OpenGL ES 1.x.
--enable-gles2
:
Ce paramètre active le support de l'API d'OpenGL ES 2.x.
--enable-osmesa
: Ce
paramètre active la construction de la bibliothèque
libOSMesa
.
--enable-xa
: Ce
paramètre active la construction de l'API d'accélération XA X
(Requise pour le pilote 3D de VMware).
--enable-gbm
:
Ce paramètre active la construction de la bibliothèque de
Mesa Graphics Buffer
Manager.
--enable-glx-tls
: Ce
paramètre active le support TLS ((Thread Local Storage) dans
GLX.
--with-egl-platforms="..."
:
Ce paramètre contrôle pour quel plate-forme EGL doit être
construit. Les plate-formes disponibles sont drm, x11 et
wayland.
--with-gallium-drivers="..."
:
Ce paramètre contrôle quels sont les pilotes Gallium3D qui
doivent être construits. Les pilotes disponibles sont !
i915, ilo,nouveau, r300, radeonsi, svga et swrast. Vous devez
effacer r300, r600 et radeonsi de la liste si vous
n'installez pas elfutils et
LLVM.
--enable-r600-llvm-compiler
:
Utilisez ce paramètre pour activer le serveur LLVM de R600 pour les surfaces
graphiques qui réclament d'accélerer le pilote.
--enable-sysfs
: Utilisez ce
paramètre pour activer la méthode d'identification simple de
PCI, demdné pour construire le DRI sur les systèmes dans
udev.
est une démo GL utile pour dépanner des problèmes graphiques. |
|
est un programme de diagnostique affichant des informations sur le matériel graphique et les bibliothèques GL installées. |
|
fournit nativement un interface de plate-forme graphique qui est définie avec les spécifications EGL-1.4. |
|
est la bibliothèque de gestion du tampon graphique de Mesa. |
|
est la bibliothèque OpenGL ES 1.1 de Mesa. |
|
est la bibliothèque OpenGL ES 2.0 de Mesa. |
|
est la bibliothèque principale OpenGL de Mesa . |
|
est la bibliothèque de rendu hors-ligne de Mesa. |
|
est la bibliothèque d'accélération de Xorg Gallium3D. |
Last updated on : 2013-03-06 04:05:17 +010
Le paquet xbitmaps contient des images bitmap utilisés par de nombreuses applications.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/data/xbitmaps-1.1.1.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/data/xbitmaps-1.1.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7444bbbd999b53bec6a60608a5301f4c
Taille du téléchargement : 116 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 855 Ko
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xbitmaps
Installez xbitmaps en lançant les commandes suivantes
./configure $XORG_CONFIG
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
$XORG_PREFIX
/include/X11/bitmaps
Last updated on : 2013-03-06 04:05:17 +010
Les applications Xorg fournissent les applications attendus disponibles dans les implémentations précédentes de X Window.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/app/
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/app/
Taille du téléchargement: 4.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 51 Mo
Estimation du temps de construction : 1.9 SBU
libpng-1.6.16, MesaLib-10.4.5, xbitmaps-1.1.1, et xcb-util-0.4.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Xorg7Applications
Tout d'abord, créez une liste des fichieq à télécharger. Ce fichier sera utilisé également pour vérifier l'intégrité des téléchargements après leur accomplissement :
cat > app-7.7.md5 << "EOF"
53a48e1fdfec29ab2e89f86d4b7ca902 bdftopcf-1.0.5.tar.bz2
25dab02f8e40d5b71ce29a07dc901b8c iceauth-1.0.7.tar.bz2
c4a3664e08e5a47c120ff9263ee2f20c luit-1.1.1.tar.bz2
18c429148c96c2079edda922a2b67632 mkfontdir-1.0.7.tar.bz2
9bdd6ebfa62b1bbd474906ac86a40fd8 mkfontscale-1.1.2.tar.bz2
e238c89dabc566e1835e1ecb61b605b9 sessreg-1.1.0.tar.bz2
1001771344608e120e943a396317c33a setxkbmap-1.3.0.tar.bz2
edce41bd7562dcdfb813e05dbeede8ac smproxy-1.0.5.tar.bz2
5c3c7431a38775caaea6051312a49bc9 x11perf-1.5.4.tar.bz2
7d6003f32838d5b688e2c8a131083271 xauth-1.0.9.tar.bz2
0066f23f69ca3ef62dcaeb74a87fdc48 xbacklight-1.2.1.tar.bz2
5812be48cbbec1068e7b718eec801766 xcmsdb-1.0.4.tar.bz2
b58a87e6cd7145c70346adad551dba48 xcursorgen-1.0.6.tar.bz2
cacc0733f16e4f2a97a5c430fcc4420e xdpyinfo-1.3.1.tar.bz2
3d3cad4d754e10e325438193433d59fd xdriinfo-1.0.4.tar.bz2
5b0a0b6f589441d546da21739fa75634 xev-1.2.1.tar.bz2
c06067f572bc4a5298f324f27340da95 xgamma-1.0.5.tar.bz2
f1669af1fe0554e876f03319c678e79d xhost-1.0.6.tar.bz2
305980ac78a6954e306a14d80a54c441 xinput-1.6.1.tar.bz2
0012a8e3092cddf7f87b250f96bb38c5 xkbcomp-1.3.0.tar.bz2
37ed71525c63a9acd42e7cde211dcc5b xkbevd-1.1.3.tar.bz2
502b14843f610af977dffc6cbf2102d5 xkbutils-1.0.4.tar.bz2
0ae6bc2a8d3af68e9c76b1a6ca5f7a78 xkill-1.0.4.tar.bz2
9d0e16d116d1c89e6b668c1b2672eb57 xlsatoms-1.1.1.tar.bz2
9fbf6b174a5138a61738a42e707ad8f5 xlsclients-1.1.3.tar.bz2
2dd5ae46fa18abc9331bc26250a25005 xmessage-1.0.4.tar.bz2
5511da3361eea4eaa21427652c559e1c xmodmap-1.0.8.tar.bz2
6101f04731ffd40803df80eca274ec4b xpr-1.0.4.tar.bz2
fae3d2fda07684027a643ca783d595cc xprop-1.2.2.tar.bz2
441fdb98d2abc6051108b7075d948fc7 xrandr-1.4.3.tar.bz2
b54c7e3e53b4f332d41ed435433fbda0 xrdb-1.1.0.tar.bz2
a896382bc53ef3e149eaf9b13bc81d42 xrefresh-1.0.5.tar.bz2
dcd227388b57487d543cab2fd7a602d7 xset-1.2.3.tar.bz2
7211b31ec70631829ebae9460999aa0b xsetroot-1.1.1.tar.bz2
1fbd65e81323a8c0a4b5e24db0058405 xvinfo-1.1.2.tar.bz2
6b5d48464c5f366e91efd08b62b12d94 xwd-1.0.6.tar.bz2
b777bafb674555e48fd8437618270931 xwininfo-1.1.3.tar.bz2
3025b152b4f13fdffd0c46d0be587be6 xwud-1.0.4.tar.bz2
EOF
Puis téléchargez les fichiers nécessaires en utilisant wget, utilisez les commandes suivantes :
mkdir app && cd app && grep -v '^#' ../app-7.7.md5 | awk '{print $2}' | wget -i- -c \ -B http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/app/ && md5sum -c ../app-7.7.md5
Pour l'installation de paquets multiples dans un script, les installations doivent être faites en tant qu'utilisateur root. Il y a trois options générales qui peuvent être utilisées pour faire cela :
Lancer le script entièrement en tant qu'utilisateur root (pas recommandé).
Use the sudo command from the sudo-1.8.12 package.
Use su -c "command arguments" (guillemet requis) qui demandera le mot de passe root à chaque itération de la boucle.
Une façon de gérer cette situation est de créer une petite fonction bash qui sélectionne automatiquement la méthode appropriée. Une fois que la commande est initialisée dans l'environnement, il n'est plus nécessaire de le refaire.
as_root() { if [ $EUID = 0 ]; then $* elif [ -x /usr/bin/sudo ]; then sudo $* else su -c \\"$*\\" fi } export -f as_root
Pour l'installation de paquets multiples dans un script, les installations doivent être faites en tant qu'utilisateur root. Il y a trois options générales qui peuvent être utilisées pour faire cela :
Lancer le script entièrement en tant qu'utilisateur root (pas recommandé).
Use the sudo command from the sudo-1.8.12 package.
Use su -c "command arguments" (guillemet requis) qui demandera le mot de passe root à chaque itération de la boucle.
Une façon de gérer cette situation est de créer une petite fonction bash qui sélectionne automatiquement la méthode appropriée. Une fois que la commande est initialisée dans l'environnement, il n'est plus nécessaire de le refaire.
as_root() { if [ $EUID = 0 ]; then $* elif [ -x /usr/bin/sudo ]; then sudo $* else su -c \\"$*\\" fi } export -f as_root
Tout d'abord, démarrez un sous-shell d'où on sortira en cas d'erreur :
bash -e
Installez toutes les paquets en lançant les commandes suivantes :
for package in $(grep -v '^#' ../app-7.7.md5 | awk '{print $2}') do packagedir=${package%.tar.bz2} tar -xf $package pushd $packagedir case $packagedir in luit-[0-9]* ) line1="#ifdef _XOPEN_SOURCE" line2="# undef _XOPEN_SOURCE" line3="# define _XOPEN_SOURCE 600" line4="#endif" sed -i -e "s@#ifdef HAVE_CONFIG_H@$line1\n$line2\n$line3\n$line4\n\n&@" sys.c unset line1 line2 line3 line4 ;; esac ./configure $XORG_CONFIG make as_root make install popd rm -rf $packagedir done
Enfin, quittez le shell démarré tout à l'heure :
exit
convertit une police X du format Bitmap Distribution au format Portable Compiled. |
|
est l'outil du fichier d'autorisation ICE. |
|
fourni le locale et le support ISO 2022 pour les terminaux Unicode. |
|
crée un index des fichiers de police X d'un répertoire. |
|
crée un index des fichiers de polices échelonnables pour X. |
|
gère des entrées utmp/wtmp pour des clients non-init. |
|
règle le clavier en utilisant l'extension clavier de X. |
|
est le proxy gestionnaire de sessions. |
|
est un programme de test des performances du serveur X11 program. |
|
est un programme de comparaison des performances du serveur X11 program. |
|
est l'outil du fichier d'autorisation de X. |
|
ajuste la luminosité du fond en utilisant l'extension de RandR. |
|
est l'outil de caractérisation de couleur du périphérique pour le système de gestion de couleurs de X. |
|
crée un fichier de curseur X à partir d'un ensemble d'images PNG. |
|
envoie une fenêtre X directement sur une imprimante. |
|
est un outil d'information sur l'affichage pour X. |
|
cherche des informations de configuration sur les pilotes DRI. |
|
affiche le contenu des événements X. |
|
modifie une connecteur gamma du moniteur à travers le serveur X. |
|
est un programme de contrôle d'accès au serveur pour X. |
|
est un utilitaire pour configurer et tester les périphériques d'entrée de X. |
|
est un outil XKB émet un événement sonore. |
|
compile une description de clavier XKB. |
|
est le démon d'événement XKB. |
|
affiche le statut XKB des LEDs du clavier. |
|
surveille les touches modificatrices et les LEDs. |
|
tue un client par sa ressource X. |
|
liste les atomes internes définis sur le serveur. |
|
liste les applications client en fonction sur un afficheur. |
|
affiche un message ou une demande dans une fenêtre. |
|
est un outil pour modifier des plans de clavier et les plans des boutons du pointeur dans X. |
|
affiche un dump de X window. |
|
est un affich1ur de propriétés pour X. |
|
est une interface primaire en ligne de commande avec l'extension RandR. |
|
est la base de données de ressources du serveur X. |
|
rafraîchit tout ou partie d'un écran X. |
|
est l'outil de préférences utilisateur de X. |
|
est le paramétreur des paramètres de la fenêtre racine pour X. |
|
affiche les informations de l'adaptateur de l'extension X-Video. |
|
envoie l'image d'une fenêtre X. |
|
est un outil d'informations pour X. |
|
est un afficheur d'image pour X. |
Last updated on : 2012-10-10 23:35:16 +020
Le paquet xcursor-themes contient les thèmes de curseur animé transparents rouges et blancs (redglass et whiteglass).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/data/xcursor-themes-1.0.4.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/data/xcursor-themes-1.0.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : fdfb0ad9cfceed60e3bfe9f18765aa0d
Taille du téléchargement : 2.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 12.3 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xcursor-themes
Installez xcursor-themes en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
$XORG_PREFIX
/share/icons/handhelds,
$XORG_PREFIX
/share/icons/redglass et
$XORG_PREFIX
/share/icons/whiteglass
Last updated on 2011-12-06 20:16:56 +0100
Les paquets de polices Xorg offrent les polices nécessaires aux applications Xorg.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/font/
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/font/
Taille du téléchargement : 15.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 278 Mo
Estimation du temps de construction : 2.3 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Xorg7Fonts
Tout d'abord, créez une liste des fichieq à télécharger. Ce fichier sera utilisé également pour vérifier l'intégrité des téléchargements après leur accomplissement :
cat > font-7.7.md5 << "EOF"
ddfc8a89d597651408369d940d03d06b font-util-1.3.0.tar.bz2
0f2d6546d514c5cc4ecf78a60657a5c1 encodings-1.0.4.tar.bz2
1347c3031b74c9e91dc4dfa53b12f143 font-adobe-100dpi-1.0.3.tar.bz2
6c9f26c92393c0756f3e8d614713495b font-adobe-75dpi-1.0.3.tar.bz2
66fb6de561648a6dce2755621d6aea17 font-adobe-utopia-100dpi-1.0.4.tar.bz2
e99276db3e7cef6dccc8a57bc68aeba7 font-adobe-utopia-75dpi-1.0.4.tar.bz2
fcf24554c348df3c689b91596d7f9971 font-adobe-utopia-type1-1.0.4.tar.bz2
6d25f64796fef34b53b439c2e9efa562 font-alias-1.0.3.tar.bz2
cc0726e4a277d6ed93b8e09c1f195470 font-arabic-misc-1.0.3.tar.bz2
9f11ade089d689b9d59e0f47d26f39cd font-bh-100dpi-1.0.3.tar.bz2
565494fc3b6ac08010201d79c677a7a7 font-bh-75dpi-1.0.3.tar.bz2
c8b73a53dcefe3e8d3907d3500e484a9 font-bh-lucidatypewriter-100dpi-1.0.3.tar.bz2
f6d65758ac9eb576ae49ab24c5e9019a font-bh-lucidatypewriter-75dpi-1.0.3.tar.bz2
e8ca58ea0d3726b94fe9f2c17344be60 font-bh-ttf-1.0.3.tar.bz2
53ed9a42388b7ebb689bdfc374f96a22 font-bh-type1-1.0.3.tar.bz2
6b223a54b15ecbd5a1bc52312ad790d8 font-bitstream-100dpi-1.0.3.tar.bz2
d7c0588c26fac055c0dd683fdd65ac34 font-bitstream-75dpi-1.0.3.tar.bz2
5e0c9895d69d2632e2170114f8283c11 font-bitstream-type1-1.0.3.tar.bz2
e452b94b59b9cfd49110bb49b6267fba font-cronyx-cyrillic-1.0.3.tar.bz2
3e0069d4f178a399cffe56daa95c2b63 font-cursor-misc-1.0.3.tar.bz2
0571bf77f8fab465a5454569d9989506 font-daewoo-misc-1.0.3.tar.bz2
6e7c5108f1b16d7a1c7b2c9760edd6e5 font-dec-misc-1.0.3.tar.bz2
bfb2593d2102585f45daa960f43cb3c4 font-ibm-type1-1.0.3.tar.bz2
a2401caccbdcf5698e001784dbd43f1a font-isas-misc-1.0.3.tar.bz2
cb7b57d7800fd9e28ec35d85761ed278 font-jis-misc-1.0.3.tar.bz2
143c228286fe9c920ab60e47c1b60b67 font-micro-misc-1.0.3.tar.bz2
96109d0890ad2b6b0e948525ebb0aba8 font-misc-cyrillic-1.0.3.tar.bz2
6306c808f7d7e7d660dfb3859f9091d2 font-misc-ethiopic-1.0.3.tar.bz2
e3e7b0fda650adc7eb6964ff3c486b1c font-misc-meltho-1.0.3.tar.bz2
c88eb44b3b903d79fb44b860a213e623 font-misc-misc-1.1.2.tar.bz2
56b0296e8862fc1df5cdbb4efe604e86 font-mutt-misc-1.0.3.tar.bz2
e805feb7c4f20e6bfb1118d19d972219 font-schumacher-misc-1.1.2.tar.bz2
6f3fdcf2454bf08128a651914b7948ca font-screen-cyrillic-1.0.4.tar.bz2
beef61a9b0762aba8af7b736bb961f86 font-sony-misc-1.0.3.tar.bz2
948f2e07810b4f31195185921470f68d font-sun-misc-1.0.3.tar.bz2
829a3159389b7f96f629e5388bfee67b font-winitzki-cyrillic-1.0.3.tar.bz2
3eeb3fb44690b477d510bbd8f86cf5aa font-xfree86-type1-1.0.4.tar.bz2
EOF
Pour télécharger les polices de Xorg en utilisant wget, utilisez les commandes suivantes :
mkdir font && cd font && grep -v '^#' ../font-7.7.md5 | awk '{print $2}' | wget -i- -c \ -B http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/font/ && md5sum -c ../font-7.7.md5
Pour l'installation de paquets multiples dans un script, les installations doivent être faites en tant qu'utilisateur root. Il y a trois options générales qui peuvent être utilisées pour faire cela :
Lancer le script entièrement en tant qu'utilisateur root (pas recommandé).
Use the sudo command from the sudo-1.8.12 package.
Use su -c "command arguments" (guillemet requis) qui demandera le mot de passe root à chaque itération de la boucle.
Une façon de gérer cette situation est de créer une petite fonction bash qui sélectionne automatiquement la méthode appropriée. Une fois que la commande est initialisée dans l'environnement, il n'est plus nécessaire de le refaire.
as_root() { if [ $EUID = 0 ]; then $* elif [ -x /usr/bin/sudo ]; then sudo $* else su -c \\"$*\\" fi } export -f as_root
Tout d'abord, démarrez un sous-shell d'où on sortira en cas d'erreur :
bash -e
Installez toutes les paquets en lançant les commandes suivantes :
for package in $(grep -v '^#' ../font-7.7.md5 | awk '{print $2}') do packagedir=${package%.tar.bz2} tar -xf $package pushd $packagedir ./configure $XORG_CONFIG make as_root make install popd as_root rm -rf $packagedir done
Enfin, quittez le shell démarré tout à l'heure :
exit
Quand toutes les polices ont été installées, Le système doit
être configuré pour que Fontconfig puisse trouver les polices
TrueType fonts qui sont enregistrées en dehors du chemin de
recherche par défaut /usr/share/fonts
. Faîtes des liens
symboliques dans les répertoires de polices TrueType de
Xorg en lançant les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
install -v -d -m755 /usr/share/fonts && ln -svfn $XORG_PREFIX/share/fonts/X11/OTF /usr/share/fonts/X11-OTF && ln -svfn $XORG_PREFIX/share/fonts/X11/TTF /usr/share/fonts/X11-TTF
$XORG_PREFIX
/share/fonts
Last updated on : 2012-10-10 23:35:16 +020
Le paquet XKeyboardConfig contient la base de données de configuration du clavier pour le système X Window.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/data/xkeyboard-config/xkeyboard-config-2.14.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/data/xkeyboard-config/xkeyboard-config-2.14.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2869c03d85b606f929aab054ef6e1b60
Taille du téléchargement : 931 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xkeyboard-config
Installez XKeyboardConfig en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG --with-xkb-rules-symlink=xorg && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-xkb-rules-symlink=xorg
:
Par défaut, les règles XKB installées sont nommées "base".
Ceci crée des liens symboliques appelés "xorg" vers ces
règles, ce qui est le nom par défaut utilisé par Xorg.
$XORG_PREFIX
/share/X11/xkb
Last updated on : 2012-12-30 23:17:40 +010
Le serveur Xorg est le cœur du système X Window.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/xserver/xorg-server-1.17.1.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/xserver/xorg-server-1.17.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5986510d59e394a50126a8e2833e79d3
Taille du téléchargement : 5.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 410 Mo
Estimation du temps de construction : 1.6 SBU
OpenSSL-1.0.2 ou nettle-2.7.1 ou libgcrypt-1.6.2, pixman-0.32.6, Xorg Fonts et xkeyboard-config-2.14
libepoxy-1.2 (requise pour glamor, voir l'explication des commandes dessous) xcb-util-keysyms-0.4.0 (utilisé par Xnest)
acpid-2.0.23 (exécution), Doxygen-1.8.9.1 (pour construire la documentation), fop-1.1, (pour construire la documentation), GPL-Ghostscript-9.15 (pour construire la documentation) xcb-util-image-0.4.0, xcb-util-renderutil-0.3.9, xcb-util-wm-0.4.1 (tous les trois pour construire Xephyr) et xmlto-0.0.26, (pour construire la documentation)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Xorg7Server
Si vous avez chargé le premier correctif facultatif, appliquez le en lançant la commande suivante :
Le pilote vidéo modesetting est maintenant inclus dans l'archive (depuis la version 1.17). Il est nécessaire de le corriger pour les machines 32 bits et pour les cartes qui ne supportent pas un pointeur de souris matériel. Si vous prévoyez d'utiliser le pilote vidéo modesetting, lancez la commande suivante:
patch -Np1 -i ../xorg-server-1.17.1-add_prime_support-1.patch
Installez le serveur en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../xorg-server-1.17.1-fix_modesetting-1.patch
./configure $XORG_CONFIG \ --enable-glamor \ --enable-install-setuid \ --enable-suid-wrapper \ --disable-systemd-logind \ --with-xkb-output=/var/lib/xkb && make
Pour tester la construction, tapez : make check.
Maintenant en tant qu'utilisateur root
:
make install &&
mkdir -pv /etc/X11/xorg.conf.d &&
cat >> /etc/sysconfig/createfiles << "EOF"
/tmp/.ICE-unix dir 1777 root root
/tmp/.X11-unix dir 1777 root root
EOF
--enable-glamor
:
construit le module Glamor DIX (Device Independent X) qui est
actuellement requis pour les processeurs graphiques Southern
Islands et Sea Islands radeon , facultatif pour les autres
radeons, et également facultatif pour les autres pilotes
intel.
--enable-install-setuid
:
Le binaire Xorg doit se lancer en tant qu'utilisateur root.
Ce paramètre assure que le binaire est installé avec setuid
quand make est
lancé par un utilisateur non privilégié.
--enable-suid-wrapper
:
construit l'enveloppe suid-root pour l'héritage du support
des pilotes sur les systèmes xserver sans utilisateur root.
--disable-systemd-logind
: Ne
construit pas le support systemd-logind, sinon, une erreur
(EE), loguée dans /var/log/Xorg.0.log
, apparaît au démarrage
du serveur X. Systemd n'est pas supporté par BLFS.
cat >>
/etc/sysconfig/createfiles... : Cette
commande crée les répertoires /tmp/.ICE-unix
et /tmp/.X11-unix
au démarrage et garantit que
les droits et l'appartenance soient conformes aux exigences
du serveur.
--enable-dmx
: construit le
serveur DMX (Distributed Multihead X).
--enable-kdrive
: Cette option
permet au script configure d'activer Xephyr
si ses dépendances sont présentes.
calcule les lignes du mode VESA CVT. |
|
sont divers outils pour manipuler le serveur dmx. |
|
calcule les lignes du mode VESA GTF. |
|
est un outil pour convertir des fichiers de config VDL en fichiers d config DMX. |
|
est un lien symbolique vers Xorg. |
|
est un serveur X imbriqué avec un support des extensions X modernes. |
|
est un serveur X nesté. |
|
est le serveur X X11R7. |
|
est le framebuffer virtuel du serveur X pour X Version 11. |
|
est un outil de configuration graphique pour le serveur dmx. |
|
fournit un pilote vidéo pour les machines utilisant le "Kernel Mode Setting" (KMS). Cela utilisera glamor s'il a été activé et le matériel offre l'accélération. |
Last updated on : 2013-01-26 01:40:55 +010
La page des Pilote Xorg contient les instructions pour construire les pilotes xorg qui sont nécessaires au serveur Xorg pour exploiter les avantages du matériel qui est en fonctionnement. Au moins une entrée et un pilote vidéo sont requis pour que le serveur Xorg démarre.
sur les machines utilisant KMS, le pilote modesetting est fourni par xorg-server et peut être utilisé à la place du pilote vidéo pour des matériels spécifiques, mais avec une réduction des performances. Il peut être également utilisé (sans l'accélération matérielle) dans les machines virtuelles fonctionnant sous qemu.
Si vous connaissez le matériel vidéo que vous avez, vous pouvez utiliser lspci de PCI Utils-3.3.0 pour trouver le matériel vidéo que vous avez et ensuite regarder la description des paquets pour trouver le pilote dont vous avez besoin.
En supplément des pilotes listés, il y a plusieurs autres pilotes pour des matériels très anciens qui peuvent rester utiles. Les instructions pour construire ces pilotes non-maintenu peuvent être trouvé dans une version précédente de BLFS: http://www.fr.linuxfromscratch.org/view/blfs-7.6.fr/x/x7driver.html
Le paquet Libevdev contient des fonctions courantes pour les pilotes de saisie de Xorg.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.freedesktop.org/software/libevdev/libevdev-1.3.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 80c7b490bf3e7ec8e8b60d4fb307b664
Taille du téléchargement : 388 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.1 Mo (avec les tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU (0.3 SBU avec les tests)
check-0.9.14, Doxygen-1.8.9.1, et Valgrind-3.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xorg-evdev-driver
Activez les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyau si nécessaire:
Device Drivers --->
Input device support --->
<*> Generic input layer (needed for...) [CONFIG_INPUT]
<*> Event interface [CONFIG_INPUT_EVDEV]
[*] Miscellaneous devices ---> [CONFIG_INPUT_MISC]
<*> User level driver support [CONFIG_INPUT_UINPUT]
Si Valgrind-3.10.1 est installé et que les tests doivent être lancés, corrigez un problème des tests:
cat >> test/valgrind.suppressions << "EOF" { <timer_create@@GLIBC_2.3.3-2> Memcheck:Param timer_create(evp) fun:timer_create@@GLIBC_2.3.3 fun:check_get_clockid fun:srunner_run fun:main } EOF
Installez Libevdev en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Si vous avez installé le paquet facultatif check-0.9.14, les
tests de regression peuvent être lancés en tant
qu'utilisateur root
avec
make check
.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Le paquet Xorg Evdev Driver contient un pilote de saisie générique Linux pour le serveur X de Xorg. Il gére les périphériques clavier, souris, touchpads et wacom, cependant pour une gestion avancée du touchpad et des tablettes wacom, des pilotes supplémentaires sont requis.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/driver/xf86-input-evdev-2.9.1.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/driver/xf86-input-evdev-2.9.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8f73a98e32dccc9d054b54727cc4093f
Taille du téléchargement : 380 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.6 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Libevdev-1.3.2 et Xorg-Server-1.17.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xorg-evdev-driver
Installez Xorg Evdev Driver en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Le paquet Xorg Synaptics Driver contient le pilote d'entrée X.Org, les programmes de support et le SDK pour les touchpads de Synaptics. Même si le pilote evdev peut gérer les touchpads correctement, ce pilote est requis si vous souhaitez utiliser des fonctions avancées comme le multi-tapping, le scrolling avec le touchpad, éteindre le touchpad pendant que vous tapez, etc ..
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/driver/xf86-input-synaptics-1.8.1.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/driver/xf86-input-synaptics-1.8.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ed70d0cba94262a4008dcef654ab34a9
Taille du téléchargement : 468 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5.5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Libevdev-1.3.2, et Xorg-Server-1.17.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xorg-synaptics-driver
Installez Xorg Synaptics Driver en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Le paquet Xorg VMMouse Driver contient le pilote d'entrée VMMouse pour le server X de Xorg. Le pilote VMMouse active le support pour des protocoles spéciaux de VMMouse qui sont fournis par les machines virtuelles pour avoir une position absolue du pointeur.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/driver/xf86-input-vmmouse-13.0.0.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/driver/xf86-input-vmmouse-13.0.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 34f9f64ee6a1a51fc8266a9af24e1e07
Taille du téléchargement : 308 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.9 Mo
Estimation du temps de construction : less than 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xorg-vmmouse-driver
Installez Xorg VMMouse Driver en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../xf86-input-vmmouse-13.0.0-build_fix-1.patch && sed -i -e '/__i386__/a iopl(3);' tools/vmmouse_detect.c && ./configure $XORG_CONFIG \ --without-hal-fdi-dir \ --without-hal-callouts-dir \ --with-udev-rules-dir=/lib/udev/rules.d && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i -e '/__i386__/a iopl(3);' ...: Cette commande permet à vmmouse_detect de détecter le protocole VMMouse dans une machine virtuelle Qemu.
--with-udev-rules-dir=/lib/udev/rules.d
: Ce paramètre spécifie ou les rêgles udev doivent être
isntallées.
--without-hal-*-dir
: Ce
paramètre désactive l'installation des composants de
HAL qui ne sont pas utile
avec Linux.
Le paquet Xorg Wacom Driver contient le pilote X11 de X.Org et le SDK pour les tablettes Wacom et similaire. Il n'est pas requis pour utiliser une tablette Wacom, le pilote xf86-input-evdev peut gérer ces périphériques sans problèmes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7 mais n'a pas été testé.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/linuxwacom/xf86-input-wacom-0.28.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c60552cf34cef2d89a072bd7fe46da76
Taille du téléchargement : 584 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.2 Mo (additional 2.2 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Doxygen-1.8.9.1 Graphviz-2.38.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xorg-wacom-driver
Pour utiliser une tablette Wacom avec l'interface USB, activé les options suivantes dans votre noyau et recompilez. Notez que d'autres options de configuration peuvent être requise pour les tablettes avec une interface série ou bluetooth.
Device Drivers --->
HID support --->
<*/M> HID bus support [CONFIG_HID]
Special HID drivers --->
<*/M> Wacom Intuos/Graphire tablet support (USB) [CONFIG_HID_WACOM]
Installez Xorg Wacom Driver en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG --with-systemd-unit-dir=no && make
Pour tester les résultats, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Le paquet Xorg ATI Driver contient le pilote vidéo X.Org pour les cartes graphiques ATI Radeon incluant tous les chipsets de R100 à R900 et les nouveaux Radeon HD.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Pour un rendu direct fonctionnel avec les nouvelles cartes (chipsets r300 et au dela), vous devrez activer la construction des pilotes Gallium radeonsi r300 et r600 dans les instructions MesaLib-10.4.5. Egalement, quelques cartes demanderont qu'un Firmware soit disponible quand le pilote du noyau est chargé. Le Firmware peut être obtenu depuis ce site. Voir « Configuration pour des firmwares supplémentaires » dessous.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/driver/xf86-video-ati-7.5.0.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/driver/xf86-video-ati-7.5.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 29654190e37310b87e44a14c229967ee
Taille du téléchargement : 791 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 17 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Glamor est requis pour les GPU "Southern Islands" mais facultatifs pour les GPU R300 à R700, Evergreen et "Northern Islands" - voir le lien dans "Accélération Glamor" dessous.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xorg-ati-driver
Activer les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyau si nécessaire :
Device Drivers --->
Graphics support --->
Direct rendering Manager --->
<*> Direct Rendering Manager (XFree86 ... support) ---> [CONFIG_DRM]
<*> ATI Radeon [CONFIG_DRM_RADEON]
Si vous devez installer un firmware, installez le(s)
fichier(s) et ensuite pointez sur eux dans la configuration
du noyau et recompilez le noyau si nécéssaire. Pour trouver
les firmware dont vous avez besoin, consultez le décodeur
Decoder ring for engineering vs marketing names.
Téléchargez les firmwares pour votre carte qui sont nommés
en :
,
etc. Notez que pour les familles R600 et R700, les
firmwares génériques <ENGINEERING_NAME>
_rlc.binR600_rlc.bin
et R700_rlc.bin
sont nécessaires en
supplément du firmware spécifique au modèle, alors que pour
les dernières générations (Evergreen, "Northern Islands" et
probablement "Southern Islands") vous aurez besoin de
BTC_rlc.bin
en supplément du
firmware spécifique au modèle. Après, il y a un exemple
pour une Radeon HD6470, qui est basée sur un GPU "Northern
Islands" avec une carte réseau qui demande aussi le
firmware :
CONFIG_EXTRA_FIRMWARE="radeon/BTC_rlc.bin radeon/CAICOS_mc.bin radeon/CAICOS_me.bin
radeon/CAICOS_pfp.bin radeon/CAICOS_smc.bin rtl_nic/rtl8168e-3.fw"
CONFIG_EXTRA_FIRMWARE_DIR="/lib/firmware"
CONFIG_EXTRA_FIRMWARE doit être en une seule ligne. Il est montré sur deux lignes pour la présentation seulement.
Vous pouvez vérifier la sortie de dmesg après le démarrage pour voir les firmwares qui sont manquants.
Alternativement, si vous changez CONFIG_DRM_RADEON à '=m' dans votre .config le firmware peut être chargé automatiquement depuis /lib/firmware/radeon quand il installe le module. Cela offre un petit espace de libéré, mais aussi signifie que l'écran sera blanc pour un plus long moment avant que le framebuffer apparaisse. Les distributions prennent cette approche car il n'est pas pratique de spécifier tous les firmware possible et le noyaux serait excessivmement gros.
Installez Xorg ATI Driver en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Glamor est une bibliothèque d'accélération qui utilise les capacités des cartes 3D pour accéléré le rendu 2D. L'accélération de Glamor est requise pour les GPU Radéon "Southern Islands" qui utilisent le pilote "radeonsi" Gallium3D de MesaLib-10.4.5. Pour voir quelles cartes fonctionne avec "Southern Islands" , lisez Decoder ring for engineering vs marketing names. Merci de noter que l'accélération Glamor peut être utilisée aussi bien avec d'autres chips, depuis R300. Sur au moins certaine puce Northern Islands, c'est bénéficiaire.
L'accélération Glamor n'est pas active par défaut pour les
chipsets qui n'utilise pas le pilote "radeonsi" de
Gallium3D. Vous devez utiliser un fichier xorg.conf
pour l'activer. Pour activer
Glamor pour les autres cartes que "Southern Islands" et
plus, créez le ${XORG_PREFIX}/share/X11/xorg.conf.d/
suivant en tant qu'utilisateur root
:
cat >> ${XORG_PREFIX}/share/X11/xorg.conf.d/20-glamor.conf << "EOF"
Section "Device"
Identifier "radeon"
Driver "ati"
Option "AccelMethod" "glamor"
EndSection
EOF
Le paquet Xorg Fbdev Driver contient le pilote vidéo X.Org pour les périphériques framebuffer. Ce pilote est aussi utilisé comme pilote de secours si les pilotes spécifiques au matériel ou VESA échouent au chargement ou ne sont par présents. Si ce pilote n'est pas installé, Le serveur Xorg affichera un avertissement au démarrage, mais qui peut être ignoré si le pilote spécifique au matériel fonctionne correctement.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7 mais n'a pas été testé.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/driver/xf86-video-fbdev-0.4.4.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/driver/xf86-video-fbdev-0.4.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3931c0e19d441cc576dc088f9eb9fd73
Taille du téléchargement : 287 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xorg-fbdev-driver
Installez Xorg Fbdev Driver en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Le paquet Xorg Intel Driver contient le pilote vidéo X.Org pour les cartes graphiques Intel incluant les processeurs graphiques 8xx, 9xx, Gxx, Qxx et HD (SandyBridge, IvyBridge et Haswell).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
C'est une version de développement du pilote Intel qui est nécessaire pour fonctionner correctement avec du matériel récent.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/driver/xf86-video-intel-2.99.917.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/driver/xf86-video-intel-2.99.917.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : fa196a66e52c0c624fe5d350af7a5e7b
Taille du téléchargement : 2.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 70 Mo
Estimation du temps de construction : 0.6 SBU
xcb-util-0.4.0 et Xorg-Server-1.17.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xorg-intel-driver
Activer les options suivantes dans la configuration du noyau. Seulement une des lignes « Intel I810 » ou « Intel 8xx/9xx... » doit être séléctionnée. Si vous sélectionnez la dernière, « Enable modesetting... » est nécessaire également. recompilez le noyau si nécessaire:
Device Drivers --->
Graphics support --->
Direct rendering Manager --->
<*> Direct Rendering Manager (XFree86 ... support) ---> [CONFIG_DRM]
<*> Intel I810 [CONFIG_DRM_I810]
<*> Intel 8xx/9xx/G3x/G4x/HD Graphics [CONFIG_DRM_I915]
[*] Enable modesetting on intel by default [CONFIG_DRM_I915_KMS]
Installez Xorg Intel Driver en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG --enable-kms-only && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Le paquet Xorg Nouveau Driver contient le pilote X.Org pour les cartes NVidia incluant les chipsets RIVA TNT, RIVA TNT2, GeForce 256, QUADRO, GeForce2, QUADRO2, GeForce3, QUADRO DDC, nForce, nForce2, GeForce4, QUADRO4, GeForce FX, QUADRO FX, GeForce 6XXX et GeForce 7xxx.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/driver/xf86-video-nouveau-1.0.11.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/driver/xf86-video-nouveau-1.0.11.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a0d2932d84ba10c4933c8332c9afe157
Taille du téléchargement : 569 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Xorg-Server-1.17.1 (recommandé pour être construit avec glamor activé)
Les nouveaux GPU « Maxwell » demande Glamor pour être construi avec le serveur Xorg. Notez que les éditeurs BLFS n'ont pas testé ce matériel.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xorg-nouveau-driver
Activer les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyau si nécessaire :
Device Drivers --->
Graphics support --->
Direct rendering Manager --->
<*> Direct Rendering Manager (XFree86 ... support) ---> [CONFIG_DRM]
<*> Nouveau (NVIDIA) cards [CONFIG_DRM_NOUVEAU]
[*] Support for backlight control [CONFIG_DRM_NOUVEAU_BACKLIGHT]
Installez Xorg Nouveau Driver en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Glamor est une bibliothèque d'accélération qui utilise les capacités d'accélération 3D pour accéléré le rendu 2D. L'accélération glamor est activée par défaut pour le nouveau GPU« Maxwell ». Selon la documentation, l'accélération Glamor peut être utilisée avec les autres puces, mais cela ne semble pas fonctionnel actuellement.
Pour activer Glamor pour les GPU autre que le nouveau
« Maxwell » , créez le
fichier suivant en tant qu'utilisateur root
:
cat >> /etc/X11/xorg.conf.d/nvidia.conf << "EOF"
Section "Device"
Identifier "nvidia"
Driver "nouveau"
Option "AccelMethod" "glamor"
EndSection
EOF
Le paquet Xorg VMware Driver contient le pilote vidéo pour les cartes graphiques SVGA virtuelles de VMware.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/driver/xf86-video-vmware-13.1.0.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/driver/xf86-video-vmware-13.1.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 0cba22fed4cb639d5c4276f7892c543d
Taille du téléchargement : 452 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.9 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xorg-vmware-driver
Activer les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyau si nécessaire :
Device Drivers --->
Graphics support --->
Direct Rendering Manager --->
<*> Direct Rendering Manager (XFree86 ... support) ---> [CONFIG_DRM]
<*> DRM driver for VMware Virtual GPU [CONFIG_DRM_VMWGFX]
[*] Enable framebuffer console under vmwgfx by default [CONFIG_DRM_VMWGFX_FBCON]
Installez Xorg VMware Driver en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Le paquet libva contient une bibliothèque qui fournit un accès à l'accélération vidéo matériel, en utilisant le matériel pour accélérer le traitement vidéo afin de décharger l'unité centrale de traitement (CPU) pour décoder et encoder la vidéo compressée.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7 mais n'a pas été testé.
Téléchargement (HTTP) : http://www.freedesktop.org/software/vaapi/releases/libva/libva-1.5.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ad0b55794308ec397d249a0a2a6df27a
Taille du téléchargement : 760 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 17 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Téléchargement du pilote Intel (HTTP) : http://www.freedesktop.org/software/vaapi/releases/libva-intel-driver/libva-intel-driver-1.5.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement du pilote Intel: 16752f1584398265072129553b7907ce
Taille du téléchargement du pilote Intel : 996 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 27 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libva
Installez libva en lançant les commandes suivantes :
mkdir -p m4 && autoreconf -fi && ./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Installez libva-intel-driver en laçant les commandes suivantes
mkdir -p m4 && autoreconf -fi && ./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
mkdir -p m4: Cette commande empêche une commande qui peut apparaître quand on lance autoreconf.
autoreconf -fi: Cette commande régènère le script configure pour empêcher un test pour wayland-scanner quand il est configuré.
Le paquet libvdpau contient une bibliothèque qui implémente la bibliothèque VDPAU.
VDPAU (Décodeur Video et Présentation de l'API pour Unix) est une bibliothèque open source (libvdpau) et une API conçu originellement par Nvidia pour ses séries GeForce 8 et les matériels GPU supérieurs ciblé dans X. Cette API VDPAU permet aux programmes vidéo de décharger des portions du processus de décodage vidéo et du post-traitement des vidéos dans le matériel vidéo du GPU.
Actuellement, les portions pouvant être déchargées par VDPAU dans le GPU sont la compensation de mouvement (mo comp), la transformation inverse de discretisation par cosinus (iDCT), VLD (décodage à longueur variable) et le déblocage pour MPEG-1, MPEG-2, MPEG-4 ASP (MPEG-4 Part 2), H.264/MPEG-4 AVC et VC-1, les vidéos encodés en WMV3/WMV9. Les codecs spécifiques de ceux la qui peuvent être déchargés dans le GPU dépendent du matériel GPU; spécifiquement, pour aussi décoder MPEG-4 ASP (MPEG-4 Part 2), Xvid/OpenDivX (DivX 4),et les formats DivX 5, une GeForce 200M (2xxM) Series (la onzieme génération des Geforce de Nvidia) ou plus récente est requise.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://people.freedesktop.org/~aplattner/vdpau/libvdpau-0.9.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3a1f8f3ec6e6adcfbc6044c8f00d7d51
Taille du téléchargement : 516 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.8 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Doxygen-1.8.9.1, Graphviz-2.38.0 et texlive-20140525 ou install-tl-unx
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libvdpau
Installez libvdpau en lançant les commandes suivantes :
./configure $XORG_CONFIG \ --docdir=/usr/share/doc/libvdpau-0.9 && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Le paquet libvdpau-va-gl contient une bibliothèque qui implémente la bibliothèque VDPAU. Libvdpau_va_gl utilise OpenGL sous le capot pour accélérer le dessin et la mise à l'échelle et VA-API (si disponible) pour accélérer le décodage vidéo. Actuellement VA-API est disponible sur quelques puces Intel, et sur quelques adaptateurs vidéo AMD avec l'aide du pilote libvdpau.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Libvdpau-va-gl Driver Téléchargement (HTTP) : https://github.com/i-rinat/libvdpau-va-gl/releases/download/v0.3.4/libvdpau-va-gl-0.3.4.tar.gz
Libvdpau-va-gl Driver Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 09ceb2f75eafccc9b002d35ede0de6a5
Libvdpau-va-gl Driver Taille du téléchargement : 100 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.0 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
cmake-3.1.3, FFmpeg-2.5.4, GLU-9.0.0, libvdpau-0.9, et libva-1.5.0
Doxygen-1.8.9.1, Graphviz-2.38.0, et texlive-20140525 ou install-tl-unx
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libvdpau
Installez libvdpau-va-gl en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$XORG_PREFIX .. && make
Pour tester le résultat, tapez : make check. Les tests doivent être lancés depuis un environnement Xorg.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Pour permettre à libvdpau de trouver libvdpau-va-gl,
initialisez une variable d'environnement. En tant
qu'utilisateur root
:
echo "export VDPAU_DRIVER=va_gl" >> /etc/profile.d/xorg.sh
Last updated on : 2013-04-24 12:01:29 +020
La paquet twm contient un gestionnaire de fenêtres très minimaliste.
Ce paquet ne fait pas partie de Xorg Katamari et est seulement fourni comme dépendance d'autres paquets ou pour tester l'installation complète de Xorg.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/app/twm-1.0.8.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/app/twm-1.0.8.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4b28317d4a9f7ca61bef8462e132bd4c
Taille du téléchargement : 269 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.6 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/twm
Installez twm en lançant les commandes suivantes
sed -i -e '/^rcdir =/s,^\(rcdir = \).*,\1/etc/X11/app-defaults,' src/Makefile.in && ./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i -e '/^rcdir =/s... : Cette commande assure que le fichier de configuration de twm soit installé dans le bon endroit.
Last updated on : 2013-03-07 03:30:41 +010
xterm est un émulateur de terminal pour le système X Window.
Ce paquet ne fait pas partie de Xorg Katamari et est seulement fourni comme dépendance d'autres paquets ou pour tester l'installation complète de Xorg.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://invisible-island.net/xterm/xterm-314.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d6e3c75e3ba537845d6a33d7df313467
Taille du téléchargement : 1.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 12 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Xterm
Installez xterm en lançant les commandes suivantes :
sed -i '/v0/{n;s/new:/new:kb=^?:/}' termcap && printf '\tkbs=\\177,\n' >> terminfo && TERMINFO=/usr/share/terminfo \ ./configure $XORG_CONFIG \ --with-app-defaults=/etc/X11/app-defaults && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && make install-ti
sed -i ... termcap, printf ... >>terminfo : Ces commandes modifient la description du terminal, afin qu'il soit prévu que la touche Retour renvoie le caractère au code ASCII 127, en cohérence avec la console Linux.
TERMINFO=/usr/share/terminfo
:
Ceci garantit que les fichiers terminfo de xterm sera installé dans la
base de données.
--with-app-defaults=...
:
Règle l'emplacement du répertoire app-defaults
.
make install-ti : Cette commande installe des fichiers de description de terminfo corrigés pour une utilisation avec xterm.
Il y deux manières de configurer xterm. Vous pouvez ajouter
des définitions de ressource X au fichier ~/.Xresources
de l'utilisateur ou les
ajouter au fichier $XORG_PREFIX/share/X11/app-defaults/Xterm
global.
Pour que Xterm suive les paramètres de locales de
l'environnement, utile les polices TrueType, et suive les
conventions Linux en matière de code envoyé par la touche
Retour, ajoutez les définitions suivantes en tant que
root
:
cat >> /etc/X11/app-defaults/XTerm << "EOF"
*VT100*locale: true
*VT100*faceName: Monospace
*VT100*faceSize: 10
*backarrowKeyIsErase: true
*ptyInitialErase: true
EOF
est un script enveloppe pour paramétrer xterm avec une locale KOI8-R. |
|
un fiche une ligne de commande pour paramétrer le variables d'environnement TERM et TERMCAP pour indiquer la taille courante de la fenêtre xterm. |
|
est un script enveloppe qui modifie la locale actuelle pour utiliser UTF-8 et qui démarre xterm avec les bons réglages. |
|
est un émulateur de terminal pour le système X Window. |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet xclock contient une application d'horloge simple qui est utilisée dans la configuration xinit par défaut.
Ce paquet ne fait pas partie de Xorg Katamari et est seulement fourni comme dépendance d'autres paquets ou pour tester l'installation complète de Xorg.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/app/xclock-1.0.7.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/app/xclock-1.0.7.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6f150d063b20d08030b98c45b9bee7af
Taille du téléchargement : 161 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.5 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xclock
Installez xclock en lançant les commandes suivances
./configure $XORG_CONFIG && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-07 03:30:41 +010
Le paquet xinit contient une script utilisable pour démarrer xserver.
Ce paquet ne fait pas partie de Xorg Katamari et est seulement fourni comme dépendance d'autres paquets ou pour tester l'installation complète de Xorg.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://xorg.freedesktop.org/releases/individual/app/xinit-1.3.4.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.x.org/pub/individual/app/xinit-1.3.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4e928452dfaf73851413a2d8b8c76388
Taille du téléchargement : 162 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.9 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
twm-1.0.8,xclock-1.0.7 et xterm-314
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xinit
Installez xinit en lançant les commandes suivantes
./configure $XORG_CONFIG \ --with-xinitdir=/etc/X11/app-defaults && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-07 03:30:41 +010
Pour tester l'installation de Xorg, tapez startx
. Cette commande
lance un gestionnaire de fenêtres très rudimentaire appelé
twm avec trois
terminaux X (xterm) et une fenêtre d'horloge (xclock). Le
terminal X dans le coin supérieur gauche est un terminal de
login et lance exit
dans le terminal quand l'on quittera la session X Window. Le troisième terminal X peut
être recouvert sur votre système par les deux autres
terminaux X.
Généralement, il n'y a pas de configuration spécifique requise pour Xorg, mais une personnalisation est possible. Pour plus de détails voir la section intitulée « Configuration des périphériques Xorg » en dessous.
DRI est un environnement permettant aux logiciels d'accéder au matériel graphique d'une manière sûre et efficace. Elle est installée par défaut dans X (en utilisant MesaLib) si vous avez une carte graphique supportée.
Pour vérifier que le pilote DRI est installé correctement,
vérifiez que le fichier journal /var/log/Xorg.0.log
contient des messages
comme :
(II) intel(0): direct rendering: DRI2 Enabled
ou
(II) NOUVEAU(0): Loaded DRI module
Il se peut que la configuration DRI diffère si vous utilisez d'autres pilotes tels que ceux de NVIDIA ou de ATI.
Alors que tous les utilisateurs peuvent utiliser
l'accélération logicielle, l'accélération matérielle (DRI2),
n'est disponible que pour root
et les membres du groupe
video
.
Si votre pilote est supporté, ajoutez les utilisateurs qui pourraient utiliser X à ce groupe :
usermod -a -G video <username>
Une autre façon de déterminer si DIR fonctionne proprement est d'utiliser un des deux programmes de démo d'OpenGL installés facultativement par MesaLib-10.4.5. Depuis un terminal X, lancez glxinfo et cherchez le passage :
name of display: :0
display: :0 screen: 0
direct rendering: Yes
Si direct rendering est activé, vous pouvez ajouter de la verbosité en lançant LIBGL_DEBUG=verbose glxinfo. Ceci affichera les pilotes, les nœuds de périphériques et les fichiers utilisés par le système DRI.
Pour confirmer que l'accélération matérielle DRI2 fonctionne,
vous pouvez (toujours dans un terminal X) lancer la commande
glxinfo | egrep "(OpenGL
vendor|OpenGL renderer|OpenGL version)" - si
cela renvoie quelque chose d'autre
que Software
Rasterizer
c'est que l'accélération fonctionne pour
l'utilisateur qui a lançé la commande.
Si votre matériel n'a pas de pilote DRI2 de disponible, il utilisera un rendu logiciel pour le Direct Rendering. Dans ce cas, vous pouvez utiliser le nouveau rendu logiciel accéléré de LLVM appelé LLVMPipe. Avant de construire LLVMPipe soyez certain que llvm-3.5.1 est présent au moment de la construction de MesaLib. Merci de noter que tous les décodages sont fait par le CPU à la place du GPU, donc l'affichage sera plus lent qu'avec l'accélération matérielle. Pour vérifier si vous utilisez LLVMpipe, regardez la sortie de la commande glxinfo précédente. Un example de sortie est montré en dessous:
OpenGL vendor string: VMware, Inc.
OpenGL renderer string: Gallium 0.4 on llvmpipe (LLVM 3.5, 256 bits)
OpenGL version string: 3.0 Mesa 10.4.5
Vous pouvez toujours forcer LLVMPipe en exportant la variable
d'environnement LIBGL_ALWAYS_SOFTWARE=1
quand vous démarré
Xorg.
De nouveau, si vous avez ajouté le paquet Mesa-Demos, vous pouvez aussi lancer le programme de test glxgears. Ce programme affiche une fenêtre de trois boutons à bascule. Le xterm affichera le nombre de cadres dessinés toutes les cinq secondes, donc c'est un test fiable. La fenêtre est échelonable et les cadres dessinés par secondes dépendent beaucoup de la taille de la fenêtre.
Hybrid Graphics est expérimental dans Linux. Les développeurs de Xorg ont mis au point une technologie appelé PRIME qui peut être utilisé pour commuter entre le GPU intégré et le "muxless" à souhait. La commutation automatique n'est pas possible pour le moment.
Pour utiliser PRIME pour la commutation de GPU, soyez certain d'utiliser le noyau Linux 3.4 ou plus (recommandé). Vous devez avoir les pilotes DRI et DDX pour votre matériel et avoir Xorg Server 1.13 ou plus avec un correctif facultatif appliqué.
Xorg Server ne pourra pas
charger les deux pilotes GPU automatiquement. Pour lancer une
application GLX sur un GPU, vous devez exporter la variable
d'environnement DRI_PRIME=1
. Par
exemple,
DRI_PRIME=1 glxinfo | egrep "(OpenGL vendor|OpenGL renderer|OpenGL version)"
affichera le fournisseur OpenGL, le rendu et la version du GPU.
Si la dernière commande affiche le même rendu OpenGL avec ou
sans DRI_PRIME=1
, vous devez
vérifier votre installation.
Xft fournit le rendu des polices anti-crénelage à travers
Freetype, et les polices
sont contrôlés par le côté client à l'aide de Fontconfig. Le chemin de recherche par
défaut est /usr/share/fonts
et
~/.fonts
. Fontconfig recherche des répertoires
dans son chemin de façon récursive et maintient un cache des
caractéristiques de la police dans les fichiers fonts.cache-1
dans chaque répertoire. Si le
cache semble pas être à jour, il est ignorée, et
l'information est (lentement) extraites de la polices
elles-mêmes. Ce cache peut être régénéré en utilisant
fc-cache à tout
moment. Vous pouvez voir la liste des polices connues par
Fontconfig en exécutant la
commande fc-list.
si vous avez installé Xorg
dans n'importe quel préfixe autre que /usr
, Les polices X ne seront pas installées dans un
emplacement connu par Fontconfig. Cela empêche Fontconfig d'utiliser le faible rendu
des polices Type 1 ou les polices non-évolutive bitmap. Les
liens symboliques sont créés depuis OTF
et TTF
les répertoires de polices X
vers /usr/share/fonts/X11-{OTF,TTF}
. Cela
autorise Fontconfig à
utiliser les polices OpenType et TrueType fournies par
X (qui sont évolutives et de
qualité supérieure).
Fontconfig utilise des noms
comme "Monospace 12" pour définir les polices. Les
applications utilisent généralement les noms de polices
génériques telles que "Monospace", "Sans" et "Serif".
Fontconfig résout ces noms
par une police qui a tous les caractères qui couvrent
l'orthographe de la langue indiquée par les paramètres
régionaux. La connaissance de ces noms de polices est inclus
dans /etc/fonts/fonts.conf
. Les
polices qui ne sont pas répertoriés dans ce fichier restent
utilisables par Fontconfig,
mais elles ne seront pas accessibles par les noms de familles
génériques.
Les polices standards évolutives qui accompagnent X fournissent une très mauvaise couverture d'Unicode. Vous remarquerez peut-être dans les applications qui utilisent Xft que certains caractères apparaissent comme une boîte avec quatre chiffres binaires à l'intérieur. Dans ce cas, un jeu de polices avec les glyphes disponibles n'a pas été trouvé. D'autres fois, les applications qui n'utilisent pas d'autres familles de polices par défaut et n'ont pas accepté les substitutions de l' Fontconfig affichent des lignes vides lorsque la police par défaut ne couvre pas l'orthographe de la langue de l'utilisateur. Cela arrive, par exemple avec Fluxbox dans la localisation ru_RU.KOI8-R.
Afin d'offrir une plus grande couverture d'Unicode, il est recommandé que vous installiez ces polices:
DejaVu fonts - Ces polices sont des remplacements pour les polices Bitstream Vera et fournissent des scripts basés sur le latin avec des accents et des glyphes cyrilliques.
FreeFont - Cet ensemble de polices couvre presque tous les caractères non-CJC, mais n'est pas agréable visuellement. Fontconfig va l'utiliser comme un dernier recours pour remplacer les noms génériques de la famille de polices.
Microsoft Core
fonts - Ces polices offrent une couverture
légèrement moins bonne que freefont d'Unicode, mais
font plus illusion. Soyez sûr de lire la licence avant
de les utiliser. Ces polices sont énumérés dans les
alias du répertoire /etc/fonts/conf.d
par défaut.
Firefly New Sung font - Cette police fourni la
couverture chinoise. Ces polices sont énumérés dans les
alias du répertoire /etc/fonts/conf.d
par défaut.
Arphic
fonts - un ensemble similaire à la police Firefly
New Sung de polices chinoises. Ces polices sont
énumérés dans les alias du répertoire /etc/fonts/conf.d
par défaut.
Kochi fonts
- Elles fournissent les caractères japonnais, et sont
listées dans les alias du répertoire /etc/fonts/conf.d
par défaut.
Baekmuk fonts -
Ces polices fournissent la couverture Coréenne, et sont
listées dans les alias du répertoire /etc/fonts/conf.d
par défaut.
Polices Cantarell - La famille des polices Cantarell fournit une contemporaine Humaniste sans serif. Elle est particulièrement optimisée pour être lisible dans les petites tailles et est la famille de polices préférée pour l'interface utilisateur de GNOME-3.
La liste ci-dessus ne donnera pas une couverture complète d'Unicode. Pour plus d'informations, vous pouvez consulter le Unicode Font Guide.
Des exemples de rendu de beaucoup des polices peuvent être trouvés sur ce site font analysis.
Par exemple, considérons l'installation des polices DejaVu. A
partir du répertoire source décompressé, exécuter les
commandes suivantes en tant que root
:
install -v -d -m755 /usr/share/fonts/dejavu && install -v -m644 *.ttf /usr/share/fonts/dejavu && fc-cache -v /usr/share/fonts/dejavu
Pour la plupart des configurations matérielles, Xorg va automatiquement obtenir la configuration correcte du serveur sans aucune intervention de l'utilisateur. Il existe, cependant, certains cas où l'auto-configuration sera incorrecte. Voici quelques exemples de la configuration manuelle qui peuvent être utile dans ces cas la.
Pour la plupart des appareils d'entrée, aucune configuration supplémentaire sera nécessaires. Cette section est fourni à titre informatif seulement.
Un exemple de configuration XKB par défaut peut être comme
le suivant (exécuté en tant que root
):
cat > /etc/X11/xorg.conf.d/xkb-defaults.conf << "EOF" Section "InputClass" Identifier "XKB Defaults" MatchIsKeyboard "yes" Option "XkbOptions" "terminate:ctrl_alt_bksp" EndSection EOF
Encore une fois, avec Xorg, peu ou aucune configuration
supplémentaire n'est nécessaires. Si vous avez besoin
d'options supplémentaires à passer à votre pilote vidéo,
par exemple, vous pouvez utiliser ce qui suit (de nouveau,
executé en tant que root
):
cat > /etc/X11/xorg.conf.d/videocard-0.conf << "EOF" Section "Device" Identifier "Videocard0" Driver "radeon" VendorName "Videocard vendor" BoardName "ATI Radeon 7500" Option "NoAccel" "true" EndSection EOF
Une autre configuration courante est d'avoir des configurations multi-serveurs pour une utilisation dans des environnements différents. Bien que le serveur détecte automatiquement la présence d'un autre moniteur, il peut obtenir un ordre incorrect:
cat > /etc/X11/xorg.conf.d/server-layout.conf << "EOF" Section "ServerLayout" Identifier "DefaultLayout" Screen 0 "Screen0" 0 0 Screen 1 "Screen1" LeftOf "Screen0" Option "Xinerama" EndSection EOF
Last updated on : 2013-03-08 18:19:25 +010
Ce chapitre ne contient pas de bibliothèques exigées pour lancer X. Il contient des bibliothèques qui améliorent X. Dans certains cas, l'amélioration est aussi simple que le support des polices. Dans d'autres cas, elle est aussi complexe que des bibliothèques qui se placent entre X et les applications s'exécutant sur X dont le but est de standardiser l'aspect et la sensation et les communications inter-processus pour différentes applications. Elles aident aussi les programmeurs en leur offrant des éléments courants.
ATK offre un jeu d'interfaces d'accessibilité implémentées par d'autres environnements d'outils et d'autres applications. L'utilisation des interfaces ATK, des outils d'accessibilité donne un accès complet à la vision et au contrôle des applications en cours.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/atk/2.14/atk-2.14.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/atk/2.14/atk-2.14.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ecb7ca8469a5650581b1227d78051b8b
Taille du téléchargement : 680 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/atk
Installez atk en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-03-06 04:05:17 +010
Atkmm est l'interface officiel de C++ pour la bibliothèque d'accessoires pour l'accessibilité à ATK.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/atkmm/2.22/atkmm-2.22.7.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/atkmm/2.22/atkmm-2.22.7.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : fec7db3fc47ba2e0c95d130ec865a236
Taille du téléchargement : 388 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 17 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/atkmm
Installez atkmm en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-09-04 15:30:32 +020
Le paquet At-Spi2 Core fait partie du projet accessibilité de GNOME. Il offre une interface fournisseur de service aux technologies d'assistance disponibles sur la plate-forme GNOME et aux bibliothèques auxquelles peuvent se lier les applications.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/at-spi2-core/2.14/at-spi2-core-2.14.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/at-spi2-core/2.14/at-spi2-core-2.14.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a37993cc50d90465c9aeed95e2ac439a
Taille du téléchargement : 448 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 12 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
D-BUS-1.8.16, GLib-2.42.1, et Xorg Libraries
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/at-spi2-core
Installez At-Spi2 Core en lançant les commandes suivantes : commands:
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc && make
Une adresse de bus de session est nécessaire pour lancer les tests. Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet At-Spi2 Atk contient une bibliothèque qui relie ATK au service D-Bus At-Spi2.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/at-spi2-atk/2.14/at-spi2-atk-2.14.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/at-spi2-atk/2.14/at-spi2-atk-2.14.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5c6a085249a6d4e792ead86dca183504
Taille du téléchargement : 276 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5.9 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
at-spi2-core-2.14.1 et atk-2.14.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/at-spi2-atk
Installez At-Spi2 Atk en lançant les commandes suivantes : commands:
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous installé le paquet dans votre système en utilisant
une méthode « DESTDIR », /usr/share/glib-2.0/schemas/gschemas.compiled
ne sera pas mis à jour/créé. Créez (ou mettez à jour) le
fichier en utilisant la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
glib-compile-schemas /usr/share/glib-2.0/schemas
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Cairo est une bibliothèque graphique2D avec un support de plusieurs périphériques de sortie. Les cibles de sortie actuellement supportées incluent le système X Window, win32, les tampons image, PostScript, PDF et SVG. Des fondements expérimentaux incluent le fichier de sortie OpenGL, Quartz et XCB. Cairo est conçu pour produire une sortie cohérente sur tous les médias de sortie, tout en tirant parti de l'accélération matérielle si elle est disponible (à travers par exemple l'extension X Render). L'API de Cairo offre des opérations ressemblant au dessin d'opérateurs de PostScript et de PDF. Les opérations dans cairo incluent le découpage et le remplissage de splines Bézier cubiques, la transformation et la décomposition d'images translucides, et l'affichage de texte non aliassé. Toutes les opérations de dessin peuvent être transformées par une transformation affine (échelle, rotation, dépouillement, etc.).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://cairographics.org/releases/cairo-1.14.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : fc3a5edeba703f906f2241b394f0cced
Taille du téléchargement : 35 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 125 Mo
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU
libpng-1.6.16, GLib-2.42.1 et pixman-0.32.6
Fontconfig-2.11.1 et Xorg Libraries.
Cogl-1.20.0, GTK-Doc-1.21, libdrm-2.4.59, lzo-2.09, MesaLib-10.4.5, Qt-4.8.6, Valgrind-3.10.1, DirectFB, jbig2dec, et Skia
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cairo
Installez Cairo en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../cairo-1.14.0-upstream_fixes-2.patch && ./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --enable-tee && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests fonctionnelle.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-tee
: Ce
paramètre active le moteur expérimental de surfaces tee qui
est requis en utilisant un installation système de
Cairo avec les applications
Mozilla.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-xlib-xcb
: Ce paramètre
active les fonctions expérimentales de Xlib/XCB utilisées par
quelques gestionnaires de fenêtres.
--enable-gl
: Ce paramètre
active les surfaces expérimentales OpenGL de Cairo qui est requis par Wayland et d'autres paquets qui ne font
pas partie de BLFS.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
génère un journal de tous les appels d'une application à Cairo. |
|
contient les fonctions graphiques 2D exigées pour afficher sur des cibles de sortie variées. |
|
contient des fonctions qui intègrent Cairo avec le système de type GObject de GLib-2.42.1. |
|
contient les fonctions de l'interpréteur de script pour exécuter et manipuler des traces d'exécution de Cairo. |
Last updated on : 2013-02-07 21:38:10 +010
Le paquet cairomm fourni une interface C++ pour cairo.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://cairographics.org/releases/cairomm-1.10.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9c63fb1c04c8ecd3c5e6473075b8c39f
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 13 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
cairo-1.14.0 et libsigc++-2.4.0
boost-1.57.0 et Doxygen-1.8.9.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cairomm
Installer cairomm en exécutant les commandes suivantes:
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-09-04 15:30:32 +020
Cogl est une API graphique 3D moderne avec des utilitaires API associés conçus pour exploiter les capacités des cartes graphique 3D utilisant par conception un accès direct à l'état de l'API, par opposition au style des états-machine du style d'OpenGL.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/cogl/1.20/cogl-1.20.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/cogl/1.20/cogl-1.20.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5b28897194d9ff76a574a9493d1f7ee0
Taille du téléchargement : 1.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 60 Mo
Estimation du temps de construction : 1.2 SBU
gdk-pixbuf-2.31.2, MesaLib-10.4.5 et Pango-1.36.8
gst-plugins-base-1.4.5, GTK-Doc-1.21, SDL-1.2.15, SDL2, et Wayland
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cogl
Installez Cogl en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --enable-gles1 --enable-gles2 && make
Pour tester le résultat, tapez : make check. Les tests doivent être lancé depuis un terminal X du serveur Xorg accéléré matériellement.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gles1
: Ce
paramètre active le support pour OpenGL ES 1.1.
--enable-gles2
: Ce
paramètre active le support pour OpenGL ES 2.0.
--enable-cogl-gst
: Ce paramètre
active le support gstreamer.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-01-05 23:05:40 +010
Le paquet Clutter contient une bibliothèque logicielle libre pour créer des interfaces graphiques riches visuellement et animées.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Tout ce qui est construit avec cet outil nécessite le support de l'accélération 3D du pilote graphique au moment de l'exécution. Il est fourni par MesaLib (ou par les pilotes graphiques propriétaires), mais il n'est pas disponible pour toutes les cartes graphiques ni pour toutes les machines virtuelles. Il se peut que vous souhaitiez lire Vérifier l'installation de la DRI.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/clutter/1.20/clutter-1.20.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/clutter/1.20/clutter-1.20.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a8a33a57a944c6d7c7c013ce9aa3222b
Taille du téléchargement : 5.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 83 Mo (additional 8 Mo for docs creation and 11 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 0.7 SBU (additional 2.2 SBU for docs creation and 0.6 SBU for tests)
atk-2.14.0, Cogl-1.20.0 et JSON-GLib-1.0.2
gobject-introspection-1.42.0 et GTK+-3.14.8
GTK-Doc-1.21, udev-extras (depuis eudev) (pour GUdev), libevdev, libxkbcommon, Tslib et Wayland
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/clutter
Installez clutter en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc --enable-egl-backend && make
Pour tester les résultats, tapez : make check ( vous devez être dans un xterm ou similaire pour le faire, car il ouvre quelques fenêtres).
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-egl-backend
:
Ce paramètre active l'interface experimentale du fenetrage
EGL.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Clutter Gst est une bibliothèque d'intégration pour l'utilisation de GStreamer avec Clutter. Son but est d'implémenter l'interface ClutterMedia en utilisant GStreamer.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/clutter-gst/2.0/clutter-gst-2.0.14.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/clutter-gst/2.0/clutter-gst-2.0.14.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5c2847f29d7c4868d00b99fe478b65eb
Taille du téléchargement : 352 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
clutter-1.20.0 et gst-plugins-base-1.4.5
gobject-introspection-1.42.0 et gst-plugins-bad-1.4.5
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/clutter-gst2
Installez Clutter Gst en lançant les commandes suivantes :
La construction de Ce paquet échouera sous une session ssh.
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suie de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-03 15:53:30 +010
Le paquet clutter-gtk est une bibliothèque offrant des facilités pour intégrer Clutter dans des applications GTK+.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/clutter-gtk/1.6/clutter-gtk-1.6.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/clutter-gtk/1.6/clutter-gtk-1.6.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 08e5d7c249733d4d96bbbd2dc970a06c
Taille du téléchargement : 308 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5.4 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/clutter-gtk
Installez clutter-gtk en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
FLTK (prononcé "fulltick") est une trousse à outils multi-plateformes pour les interfaces utilisateurs C++. FLTK fournits les fonctionnalités des GUI modernes et le support pour les graphiques 3D via OpenGL et ses bibliothèques intégrées d'émulation de GLUT utuilisées pour la création des interfaces utilisateurs graphiques pour les applications. graphical user interfaces for
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://fltk.org/pub/fltk/1.3.3/fltk-1.3.3-source.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9ccdb0d19dc104b87179bd9fd10822e3
Taille du téléchargement : 4.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 199 Mo
Estimation du temps de construction : 0.6 SBU
hicolor-icon-theme-0.14, libjpeg-turbo-1.4.0, et libpng-1.6.16
ALSA-Library-1.0.28, desktop-file-utils-0.22, Doxygen-1.8.9.1, GLU-9.0.0, MesaLib-10.4.5, texlive-20140525 (ou install-tl-unx)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/fltk
Le répertoire d'extraction de tar est fltk-1.3.3 et non fltk-1.3.3-source comme indiqué par le nom de l'archive.
Installez FLTK en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e '/cat./d' documentation/Makefile && ./configure --prefix=/usr \ --enable-shared && make
Si vous souhaitez créer la documentation de l'API, tapez:
make -C documentation html
Les tests pour le paquet sont interactifs. Pour exécuter les
tests, lancez test/unittests. en
supplément, il y a 70 autres programmes de test executable
dans le répertoire test
qui
peuvent être lancé individuellement.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make docdir=/usr/share/doc/fltk-1.3.3 install
Si vous le souhaitez, installez quelques exemples construits
comme une partie des tests, la documentation supplémentaire
et les programmes exemples . en tant qu'utilisateur
root
:
make -C test docdir=/usr/share/doc/fltk-1.3.3 install-linux && make -C documentation docdir=/usr/share/doc/fltk-1.3.3 install-linux
sed ...
documentation/Makefile : Evite l'installation
de pages dans /usr/share/man/cat*
.
est un script utilitaire qui peut être utilisé pour obtenir des informations sur la version actuelle de FLTK qui est installée sur le système/ |
|
est une interface interactive de conception pour FLTK. |
|
Contient les fonctions qui fournissent une API pour implémenter les interfaces graphiques utilisateurs. |
Last updated on 2014-05-18 18:40:17 -0500
freeglut vise à être un clone 100% compatible et complètement libre de la bibliothèque GLUT. GLUT est un toolkit indépendant du système de fenêtre pour écrire des programmes OpenGL, implémenter une API simple de fenêtres, ce qui rend l'apprentissage et l'exploration de la programmation avec OpenGL très facile.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/freeglut/freeglut-2.8.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 918ffbddcffbac83c218bc52355b6d5a
Taille du téléchargement : 984 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/freeglut
Installez Freeglut en lançant les commandes suivantes:
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-10-10 18:11:12 +020
La bibliothèque gdk pixbuf est un kit outil de chargement d'image et de manipulation de tampons de pixels. Elle est utilisée par GTK+ 2 et GTK+ 3 pour charger et manipuler des images. Elle était jadis distribuée avec gGTK+ 2 mais elle a été mise dans un paquet distinct dans la perspective du passage à GTK+ 3.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gdk-pixbuf/2.31/gdk-pixbuf-2.31.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gdk-pixbuf/2.31/gdk-pixbuf-2.31.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6be6bbc4f356d4b79ab4226860ab8523
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 28 Mo (additional 2 Mo for the tests and 1 Mo to rebuild and install the API documentation)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (ajouter 5.2 SBU pour lancer la suite de tests and moins de 0.1 SBU to rebuild and install the API documentation)
libjpeg-turbo-1.4.0, libpng-1.6.16, LibTIFF-4.0.3 et GLib-2.42.1
Xorg Libraries (Beaucoup d'applications GTK demandent gdk-pixbuf-xlib).
JasPer-1.900.1 et GTK-Doc-1.21
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gdk-pixbuf
Installez gdk-pixbuf en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --with-x11 && make
Pour tester les résultats, tapez: make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous installé le paquet sur votre système en utilisant
une méthode « DESTDIR » alors les fichiers important
ne sont pas installés et doivent être copiés et/ou générés.
Les générer en utilisant la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
gdk-pixbuf-query-loaders --update-cache
--with-x11
: Ce
paramètre permet la construction de la bibliothèque
X11 de Gdk-Pixbuf, nécessaire pour beaucoup de paquets.
--with-libjasper
: Si vous
avez installé JasPer-1.900.1 et si vous souhaitez que
Gdk-Pixbuf l'utilise pour
compiler un chargeur d'image JPEG2000, passez cette option à
configure.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
est un petit outil qui génère du code C contenant des images, utilisé pour compiler des images directement dans des programmes. |
|
rassemble des informations sur les modules que gdk-pixbuf peut charger et l'écrit à l'emplacement du fichier de cache par défaut ou sur la sortie standard. |
|
contient des fonctions utilisées pour charger et afficher des images. |
|
contient des fonctions utilisées pour manipuler des images et des interfaces avec Xlib. |
Last updated on : 2012-12-28 18:49:18 +010
Ce paquet fournit la bibliothèque Mesa OpenGL Utility.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
GLU Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.freedesktop.org/pub/mesa/glu/glu-9.0.0.tar.bz2
GLU Somme de contrôle MD5 du téléchargement : be9249132ff49275461cf92039083030
GLU Taille du téléchargement : 484 Ko
Estimation de l'espace requis par GLU: 13 Mo
Temps de construction estimé de GLU: 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/glu
Installez GLU en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=$XORG_PREFIX --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2014-02-07 14:15:53 +0100
Le paquet GOffice contient une bibliothèque d'objets et d'utilitaires GLib/GTK centrés sur les documents. C'est utile pour faire des opérations usuels sur les applications centrés sur les documents qui sont conceptuellement simples mais complexe à implémenter complètement. Certaines des opérations fournies par la bibliothèque GOffice incluent le support pour les greffons, des routines de chargement/sauvegarde pour les documents d'application et des fonctions défaire/refaire.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/goffice/0.10/goffice-0.10.20.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/goffice/0.10/goffice-0.10.20.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1785853fa42a13a3067e42773abdc905
Taille du téléchargement : 2.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 95 Mo (additional 2 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU (additional moins de 0.1 SBU for the tests)
GTK+-3.14.8, libgsf-1.14.31, librsvg-2.40.7 et which-2.20
gobject-introspection-1.42.0, GPL-Ghostscript-9.15, GTK-Doc-1.21, Lasem, et libspectre,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/goffice010
Installez GOffice en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Si vous souhaitez lancer les tests, tappez: make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-03-01 15:47:30 +010
Le paquet GTK+ 2 contient des bibliothèques utilisées pour créer des interfaces graphiques pour les applications.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtk+/2.24/gtk+-2.24.26.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtk+/2.24/gtk+-2.24.26.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4610cc60ff96073b83dc7de254bdaf38
Taille du téléchargement : 13 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 319 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 3.3 SBU (additional 0.1 SBU for the tests)
atk-2.14.0, gdk-pixbuf-2.31.2 et Pango-1.36.8
Cups-2.0.2, DocBook-utils-0.6.14, gobject-introspection-1.42.0 and GTK-Doc-1.21.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gtk+2
Installez Gtk+-2 en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's#l \(gtk-.*\).sgml#& -o \1#' docs/{faq,tutorial}/Makefile.in && sed -i -e 's#pltcheck.sh#$(NULL)#g' gtk/Makefile.in && ./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Pour tester les résultats, lancez : make check. Remarquez que vous devez lancer les tests depuis une session avec la possibilité d'affichage X Window (donc pas depuis un terminal en texte/console) car les tests essaient d'ouvrir une fenêtre X, et que les tests peuvent prendre vraiment très longtemps. En utilisant une session X Windows, les tests devraient prendre moins de 0.3 SBU
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez installé le paquet sur votre système en
utilisant la méthode « DESTDIR », un fichier important ne sera
pas installé et devra être copié et/ou généré. Générez-le
en utilisant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
gtk-query-immodules-2.0 --update-cache
sed -i 's#l (gtk-.*).sgml#&
-o 1#' docs/{faq,tutorial}/Makefile.in :
Si vous avez installé DocBook-utils-0.6.14,
(notamment si configure trouve db2html) il essaiera de
l'utiliser pour reconstruire certaines de ses documentation
HTML et il échouera du fait de bogues dans certains
Makefile
s. Ce sed corrige les
Makefile
s.
sed -i -e 's#pltcheck.sh#$(NULL)#g' gtk/Makefile.in: Ce sed désactive un test connu pour échouer. Pas nécessaire, si les tests ne sont pas lancés.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Les thèmes Gtk+ 2 changent
l'aspect des applications Gtk+
2. On peut utiliser un thème d'icône de Gtk+ 2 pour modifier l'aspect des
icônes qui apparaissent sur la barre d'outils de
l'application. Si vous avez installé un thème Gtk+ 2 (tel que
gnome-themes (requiert GTK
Engines-2.20.2)) ou un thème d'icônes Gtk+ (tel que adwaita-icon-theme-3.14.1)
vous pouvez régler vos préférences dans ~/.gtkrc-2.0
:
cat > ~/.gtkrc-2.0 << "EOF" include "/usr/share/themes/Glider
/gtk-2.0/gtkrc" gtk-icon-theme-name = "hicolor
" EOF
Beaucoup plus d'autres thèmes sont disponibles sur Gnome-Look.org and other places.
Une fois que vous vous êtes décidé sur un thème, vous
pouvez (en tant qu'utilisateur root
) en faire celui par défaut pour
tout le système :
cat > /etc/gtk-2.0/gtkrc << "EOF" include "/usr/share/themes/Clearlooks
/gtk-2.0/gtkrc" gtk-icon-theme-name = "elementary
" EOF
LXAppearance-0.6.1 est une application Gtk+ 2 qui peut vous aider à choisir vos thèmes préférés.
converti les fichiers glade en fichier XML qui peuvent être chargés par GtkBuilder. |
|
démontre les fonctionnalités de Gtk+ 2 et fournit du code pour des exemples. |
|
rassemble des informations sur les modules de méthodes d'entrée chargeables pour Gtk+ 2 et l'écrit sur la sortie standard. |
|
crée des fichiers de cache mmap()able pour des thèmes d'icône. En lançant avec gtk+-2.24.24, ajoutez le drapeau « --include-image-data » à cette commande, si vous voulez commencer avec des données d'images dans le cache. |
|
contient des fonctions de composition qui agissent comme une enveloppe sur des fonctions graphiques sous-jacentes. |
|
contient des fonctions fournissant un API pour implémenter les interfaces graphiques utilisateur. |
Last updated on : 2012-12-30 16:34:51 +010
Le paquet GTK+ 3 contient les bibliothèques utilisées pour les interfaces graphiques des applications.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtk+/3.14/gtk+-3.14.8.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtk+/3.14/gtk+-3.14.8.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e46a12448b348d384b8bb29f0c22718f
Taille du téléchargement : 15 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 402 Mo (additional 6 Mo for the test suite and 19 Mo to rebuild the docs)
Estimation du temps de construction : 4.7 SBU (additional 0.5 SBU for the test suite and 3.8 SBU to rebuild the docs)
at-spi2-atk-2.14.1, gdk-pixbuf-2.31.2 et Pango-1.36.8
colord-1.2.9, Cups-2.0.2, DocBook-utils-0.6.14, GTK-Doc-1.21, JSON-GLib-1.0.2, rest, libxkbcommon and Wayland
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gtk3
GTK+ 3 va écraser
gtk-update-icon-cache de
gtk+-2.24.26 s'il est installé. Il n'est
pas faux de considérer que les deux programmes fournissent
les mêmes fonctions. Si vous souhaitez en garder celui de
GTK+ 2, vous pouvez
ajouter --enable-gtk2-dependency
à la commande
configure.
Installez GTK+ 3 en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --enable-broadway-backend \ --enable-x11-backend \ --disable-wayland-backend && make
Quelques tests échouent si /usr/share/glib-2.0/schemas/gschemas.compiled
n'est pas trouvé. Si vous souhaitez lacer la suite de tests,
créez (ou mettez à jour) le fichier en utilisant la commande
suivante en tant qu'utilisateur root
:
glib-compile-schemas /usr/share/glib-2.0/schemas
Pour tester les résultats vous avez besoin d'une session graphique, ensuite tapez make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateurroot
:
make install
Si vous avez installé le paquet sur votre système en
utilisant une méthode « DESTDIR », un fichier important n'a pas
été installé et il faut le copier et/ou le générer.
Générez-le en utilisant la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
gtk-query-immodules-3.0 --update-cache
Si vous installé le paquet dans votre système en utilisant
une méthode « DESTDIR », /usr/share/glib-2.0/schemas/gschemas.compiled
ne sera pas mis à jour/créé. Créez (ou mettez à jour) le
fichier en utilisant la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
glib-compile-schemas /usr/share/glib-2.0/schemas
--enable-broadway-backend
:
paramètre qui active le moteur HTML5 de gdk.
--enable-x11-backend
: paramètre
qui active le moteur GDK de X11.
--disable-wayland-backend
:
paramètre pour désactiver les tests pour Wayland qui n'est
pas disponible dans BLFS.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Les thèmes GTK+ 3
modifient la manière dont est affichée une application
GTK+ 3. Un thème d'icône
peut être utilisé pour modifier les icônes apparaissant sur
la barre d'outils de l'application. Si vous avez installé
un thème GTK+ 3 (comme
gnome-themes-standard-3.14.2.3
ou un thème d'icône (tel que adwaita-icon-theme-3.14.1)
vous pouvez définir vos préférences dans ~/.config/gtk-3.0/settings.ini
. Par
exemple :
mkdir -p ~/.config/gtk-3.0 && cat > ~/.config/gtk-3.0/settings.ini << "EOF" [Settings] gtk-theme-name =Adwaita
gtk-fallback-icon-theme =gnome
EOF
Il existe beaucoup plus de thèmes disponibles sur http://gnome-look.org/ et à d'autres endroits.
Après avoir choisi les thèmes qui vous plaisent, vous
pouvez (en tant qu'utilisateur root
), en faire coux par défaut pour
tout le système :
cat > /etc/gtk-3.0/settings.ini << "EOF" [Settings] gtk-theme-name =Clearwaita
gtk-fallback-icon-theme =elementary
EOF
fournit le support pour l'affichage des applications GTK+ 3 dans un navigateur web utilisant HTML5 et les sockets web. |
|
convertit des icônes svg symboliques dans un fichier spécialement préparé png. GTK+ 3 peut charger et recolorer ces pngs comme ceux d'origine en svgs, mais les charges est plus rapide. |
|
lance une application utilisée pour donner le nom.
Le nom doit correspondre à des nom de fichier
d'application de bureau, qui sont dans |
|
rassemble des informations sur les modules de méthode d'entrée chargeables pour GTK+ 3 et il les écrit à l'emplacement du fichier cache par défaut ou sur la sortie standard. |
|
est un outil de mise en cache de thème d'icône qui crée des fichiers de cache mmap()able pour les thèmes d'icônes. |
|
est un programme simple de démonstration de ce qu'on peut faire avec GTK+ 3 |
|
est une simple application GTK+ 3. |
|
est un utilitaire pour explorer les icônes dans le thême d'icône courante. Il montre les icônes dans des tailles différentes, leurs différences symboliques quand elles sont disponibles, aussi bien que la description des icônes et leur contexte. |
|
est un programme pour voir les thèmes et les gadgets GTK+ 3. |
|
contient les fonctions qui implémentent les interfaces d'accessibilité définies par le GNOME Accessibility Toolkit. |
|
contient les fonctions agissant comme une enveloppe autour des fonctions de dessin et de mise en fenêtres de bas niveau qu'offrent les lgraphics sous-jacenteslgraphics |
|
contient les fonctions offrant une API pour implémenter des interfaces graphiques. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet GTK Engines contient huit thèmes/moteurs et deux moteurs supplémentaires pour GTK2.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtk-engines/2.20/gtk-engines-2.20.2.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtk-engines/2.20/gtk-engines-2.20.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5deb287bc6075dc21812130604c7dc4f
Taille du téléchargement : 676 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 19 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
gtk+-2.24.26 et
Lua-5.3.0 et which-2.20 (Requis pour la suite de tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gtk-engines
Installez GTK Engines en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-lua --with-system-lua
:
Utilisez ces paramètres si vous avez installé Lua et voulez construire avec le moteur
de thème Lua.
Last updated on : 2012-10-30 19:56:15 +010
Le paquet Gtkmm fournit une interface C++ avec GTK+-2. On peut l'installer avec gtkmm-3.14.0 (la bibliothèque GTK+-3) sans conflit de noms.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtkmm/2.24/gtkmm-2.24.4.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtkmm/2.24/gtkmm-2.24.4.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b9ac60c90959a71095f07f84dd39961d
Taille du téléchargement : 10 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 296 Mo
Estimation du temps de construction : 3.6 SBU
atkmm-2.22.7, gtk+-2.24.26 et pangomm-2.34.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gtkmm2
Installez Gtkmm en lançant les commandes commands:
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-09-04 15:30:32 +020
Le paquet gtkmm fourni une interface C++ pour GTK+-3.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtkmm/3.14/gtkmm-3.14.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtkmm/3.14/gtkmm-3.14.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b66c32042cfbb7e5f707237b4efff4de
Taille du téléchargement : 11 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 419 Mo (Additional 16 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 2.6 SBU (Additional 0.7 SBU for tests)
atkmm-2.22.7, GTK+-3.14.8 et pangomm-2.34.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gtkmm
Installer gtkmm en exécutant les commandes suivantes:
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-10-25 22:06:37 +020
Imlib2 est une bibliothèque graphique pour charger, enregistrer, afficher et manipuler rapidement des fichiers.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/enlightenment/imlib2-1.4.6.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5c7104121ec6db652b37f74a6d7048e2
Taille du téléchargement : 853 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 15 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
libpng-1.6.16, libjpeg-turbo-1.4.0, LibTIFF-4.0.3, giflib-5.1.1, et libid3tag
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/imlib2
Installez Imlib2 en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's/@my_libs@//' imlib2-config.in && sed -e '/DGifOpen/s:fd:&, NULL:' \ -e '/DGifCloseFile/s:gif:&, NULL:' \ -i src/modules/loaders/loader_gif.c && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/imlib2-1.4.6 && install -v -m644 doc/{*.gif,index.html} \ /usr/share/doc/imlib2-1.4.6
sed -i ...: La première commande corrige la construction avec les dernières versions de Giflib et la seconde corrige les drapeaux de l'éditeur de lien pour l'utilisation de libImlib2.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-03-05 16:41:10 +010
Le paquet keybinder2 contient une bibliothèque d'utilitaires pour la gestion globale des raccourcis clavier de X.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://pkgs.fedoraproject.org/repo/pkgs/keybinder/keybinder-0.3.0.tar.gz/2a0aed62ba14d1bf5c79707e20cb4059/keybinder-0.3.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2a0aed62ba14d1bf5c79707e20cb4059
Taille du téléchargement : 372 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.9 Mo
Estimation du temps de construction : less than 0.1 SBU
gobject-introspection-1.42.0 et PyGTK-2.24.0
GTK-Doc-1.21 et Lua-5.3.0 (actuellement cassée, car une ancienne version de lua est demandée)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/keybinder2
Installez keybinder2 en lançant la suite
./configure --prefix=/usr --disable-lua && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-lua
:
Utilisez ce paramètre pour désactiver les liaisons
Lua-5.3.0
bindings (actuellement cassée, car une ancienne version de
lua est requise).
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on 2014-12-09 14:04:49 +0100
libdrm fournit une bibliothèque en espace utilisateur pour accéder au DRM, au gestionnaire de rendu direct, au système qui supporte l'interface ioctl. libdrm est une bibliothèque de bas-niveau, généralement utilisée par les pilotes graphique comme les pilotes Mesa DRI, les pilotes X ,libva et les projets similaires.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://dri.freedesktop.org/libdrm/libdrm-2.4.59.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d32a1d37c2546ee11fc5924abeedb23e
Taille du téléchargement : 579 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 10 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU (additional moins de 0.1 SBU for the tests)
Xorg Libraries (pour le support de l'API Intel KMS requis par Mesa )
DocBook XML-DTD-4.5, DocBook XSL Stylesheets-1.78.1 et libxslt-1.1.28 (pour construire les pages de manuel) et Valgrind-3.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libdrm
Installez libdrm en lançant les commandes suivantes :
sed -e "/pthread-stubs/d" -i configure.ac && autoreconf -fiv && ./configure --prefix=/usr --enable-udev && make
Pour tester les résultats, lancez : make check. Remarquez qu'il se peut que certains tests échouent selon le matériel graphique installé sur votre machine.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -e "/pthread-stubs/d" -i configure.ac : Ce sed efface les dépendances du paquet libpthread-stubs qui est inutile sur Linux.
--enable-udev
: Cette
option active le support pour utiliser Udev au lieu de mknod.
contient les fonctions de la bibliothèque Direct Rendering Module. |
|
contient les fonctions spécifiques au gestionnaire de rendu direct de Intel. |
|
contient les fonctions spécifiques au gestionnaire de rendu direct de nVidia (Nouveau). |
|
contient les fonctions spécifiques au gestionnaire de rendu direct de AMD Radeon. |
|
contient les fonctions de l'API nécessaire pour l'initialisation des mofs du kernel. |
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
libepoxy is a library for handling OpenGL function pointer management.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://crux.nu/files/libepoxy-1.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 12d6b7621f086c0c928887c27d90bc30
Taille du téléchargement : 264 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 21 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libepoxy
Installez libepoxy en lançant les commandes suivantes :
./autogen.sh --prefix=/usr && make
Pour tester le résultat, tapez : make -k check. Some test may fail for unknown reasons.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2014-08-18 20:18:02 +0200
Le paquet libglade contient
les bibliothèques libglade
.
Elles sont utiles pour le chargement de fichiers d'interface
Glade dans un programme en cours d'exécution.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libglade/2.6/libglade-2.6.4.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libglade/2.6/libglade-2.6.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d1776b40f4e166b5e9c107f1c8fe4139
Taille du téléchargement : 348 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libglade
Installez libglade en lançant les commandes suivantes :
sed -i '/DG_DISABLE_DEPRECATED/d' glade/Makefile.in && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check. Un des tests, test-convert, est connu pour échouer.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i '/DG_DISABLE_DEPRECATED/d' : Certaines fonctions de glib utilisées par libglade ont été déclarées obsolètes dans glib-2.30. Ce sed supprime G_DISABLE_DEPRECATED CFLAG.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
La bibliothèque libnotify est utilisé pour envoyer des notifications de bureau à un démon de notification, tel que défini dans la spécification Desktop Notifications. Ces notifications peuvent être utilisées pour informer l'utilisateur sur un événement ou afficher une certaine forme d'information sans gêner l'utilisateur.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libnotify/0.7/libnotify-0.7.6.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libnotify/0.7/libnotify-0.7.6.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a4997019d08f46f3bf57b78e6f795a59
Taille du téléchargement : 276 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4,9 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
notification-daemon-3.14.1 ou xfce4-notifyd-0.2.4
GNOME Shell et KDE KWin fournissent leurs propres démons de notification.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libnotify
Installer libnotify en exécutant les commandes suivantes:
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
user:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-07-24 18:17:44 +020
Le paquet libxklavier contient une bibliothèque outil pour le clavier X.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://pkgs.fedoraproject.org/repo/pkgs/libxklavier/libxklavier-5.4.tar.bz2/13af74dcb6011ecedf1e3ed122bd31fa/libxklavier-5.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 13af74dcb6011ecedf1e3ed122bd31fa
Taille du téléchargement : 384 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5.2 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
GLib-2.42.1, ISO Codes-3.57, libxml2-2.9.2 et Xorg Libraries
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libxklavier
Installez libxklavier en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-xkb-base=$XORG_PREFIX/share/X11/xkb
:
Utilisez ce paramètre si $XORG_PREFIX est différente de
/usr
.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Pango contient est une bibliothèque de présentation et d'affichage de texte, mettant l'accent sur l'internationalisation. On peut l'utiliser n'importe où où on a besoin d'un texte présenté, même si la plupart du travail fait sur Pango jusqu'à présent s'effectue dans le contexte des outils de widget de GTK+.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/pango/1.36/pango-1.36.8.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/pango/1.36/pango-1.36.8.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 217a9a753006275215fa9fa127760ece
Taille du téléchargement : 1012 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 24 Mo (additional 2 Mo to rebuild and install the API documentation)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (additional 0.1 SBU to rebuild and install the API documentation)
cairo-1.14.0, Harfbuzz-0.9.38 et Xorg Libraries
GTK-Doc-1.21 et
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pango
Installez Pango en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Pour tester le résultat, tapez: make -k check. Un test échoue pour des raisons inconnues.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez installé le paquet sur votre système en
utilisant la méthode « DESTDIR », un fichier important ne sera
pas installé et devra être copié et/ou généré. Générez-le
en utilisant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
pango-querymodules --update-cache
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
/etc/pango/pangorc
,
~/.pangorc
et le fichier
spécifié dans la variable d'environnement PANGO_RC_FILE
est un outil d'enregistrement de module qui rassemble les informations sur les modules chargeables Pango. |
|
permet la visualisation d'un fichier donné par Pango . |
|
contient des routines d'affichage de présentation de bas niveau, un pilote de haut niveau de présentation et des blocs entiers de texte et des routines pour aider à éditer du texte internationalisé. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet pangomm fournit une interface C++ pour Pango.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/pangomm/2.34/pangomm-2.34.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/pangomm/2.34/pangomm-2.34.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2c702caede167323c9ed9eed2b933098
Taille du téléchargement : 508 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 21 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
cairomm-1.10.0, glibmm-2.42.0, and Pango-1.36.8
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pangomm
Installez pangomm en lançant les commandes suivantes:
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-09-04 15:30:32 +020
Qt est un environnement de travail d'applications multi-plate-forme qui est largement utilisé pour développer des applications avec une interface utilisateur graphique (GUI) (dans quelques cas Qt est classé comme une trousse de widgets), et aussi utilisé pour développer des programmes non-GUI comme les outils en ligne de commande et les consoles pour les serveurs. Un des utilisateurs majeurs de Qt est KDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.qt-project.org/official_releases/qt/4.8/4.8.6/qt-everywhere-opensource-src-4.8.6.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2edbe4d6c2eff33ef91732602f3518eb
Taille du téléchargement : 231 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 2.0 Go
Estimation du temps de construction : 37 SBU
ALSA-Library-1.0.28, MesaLib-10.4.5, Certificate Authority Certificates, D-BUS-1.8.16, GLib-2.42.1, ICU-54.1 (support de unicode), libjpeg-turbo-1.4.0, libmng-2.0.2, libpng-1.6.16, LibTIFF-4.0.3, OpenSSL-1.0.2 et SQLite-3.8.8.2
Cups-2.0.2, gtk+-2.24.26 (support des thèmes GTK+ 2), GStreamer Base Plug-ins-0.10.36 (pour les vidéos QtWebKit HTML5), MariaDB-10.0.16 ou MySQL, PostgreSQL-9.4.1, PulseAudio-5.0 et unixODBC-2.3.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/qt4
L'installation de Qt
présente plusieurs challenges et choix. La complication de
l'installation de Qt est le fait qu'il y a deux versions,
Qt4 et Qt5, qui ont des programmes exécutables
avec des noms identiques. Si les deux paquets sont installés
sur un système, la seule méthode pour gérer quel ensemble de
programmes est utilisé est soit de contrôler le PATH
de l'utilisateur ou de renommer les
fichiers soit directement ou via des liens symboliques. Les
deux paquets ne peuvent pas être installés dans le même
répertoire.
Si vous installez seulement une des versions de Qt, le choix
de l'installation est facile. Vous pouvez soit installer le
composant dans plusieurs répertoires de la hiérarchie
/usr
ou installer le paquet
entièrement dans un répertoire séparé de votre choix. Nous
nous référons à ces options comme "Méthode 1: Installation
dans /usr" et "Méthode 2: Installation dans /opt".
Si les deux versions de Qt doivent être installée, une ou les
deux versions doivent être installées dans un répertoire
séparé. Pour la discussion ici nous utiliserons le répertoire
/opt
. La sélection de quelle
version doit être utilisée par des utilisateurs individuels
sur un système est contrôlé par la variable PATH
. D'autres systèmes peuvent être imaginés,
mais les éditeurs de BLFS trouvent la méthode du PATH
plus simple.
L'avantage d'installer dans /usr
est qu'il n'y à pas de mise à jour des
fichiers /etc/ld.so.conf
ou
/etc/man_db.conf
. Les fichiers
du paquet sont répartis dans plusieurs sous-répertoire de la
hiérarchie /usr
. C'est la
méthode que le plus de distributions commerciales utilisent.
Le désavantage pour les utilisateurs de BLFS est que la
version de Qt ne peut pas être mise à jour quand elle est
utilisée. Par exemple, elle ne peut pas être mise à jour dans
un environnement KDE. cela implique également de multiples
versions de Qt sur votre système et ne permet pas de
retourner à une version existante de Qt connue pour
fonctionner.
L'avantage d'installer Qt
dans un répertoire personnalisé comme /opt/qt-4.8.6
ou /opt/qt-5.4.0
ou est que cela laisse tous
les fichiers du paquet consolidés dans une hiérarchie de
répertoires dédiées. En utilisant cette méthode, une mise à
jour peut être faite sans écraser une installation précédente
et les utilisateurs peuvent facilement retourner dans une
version précédente en changeant un lien symbolique ou
simplement en changeant la variable PATH. Cela permet
également à un développeur de maintenir des versions
multiplus de Qt4 ou
Qt5 pour tester.
Si vous n'installez pas quelques unes des dépendances recommandées, examinez la sortie de ./configure --help pour vérifier comment les désactiver ou utiliser les versions internes livrées avec l'archive des sources.
Si Qt4 doit être
réinstallé dans le même répertoire qu'une précédente
installation, lancez les commandes fait par root
, comme make install, depuis une
console ou un gestionnaire de fenêtres non Qt4. Elle écrase
les bibliothèques Qt4 qui
ne devraient pas être utilisées pendant le processus
d'installation.
Le temps et l'espace de construction requis pour tout
Qt4 est considérable. Les
instructions ci-dessous ne construisent pas les tutoriels
et les exemples. La suppression des lignes -nomake
créera une
construction complète.
Corrige une vulnérabilitée DoS dans les entêtes d'image GIF:
sed -i -e '631a if (image->isNull()) { state = Error; return -1; }' \ src/gui/image/qgifhandler.cpp
Installez Qt4 dans la
hiérarchie /usr
en lançant les
commandes suivantes
export QT4LINK=/usr sed -i -e "/#if/d" -e "/#error/d" -e "/#endif/d" \ config.tests/unix/libmng/libmng.cpp && sed -i '/CONFIG -/ a\isEmpty(OUTPUT_DIR): OUTPUT_DIR = ../..' \ src/3rdparty/webkit/Source/WebKit2/DerivedSources.pro && ./configure -prefix /usr \ -bindir /usr/bin \ -plugindir /usr/lib/qt4/plugins \ -importdir /usr/lib/qt4/imports \ -headerdir /usr/include/qt4 \ -datadir /usr/share/qt4 \ -sysconfdir /etc/xdg \ -docdir /usr/share/doc/qt4 \ -demosdir /usr/share/doc/qt4/demos \ -examplesdir /usr/share/doc/qt4/examples \ -translationdir /usr/share/qt4/translations \ -confirm-license \ -opensource \ -release \ -dbus-linked \ -openssl-linked \ -system-sqlite \ -no-phonon \ -no-phonon-backend \ -no-nis \ -no-openvg \ -nomake demos \ -nomake examples \ -optimized-qmake && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Enlevez les références au répertoire de construction dans les
fichiers .pc
en lançant la
commande suivante:
find . -name "*.pc" -exec perl -pi -e "s, -L$PWD/?\S+,,g" {} \;
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && rm -rf /usr/tests
Effacez les références au répertoire d'installation des
fichiers installés en lançant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
for file in 3Support CLucene Core DBus Declarative DesignerComponents \ Designer Gui Help Multimedia Network OpenGL Script \ ScriptTools Sql Svg Test UiTools WebKit XmlPatterns Xml phonon; do [ -e /usr/lib/libQt${file}.prl ] && sed -r '/^QMAKE_PRL_BUILD_DIR/d;s/(QMAKE_PRL_LIBS =).*/\1/' \ -i /usr/lib/libQt${file}.prl done unset file
Cette partie fournit l'installation de Qt4 avec presque tous
les fichiers dans le répertoire /opt
.
export QT4DIR=/opt/qt-4.8.6 && export QT4LINK=/opt/qt4 && sed -i -e "/#if/d" -e "/#error/d" -e "/#endif/d" \ config.tests/unix/libmng/libmng.cpp && sed -i '/CONFIG -/ a\isEmpty(OUTPUT_DIR): OUTPUT_DIR = ../..' \ src/3rdparty/webkit/Source/WebKit2/DerivedSources.pro && ./configure -prefix $QT4DIR \ -sysconfdir /etc/xdg \ -confirm-license \ -opensource \ -release \ -dbus-linked \ -openssl-linked \ -system-sqlite \ -plugin-sql-sqlite \ -no-phonon \ -no-phonon-backend \ -no-nis \ -no-openvg \ -nomake demos \ -nomake examples \ -optimized-qmake && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install ln -svfn $QT4DIR /opt/qt4
Enlevez les références au répertoire de construction dans les
fichiers installés en lançant la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
for file in `basename -a -s .prl $QT4DIR/lib/lib*.prl`; do sed -r -e '/^QMAKE_PRL_BUILD_DIR/d' \ -e 's/(QMAKE_PRL_LIBS =).*/\1/' \ -i $QT4DIR/lib/${file}.prl perl -pi -e "s, -L$PWD/?\S+,,g" $QT4DIR/lib/pkgconfig/${file##lib}.pc done unset file
Pour toutes les méthodes, installez les images et créez les
entrées de menu pour les applications installées. Soyez
certain que la variable QT4LINK
est définie dans l'environnement root et en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -Dm644 src/gui/dialogs/images/qtlogo-64.png \ /usr/share/pixmaps/qt4logo.png && install -v -Dm644 tools/assistant/tools/assistant/images/assistant-128.png \ /usr/share/pixmaps/assistant-qt4.png && install -v -Dm644 tools/designer/src/designer/images/designer.png \ /usr/share/pixmaps/designer-qt4.png && install -v -Dm644 tools/linguist/linguist/images/icons/linguist-128-32.png \ /usr/share/pixmaps/linguist-qt4.png && install -v -Dm644 tools/qdbus/qdbusviewer/images/qdbusviewer-128.png \ /usr/share/pixmaps/qdbusviewer-qt4.png && install -dm755 /usr/share/applications && cat > /usr/share/applications/assistant-qt4.desktop << EOF[Desktop Entry] Name=Qt4 Assistant Comment=Shows Qt4 documentation and examples Exec=$QT4LINK/bin/assistant Icon=assistant-qt4.png Terminal=false Encoding=UTF-8 Type=Application Categories=Qt;Development;Documentation;
EOF cat > /usr/share/applications/designer-qt4.desktop << EOF[Desktop Entry] Name=Qt4 Designer Comment=Design GUIs for Qt4 applications Exec=$QT4LINK/bin/designer Icon=designer-qt4.png MimeType=application/x-designer; Terminal=false Encoding=UTF-8 Type=Application Categories=Qt;Development;
EOF cat > /usr/share/applications/linguist-qt4.desktop << EOF[Desktop Entry] Name=Qt4 Linguist Comment=Add translations to Qt4 applications Exec=$QT4LINK/bin/linguist Icon=linguist-qt4.png MimeType=text/vnd.trolltech.linguist;application/x-linguist; Terminal=false Encoding=UTF-8 Type=Application Categories=Qt;Development;
EOF cat > /usr/share/applications/qdbusviewer-qt4.desktop << EOF[Desktop Entry] Name=Qt4 QDbusViewer GenericName=D-Bus Debugger Comment=Debug D-Bus applications Exec=$QT4LINK/bin/qdbusviewer Icon=qdbusviewer-qt4.png Terminal=false Encoding=UTF-8 Type=Application Categories=Qt;Development;Debugger;
EOF cat > /usr/share/applications/qtconfig-qt4.desktop << EOF[Desktop Entry] Name=Qt4 Config Comment=Configure Qt4 behavior, styles, fonts Exec=$QT4LINK/bin/qtconfig Icon=qt4logo.png Terminal=false Encoding=UTF-8 Type=Application Categories=Qt;Settings;
EOF
sed -i "..." ...: La première commande corrige la détection de libmng 2.0 et la seconde empêche le script configure d'écrire dans un répertoire root si la construction est en tant qu'utilisateur privilégié.
-confirm-license
:
Accepte la licence sans le demander à l'utilisateur pendant
la configuration.
-opensource
:
Installe la version libre de Qt.
-release
: Ce
paramètre désactive la construction avec les symboles de
débogage.
-nomake examples -nomake
demos
: Ces paramètres désactivent la
construction de programmes qui n'ont d'intérêt que pour un
développeur utilisant Qt.
-system-sqlite
: Ce
paramètre active l'utilisation de la version du système de
SQLite.
-no-nis
: Ce
paramètre désactive le support de Network Information
Service (NIS, service d'informations réseau) qui
a été déprécié dans la version récente de Glibc.
-no-phonon
-no-phonon-backend
: Ces paramètres désactivent
la construction de la bibliothèque Phonon fournie. Une meilleure version
est fournie par le paquet phonon-4.8.3.
-dbus-linked
-openssl-linked
: Ces paramètres activent la
liaison explicites des bibliothèques D-Bus et OpenSSL dans les biblothèques
Qt au lieu de les
dlopen()-nés.
-no-openvg
: Ce
paramètre désactive le support de OpenVG dans Qt.
-optimized-qmake
: Ce
paramètre active la construction du programme optimisé
qmake.
-no-dbus
: Utilisez ce paramètre
si vous n'avez pas installé D-Bus.
Si vous avez installé Qt
dans /usr, créez une variable d'environnement nécessaire
pour certain paquets. En tant qu'utilisateur root
:
cat > /etc/profile.d/qt4.sh << EOF
# Begin /etc/profile.d/qt4.sh
QT4DIR=/usr
export QT4DIR
# End /etc/profile.d/qt4.sh
EOF
Si vous avez installé Qt dans un endroit autre que /usr, vous devez mettre à jour les fichiers de configuration suivant pour que Qt soit correctement trouvé par les autres paquets et les processus du système.
En tant qu'utilisateur root
, mettez à jour le fichier
/etc/ld.so.conf
et le fichier
de cache du lieur dynamique d'exécution:
cat >> /etc/ld.so.conf << EOF
# Begin Qt addition
/opt/qt4/lib
# End Qt addition
EOF
ldconfig
En tant qu'utilisateur root
, créez le fichier /etc/profile.d/qt4.sh
:
cat > /etc/profile.d/qt4.sh << EOF
# Begin /etc/profile.d/qt4.sh
QT4DIR=/opt/qt4
pathappend /opt/qt4/bin PATH
pathappend /opt/qt4/lib/pkgconfig PKG_CONFIG_PATH
export QT4DIR
# End /etc/profile.d/qt4.sh
EOF
si vous installez Qt4 et Qt5, vous pouvez utiliser des
scripts simples pour selectionner l'ensemble des programmes
Qt actuellement actifs. En tant qu'utilisateur root
, creez les scripts suivants:
cat > /usr/bin/setqt4 << 'EOF'
if [ "x$QT5DIR" != "x/usr" ]; then pathremove $QT5DIR/bin; fi
if [ "x$QT4DIR" != "x/usr" ]; then pathprepend $QT4DIR/bin; fi
echo $PATH
EOF
cat > /usr/bin/setqt5 << 'EOF'
if [ "x$QT4DIR" != "x/usr" ]; then pathremove $QT4DIR/bin; fi
if [ "x$QT5DIR" != "x/usr" ]; then pathprepend $QT5DIR/bin; fi
echo $PATH
EOF
Vous pouvez utiliser la version approprie de Qt en lancant source setqt4 ou source setqt5 comme vous le souhaitez. (Initialisez le PATH ne fonctionne pas dans un sous-repertoire.) Une autre technique qui peut etre utilisee est de creer des alias appropries dans votre ~/bashrc comme alias setqt4='source setqt4'.
est un outil pour présenter de la documentation en ligne. |
|
est un constructeur GUI complètement mûr. Il inclut des fonctionnalités puissantes telles qu'un mode de prévisualisation, l'aménagement automatique des widgets, le support des widgets personnalisés et un éditeur avancé de propriétés. |
|
fournit un support de traduction d'applications en langues locales. |
|
est un outil simple en ligne de commande. Il lit un fichier de projet Qt et produit des fichiers de message utilisés par l'application. |
|
lit un fichier de projet Qt, cherche les chaînes traduisibles dans les sources spécifiées, l'en-tête et les fichiers du designer Qt, et produit ou met à jour les fichiers de traduction listés dans le fichier du projet. |
|
génère le support du code des méta-objets Qt. |
|
est une loupe de bureau et, quand vous déplacez votre souris sur l'écran, elle vous montrera le contenu agrandi dans sa fenêtre. |
|
utilise des informations stockées dans des fichiers de projet pour déterminer ce qui devrait aller dans les makefiles qu'il génère. |
|
qt3to4 est un outil pour aider à mettre à jour du code Qt3 vers Qt4. |
|
est utilisé pour personnaliser l'apparence des applications Qt. |
|
est un compilateur de ressources utilisé avec le designer. |
|
est un compilateur d'interface utilisateur Qt. |
|
est un outil pour générer du code Qt4 hors des fichiers de l'interface utilisateur générés par la version Qt3 de designer. |
Last updated on 2013-06-02 21:23:30 +0200
Qt5 est une boite à outils multi-plate-forme qui est largement utilisée pour le développement d'application avec une interface graphique (GUI) (dans ce cas Qt5 est classée comme une boite à outils de boutons), et est également utilisée pour le développement de programmes sans GUI comme est outils en ligne de commande et les consoles pour serveurs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.qt-project.org/official_releases/qt/5.4/5.4.0/single/qt-everywhere-opensource-src-5.4.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 21843b00ecde8956217faab391bc007b
Taille du téléchargement : 279 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 6.9 Go (266 Mo installé)
Estimation du temps de construction : 27 SBU (parallelism=4, without Qt Web Engine), 138 SBU (parallelism=1, with Qt Web Engine)
ALSA-Library-1.0.28, Certificate Authority Certificates, Cups-2.0.2, D-BUS-1.8.16, GLib-2.42.1, GStreamer Base Plug-ins-0.10.36, ICU-54.1, JasPer-1.900.1, libjpeg-turbo-1.4.0, libmng-2.0.2, libpng-1.6.16, LibTIFF-4.0.3, libwebp-0.4.2, MesaLib-10.4.5, mtdev-1.1.5, OpenSSL-1.0.2, PCRE-8.36, SQLite-3.8.8.2, Ruby-2.2.0 (requis pour QtWebKit), xcb-util-image-0.4.0, xcb-util-keysyms-0.4.0, xcb-util-renderutil-0.3.9, et xcb-util-wm-0.4.1
GeoClue-0.12.0, gst-plugins-base-1.4.5 (Support de QtWebKit HTML5 Video), gtk+-2.24.26 (Support de GTK+ Theme), Harfbuzz-0.9.38, IBus, libxkbcommon, MariaDB-10.0.16 ou MySQL, PostgreSQL-9.4.1, PulseAudio-5.0 et unixODBC-2.3.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/qt5
L'installation de Qt
présente plusieurs challenges et choix. La complication de
l'installation de Qt est le fait qu'il y a deux versions,
Qt4 et Qt5, qui ont des programmes exécutables
avec des noms identiques. Si les deux paquets sont installés
sur un système, la seule méthode pour gérer quel ensemble de
programmes est utilisé est soit de contrôler le PATH
de l'utilisateur ou de renommer les
fichiers soit directement ou via des liens symboliques. Les
deux paquets ne peuvent pas être installés dans le même
répertoire.
Si vous installez seulement une des versions de Qt, le choix
de l'installation est facile. Vous pouvez soit installer le
composant dans plusieurs répertoires de la hiérarchie
/usr
ou installer le paquet
entièrement dans un répertoire séparé de votre choix. Nous
nous référons à ces options comme "Méthode 1: Installation
dans /usr" et "Méthode 2: Installation dans /opt".
Si les deux versions de Qt doivent être installée, une ou les
deux versions doivent être installées dans un répertoire
séparé. Pour la discussion ici nous utiliserons le répertoire
/opt
. La sélection de quelle
version doit être utilisée par des utilisateurs individuels
sur un système est contrôlé par la variable PATH
. D'autres systèmes peuvent être imaginés,
mais les éditeurs de BLFS trouvent la méthode du PATH
plus simple.
L'avantage d'installer dans /usr
est qu'il n'y à pas de mise à jour des
fichiers /etc/ld.so.conf
ou
/etc/man_db.conf
. Les fichiers
du paquet sont répartis dans plusieurs sous-répertoire de la
hiérarchie /usr
. C'est la
méthode que le plus de distributions commerciales utilisent.
Le désavantage pour les utilisateurs de BLFS est que la
version de Qt ne peut pas être mise à jour quand elle est
utilisée. Par exemple, elle ne peut pas être mise à jour dans
un environnement KDE. cela implique également de multiples
versions de Qt sur votre système et ne permet pas de
retourner à une version existante de Qt connue pour
fonctionner.
L'avantage d'installer Qt
dans un répertoire personnalisé comme /opt/qt-4.8.6
ou /opt/qt-5.4.0
ou est que cela laisse tous
les fichiers du paquet consolidés dans une hiérarchie de
répertoires dédiées. En utilisant cette méthode, une mise à
jour peut être faite sans écraser une installation précédente
et les utilisateurs peuvent facilement retourner dans une
version précédente en changeant un lien symbolique ou
simplement en changeant la variable PATH. Cela permet
également à un développeur de maintenir des versions
multiplus de Qt4 ou
Qt5 pour tester.
Si vous n'installez pas certaine des dépendances recommandées, examinez la sortie de ./configure --help pour vérifier comment les désactiver ou utiliser les versions internes livrées avec le paquet des sources.
Si Qt5 doit être
réinstallé dans le même répertoire qu'une précédente
installation, lancez les commandes fait par root
, comme make install, depuis une
console ou un gestionnaire de fenêtres non Qt5. Elle écrase
les bibliothèques Qt5 qui
ne devraient pas être utilisées pendant le processus
d'installation.
Installez Qt5 en lançant les commandes suivantes
export QT5LINK=/usr ./configure -prefix /usr \ -sysconfdir /etc/xdg \ -bindir /usr/bin \ -headerdir /usr/include/qt5 \ -archdatadir /usr/lib/qt5 \ -datadir /usr/share/qt5 \ -docdir /usr/share/doc/qt5 \ -translationdir /usr/share/qt5/translations \ -examplesdir /usr/share/doc/qt5/examples \ -confirm-license \ -opensource \ -dbus-linked \ -openssl-linked \ -system-sqlite \ -no-nis \ -skip qtwebengine \ -nomake examples \ -optimized-qmake && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Enlevez les références au répertoire de construction des
fichiers .pc
en lançant la
commande suivante:
find . -name "*.pc" -exec perl -pi -e "s, -L$PWD/?\S+,,g" {} \;
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Enlevez les références au répertoire de construction des
fichiers installés en lançant la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
sed -e "s:$PWD/qtbase:/usr/lib/qt5:g" \ -i /usr/lib/qt5/mkspecs/modules/qt_lib_bootstrap_private.pri && find /usr/lib/lib{qgsttools_p,Qt5*}.prl -exec sed -i -r \ '/^QMAKE_PRL_BUILD_DIR/d;s/(QMAKE_PRL_LIBS =).*/\1/' {} \;
Cette partie fournit les instructions d'installation de Qt5
dans le répertoire /opt
.
export QT5DIR=/opt/qt-5.4.0 && export QT5LINK=/opt/qt5 && ./configure -prefix $QT5DIR \ -sysconfdir /etc/xdg \ -confirm-license \ -opensource \ -dbus-linked \ -openssl-linked \ -system-sqlite \ -no-nis \ -nomake examples \ -skip qtwebengine \ -optimized-qmake && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && ln -svfn $QT5DIR /opt/qt5
Enlevez les références au répertoire de construction dans les
fichiers installés en lançant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
find $QT5DIR -name qt_lib_bootstrap_private.pri \ -exec sed -i -e "s:$PWD/qtbase:/$QT5DIR/lib/:g" {} \; && find $QT5DIR -name \*.prl \ -exec sed -i -e '/^QMAKE_PRL_BUILD_DIR/d' {} \;
Pour toutes les méthodes, installez les images et créez les
entrées de menu pour les applications installées. Soyez
certain que la variable QT5LINK
est définie dans l'environnement root et en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -dm755 /usr/share/pixmaps/ && install -v -Dm644 qttools/src/assistant/assistant/images/assistant-128.png \ /usr/share/pixmaps/assistant-qt5.png && install -v -Dm644 qttools/src/designer/src/designer/images/designer.png \ /usr/share/pixmaps/designer-qt5.png && install -v -Dm644 qttools/src/linguist/linguist/images/icons/linguist-128-32.png \ /usr/share/pixmaps/linguist-qt5.png && install -v -Dm644 qttools/src/qdbus/qdbusviewer/images/qdbusviewer-128.png \ /usr/share/pixmaps/qdbusviewer-qt5.png && install -dm755 /usr/share/applications && cat > /usr/share/applications/assistant-qt5.desktop << EOF[Desktop Entry] Name=Qt5 Assistant Comment=Shows Qt5 documentation and examples Exec=$QT5LINK/bin/assistant Icon=assistant-qt5.png Terminal=false Encoding=UTF-8 Type=Application Categories=Qt;Development;Documentation;
EOF cat > /usr/share/applications/designer-qt5.desktop << EOF[Desktop Entry] Name=Qt5 Designer GenericName=Interface Designer Comment=Design GUIs for Qt5 applications Exec=$QT5LINK/bin/designer Icon=designer-qt5.png MimeType=application/x-designer; Terminal=false Encoding=UTF-8 Type=Application Categories=Qt;Development;
EOF cat > /usr/share/applications/linguist-qt5.desktop << EOF[Desktop Entry] Name=Qt5 Linguist Comment=Add translations to Qt5 applications Exec=$QT5LINK/bin/linguist Icon=linguist-qt5.png MimeType=text/vnd.trolltech.linguist;application/x-linguist; Terminal=false Encoding=UTF-8 Type=Application Categories=Qt;Development;
EOF cat > /usr/share/applications/qdbusviewer-qt5.desktop << EOF[Desktop Entry] Name=Qt5 QDbusViewer GenericName=D-Bus Debugger Comment=Debug D-Bus applications Exec=$QT5LINK/bin/qdbusviewer Icon=qdbusviewer-qt5.png Terminal=false Encoding=UTF-8 Type=Application Categories=Qt;Development;Debugger;
EOF
-confirm-license
:
Acceptez la licence sans poser la question à l'utilisateur
pendant la configuration.
-opensource
:
Installez la version opensource de Qt5.
-release
: Ce
paramètre désactive la construction avec les symboles de
déboguage.
-nomake examples
: Ce
paramètre désactive la construction des programmes d'exemple
inclus dans les sources. Enlevez le si vous voulez les
construire.
-system-sqlite
: Ce
paramètre active l'utilisation de la version du système de
SQLite.
-no-nis
: Ce
paramètre désactive le support pour Network Information
Service (NIS) qui est enlevé dans les dernières versions de
Glibc.
-dbus-linked
-openssl-linked
: Ces paramètres active la
liaison explicite des bibliothèques D-Bus et OpenSSL dans les bibliothèques
Qt5 au lieu de les
dlopen()-itiser.
-skip qtwebengine
: ce
paramètre désactive la construction du moteur Web Qt. Il
n'est pas présentement utilisé par des application. Si c'est
option est enlevée, corrigez un problème de construction avec
:
sed -i '$ a !contains(QT_CONFIG, pulseaudio): GYP_CONFIG += use_pulseaudio=0' \ qtwebengine/src/core/config/desktop_linux.pri
-optimized-qmake
: Ce
paramètre active la construction du programme optimisé
qmake.
-system-harfbuzz
: Ce paramètre
active l'utilisation de la version du système de Harfbuzz qui corrige quelques problèmes
de rendu de police dans les applications Qt5 mais n'a pas toutes les
fonctionnalités que la version incluse a.
Créez les entrées du menu pour les applications installées
en lançant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
Si vous avez installé Qt5
dans /usr
, créez une variable
d'environnement utilisée par certains paquets En tant
qu'utilisateur root
:
cat > /etc/profile.d/qt5.sh << EOF
# Begin /etc/profile.d/qt5.sh
QT5DIR=/usr
export QT5DIR
# End /etc/profile.d/qt5.sh
EOF
Si vous avez installé Qt5
dans un emplacement autre que /usr
, vous devez mettre à jour les
fichiers de configuration suivant pour que Qt5 soit correctement trouvé par les
autres paquet et les processus systèmes.
En tant qu'utilisateur root
, mettez à jour le fichier
/etc/ld.so.conf
et le fichier
cache de l'éditeur de liens:
cat >> /etc/ld.so.conf << EOF
# Begin Qt addition
/opt/qt5/lib
# End Qt addition
EOF
ldconfig
En tant qu'utilisateur root
, créez le fichier /etc/profile.d/qt5.sh
:
cat > /etc/profile.d/qt5.sh << EOF
# Begin /etc/profile.d/qt5.sh
QT5DIR=/opt/qt5
pathappend /opt/qt5/bin PATH
pathappend /opt/qt5/lib/pkgconfig PKG_CONFIG_PATH
export QT5DIR
# End /etc/profile.d/qt5.sh
EOF
si vous installez Qt4 et Qt5, vous pouvez utiliser des
scripts simples pour selectionner l'ensemble des programmes
Qt actuellement actifs. En tant qu'utilisateur root
, creez les scripts suivants:
cat > /usr/bin/setqt4 << 'EOF'
if [ "x$QT5DIR" != "x/usr" ]; then pathremove $QT5DIR/bin; fi
if [ "x$QT4DIR" != "x/usr" ]; then pathprepend $QT4DIR/bin; fi
echo $PATH
EOF
cat > /usr/bin/setqt5 << 'EOF'
if [ "x$QT4DIR" != "x/usr" ]; then pathremove $QT4DIR/bin; fi
if [ "x$QT5DIR" != "x/usr" ]; then pathprepend $QT5DIR/bin; fi
echo $PATH
EOF
Vous pouvez utiliser la version approprie de Qt en lancant source setqt4 ou source setqt5 comme vous le souhaitez. (Initialisez le PATH ne fonctionne pas dans un sous-repertoire.) Une autre technique qui peut etre utilisee est de creer des alias appropries dans votre ~/bashrc comme alias setqt4='source setqt4'.
est un outil pour la présentation de documentation en ligne. |
|
est un constructeur complet de GUI. Il inclut des possibilités puissantes comme le mode de prévisualisation, la couche de boutons automatiques, le support des boutons personnalisés et un éditeur de propriétés avancées. |
|
fournit un support pour la traduction d'applications dans les langues locales. |
|
est un outil simple en ligne de commande. Il lit les fichiers de projet Qt et produit des fichiers de messages utilisés par l'application. |
|
lit les fichiers de projet Qt, trouve les chaînes traduisibles dans le source spécifié, les fichiers d'entête et d'interface Qt et produit ou met à jour les fichiers de traduction dans le fichier projet. |
|
génère un code de support des meta-objets Qt. |
|
est une loupe de bureau et tant que vous bougez votre souris dans l'écran il affichera le contenu agrandi dans sa fenêtre. |
|
utilise les informations enregistrées dans les fichiers projet pour déterminer ceux qui doivent aller dans les makefiles qu'il génère. |
|
est un compilateur de ressources utilisé en conjonction avec le dessinateur. |
|
est le compilateur d'interfaces utilisateur Qt. |
Last updated on 2013-08-11 04:12:50 +0200
Le paquet startup-notification contient les
bibliothèques startup-notification
. Elles sont utiles
pour construire une façon cohérente de notifier l'utilisateur
par un curseur que l'application est en cours de chargement.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.freedesktop.org/software/startup-notification/releases/startup-notification-0.12.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2cd77326d4dcaed9a5a23a1232fb38e9
Taille du téléchargement : 347 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Xorg Libraries et xcb-util-0.4.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/startup-notification
Installez startup-notification en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 -D doc/startup-notification.txt \ /usr/share/doc/startup-notification-0.12/startup-notification.txt
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
WebKitGTK+ est un portage du moteur de rendu web WebKit vers la plate-forme GTK+ 3 et/ou GTK+ 2.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://webkitgtk.org/releases/webkitgtk-2.4.8.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : bcdcef8e1ba28dbd5bb05f86c79f76b8
Taille du téléchargement : 9.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 1.5 Go (both built)
Estimation du temps de construction : 44 SBU (using parallelism=4, both built, webkitgtk-3.0 takes a little longer than webkitgtk-1.0)
gst-plugins-base-1.4.5, gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8, ICU-54.1, libsecret-0.18, libsoup-2.48.1, libwebp-0.4.2, MesaLib-10.4.5, Ruby-2.2.0, SQLite-3.8.8.2, udev-extras (depuis eudev) (pour GUdev) et which-2.20
WebKit2 se lie contre GTK+ 2 (meme si GTK+ 3 est utilisé), afin de pouvoir faire fonctionner les greffons NPAPI comme Adobe Flash.
enchant-1.6.0, GeoClue-0.12.0 gobject-introspection-1.42.0, hicolor-icon-theme-0.14
GTK-Doc-1.21, Harfbuzz-0.9.38, llvm-3.5.1, GeoClue2, et MathML
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/webkitgtk
Si vous n'avez pas installé GTK-Doc-1.21, corrigez un bogue qui fera échouer make install:
sed -i '/generate-gtkdoc --rebase/s:^:# :' \ GNUmakefile.in
Maintenant le standard des developpeurs est de lier ce paquet contre GTK+ 3. Cependant, pour une compatibilité descendante, beaucoup d'utilisateurs ont besoin aussi d'une autre instance liée à GTK+ 2. Les deux peuvent être installés sur le même système, sans problème. Cependant, quelques paquets peuvent alternavivement être liés soit à l'un soit à l'autre. Ici, les deux méthodes de constructions sont présentées et recommandées d'être construite, mais si vous savez celle que vous voulez, allez juste à la partie correspondante.
Installez WebKitGTK+ en lançant les commandes suivantes
mkdir -vp build-3 && cp -a Documentation build-3 && cd build-3 && ../configure --prefix=/usr --enable-introspection && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests fonctionnelle. Cependant, il y a deux navigateur web graphique basique dans le répertoire de construction Programs/GtkLauncher et Programs/MiniBrowser. Si le lancement d'un échoue, il y a un problème avec la construction.
Pendant l'installation, le Makefile fait quelques compilations et édition de lien supplémentaires. Si vous n'avez pas installé Xorg dans /usr, les variables LIBRARY_PATH et PKG_CONFIG_PATH doivent être définies pour l'utilisateur root. Si vous utilisez sudo pour être root, utilisez l'option -E pour passer vos variables d'environnement actuelle au processus d'installation.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Finallement, quittez le répertoire de construction:
cd ..
Installez WebKitGTK+ en lançant les commandes suivantes:
mkdir -vp build-1
Si vous avez construit et installé le paquet contre GTK+ 3 , sautez les commandes suivantes, car la documentation précédantes les applique déjà :
cp -a Documentation build-1
Maintenant, allez dans le répertoire de construction et commencer la construction et l'installation:
cd build-1 && ../configure --prefix=/usr --with-gtk=2.0 --disable-webkit2 && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests fonctionnelle. Cependant, il y a un navigateur web graphique basique dans le répertoire de construction Programs/GtkLauncher. Si le lancement échoue, il y a un problème avec la construction.
Pendant l'installation, le Makefile fait quelques compilations et édition de lien supplémentaires. Si vous n'avez pas installé Xorg dans /usr, les variables LIBRARY_PATH et PKG_CONFIG_PATH doivent être définies pour l'utilisateur root. Si vous utilisez sudo pour être root, utilisez l'option -E pour passer vos variables d'environnement actuelle au processus d'installation.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Finallement, quittez le répertoire de construction:
cd ..
--enable-introspection
: Ce
paramètre active le support pour Gobject Introspection et est requis pour
un bureau GNOME. Effacez le
si vous n'avez pas installé Gobject
Introspection ou ne voulez pas installer GNOME.
--disable-geolocation
: Utilisez
cette option si vous n'avez pas installé GeoClue-0.12.0 ou
configure
échouera.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
est un utilitaire en ligne de commande qui vous permet de lancer des programmes JavaScript en dehors du contexte d'un navigateur web. |
|
est un utilitaire en ligne de commande qui vous permet de lancer des programmes JavaScript en dehors du contexte d'un navigateur web. |
|
contient les fonctions de l'API du coeur de
JavaScript utilisées par jsc-1 et
|
|
contient les fonctions de l'API du coeur de
JavaScript utilisées par jsc-3 et
|
|
contient les fonctions de l'API de WebKitGTK+ pour GTK+ 2. |
|
contient les fonctions de l'API de WebKitGTK+ pour GTK+ 3. |
|
contient les fonctions de l'API de WebKit2. |
Last updated on 2013-06-06 17:31:50 +0200
WebKitGTK+ est un portage du moteur de rendu web portable WebKit pour les plateformes GTK+ 3 et GTK+ 2.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://webkitgtk.org/releases/webkitgtk-2.6.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 44addb5ccdace97642cb7656382293bb
Taille du téléchargement : 9.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 877 Mo (94 Mo installé)
Estimation du temps de construction : 29 SBU (using parallelism=4)
cmake-3.1.3, gst-plugins-base-1.4.5, gtk+-2.24.26, GTK+-3.14.8, ICU-54.1, libsecret-0.18, libsoup-2.48.1, libwebp-0.4.2, MesaLib-10.4.5, Ruby-2.2.0, SQLite-3.8.8.2, udev-extras (depuis eudev) (pour GUdev) et which-2.20
enchant-1.6.0, GeoClue-0.12.0, gobject-introspection-1.42.0, hicolor-icon-theme-0.14
GTK-Doc-1.21, Harfbuzz-0.9.38, llvm-3.5.1, GeoClue2, et MathML
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/webkitgtk
Installez WebKitGTK+ en lançant la suite
sed -i 's/â/\"/g' Source/WebCore/xml/XMLViewer.{css,js} && mkdir -vp build && cd build && cmake -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr \ -DCMAKE_SKIP_RPATH=ON \ -DPORT=GTK \ -DLIB_INSTALL_DIR=/usr/lib \ -Wno-dev .. && make
ce paquet n'a pas une suite de tests valide.
Pendant l'installation, le Makefile effectue quelques compilations et éditions de lien supplémentaire. si vous n'avez pas Xorg dans /usr, les variables LIBRARY_PATH et PKG_CONFIG_PATH doivent être définie pour l'utilisateur root. Si sudo est utilisé pour être root, utilisez l'option -E pour passer les variables d'environnement actuelles pour le processus d'installation.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -vdm755 /usr/share/gtk-doc/html/webkit{2,dom}gtk-4.0 && install -vm644 ../Documentation/webkit2gtk/html/* \ /usr/share/gtk-doc/html/webkit2gtk-4.0 && install -vm644 ../Documentation/webkitdomgtk/html/* \ /usr/share/gtk-doc/html/webkitdomgtk-4.0
sed -i ... : Corrige des typo dans deux fichiers sources.
-DUSE_SYSTEM_MALLOC=ON
: Ce
paramètre active la construction contre une version installé
sur le système de malloc.
-DENABLE_GEOLOCATION=OFF
:
Utilisez ce paramètre si vous ne voulez pas installer
GeoClue-0.12.0 ou GeoClue2.
-DENABLE_GTKDOC=ON
: Utilisez ce
paramètre si GTK-Doc-1.21 est installé et que vous
souhaitez reconstruire et installez la documentation API.
Last updated on 2014-09-30 15:23:31 +0200
Les gestionnaires de fenêtres et les environnements de bureau sont les interfaces primaires pour l'utilisateur dans le système X Window. Un gestionnaire de fenêtre est un programme qui contrôle l'apparence des fenêtres et qui fournit aux utilisateurs les moyens d'interagir avec elles. Un environnement de bureau fournit une interface plus complète avec le système d'exploitation, et il offre un gamme d'outils et d'applications intégrés.
Beaucoup de gestionnaires de fenêtre sont disponibles. Parmi les plus connus, on a fvwm2, Window Maker, AfterStep, Enlightenment, Sawfish, et Blackbox.
Les environnements de bureau disponibles pour Linux sont GNOME, KDE et XFce.
Le choix d'un gestionnaire de fenêtres ou d'un environnement de bureau est fortement subjectif. Le choix dépend de l'aspect et de la sensation des paquets, des ressources (RAM, espace disque) requises, et des outils inclus. Un site Internet qui offre un très bon résumé de ce qui est disponible, des captures d'écran et de leurs fonctionnalités respectives est Window Managers for X (les gestionnaires de fenêtre sous X).
Dans ce chapitre, sont présentées les instructions d'installation de plusieurs gestionnaires de fenêtre et d'un environnement de bureau léger. Plus tard dans le livre, tant KDE que GNOME ont leurs propres sections.
Last updated on : 2013-03-09 00:46:06 +010
Le paquet Fluxbox contient un gestionnaire de fenêtre.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/fluxbox/fluxbox-1.3.7.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.jaist.ac.jp/pub//sourceforge/f/fl/fluxbox/fluxbox/1.3.7/fluxbox-1.3.7.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b44afd10ee1e64624c23115aa51dcd55
Taille du téléchargement : 772 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 101 Mo
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU
D-BUS-1.8.16 (exécution), FriBidi-0.19.6 et Imlib2-1.4.6 (si vous souhaitez utiliser d'autres formats d'images en supplément de XPM)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/fluxbox
Installez Fluxbox en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas une suite de tests valide.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si Fluxbox est le seul
gestionnaire de fenêtre que vous voulez utiliser, vous
pouvez le lancer avec un fichier .xinitrc
dans votre dossier home
Assurez-vous de sauvegarder votre .xinitrc
actuel avant de poursuivre.
echo startfluxbox > ~/.xinitrc
Si vous utilisez un gestionnaire d'identification comme
GDM ou kdm et si vous aimeriez pouvoir
choisir Fluxbox à l'invite
de connexion, créez un fichier fluxbox.desktop
comme celui-ci.
En tant qu'utilisateur root
:
cat > /usr/share/xsessions/fluxbox.desktop << "EOF"
[Desktop Entry]
Encoding=UTF-8
Name=Fluxbox
Comment=This session logs you into Fluxbox
Exec=startfluxbox
Type=Application
EOF
Si vous n'avez pas installé GDM ou kdm dans /usr
, modifiez cette commande pour
l'adapter au préfixe que vous avez choisi.
Maintenant créez les fichiers de configuration de Fluxbox :
mkdir -v ~/.fluxbox && cp -v /usr/share/fluxbox/init ~/.fluxbox/init && cp -v /usr/share/fluxbox/keys ~/.fluxbox/keys
Pour générer le menu application, en premier vous pouvez
souhaiter lancer fluxbox-generate_menu -h,
pour pouvoir choisir les <user_options>
, alors
tapez:
cd ~/.fluxbox &&
fluxbox-generate_menu <user_options>
Alternativement, copiez un menu prégénéré :
cp -v /usr/share/fluxbox/menu ~/.fluxbox/menu
On ajoute des icônes de menu en éditant ~/.fluxbox/menu
. La syntaxe est expliquée
sur la page de man de fluxbox.
Si vous voulez utiliser une image en fond d'écran, copiez
le thème souhaité dans ~/.fluxbox
. Puis ajoutez une ligne pour
qu'il utilise la bonne image. Dans la commande suivante,
modifiez <theme>
par le nom du
thème que vous voulez et modifiez </chemin/vers/jolie/image.xpm>
pour pointer vers l'image actuelle que vous voulez
utiliser, ou ext
doit être « xpm », si
Imlib2-1.4.6 n'est pas installé pour
permettre d'autre formats d'image.
cp /usr/share/fluxbox/styles/<theme> ~/.fluxbox/theme && sed -i 's,\(session.styleFile:\).*,\1 ~/.fluxbox/theme,' ~/.fluxbox/init && [ -f ~/.fluxbox/theme ] && echo "background.pixmap: </path/to/nice/image.ext>" >> ~/.fluxbox/theme || [ -d ~/.fluxbox/theme ] && echo "background.pixmap: </path/to/nice/image.ext>" >> ~/.fluxbox/theme/theme.cfg
Dans certaines locales, il se peut que la police spécifiée
dans le thème ne contienne pas les caractères nécessaires.
Les menus sont alors des éléments vides. Vous pouvez
corriger cela en éditant ~/.fluxbox/theme
avec un éditeur de texte
et en le modifiant pour qu'il nomme une police convenable.
est un gestionnaire de fenêtre pour X11 basé sur Blackbox 0.61.0. |
|
est un outil qui règle l'image de fond d'écran. Il exige un des paquets suivants display, Esetroot, wmsetbg, xv, qiv or xsri. Il exige également which si Esetroot est trouvé. |
|
est un outil pour modifier l'apparence de la fenêtre racine basé sur bsetroot de l'application Blackbox. |
|
est un outil qui régénère un menu en analysant
votre |
|
est un script de démarrage de session qui permet l'exécution de commandes avant le démarrage de fluxbox. |
|
affiche une boîte de dialogue de lancement. |
|
fournit un accès en ligne de commande à des raccourcis clavier pour Fluxbox. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
IceWM est un gestionnaire de fenêtres ayant pour but la rapidité, la simplicité et ne pas remplacer la manière de l'utilisateur.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/icewm/icewm-1.3.8.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6d61aced3bd20b9e7caeb7e8380368c8
Taille du téléchargement : 888 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 33 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
X Window System et gdk-pixbuf-2.31.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/icewm
Cette version de IceWM est normalement une version de développement, mais elle fournit une environnement de travail stable et peut se construire sans des bibliothèques obsolètes.
Installez IceWM en lançant les commandes suivantes :
sed -i '/^LIBS/s/\(.*\)/\1 -lfontconfig/' src/Makefile.in && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests fonctionnelle.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && make install-docs && make install-man && make install-desktop
sed -i '/^LIBS/s/(.*)/1
-lfontconfig/' src/Makefile.in
: cela
corrige la construction avec des versions récentes de
binutils.
~/.icewm/keys
, ~/.icewm/menu
, et ~/.icewm/preferences
, et ~/.icewm/toolbar
, et ~/.icewm/winoptions
. Les versions par
défaut sont installées dans /usr/share/icewm/
et seront utilisées si
vous ne les avez pas copiées dans ~/.icewm
.
Si IceWM est le seul
gestionnaire de fenêtres que vous voulez utiliser, vous
pouvez le démarrer avec une fichier .xinitrc
dans votre dossier personnel.
Soyez certain d'avoir une copie de votre fichier
.xinitrc
actuel avant de le
modifier.
echo icewm-session > ~/.xinitrc
Maintenant, créez les fichiers de configuration de IceWM :
mkdir -v ~/.icewm && cp -v /usr/share/icewm/keys ~/.icewm/keys && cp -v /usr/share/icewm/menu ~/.icewm/menu && cp -v /usr/share/icewm/preferences ~/.icewm/preferences && cp -v /usr/share/icewm/toolbar ~/.icewm/toolbar && cp -v /usr/share/icewm/winoptions ~/.icewm/winoptions
Vous pouvez maintenant éditer ces fichiers pour mettre vos
personnalisations. En particulier, regardez le fichier
preferences
. Vous pouvez
utiliser Logout ->
Restart-IceWM dans le menu principal pour
charger vos préférences modifiées, mais les modifications
de fond ne prendront effet seulement quand IceWM est redémarré.
LA syntaxe des menus est expliquée dans les fichiers d'aide, auxquels vous pouvez accéder en lançant help depuis le menu, mais certains des détails sont dépassés et les sélections par défaut dans les menus (quelques vieilles applications dans le menu principal, et toutes celles dans le menu Programs ) auraient besoin d'être mise à jour pour s'adapter à vos besoins. Les exemples suivants sont fournis pour vous encourager à penser comment vous voulez organiser vos menus. Merci de faire attention à la suite:
Si un programme listé dans le menu n'a pas été installé, il n'apparaîtra pas quand le menu sera affiché. De même, si un programme existe mais que l'icône spécifiés n'existe pas, aucun icône ne sera affiché dans le menu.
Les icônes peuvent être soit des fichiers
.xpm
ou .png
, et il n'est pas utile de
spécifier l'extension. Si l'icône est placé dans la
"bibliothèque" (/usr/share/icewm/icons
) il n'est
pas utilse de spécifier le chemin.
La plupart des programmes sont dans des sous menus,
et le menu principal sera seulement pour les entrées
windows, help, settings,
logout
en bas.
Un icône pour firefox a été copié dans le
répertoire de la bibliothèque et a un nom logique.
L'icône pour xine
est xine.xpm
qui a été
installé dans le répertoire pixmap.
La bar d'outil par défaut n'est pas altérée.
Il est peu probable que ces exemples répondent à vos désirs, mais si vous souhaitez les utiliser exécuter ce qui suit
cat > ~/.icewm/menu << "EOF" &&prog Urxvt xterm urxvt prog GVolWheel /usr/share/pixmaps/gvolwheel/audio-volume-medium gvolwheel separator menufile General folder general menufile Multimedia folder multimedia menufile Tool_bar folder toolbar
EOF cat > ~/.icewm/general << "EOF" &&prog Firefox firefox firefox prog Epiphany /usr/share/icons/gnome/16x16/apps/web-browser epiphany prog Midori /usr/share/icons/hicolor/24x24/apps/midori midori separator prog Gimp /usr/share/icons/hicolor/16x16/apps/gimp gimp separator prog Evince /usr/share/icons/hicolor/16x16/apps/evince evince prog Epdfview /usr/share/epdfview/pixmaps/icon_epdfview-48 epdfview
EOF cat > ~/.icewm/multimedia << "EOF"prog Audacious /usr/share/icons/hicolor/48x48/apps/audacious audacious separator prog Parole /usr/share/icons/hicolor/16x16/apps/parole parole prog Totem /usr/share/icons/hicolor/16x16/apps/totem totem prog Vlc /usr/share/icons/hicolor/16x16/apps/vlc vlc prog Xine /usr/share/pixmaps/xine xine
EOF
Si vous voulez mettre les icônes sur votre bureau, vous devrez installer un programme comme Rox-Filer-2.11 qui fournit un tableau d'affichage. Si vous le faite vous ne serez plus en mesure d'accéder au menu par un clic droit sur le bureau, vous aurez à utiliser le bouton de IceWM. Pour vous assurer que le tableau d'affichage rox est lancé, la commande suivante doit être placée dans le fichier de démarrage:
cat > ~/.icewm/startup << "EOF"
rox -p Default &
EOF &&
chmod +x ~/.icewm/startup
Il y a de nombreux raccourcis dans IceWM :
Ctrl + Alt + FN
: pour aller
au tty
.
N
Ctrl + Alt + N
: va au
bureau numéro N
Ctrl + Alt + Space : ouvre une boite dans la barre des taches ou vous pouvez taper le nom d'une application et la lancer.
est utilisée pour afficher le manuel html. |
|
est un gestionnaire de fenêtres en ligne de
commandes qui peut être utilisé dans |
|
est le gestionnaire de fenêtre. |
|
lance icewmbg, icewm, icewmtray, startup, shutdown (c'est à dire que les scripts de démarrage et d'arrêt sont lancés s'ils ont été installés). |
|
est un script pour initialiser GNOME en icewm en utilisant gconftool. |
|
est utilisé pour initialiser le fond, en accord
avec les nombreux paramètres de |
|
est utilisé en interne. |
|
fournit la barre. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Openbox est un gestionnaire de fenêtres de bureau hautement configurable supportant des standards de façon étendue. Il vous permet de contrôler presque tous les aspects de la manière dont interagissez avec votre bureau.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://openbox.org/dist/openbox/openbox-3.5.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 93df606606053b7e8578a5c116afb8ec
Taille du téléchargement : 956 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 19 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
X Window System et Pango-1.36.8 (compilé avec le support pour libXft).
D-BUS-1.8.16 (exécution), Imlib2-1.4.6 (pour activer les icônes dans le menu clic droit) PyXDG-0.25 startup-notification-0.12, et librsvg-2.40.7
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/openbox
Si XORG_PREFIX n'est pas /usr
, appelez gcc comme cela:
export LIBRARY_PATH=$XORG_PREFIX/lib
Si vous installez seulement le module Python 3 PyXDG convertissez l'un des scripts pour Python 3:
2to3 -w data/autostart/openbox-xdg-autostart && sed 's/python/python3/' -i data/autostart/openbox-xdg-autostart
Installez Openbox en lançant les commandes commands:
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/openbox-3.5.2 && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--;sysconfdir=/etc
: Cette
option met les fichiers de configuration de Openbox dans /etc/xdg/openbox au lieu de
/usr/etc/xdg/openbox.
--;docdir=/usr/share/doc/openbox-3.5.2
:
ceci met quelques fichiers dans un répertoire versionné de
/usr/share/doc
.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
/etc/xdg/openbox/autostart, /etc/xdg/openbox/menu.xml, /etc/xdg/openbox/rc.xml, ~/.config/openbox/autostart, ~/.config/openbox/menu.xml et ~/.config/openbox/rc.xml
Un clic droit sur le menu d'Openbox peut être utilisé pour lancer
des programmes. Le menu lui-même est configuré par 2
fichiers, /etc/xdg/openbox/menu.xml
et ~/.config/openbox/menu.xml
. Pour faire
des modifications dans le menu, copiez
/etc/xdg/openbox/menu.xml vers ~/.config/openbox/menu.xml
et editez le :
cp -rf /etc/xdg/openbox ~/.config
Vous pouvez éditer ~/.config/openbox/menu.xml
avec un
éditeur de texte ou vous pouvez installer Obmenu (exige
pyxml et
PyGTK-2.24.0).
Pour avoir des icônes dans votre menu accessible avec le
clic droit, il vous faut installer Imlib2-1.4.6 avant
d'install Openbox. Pour
définir une icône pour une entrée de menu, éeitez
~/.config/openbox/menu.xml
et
ajoutez une icône au tag <item> comme ceci :
<item label="Mplayer" icon="/usr/share/pixmaps/mplayer.png">
De nombreux autres aspects du comportement d'Openbox sont configurés avec
~/.config/openbox/rc.xml
tels
que les raccourcis claviers utilisés pour lancer des
programmes ou le bouton de la souris pour lancer le menu
principal.
Les détails sur le thème appliqué par Openbox aux décors de la fenêtre sont
configurés dans ~/.config/openbox/rc.xml
. Vous pouvez
avoir une liste des thèmes disponibles par la
commande :
ls -d /usr/share/themes/*/openbox-3 | sed 's#.*es/##;s#/o.*##'
Pour démarrer automatiquement openbox au démarrage de Xorg :
echo openbox > ~/.xinitrc
Si vous souhaitez avoir une image de fond sur votre bureau vous pouvez utiliser display et le lancer depuis ~/.xinitrc juste avant openbox:
cat > ~/.xinitrc << "EOF"
display -backdrop -window root /path/to/beautiful/picture.jpeg
exec openbox
EOF
Ou si vous aimez un peu de variété, mettez une sélection d'images dans un dossier (dans cet exemple, le répertoire ~/.config/backgrounds) et choisissez en une au hasard chaque fois que vous lancez xinit :
cat > ~/.xinitrc << "EOF"
# make an array which lists the pictures:
picture_list=(~/.config/backgrounds/*)
# create a random integer between 0 and the number of pictures:
random_number=$(( ${RANDOM} % ${#picture_list[@]} ))
# display the chosen picture:
display -backdrop -window root "${picture_list[${random_number}]}"
exec openbox
EOF
Si vous préférez avoir le verrouillage du pavé numérique d'activé quand vous démarrez Xorg, installez Numlockx et ajoutez le à votre xinitrc. Une autre application utile est D-BUS-1.8.16
cat > ~/.xinitrc << "EOF"
. /etc/profile
picture_list=(~/.config/backgrounds/*)
random_number=$(( ${RANDOM} % ${#picture_list[*]} ))
display -backdrop -window root "${picture_list[${random_number}]}"
numlockx
eval $(dbus-launch --auto-syntax --exit-with-session)
lxpanel &
exec openbox
EOF
est un outil en ligne de commande pour envoyer des signaux à GDM. |
|
est un outil en ligne de commande pour appeler la boîte de dialogue/le menu de Gnome Panel. |
|
est un outil pour afficher les propriété d'un système x window. Il comporte une fonctionnalité similaire à xprop, mais il vous permet de voir des chaînes UTF-8 comme du texte. |
|
est un gestionnaire de fenêtres respectant les standards et très configurable. |
|
est un script qui lance des commandes et des applications au démarrage de Openbox. |
|
est un script qui lance les fichiers .desktop de xdg autostart. |
|
est un script pour lancer une session Gnome avec Openbox comme gestionnaire de
fenêtres à partir de votre |
|
est un script pour lancer une session KDE avec Openbox comme gestionnaire de
fenêtres à partir de votre |
|
est un script pour lancer une session Openbox à partir de votre
|
|
contient les fonctions utilisées par Openbox pour l'affichage du thème. |
|
est la bibliothèque d'outils d'Openbox. |
Last updated on : 2012-06-09 01:56:43 +020
Le paquet sawfish contient un gestionnaire de fenêtre. C'est utile pour organiser et afficher des fenêtres où toutes les décorations des fenêtres sont configurables et toutes les règles de l'interface utilisateur sont contrôlées par le langage d'extension.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.tuxfamily.org/sawfish/sawfish_1.11.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 19a8f3e4edefa747d8aa5dff772a98d0
Taille du téléchargement : 2.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 50 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
rep-gtk-0.90.8.2 et which-2.20
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sawfish
Installez sawfish en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --with-pango && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Assurez-vous de sauvegarder votre .xinitrc
actuel avant de poursuivre.
cat >> ~/.xinitrc << "EOF"
exec sawfish
EOF
Facultativement, vous pouvez utiliser un gestionnaire de bureau, comme LXDM-0.5.0.
Pour les développeurs: « La liaison avec le menu par défaut est quelque chose d'obscrure; vous devez cliquer avec le bouton du milieu dans le fond d'écran pour faire apparaitre les menus (si vous avez une souris deux boutons, essayez de cliquer avec les deux boutons ». vous pouvez trouver cela sur FAQ de sawfish.
est le gestionnaire de fenêtre extensible qui utilise un langage de scripts basé sur Lisp. |
|
est la fenètre "à propos" de sawfish. |
|
vous permet de vous connecter à un processus de gestionnaire de fenêtre et d'évaluer les formes Lisp de votre choix. |
|
est le gestionnaire de configuration de sawfish. |
Last updated on 2011-12-14 20:01:05 +0100
twm est le gestionnaire de fenêtre en onglets (Tab Window Manager). C'est le gestionnaire de fenêtre par défaut installé par les paquets X Window System..
mwm est le gestionnaire de fenêtre Motif®. C'est un clone OSF/Motif® empaqueté et il est installé avec LessTif.
Last updated on : 2012-05-06 17:26:39 +020
KDE version 4 est un environnement de bureau complet avec une grande quantité d'applications écrites pour lui et aussi une grande quantité d'utilisateurs. Il est basé sur Qt.
Pour plus d'informations visitez le site officiel du projet KDE à l'adresse http://www.kde.org/.
Les paquets du coeur de KDE sont listés dans l'ordre de construction recommandé et testé. Les paquets supplémentaires de KDE peuvent être construit dans n'importe quel ordre.
Last updated on 2012-08-08 17:38:30 +0200
Si vous n'avez pas installé Xorg dans /usr
, certain des modules CMake dans KDE cherche des paquets dans des chemins
codés en durs. Pour résoudre ce problème créé les liens
symboliques suivants (en tant qu'utilisateur root):
ln -sv $XORG_PREFIX /usr/X11R6
Une option est de mettre KDE
dans la hiérarchie /usr
. Cela
va créer un setup plus simple mais il sera plus difficile
d'essayer des versions multiples de KDE.
export KDE_PREFIX=/usr
Une méthode pour construire des multiples versions est
d'installer KDE dans la
hiérarchie /opt
:
export KDE_PREFIX=/opt/kde
Si vous n'avez pas installé KDE dans /usr
, vous aurez besoin de faire quelques
changement supplémentaire de la configuration. Une bonne
pratique est de les ajouter dans votre profil système ou
personnel:
cat > /etc/profile.d/kde.sh << 'EOF'
# Begin /etc/profile.d/kde.sh
KDE_PREFIX=/opt/kde
KDEDIR=$KDE_PREFIX
pathappend $KDE_PREFIX/bin PATH
pathappend $KDE_PREFIX/lib/pkgconfig PKG_CONFIG_PATH
pathappend $KDE_PREFIX/share/pkgconfig PKG_CONFIG_PATH
pathappend $KDE_PREFIX/share XDG_DATA_DIRS
pathappend $KDE_PREFIX/share/man MANPATH
pathappend /etc/kde/xdg XDG_CONFIG_DIRS
export KDE_PREFIX KDEDIR
# End /etc/profile.d/kde.sh
EOF
Ajouter dans votre /etc/ld.so.conf
:
cat >> /etc/ld.so.conf << EOF
# Begin kde addition
/opt/kde/lib
# End kde addition
EOF
Quelques paquets KDE installent des fichiers dans les
répertoires D-BUS et polkit. Quand on installe KDE ailleurs
que dans /usr
, D-Bus et polkit
ont besoin de trouver ces fichiers. La façon la plus simple
de le faire est de créer les liens symboliques suivants (en
tant qu'utilisateur root
) :
install -d $KDE_PREFIX/share && ln -svf /usr/share/dbus-1 $KDE_PREFIX/share && ln -svf /usr/share/polkit-1 $KDE_PREFIX/share
Parfois, les chemins d'installation sont corrigés dans les
fichies installés. C'est la raison pourquoi /opt/kde
est utilisé comme préfixe
d'installation au lieu de /opt/kde-4.14.3
. Après l'installation de
KDE, vous pouvez renommer
le répertoire et créer un lien symbolique:
mv /opt/kde{,-4.14.3} && ln -svf kde-4.14.3 /opt/kde
Plus tard, vous pouvez vouloir installer d'autres versions
de KDE. Pour faire cela,
il suffit d'effacer le lien symbolique et utiliser
/opt/kde
de nouveau comme
préfixe (KDE ne doit pas
être démarré). La version de KDE que vous utiliserez dépendra
uniquement de la cible du lien symbolique. Aucune autre
configuration ne sera nécessaire.
Last updated on : 2012-04-15 19:19:58 +020
Automoc4 est un outil pour ajouter des rêgles pour la génération des fichiers Qt moc automatiquement pour les projets qui utilisent CMake comme système de construction.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/automoc4/0.9.88/automoc4-0.9.88.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/automoc4/0.9.88/automoc4-0.9.88.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 91bf517cb940109180ecd07bc90c69ec
Taille du téléchargement : 0.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 488 Ko
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/automoc4
Installez automoc4 en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-Wno-dev
: Supprime les
avertissements qui sont données par l'auteur des fichiers
CMakeLists.txt.
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Phonon est l'API multimedia de KDE4. Il remplace le vieux aRts, qui n'est plus supporté par KDE. Phonon nécessite également le backend GStreamer ou VLC.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/phonon/4.8.3/src/phonon-4.8.3.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/phonon/4.8.3/src/phonon-4.8.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 88bb9867261803eed61ff53a7c026338
Taille du téléchargement : 316 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 11.7 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
cmake-3.1.3, GLib-2.42.1 et Qt-4.8.6
PulseAudio-5.0, Qt-5.4.0 et QZeitgeist
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/phonon
Soyez sûr que Qt-4.8.6 est compilé sans la bibliothèque fournie Phonon. Ce paquet fournit une meilleure implémentation.
Si vous avez Qt4 et Qt5 d'installé, soyez certain de lancer
source
setqt4
avant l'installation de Phonon.
Installez Phonon en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DCMAKE_INSTALL_LIBDIR=lib \ -DPHONON_INSTALL_QT_EXTENSIONS_INTO_SYSTEM_QT=FALSE \ -DDBUS_INTERFACES_INSTALL_DIR=/usr/share/dbus-1/interfaces \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
: Ce
paramètre est utilisé pour appliquer le plus haut niveau
d'optimisation du compilateur.
-DPHONON_INSTALL_QT_EXTENSIONS_INTO_SYSTEM_QT=FALSE
:
Cette option garantit que le greffon et les fichiers mkspecs
s'installent au bon endroit.
-DDBUS_INTERFACES_INSTALL_DIR=/usr/share/dbus-1/interfaces
:
Cette option initialise le bon chemin d'installation pour le
fichier des interfaces D-Bus.
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Ce paquet fournit un backend Phonon qui utilise le framework GStreamer.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/phonon/phonon-backend-gstreamer/4.8.2/src/phonon-backend-gstreamer-4.8.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/phonon/phonon-backend-gstreamer/4.8.2/src/phonon-backend-gstreamer-4.8.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ce441035dc5a00ffaac9a64518ab5c62
Taille du téléchargement : 76 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.1 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
GStreamer-1.4.5, libxml2-2.9.2 et phonon-4.8.3
gst-plugins-base-1.4.5 (nécessaire pour la sortie sur ALSA), gst-plugins-good-1.4.5 (nécessaire pour la sortie sur PulseAudio), gst-plugins-bad-1.4.5 (nécessaire pour le support AAC/M4A) et gst-plugins-ugly-1.4.5 (nécessaire pour le support MP3).
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/phonon-backend-gstreamer
Installez Phonon-backend-gstreamer en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_INSTALL_LIBDIR=lib \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
: Ce
paramètre est utilisé pour appliquer un haut niveau
d'optimisation à la compilation.
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Ce paquet fournit une fondation Phonon qui utilise l'environnement du lecteur VLC.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/phonon/phonon-backend-vlc/0.8.2/src/phonon-backend-vlc-0.8.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/phonon/phonon-backend-vlc/0.8.2/src/phonon-backend-vlc-0.8.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3937517ce4929dea4398ad9834507f97
Taille du téléchargement : 60 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.1 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/phonon-backend-vlc
Installez Phonon-backend-vlc en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_INSTALL_LIBDIR=lib \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
: Ce
paramètre est utilisé pour appliqué un haut niveau
d'optimisation à la compilation.
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Akonadi est un service de stockage croisé extensible de bureau pour les données et méta données PIM fournissant simultanément l'accès au requête en lecture et écriture. Il fournira l'identification unique des objets et la récupération de bureau.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/akonadi/src/akonadi-1.13.0.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/akonadi/src/akonadi-1.13.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 84eb2e471bd6bdfe54a2a2f1d858c07d
Taille du téléchargement : 287 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 82 Mo
Estimation du temps de construction : 1.9 SBU
shared-mime-info-1.4, boost-1.57.0 et un parmi SQLite-3.8.8.2, MariaDB-10.0.16 ou MySQL ou PostgreSQL-9.4.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/akonadi
Installez akonadi en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DINSTALL_QSQLITE_IN_QT_PREFIX=TRUE \ -Wno-dev .. && make
Pour tester les résultats, tappez make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
:
Ce paramètre est utilisé pour appliqué le plus haut niveau
d'optimisation du compilateur.
-DINSTALL_QSQLITE_IN_QT_PREFIX=TRUE
: Ce
paramètre assure que l'extension SQLite de Akonadi est installé dans le répertoire
des ajouts de Qt.
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Attica est une bibliothèque pour accéder aux fournisseurs "Open Collaboration Service".
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/attica/attica-0.4.2.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/attica/attica-0.4.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d62c5c9489a68432e8d990dde7680c24
Taille du téléchargement : 59 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
Qt-5.4.0 (demande extra-cmake-modules)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/attica
Installez attica en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DQT4_BUILD=ON \ -Wno-dev .. && make
Pour tester les résultats, tappez make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
: Ce
paramètre est utilisé pour appliquer un plus haut niveau
d'optimisation.
-DQT4_BUILD=ON
: Ce
paramètre force le paquet à ce construire contre Qt4 seulement si Qt5 est présent sur le système. Effacez
le si vous voulez construire le paquet contre Qt5.
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
QImageblitz est un effet graphique et une bibliothèque de filtres pour KDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/qimageblitz/qimageblitz-0.0.6.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/qimageblitz/qimageblitz-0.0.6.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 0ae2f7d4e0876764a97ca73799f61df4
Taille du téléchargement : 57 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.4 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/qimageblitz
Installez qimageblitz en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX -Wno-dev .. && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Polkit-Qt fournit une API polkit dans l'environnement Qt.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/apps/KDE4.x/admin/polkit-qt-1-0.112.0.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/apps/KDE4.x/admin/polkit-qt-1-0.112.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : bee71b71c12797e6fc498540a06c829b
Taille du téléchargement : 68 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.2 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
cmake-3.1.3, polkit-0.112, et Qt-4.8.6
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/polkit-qt
Installez polkit-qt en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DCMAKE_INSTALL_LIBDIR=lib \ -DUSE_QT4=TRUE \ -Wno-dev .. && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
: Ce
paramètre est utilisez pour appliquer le plus haut niveau
d'optimisation du compilateur.
-DCMAKE_INSTALL_LIBDIR=lib
: Ce
paramètre est utilisé pour installer les bibliothèques dans
$KDE_PREFIX/lib
au lieu de
$KDE_PREFIX/lib64
sur un
système 64 bits.
-DUSE_QT4=TRUE
: Ce
paramètre est utilisé pour s'assurer que la version
Qt4 de la bibliothèque est
construite même si Qt5 est
présent.
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Le thème Oxygen est un style d'icone photo-réaliste, avec une haute qualité standard des graphiques.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/oxygen-icons-14.12.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c15b889622986ff4740c5a216efd577c
Taille du téléchargement : 219 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 473 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/oxygen-icons
Installez Oxygen-icons en exécutant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX -Wno-dev ..
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Ce paquet inclus des programmes et des bibliothèques qui sont centraux dans le développement et l'exécution des programmes de KDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/kdelibs-4.14.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6587cca14d92eb2ced735c12361d86d3
Taille du téléchargement : 11.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 450 Mo
Estimation du temps de construction : 3.4 SBU (using parallelism=10)
attica-0.4.2, DocBook XML-DTD-4.5, DocBook XSL Stylesheets-1.78.1, giflib-5.1.1, libdbusmenu-qt-0.9.2, libjpeg-turbo-1.4.0, libpng-1.6.16, phonon-4.8.3, strigi-0.7.8, et shared-mime-info-1.4
polkit-qt-0.112.0, OpenSSL-1.0.2, qca-2.1.0, UPower-0.9.23, et uDisks-1.0.5 ou UDisks-2.1.4
JasPer-1.900.1, PCRE-8.36, avahi-0.6.31, Aspell-0.60.6.1, enchant-1.6.0, grantlee-0.5.1, MIT Kerberos V5-1.13.1, soprano, shared-desktop-ontologies, Hspell, FAM, HUPnP, OpenEXR, et media-player-info
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kdelibs
Corrigez des conflits de fichier avec GNOME Menus en lançant les commandes suivantes:
sed -i "s@{SYSCONF_INSTALL_DIR}/xdg/menus@& RENAME kde-applications.menu@" \ kded/CMakeLists.txt && sed -i "s@applications.menu@kde-&@" \ kded/kbuildsycoca.cpp
Installez Kdelibs en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DSYSCONF_INSTALL_DIR=/etc \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DDOCBOOKXML_CURRENTDTD_DIR=/usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5 \ -Wno-dev .. && make
Les tests de régression unitaires sont prévus pour être lancés après que kdelibs soit installé.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Pour lancer les tests de regression unitaires, vous devez avoir une session de KDE de lancée et tapez make test.
-DSYSCONF_INSTALL_DIR=/etc
:
Ce paramètre est utilisé pour installer les fichiers de
configuration dans /etc.
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
:
Ce paramètre est utilisé pour appliquer des optimisations de
compilation de haut niveau.
-DDOCBOOKXML_CURRENTDTD_DIR=...
: Ce
paramètre est utilisé pour dire à cmake ou trouver les DTD de
XML.
-DWITH_SOLID_UDISKS2=TRUE
:
Utilisez ce paramètre si vous avez UDisks2.
est un outil pour vérifier les erreurs de syntaxe dans les fichiers XML de la documentation KDE. |
|
est utilisé pour reconstruire le cache du système de configuration. |
|
est le compilateur de configuration de KDE. |
|
est le démon HTTP de cookie de KDE. |
|
est utilisé pour afficher les chemins de configuration de KDE. |
|
est le démon KDE. |
|
est le lanceur de processus de KDE. |
|
est le moteur ECMAScript/JavaScript de KDE. |
|
est un outil utilisé pour lancer le script KJSEmbed depuis la ligne de commande. |
|
est l'application KDE utilisée pour lancer les scripts kross. |
|
est utilisé pour construire les plugins Qt widget depuis un fichier ini de description de style. |
|
est utilisé pour convertir les fichiers de DocBook en HTML. |
|
est un script utilisé pour extraire du texte depuis les fichiers d'astuces. |
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Kfilemetadata est une boite à outils pour chercher et gérer des méta-données.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/4.14.3/src/kfilemetadata-4.14.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2e7143fd470bf84ac05475871119d9eb
Taille du téléchargement : 36 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.3 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
taglib-1.9.1, Poppler-0.31.0, exiv2-0.24, FFmpeg-2.5.4, libepub et Mobipocket
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kfilemetadata
Installez kfilemetadata en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Pour lancer la suite de test, tapez: make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2014-04-17 11:45:53 +0200
Kdepimlibs est la bibliothèque commune pour les applications PIM de KDE comme kmail, kalarm etc.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/kdepimlibs-4.14.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 0c027a427a15487d594aa1d6d20b339c
Taille du téléchargement : 2.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 212 Mo
Estimation du temps de construction : 1.4 (using parallelism=10) SBU
kdelibs-4.14.5, libxslt-1.1.28, GPGME-1.5.3, libical-1.0.1 akonadi-1.13.0, Cyrus SASL-2.1.26, boost-1.57.0 et QJson-0.8.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kdepimlibs
Installez kdepimlibs en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
La suite de tests complètes pour ce paquet n'est pas active par défaut et pas testée par l'équipe de BLFS.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-04-23 19:04:04 +020
Baloo est une boite à outils pour chercher et gérer des méta-données.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/4.14.3/src/baloo-4.14.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 09575539cf2c76c951a67da00bd5df5b
Taille du téléchargement : 144 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 33 Mo
Estimation du temps de construction : 1.8 SBU
kdepimlibs-4.14.5, kfilemetadata-4.14.3 et xapian-1.2.19
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/baloo
Installez baloo en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de tests fonctionnelle.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2014-04-17 11:45:53 +0200
Baloo-widgets contients des gadgets pour la boite à outils de recherche baloo.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/4.14.3/src/baloo-widgets-4.14.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9ee2a741c502b924a9575a96f10bb5f8
Taille du téléchargement : 40 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.6 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/baloo-widgets
Installez baloo-widgets en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2014-04-17 11:45:53 +0200
Polkit-kde-agent provides a graphical authentication prompt so non-priviledged users can authenticate themselves for performing administrative tasks in KDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/apps/KDE4.x/admin/polkit-kde-agent-1-0.99.0.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/apps/KDE4.x/admin/polkit-kde-agent-1-0.99.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a02d3fddc6270a88bceaf3ba604c92f8
Taille du téléchargement : 34 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.8 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
polkit-qt-0.112.0 et kdelibs-4.14.5
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/polkit-kde-agent
Installez polkit-kde-agent en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../polkit-kde-agent-1-0.99.0-remember_password-1.patch && mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX -Wno-dev .. && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Ce paquet fournit un gestionnaire d'activité pour KDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/4.13.3/src/kactivities-4.13.3.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/4.13.3/src/kactivities-4.13.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e56a3aead6f418d973c0acd9c889deb8
Taille du téléchargement : 88 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.2 Mo
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kactivities
Installez Kactivities en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Ce paquet n'a pas une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-04-05 20:35:24 +020
kde-runtime contient des binaires et des bibliothèques d'exécution à KDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/kde-runtime-14.12.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6c9eaba92b0bc92892f119e9ed657536
Taille du téléchargement : 7.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 138 Mo
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU (using parallelism=10)
kdelibs-4.14.5 et libgcrypt-1.6.2
kactivities-4.13.3, kdepimlibs-4.14.5 ALSA-Library-1.0.28, libjpeg-turbo-1.4.0 et exiv2-0.24
PulseAudio-5.0, xine-Libraries-1.2.6, libcanberra-0.30, Samba-4.1.17, NetworkManager-1.0.0, nepomuk-core, OpenSLP, QNtrack, LibSSH and OpenEXR
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kde-runtime
Installez kde-runtime en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DSYSCONF_INSTALL_DIR=/etc \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DSAMBA_INCLUDE_DIR=/usr/include/samba-4.0 \ -Wno-dev .. && make
Pour tester les résultats, tapez make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && ln -sfv ../lib/kde4/libexec/kdesu $KDE_PREFIX/bin/kdesu
-DSAMBA_INCLUDE_DIR=/usr/include/samba-4.0
:
Ce paramètre est utilisé pour que CMake puisse proprement trouver les
entêtes Samba qui ont été
déplacé dans la version 4.
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Ce paquet fournit diverses applications, telles que Dolphin (gestionnaire de fichiers) et Konqueror (navigateur Internet). Les fichiers et les bibliothèques de l'infrastructure sont aussi fournis.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/kde-baseapps-14.12.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 28c204e6d3ae7d670e75504ee80a9b0a
Taille du téléchargement : 2.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 102 Mo
Estimation du temps de construction : 0.6 SBU (using parallelism=10)
kactivities-4.13.3, kfilemetadata-4.14.3, baloo-4.14.3 et baloo-widgets-4.14.3
HTML Tidy-cvs_20101110 et GLib-2.42.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kde-baseapps
Installez Kde-baseapps en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Pour tester les résultats, tapez make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Ce paquet fournit l'écran par défaut de KDE
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/kde-base-artwork-14.12.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4fa7e833854aa28afd9392e415300cf5
Taille du téléchargement : 7.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 15 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kde-base-artwork
Installez kde-base-artwork en exécutant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX -Wno-dev ..
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Le paquet Kde-workspace contient des composants centraux pour l'environnement de bureau KDE. Parmi ceux les plus importants, se trouvent KWin, le gestionnaire de fenêtres KDE et Plasma, qui fournit l'interface d'espaces de travail.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/kde-workspace-4.11.16.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/applications/14.12.2/src/kde-workspace-4.11.16.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d580a4d6339930d4c12a498ab46f27af
Taille du téléchargement : 12.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 384 Mo
Estimation du temps de construction : 2.2 SBU (using parallelism=10)
kactivities-4.13.3, qimageblitz-0.0.6, xcb-util-image-0.4.0, xcb-util-renderutil-0.3.9, xcb-util-keysyms-0.4.0 et xcb-util-wm-0.4.1
kdepimlibs-4.14.5, boost-1.57.0, FreeType-2.5.5, PCI Utils-3.3.0 et ConsoleKit-0.4.6
Linux-PAM-1.1.8, libusb-1.0.19, NetworkManager-1.0.0, lm_sensors-3.3.5, QJson-0.8.1, PyKDE4, GoogleGadgets, Prison, libraw1394, gpsd, XMMS, libqalculate (demande CLN) et Wayland.
Kde-workspace a une dépendance d'exécution appelée Application menu for Qt qui autorise l'application menubar à être insérée comme un simple bouton dans la bar des titres. Il peut être trouvé appmenu-qt.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kde-workspace
Il est recommandé d'avoir un utilisateur et un group dédiés
pour contrôler le démon kdm après qu'il soit
démarré. Tapez les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
groupadd -g 37 kdm && useradd -c "KDM Daemon Owner" -d /var/lib/kdm -g kdm \ -u 37 -s /bin/false kdm && install -o kdm -g kdm -dm755 /var/lib/kdm
Installez Kde-workspace en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DSYSCONF_INSTALL_DIR=/etc \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DINSTALL_PYTHON_FILES_IN_PYTHON_PREFIX=TRUE \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mkdir -p /usr/share/xsessions && ln -sf $KDE_PREFIX/share/apps/kdm/sessions/kde-plasma.desktop \ /usr/share/xsessions/kde-plasma.desktop
-DINSTALL_PYTHON_FILES_IN_PYTHON_PREFIX=TRUE
:
Cette option est initialisée pour installer les objets python
de KDE à un endroit correct.
Si vous construisez KDE
Workspace avec le support Linux PAM, créez les fichiers de
configuration nécessaire en lançant les commandes suivantes
en tant qu'utilisateur root
:
cat >> /etc/pam.d/kde << "EOF" && # Begin /etc/pam.d/kde auth requisite pam_nologin.so auth required pam_env.so auth required pam_succeed_if.so uid >= 1000 quiet auth include system-auth account include system-account password include system-password session include system-session # End /etc/pam.d/kde EOF cat > /etc/pam.d/kde-np << "EOF" && # Begin /etc/pam.d/kde-np auth requisite pam_nologin.so auth required pam_env.so auth required pam_succeed_if.so uid >= 1000 quiet auth required pam_permit.so account include system-account password include system-password session include system-session # End /etc/pam.d/kde-np EOF cat > /etc/pam.d/kscreensaver << "EOF" # Begin /etc/pam.d/kscreensaver auth include system-auth account include system-account # End /etc/pam.d/kscreensaver EOF
Last updated on : 2013-04-23 19:04:04 +020
D-BUS-1.8.16 (exécution)
Après avoir installé Kde-workspace, une première étape importante a été franchie. Maintenant, vous devez configurer votre système pour démarrer KDE.
Pour démarrer KDE à partir
de l'invite de commande, vous devrez modifier votre fichier
.xinitrc
:
cat > ~/.xinitrc << EOF
# Begin .xinitrc
exec ck-launch-session dbus-launch --exit-with-session startkde
# End .xinitrc
EOF
Si vous n'utilisez pas ConsoleKit, supprimez ck-launch-session
.
Vous pouvez maintenant démarrer KDE en utilisant la commande startx.
KDE est fourni avec une interface de connexion graphique
appelée KDM (le KDE Display Manager (gestionnaire
d'affichage KDE)) qui offre une connexion graphique
personnalisable au démarrage. Pour utiliser KDM, vous devez
éditer votre fichier /etc/inittab
(en tant qu'utilisateur
root
). Tout d'abord, réglez
le niveau d'exécution 5 pour lancer KDM (ajustez le chemin
vers KDM selon votre système) :
cat >> /etc/inittab << EOF
kd:5:respawn:/opt/kde/bin/kdm
EOF
En plus, vous devez changer le niveau d'éxécution par défaut de 3 à 5:
sed -i 's#id:3:initdefault:#id:5:initdefault:#' /etc/inittab
Vous pouvez maintenant redémarrer votre système et vous verrez l'écran de connexion KDE.
vous pouvez vouloir installer le support pour votre lanque locale. Le paquet l10n peut être trouvé à l'adresse http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/kde-l10n/. Regardez Paquets KDE supplémentaires pour les instructions de construction. Si vous êtes dans une session KDE quand vous installez une nouvelle langue et configurez KDE pour l'utiliser, la session doit être redémarrée, pour voir les effets.
Tous les paquets suivants peuvent être construits alors que
KDE est actif et fonctionne,
mais souvenez-vous de garder le réglage de $KDE_PREFIX
et $QT4DIR
.
Last updated on : 2012-04-15 19:19:58 +020
Ce paquet fournit un émulateur de terminal pour KDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/4.14.3/src/konsole-4.14.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1c81a9a2c073f7992671e168b7285a2a
Taille du téléchargement : 448 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 18 Mo
Estimation du temps de construction : 0.6 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/konsole
Installez Konsole en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Ce paquet fournit deux éditeurs de texte : Kate et KWrite. Kate est un éditeur de texte puissant pour programmeur avec la coloration syntaxique pour de nombreux langages de programmation et de scriptage. KWrite est le cousin allégé de Kate.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/4.14.3/src/kate-4.14.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 14da162cc650075cfb364fd39e64924d
Taille du téléchargement : 2.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 108 Mo
Estimation du temps de construction : 2.9 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kate
Installez Kate en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DINSTALL_PYTHON_FILES_IN_PYTHON_PREFIX=TRUE \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DINSTALL_PYTHON_FILES_IN_PYTHON_PREFIX=TRUE
:
Cette option est initialisée pour installer les objets Python
de KDE a un emplacement correct.
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Ce paquet fournit un utilitaire d'archivage pour KDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/ark-14.12.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 147c89e33743a28319c0742a233e2700
Taille du téléchargement : 228 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 10.4 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
kde-baseapps-14.12.2 et libarchive-3.1.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ark
Installez Ark en lançant les commandes suivantes
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Ce paquet fournit une application de mixage audio pour KDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/kmix-14.12.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a013333accf574a84b3e2b43683f96eb
Taille du téléchargement : 380 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU
PulseAudio-5.0 et libcanberra-0.30
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kmix
Installez Kmix en lançant les commandes suivantes:
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Le paquet libkcddb contient une bibliothèque utilisée pour retrouver des méta-données de CD audio depuis internet.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/libkcddb-14.12.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3d01bd0ddae91339f7db65681381eee5
Taille du téléchargement : 156 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 8.2 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
kdelibs-4.14.5 et libmusicbrainz-5.1.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libkcddb
Installez libkcddb en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Ce paquet fournit des ressources supplémentaires pour Akonadi.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/kdepim-runtime-4.14.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e69c5343aab150ed2c8b80bba5b23813
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 137 Mo
Estimation du temps de construction : 5.8 SBU
KolabLibraries (pour Kolab Groupware Resource), LibKGAPI (pour accéder aux services Google) et libKFbAPI (pour accéder aux serviceS Facebook)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kdepim-runtime
Installez kdepim-runtime en exécutant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
make install
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
Last updated on : 2013-04-05 20:35:24 +020
Ce paquet fournit plusieurs programmes KDE pour gérer les informations personnelles. Les programmes inclus un gestionnaire de contacts, un calendrier, des utilitaires de mails, un newsreader, un gestionnaire de certificat X.509 et sticky notes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/kdepim-4.14.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 630cbdff67465ecf3027598ab5bcb08a
Taille du téléchargement : 13.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 486 Mo
Estimation du temps de construction : 3.4 SBU (using parallelism-10)
boost-1.57.0, grantlee-0.5.1 et kdepim-runtime-4.14.5
nepomuk-widgets, Prison, dblatex et LinkGrammar
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kdepim
Installez Kdepim en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DSYSCONF_INSTALL_DIR=/etc \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-04-05 20:35:24 +020
Libkexiv2 est une enveloppe KDE autour de la bibliothèque Exiv2 pour manipuler les métadonnées d'une image.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/libkexiv2-14.12.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2264916ee6bcb3e23bd5292d2e050cfd
Taille du téléchargement : 136 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.3 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libkexiv2
Installez libkexiv2 en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Ce paquet fournit des applets Plasma supplémentaires et des moteurs comme lancelot, calculator, wallpapers etc.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/4.14.3/src/kdeplasma-addons-4.14.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : bf98d9bf1502ab4ff392fdd9b4703664
Taille du téléchargement : 1.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 91 Mo
Estimation du temps de construction : 3.0 SBU
kde-workspace-4.11.16 et kdepimlibs-4.14.5
libkexiv2-14.12.2, QJson-0.8.1, Eigen (pour le greffon d'image de bureau Mandelbrot) and IBus, Nepomuk Marble (pour l'image de bureau desktop globe), QOAuth (nécessaire pour le moteur de donnée de microblog de Plasma)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/kdeplasma-addons
Installez Kdeplasma-addons en exécutant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Okular est un visualiseur de documents pour KDE. Il peut afficher des documents de nombreux types, tels que les PDF, PostScript, TIFF, Microsoft CHM, DjVu, DVI, XPS et ePub.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/okular-14.12.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7334a9d580adf762232354527b7741c1
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 32 Mo
Estimation du temps de construction : 1.2 SBU
kactivities-4.13.3, FreeType-2.5.5, qimageblitz-0.0.6, LibTIFF-4.0.3, libjpeg-turbo-1.4.0 et Poppler-0.31.0 (requis pour le support pdf)
Pour le support PDF dans Okular vous devez configurer
Poppler en utilisant
--enable-xpdf-headers
.
libkexiv2-14.12.2, ActiveApp (pour developper des applications pour Plasma Active), libspectre (pour le support PostScript), libchm, DjVuLibre, libepub and Mobipocket
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/okular
Installez Okular en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Libkdcraw est une interface C++ autour de la bibliothèque LibRaw utilisée pour décoder des fichiers images RAW files.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/applications/14.12.2/src/libkdcraw-14.12.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : fe93581e60a21de873a40a42f5f58093
Taille du téléchargement : 104 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.3 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
kdelibs-4.14.5 et libraw-0.16.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libkdcraw
Installez libkdcraw en lançant la suite
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2014-04-17 04:42:57 -0500
Gwenview est un visionneur d'images rapide et simple à utiliser pour KDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/4.14.3/src/gwenview-4.14.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a609256023f7b6e786fe7728ba299544
Taille du téléchargement : 2.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 32 Mo
Estimation du temps de construction : 1.2 SBU
libkdcraw-14.12.2 et kdelibs-4.14.5
kactivities-4.13.3, kde-baseapps-14.12.2, libkexiv2-14.12.2, et libjpeg-turbo-1.4.0
Little CMS-2.6 et Kipi-Plugins (une collection de plugins pour la manipulation des images)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gwenview
Installez Gwenview en lancant les commandes suivantes
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-10 13:50:47 +010
Cette section ne vous a pas fourni les instructions pour l'ensemble des paquets de la KDE Software Compilation. Les paquets inclus ont été sélectionnés sur la base de ce que les gens veulent utiliser sur un ordinateur standard de bureau.
Pour une liste complète des paquets disponibles, jetez un œil sur http://download.kde.org/stable/4.14.3/src/ ou ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/applications/14.12.2/src/.
CErtains paquets, comme konsole, kate, et gwenview listés dans le second lien sont seulement pour le nouveau KDE 5 et ne peuvent pas être utilisé avec DE4.
Certains paquets supplémentaires valent le coup d'être indiqués :
Kdeartwork: Ensemble de fonds d'écran, thèmes d'icones, économiseurs d'écran, styles de widget etc.
Juk: Un lecteur de musique léger.
Dragon: Un lecteur vidéo.
Kcalc: Une calculatrice scientifique.
PyKDE4: Des liaisons Python.
Kaccessible : Outils d'accessibilité.
Kwalletmanager : Application de gestion des autorisations.
Marble> : Programme global de cartes.
Vous pouvez construire la plupart de ces paquets avec les instructions standards pour KDE :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -Wno-dev .. && make
Et en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-06-26 11:38:02 +020
L'ojectif de ce chapitre n'est pas de construire un bureau GNOME, car il dépend de Systemd, que BLFS ne supporte pas. Seulement, il fournit des paquets requis pour des applications GNOME indépendantes du bureau qui puissent se construire et se lancer parfaitement dans tous les gestionnaires de fenêtres (par exemple Fluxbox, Icewm, Openbox, Sawfish), ou des environnement de bureau (par exemple KDE, XFCE, LXDE).
Le paquet gsettings-desktop-schemas contient un ensemble de schémas de GSettings pour les réglages partagée par de nombreux composants d'un bureau GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gsettings-desktop-schemas/3.14/gsettings-desktop-schemas-3.14.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gsettings-desktop-schemas/3.14/gsettings-desktop-schemas-3.14.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 92d41934212fc7da48648afa3927f4b0
Taille du téléchargement : 488 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 13 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
et GLib-2.42.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gsettings-desktop-schemas
Installez gsettings-desktop-schemas en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous installé le paquet dans votre système en utilisant
une méthode « DESTDIR », /usr/share/glib-2.0/schemas/gschemas.compiled
ne sera pas mis à jour/créé. Créez (ou mettez à jour) le
fichier en utilisant la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
glib-compile-schemas /usr/share/glib-2.0/schemas
Last updated on : 2013-03-28 01:12:39 +010
Le paquet yelp-xsl contient les feuilles de style XSL qui sont utilisées par le navigateur d'aide Yelp pour formater les documents Docbook et Mallard.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/yelp-xsl/3.14/yelp-xsl-3.14.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/yelp-xsl/3.14/yelp-xsl-3.14.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8965c1363857f223a6b761af6a37363d
Taille du téléchargement : 556 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.5 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
libxslt-1.1.28, , et itstool-2.0.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/yelp-xsl
Installez yelp-xsl en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet GConf contient un système de base de données de configuration utilisé par beaucoup des applications GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/GConf/3.2/GConf-3.2.6.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/GConf/3.2/GConf-3.2.6.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2b16996d0e4b112856ee5c59130e822c
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 45 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
dbus-glib-0.104, et libxml2-2.9.2
gobject-introspection-1.42.0, GTK+-3.14.8 et polkit-0.112
GTK-Doc-1.21 et OpenLDAP-2.4.40
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gconf
Installez GConf en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-orbit \ --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && ln -s gconf.xml.defaults /etc/gconf/gconf.xml.system
--disable-orbit
: Ce
paramètre est requis si ORBit2 n'est pas installé. ORBit2 est un paquet obsolète.
--mandir=
: Ce
paramètre fait que les fichiers $GNOME_PREFIX
/share/manman.(X)
s'installent dans $GNOME_PREFIX/share/man/man(X)
et non dans
$GNOME_PREFIX/man/man(X)
.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
produit une hiérarchie d'un système de fichiers xml. |
|
est un outil en ligne de commande utilisé pour manipuler la base de données GConf. |
|
lit les valeurs de la base de données utilisateur GConf et les enregistre dans les GSettings. |
|
convertit les formats de fichiers entre les schémas GConf et GSettings. |
|
fournit les fonctions nécessaires pour maintenir la base de données de configuration. |
Last updated on : 2013-01-26 01:40:55 +010
Le paquet libsecret contient une bibliothèque basée sur GObject pour accéder à l'API Secret Service.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libsecret/0.18/libsecret-0.18.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libsecret/0.18/libsecret-0.18.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 279d723cd005e80d1d304f74a3488acc
Taille du téléchargement : 472 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo (additional 3 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (additional 0.1 SBU for the tests)
gobject-introspection-1.42.0, libgcrypt-1.6.2 et Vala-0.26.2
GTK-Doc-1.21 et DocBook XML-DTD-4.5, DocBook XSL Stylesheets-1.78.1 et libxslt-1.1.28 (pour construire les pages de manuel)
D-Bus Python-1.2.0, gjs-1.42.0, et PyGObject-2.28.6
Tous les paquets demandant libsecret, demande à ce que GNOME Keyring d'être présent à l'exécution.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libsecret
Installez libsecret en lançant les commandes suivantes : commands:
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Pour tester les résultats, tapez : make -k check, après que le paquet soit installé. La suite de tests doit être lancée depuis une session GUI locale démarrée avec. Quelques tests peuvent échouer pour des raisons inconnues.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
--disable-manpages
:
Utilisez ce paramètre si vous n'avez pas installé libxslt-1.1.28 et les paquets DocBook.
--disable-gcrypt
: Utilisez
ce paramètre si vous n'avez pas installé la dépendance
recommandée de libgcrypt-1.6.2.
Last updated on : 2013-04-24 12:01:29 +020
Le paquet Gcr contient les bibliothèques pour afficher les certificats et accéder aux stockages des clés. Il fournit également la visionneuse pour les fichiers chiffrés dans le bureau GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gcr/3.14/gcr-3.14.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gcr/3.14/gcr-3.14.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f2a620c5f6c0cd570b4e3bed287ed302
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 58 Mo (additional 4 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU (additional 0.1 SBU for tests)
GLib-2.42.1, libgcrypt-1.6.2, libtasn1-4.2 et p11-kit-0.22.1
GnuPG-2.0.26, gobject-introspection-1.42.0, GTK+-3.14.8, libxslt-1.1.28, et Vala-0.26.2
GTK-Doc-1.21 et Valgrind-3.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gcr
Installez Gcr en lançant les commandes suivantes : commands:
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--without-gtk
:
Utilisez ce paramètre si vous n'avez pas installé GTK+-3.14.8.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-10-18 21:31:21 +020
Le paquet gnome-keyring contient un démon qui conserve les mots de passe et d'autres secrets des utilisateurs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-keyring/3.14/gnome-keyring-3.14.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-keyring/3.14/gnome-keyring-3.14.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ac3e041a7ae9624f6ed9956fd63b57da
Taille du téléchargement : 1.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 93 Mo (additional 1 Mo for tests)
Estimation du temps de construction : 0.7 SBU (additional 0.2 SBU for tests)
Linux-PAM-1.1.8 et libxslt-1.1.28
libcap-ng, GnuPG-2.0.26, OpenSSH-6.7p1 et Valgrind-3.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnome-keyring
Installez gnome-keyring en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --with-pam-dir=/lib/security && make
Une adresse de bus pour la sessions est nécessaire pour lancer les tests. Pour tester les résultats, tapez make -k check. Quelques tests échouent pour des raisons inconnues.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-pam-dir=/lib/security
> :nbsp;:
Ce paramètre précise ou le module pam sera installé.
Last updated on : 2012-10-19 08:22:00 +020
Le paquet Gvfs est un système de fichiers en espace utilisateur virtuel conçu pour fonctionner avec les abstractions I/O de la bibliothèque GIO de Glib.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gvfs/1.22/gvfs-1.22.3.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gvfs/1.22/gvfs-1.22.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7e6d026addb1658fb24b39e8827d7650
Taille du téléchargement : 1.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 57 Mo
Estimation du temps de construction : 0.7 SBU
GTK+-3.14.8, libsecret-0.18, libsoup-2.48.1, udev-extras (depuis eudev) (pour GUdev) et UDisks-2.1.4
Apache-2.4.12, avahi-0.6.31, bluez-5.28, dbus-glib-0.104, fuse-2.9.3, GTK-Doc-1.21, libarchive-3.1.2, libgcrypt-1.6.2, libxml2-2.9.2, libxslt-1.1.28, OpenSSH-6.7p1, Samba-4.1.17, GNOME Online Accounts, libbluray, libcdio-paranoia, libgphoto2, libimobiledevice, libmtp et Twisted,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gvfs
Installez Gvfs en lançant les commandes suivantes : commands:
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-gphoto2 && make
Pour tester les résultats, tapez : make -k check. Certains tests (potentiellement la moitié) peuvent échouer, normallement à cause d'une dépendance facultative oubliée.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous installé le paquet dans votre système en utilisant
une méthode « DESTDIR », /usr/share/glib-2.0/schemas/gschemas.compiled
ne sera pas mis à jour/créé. Créez (ou mettez à jour) le
fichier en utilisant la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
glib-compile-schemas /usr/share/glib-2.0/schemas
--disable-gphoto2
: Ce
paramètre est requis si libgphoto2 n'est pas installé. Effacez
le si vous avez installez libgphoto2 et souhaitez l'utiliser avec
Gvfs.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
concatène les fichiers données et les affiche sur la sortie standard. |
|
copie un fichier depuis une adresse URI vers une autre. |
|
affiche des informations sur des endroits donnés. |
|
exécute less en utilisant VFS comme préprocesseur d'entrée, cependant less peut accéder à toutes les ressources accessibles par tous serveurs Gvfs. |
|
liste des informations sur des endroits donnés. |
|
est utilisés pour obtenir des informations sur des applications qui sont enregistrés pour gérer un type mime, ou initialise les gestionnaires par défaut pour un type mime. |
|
crée un répertoire spécifié par une URI. |
|
affiche des informations sur la création de fichier, l'effacement, le contenu de fichier et les changements d'attributs et les opérations de montage et démontage dans les répertoires spécifiés. |
|
affiche des informations sur la création de fichier, l'effacement, le contenu de fichier et les changements d'attributs et les opérations de montage et démontage dans le système de fichiers surveillé. |
|
fournit un accès en ligne de commande aux différents aspects des fonctionnalités de montage de GIO. |
|
déplace un fichier d'une URI sur une autre. |
|
ouvre des fichiers avec l'application par défaut qui est enregistrée pour gérer les fichiers de ce type. |
|
change le nom d'un fichier ou d'un répertoire. |
|
efface un fichier. |
|
lit depuis l'entrée standard et enregistre les données dans un endroit donné. |
|
autorise l'initialisation des attributs de fichier sur un fichier. |
|
envoit des fichiers ou des répertoires dans la poubelle. |
|
liste le contenu de répertoires donnés récursivement dans un format en forme d'arbre. |
|
est le démon principal pour le système de fichier virtuel Gvfs. |
|
maintient un montage FUSE pour faire que le serveur Gvfs est disponible pour les applications POSIX. |
|
est le démon qui agit pour écrit de façon sériel les données internes de stockage de Gvfs. |
|
contient les fonctions API usuels utilisées dans les programmes Gvfs. |
Last updated on : 2013-02-10 19:12:25 +010
Gjs est un binding Javascript pour GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gjs/1.42/gjs-1.42.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gjs/1.42/gjs-1.42.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a30ff5e3e13498c4d3c95d2555751c4d
Taille du téléchargement : 440 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 24 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (additional moins de 0.1 SBU for the tests)
cairo-1.14.0, gobject-introspection-1.42.0, et JS2-24.2.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gjs
Installez gjs en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-09-26 21:41:06 +020
Le paquet GNOME Desktop contient une bibliothèque qui fourni une API partagé par de nombreuses applications dans le bureau GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-desktop/3.14/gnome-desktop-3.14.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-desktop/3.14/gnome-desktop-3.14.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 66b94ca51d8f001adbb635a19363bda3
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 24 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
gsettings-desktop-schemas-3.14.1, GTK+-3.14.8, ISO Codes-3.57, itstool-2.0.2, et xkeyboard-config-2.14
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnome-desktop
Installez GNOME Desktop en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-gnome-distributor="Un
nom"
: Utilisez ce paramètre pour fournir un nom
personnalisé dans le champ « Distributeur: » de la fenêtre
« À propos de GNOME ».
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-10-19 08:22:00 +020
Le paquet gnome-video-effects contient une collection d'effets pour Gstreamer.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-video-effects/0.4/gnome-video-effects-0.4.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-video-effects/0.4/gnome-video-effects-0.4.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : aa0838f5be12f524ba5622e1b61d21b1
Taille du téléchargement : 144 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.9 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnome-video-effects
Installez gnome-video-effects en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet gtksourceview contient les bibliothèques utilisées pour étendre les fonctions texte de GTK+ pour inclure le surlignement de la syntaxe.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtksourceview/3.14/gtksourceview-3.14.3.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtksourceview/3.14/gtksourceview-3.14.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ede804aed4cb19aed6ec9f08aa877052
Taille du téléchargement : 1.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 54 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU (additional moins de 0.1 SBU for the tests)
Vala-0.26.2 Glade et GTK-Doc-1.21
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gtksourceview
Installez gtksourceview en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, tapez make check. Les tests doivent être lancé dans un environnement graphique.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-11-16 18:26:52 +010
Le paquet LibGTop contient les bibliothèques de la base de GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libgtop/2.30/libgtop-2.30.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libgtop/2.30/libgtop-2.30.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ee29a9ef60659ebf4b075ac281f71cb2
Taille du téléchargement : 652 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
GLib-2.42.1, et Xorg Libraries
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libgtop
Installez LibGTop en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-06-08 23:04:29 +020
libpeas est un moteur de greffons basé sur gobject et il donne à chaque application la possibilité de prendre en charge sa propre capacité d'extension.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libpeas/1.13/libpeas-1.13.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libpeas/1.13/libpeas-1.13.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 493c68b67fd45813c5161b5755a0c92a
Taille du téléchargement : 532 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
gobject-introspection-1.42.0 et GTK+-3.14.8
, PyGObject-3.14.0 (modules Python 2 et Python 3).
gdb-7.9, GTK-Doc-1.21, Valgrind-3.10.1, Glade, LGI (pour les liaisons LUA, construit avec LUA-5.1), avec soit luajit ou LUA-5.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libpeas
Installez libpeas en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, tapez: make check 2>&1 | tee ../libpeas-make-check.log. Vérifiez les résultats avec egrep '(FAIL|PASS)' ../libpeas-make-check.log. Une session graphique active avec une adresse dbus est nécessaire pour lancer les tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-01-19 03:09:18 +010
Le paquet libwnck contient un kit de construction de navigateur de fenêtre (Window Navigator Construction Kit).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libwnck//3.14/libwnck-3.14.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libwnck/3.14/libwnck-3.14.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4538672e0d775fadedf10abeb8020047
Taille du téléchargement : 664 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 18 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
gobject-introspection-1.42.0 et startup-notification-0.12
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libwnck
Installez libwnck en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Le paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-05-01 14:35:38 +020
Le paquet totem-pl-parser contient une simple bibliothèque basée sur GObject pour analyser l'hôte de formats de playlist et les sauvegarder.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/totem-pl-parser/3.10/totem-pl-parser-3.10.4.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/totem-pl-parser/3.10/totem-pl-parser-3.10.4.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b7a72b528a48149a341aa14d57674bed
Taille du téléchargement : 1.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 12 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (additional 0.6 SBU for the tests)
GMime-2.6.20, et libsoup-2.48.1
gobject-introspection-1.42.0, libarchive-3.1.2 et libgcrypt-1.6.2
GTK-Doc-1.21, lcov, et libquvi (version 0.9) et libquvi-scripts - s'ils sont installés, alors lua-socket (git) est nécessaire pour les tests
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/totem-pl-parser
Installez totem-pl-parser en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-quvi \ --disable-static && make
Pour tester les résultats, tapez: make -k check. Certains tests échouent pour des raisons inconnues. Vous devez avoir une connexion internet active pour compléter avec succès tous les tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-quvi
: Ce
paramètre est utilisé car libquvi est cassé avec Lua-5.3.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-05-01 14:35:38 +020
Le paquet VTE contient une implémentation du fichier termcap pour les émulateurs de terminal.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/vte/0.38/vte-0.38.3.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/vte/0.38/vte-0.38.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c2a38185ccd64f685a13b5c80b9a6aa8
Taille du téléchargement : 984 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 18 Mo (additional 2 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (additional moins de 0.1 SBU for the tests)
Vala-0.26.2, Glade et GTK-Doc-1.21
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/vte
Installez VTE en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static \ --enable-introspection && make
Pour tester les résultats, tapez make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-introspection
: Ce
paramètre active les liaisons de Gobject Introspection. Effacez le si
vous n'avez par installé gobject-introspection-1.42.0.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-10-18 21:31:21 +020
Le paquet Donf contient un système de configuration de bas niveau. Son but principal est d'offrir une fondation à GSettings sur des plate-formes qui n'ont pas déjà de systèmes pour stocker la configuration.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/dconf/0.22/dconf-0.22.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/dconf/0.22/dconf-0.22.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5459a539ffc483f9c002ddeab626a64e
Taille du téléchargement : 388 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
D-BUS-1.8.16 GTK+-3.14.8 et libxml2-2.9.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/dconf
Installez Dconf en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
est un outil simple pour manipuler la base de données DConf. |
|
est un programme graphique pour l'édition des réglages qui sont enregistrés dans la base de données DConf. |
|
est le service D-Bus qui écrit dans la base de données DConf. |
|
contient les fonctions de l'API de DConf. |
|
contient les fonctions API du client DConf pour D-Bus. |
Last updated on : 2012-09-26 21:48:50 +020
Le paquet Adwaita Icon Theme contient un theme d'icônes pour les applications Gtk+ 3.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/adwaita-icon-theme/3.14/adwaita-icon-theme-3.14.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/adwaita-icon-theme/3.14/adwaita-icon-theme-3.14.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d03913d2d1624a6749a5c032082368fb
Taille du téléchargement : 17 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 104 Mo
Estimation du temps de construction : 1.1 SBU
gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8 avec librsvg-2.40.7 ou les deux
git-2.3.0, Inkscape-0.91 et Icon Tools
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/adwaita-icon-theme
Installez Adwaita Icon Theme en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2014-09-28 22:19:18 +0200
Le paquet GNOME Icon Theme contient un ensemble d'icônes non évolutifs de différentes tailles et des thèmes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-icon-theme/3.12/gnome-icon-theme-3.12.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-icon-theme/3.12/gnome-icon-theme-3.12.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f14bed7f804e843189ffa7021141addd
Taille du téléchargement : 17 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 85 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
GTK+-3.14.8 ou gtk+-2.24.26 et hicolor-icon-theme-0.14 et icon-naming-utils-0.8.90,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnome-icon-theme
Installez GNOME Icon Theme en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-28 01:12:39 +010
Le paquet GNOME Icon Theme Extras contient des icônes supplémentaires pour le bureau GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-icon-theme-extras/3.12/gnome-icon-theme-extras-3.12.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-icon-theme-extras/3.12/gnome-icon-theme-extras-3.12.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 91f8f7e35a3d8d926716d88b8b1e9a29
Taille du téléchargement : 1.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 12 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnome-icon-theme-extras
Installez GNOME Icon Theme Extras en lançant les commandes suivantes
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2013-06-01 14:18:39 +0200
Le paquet gnome-icon-theme-symbolic contient des icônes symboliques pou! le thème GNOME par défaut.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-icon-theme-symbolic/3.12/gnome-icon-theme-symbolic-3.12.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-icon-theme-symbolic/3.12/gnome-icon-theme-symbolic-3.12.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3c9c0e6b9fa04b3cbbb84da825a26fd9
Taille du téléchargement : 228 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.8 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnome-icon-theme-symbolic
Installez gnome-icon-theme-symbolic en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet gnome-themes-standard contient divers composants du thème par défaut de GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-themes-standard/3.14/gnome-themes-standard-3.14.2.3.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-themes-standard/3.14/gnome-themes-standard-3.14.2.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d2af109b0f6b04447d79b10d517cd5fa
Taille du téléchargement : 2.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 39 Mo
Estimation du temps de construction : 0.6 SBU
gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8 avec librsvg-2.40.7 ou les deux
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnome-themes-standard
Installez gnome-themes-standard en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-gtk2-engine
: Ce
paramètre désactive le moteur de thèmes GTK+-2.
--disable-gtk3-engine
: Ce
paramètre désactive le moteur de thème GTK+-3.
Last updated on : 2012-11-16 18:26:52 +010
Le paquet Notification Daemon contient un démon qui affiche des pop-up passifs de notifications.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/notification-daemon/3.14/notification-daemon-3.14.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/notification-daemon/3.14/notification-daemon-3.14.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d86ac053908f2e27b9b8151cba96d721
Taille du téléchargement : 276 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.8 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
GTK+-3.14.8, et libcanberra-0.30 (Construit avec le support GTK+-3.14.8).
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/notification-daemon
Installez Notification Daemon en lançant les commandes suivantes
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Vous pouvez tester le démon de notification avec la commande notify-send:
pgrep -l notification-da && notify-send -i info Information "Hi ${USER}, This is a Test"
La commande pgrep -l notification-da est ajoutée pour s'assurer que c'est le démon de ce paquet qui est lancé, pas un autre, comme le démon de xfce4-notifyd-0.2.4.
Last updated on 2013-06-01 14:18:39 +0200
Le paquet polkit-gnome fournit un agent d'authentification pour polkit qui s'intègre bien à l'environnement de bureau GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/polkit-gnome/0.105/polkit-gnome-0.105.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/polkit-gnome/0.105/polkit-gnome-0.105.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 50ecad37c8342fb4a52f590db7530621
Taille du téléchargement : 305 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5.0 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/polkit-gnome
Installez polkit-gnome en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Pour que polkit-gnome fonctionne correctement, la commande polkit-gnome-authentification-agent-1 a besoin d'être lancée. Cependant, make install n'a pas installé un fichier de démarrage automatique pour Polkit GNOME vous avez donc à le créer vous même.
Tapez les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
pour créer un fichier
de démarrage pour polkit-gnome :
mkdir -p /etc/xdg/autostart &&
cat > /etc/xdg/autostart/polkit-gnome-authentication-agent-1.desktop << "EOF"
[Desktop Entry]
Name=PolicyKit Authentication Agent
Comment=PolicyKit Authentication Agent
Exec=/usr/libexec/polkit-gnome-authentication-agent-1
Terminal=false
Type=Application
Categories=
NoDisplay=true
OnlyShowIn=GNOME;XFCE;Unity;
AutostartCondition=GNOME3 unless-session gnome
EOF
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet Yelp contient le navigateur de l'aide utilisé pour voir les fichiers d'aide.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/yelp/3.14/yelp-3.14.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/yelp/3.14/yelp-3.14.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1e2c282183761904c507c7efa6be7037
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 24 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
WebKitGTK+-2.4.8 et yelp-xsl-3.14.0
Le paquet Yelp n'est pas exigé pour un bureau GNOME opérationnel. Cependant, remarquez que sans Yelp vous ne pourrez pas voir l'aide intégrée fournie par le cœur de GNOME et beaucoup d'aide des applications.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/yelp
Installez Yelp en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Ces paquets sont des applications de bureau et un assortiement d'utilitaires pour le projet GNOME. Vous êtes libre d'installer ceux dont vous avez besoin comme vous le désirez.
The Baobab package contains a graphical directory tree analyzer.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/baobab/3.14/baobab-3.14.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/baobab/3.14/baobab-3.14.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 629dfc1f866e04a7292d68b04fe1565c
Taille du téléchargement : 864 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 13 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
adwaita-icon-theme-3.14.1, GTK+-3.14.8, itstool-2.0.2 et Vala-0.26.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/baobab
Installez Baobab en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
This package does not come with a test suite.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2013-06-01 14:18:39 +0200
brasero est une application utilisées pour graver des CD/DVD sur le bureau GNOME. Il est conçu pour être aussi simple que possible et il a des fonctionnalités uniques pour permettre aux utilisateurs de créer facilement et rapidement leurs disques.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/brasero/3.12/brasero-3.12.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/brasero/3.12/brasero-3.12.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3a12a2b954b265c751ef29669d589908
Taille du téléchargement : 3.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 92 Mo (additional 1 Mo to rebuild and install the API documentation)
Estimation du temps de construction : 1 SBU
gst-plugins-base-1.4.5, itstool-2.0.2, libcanberra-0.30, et libnotify-0.7.6
gobject-introspection-1.42.0, libburn-1.3.8,et libisofs-1.3.8, Nautilus-3.14.2 et totem-pl-parser-3.10.4
dvd+rw-tools-7.1 et gvfs-1.22.3
Cdrdao-1.2.3, libdvdcss-1.3.0 cdrkit ou cdrtools (conflit), et VCDImager
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/brasero
Installez brasero en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-09-26 21:42:38 +020
Cheeseest utilisé pour prendre des photos et des films avec votre webcam, avec des effets graphiques rigolos.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7 mais n'a pas été testé.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/cheese/3.14/cheese-3.14.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/cheese/3.14/cheese-3.14.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : eef03ea68fe5372e3d6a0512ffd84e6d
Taille du téléchargement : 1.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 24 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
clutter-gst-2.0.14, clutter-gtk-1.6.0, GNOME-Desktop-3.14.2, gnome-video-effects-0.4.1, gst-plugins-bad-1.4.5, gst-plugins-good-1.4.5 (construit avec v4l-utils-1.6.2) itstool-2.0.2, libcanberra-0.30, librsvg-2.40.7, et udev-extras (depuis eudev) (pour GUdev)
gobject-introspection-1.42.0 et Vala-0.26.2
GTK-Doc-1.21 et Nautilus SendTo
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cheese
En fonction de votre camera, activez les options appropriées et recompilez le noyau si nécéssaire:
Device Drivers --->
Multimedia support --->
<*> Cameras/video grabbers support [CONFIG_MEDIA_CAMERA_SUPPORT]
<*> Media USB Adapter ---> [CONFIG_MEDIA_USB_SUPPORT]
Select device(s) as needed
Installez Cheese en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests valide.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-10-19 21:35:45 +020
EOG est une application utilisée pour voir et cataloguer des fichiers images dans le bureau GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/eog/3.14/eog-3.14.3.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/eog/3.14/eog-3.14.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8d96195d1c6561da7546c4b3d8f50e1f
Taille du téléchargement : 4.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 55 Mo
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU
adwaita-icon-theme-3.14.1, GNOME-Desktop-3.14.2, itstool-2.0.2, libpeas-1.13.0, et shared-mime-info-1.4
gobject-introspection-1.42.0 et librsvg-2.40.7
exempi-2.2.2, gobject-introspection-1.42.0, Little CMS-2.6 et libexif-0.6.21
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/eog
Installez EOG en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Epiphany is a simple yet powerful GNOME web browser targeted at non-technical users. Its principles are simplicity et standards compliance.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/epiphany/3.14/epiphany-3.14.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/epiphany/3.14/epiphany-3.14.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 22824e2a80f50a67e427ca6af58f3e7c
Taille du téléchargement : 3.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 81 Mo
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU
avahi-0.6.31, Gcr-3.14.0, GNOME-Desktop-3.14.2, libnotify-0.7.6, libwnck-3.14.0 et WebKitGTK+-2.6.5
gnome-keyring-3.14.0 (pour le stockage des mots de passe) et Seahorse-3.14.0 (pour la gestion des mots de passe enregistrés)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/epiphany
Installez Epiphany en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2013-06-01 14:18:39 +0200
Evince est un visualiseur de document pour plusieurs formats de document. Il supporte actuellement PDF, Postscript, DjVu, TIFF et DVI. C'est utile pour voir des documents de types divers en utilisant une seule application au lieu de plusieurs visualiseurs de document qui existaient autrefois sur le bureau GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/evince/3.14/evince-3.14.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/evince/3.14/evince-3.14.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 20575f13ce1a0bf31f085d2430848c40
Taille du téléchargement : 3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 81 Mo
Estimation du temps de construction : 1.3 SBU
adwaita-icon-theme-3.14.1, gsettings-desktop-schemas-3.14.1, GTK+-3.14.8 et itstool-2.0.2
gobject-introspection-1.42.0, libsecret-0.18, Nautilus-3.14.2 et Poppler-0.31.0
GTK-Doc-1.21, texlive-20140525 (ou install-tl-unx) DjVuLibre, libgxps, libspectre, and t1lib
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/evince
Installez Evince en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --enable-introspection \ --disable-static && make
Ce paquet n'a pas une suite de tests fonctionnelle
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-introspection
: Par
défaut, le support Gobject
Introspection est désactivé, même si ce paquet est un
composant attendu d'un système GNOME.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--without-keyring
: Ce
paramètre désactive l'utilisation de libsecret. Supprimez ce paramètre si
gnome-keyring est installé.
--disable-nautilus
: Ce
paramètre désactive la construction du greffon Nautilus. Utilisez ce paramètre si
Nautilus n'est pas installé.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-10-19 21:35:45 +020
File Roller est un gestionnaire d'archives pour GNOME supportant les formats d'archive tar, bzip2, gzip, zip, jar, compress, lzop et bien d'autres.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
File Roller n'est que l'interface graphique d'outils d'archivage tels que tar et zip.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/file-roller/3.14/file-roller-3.14.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/file-roller/3.14/file-roller-3.14.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2a0b940e136485c2efb704e62c171e85
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 32 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
JSON-GLib-1.0.2, libarchive-3.1.2, libnotify-0.7.6 et Nautilus-3.14.2
Unrar-5.2.6, UnZip-6.0, et Zip-3.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/file-roller
Installez File Roller en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-packagekit \ --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && chmod -v 0755 /usr/libexec/file-roller/isoinfo.sh
--disable-packagekit
: Ce
paramètre désactive l'utilisation dePackageKit qui n'est plus
approprié à BLFS.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet Gedit contient un éditeur de texte UTF-8 léger pour le bureau GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gedit/3.14/gedit-3.14.3.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gedit/3.14/gedit-3.14.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 267beb4476f48a106fb693bb55819caf
Taille du téléchargement : 2.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 87 Mo
Estimation du temps de construction : 1.1 SBU
gsettings-desktop-schemas-3.14.1, gtksourceview-3.14.3, itstool-2.0.2, et libpeas-1.13.0
enchant-1.6.0 gvfs-1.22.3 (exécution), ISO Codes-3.57, libsoup-2.48.1 et PyGObject-3.14.0 (module Python 3)
GTK-Doc-1.21, Vala-0.26.2, et Zeitgeist
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gedit
Installez gedit en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-spell
: Ce
paramètre désactive la fonctionnalité de vérification et il
est requis si on n'a pas installé Enchant.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-01-25 17:32:25 +010
GNOME Calculator est une puissante calculatrice graphique avec des modes financier, logique et scientifique. Elle utilise un paquet à précision multiple pour faire ses calculs pour donner une grande précision.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-calculator/3.14/gnome-calculator-3.14.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-calculator/3.14/gnome-calculator-3.14.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3b41843f1452f4d79896c322392fe423
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 42 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnome-calculator
Installez GNOME Calculator en lançant les commandes suivantes
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, tapez : make -k check. Les tests Number.float et Number.double échouent parce qu'ils ne prennent pas compte les erreurs d'arrondi en virgule flottante.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2013-07-29 17:03:33 +0200
Le paquet gnome-nettool est un outil d'informations réseau qui donne aux utilisateurs des interfaces GUI avec certains des outils en ligne de commande les plus fréquents.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-nettool/3.8/gnome-nettool-3.8.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-nettool/3.8/gnome-nettool-3.8.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d4fc944b7ba8fd5f49f04a73e0d37e80
Taille du téléchargement : 576 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
GTK+-3.14.8, itstool-2.0.2, et LibGTop-2.30.0
BIND-9.10.1-P2, Nmap-6.47, Net-tools-CVS_20101030, Traceroute-2.0.21 et Whois-5.2.4
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnome-nettool
Installez gnome-nettool en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
GNOME Screenshot est un utilitaire utilisé pour prendre des captures d'écran de l'écran, d'une fenêtre ou une zone définie par l'utilisateur, avec en option des effets de bordure enjolivant.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-screenshot/3.14/gnome-screenshot-3.14.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-screenshot/3.14/gnome-screenshot-3.14.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d0476a3c765625f4fbe193678ae23ecd
Taille du téléchargement : 256 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.3 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
GTK+-3.14.8 et libcanberra-0.30 (Compiled with GTK+3 support).
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnome-screenshot
Installez GNOME Screenshot en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2013-06-01 14:18:39 +0200
Le paquet GNOME System Monitor contient le remplaçant GNOME de gtop.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-system-monitor/3.14/gnome-system-monitor-3.14.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-system-monitor/3.14/gnome-system-monitor-3.14.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1dde2e2a7d557b713e2f1fbff9ee0774
Taille du téléchargement : 836 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 29 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
adwaita-icon-theme-3.14.1, gtkmm-3.14.0, itstool-2.0.2, LibGTop-2.30.0, et librsvg-2.40.7
appdata-tools-0.1.8 et libwnck-3.14.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnome-system-monitor
Installez GNOME System Monitor en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --enable-wnck && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet GNOME Terminal contient l'émulateur de terminal pour le bureau GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-terminal/3.14/gnome-terminal-3.14.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnome-terminal/3.14/gnome-terminal-3.14.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8d1138bafa419882e37194a50869952f
Taille du téléchargement : 1.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 41 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
appdata-tools-0.1.8, dconf-0.22.0, gsettings-desktop-schemas-3.14.1, itstool-2.0.2, et VTE-0.38.3
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnome-terminal
Installez GNOME Terminal en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --disable-migration \ --disable-search-provider && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && sed -e 's/System/Utility/' \ -i /usr/share/applications/gnome-terminal.desktop
Pour lancer GNOME
Terminal, la variable d'environnement LANG>
doit être initialisée sur une
locale UTF-8.
--disable-search-provider
: Ce
paramètre désactive le fournisseur de « recherche gnome-shell ».
Nécessairement, comme gnome-shell n'est pas dans BLFS. Enlevez
le, si vous avez installé gnome-shell.
--disable-migration
: Ce paramètre
désactive la construction de l'outil de migration
GConf de GNOME Terminal qui n'est pas utile dans
BLFS.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
sed -e ... gnome-terminal.desktop: corrige les sous-menus pour l'entrée de gnome-terminal.
Last updated on 2013-06-01 14:19:41 +0200
gucharmap est un plan de caractères Unicode et un visualiseur de polices. Il vous permet de naviguer dans tous les caractères Unicode disponibles et les catégories des polices installées, et d'examiner leurs propriétés détaillées. C'est une manière facile de chercher les caractères dont vous ne pourriez connaître que le nom Unicode ou le point du code.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gucharmap/3.14/gucharmap-3.14.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gucharmap/3.14/gucharmap-3.14.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a2fe675ba17055fc49776c402a9f9eec
Taille du téléchargement : 1.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 41 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
appdata-tools-0.1.8, desktop-file-utils-0.22, GTK+-3.14.8 et itstool-2.0.2
gobject-introspection-1.42.0 et Vala-0.26.2 (la compilation avec vala est actuellement cassée)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gucharmap
Installez gucharmap en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --enable-vala && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-vala
: Ce paramètre
active la construction des liaisons Vala. Effacez le si vous
n'avez pas installé Vala-0.26.2.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet Nautilus contient le gestionnaire de fichiers de GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/nautilus/3.14/nautilus-3.14.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/nautilus/3.14/nautilus-3.14.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 69dcd039ca8b9835f015f6601a94119e
Taille du téléchargement : 3.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 102 Mo
Estimation du temps de construction : 0.7 SBU
GNOME-Desktop-3.14.2 et libnotify-0.7.6
exempi-2.2.2, libexif-0.6.21 et gobject-introspection-1.42.0
adwaita-icon-theme-3.14.1, et gvfs-1.22.3 (Pour le montage à chaud de périphérique)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/nautilus
Installez Nautilus en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-tracker \ --disable-packagekit && make
Ce paquet ne vient pas avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-packagekit
: Ce paramètre désactive l'utilisation de PackageKit qui
n'est pas utilisable dans BLFS.
--disable-tracker
:
Ce paramètre désactive l'utilisation de Tracker qui ne fait pas parti de BLFS.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
--disable-xmp
: Utilisez ce
paramètre si vous n'avez pas installé Exempi.
--disable-libexif
: Utilisez ce
paramètre si vous n'avez pas installé libexif.
Last updated on 2013-06-01 14:19:41 +0200
NetworkManager Applet fournit un outil utilisé pour configurer les connexions filaires et sans fils depuis le GUI. Il est conçu pour être utilisé avec n'importe quel environnement de bureau utilisant GTK+ comme Xfce et LXDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/network-manager-applet/1.0/network-manager-applet-1.0.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/network-manager-applet/1.0/network-manager-applet-1.0.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 29c1ea523584aff7aefb2497d8655fee
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 44 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
GTK+-3.14.8, ISO Codes-3.57, libsecret-0.18, libnotify-0.7.6 et NetworkManager-1.0.0
GNOME Bluetooth, mobile-broadband-provider-info (exécution), et ModemManager
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/network-manager-applet
Installez NetworkManager Applet en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-migration \ --disable-static && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-migration
: Ce
paramètre désactive la construction de NetworkManager Applet outil de migration
de GConf qui n'est pas utile
pour BLFS.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2013-06-01 14:19:41 +0200
Seahorse est une interface graphique pour gérer et utiliser des clés de chiffrement. Il supporte actuellement les clés PGP (en utilisant GPG/GPGME) et les clés SSH.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/seahorse/3.14/seahorse-3.14.0.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/seahorse/3.14/seahorse-3.14.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1c54bb9030ff054b870d79e86b91de6b
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 51 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Gcr-3.14.0, GPGME-1.5.3, GnuPG-2.0.26, itstool-2.0.2, et libsecret-0.18
libsoup-2.48.1, OpenSSH-6.7p1 (pour la gestion des clés ssh) et Vala-0.26.2
avahi-0.6.31 et OpenLDAP-2.4.40
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/seahorse
Installez Seahorse en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --bindir=/usr/bin \ --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--bindir=/usr/bin
:
corrige des fichiers du bureau.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-01-25 17:32:25 +010
Le paquet Totem contient le lecteur vidéo officiel de l'environnement de bureau GNOME, basé sur GStreamer. Il a pour fonction la gestion d'une playlist, un mode plein écran, le contrôle des recherches et des volumes, ainsi qu'une navigation au clavier. Il sert à jouer un fichier supporté par GStreamer, un DVD, un VCD ou un CD numérique.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/totem/3.14/totem-3.14.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/totem/3.14/totem-3.14.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 82a0fc79d258269aa3adfeaf4a5c6599
Taille du téléchargement : 3.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 59 Mo
Estimation du temps de construction : 1.7 SBU
adwaita-icon-theme-3.14.1, clutter-gst-2.0.14, clutter-gtk-1.6.0, gst-plugins-bad-1.4.5, gst-plugins-good-1.4.5, itstool-2.0.2, libpeas-1.13.0, et totem-pl-parser-3.10.4
appstream-glib-0.3.0, dbus-glib-0.104, Grilo-Plugins-0.2.14 (chaines), Nautilus-3.14.2, PyGObject-3.14.0 et Vala-0.26.2
avahi-0.6.31 (si installé pendant la construction, soyez certain que avahi-daemon soit lancé en tant que démon système, démarré par l'unité bootscript/systemd), brasero-3.12.0, GTK-Doc-1.21, LIRC, pylint, et zeitgeist,
gst-libav-1.4.5, gst-plugins-ugly-1.4.5 et libdvdcss-1.3.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/totem
Installez Totem en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
est un lecteur vidéo du bureau GNOME basé sur GStreamer. |
|
est un étiqueteur de vidéos pour le bureau GNOME utilisé en interne par les applications GNOME telles que Nautilus pour générer des vignettes PNG des fichiers vidéo. S'il est possible de l'appeler à la main, cela est fait en général automatiquement par Nautilus. |
|
contient les fonctions API de Totem. |
Last updated on : 2012-11-16 23:56:01 +010
Xfce hst un environnement de bureau dont l'objectif et la rapidité et la légèreté de la consommation des ressources système, tout en étant visuellement attirant et convivial.
Xfce endosse la philosophie UNIX traditionnelle de modularité et de ré-utilisabilité. Il consiste en un certain nombre de composants qui fournissent l'ensemble des fonctionnalités que chacun peut espérer d'un environnement de bureau moderne. Ils sont empaquetés séparément et vous pouvez piocher parmi les paquets disponibles pour créer un environnement de travail personnel.
La construction des paquets du coeur de Xfce est présenté dans le livre afin que la résolution des dépendances soit plus facile.
Le paquet LibXfce4Util est une bibliothèque de base pour l'environnement de bureau Xfce.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/libxfce4util/4.10/libxfce4util-4.10.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 11eec87e8eda2bc62512c2416cb807a1
Taille du téléchargement : 444 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.2 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
GLib-2.42.1 et
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libxfce4util
Installez LibXfce4Util en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Demande les possibilités données de <module> pour l'utilisateur actuel et signale si l'utilisateur a ou nn les possibilités. Cet outil est principalement conçu pour les administrateurs système, pour qu'ils testent leurs paramètres Kosk. |
|
contient les fonctions de base pour l'environnement de burea Xfce. |
Last updated on : 2012-08-24 14:29:28 +020
Xfconf est le système de stockage de configuration pour Xfce.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/xfconf/4.10/xfconf-4.10.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4ed48150a03fb5f42b455494307b7f28
Taille du téléchargement : 508 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 8.7 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
dbus-glib-0.104 et libxfce4util-4.10.1
GTK-Doc-1.21 et Module Perl Glib (vous pouvez utiliser build and installation instructions ou Instruction d'installation auto alternative)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfconf
Installez Xfconf en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-08-24 14:29:28 +020
Le paquet LibXfce4UI contient des widgets Gtk+ 2 utilisées par d'autres applications Xfce.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/libxfce4ui/4.10/libxfce4ui-4.10.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6df1ce474a3d4885aee31cda9dbc9192
Taille du téléchargement : 536 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libxfce4ui
Installez LibXfce4UI en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-03-16 21:55:44 +010
Exo est une bibliothèque support utilisée dans le bureau Xfce. Elle contient également quelques applications d'aide utilisées dans Xfce.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/exo/0.10/exo-0.10.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c70f2a217811bfba2e62f938d4b8f748
Taille du téléchargement : 1.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 26 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
libxfce4ui-4.10.0, libxfce4util-4.10.1 et URI-1.65
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/exo
Installez exo en lançant les commandes commands:
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
est un petit outil qui génère du code C contenant des données arbitraires, utile pour compiler des textes ou d'autres données directement dans les programmes. |
|
est un outil en ligne de commande pour créer ou éditer des icônes sur le bureau. |
|
est une interface en ligne de commande avec l'environnement Applications Préférées de Xfce. On peut l'utiliser soit pour ouvrir une liste d'adresses avec un gestionnaire d'adresses par défaut ou pour lancer l'application préférée pour une certaine catégorie. |
|
est un outil en ligne de commande pour éditer l'application préférée utilisée pour gérer un type particulier de fichier ou d'adresse. |
|
contient des widgets supplémentaires, un environnement de barres d'outils éditables, le support de gestion des sessions légères, et les fonctions pour synchroniser automatiquement les propriétés d'objets (basées sur GObject Binding Properties). |
Last updated on : 2013-03-16 21:55:44 +010
Le paquet Garcon contient une implémentation de menu conforme à freedesktop.org basé sur GLib et GIO.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/garcon/0.3/garcon-0.3.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 853f13fbad4760374a2a889acaa4a6c1
Taille du téléchargement : 440 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 8.2 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
libxfce4util-4.10.1 et gtk+-2.24.26
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/garcon
Installez Garcon en lançant les commandes commands:
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-08-24 14:29:28 +020
Le paquet GTK Xfce Engine contient plusieurs thèmes GTK+ 2 et GTK+ 3 et les bibliothèques nécessaires pour les afficher. Cela sert à personnaliser l'apparence de votre bureau Xfce.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/gtk-xfce-engine/3.0/gtk-xfce-engine-3.0.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 174e774d0debb052ec457640275f065d
Taille du téléchargement : 364 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.3 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gtk-xfce-engine
Installez GTK-Xfce-Engine en lançant des commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-01-25 17:32:25 +010
Le paquet Libwnck contient un Window Navigator Construction Kit.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libwnck/2.30/libwnck-2.30.7.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libwnck/2.30/libwnck-2.30.7.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3d20f26105a2fd878899d6ecdbe9a082
Taille du téléchargement : 612 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
gtk+-2.24.26 et .
gobject-introspection-1.42.0 et GTK-Doc-1.21.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libwnck2
Installez Libwnck en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --program-suffix=-1 && make GETTEXT_PACKAGE=libwnck-1
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make GETTEXT_PACKAGE=libwnck-1 install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--program-suffix=-1
: Cette
option ajoute -1 à la fin des noms des programmes installés
pour éviter d'écraser des programmes installés par libwnck-3.14.0.
GETTEXT_PACKAGE=libwnck-1
:
Ce paramètre ajoute -1 à la fin des noms de fichiers gettext
installés par le paquet pour éviter d'écraser les fichiers
installés par libwnck-3.14.0.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-08-24 14:29:28 +020
Le paquet LibXfceGUI4 fournit les fonctions GUI de base utilisées par Xfce.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/libxfcegui4/4.10/libxfcegui4-4.10.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4025b9d6811f051c914cdd700d437e61
Taille du téléchargement : 676 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 29 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
libglade-2.6.4 et libxfce4util-4.10.1.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libxfcegui4
Installez LibXfceGUI4 en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-08-24 14:29:28 +020
Le paquet Xfce4-Panel contient le panneau Xfce4.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/xfce4-panel/4.10/xfce4-panel-4.10.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8a1f8371fc725ba00f4594c5c0f81c59
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 40 Mo
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU
exo-0.10.2, garcon-0.3.0, libwnck-2.30.7 et libxfce4ui-4.10.0.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfce4-panel
Installez Xfce4-Panel en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
est le panneau Xfce. |
|
est un script shell qui utilise DBus et Xfce Panel pour afficher un menu popup des applications installées. |
|
est un script shell qui utilise DBus et Xfce Panel pour afficher un menu popup de votre dossier home et ses sous-répertoires. |
|
est un script shell qui utilise DBus pour afficher un menu popup Xfwm4. |
|
contient les fonctions de l'API Xfce Panel. |
Last updated on : 2012-08-24 14:29:28 +020
Si votre système a un clavier standard (US), vous n'avez probablement pas besoin d'installer ce greffon.
Le paquet de greffon de clavier Xfce4 contient un greffon pour un ecran de Xfce4 très personalisable et pratique pour initialiser et utiliser plusieurs claviers (actuellement jusqu'à 4 à cause d'une limite du protocole X11) et passer de l'un à l'autre, individuellement pour chaque application, individuellement pour chaque fenêtre, ou globalement pour le bureau et toutes les applications et fenêtres.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/panel-plugins/xfce4-xkb-plugin/0.5/xfce4-xkb-plugin-0.5.6.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : bc4a43aa7f9ee1759562f92727a95cc4
Taille du téléchargement : 800 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 8.1 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
librsvg-2.40.7, libxklavier-5.4, et xfce4-panel-4.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfce4-xkb-plugin
Installez le greffon de clavier Xfce4 en lançant la suite
./configure --prefix=/usr \ --disable-debug \ --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-debug
: Ce
paramètre désactive le support de deboguage.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2014-11-27 05:51:10 +0100
Thunar est le gestionnaire de fichiers Xfce, une interface graphique Gtk+ 2 pour organiser les fichiers de votre ordinateur.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/thunar/1.6/Thunar-1.6.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 08ad45f2bcafbdc5b8c02fd5b7f69dc3
Taille du téléchargement : 2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 52 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
exo-0.10.2 et libxfce4ui-4.10.0
GNOME Icon-Theme-3.12.0 ou lxde-icon-theme-0.5.1
libnotify-0.7.6, startup-notification-0.12, udev-extras (depuis eudev) (pour GUdev) et xfce4-panel-4.10.1
gvfs-1.22.3 (pour la navigation distante et l'automontage) libexif-0.6.21 et tumbler-0.1.30 (éxécution)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/thunar
Par défaut, Thunar installe ses menus dans la catégorie System. si vous le souhaitez, changez cela pour le catégorie Utilities:
sed -i 's/System;//' Thunar.desktop.in.in
Installez Thunar en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --docdir=/usr/share/doc/Thunar-1.6.4 && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
est un gestionnaire de fichiers Xfce. |
|
est un lien ymbolique vers Thunar. |
|
est un script shell qui lance une boîte de dialogue pour vous permettre de modifier le comportement de Thunar. |
|
contient la bibliothèque d'extension Thunar qui permet d'ajouter de nouvelles fonctionalités au gestionnaire de fichiers Thunar. |
Last updated on : 2012-08-24 14:29:28 +020
Le Thunar Volume Manager est une extension du gestionnaire de fichiers Thunar, qui permet la gestion automatique des périphériques amovibles.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/thunar-volman/0.8/thunar-volman-0.8.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 250af757ea629c7c27f554d17119080c
Taille du téléchargement : 404 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.6 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
exo-0.10.2, libxfce4ui-4.10.0 et udev-extras (depuis eudev) (pour gudev)..
libnotify-0.7.6 et startup-notification-0.12
gvfs-1.22.3 et polkit-gnome-0.105
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/thunar-volman
Installez Thunar Volume Manager en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-16 21:55:44 +010
Le paquet Tumbler contient un service de vignettes D-Bus basé sur la spécification D-Bus de thumbnail. Cela sert à générer des images thumbnail de fichiers.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/tumbler/0.1/tumbler-0.1.30.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2524e39439c13238565160da0b6fed2d
Taille du téléchargement : 504 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 13 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
cURL-7.40.0, FFmpeg-Thumbnailer, FreeType-2.5.5, gdk-pixbuf-2.31.2, GStreamer Base Plug-ins-0.10.36, GTK-Doc-1.21, libjpeg-turbo-1.4.0, libgsf-1.14.31, libopewnraw, libpng-1.6.16 et Poppler-0.31.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/tumbler
Installez Tumbler en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-16 21:55:44 +010
Xfce4-Appfinder est un outil pour chercher et lancer des applications installées en cherchant les fichiers .desktop installés sur votre système.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/xfce4-appfinder/4.10/xfce4-appfinder-4.10.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : bea253956638e2df2dd950343b3b1b7b
Taille du téléchargement : 436 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.6 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
garcon-0.3.0 et libxfce4ui-4.10.0.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfce4-appfinder
Installez Xfce4-Appfinder en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-16 21:55:44 +010
Le Xfce4 Power Manager est un gestionnaire d'énergie pour le bureau Xfce, Xfce power manager gère les sources d'énergie sur l'ordinateur et les périphériques qui peuvent être contrôlés, pour réduire leur consommation d'énergie (tels que le niveau de brillance du LCD, la mise en veille du moniteur, l'échelonnement des fréquences CPU). En plus, Xfce4 Power Manager fournit un ensemble d'interfaces DBus conformes à freedesktop avec d'autres applications fur l'énergie actuelle, afin qu'elles puissent ajuster leur consommation d'énergie.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/xfce4-power-manager/1.4/xfce4-power-manager-1.4.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a5b96df5416686a6f6f0a18d1a371f43
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 20 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
libnotify-0.7.6, UPower-0.9.23 et xfce4-panel-4.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfce4-power-manager
Installez Xfce4 Power Manager en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make docdir=/usr/share/doc/xfce4-power-manager-1.4.2 \ imagesdir=/usr/share/doc/xfce4-power-manager-1.4.2/images install
est un programmde d'aide des fonctions pour suspendre et hiberner de xfce4-power-manager. |
|
est le gestionnaire d'énergie Xfce. |
|
est un outil qui est fourni avec le gestionnaire d'énergie Xfce pour accéder/modifier sa configuration. |
|
est un outil en ligne de commande pour obtenir ou paramétrer la hauteur de votre écran. |
Last updated on : 2013-03-16 21:55:44 +010
Le paquet Xfce4 Settings contient un ensemble de programmes utiles pour ajuster vos préférences Xfce.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/xfce4-settings/4.10/xfce4-settings-4.10.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : eaa86dd86ef0dad9cf7af1ee2c831972
Taille du téléchargement : 760 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 20 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
exo-0.10.2 garcon-0.3.0 et libxfce4ui-4.10.0
GNOME Icon-Theme-3.12.0 ou lxde-icon-theme-0.5.1
libcanberra-0.30, libnotify-0.7.6 et libxklavier-5.4
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfce4-settings
Installez Xfce4 Settings en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-sound-settings
: Utilisez
ce paramètre pour activer le réglage du son dans le GUI.
--enable-pluggable-dialogs
:
Utilisez ce paramètre pour activer le support pour les boites
de dialogue de paramétrage incluses.
est une interface graphique Gtk+ 2 vous permettant de modifier certaines préférences de votre clavier et de votre souris. |
|
est une interface graphique Gtk+ 2 pour vous permettre de modifier certaines préférences de votre thème, icône et police. |
|
est une interface graphique Gtk+ 2 pour vous permettre de modifier certaines préférences de votre écran |
|
est une interface graphique Gtk+ 2 pour vous permettre de modifier certaines préférences de votre clavier. |
|
est une interface graphique Gtk+ 2 pour vous permettre de modifier les applications utilisées pour gérer différents types mime. |
|
est une interface graphique Gtk+ 2 pour vous permettre de modifier certaines préférences de votre souris. |
|
est une interface graphique Gtk+ 2 pour vous permettre de modifier certaines préférences stockées dans votre Xfconf. |
|
est une interface graphique Gtk+ 2 pour vous permettre de modifier de nombreuses préférences de Xfce. |
|
est le démon des paramètres de Xfce. |
Last updated on : 2013-03-16 21:55:44 +010
Xfdesktop est un gestionnaire de bureau pour l'environnement de bureau Xfce. Xfdesktop définit l'image/la couleur d'arrière-plan, crée le menu du clic droit et la liste des fenêtres et affiche les icônes de fichiers sur le bureau, en utilisant les bibliothèques Thunar.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/xfdesktop/4.10/xfdesktop-4.10.3.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 11c9601f99080b47ee92b2ea30d30355
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
exo-0.10.2, libwnck-2.30.7 et libxfce4ui-4.10.0
libnotify-0.7.6, startup-notification-0.12 et thunar-1.6.4
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfdesktop
Installez Xfdesktop en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-16 21:55:44 +010
Xfwm4 est le gestionnaire de fenêtre pour Xfce.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/xfwm4/4.10/xfwm4-4.10.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 10de50c79ed944cbb9c87741062c2a76
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 30 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
libwnck-2.30.7, libxfce4ui-4.10.0 et libxfce4util-4.10.1.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfwm4
Installez Xfwm4 en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
est le gestionnaire de fenêtre Xfce. |
|
est une interface graphique Gtk+ 2 pour vous permettre de modifier certaines préférences de votre telles que l'heure, les raccourcis clavier et le comportement du pointeur de la souris. |
|
est une interface graphique Gtk+ 2 pour vous permettre de modifier certaines préférences de votre supplémentaires de Xfwm4. |
|
est une interface graphique Gtk+ 2 pour vous permettre de modifier certaines préférences de votre espace de travail. |
Last updated on : 2013-03-16 21:55:44 +010
Xfce4 Session est un gestionnaire de session pour Xfce. Son boulot consiste à sauvegarder l'état de votre bureau (applications ouvertes et leur emplacement) et à le restaurer lors du redémarrage suivant. Vous pouvez créer plusieurs sessions différentes et choisier une d'entre elles au démarrage.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/xfce/xfce4-session/4.10/xfce4-session-4.10.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1757657c1d590aa6274b7b7cbba33352
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 21 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
libwnck-2.30.7, libxfce4ui-4.10.0, which-2.20, et Xorg Applications
desktop-file-utils-0.22 et shared-mime-info-1.4
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfce4-session
Installez Xfce4 Session en lançant les commandes suivantes:
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-legacy-sm && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-legacy-sm
: Ce paramètre
désactive la gestion des sessions d'héritage qui n'est pas
utile sur un système moderne.
Il y a plusieurs dépendances d'exécution facultative pour Xfce4 : ConsoleKit-0.4.6, D-BUS-1.8.16, GnuPG-2.0.26, hicolor-icon-theme-0.14 et OpenSSH-6.7p1
Pour lancer Xfce4 utilisez la commande startxfce4. Si vous avez installé ConsoleKit-0.4.6, utilisez startxfce4 --with-ck-launch. ConsoleKit est requise pour réaliser toutes les taches qui demandent un accès administrateur, incluant l'arrêt et le redémarrage.
Pendant la construction d'un paquet Xfce4, certains fichiers de
configuration sont installés dans /usr/share/applications
, /usr/share/icons
, et /usr/share/mime
. Afin d'utiliser ces
fichiers dans votre session Xfce4, vous devez mettre à jour
différentes bases de données. Faite cela en lançant, en tant
qu'utilisateur root
(vous
avez besoin d'avoir les dépendances recommandées
d'installées):
update-desktop-database && update-mime-database
démarre l'environnement de bureau Xfce. |
|
se déconnecte de Xfce. |
|
est une interface Gtk+ 2 qui vous permet de modifier vos préférences pour your Xfce Session. |
|
est une interface graphique Gtk+ 2 qui affiche des astuces lorsque vous vous connectez à une Xfce Session. |
|
contient les fonctions de l'API de Xfce Session. |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Voici un petit groupe d'applications facultatives qui ajoutent des possibilités supplémentaires à votre bureau Xfce.
Midori est un navigateur internet léger qui utilise WebKitGTK+.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.midori-browser.org/downloads/midori_0.5.9_all_.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a0af659e0f1d6edb2c97aefdc8c0f097
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 71 Mo (additional 2 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.7 SBU (additional moins de 0.1 SBU for the tests)
cmake-3.1.3, libnotify-0.7.6, WebKitGTK+-2.4.8 (voir "explications des commandes") et Vala-0.26.2.
Gcr-3.14.0, GTK-Doc-1.21 et libzeitgeist-0.3.18
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/midori
Installez Midori en lançant les commandes suivantes : commands:
mkdir -v build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DUSE_ZEITGEIST=OFF \ -DCMAKE_INSTALL_DOCDIR=/usr/share/doc/midori-0.5.9 \ .. && make
Pour tester le résultat, tapez : make -k check depuis un
émulateur de terminal X. La performance de la suite de tests
est pauver : environ 1/3 échoue. Un autre test simple est de
lancer midori/midori depuis le
répertoire build
avant
d'installer.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DCMAKE_BUILD_TYPE=Release
: Ce
paramètre est utilisé pour appliquer le niveau le plus haut
d'optimisation du compilateur.
-DUSE_ZEITGEIST=OFF
:
enlevez ce paramètre si libzeitgeist-0.3.18 est
installé.
-DUSE_GTK3=1
: utilisez ce
paramètre si vous voulez construire Midori avec les dépendances de
WebKitGTK+ construit contre
GTK+ 3 car par défaut il
choisit WebKitGTK+ construit
contre GTK+ 2.
-DUSE_APIDOCS=1
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et que vous souhaitez construire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-03-17 00:07:39 +010
Parole est un lecteur de DVD/CD/musique pour Xfce qui utilise GStreamer.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/apps/parole/0.5/parole-0.5.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : fa25b069c90bb9d59fef46e77c98f9b0
Taille du téléchargement : 656 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
GStreamer Base Plug-ins-0.10.36 ou gst-plugins-base-1.4.5 et libxfce4ui-4.10.0
libnotify-0.7.6 et taglib-1.9.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/parole
Installez Parole en lançant les commandes suivantes : commands:
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-gstreamer=1.0
:
Utilisez ce paramètre si vous voulez utiliser gst-plugins-base-1.4.5 au lieu
de GStreamer Base
Plug-ins-0.10.36.
Si vous avez installé les greffons Ugly de Gstreamer avec le support pour Libdvdnav et Libdvdread et voulez utiliser Parole pour lire un DVD, cliquez sur Media> Open location et entrez dvd:// dans la boite.
Similairement, pour jouer un CD, cliquez sur Media> Open location et entrer cdda:// dans la boite.
Last updated on : 2013-03-28 01:12:39 +010
Le paquet GtkSourceView contient les bibliothèques utilisées pour étendre les fonctions texte de GTK+ 2 pour inclure le surlignement syntaxique.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtksourceview/2.10/gtksourceview-2.10.5.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gtksourceview/2.10/gtksourceview-2.10.5.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 220db5518e3f7fa06c980f057b22ba62
Taille du téléchargement : 2.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 31 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
gtk+-2.24.26 et
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gtksourceview2
Installez GtkSourceView en lançant les commandes suivantes
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester le résultat, tapez make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : $
Mousepad est un simple éditeur de texte GTK+ 2 pour l'environnement de bureau Xfce.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/apps/mousepad/0.3/mousepad-0.3.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : dcfcdfaa8a19c89f35d5f6f64753e6e1
Taille du téléchargement : 472 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.6 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mousepad
Installez Mousepad en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : $
Vte est une bibliothèque (libvte) implémentant le widget d'un émulateur de terminal pour Gtk+ 2, et une application de démonstration basique (vte) qui utilise libvte.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/vte/0.28/vte-0.28.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/vte/0.28/vte-0.28.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 497f26e457308649e6ece32b3bb142ff
Taille du téléchargement : 940 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 33 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
et gtk+-2.24.26.
gobject-introspection-1.42.0, GTK-Doc-1.21 et PyGTK-2.24.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/vte2
Installez Vte en lançant les commandes commands:
./configure --prefix=/usr \ --libexecdir=/usr/lib/vte \ --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--libexecdir=/usr/lib/vte
: ce
paquet et VTE-0.38.3 installe des fichiers avec le
même nom. Ce paramètre assure qu'ils n'écraseront pas les
fichiers installés par l'autre paquet s'il est installé.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-08-24 14:29:28 +020
xfce4 Terminal est un émulateur de terminal Gtk+ 2. Il sert à lancer des commandes ou des programmes avec l'avantage d'une fenêtre xorg, vous pouvez extraire et laisser des fichiers dans le xfce4 Terminal ou copier coller du texte avec votre souris.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/apps/xfce4-terminal/0.6/xfce4-terminal-0.6.3.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6a2816d8b0933cd707ed456ceb731399
Taille du téléchargement : 800 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
libxfce4ui-4.10.0 et vte-0.28.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/txfce4-erminal
Installez terminal en lançant les commandes commands:
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : $
Xfburn est une interface graphique Gtk+ 2 pour Libisoburn. Elle sert à créer des CDs ou des DVDs à partir de fichiers de votre ordinateur ou à partir d'images ISO téléchargées quelque part.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/apps/xfburn/0.5/xfburn-0.5.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5a277c76ec9f70900b8b98a2cd500a1d
Taille du téléchargement : 744 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 17 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU (additional 0.1 SBU for the tests)
exo-0.10.2, libxfce4util-4.10.1 et libisoburn-1.3.8.
GStreamer Base Plug-ins-0.10.36
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfburn
Installez Xfburn en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-28 01:12:39 +010
Ristretto est un lecteur d'images rapide et léger pour le bureau Xfce.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/apps/ristretto/0.6/ristretto-0.6.3.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6b8c9a5d7ed319e4c84a9fefaa18792c
Taille du téléchargement : 488 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
libexif-0.6.21 et libxfce4ui-4.10.0
tumbler-0.1.30 (exécution)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ristretto
Installez Ristretto en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : $
Le paquet libunique contient une bibliothèque pour écrire des applications d'une seule instance.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libunique/1.1/libunique-1.1.6.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/libunique/1.1/libunique-1.1.6.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7955769ef31f1bc4f83446dbb3625e6d
Taille du téléchargement : 328 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.0 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
gobject-introspection-1.42.0 et GTK-Doc-1.21
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libunique
Installez libunique en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../libunique-1.1.6-upstream_fixes-1.patch && autoreconf -fi && ./configure --prefix=/usr \ --disable-dbus \ --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-dbus
: Ce
paramètre désactive D-Bus en
faveur de GDBus.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-03-17 00:25:11 +010
Xfce4 Mixer est une application de contrôle du volume pour le bureau Xfce basée sur GStreamer.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/apps/xfce4-mixer/4.10/xfce4-mixer-4.10.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e47d5b3e873fdee3fa80d309a5f53e9c
Taille du téléchargement : 452 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.3 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
GStreamer Base Plug-ins-0.10.36, libunique-1.1.6 et xfce4-panel-4.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfce4-mixer
Installez Xfce4 Mixer en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
CE paquet n'a pas de suite de test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : $
Le Xfce4 Notification Daemon est un petit programme qui implémente la partie "serveur" des spécifications des notifications sur un bureau de Freedesktop. Les applications qui souhaitent afficher des bulles de notification d'une façon standard peuvent utiliser Xfce4-Notifyd pour le faire en envoyant des messages standards à travers D-Bus en utilisant l'interface org.freedesktop.Notifications.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://archive.xfce.org/src/apps/xfce4-notifyd/0.2/xfce4-notifyd-0.2.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 094be6f29206aac8299f27084e284e88
Taille du téléchargement : 356 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 5.3 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
libnotify-0.7.6 et libxfce4ui-4.10.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xfce4-notifyd
Installez Xfce4 Notification Daemon en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Vous pouvez tester le démon de notification avec la commande notify-send :
notify-send -i info Information "Hi ${USER}, This is a Test"
Last updated on : 2013-03-16 23:44:22 +010
LXDE est un environnement de bureau extrêmement rapide et économiseur d'énergie.
LXDE arrive avec une belle interface, le support multi-langue, les raccourcis clavier standard et des fonctions supplémentaires comme la navigation de fichiers tabulée. LXDE utilise moins le CPU et moins de RAM que les autres environnements. Il est spécialement conçu pour les ordinateurs en nuage avec des spécifications matérielles basses, comme les netbooks, les périphériques mobiles (e.g. MIDs) ou les vieux ordinateurs.
Construisez les paquets du coeur de LXDE dans l'ordre présenté dans le livre pour une résolution facile des dépendances.
Le paquet LXMenu Data fournit les fichiers requis pour construire les menus compatible avec la spécification freedesktop.org menu pour LXDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/lxmenu-data-0.1.4.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a44bb6214594fee21b8ef3e478b0f0e5
Taille du téléchargement : 176 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.0 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lxmenu-data
Installez LXMenu Data en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on
Le paquet LXDE Icon Theme contient le thème d'icônes nuoveXT 2.2 pour LXDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/lxde-icon-theme-0.5.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7467133275edbbcc79349379235d4411
Taille du téléchargement : 4.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 18 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
gtk+-2.24.26 or GTK+-3.14.8 (for gtk-update-icon-cache command)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lxde-icon-theme
Install LXDE Icon Theme by running the following
./configure --prefix=/usr
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez installez une des dépendances facultatives,
lancez la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
gtk-update-icon-cache -qf /usr/share/icons/nuoveXT2
Last updated on
Le paquet libfm-extra contient une bibliothèque et d'autres fichiers requis par menu-cache-gen libexec de menu-cache-1.0.0.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/pcmanfm/libfm-1.2.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3ff38200701658f7e80e25ed395d92dd
Taille du téléchargement : 880 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libfm-extra
Installez libfm-extra en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --with-extra-only \ --with-gtk=no \ --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-extra-only
Désactive tous les composants de la bibliothèque libfm-extra.
--with-gtk=no
Gtk n'est pas nécessaire
pour ce paquet
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2014-09-12 15:42:09 +0200
Le paquet Menu Cache contient une bibliothèque pour créer et utiliser des caches pour accélérer la manipulation des menus d'application freedesktop.org.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/menu-cache-1.0.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4a8e6c1a86d5e64ec725d850a4abfbad
Taille du téléchargement : 256 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.2 Mo (additional 0.6 Mo to build and install the API documentation)
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/menu-cache
Installez Menu Cache en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez cette
option si GTK-Doc est
installé et que vous souhaitez construire et installer la
documentation de l'API. Avec cette option d'activée, le
paquet ne supporte pas la construction parrallèle.
Last updated on
Le paquet libfm contient une bibliothèque utilisée pour développer des gestionnaires de fichiers fournissant quelques utilitaires de gestion de fichiers.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/pcmanfm/libfm-1.2.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3ff38200701658f7e80e25ed395d92dd
Taille du téléchargement : 880 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 29 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
gtk+-2.24.26 et menu-cache-1.0.0
libexif-0.6.21, Vala-0.26.2, et lxmenu-data-0.1.4
dbus-glib-0.104 et uDisks-1.0.5 (pour la gestion de volume - expérimental) ou gvfs-1.22.3 et GTK-Doc-1.21
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libfm
Installez libfm en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on
Le paquet PCManFM contient un gestionnaire de fichiers extrêmement rapide, léger, maintenant riche en fonctionnalité avec la navigation tabulé.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/pcmanfm/pcmanfm-1.2.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c993402d407b0a3fc076f842ac1bc5c9
Taille du téléchargement : 400 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.2 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
adwaita-icon-theme-3.14.1 ou oxygen-icons-14.12.2 ou lxde-icon-theme-0.5.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pcmanfm
Installez PCManFM en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && sed -i 's/System;//' /usr/share/applications/pcmanfm.desktop
sed -i ...: Corrige les sous-menu pour l'entrée de PCManFM.
Last updated on
Le paquet LXPanel contient un panel X11 de bureau léger.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/lxpanel-0.8.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : aa5bc73f4fe1d8006248a1f45f0a8a21
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 25 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
keybinder2-0.3.0, libwnck-2.30.7, lxmenu-data-0.1.4 et menu-cache-1.0.0
ALSA-Library-1.0.28 libxml2-2.9.2 (pour le greffon météo) et Wireless Tools-29
libindicator (greffon d'indication)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lxpanel
Installez LXPanel en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on
Le paquet LXAppearance contient un changeur de thème indépendant du bureau pour GTK+.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/lxappearance-0.6.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 79740125628a8374c1101cf26e558fa5
Taille du téléchargement : 160 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.1 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
libxslt-1.1.28 avec DocBook XML-DTD-4.5 et DocBook XSL Stylesheets-1.78.1 (pour construire les pages de manuel)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lxappearance
Installez LXAppearance en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static \ --enable-dbus && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-dbus
: Ce
paramètre active le support DBus dans LXAppearance qui est utilisé pour
communiquer avec LXSession.
Enlevez le si vous n'avez pas construit LXDE ou pas installé dbus-glib-0.104.
--enable-man
: Utilisez ce
paramètre si vous avez installé des dépendances facultatives
et souhaitez reconstruire les pages de manuel.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on
Le paquet LXSession contient les gestionnaires de session par défaut de LXDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/lxsession-0.5.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2957acccbf9ce37ef8205ec5424f8047
Taille du téléchargement : 348 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
dbus-glib-0.104, gtk+-2.24.26, libunique-1.1.6 (utilisé par lxpolkit et lxclipboard), lsb_release-1.4 (exécution pour que lxde-logout ne plante pas), polkit-0.112 et Vala-0.26.2
libxslt-1.1.28 avec DocBook XML-DTD-4.5, DocBook XSL Stylesheets-1.78.1 (pour construire les pages de man) et UPower-0.9.23 avec pm-utils-1.4.1 (utilisé par lxsession-logout)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lxsession
Installez LXSession en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-man && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-man
: Ce
paramètre désactive la construction des pages de manuel.
Enlevez le si vous avez installé des dépendances facultatives
et voulez construire les pages de manuel.
Last updated on
Le paquet LXDE Common fournit une suite de configuration par défaut pour LXDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/lxde-common-0.99.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5a417f5a0e5b510a0c018b66b0dc4081
Taille du téléchargement : 868 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.8 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
ConsoleKit-0.4.6, lxde-icon-theme-0.5.1, LXPanel-0.8.0, LXSession-0.5.2, openbox-3.5.2 (exécution) et PCManFM-1.2.3
desktop-file-utils-0.22, hicolor-icon-theme-0.14 et shared-mime-info-1.4
D-BUS-1.8.16, Démon de Notification, comme notification-daemon-3.14.1 ou xfce4-notifyd-0.2.4
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lxde-common
Installez LXDE Common en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vosu avez installez les dépendances recommandées, lancez
les commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
update-mime-database /usr/share/mime && gtk-update-icon-cache -qf /usr/share/icons/hicolor && update-desktop-database -q
Pour démarrer LXDE en utilisant xinit-1.3.4, lancez la suite
cat > ~/.xinitrc << "EOF" ck-launch-session startlxde EOF startx
Last updated on
C'est une petite collection d'applications facultatives qui ajoutes des fonctions supplémentaires au bureau LXDE desktop.
Le paquet GPicView contient un visualisateur d'images léger.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/gpicview-0.2.4.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b209e36531f89c48e3067b389699d4c7
Taille du téléchargement : 480 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.2 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gpicview
Installez GPicView en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && sed -i 's/Utility;//' /usr/share/applications/gpicview.desktop
Si vous avez installé xdg-utils-1.1.0-rc3, en tant
qu'utilisateur root
, vous
devez lancer la commande xdg-icon-resource forceupdate --theme
hicolor pour que les nouveaux icônes
installés soient affichés dans les menus.
sed -i ...: corrige les sous-menus pour GPicView.
Last updated on 2013-10-28 15:00:09 +0100
Le paquet LXAppearance OBconf contient un greffon LXAppearance pour configurer OpenBox.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/lxappearance-obconf-0.2.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d958ac5514ba1707429ff6794ab59abf
Taille du téléchargement : 288 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.0 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
LXAppearance-0.6.1 et openbox-3.5.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lxappearance-obconf
Installez LXAppearance OBconf en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2013-10-28 15:00:09 +0100
Le paquet LXInput contient un petit programme utilisé pour configurer le clavier et la souris pour LXDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/lxinput-0.3.4.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5deb8b5cffb8e385622051e4a7b103d0
Taille du téléchargement : 144 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.4 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lxinput
Installez LXInput en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2013-10-28 15:00:09 +0100
Le paquet LXRandR contient un outil de configuration de l'écran pour LXDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/lxrandr-0.3.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 250f0ebb09c1e02f430f951911ba1259
Taille du téléchargement : 124 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.5 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
gtk+-2.24.26 et Xorg Applications
libxslt-1.1.28 with DocBook XML-DTD-4.5 et DocBook XSL Stylesheets-1.78.1 (to build man pages)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lxrandr
Installez LXRandR en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-man
: Utilisez ce
paramètre si vous avec installé des dépendances facultatives
et souhaitez construire les pages de manuel.
Last updated on 2013-10-28 15:00:09 +0100
Le paquet LXTask contient un gestionnaire de tâches léger indépendant du bureau.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/lxtask-0.1.6.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 14b5341822aaa049f2d4d5a56c1b28f2
Taille du téléchargement : 136 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.3 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lxtask
Installez LXTask en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2013-10-28 15:00:09 +0100
Le paquet LXTerminal contient un émulateur de terminal basé sur VTE pour LXDE avec le support pour plusieurs onglets.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxde/lxterminal-0.2.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e80ad1b6e26212f3d43908c2ad87ba4d
Taille du téléchargement : 244 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
libxslt-1.1.28 with DocBook XML-DTD-4.5 et DocBook XSL Stylesheets-1.78.1 (to build man pages)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lxterminal
Par défaut, LXTerminal installe ses menus dans la catégorie Systeme. Si vous le souhaitez, changer cela pour la catégorie utilitaire: :
sed -i 's/System/Utility/' data/lxterminal.desktop.in
Installez LXTerminal en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-man
: Utilisez ce
paramètre si vous avez installé les dépendances facultatives
et souhaitez construire les pages de manuel.
Last updated on 2013-10-28 15:00:09 +0100
LXDM est un gestionnaire d'affichage léger pour le bureau LXDE. Il peut également être utilisé comme une alternative aux autres gestionnaires d'affichage comme GDM de GNOME's ou KDM de KDE.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lxdm/lxdm-0.5.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a51686720e606ca456d7f56ae4159d1f
Taille du téléchargement : 232 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.7 Mo
Estimation du temps de construction : less than 0.1 SBU
gtk+-2.24.26, ISO Codes-3.57 et librsvg-2.40.7 (exécution, pour le thème de fond par défaut)
ConsoleKit-0.4.6 et Linux-PAM-1.1.8
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lxdm
Commencez par corriger quelques fichiers.
cat > pam/lxdm << "EOF" &&
#%PAM-1.0
auth required pam_unix.so
auth requisite pam_nologin.so
account required pam_unix.so
password required pam_unix.so
session required pam_unix.so
EOF
sed -i 's:sysconfig/i18n:profile.d/i18n.sh:g' data/lxdm.in &&
sed -i 's:/etc/xprofile:/etc/profile:g' data/Xsession &&
sed -e 's/^bg/#&/' \
-e '/reset=1/ s/# //' \
-e 's/logou$/logout/' \
-e "/arg=/a arg=$XORG_PREFIX/bin/X" \
-i data/lxdm.conf.in
Installez LXDM en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --with-pam \ --with-systemdsystemunitdir=no && make
Ce paquet ne vient pas avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
cat > pam/lxdm <<
"EOF" ... : Remplacez le /etc/pam.d/lxdm
par défaut par un autre
approprié pour BLFS.
sed -i ...
lxdm.conf.in : modifications dans la
configuration par défaut. (1) Corrige le fond vers celui par
défaut; (2) redémarre X quand la session est fermée: (3)
typo et (4) inclu XORG_PREFIX
, qui
peut être différent de /usr
.
sed -i ...
data/Xsession: Utilise /etc/profile
, a la place d'un autre
fichier, en accord avec le standard BLFS.
sed -i ... data/lxdm.in: corrige les bonnes locales selon la spécification BLFS.
--with-pam
: Cette
option active l'utilisation de l'authentification
--with-systemdsystemunitdir=no
:
BLFS ne supporte pas systemd.
Installez le script d'init /etc/rc.d/init.d/lxdm
depuis le paquet
blfs-bootscripts-20150304.
make install-lxdm
Le fichier de configuration du démon LXDM /etc/lxdm/lxdm.conf
inclu les options
numlock on/off, backgraound image (bg), session, etc. Vous
pouvez initialiser une session par défaut en décommentait
la ligne: session=/usr/bin/startlxde et en remplaçant
startlxde
avec la session de votre choix. Pour GNOME session=/usr/bin/gnome-session.
Pour OPENBOX
session=/usr/bin/openbox-session et pour XFCE session=/usr/bin/startxfce4.
Il est aussi possible d'initialiser une session préférée d'un utilisateur en éditant le fichier ~/.dmrc pour chaque utilisateur et en ajoutant:
[Desktop]
Session=xfce
Vous pouvez remplacer l'image idiote par défaut dans
l'écran de bienvenue par une autre image représentant
votre utilisateur Pour cela, copiez ou liez l'image
désirée de votre répertoire home, avec le nom
.face
.
Vous pouvez démarrer manuellement lxdm, c'est à dire,
si vous installez le script de démarrage, en lançant, en
tant qu'utilisateur root
:
/etc/rc.d/init.d/lxdm start
Par définition, X doit être exécuté au niveau
d'éxécution 5, donc, c'est vrai aussi pour lxdm. Cependant, par défaut BLFS
lance le niveau 3. Le changement en niveau 5, depuis le
terminal, en tant qu'utilisateur root
, fait que le script de démarrage
de lxdm est
exécuté, en obtenant le bon écran:
init 5
Pour changer en permanence à 5, donc pour obtenir que
lxdm soit
automatiquement à l'écran, vous devez modifier
/etc/inittab
, en tant
qu'utilisateur root
(les
instructions dessous font également une sauvegarde, donc
vous pouvez facilement annuler la modification):
cp -v /etc/inittab{,-orig} && sed -i '/initdefault/ s/3/5/' /etc/inittab
Un script important, exécuté après le login, est
/etc/lxdm/Xsession
, que nous
avons corrigé pour coller aux specifications de BLFS.
est un script pour exécuter lxdm-binary |
|
est le gestionnaire d'affichage courant; nécessite
d'être exécuté avec l'option |
|
est un programme de personnalisation graphique |
|
est l'affichage graphique de login, ou, entre d'autres options, le nom de l'utilisateur est choisi et le mot de passe est tapé. (si pas en mode login automatique) |
|
est un programme pour initialiser la touche
numlock, si aussi défini dans |
Last updated on 2014-09-01 16:53:56 +0200
Ce chapitre est un ensemble de programmes servant à voir et éditer des documents de bureautique. Certains sont dédiés à une seule chose (telle que le traitement de texte ou la manipulation de feuilles de calcul). Libre Office est une suite de programmes qui peuvent manipuler de nombreux many formats différents incluant les présentations powerpoint.
AbiWord est une application de traitement de texte qui est utile pour rédiger des rapports, des lettres et d'autres documents formatés.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.abisource.com/downloads/abiword/3.0.1/source/abiword-3.0.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f3f8052e7b4979a43b75775a381e6cb8
Taille du téléchargement : 11 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 575 Mo -additional 13 Mo for docs (73 Mo installé - additional 3.1 Mo for docs)
Estimation du temps de construction : 7.7 SBU - additional 0.5 SBU for docs
AbiWord Docs: http://www.abisource.com/downloads/abiword/3.0.1/source/abiword-docs-3.0.1.tar.gz
AbiWord Docs MD5 sum: c9b78cb5f9c415ed63ce1cf9874fa8a4
AbiWord Docs size: 1.5
boost-1.57.0, FriBidi-0.19.6, GOffice-0.10.20 et wv-1.2.9
enchant-1.6.0 (pour la vérification orthographique)
dbus-glib-0.104, gobject-introspection-1.42.0, libgcrypt-1.6.2, libical-1.0.1, libsoup-2.48.1, redland-1.0.17, Valgrind-3.10.1. Aiksaurus, Evolution Data Server, GtkMathView, libchamplain, libwmf, libwpd, libwpg, libwps, Link Grammar Parser, Loudmouth, Telepathy GLib, OTS, et Psiconv
Pour activer la plupart des dépendances facultatives, regardez l'information de ./configure --help pour les paramètres nécessaire que vous pouvez passer au script configure script.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/abiword
Installez AbiWord en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce programme n'a pas de suite de tests fonctionnelle.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Pour installer les fichiers d'aide, une session graphique est recommandée.
Si vous souhaitez installer les fichiers d'aide locaux, désarchiver et les construire en premier
tar -xf ../abiword-docs-3.0.1.tar.gz && cd abiword-docs-3.0.1 && ./configure --prefix=/usr && make
et alors, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--without-evolution-data-server
:
Ce paramètre désactive le support Evolution Data Server de AbiWord qui est connu pour échouer avec
les versions récentes de Evolution
Data Server.
--enable-plugins=collab
> : Construit
tout ou partie des greffons. Le greffon openxml permet à
Abiword d'ouvrir certains
fichiers .docx. Le greffon grammar exige Link
Grammar Parser (analyseur grammatical)
Choisissez le bon modèle pour votre langue et votre locale dans la liste qu'affiche la commande suivante :
ls /usr/share/abiword-3.0/templates
Créez le dossier ~/.AbiSuite/templates
puis copiez dedans
le normal.awt
que vous
voulez :
install -v -m750 -d ~/.AbiSuite/templates &&
install -v -m640 /usr/share/abiword-3.0/templates/normal.awt-<lang>
\
~/.AbiSuite/templates/normal.awt
Modifiez <lang>
par la
commande ci-dessus pour mettre le nom du fichier que vous
voulez.
Si vous utilisez plusieurs langues, vous pouvez avoir besoin d'éditer le modèle pour utiliser une font avec une plus grande couverture (par exemple une des polices DejaVu fonts), car Abiword n'utilise pas fontconfig et peut seulement afficher des glyphes qui proviennent d'une font choisie.
Si vous avez installé desktop-file-utils-0.22, vous devriez lancer la commande update-desktop-database pour mettre à jour le cache mimeinfo et permettre au système d'aide de fonctionner.
Si vous avez installé xdg-utils-1.1.0-rc3, vous pouvez lancer la commande xdg-icon-resource forceupdate --theme hicolor pour que les nouveaux icônes installes soient affichés dans le menu.
Last updated on : 2012-10-26 21:44:31 +020
Le paquet Gnumeric contient un programme tableur qui est utile pour de l'analyse mathématique.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnumeric/1.12/gnumeric-1.12.20.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gnumeric/1.12/gnumeric-1.12.20.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d60bad3065348fefe2096a16a9bc11dd
Taille du téléchargement : 17.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 276 Mo (additional 2 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 1.8 SBU (additional 1.5 SBU for the tests)
GOffice-0.10.20 et Rarian-0.8.1
un thème d'icônes comme adwaita-icon-theme-3.14.1, oxygen-icons-14.12.2 ou GNOME Icon-Theme-3.12.0, X Window System, et Yelp-3.14.1 pour les fonctions d'aide intégrées.
dconf-0.22.0 (pour empêcher des échecs aux tests), gobject-introspection-1.42.0, PyGObject-3.14.0, Valgrind-3.10.1 (pour certains tests), dblatex (pour les docs PDF), libgda, Mono, pxlib, et Psiconv
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gnumeric
Installez Gnumeric en lançant les commandes suivantes :
sed -e "s@zz-application/zz-winassoc-xls;@@" -i gnumeric.desktop.in && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet doit être installé avant d'exécuter la suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous souhaitez tester les résultats, tapez make -k check. Les tests doivent être lancés dans une session X active, et dconf-0.22.0 doit être installé pour prévenir des échecs. Cependant quelques tests échouent pour des raisons inconnues.
sed -e "s@zz-application/zz-winassoc-xls;@@" ... : Ce sed efface des types mimes invalides du fichier .desktop.
--enable-pdfdocs
> :nbsp;:
utilisez ce paramètre si vous avez installé dblatex et voulez
créer des docs PDF.
est un lien symbolique vers gnumeric-1.12.20 |
|
est l'application tableur de GNOME. |
|
est un outil en ligne de commande utilisé pour convertir des fichiers de feuilles de calcul vers différents formats de fichiers de feuilles de calcul. |
|
est un outil en ligne de commande pour comparer deux feuilles de calcul |
|
est un utilitaire en ligne de commande pour rechercher des feuilles de calcul pour les chaînes. |
|
est un outil en ligne de commande pour générer des données d'index pour des fichiers de feuille de calcul. |
Last updated on : 2013-03-16 17:48:02 +010
Libre Office est une suite bureautique complète. Elle est largement compatible avec Microsoft Office et c'est un héritier d'Open Office.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement du cœur : http://download.documentfoundation.org/libreoffice/src/4.4.0/libreoffice-4.4.0.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement du cœur : 34cf1a7fbac5b496c141c32c8464a73a
Taille du téléchargement du cœur : 157 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 8.6 Go (538 Mo installé), with translations
Estimation du temps de construction : 70 SBU (using parallelism=4), with translations
Téléchargement des dictionnaires (HTTP): http://download.documentfoundation.org/libreoffice/src/4.4.0/libreoffice-dictionaries-4.4.0.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement des dictionnaires: f61c11b64e4f15620b9d96bd58af4041
Taille du téléchargement des dictionnaires: 36 Mo
Téléchargement de l'aide (HTTP): http://download.documentfoundation.org/libreoffice/src/4.4.0/libreoffice-help-4.4.0.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement de l'aide: 46e893fdbc435917b5cf70565e38d6f0
Taille du téléchargement de l'aide: 1.8 Mo
Téléchargement des traductions (HTTP): http://download.documentfoundation.org/libreoffice/src/4.4.0/libreoffice-translations-4.4.0.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement des traductions: 064605fe0695dcf0b461036c07e75c7a
Taille du téléchargement des traductions: 122 Mo
correctif requis pour les systèmes i686 pour corriger un problème introduit par gcc-4.9.0: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/libreoffice-4.4.0.3-gcc_4_9_0-2.patch
Archive::Zip-1.45 UnZip-6.0, Wget-1.16.1, which-2.20 et Zip-3.0.
La plupart de ces paquets sont recommandés car s'ils ne sont pas installés, le processus de construction compilera et installera sa propre version (souvent ancienne).
boost-1.57.0, clucene-2.3.3.4, Cups-2.0.2, cURL-7.40.0, dbus-glib-0.104, libjpeg-turbo-1.4.0, GLU-9.0.0, Graphite2-1.2.4, GStreamer Base Plug-ins-0.10.36 ou gst-plugins-base-1.4.5, gtk+-2.24.26, Harfbuzz-0.9.38, ICU-54.1, Little CMS-2.6, librsvg-2.40.7, libxml2-2.9.2 et libxslt-1.1.28, MesaLib-10.4.5, neon-0.30.1, NPAPI-SDK-0.27.2, NSS-3.17.4, OpenLDAP-2.4.40 (le client seulement), OpenSSL-1.0.2, Poppler-0.31.0, Python-3.4.2 (utilisé pour construire les traductions), redland-1.0.17 et unixODBC-2.3.2
avahi-0.6.31, bluez-5.28, desktop-file-utils-0.22, Doxygen-1.8.9.1 (pas utile si utilisation de --disable-odk), gdb-7.9, GTK+-3.14.8 (voir « Explications des commandes »), kdelibs-4.14.5, libatomic_ops-7.4.2, MariaDB-10.0.16 ou MySQL, MIT Kerberos V5-1.13.1, OpenJDK-1.8.0.31, PostgreSQL-9.4.1, SANE-1.0.24, VLC-2.1.5, CoinMP, Cppunit, firebird, glew (bibliothèque OpenGL Extension Wrangler), hamcrest, Hunspell, Hyphen, iwyu, libabw, libcdr, libcmis, libebook, libexttextcat, libfreehand, liblangtag, libmspub, libmwaw, libodfgen, libpagemaker, librevenge (Import de document WordPerfect), libvisio, libwpd, libwpg, libwps, lp_solve, mdds, MyThes, ogl-math - OpenGL Mathematics (GLM), OpenCOLLADA, Orcus, VIGRA, et Zenity
Il y a beaucoup de dépendances facultatives non listées ici. Elles peuvent être trouvées dans « download.lst » (répertoire des sources).
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libreoffice
LibreOffice doit être construit dans un environnement graphique - La construction échouera sinon.
Contrairement aux autres paquets, nous supposons que vous
n'avez pas encore déballé le paquet. Car le paramètre
--no-overwrite-dir
est utile
dans le cas ou vous déballer en tant qu'utilisateur
root
.
tar -xf libreoffice-4.4.0.3.tar.xz --no-overwrite-dir && cd libreoffice-4.4.0.3
Créez les liens symboliques des paquets depuis le répertoire des sources pour qu'ils ne soient pas téléchargé de nouveau:
install -dm755 external/tarballs && ln -sv ../../../libreoffice-dictionaries-4.4.0.3.tar.xz external/tarballs/ && ln -sv ../../../libreoffice-help-4.4.0.3.tar.xz external/tarballs/
Si vous avez chargé l'archive des traductions, créez un lien symbolique:
ln -sv ../../../libreoffice-translations-4.4.0.3.tar.xz external/tarballs/
Pendant le processus de construction, quelques paquets seront téléchargés (en incluant certains listés comme des dépendances recommandés ou facultatives) s'ils ne sont pas présent sur le système. A cause de cela, le temps de construction peut être différents pour chacun.
A cause de la grande taille du paquet, l'utilisateur peut
préférer installer dans /opt
,
au lieu de /usr
. En fonction de
votre choix remplacez <PREFIX>
par
/usr
ou par /opt/libreoffice-4.4.0.3
:
export LO_PREFIX=<PREFIX>
Pour les systèmes i686 corrigez un problème introduit par gcc-4.9.0:
patch -Np1 -i ../libreoffice-4.4.0.3-gcc_4_9_0-2.patch
Dans le reste de la page, locales "en-US" et "pt-BR" sont les examples; l'utilisateur les changera en fonction de ses besoins - Vous devrez lire "les explications des commandes", plus bas, avant de faire la compilation.
Preparez LibreOffice pour la compilation en lançant les commandes suivantes:
sed -e "/gzip -f/d" \ -e "s|.1.gz|.1|g" \ -i bin/distro-install-desktop-integration && sed -e "/distro-install-file-lists/d" -i Makefile.in && sed -e "/ustrbuf/a #include <algorithm>" \ -i svl/source/misc/gridprinter.cxx && chmod -v +x bin/unpack-sources && ./autogen.sh --prefix=$LO_PREFIX \ --sysconfdir=/etc \ --with-vendor="BLFS" \ --with-lang="en-US pt-BR" \ --with-help \ --with-myspell-dicts \ --with-alloc=system \ --without-java \ --without-system-dicts \ --disable-gconf \ --disable-odk \ --disable-postgresql-sdbc \ --enable-release-build=yes \ --enable-python=system \ --with-system-boost \ --with-system-clucene \ --with-system-cairo \ --with-system-curl \ --with-system-expat \ --with-system-graphite \ --with-system-harfbuzz \ --with-system-icu \ --with-system-jpeg \ --with-system-lcms2 \ --with-system-libpng \ --with-system-libxml \ --with-system-mesa-headers \ --with-system-neon \ --with-system-npapi-headers \ --with-system-nss \ --with-system-odbc \ --with-system-openldap \ --with-system-openssl \ --with-system-poppler \ --with-system-redland \ --with-system-zlib \ --with-parallelism=$(getconf _NPROCESSORS_ONLN)
Les instructions suivantes vont seulement construire le paquet sans lancer aucune tests unitaires. Si vous préférez lancer les tests unitaires, remplacez make build par make
Construisez le paquet (souvenez vous que cela doit être fait dans un environnement graphique).
make build
Maintenant en tant qu'utilisateur root
:
make distro-pack-install && install -v -m755 -d $LO_PREFIX/share/appdata && install -v -m644 sysui/desktop/appstream-appdata/*.xml \ $LO_PREFIX/share/appdata
Si vous avez installé dans /opt/libreoffice-4.4.0.3
quelques étapes
supplémentaires sont nécessaire. Tapez les commandes
suivantes, en tant qu'utilisateur root
:
if [ "$LO_PREFIX" != "/usr" ]; then # This symlink is necessary for the desktop menu entries ln -sv -f $LO_PREFIX/lib/libreoffice/program/soffice \ /usr/bin/libreoffice && # Icons for i in $LO_PREFIX/share/icons/hicolor/32x32/apps/*; do ln -svf $i /usr/share/pixmaps done; unset i && # Desktop menu entries pushd $LO_PREFIX/lib/libreoffice/share/xdg && for i in *; do ln -svf $LO_PREFIX/lib/libreoffice/share/xdg/$i \ /usr/share/applications/libreoffice-$i done; unset i && popd && # Man pages for i in $LO_PREFIX/share/man/man1/*; do ln -svf $i /usr/share/man/man1/ done; unset i fi
Si vous avez installé desktop-file-utils-0.22, et que
vous souhaitiez mettre à jour la base de données MIME, tapez,
en tant qu'utilisateur root
:
update-desktop-database
sed -e ... : Le premier sed empêche la compression des pages de manuel, le second empêche l'installation d'échouer et le troisième inclu une entête oubliée sans laquelle make build échoue.
chmod -v +x ...: Corrige les permissions du script de déballage.
--with-vendor=BLFS
: Ce
paramètre initialise BLFS comme le vendeur qui est mentionné
quand vous cliquez "a propos" dans la barre d'outils.
--with-lang="en-US
pt-BR"
: Ce paramètre initialise les langues à
supporter. Pour lister plusieurs langues, séparez les avec un
espace. Pour toutes les langues, utilisez --with-lang=ALL
.
Pour avoir la liste des langues disponibles, vous pouvez regarder l'archive des traductions, tar -tf ../libreoffice-translations-4.4.0.3.tar.xz | grep translations/source cut -d/ -f4 | uniq.
--with-help
: Sans ce
paramètre, les fichiers d'aides ne sont pas construits.
--with-myspell-dicts
:
Ce paramètre ajoute les dictionnaires myspell dans
l'installation de LibreOffice.
--with-alloc=system
: Ce
paramètre indique à LibreOffice d'utiliser l'allocateur du
sytème au lieu de celui en interne.
--without-system-dicts
: Ce
paramètre désactive l'utilisation des dicitionnaires depuis
les chemins système, donc les seuls installés par ce paquet
sont utilisés.
--without-java
:
Cette option compile Libre
Office sans le support Java.
--disable-gconf
: Enlevez
cette option si vous voulez compiler LibreOffice avec le support de
configuration obsolète de GNOME.
--disable-odk
:
Ceci désactive l'installation du kit de développement de
bureautique. Supprimez cette option si vous voulez développer
une application basée sur Libre
Office.
--disable-postgresql-sdbc
:
Cette option désactive la compilation de LibreOffice avec la capacité de se
connecter à une base de données PostgreSQL. Si vous souhaitez que
LibreOffice soit capable de
se connecter à une base de données PostgreSQL supprimez cette option. Si
vous avez installé PostgreSQL sur votre système et que vous
souhaitez que LibreOffice
l'utilise plutôt que sa propre version, ajoutez l'option
--with-system-postgresql
.
--enable-release-build=yes
: Ce
paramètre active Release Build. LibreOffice peut être construit en
Release Build ou en Developer Build, car leur chemin
d'installation par défaut et les chemins de profile
utilisateur sont différents. Developer Build affichie les
mots "Dev" et "Beta" dans différents endroits (menu et écran
de démarrage).
--enable-python=system
:
Ce paramètre indique à LibreOffice d'utiliser Python 3 installé pour construire les
traductions à la place de celui livré. Si vous n'avez pas
besoin de construire les traductions, vous pouvez utiliser
--disable-python
à la place.
--with-system-
...
: Ces options empêchent Libre Office d'essayer de compiler ses
propres versions des dépendances. Si vous n'avez pas installé
certaines dépendances, supprimez l'option correspondante.
--with-parallelism=$(getconf
_NPROCESSORS_ONLN)
: Cette option dit à
Libre Office d'utiliser tous
vos processeurs pour compiler en parallèle et accélérer la
construction.
--enable-gstreamer-0-10
:
utilisez cette option si vous voulez utiliser GStreamer Base
Plug-ins-0.10.36 à la place de gst-plugins-base-1.4.5 pour le
module avmedia.
--disable-cups
: Utilisez ce
paramètre si nous n'avez pas besoin du support de
l'impression.
--disable-dbus
: Utilisez ce
paramètre si vous n'avez pas installé D-Bus-1.8.0 ou plus. Il
désactive également le support Bluetooth et l'installation
des polices via PackageKit.
--disable-gstreamer-1.0
:
Utilisez ce paramètre si vous n'avez pas installé gst-plugins-base-1.4.5.
--enable-gtk3
: Utilisez ce
paramètre si vous voulez construire le module d'intégration
GTK+ 3.
--enable-kde4
: Utilisez ce
paramètre si vous voulez construire le module d'intégration
KDE.
est un gestionnaire de bases de données. |
|
est un programme de feuilles de calcul. |
|
est un éditeur d'images vectorielles et un outil pour faire des diagrammes. |
|
peut éditer et afficher des présentations powerpoint. |
|
est un éditeur de formules mathématiques. |
|
est un traitement de texte. |
|
est un outil pour gérer les extensions LibreOffice depuis la ligne de commande. |
Last updated on : 2013-04-06 00:01:58 +020
Ce chapitre contient une sélection sympathique de navigateurs. Nous espérons que vous pourrez en trouver un qui vous plaira dans son utilisation ou que vous les essaierez tous.
SeaMonkey est une suite internet, le petit frère libre de Netscape. Elle inclut le navigateur, le compositeur, des clients de messagerie et de nouvelles et un client IRC. C'est le poursuivant du navigateur de la suite Mozilla.
Le projet Mozilla héberge aussi deux sous-projets visant à satisfaire les besoins des utilisateurs qui n'ont pas besoin d'une suite navigateur complète ou qui préfèrent avoir des applications distinctes pour la navigation et la messagerie. Ces sous-projets sont Firefox-36.0 et Thunderbird-31.5.0. Les deux sont basés sur le code source de Mozilla.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://ftp.mozilla.org/pub/mozilla.org/seamonkey/releases/2.32.1/source/seamonkey-2.32.1.source.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.mozilla.org/pub/seamonkey/releases/2.32.1/source/seamonkey-2.32.1.source.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 88a90d29af5f05e12a9c91e4c4d57c6e
Taille du téléchargement : 191 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 4.4 Go (78 Mo installé)
Estimation du temps de construction : 19 SBU (using parallelism=4)
ALSA-Library-1.0.28, gtk+-2.24.26, Zip-3.0, UnZip-6.0 et yasm-1.3.0
ICU-54.1, libevent-2.0.22, libvpx-1.3.0, NSPR-4.10.8, NSS-3.17.4 et SQLite-3.8.8.2
Si vous n'installez pas les dépendances recommandées, alors des copies internes de ses paquets seront utilisées. Elles sont testées pour fonctionner, mais elles peuvent être dépassées ou contenir des trous de sécurité.
Vous devez avoir installé Openssl avant Python 2 ou le système de construction
échouera rapidement avec une sortie "ImportError: cannot
import name HTTPSHandler". Si vous avec un doute à propos
de cela (dans le cas d'une mise à jour depuis une version
de Seamonkey ancienne), vérifiez si /usr/lib/python2.7/lib-dynload/_ssl.so
existe. S'il n'existe pas reinstallez Python-2.7.9 (après
l'installation de OpenSSL-1.0.2. La dernière version de
toutes les versions actuellement
maintenues de Openssl sera satisfaisante si
elle est déjà installée.
cURL-7.40.0, dbus-glib-0.104, Doxygen-1.8.9.1, GStreamer Base Plug-ins-0.10.36 (avec GStreamer Good Plug-ins-0.10.31 et gst-ffmpeg-0.10.13 à l'éxécution), ou gst-plugins-base-1.4.5 (avec gst-plugins-good-1.4.5 et gst-libav-1.4.5 à l'éxécution), libnotify-0.7.6, OpenJDK-1.8.0.31, PulseAudio-5.0, startup-notification-0.12, Valgrind-3.10.1, Wget-1.16.1, Wireless Tools-29, et Hunspell,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/seamonkey
La configuration de SeaMonkey se fait en créant un fichier
mozconfig
contenant les options
de configuration désirées. Un fichier mozconfig
par défaut est créé ci-dessous.
Pour voir toute la liste des options de configuration
disponibles (et une description abrégée de chacune), exécutez
./configure
--help. Il se peut que vous vouliez aussi
relire tout le fichier et décommenter d'autres options
souhaitées. Créez le fichier en lançant la commande
suivante :
cat > mozconfig << "EOF"
# If you have a multicore machine, all cores will be used by default.
# If desired, you can reduce the number of cores used, e.g. to 1, by
# uncommenting the next line and setting a valid number of CPU cores.
#mk_add_options MOZ_MAKE_FLAGS="-j1"
# If you have installed DBus-Glib comment out this line:
ac_add_options --disable-dbus
# If you have installed dbus-glib, and you have installed (or will install)
# wireless-tools, and you wish to use geolocation web services, comment out
# this line
ac_add_options --disable-necko-wifi
# If you have installed libnotify comment out this line:
ac_add_options --disable-libnotify
# GStreamer is necessary for H.264 video playback in HTML5 Video Player;
# to be enabled, also remember to set "media.gstreamer.enabled" to "true"
# in about:config. If you do *not* have GStreamer 0.x.y, uncomment this line:
ac_add_options --disable-gstreamer
# or uncomment this line, if you have GStreamer 1.x.y
#ac_add_options --enable-gstreamer=1.0
# Uncomment these lines if you have installed optional dependencies:
#ac_add_options --enable-system-hunspell
#ac_add_options --enable-startup-notification
# Comment out following option if you have PulseAudio installed
ac_add_options --disable-pulseaudio
# Comment out following options if you have not installed
# recommended dependencies:
ac_add_options --enable-system-sqlite
ac_add_options --with-system-libevent
ac_add_options --with-system-libvpx
ac_add_options --with-system-nspr
ac_add_options --with-system-nss
ac_add_options --with-system-icu
# The BLFS editors recommend not changing anything below this line:
ac_add_options --prefix=/usr
ac_add_options --enable-application=suite
ac_add_options --disable-crashreporter
ac_add_options --disable-updater
ac_add_options --disable-tests
ac_add_options --enable-optimize
ac_add_options --enable-strip
ac_add_options --enable-install-strip
ac_add_options --enable-gio
ac_add_options --enable-official-branding
ac_add_options --enable-safe-browsing
ac_add_options --enable-url-classifier
ac_add_options --enable-system-cairo
ac_add_options --enable-system-ffi
ac_add_options --enable-system-pixman
ac_add_options --with-pthreads
ac_add_options --with-system-bz2
ac_add_options --with-system-jpeg
ac_add_options --with-system-png
ac_add_options --with-system-zlib
mk_add_options MOZ_OBJDIR=@TOPSRCDIR@/moz-build-dir
EOF
Il y a un problème sur les systèmes i686, quand on constuit SeaMonkey avec gcc ayant une version entre 4.8 et 4.9.1, et en utilisant le paramètre « --enable-optimize ». Vous avez deux alternatives, la meilleure est de mettre à jour gcc à la version 4.9.2, car ce paramètre apporte des meilleures performances et des binaires plus petits. Cependant, si vous ne voulez pas mettre à jour gcc, désactivez ce paramètre avec:
test $(uname -m) = "i686" && sed -i 's/enable-optimize/&=-O2/' mozconfig || true
Si vous compilez SeaMonkey
dans un chroot, soyez certain que vous avez la variable
d'environnement SHELL
initialisée ou déclarez SHELL=/bin/sh
avant le premier make suivant.
Le répertoire moz-build-dir doit exister et correspondre à la valeur utilisée dans mozconfig (aprés) pour le répertoire des objets (MOZ_OBJDIR):
mkdir -vp mozilla/moz-build-dir
Compilez SeaMonkey en lançant la commande suivante :
Si vous n'avez pas installé Xorg dans /usr, soyez certain de spécifier l'emplacement avec :
export CPLUS_INCLUDE_PATH=$XORG_PREFIX/include export C_INCLUDE_PATH=$XORG_PREFIX/include
make -f client.mk
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Installez SeaMonkey en
lançant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
make -f client.mk install INSTALL_SDK= && chown -R 0:0 /usr/lib/seamonkey-2.32.1 && cp -v moz-build-dir/dist/man/man1/seamonkey.1 /usr/share/man/man1
Si vous souhaitez installer l'environnement complet de
développement de SeaMonkey,
en tant qu'utilisateur root
:
make -C moz-build-dir install
mkdir -vp mozilla/moz-build-dir: corrige une erreur de construction de Makefile au début de la construction. , ou un fichier ne peut pas être trouvé.
make -f
client.mk : Les produits Mozilla sont
empaquetés pour permettre l'utilisation d'un fichier de
configuration utilisable pour passer les paramètres de
configuration à la commande configure. make utilise le fichier
client.mk
pour récupérer les
paramètres de configuration de départ et régler les
paramètres.
Si vous avez enlevé l'option --disable-webm
de votre mozconfig
, votre Seamonkey peut lire la plupart des
vidéos youtube sans plugin flash. Pour activer cela, allez
sur http://www.youtube.com/html5
et cliquez sur 'Rejoindre le test HTML5' (exige l'activation
des cookies).
Pour installer des plugins SeaMonkey, reportez-vous au Mozdev's PluginDoc Project.
Tout en utilisant le menu « Préférences » pour configurer les options
et les préférences de SeaMonkey pour les adapter à vos propres
goûts, un contrôle bien plus approfondi de nombreuses options
n'est disponible qu'en utilisant un outil non disponible
depuis le système de menu général. Pour accéder à cet outil,
vous devrez ouvrir une fenêtre du navigateur et entrer
about:config
dans la barre
d'adresse. Cela affichera une liste des préférences de
configuration et des informations liées à chacune. Vous
pouvez utiliser la barre de « Filtre: » pour entrer des critères de
recherche et réduire les éléments listés. La modification
d'une préférence se fait en utilisant deux méthodes. L'une,
si la préférence a une valeur boléenne (True/False,
Vrai/Faux), double-cliquez simplement sur la préférence pour
basculer la valeur, et l'autre, pour les préférences, faites
simplement un clic droit sur la ligne désirée, choisissez
« Modifier » dans le
menu et modifiez la valeur. La création de nouveaux éléments
de préférence se fait de la même façon, sauf qu'il faut
choisir « Nouveau » du
menu et fournir les données désirées dans les champs quand on
vous le demande.
Il y a énormément de paramètres de configuration que vous pouvez bidouiller pour personnaliser SeaMonkey. Vous pouvez trouver une liste très complète de ces paramètres sur http://preferential.mozdev.org/preferences.html.
Si vous utilisez un environnement de bureau comme
Gnome ou KDE vous pourriez souhaiter créer un
fichier seamonkey.desktop
pour
que Seamonkey apparaisse
dans les menus du bureau. Si vous n'avez pas activé
Startup-Notification
(notification de démarrage) dans votre mozconfig, modifiez la
ligne StartupNotify en false. En tant qu'utilisateur
root
:
mkdir -pv /usr/share/{applications,pixmaps} && cat > /usr/share/applications/seamonkey.desktop << "EOF" && [Desktop Entry] Encoding=UTF-8 Type=Application Name=SeaMonkey Comment=The Mozilla Suite Icon=seamonkey Exec=seamonkey Categories=Network;GTK;Application;Email;Browser;WebBrowser;News; StartupNotify=true Terminal=false EOF ln -sfv /usr/lib/seamonkey-2.32.1/chrome/icons/default/seamonkey.png \ /usr/share/pixmaps
/usr/lib/seamonkey-2.32.1
Last updated on : 2012-10-24 21:21:22 +020
Firefox est un navigateur autonome basé sur le code Mozilla.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://ftp.mozilla.org/pub/mozilla.org/firefox/releases/36.0/source/firefox-36.0.source.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.mozilla.org/pub/firefox/releases/36.0/source/firefox-36.0.source.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 74190b0302782a5d25532def423355a7
Taille du téléchargement : 172 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 3.3 Go (74 Mo installé, also requires up to 1.7GB of virtual memory for linking during the build)
Estimation du temps de construction : 25 SBU
ALSA-Library-1.0.28, gtk+-2.24.26, Zip-3.0, UnZip-6.0 et yasm-1.3.0
ICU-54.1, libevent-2.0.22, libvpx-1.3.0, NSPR-4.10.8, NSS-3.17.4 et SQLite-3.8.8.2
Si vous n'installez pas les dépendances recommandées, alors les versions internes de ces paquets seront utilisés. Ils peuvent être testé pour fonctionner, mais ils peuvent être dépassé ou contenir des trous de sécurité.
Avec firefox-31.0et les
versions supérieures, vous devez installer openssl avant Python 2, ou le système de
construction échouera rapidement avec la sortie
"ImportError: cannot import name HTTPSHandler". si vous
avec un doute à propos de cela (e.g. mise à jour depuis une
version ancienne de xulrunner), vérifiez si /usr/lib/python2.7/lib-dynload/_ssl.so
existe. S'il n'existe pas, réinstallez Python-2.7.9 après
avoir installé OpenSSL-1.0.2. La dernière version de
n'importe qu'elle version actuellement maintenue d'openssl
doit être satisfaisant si elle est déjà installée.
cURL-7.40.0, dbus-glib-0.104, Doxygen-1.8.9.1, GStreamer Base Plug-ins-0.10.36 (avec GStreamer Good Plug-ins-0.10.31 et gst-ffmpeg-0.10.13 à l'éxécution), ou, gst-plugins-base-1.4.5 (avec gst-plugins-good-1.4.5 et gst-libav-1.4.5 à l'éxécution), libnotify-0.7.6, libproxy, OpenJDK-1.8.0.31, PulseAudio-5.0, startup-notification-0.12, Valgrind-3.10.1, Wget-1.16.1 Wireless Tools-29 Hunspell et liboauth
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/firefox
La configuration de Firefox
se fait en créant un fichier mozconfig
contenant les options de
configuration désirées. Un mozconfig
par défaut est créé ci-dessous.
Pour voir toute la liste des options de configuration
disponibles, (et une description abrégée de chacune), faites
./configure
--help. Il se peut que vous vouliez aussi
relire tout le fichier et décommentez les autres options
souhaitées. Créez le fichier en tapant la commande suivante :
cat > mozconfig << "EOF"
# If you have a multicore machine, all cores will be used by default.
# If desired, you can reduce the number of cores used, e.g. to 1, by
# uncommenting the next line and setting a valid number of CPU cores.
#mk_add_options MOZ_MAKE_FLAGS="-j1"
# If you have installed DBus-Glib comment out this line:
ac_add_options --disable-dbus
# If you have installed dbus-glib, and you have installed (or will install)
# wireless-tools, and you wish to use geolocation web services, comment out
# this line
ac_add_options --disable-necko-wifi
# If you have installed libnotify comment out this line:
ac_add_options --disable-libnotify
# GStreamer is necessary for H.264 video playback in HTML5 Video Player;
# to be enabled, also remember to set "media.gstreamer.enabled" to "true"
# in about:config. If you have GStreamer 0.x.y, comment out this line:
ac_add_options --disable-gstreamer
# or uncomment this line, if you have GStreamer 1.x.y
#ac_add_options --enable-gstreamer=1.0
# Uncomment these lines if you have installed optional dependencies:
#ac_add_options --enable-system-hunspell
#ac_add_options --enable-startup-notification
# Comment out following option if you have PulseAudio installed
ac_add_options --disable-pulseaudio
# Comment out following options if you have not installed
# recommended dependencies:
ac_add_options --enable-system-sqlite
ac_add_options --with-system-libevent
ac_add_options --with-system-libvpx
ac_add_options --with-system-nspr
ac_add_options --with-system-nss
ac_add_options --with-system-icu
# The BLFS editors recommend not changing anything below this line:
ac_add_options --prefix=/usr
ac_add_options --enable-application=browser
ac_add_options --disable-crashreporter
ac_add_options --disable-updater
ac_add_options --disable-tests
ac_add_options --enable-optimize
ac_add_options --enable-strip
ac_add_options --enable-install-strip
ac_add_options --enable-gio
ac_add_options --enable-official-branding
ac_add_options --enable-safe-browsing
ac_add_options --enable-url-classifier
ac_add_options --enable-system-cairo
ac_add_options --enable-system-ffi
ac_add_options --enable-system-pixman
ac_add_options --with-pthreads
ac_add_options --with-system-bz2
ac_add_options --with-system-jpeg
ac_add_options --with-system-png
ac_add_options --with-system-zlib
mk_add_options MOZ_OBJDIR=@TOPSRCDIR@/firefox-build-dir
EOF
Compilez Firefox en lançant les commandes suivantes :
Si vous compilez Firefox
en chroot, soyez certain d'avoir la variable
d'environnement $SHELL
initialiser ou passer SHELL=/bin/sh
.
make -f client.mk
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make -f client.mk install INSTALL_SDK= && chown -R 0:0 /usr/lib/firefox-36.0 && mkdir -pv /usr/lib/mozilla/plugins && ln -sfv ../../mozilla/plugins /usr/lib/firefox-36.0/browser
make -f client.mk
... : Les produits Mozilla sont
enpaquetés pour permettre l'utilisation d'un fichier de
configuration qui peut être utilisé pour passer les
paramètres de configuration à la commande configure. make utilise le fichier
client.mk
pour avoir la
configuration initiale et régler les paramètres et la
configuration de départ.
make -C firefox-build-dir install : Cela lance make install dans firefox-build-dir.
ln -sfv ...
/usr/bin/firefox : ceci met un lien
symbolique vers l'exécutable firefox dans votre
PATH
.
mkdir -p
/usr/lib/mozilla/plugins : ceci vérifie
que /usr/lib/mozilla/plugins
existe.
ln -sv ...
/usr/lib/firefox-36.0/browser : cette
commande crée un lien symbolique vers /usr/lib/mozilla/plugins
. Il n'est pas
vraiment nécessaire, comme Firefox vérifie /usr/lib/mozilla/plugins
par défaut, mais
le lien symbolique est fait pour garder tous les greffons
installés dans un seul dossier.
Si vous avez enlevé l'option --disable-webm
de votre mozconfig
, votre Firefox lira la plupart des vidéos
YouTube sans le plugin flash. Pour activer ceci, allez sur
http://www.youtube.com/html5
et cliquez sur 'Rejoindre le test HTML5' (exige l'activation
des cookies).
Si vous utilisez un environnement de bureau comme
Gnome ou KDE vous pourriez souhaiter créer un
fichier firefox.desktop
pour
que Firefox apparaisse dans
les menus du bureau. Si vous n'avez pas activé
startup-notification (notification de démarrage) dans votre
mozconfig, modifiez la ligne StartupNotify en false. En tant
qu'utilisateur root
:
mkdir -pv /usr/share/applications &&
mkdir -pv /usr/share/pixmaps &&
cat > /usr/share/applications/firefox.desktop << "EOF" &&
[Desktop Entry]
Encoding=UTF-8
Name=Firefox Web Browser
Comment=Browse the World Wide Web
GenericName=Web Browser
Exec=firefox %u
Terminal=false
Type=Application
Icon=firefox
Categories=GNOME;GTK;Network;WebBrowser;
MimeType=application/xhtml+xml;text/xml;application/xhtml+xml;application/vnd.mozilla.xul+xml;text/mml;x-scheme-handler/http;x-scheme-handler/https;
StartupNotify=true
EOF
ln -sfv /usr/lib/firefox-36.0/browser/icons/mozicon128.png \
/usr/share/pixmaps/firefox.png
/usr/lib/firefox-36.0
.
Last updated on : 2013-04-06 00:01:58 +020
Ces programmes utilisent le système X et n'ont pas trouvé facilement une place dans les autres chapitres.
Asymptote est un puissant langage vectoriel de description graphique qui fournit une boite à outils basée sur les coordonnées naturelles pour les dessins techniques. Les équations et les étiquettes peuvent être formaté avec LaTeX.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/sourceforge/asymptote/asymptote-2.32.src.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9c817c2a9763294d3b66e4b57054eed3
Taille du téléchargement : 1.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 163 Mo
Estimation du temps de construction : 2.1 SBU
GPL-Ghostscript-9.15, texlive-20140525
freeglut-2.8.1 (pour le dessin 3D)
Imaging
which needs
Imaging-1.1.7-freetype_fix-1.patch et est une dépendance
de construction de Python-2.7.9 (re-) compilé de nouveau
Tk-8.6.3 pour
fournir _tkinter.so
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/asymptote
Installez asymptote en lançant les commandes suivantes :
export TEXARCH=$(uname -m | sed -e 's/i.86/i386/' -e 's/$/-linux/') && patch -Np1 -i ../asymptote-2.32-ghostscript_fix-1.patch && ./configure --prefix=/opt/texlive/2014 \ --bindir=/opt/texlive/2014/bin/$TEXARCH \ --datarootdir=/opt/texlive/2014 \ --libdir=/opt/texlive/2014/texmf-dist \ --mandir=/opt/texlive/2014/texmf-dist/doc/man && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--prefix=, --bindir=,
--datarootdir=, --infodir=, --mandir= ...
: Ces
paramètres assurent que les fichiers installés depuis les
sources écraseront les fichiers correspondants installés
précédement par install-tl-unx afin que les méthodes
d'installation de texlive
soient cohérentes.
--libdir=/opt/texlive/2014/texmf-dist;
: Ce paramètre assure que le répertoire asymptote
écrasera respectivement tous les
fichiers installés par install-tl-unx.
Last updated on 2015-01-11 22:06:00 +0100
Le paquet Balsa contient un client de messagerie basé sur GNOME-2.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://pawsa.fedorapeople.org/balsa/balsa-2.5.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : afd175b4de2c6cc685ace50dc3ad61ff
Taille du téléchargement : 3.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 72 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
enchant-1.6.0, GMime-2.6.20, libESMTP-1.0.6, Rarian-0.8.1, et Aspell-0.60.6.1 ou GtkSpell (GtkSpell fournit la vérification de l'orthographe à la volée quand vous tapez)
GtkHTML, gtksourceview-3.14.3, OpenSSL-1.0.2, OpenLDAP-2.4.40, Compface-1.5.2, MIT Kerberos V5-1.13.1, libnotify-0.7.6, SQLite-3.8.8.2, et un MTA (qui fournit une commande sendmail, remarquez qu'elle n'est utilisée que si vous n'installez pas ce qui est recommandé libESMTP package)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/balsa
Installez Balsa en lançant les commandes suivantes :
sed -i "/(HAVE_CONFIG_H)/i \ #include <glib-2.0/glib.h>" src/main-window.c && ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc/gnome \ --localstatedir=/var/lib \ --with-rubrica \ --without-html-widget \ --without-libnotify \ --without-nm \ --without-gtkspell && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-rubrica
:
Ce paramètre est utilisé pour fournir le support du carnet
d'adresses Rubrica2.
--with-ssl
> :nbsp;:
Utilisez cette option pour activer le support SSL si
OpenSSL est installé.
--with-ldap
: Utilisez cette
option pour activer le support de l'annuaire LDAP si
OpenLDAP est installé.
--with-sqlite
: Utilisez
cette option pour activer le support de l'annuaire SQLite si
SQLite est installé.
--with-gpgme
: Utilisez
cette option pour activer le supportde GPG si
« GnuPG Made Easy »
(GPGME) est installé.
--enable-smime
: Utilisez
cette option pour activer le support S/MIME si GnuPG-2.x.x est installé.
Toute la configuration de Balsa se fait par le système de menu de Balsa, avec la configuration des boîtes aux lettres qui se fait dans le menu Paramètres—>Préférences.
Si vous n'arrivez pas à vous connecter à votre FAI, ils ne supportent peut-être pas APOP. Désactivez-le dans Paramètres/Préférences/POP3/Avancé.
Si vous activez des filtres pour votre courrier POP3 entrant, vous devez avoir installé Procmail-3.22 car le courrier entrant sera envoyé à procmail pour être traité.
Last updated on : 2012-05-11 00:36:46 +020
Ekiga est une application de VoIP, de Téléphonie sur IP, et de Video Conférence qui permet de faire des appels audio et vidéo vers des utilisateurs distants avec du matériel ou des programmes compatible SIP ou H.323. Il supporte plusieurs codecs audio et vidéo et toutes les possibilités moderne de la VoIP pour SIP et H.323. Ekiga est la première application Open Source à supporter H.323 et SIP, aussi bien que l'audio et la vidéo.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/ekiga/4.0/ekiga-4.0.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/ekiga/4.0/ekiga-4.0.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 704ba532a8e3e0b5e3e2971dd2db39e4
Taille du téléchargement : 8.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 315 Mo
Estimation du temps de construction : 3.5 SBU
boost-1.57.0, GNOME Icon-Theme-3.12.0, gtk+-2.24.26 et opal-3.10.10
dbus-glib-0.104, GConf-3.2.6 et libnotify-0.7.6
avahi-0.6.31, Evolution Data Server, GNOME Doc Utils et OpenLDAP-2.4.40
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ekiga
Installez Ekiga en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-eds \ --disable-gdu \ --disable-ldap \ --disable-scrollkeeper && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-eds
: Ce paramètre
désactive le support pour Evolution
Data Server. Effacez le si vous avez installé
Evolution Data Server.
--disable-gdu
: Ce paramètre
désactive la génération de la documentation en utilisant
GNOME Doc Utils. Effacez le
si vous avez installé GNOME Doc
Utils.
--disable-ldap
: Ce
paramètre désactive le support LDAP dans Ekiga. Effacez le si vous avez installé
OpenLDAP.
--disable-scrollkeeper
:
Utilisez ce paramètre si vous avez installé Rarian mais souhaites désactiver la mise
à jour de la base de données de Scrollkeeper.
--disable-dbus
: Ce paramètre
désactive le support D-Bus.
Utilisez si vous n'avez pas installé D-Bus.
--enable-avahi
: Ce
paramètre active l'utilisation de Avahi avec Ekiga. A utiliser si vous avez installé
Avahi.
Si vous n'avez pas installé les dépendances recommandées vous devrez passer des paramètres supplémentaires à configure. Etudiez ./configure --help pour voir tous les paramètres disponibles.
Last updated on : 2013-03-03 16:30:53 +010
feh est un visualisateur d'images rapide et léger qui utilise Imlib2. Il est piloté en ligne de commande et supporte les images pultiples tel que les présentations, la navigation de vignettes ou les fenètres multiples, et les montages ou l'affichage d'index (en utilisant les polices TrueType pour afficher les infos des fichiers). Les fonctions avancées incluent l'agrandissement dynamique rapide, le chargement progressif, le chargement via HTTP (avec le support de rechargement pour les webcams), ouverture récursive de fichier (slideshow d'une hiérarchie de répertoires), et le contrôle avec la roulette de la souris/clavier.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://feh.finalrewind.org/feh-2.12.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : da59074c2e7b68fb08f555e366f827a9
Taille du téléchargement : 2.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 6.5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
libjpeg-turbo-1.4.0 (pour la rotation d'images sans perte), et ImageMagick-6.9.0-6 (pour le chargement de formats non-supportés)
Test::Command-0.11 (requis)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/feh
Installez feh en lançant les commandes suivantes :
sed -i "s:doc/feh:&-2.12:" config.mk && make PREFIX=/usr
Pour tester le résultat, tapez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make PREFIX=/usr install
sed -i "s:doc/feh:&-2.12:" config.mk: Ce sed corrige le répertoire de doc en un répertoire versionné, comme utilisé dans BLFS.
curl=0
: Utilisez ce drapeau de
make si vous n'avez pas installé le paquet cURL.
exif=1
: Ce drapeau de make
active le support interne d'affichage des drapeaux Exif.
Last updated on 2015-01-04 17:37:59 +0100
Le paquet FontForgecontient un editeur de polices hors ligne qui vous permet de créer vos propres polices postscript, truetype, opentype, cid-keyed, multi-master, cff, svg et bitmap (bdf, FON, NFNT), ou d'étider une existante.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Le lien de téléchargement suivant optient fontforge-2014-11-26-Unix-Source.tar.gz
.
Ce n'est pas le nom correct pour l'archive, car elle
enregistre le fichier en tant que fontforge-20141126
. Le fichier doit être
renommé avec le nom correct fontforge-20141126.tar.gz
. Vous pouvez
réaliser cela automatiquement en utilisant la commande :
wget -c https://github.com/fontforge/fontforge/releases/download/20141126/fontforge-2014-11-26-Unix-Source.tar.gz \ -O fontforge-20141126.tar.gz
Téléchargement (HTTP) : https://github.com/fontforge/fontforge/releases/download/20141126/fontforge-2014-11-26-Unix-Source.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2193a30700a56aa7c466407ac37ce0e3
Taille du téléchargement : 120 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 355 Mo
Estimation du temps de construction : 2.1 SBU (additional 0.3 SBU for the tests)
cairo-1.14.0, FreeType-2.5.5, Harfbuzz-0.9.38, gtk+-2.24.26, libxml2-2.9.2 et Xorg Libraries
giflib-5.1.1, libjpeg-turbo-1.4.0, libpng-1.6.16, LibTIFF-4.0.3, Pango-1.36.8, Python-2.7.9, libspiro, libunicodenames, libuninameslist et libzmq,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/fontforge
Installez FontForge en lançant les commandes suivantes :
rm -rf libltdl && ./bootstrap --force && ./configure --prefix=/usr \ --enable-gtk2-use \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/fontforge-20141126 && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
rm -rf libltdl && ./bootstrap --force: Ces deux commandes contournent la version ancienne de libtool dans les sources, et les idtioties de la commande bootstrap, pour lui permettre de se contruire avec la version actuelle de libtool ou certains fichiers ont été renommé.
Last updated on 2014-06-23 00:17:48 +0200
Le paquet Gimp contient le GNU Image Manipulation Program qui est utilisé pour retoucher des photos, créer des images et mettre un nom sur une image.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.gimp.org/pub/gimp/v2.8/gimp-2.8.14.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 233c948203383fa078434cc3f8f925cb
Taille du téléchargement : 20 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 642 Mo (additional 553 Mo to run the test suite, the help files add from 307 Mo (en only) to reputedly 1.3 Go (all 18 languages), typically increasing by 60 Mo per translation)
Estimation du temps de construction : 4.2 SBU (additional 0.9 SBU to run the test suite, and for the help files, from 0.6 SBU (en only) to reputedly 19 SBU (all) - typically 1.3 SBU per translation)
Fichiers d'aide facultatifs : http://download.gimp.org/pub/gimp/help/gimp-help-2.8.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a591c8974b2f4f584d0a769d52ed6c5b
Taille du téléchargement : 152 Mo
Correctif facultatif: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/gimp-2.8.14-device_info-1.patch
PyGTK-2.24.0 (incluant les modules gtk et pango).
AAlib-1.4rc5, ALSA-Library-1.0.28, cURL-7.40.0, dbus-glib-0.104, GPL-Ghostscript-9.15 (avec libgs installée), gvfs-1.22.3, ISO Codes-3.57, JasPer-1.900.1, little cms-1.19 ou Little CMS-2.6 libexif-0.6.21, libmng-2.0.2, librsvg-2.40.7, libwmf, Poppler-0.31.0, un MTA (offrant un programme sendmail), udev-extras (depuis eudev) (pour GUdev) WebKitGTK+-2.4.8 (requis pour l'aide) et et GTK-Doc-1.21
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gimp
Afin de se débarrasser d'un message gênant lors de l'exécution depuis un terminal et / ou si vous souhaitez exécuter la suite de tests, utiliser éventuellement la correctif suivant:
patch -Np1 -i ../gimp-2.8.14-device_info-1.patch
Installez Gimp en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc --without-gvfs && make
Pour tester les résultats, (demande un terminal X), lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
L'archive gimp-help
contient
des images et les textes d'aide anglais pour les fichiers
d'aides, ensembles avec les traductions. C'est un travail en
cours.
Si vous avez téléchargé l'archive gimp-help
, décompressez-la et changer dans
la racine de l'arbre source nouvellement créé.Préparez la
construction avec la commande suivante:
ALL_LINGUAS="ca da de el en en_GB es fr it ja ko nl nn pt_BR ru sl sv zh_CN" \ ./configure --prefix=/usr &&
Effacez de ALL_LINGUAS
les codes
de toutes les langues que vous ne souhaitez pas installer.
Sinon, enlevez la ligne commençant par ALL_LINGUAS
, si vous souhaitez installer
toutes les langues.
Maintenant construisez les fichiers d'aide:
make
Tapez les commandes suivante en tant qu'utilisateur
root
pour installer les
fichiers d'aide:
make install && chown -R root:root /usr/share/gimp/2.0/help
Ce paquet installe des fichiers d'icônes dans la hiérarchie
/usr/share/icons/hicolor
et
des fichiers du bureau dans la hiérarchie /usr/share/applications
. Vous pouvez
améliorer les performances du système et l'utilisation de
la mémoire en mettant à jour /usr/share/icons/hicolor/index.theme
et
/usr/share/applications/mimeinfo.cache
.
Pour réaliser la mise à jour vous devez avoir installé
gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8 (pour le cache
des icônes) et desktop-file-utils-0.22
(pour le cache du bureau) et apez la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
gtk-update-icon-cache && update-desktop-database
ALL_LINGUAS="ca da de el en en_GB
..."
: par défaut, les fichiers d'aide seront construit
dans toutes les langues disponibles. Effacez les codes de
toutes les langues que vous ne souhaitez pas construire.
--without-gvfs
:
le choix du programme pour gérer les informations URI, par
exemple pour coller une image depuis un navigateur dans
gimp, est fait au moment de
la compilation. Ce paramètre s'assurera que curl est utilisé à l'exécution, au lieu
de gvfs. Vous pouvez omettre
ceçi si vous avez installé gvfs et que voulez lancer gvfsd, par exemple dans un
bureau GNOME.
--disable-python
> :nbsp;:
Cette option est nécessaire si vous n'avez pas installé
pygtk.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Gimp exécute un assistant de configuration pour chaque utilisateur lors de leur première utilisation du programme.
Gimp exécute le navigateur
Internet firefox par défaut pour
afficher les fichiers d'aide. Si vous n'avez pas
firefox, ou si vous
préférez un autre navigateur Internet, vous pouvez régler
une autre valeur système dans /etc/gimp/2.0/gimprc
. Exécutez la
commande suivante en tant qu'utilisateur root
, en remplaçant <navigateur>
par
votre navigateur Internet préféré :
echo '(web-browser "<browser>
%s")' >> /etc/gimp/2.0/gimprc
est un lien symbolique versgimp-2.8. |
|
est le programme GNU de manipulation d'images. Il fonctionne avec une grande variété de formats d'images et il offre un large choix d'outils. |
|
est un lien symbolique vers gimp-console-2.8. |
|
est une console qui se comporte comme si
Gimp était appelé
avec l'option |
|
est un outil qui peut construile des plug-ins ou des scripts et les installer s'ils sont distribués avec leur fichier source. gimptool-2.0 peut aussi être utilisé par des programmes qui ont besoin de connaître les bibliothèques et les chemins include avec lesquels Gimp a été compilé. |
|
fournit les bindings C pour la base de données procédurale de (Procedural Database) (PDB) de Gimp qui offre une interface avec les fonctions cœur et avec les fonctionnalités fournies par les plug-ins. |
|
fournit les fonctions C pour les fonctionnalités de base de Gimp telles que la détermination des types de données d'énumération, la traduction gettext, la détermination de la version de Gimp, les nombres et leurs possibilités, la gestion des fichiers de données et l'accès à l'environnement. |
|
fournit les fonctions C liées aux couleurs RGB, HSV et CMYK ainsi que la conversion de couleurs entre différents modèles de couleurs l'application de supersampling (super-modélisation) d'adaptation sur une zone. |
|
contient les fonctions C pour lire et ecrire les informations de configuration. |
|
contient des fonctions C qui offrent des définitions mathématiques et des macros, des matrices de manipulation de transformation 3x3, de paramétrage et de manipulation des vecteurs et l'algorithme de digest-message MD5. |
|
fournit les fonctions C qui implémente le chargement de modules en utilisant GModule et qui garde une liste des GimpModule's trouvés dans un chemin de recherche donné. |
|
fournit les fonctions C pour gérer les objets de vignette de Gimp. |
|
contient les fonctions de l'interface utilisateur classique de Gimp. |
|
contient les fonctions de création et de manipulation de widget de Gimp et de GTK. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Gparted est l'éditeur de partitions de Gnome, un GUI Gtk 2 pour d'autres outils en ligne de commande qui peut créer, réorganiser ou effacer des partitions de disques.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/gparted/gparted-0.21.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c9618b2eba00e3f081d3f40e8a6029e2
Taille du téléchargement : 2.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 93 Mo (additional 4 Mo, building the optional documentation)
Estimation du temps de construction : 0.9 SBU (additional 0.1 SBU, building the optional documentation)
Gtkmm-2.24.4, et Parted-3.2.
GNOME Doc Utils et Rarian-0.8.1.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gparted
Installez Gparted en lançant les commandes suivantes : commands:
./configure --prefix=/usr \ --disable-doc \ --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--disable-doc
: Cette option
désactive la construction optionnelle de la documentation.
Enlevez la si vous avez installé GNOME Doc Utils.
Pour manipuler les systèmes de fichiers, Gparted a des dépendances d'exécutions à différents outils de systèmes de fichiers ( vous devez installer seulement les outils pour les systèmes que vous utilisez): e2fsprogs (installé comme un composant de LFS), jfsutils-1.1.15, ntfs-3g-2014.2.15, reiserfsprogs-3.6.24, xfsprogs-3.2.2, btrfs-progs, dosfstools, mtools (requis pour lire et écrire les labels et UUID des volumes FAT16/32), hfsutils, hfsprogs, nilfs-utils et reiser4progs.
Les privilèges Root sont requis pour lancer Gparted. Si vous souhaitez lancer l'application depuis le menu, des applications et des configurations supplémentaire sont nécessaires. Exemples d'applications qui peuvent être utilisées : gksu, kdesudo, ou xdg-su. Une autre solution est d'utiliser pkexec, de polkit-0.112, mais un peu de configuration est nécessaire. Une autre solution simple est ssh-askpass-6.7p1. A la suite, nous décrivons ces deux alternatives: "ssh-askpass" et "pkexec".
Pour utiliser facultativement ssh-askpass-6.7p1 s'il est installé
sur votre système, lancez les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
cp -v /usr/share/applications/gparted.desktop /usr/share/applications/gparted.desktop.back && sed -i 's/Exec=/Exec=sudo -A /' /usr/share/applications/gparted.desktop &&
Maintenant, en cliquant dans le menu de Gparted, une boite de dialogues apparaît à l'écran, demandant le mot de passe de l'administrateur.
Pour utiliser facultativement pkexec, vous devez installer polkit-gnome-0.105, et ConsoleKit-0.4.6 avec le support
Linux-PAM-1.1.8 et polkit-0.112. En
tant qu'utilisateur root
,
configurez gparted-0.21.0 et polkit-0.112 avec
les commandes suivantes:
cp -v /usr/share/applications/gparted.desktop \
/usr/share/applications/gparted.desktop.back &&
sed -i 's:/usr/sbin/gparted:/usr/sbin/gparted_polkit:' \
/usr/share/applications/gparted.desktop &&
cat > /usr/sbin/gparted_polkit << "EOF" &&
#!/bin/bash
pkexec /usr/sbin/gparted $@
EOF
chmod -v 0755 /usr/sbin/gparted_polkit
Restez en tant qu'utilisateur root
, configurez polkit-0.112 et
gparted-0.21.0 pour utiliser
pkexec:
cat > /usr/share/polkit-1/actions/org.gnome.gparted.policy << "EOF"
<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
<!DOCTYPE policyconfig PUBLIC
"-//freedesktop//DTD PolicyKit Policy Configuration 1.0//EN"
"http://www.freedesktop.org/standards/PolicyKit/1/policyconfig.dtd">
<policyconfig>
<action id="org.freedesktop.policykit.pkexec.run-gparted">
<description>Run GParted</description>
<message>Authentication is required to run GParted</message>
<defaults>
<allow_any>no</allow_any>
<allow_inactive>no</allow_inactive>
<allow_active>auth_admin_keep</allow_active>
</defaults>
<annotate key="org.freedesktop.policykit.exec.path">/usr/sbin/gparted</annotate>
<annotate key="org.freedesktop.policykit.exec.allow_gui">true</annotate>
</action>
</policyconfig>
EOF
chmod -v 0644 /usr/share/polkit-1/actions/org.gnome.gparted.policy
Maintenant, cliquez dans le menu de Gparted, une boite de dialogue apparaît à l'écran, demandant le mot de passe de l'administrateur.
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
HexChat est un programme de dialogue IRC. Il permet de joindre de multiples canaux IRC (salle de conversation) en même temps, parler publiquement, avoir des conversations privés, etc. Les transferts de fichiers sont aussi possible.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://dl.hexchat.net/hexchat/hexchat-2.10.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c8e7477ac941295deaeb1732591ab20b
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 50 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
dbus-glib-0.104, ISO Codes-3.57, libcanberra-0.30, libnotify-0.7.6, OpenSSL-1.0.2, PCI Utils-3.3.0, et libproxy
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/hexchat
Installez HexChat en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2015-01-19 11:50:38 +0100
Le paquet IcedTea-Web contient un plugin Java de navigateur, et une novuelle implémentation webstart, sous licence GPLV3.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://icedtea.classpath.org/download/source/icedtea-web-1.5.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f8656d18345a7d1e2eb20e076abcc3ca
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 35 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
NPAPI-SDK-0.27.2, et OpenJDK-1.8.0.31 ou java-1.8.0.31 (pensez à le configurer comme décrit sur la page OpenJDK-1.8.0.31 ),
Epiphany-3.14.2, Firefox-36.0, midori-0.5.9, SeaMonkey-2.32.1, Chromium, et Opera
libxslt-1.1.28, mercurial-3.3, EMMA, et JACOCO,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/icedtea-web
Installer IcedTea-Web en exécutant les commandes suivantes:
./configure --prefix=${JAVA_HOME}/jre \ --with-jdk-home=${JAVA_HOME} \ --disable-docs \ --mandir=${JAVA_HOME}/man && make
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && mandb -c /opt/jdk/man
Pour tester que les pages de man sont correctement installées, tapez man policyeditor pour afficher la page de man.
si vous le souhaitez, vous pouvez installer un fichier
.desktop correspondant à une entrée dans un menu de bureau
pour policyeditor, en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -Dm0644 itweb-settings.desktop /usr/share/applications/itweb-settings.desktop && install -v -Dm0644 javaws.png /usr/share/pixmaps/javaws.png
--with-jdk-home
: Ce
paramètre fourni l'emplacement d'installation de JDK.
--disable-docs
:
Ce paramètre désactive l'installation de documentations
supplémentaires liées au developpement. Omettre ce paramètre
si vous voulez faire des travaux de developpement sous
IcedTea-Web.
en tant qu'utilisateur root
,
creer un lien symbolique vers le plugin depuis votre
répertoire de plugins de votre navigateur:
ln -s ${JAVA_HOME}/jre/lib/IcedTeaPlugin.so /usr/lib/mozilla/plugins/
Le plugin doit être un lien symbolique pour qu'il fonctionne. Sinon, le navigateur pourra crasher quand vous voudrez charger une application Java.
autorise la personalisation des plugins du navigateur et javaws. |
|
lance les applications/applets Java situées sur un réseau. |
|
affiche et modifie les paramètres de sécurité , incluant les certificats, pour javaws et les greffons de navigateur. |
|
est le plugin de navigation Java. |
|
contient les fonctions pour les boites de dialogue a propos. |
|
contient les fonctions pour l'implementation webstart IcedTea-Web (NetX). |
|
contient les fonctions pour le plugin Java IcedTea-Web. |
Last updated on : 2012-06-07 06:40:05 +020
Inkscape est un éditeur d'images vectorielles échelonables donnant du Ce que vous voyez est ce que vous obtiendrez. Il sert à créer, voir et modifier des images SVG.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://launchpad.net/inkscape/0.91.x/0.91/+download/inkscape-0.91.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 278dfa4514adcde23546370ec2c84581
Taille du téléchargement : 25 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 1.9 Go
Estimation du temps de construction : 16 SBU
correctif facultatif: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/inkscape-0.91-testfiles-1.patch pour une couverture complète des tests.
boost-1.57.0, GC-7.4.2, Gsl-1.16 Gtkmm-2.24.4 (ou gtkmm-3.14.0 et gnome docking library pour la construction expérimentale de gtk+-3), libxslt-1.1.28 et popt-1.16
Little CMS-2.6 ou little cms-1.19
Aspell-0.60.6.1, D-BUS-1.8.16, Doxygen-1.8.9.1, ImageMagick-6.9.0-6, Poppler-0.31.0, libcdr, libvisio, libcdr, libvisio, libwpg, NumPy (pour la suite de tests et à l'exécution pour certaines extensions) python-lxml (pour la suite de tests et à l'exécution pour certaines extensions)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/inkscape
Installez Inkscape en lançant les commandes commands:
patch -Np1 -i ../inkscape-0.91-testfiles-1.patch && ./configure --prefix=/usr && make
Pour tester le résultat, tapez: make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Ce paquet installe des fichiers d'icônes dans la hiérarchie
/usr/share/icons/hicolor
et
des fichiers du bureau dans la hiérarchie /usr/share/applications
. Vous pouvez
améliorer les performances du système et l'utilisation de
la mémoire en mettant à jour /usr/share/icons/hicolor/index.theme
et
/usr/share/applications/mimeinfo.cache
.
Pour réaliser la mise à jour vous devez avoir installé
gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8 (pour le cache
des icônes) et desktop-file-utils-0.22
(pour le cache du bureau) et apez la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
gtk-update-icon-cache && update-desktop-database
sed -ri ... configure: Ce sed sed corrige les problèmes de construction démarrant avec gc-7.4.2
Last updated on : 2013-04-03 22:21:38 +020
Pidgin est un client de messagerie instantanée Gtk+-2 qui peut se connecter à une grande variété de réseaux, notamment AIM, ICQ, GroupWise, MSN, Jabber, IRC, Napster, Gadu-Gadu, SILC, Zephyr et Yahoo!.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/pidgin/pidgin-2.10.11.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7c8bb6f997e05e7929104439872c2844
Taille du téléchargement : 9.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 215 Mo (additional 2 Mo for the tests and 91 Mo for API docs)
Estimation du temps de construction : 1.9 SBU (additional 0.1 SBU for API docs)
libgcrypt-1.6.2 et GnuTLS-3.3.12 ou NSS-3.17.4
Le support SSL est requis pour les plugins des protocoles MSN Messenger, Yahoo!, Novel Groupwise et Google Talk. GnuTLS est préférable (l'API Mozilla nss est plus susceptible de changer et cela peut être la cause de problèmes).
avahi-0.6.31 (requis pour le plugin Bonjour), check-0.9.14 (seulement utilisé pendant la suite de tests), Cyrus SASL-2.1.26, D-BUS-1.8.16, GConf-3.2.6, libidn-1.29, NetworkManager-1.0.0, GStreamer-0.10.36 (requis pour le support de l'audio), SQLite-3.8.8.2 (requis pour l'ajout de prédiction de la disponibilité de contacts), startup-notification-0.12, Tcl-8.6.3, Tk-8.6.3, Evolution Data Server, Farstream (Version 0.1) (requis pour le support de la vidéo et de la voix), Gtkspell, libgadu, Meanwhile (requis pour le support du protocole Sametime), SILC Client, SILC Toolkit, Zephyr, et MIT Kerberos V5-1.13.1 (requis pour le support de Kerberos dans le module Zephyr),
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pidgin
Si vous souhaitez lancer la suite de tests, soyez certain que libidn-1.29 est installé et enlevez le paramètre « --disable-idn ». Compilez Pidgin en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-avahi \ --disable-gtkspell \ --disable-gstreamer \ --disable-meanwhile \ --disable-idn \ --disable-nm \ --disable-vv \ --disable-tcl && make
Si vous avez installé Doxygen-1.8.9.1 (on peut aussi utiliser Graphviz-2.38.0) et si vous souhaitez créer la documentation de l'API, lancez : make docs
Rapplez vous la remarque avant configure. Pour tester les résultats, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
make install && mkdir -pv /usr/share/doc/pidgin-2.10.11 && cp -v README doc/gtkrc-2.0 /usr/share/doc/pidgin-2.10.11
Si vous avez créé la documentation de l'API, installez-la en
utilisant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
mkdir -pv /usr/share/doc/pidgin-2.10.11/api && cp -v doc/html/* /usr/share/doc/pidgin-2.10.11/api
Ce paquet installe des fichiers d'icônes dans la hiérarchie
/usr/share/icons/hicolor
et
des fichiers du bureau dans la hiérarchie /usr/share/applications
. Vous pouvez
améliorer les performances du système et l'utilisation de
la mémoire en mettant à jour /usr/share/icons/hicolor/index.theme
et
/usr/share/applications/mimeinfo.cache
.
Pour réaliser la mise à jour vous devez avoir installé
gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8 (pour le cache
des icônes) et desktop-file-utils-0.22
(pour le cache du bureau) et apez la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
gtk-update-icon-cache && update-desktop-database
--disable-avahi
: Effacez ce
paramètre si vous avez installé avahi-0.6.31.
--disable-gtkspell
:
correction orthographique. Effacez ce paramètre si vous avez
installé Gtkspell.
--disable-gstreamer
: Sons.
Effacez ce paramètre si vous avez installé GStreamer-0.10.36.
--disable-meanwhile
:
Effacez ce paramètre si vous avez installé installed
Meanwhile
--disable-idn
: Effacez ce
paramètre si vous avez installé libidn-1.29.
--disable-nm
: Effacez ce
paramètre si vous avez installé NetworkManager-1.0.0.
--disable-vv
: vidéo et
voix. Effacez ce paramètre si vous avez installé Farstream
(Version 0.1).
--disable-tcl
: Effacez ce
paramètre si vous avez installé Tcl-8.6.3.
--enable-cyrus-sasl
: Utilisez ce
paramètre si vous avez installé Cyrus SASL-2.1.26
et souhaitez construire Pidgin avec le support SASL.
--disable-gnutls
: Utilisez ce
paramètre si vous avez installé GnuTLS-3.3.12 et
NSS-3.17.4, mais voulez utiliser NSS-3.17.4 pour le
support SSL.
La plupart de la configuration peut se faire en utilisant
les divers paramètres de préférences dans les programmes.
Vous pouvez créer aussi un fichier ~/.gtkrc-02
qui stocke les réglages des
thèmes Gtk+-2 touchant l'application Pidgin et les autres applications
Gtk+-2. Remarquez qu'un fichier exemple gtkrc-02
a été installé lors de
l'installation du paquet et il peut être utilisé comme
point de départ ou de référence.
Last updated on : 2012-11-14 18:05:31 +010
rox-filler est un gestionnaire de fichier gtk2 rapide et léger.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/rox/rox-filer-2.11.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 0eebf05a67f7932367750ebf9faf215d
Taille du téléchargement : 1.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 19 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
libglade-2.6.4 et shared-mime-info-1.4
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/rox-filer
Si vous souhaitez que rox-filer puisse mettre à jour le contenu d'un répertoire quand des changements sont faits dans les fichiers par d'autres applications (par example, si un script est lancé) vous devez activer le support dnotify dans votre noyau. Dans make menuconfig :
File systems --->
[*] Dnotify support [CONFIG_DNOTIFY]
Sauvegardez le nouveau .config
et ensuite compiler le noyau.
Compile rox-filer avec les commandes suivantes
cd ROX-Filer && sed -i 's:g_strdup(getenv("APP_DIR")):"/usr/share/rox":' src/main.c && mkdir build && pushd build && ../src/configure LIBS="-lm -ldl" && make && popd
Maintenant installez le en tant qu'utilisateur root
:
mkdir -p /usr/share/rox && cp -av Help Messages Options.xml ROX images style.css .DirIcon /usr/share/rox && cp -av ../rox.1 /usr/share/man/man1 && cp -v ROX-Filer /usr/bin/rox && chown -Rv root:root /usr/bin/rox /usr/share/rox && cd /usr/share/rox/ROX/MIME && ln -sv text-x-{diff,patch}.png && ln -sv application-x-font-{afm,type1}.png && ln -sv application-xml{,-dtd}.png && ln -sv application-xml{,-external-parsed-entity}.png && ln -sv application-{,rdf+}xml.png && ln -sv application-x{ml,-xbel}.png && ln -sv application-{x-shell,java}script.png && ln -sv application-x-{bzip,xz}-compressed-tar.png && ln -sv application-x-{bzip,lzma}-compressed-tar.png && ln -sv application-x-{bzip-compressed-tar,lzo}.png && ln -sv application-x-{bzip,xz}.png && ln -sv application-x-{gzip,lzma}.png && ln -sv application-{msword,rtf}.png
sed -i 's:g_strdup(getenv("APP_DIR")):"/usr/share/rox":' src/main.c : Cette commande code en dur /usr/share/rox comme le répertoire pour les fichiers privés de rox-filer. Sans cela sed rox a besoin de la variable d'environnement ${APP_DIR} pour être initialisé.
ln -sv application-... : Ces commandes recopient les icônes pour quelques types mime connus. Sans ces liens rox-filer affichera seulement l'icône par défaut "une goutte binaire inconnu".
La plus grande partie de la configuration de rox-filer est réalisée en faisant des
clics droits sur une fenêtre rox-filer et en choisissant "Options"
dans le menu. Cela enregistrera les paramètres initialisés
dans ~/.config/rox.sourceforge.net
.
Une possibilité de rox-filer est que si il y a une
fichier exécutable appelé AppRun
dans un répertoire rox-filer lancera en premier
AppRun avant
d'ouvrir le dossier.
Par exemple cela peut servir a, si vous avez un accès ssh vers un autre ordinateur (peut être un autre ordinateur de votre réseau local) avec ssh configuré pour un accès sans mot de passe et que vous avez installé sshfs-fuse-2.5, vous pouvez utiliser AppRun pour monter l'ordinateur distant dans un dossier local en utilisant sshfs. Pour cet exemple, le script AppRun fonctionne si le dossier à le même nom que le nom d'hôte de l'ordinateur distant:
cat > /path/to/hostname/AppRun << "HERE_DOC" #!/bin/bash MOUNT_PATH="${0%/*}" HOST=${MOUNT_PATH##*/} export MOUNT_PATH HOST sshfs -o nonempty ${HOST}:/ ${MOUNT_PATH} rox -x ${MOUNT_PATH} HERE_DOC chmod 755 /path/to/hostname/AppRun
Cela fonctionne correctement pour le montage, mais pour le
démontage la commande fusermount -u
${MOUNTPOINT} est lancé. Vous pouvez
l'initialiser comme votre commande de démontage par défaut
dans vos préférences de rox, mais vous ne pourrez plus
démonter des points de montage normaux (qui utilise
umount). Un script est utilisé pour démonter les points de
montage Fuse avec fusermount
-u ${MOUNTPOINT} et le reste avec
umount. En
tant qu'utilisateur root
:
cat > /usr/bin/myumount << "HERE_DOC" && #!/bin/bash sync if mount | grep "${@}" | grep -q fuse then fusermount -u "${@}" else umount "${@}" fi HERE_DOC chmod 755 /usr/bin/myumount
Maintenant, pour faire que Rox utilise ce script simple, ouvrez une fenêtre Rox, clic droit sur elle et choisissez Options dans le menu. Dans la liste de choix prenez "Action windows" et ensuite dans le coté droit, ou il est dit "Unmount command" changez umount par myumount.
Si vous utilisez un environnement de bureau comme
Gnome ou KDE vous devez créer un fichier
rox.desktop
pour que
rox-filer apparaissent
dans les panneaux de menu. En tant qu'utilisateur
root
:
ln -s ../rox/.DirIcon /usr/share/pixmaps/rox.png && mkdir -p /usr/share/applications && cat > /usr/share/applications/rox.desktop << "HERE_DOC" [Desktop Entry] Encoding=UTF-8 Type=Application Name=Rox Comment=The Rox File Manager Icon=rox Exec=rox Categories=GTK;Utility;Application;System;Core; StartupNotify=true Terminal=false HERE_DOC
Last updated on
rxvt-unicode est un clone de l'émulateur de terminal rxvt, un émulateur de terminal du système X Window qui comprend le support de XFT et de l'Unicode.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://dist.schmorp.de/rxvt-unicode/Attic/rxvt-unicode-9.21.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a9a06c608258c5fd247c3725d8f44582
Taille du téléchargement : 904 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 26 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
gdk-pixbuf-2.31.2 (pour un support d'images en arrière-plan) et startup-notification-0.12
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/rxvt-unicode
Installez rxvt-unicode en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --enable-everything && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-everything
:
Ajoute le support de toutes les options sans choix multiples.
Vous pouvez trouver des détails sur les différentes options
dans le fichier README.configure
.
--disable-xft
: Supprime le
support pour les polices Xft.
--disable-perl
: Désactive
l'interpréteur Perl
embarqué.
--disable-afterimage
:
Supprime le support pour libAfterImage.
L'émulateur de terminal rxvt-unicode utilise la classe de
ressources URxvt
et le nom de
ressource urxvt
. Vous pouvez
ajouter les définitions des ressources X au fichier
~/.Xresources
d'un utilisateur
ou au fichier /etc/X11/app-defaults/URxvt
global.
L'exemple suivant va charger l'extension Perl matcher
(en supposant que le support de
Perl n'a pas été désactivé),
ce qui active un clic sur le bouton du milieu pour ouvrir un
lien souligné dans le navigateur spécifié, règle les couleurs
d'arrière-plan et d'avant, et charge la police Xft :
cat >> /etc/X11/app-defaults/URxvt << "EOF"
URxvt*perl-ext: matcher
URxvt*urlLauncher: firefox
URxvt.background: black
URxvt.foreground: yellow
URxvt*font: xft:Monospace:pixelsize=12
EOF
Vous pouvez aussi lancer l'application rxvt-unicode en mode démon, ce qui rend possible l'ouverture de plusieurs fenêtres de terminal dans un même processus. Le client urxvtc se connecte alors au démon urxvtd et demande une nouvelle fenêtre de terminal. Utilisez prudemment cette option. Si le démon tombe, tous les processus lancés dans les fenêtres de terminal seront terminés.
Vous pouvez lancer le démon urxvtd dans le système ou
dans le script de démarrage de la session X personnelle (comme
~/.xinitrc
) en ajoutant les
lignes suivantes vers le début du script :
# Start the urxvtd daemon
urxvtd -q -f -o &
Pour plus d'informations, consultez les pages de man de
urxvt,
urxvtd,
urxvtc et de
urxvtperl
.
Si vous utilisez un environnement du bureau, une entrée de
menu peut être ajoutées, en tapant, en tant qu'utilisateur
root
:
cat > /usr/share/applications/urxvt.desktop << "EOF" &&
[Desktop Entry]
Encoding=UTF-8
Name=Rxvt-Unicode Terminal
Comment=Use the command line
GenericName=Terminal
Exec=urxvt
Terminal=false
Type=Application
Icon=utilities-terminal
Categories=GTK;Utility;TerminalEmulator;
#StartupNotify=true
Keywords=console;command line;execute;
EOF
update-desktop-database -q
Pour cela, vous avez besoin de desktop-file-utils-0.22 et au moins GNOME Icon-Theme-3.12.0 ou oxygen-icons-14.12.2 ou lxde-icon-theme-0.5.1. Décommentez la ligne avec « StartupNotify=true » si startup-notification-0.12 est installé.
/usr/lib/urxvt/perl
Last updated on : 2012-08-08 02:24:35 +020
Thunderbird est un client autonome de mail/news basé sur le code source de Mozilla. Il utilise le moteur de rendement Gecko afin d'afficher et d'écrire des courriels HTML.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://ftp.mozilla.org/pub/mozilla.org/thunderbird/releases/31.5.0/source/thunderbird-31.5.0.source.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.mozilla.org/pub/thunderbird/releases/31.5.0/source/thunderbird-31.5.0.source.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : da9c86271bb498c5feb02ce9c360669f
Taille du téléchargement : 163 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 4.5 Go (68 Mo installé)
Estimation du temps de construction : 72 SBU
ALSA-Library-1.0.28, gtk+-2.24.26, Zip-3.0, UnZip-6.0 et yasm-1.3.0
libevent-2.0.22, libvpx-1.3.0, NSPR-4.10.8, NSS-3.17.4, et SQLite-3.8.8.2
Si vous n'installez pas les dépendances recommandées, alors les copies inclues dans le paquet seront utilisées. Elles peuvent être testées pour fonctionner, mais elles peuvent être obsolètes ou contenir des failles de sécurité.
Avec Thunderbird-31.0 et
les versions suivantes, vous devez avoir installé
Openssl avant Python 2, ou le system de construction
échouera rapidement avec la sortie "ImportError: cannot
import name HTTPSHandler". Si vous avez le moindre doute à
propos de cela (e.g. mise à jour d'une version ancienne de
Thunderbird), vérifiez si /usr/lib/python2.7/lib-dynload/_ssl.so
existe. S'il n'existe pas, réinstallez Python-2.7.9
(après avoir installé OpenSSL-1.0.2 - la dernière
version d'une version actuellement maintenue de
Openssl doit être satisfaisante si déjà installée - si ce
paquet n'a pas déjà été installé).
cURL-7.40.0, Cyrus SASL-2.1.26, dbus-glib-0.104, Doxygen-1.8.9.1, GStreamer Base Plug-ins-0.10.36 (avec GStreamer Good Plug-ins-0.10.31 et gst-ffmpeg-0.10.13 à l'éxécution), ou gst-plugins-base-1.4.5 (avec gst-plugins-good-1.4.5 et gst-libav-1.4.5 à l'éxécution), libnotify-0.7.6, OpenJDK-1.8.0.31, PulseAudio-5.0, startup-notification-0.12, Wget-1.16.1, Wireless Tools-29, et Hunspell
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Thunderbird
La configuration de Thunderbird est réalisée en créant un
fichier mozconfig
contenant les
options de configurations désirées. Un mozconfig
par défaut est créé çi-dessous.
Pour voir la liste complète des options de configuration
disponibles (et une brève description de chacune d'elles),
taper mozilla/configure
--help. Créez le fichier en lançant la
commande suivante :
cat > mozconfig << "EOF"
# If you have a multicore machine, the build may be faster if using parallel
# jobs. The build system automatically adds -jN to the "make" flags, where N
# is the number of CPU cores. The option below is therefore useless, unless
# you want to use a smaller number of jobs:
#mk_add_options MOZ_MAKE_FLAGS="-j1"
# If you have installed DBus-Glib comment out this line:
ac_add_options --disable-dbus
# If you have installed wireless-tools comment out this line:
ac_add_options --disable-necko-wifi
# If you have installed libnotify comment out this line:
ac_add_options --disable-libnotify
# GStreamer is necessary for H.264 video playback in HTML5 Video Player;
# to be enabled, also remember to set "media.gstreamer.enabled" to "true"
# in about:config. If you have installed GStreamer 0.x.y, comment out this line:
ac_add_options --disable-gstreamer
# or uncomment this line, if you have installed GStreamer 1.x.y
#ac_add_options --enable-gstreamer=1.0
# Uncomment these lines if you have installed optional dependencies:
#ac_add_options --enable-system-hunspell
#ac_add_options --enable-startup-notification
# Comment out following option if you have PulseAudio installed
ac_add_options --disable-pulseaudio
# If you want to compile the Mozilla Calendar, uncomment this line:
#ac_add_options --enable-calendar
# Comment out following options if you have not installed
# recommended dependencies:
ac_add_options --enable-system-sqlite
ac_add_options --with-system-libevent
ac_add_options --with-system-libvpx
ac_add_options --with-system-nspr
ac_add_options --with-system-nss
ac_add_options --with-system-icu
# The BLFS editors recommend not changing anything below this line:
ac_add_options --prefix=/usr
ac_add_options --disable-crashreporter
ac_add_options --disable-installer
ac_add_options --disable-updater
ac_add_options --disable-debug
ac_add_options --disable-tests
ac_add_options --enable-optimize
ac_add_options --enable-strip
ac_add_options --enable-install-strip
ac_add_options --enable-gio
ac_add_options --enable-official-branding
ac_add_options --enable-safe-browsing
ac_add_options --enable-url-classifier
ac_add_options --enable-system-cairo
ac_add_options --enable-system-ffi
ac_add_options --enable-system-pixman
ac_add_options --with-pthreads
ac_add_options --with-system-bz2
ac_add_options --with-system-jpeg
ac_add_options --with-system-png
ac_add_options --with-system-zlib
# Presently, this option is broken
#mk_add_options MOZ_OBJDIR=@TOPSRCDIR@/thunderbuild
EOF
Compiler Thunderbird en tapant les commandes suivantes:
make -f client.mk
Ce paquet n'est pas livré avec une suite de tests.
Installez Thunderbird en
exécutant les commantes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
make -f client.mk install INSTALL_SDK= && chown -R 0:0 /usr/lib/thunderbird-31.5.0
Les instructions ci dessus installent juste la partie dont
vous avez besoin pour exécuter Thunderbird. Cependant, si vous voulez
installer l'environnement de développement complet de
Thunderbird, lancez les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
Si vous compilez Thunderbird en chroot, passez
SHELL=/bin/sh
à la commande make
dessous.
make -C thunderbuild install
make -f
client.mk : Les produits Mozilla sont
empaquetés pour permettre d'utiliser un fichier de
configuration qui peut être utilisé pour passer les
paramètres de configuration à la commande configure. make utilise le fichier
client.mk
pour récupérer la
configuration de départ et régler les paramètres.
Si votre gestionnaire de fenètres ou de bureau n'autorise pas la configuration d'un navigateur par défaut, vous pouvez ajouter un paramètre de configuration à Thunderbird pour qu'un navigateur démarre quand vous cliquez sur une URL Internet/intranet/local. La procédure pour vérifier ou modifier tous les paramètres de configuration est simple et les instructions alors peuvent être utilisées pour voir ou modifier tout les parametres.
En premier, ouvrir la fenètre de configuration en ouvrant le menu déroulant « Edition ». Choisir « Préférences » et ensuite cliquer sur l'icône « Général » dans la barre de menus supérieur. Choisissez l'onglet « Avancé » et cliquez sur le bouton « Editeur de configuration ». Cela affichera une liste des préférences de configuration et des informations relatives à chacunes d'elles. Vous pouvez utiliser la barre « Filter: » pour entrer un critère de recherche et restreindre la liste des objets. Le changement d'une préférence peut être fait en utilisant deux méthodes. La première, si la préférence est une valeur booléenne (True/False), simplement double-click sur la préférence pour basculer la valeur et la seconde, pour les autres préférences simplement faire un click droit sur la ligne désirée, choisir « Modifier » dans le menu et changer la valeur. La création de nouvelles préférences est réalisées de la même manière, excepté choisir « Nouveau » dans le menu et fournir les données désirées dans le champ sélectionné.
L'objet des préférences de configuration que vous devez
vérifier pour que Thunderbird utilise un navigateur
spécifié est network.protocol-handler.app.http
qui doit être initialisé avec le chemin du navigateur
désiré, par exemple, /usr/bin/firefox
.
Il y a une multitude de paramètres de configuration parameters que vous pouvez modifier pour customiser Thunderbird. Une très vaste, mais pas à jour, liste de ces paramètres peut être trouvée à l'adresse http://preferential.mozdev.org/preferences.html.
Si vous utilisez un environnement de bureau comme
Gnome ou KDE vous pourriez souhaiter créer un
fichier thunderbird.desktop
pour que Firefox
apparaisse dans les menus du bureau. Si vous n'avez pas
activé startup-notification (notification de
démarrage) dans votre mozconfig, modifiez la ligne
StartupNotify en false. En tant qu'utilisateur root
lancez les commandes
suivantes :
mkdir -pv /usr/share/{applications,pixmaps} &&
cat > /usr/share/applications/thunderbird.desktop << "EOF" &&
[Desktop Entry]
Encoding=UTF-8
Name=Thunderbird Mail
Comment=Send and receive mail with Thunderbird
GenericName=Mail Client
Exec=thunderbird %u
Terminal=false
Type=Application
Icon=thunderbird
Categories=Application;Network;Email;
MimeType=application/xhtml+xml;text/xml;application/xhtml+xml;application/xml;application/rss+xml;x-scheme-handler/mailto;
StartupNotify=true
EOF
ln -sfv /usr/lib/thunderbird-31.5.0/chrome/icons/default/default256.png \
/usr/share/pixmaps/thunderbird.png
Last updated on : 2013-03-16 13:11:58 +010
Tigervnc is an advanced VNC (Virtual Network Computing) implementation. It allows creation of an Xorg server not tied to a physical console et also provides a client for viewing of the remote graphical desktop.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/BLFS/conglomeration/tigervnc/tigervnc-1.4.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 93b935487d0ec33341f079bc402df6b1
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 155 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU (with parallelism=4)
Fichier rquis: http://xorg.freedesktop.org/archive/individual/xserver/xorg-server-1.16.2.901.tar.bz2
Correctif requis: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/tigervnc-1.4.2-gethomedir-1.patch
Correctif requis: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/tigervnc-1.4.2-getmaster-1.patch
Correctif requis: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/tigervnc-1.4.2-xorg115-1.patch
La version de Xorg est ancienne de quelques versions, mais est requise pour les personalisations nécessaire pour ce paquet.
cmake-3.1.3, FLTK-1.3.3, GnuTLS-3.3.12, libgcrypt-1.6.2, libjpeg-turbo-1.4.0, pixman-0.32.6, et Xorg Applications
ImageMagick-6.9.0-6 et Linux-PAM-1.1.8
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/tigervnc
Installez tigervnc en lançant les commandes suivantes :
tar -xf ../xorg-server-1.16.2.901.tar.bz2 -C unix/xserver --strip-components=1 && patch -Np1 -i ../tigervnc-1.4.2-gethomedir-1.patch && patch -Np1 -i ../tigervnc-1.4.2-getmaster-1.patch && cmake -G "Unix Makefiles" -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr && make && pushd unix/xserver && patch -Np1 -i ../../../tigervnc-1.4.2-xorg116-1.patch && autoreconf -fi && ./configure $XORG_CONFIG \ --disable-xwayland --enable-dri3 --disable-dmx \ --disable-static --disable-xinerama --disable-dri \ --disable-xorg --disable-xnest --disable-xvfb \ --disable-xwin --disable-xephyr --disable-kdrive \ --disable-devel-docs --disable-config-hal --disable-config-udev \ --disable-unit-tests --disable-selective-werror \ --without-dtrace --enable-dri2 --enable-glx \ --enable-glx-tls --with-pic && make && popd
This package does not come with a test suite.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && cd unix/xserver/hw/vnc && make install && sed -i 's/iconic/nowin/' /usr/bin/vncserver && [ -e /usr/bin/Xvnc ] || ln -svf $XORG_PREFIX/bin/Xvnc /usr/bin/Xvnc
Finally, create a menu entry. As the root
user:
cat > /usr/share/applications/vncviewer.desktop << "EOF"
[Desktop Entry]
Type=Application
Name=TigerVNC Viewer
Comment=VNC client
Exec=/usr/bin/vncviewer
Icon=tigervnc
Terminal=false
StartupNotify=false
Categories=Network;RemoteAccess;
EOF
tar .. xorg-server... : This command extracts the standard Xorg packages into the tree in a location needed for modification.
patch ... : This set of patches modifies the standard Xorg server so that the Xvnc command can be built.
--disable ...
: Most options that
are usually needed for the standard Xorg server are not
needed fror the Xvnc instance being built.
[ -e /usr/bin/Xvnc ] || ln ...
Xvnc : If the Xvnc server is not installed in
the /usr/bin
directory, then
create a link so the vncserver script can find
it.
The user specific configuration files of vncserver resides in
the .vnc
directory in the
user's home directory. The xstartup
file in that directory is a script
specifying what commands to be run when a VNC desktop is
started. If no xstartup
file
exists, vncserver will try to start
an xterm in a twm session. An example xstartup
would be:
#!/bin/sh [ -x /etc/vnc/xstartup ] && exec /etc/vnc/xstartup [ -r $HOME/.Xresources ] && xrdb $HOME/.Xresources startlxde &
is a X VNC (Virtual Network Computing) server. It is based on a standard X server, but it has a "virtual" screen rather than a physical one. |
|
is a program to configure et control a VNC server. |
|
is a perl script used to start or stop a VNC server. |
|
is a client used to access VNC desktops. |
|
is a program to make an X display onm a physical terminal accessible via TigerVNC or compatible viewers. |
Last updated on 2014-03-01 00:00:12 -0600
Transmission est un client BitTorrent libre et multi-plate-formes. Il sert à télécharger de gros fichiers (comme des ISOs Linux) et il réduit, pour les distributeurs, le besoin de bande passante du serveur.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://transmission.cachefly.net/transmission-2.84.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 411aec1c418c14f6765710d89743ae42
Taille du téléchargement : 3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 230 Mo
Estimation du temps de construction : 1.1 SBU
cURL-7.40.0, libevent-2.0.22 et OpenSSL-1.0.2,
GTK+-3.14.8 et soit Qt-4.8.6 ou Qt-5.4.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/transmission
Installez Transmission en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Les commandes suivantes sont utilisées si vous avez installé
Qt et souhaitez compiler l'interface utilisateur Qt. Si
Qt4 et Qt5 sont installés dans /opt
, utilisez source setqt4 ou
source setqt5
pour choisir lequel sera utilisé pour construire l'interface
Qt. Pour Qt4, commenez par
corriger le code avec:
sed -i '/^CONFIG/aQMAKE_CXXFLAGS += -std=c++11' qt/qtr.pro
Maintenant, compilez l'interface Qt , avec les commandes suivantes:
pushd qt && qmake qtr.pro && make && popd
Ce paquet est fourni avec aucune suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez compilé l'interface graphique en Qt,
installez-la en lançant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
make INSTALL_ROOT=/usr -C qt install && install -m644 qt/transmission-qt.desktop /usr/share/applications/transmission-qt.desktop && install -m644 qt/icons/transmission.png /usr/share/pixmaps/transmission-qt.png
--without-gtk
: Ce paramètre
désactive la construction de l'interface GTK+ si GTK+ est présent sur le système (utile
pour Qt5 ou les
constructions de cli seulement).
est un client BitTorrent léger et en ligne de commande avec des possibilités de scriptage |
|
est un outil en ligne de commande utilisé pour créer des fichiers .torrent |
|
est une session Transmission en démon qu'on peut contrôler avec des commandes RPC depuis l'interface Web de transmission ou transmission-remote. |
|
est un outil en ligne de commande pour modifier les adresses d'annonces de fichiers .torrent |
|
est un client bittorrent en Gtk+ |
|
est un client bittorrent en Qt |
|
est un outil de contrôle à distance pour transmission-daemon et transmission |
|
est un outil en ligne de commande pour afficher les métadonnées d'un fichier .torrent |
Last updated on : 2013-03-02 18:06:16 +010
XChat est un client de chat IRC. Il vous permet de rejoindre plusieurs canaux IRC (salons de chat) en même temps, de parler en public, d'avoir des conversations en privé, etc. Les transferts de fichiers sont également possibles.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.xchat.org/files/source/2.8/xchat-2.8.8.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://mirror.ovh.net/gentoo-distfiles/distfiles/xchat-2.8.8.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6775c44f38e84d06c06c336b32c4a452
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 40 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
enchant-1.6.0 (runtime), dbus-glib-0.104, GConf-3.2.6, OpenSSL-1.0.2, Python-2.7.9 et Tcl-8.6.3
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xchat
Installez XChat en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../xchat-2.8.8-glib-2.31-1.patch && LIBS+="-lgmodule-2.0" \ ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --enable-shm && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/xchat-2.8.8 && install -v -m644 README faq.html \ /usr/share/doc/xchat-2.8.8
--sysconfdir=
: Initialisé
sysconfdir en utilisant ce paramètre assurera que sysconfdir
est compatible avec l'environnement d'installation et le
paquet que le paquet sera installé dans un endroit correct.
$GNOME_SYSCONFDIR
--enable-shm
:
Ce paramètre est utilisé pour activer XShm pour une
coloration rapide.
--enable-ipv6
:
Active le support IPv6 dans xchat.
Last updated on : 2012-06-06 01:38:53 +020
xdg-utils est un ensemble d'outils en ligne de commande qui assiste les applications avec différentes tâches pour l'intégration du bureau. Il est requis pour être conforme à la LSB (Linux Standards Base).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://people.freedesktop.org/~rdieter/xdg-utils/xdg-utils-1.1.0-rc3.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 617ef5f9872ab5b148ad4717bc9012f5
Taille du téléchargement : 284 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.1 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
xmlto-0.0.26 avec une des suivantes Lynx-2.8.8rel.2, w3m-0.5.3, Links-2.9, ou fop-1.1,
Compilez xdg-utils avec la suite
./configure --prefix=/usr --mandir=/usr/share/man && make
Les tests pour le script doivent être fait dans une session
basée sur X-Window. Il y a plusieurs dépendances
d'éxecution pour lancer les tests incluant un navigateur ou
un MTA. Lancer les tests en tant qu'utilisateur
root
n'est pas recommandé.
Pour lancer les tests, tapez: make -k test.
Maintenant installez le en tant qu'utilisateur root
:
make install
est un outil en ligne de commande pour des/installer des entrées dans le menu du bureau. |
|
est un outil en ligne de commande pour des/installer des icônes sur le bureau. |
|
est un outil en ligne de commande pour demander des informations à propos du type de fichier et ajouter des descriptions pour les nouveaux types de fichier. |
|
est un outil en ligne de commande pour des/installer des ressources d'icônes. |
|
ouvre un fichier ou une URL dans l'application préférée de l'utilisateur. |
|
ouvre le programme de mail préféré de l'utilisateur pour envoyer un message mail. |
|
est un outil en ligne de commande pour contrôler l'économiseur d'écran. |
|
est un outil en ligne de commande pour gérer de nombreux réglages de l'environnement de bureau. |
Last updated on
Le paquet XScreenSaver est un économiseur et un verrouilleur d'écran modulaire pour le système X Window. Il est extrêmement personnalisable et il permet l'utilisation de n'importe quel programme qui peut dessiner la fenêtre racine comme mode d'affichage. Le but de XScreenSaver est d'afficher de jolies images sur votre écran lorsqu'il n'est pas utilisé, partant de la philosophie que les moniteurs non surveillés devraient toujours être occupés à des tâches intéressantes, comme ils le font pour les films. Néanmoins, XScreenSaver peut aussi être utilisé comme un verrouilleur d'écran pour empêcher autrui d'utiliser votre terminal lorsque vous êtes occupé.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.jwz.org/xscreensaver/xscreensaver-5.32.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c003f79502e67f46aa5bedf24cbbd77c
Taille du téléchargement : 11 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 204 Mo
Estimation du temps de construction : 1 SBU
libglade-2.6.4 et Xorg Applications
GDM, GLE et Linux-PAM-1.1.8
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xscreensaver
Installez XScreenSaver en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-setuid-hacks
: Ce
paramètre autorise certaines démos à s'installer avec l'uid
root
, ce qui est nécessaire
pour pinger d'autres machines.
Si XScreenSaver a été construit avec le support Linux PAM, vous devez créer un fichier de configuration PAM pour qu'il fonctionne bien avec BLFS.
Lancez les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
pour créer le fichier
de configuration pour Linux
PAM :
cat > /etc/pam.d/xscreensaver << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/xscreensaver
auth include system-auth
account include system-account
# End /etc/pam.d/xscreensaver
EOF
est un démon d'économiseur et de verrouilleur d'écran. |
|
contrôle un processus xscreensaver en cours d'exécution en lui envoyant des messages de client. |
|
est une interface graphique pour régler les paramètres utilisés par le démon xscreensaver en arrière-plan. |
|
est un programme d'aide pour les modules xscreensaver pour la manipulation d'images. |
|
est un programme d'aide pour les modules xscreensaver pour la manipulation d'images. |
|
est un programme d'aide pour les modules xscreensaver pour la manipulation d'images. |
|
est un programme d'aide pour les modules OPenGL xscreensaver. |
|
affiche du texte sur la sortie standard, pour être utilisé par les économiseurs d'écran. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
De nombreux programmes multimédia exigent des bibliothèques et/ou des pilotes afin de fonctionner correctement. Les paquets de cette section entrent dans cette catégorie. Vous n'avez en général besoin de les installer que si vous installez un programme ayant la bibliothèque listée comme dépendance requise ou comme option pour lui permettre de supporter certaines fonctionnalités.
Le noyau Linux fournit maintenant par défaut le support d'ALSA. Cependant, des applications ont besoin d'une interface avec cette possibilité. Les cinq sections suivantes du livre traitent des cinq composants séparés d'ALSA : les bibliothèques, les outils, les instruments, les firmware et les bibliothèques de compatibilité OSS.
Last updated on 2012-01-24 04:05:41 +0100
Le paquet ALSA Library contient la bibliothèque ALSA utilisée par des programmes (y compris ALSA Utilities) exigeant l'accès à l'interface de son ALSA.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://alsa.cybermirror.org/lib/alsa-lib-1.0.28.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.alsa-project.org/pub/lib/alsa-lib-1.0.28.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c9e21b88a2b3e6e12ea7ba0f3b271fc3
Taille du téléchargement : 884 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo (additional 1 Mo for the tests and 26 Mo for the docs)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Doxygen-1.8.9.1 and Python-2.7.9
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/alsa-lib
Si nécessaire, activez les options suivantes dans la configuration du noyau et recompilez le noyau:
Device Drivers --->
<*/m> Sound card support ---> [CONFIG_SOUND]
<*/m> Advanced Linux Sound Architecture ---> [CONFIG_SND]
Select settings and drivers appropriate for your hardware.
< > Open Sound System (DEPRECATED) [CONFIG_SOUND_PRIME]
Dans la section Device Drivers ⇒ Sound card support ⇒ Advanced Linux Sound Architecture de la configuration du noyau, sélectionnez les paramètres et les pilotes adaptés à votre matériel. Assurez-vous que Device Drivers ⇒ Sound card support ⇒ Open Sound System, obsolète, n'est pas sélectionnée. Si nécessaire, recompilez et installez votre nouveau noyau.
Installez ALSA Library en lançant les commandes suivantes :
./configure && make
Si vous avez installé Doxygen et que vous souhaitez construire la documentation de l'API, lancez les commandes suivantes depuis le répertoire supérieur de l'arborescence des sources:
make doc
Pour tester les résultas, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Maintenant, pour installer la documentation de l'API, en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -d -m755 /usr/share/doc/alsa-lib-1.0.28/html/search && install -v -m644 doc/doxygen/html/*.* \ /usr/share/doc/alsa-lib-1.0.28/html && install -v -m644 doc/doxygen/html/search/* \ /usr/share/doc/alsa-lib-1.0.28/html/search
Le alsa.conf
par défaut
convient à la plupart des installations. Pour des
fonctionnalités supplémentaires et/ou un contrôle avancé de
votre périphérique son, vous pouvez avoir besoin de créer
des fichiers de configuration supplémentaires. Pour des
informations sur les paramètres de configuration
disponibles, visitez http://www.alsa-project.org/main/index.php/Asoundrc.
Last updated on : 2013-03-12 03:50:39 +010
Le paquet ALSA Plugins contient des plugins pour diverses bibliothèques audio et serveurs son.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://alsa.cybermirror.org/plugins/alsa-plugins-1.0.28.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.alsa-project.org/pub/plugins/alsa-plugins-1.0.28.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6fcbbb31e96f8ebc5fb926184a717aa4
Taille du téléchargement : 360 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.4 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
FFmpeg-2.5.4, JACK, libsamplerate-5.0.2, PulseAudio-5.0 et Speex-1.2rc2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/alsa-plugins
Installez ALSA Plugins en lançant les commandes suivantes :
sed -i "/speex_preprocess/i#include <stdint.h>" speex/pcm_speex.c && ./configure && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed ... speex/pcm_speex.c: Corrige un problème de construction quand speex1.2rc2 est installé.
<module>
.so, y
compris ctl_oss, ctl_pulse, pcm_a52, pcm_jack, pcm_oss,
pcm_pulse, pcm_upmix, pcm_usb_stream, pcm_vdownmix,
rate_samplerate* and rate_speexrate*
Permet aux applications ALSA natives de s'exécuter sur OSS. |
|
Permet de passer le mixage d'un son de 4 à 6 canaux. |
|
Permet de réduire le mixage d'un son de 4-6 canaux à 2 canaux sortie stéréo. |
|
Permet à des applications ALSA natives de fonctionner avec jackd. |
|
Permet à des applications ALSA natives d'accéder à un démon de son PulseAudio. |
|
Convertit un format de son linéaire S16 en un format compressé A52 et l'envoie vers une sortie SPDIF. |
|
Fournit un convertisseur externe de débit via
|
Last updated on : 2013-03-12 03:50:39 +010
Le paquet ALSA Utilities contient divers outils qui sont utiles pour contrôler votre carte son.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://alsa.cybermirror.org/utils/alsa-utils-1.0.28.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.alsa-project.org/pub/utils/alsa-utils-1.0.28.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 361552d5b1cacd0a1e7ba09e69990211
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
libsamplerate-5.0.2, xmlto-0.0.26 et Dialog
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/alsa-utils
Installez ALSA Utilities en lançant les commandes suivantes :
./configure --disable-alsaconf --disable-xmlto && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-alsaconf
: Ce paramètre
désactive la construction des outils de configuration de
alsaconf qui
est incompatible avec Udev.
--disable-xmlto
: Effacez ce
paramètre si vous avez installé xmlto-0.0.26 et ne souhaitez pas
installer les pages de manuel prégénérées.
Remarquez que tous les canaux de votre carte son sont muets par défaut. Vous pouvez utiliser le programme alsamixer pour changer cela. Utilisez speaker-test pour vérifier que vos paramètres ont été correctement appliqués. Vous devez entendre « un bruit rose » dans vos haut-parleurs
Le programme alsactl
se lance
normalement avec une règle udev standard. La première fois qu'on
l'exécute, il se plaindra qu'il n'y a aucun état dans
/var/lib/alsa/asound.state
.
Vous pouvez empêcher cela en lançant les commandes
suivantes en tant qu'utilisateur root
:
alsactl -L store
Les paramètres de volume peuvent être restaurés à partir de l'état sauvegardé par Udev quand le périphérique sera détecté (pendant le démarrage ou lors du branchement de périphériques USB).
Tous les périphériques de son ne sont pas accessibles aux
utilisateurs, sauf root
et
les membres du groupe audio
. Ajoutez à ce groupe les
utilisateurs qui pourraient utiliser les périphériques de
son :
usermod -a -G audio <username>
Il se peut que vous deviez vous déconnecter et revenir
pour rafraîchir vos appartenances au groupe.
'su <nomutilisateur>
'
devrait aussi fonctionner.
Pour enregistrer et restaurer automatiquement les valeurs
du volume (si la rêgle udev no fonctionne pas pour vous)
Quand le système est redémarré, installez le script de
démarrage /etc/rc.d/init.d/alsa
depuis le paquet
blfs-bootscripts-20150304.
make install-alsa
est un outil pouconnecter et déconnecter deux ports existant du système de séquenceur ALSA. |
|
est utilisé pour contrôler les paramètres avancés des pilotes de carte son ALSA. |
|
permet la création d'une boucle PCM entre un périphérique de capture PCM et un périphérique de lecture PCM. |
|
est un mixeur basé sur ncurses à utiliser avec les pilotes de carte son ALSA. |
|
permet aux applications d'accéder au matériel de façon abstraite |
|
est utilisé pour lire et écrire sur des ports RawMIDI d'ALSA. |
|
permet un contrôle des mixeurs en ligne de commande pour les pilotes de carte son ALSA. |
|
est un lecteur de fichiers son en ligne de commande pour les pilotes de carte son ALSA. |
|
est un outil en ligne de commande pour lire un/des fichier(s) MIDI spécifié(s) sur un ou des ports de séquenceur ALSA. |
|
est un magnétophone en ligne de commande pour les pilotes de carte son ALSA. |
|
est un outil en ligne de commande qui enregistre un fichier MIDI standard à partir d'un ou plusieurs ports de séquenceur ALSA. |
|
est un outil en ligne de commande qui affiche les événements du séquenceur qu'il reçoit sous forme de texte. |
|
est un client de séquenceur ALSA qui envoie et reçoit des paquets d'événements sur un réseau. |
|
est un petit outil pour paramétrer ou peaufiner l'état des bits IEC958 (ou de ce qu'on appelle « S/PDIF ») d'une carte son spécifié par l'API du contrôle ALSA. |
|
est un générateur en ligne de commande de bruit de test du speaker pour ALSA. |
Last updated on : 2013-04-14 14:48:41 +020
Le paquet ALSA Tools contient des outils avancés pour certaines cartes son.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7 mais n'a pas été testé.
Téléchargement (HTTP) : http://alsa.cybermirror.org/tools/alsa-tools-1.0.28.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.alsa-project.org/pub/tools/alsa-tools-1.0.28.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e6c929175d8ee729c06d49b51439bad6
Taille du téléchargement : 1.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 24 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
gtk+-2.24.26 (pour construire echomixer, envy24control et rmedigicontrol), GTK+-3.14.8 (pour construire hdajackretask) et FLTK-1.3.3 (pour construire hdspconf et hdspmixer)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/alsa-tools
Pour l'installation de paquets multiples dans un script, les installations doivent être faites en tant qu'utilisateur root. Il y a trois options générales qui peuvent être utilisées pour faire cela :
Lancer le script entièrement en tant qu'utilisateur root (pas recommandé).
Use the sudo command from the sudo-1.8.12 package.
Use su -c "command arguments" (guillemet requis) qui demandera le mot de passe root à chaque itération de la boucle.
Une façon de gérer cette situation est de créer une petite fonction bash qui sélectionne automatiquement la méthode appropriée. Une fois que la commande est initialisée dans l'environnement, il n'est plus nécessaire de le refaire.
as_root() { if [ $EUID = 0 ]; then $* elif [ -x /usr/bin/sudo ]; then sudo $* else su -c \\"$*\\" fi } export -f as_root
En premier, démarrez un sous-shell qui sortira sur une erreur:
bash -e
Maintenant, enlevez un outil qui demande Qt2 ou 3 et deux fichiers inutiles (pour les instructions BLFS dessous):
rm -rf qlo10k1 Makefile gitcompile
Le paquet ALSA Tools n'est nécessaire que pour ceux ayant des exigences élevées de leur carte son. Les outils peuvent être construit tous en une seule fois, mais si seulement une partie est nécessaire, vous devez faire un cd dans le répertoire de chaque outil que vous souhaitez compiler. Ici, nous présentons les instructions pour construire tous les outils.
Installez tous les ALSA Tools en lançant les commandes suivantes :
for tool in * do case $tool in seq ) tool_dir=seq/sbiload ;; * ) tool_dir=$tool ;; esac pushd $tool_dir ./configure --prefix=/usr make as_root make install as_root /sbin/ldconfig popd done unset tool tool_dir
Finallement, quitter le shell qui a été démarré plus tot:
exit
est un assembleur pour le chipset emu10k1 DSP présent dans les cartes son Creative SB Live, PCI 512, et emu APS. Il est utilisé pour produire des effets audio tels qu'un flanger, un chœur ou la reverb. |
|
est un programme de contrôle de SB16/AWE32 Creative Signal Processor (ASP/CSP). |
|
est l'équivalent Linux de l'application console Echoaudio d'Echoaudio. C'est un outil pour contrôler toutes les fonctionnalités de n'importe quelle carte son Echoaudio. Cela inclut les sources d'heure, des gains d'entrée et de sortie, des mixeurs, etc. |
|
est un outil de contrôle pour les cartes sons basées sur Envy24 (ice1712). |
|
est une interface graphique pour contrôler les paramètres ALSA HDSP Hammerfall. Jusqu'à quatre cartes hdsp sont supportées. |
|
est utilisé pour charger le firmware exigé par les cartes son HDSP Hammerfall. |
|
est l'équivalent Linux de l'application Totalmix de RME. C'est un outil pour contrôler les fonctionnalités de routage avancées des cartes sons de séries HDSP Hammerfall RME. |
|
est le serveur d'un chargeur de correctif EMU10K{1,2} pour ALSA. |
|
est le client d'un chargeur de correctif EMU10K{1,2} pour ALSA. |
|
charge les fichiers de configuration générés par lo10k1 et ld10k1. |
|
est un script de démarrage pour le chargeur de correctif ld10k1. |
|
est une interface graphique Qt pour le chargeur de correctifs ld10k1. |
|
est un programme d'aide pour charger les binaires de firmware sur les pilotes de son de la table miXart de Digigram. Les modules suivants exigent ce programme : snd-mixart. Ce pilote ne fonctionnent pas bien du tout jusqu'à ce que certains firmwares soient chargés, à savoir que ni les périphériques PCM ni le mixeur n'apparaîtront. |
|
est un programme d'aide pour charger les binaires du firmware sur les pilotes son de la table compatible pcxhr de de Digigram. Les modules exigent ce programme : snd-pcxhr. Ces pilotes ne fonctionnent pas bien du tout jusqu'à ce que certains modules soient chargés, à savoir que ni les modules PCM ni le périphérique de mixeur n'apparaitront. |
|
est un outil de contrôle pour les cartes son RME Digi32 et RME Digi96. Il offre une interface graphique pour tous les contrôles et les paramètres des carte son. |
|
est un chargeur d'instrument FM OPL2/3 pour le séquenceur ALSA. |
|
est un outil de contrôle de son SoundScape d'ALSA. |
|
est un programme de contrôle Tascam US-428. |
|
est un programme d'aide pour charger la deuxième phase des binaires de firmware dans les cartes son Tascam USX2Y USB. Il a jusque-là proué son efficacité pour les US122, US224 et US428. Le module snd-usb-usx2y exige ce programme. |
|
est un programme pour charger les binaires de firmware sur les pilotes de son de la table VX de Digigram. Les modules suivants exigent ce programme : snd-vx222, snd-vxpocket, snd-vxp440. Ces pilotes ne fonctionnent pas bien du tout jusqu'à ce que certains firmwares ne soient chargés, à savoir que ni les périphériques PCM ni le mixeur n'apparaitront. |
Last updated on : 2013-04-14 14:48:41 +020
Le paquet ALSA Firmware contient le firmware de certaines cartes son.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://alsa.cybermirror.org/firmware/alsa-firmware-1.0.28.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.alsa-project.org/pub/firmware/alsa-firmware-1.0.28.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 0615aedafe8251fdf835b68ea3463559
Taille du téléchargement : 3.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 34 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
AS31 (pour reconstruire le firmware à partir des sources)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/alsa-firmware
Le paquet ALSA Firmware n'est requis que pour ceux qui ont des exigences élevées pour leur carte son. Voir le README pour les options de configure.
Installez ALSA Firmware en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-12 03:50:39 +010
Le paquet ALSA OSS contient la bibliothèque de compatibilité d'ALSA OSS. C'est utilisé par des programmes qui souhaitent utiliser l'interface son d'ALSA OSS.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://alsa.cybermirror.org/oss-lib/alsa-oss-1.0.28.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.alsa-project.org/pub/oss-lib/alsa-oss-1.0.28.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 91f57e8cee1ad4cc956caa8b62ac5d43
Taille du téléchargement : 288 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.8 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/alsa-oss
Installez ALSA OSS en lançant les commandes suivantes :
./configure --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-03-05 20:08:17 +010
Le paquet Audio File contient les bibliothèques de fichier audio et deux programmes de support de fichiers audio. Ils sont utiles pour supporter les formats de base des fichiers sons.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/audiofile/0.3/audiofile-0.3.6.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/audiofile/0.3/audiofile-0.3.6.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 235dde14742317328f0109e9866a8008
Taille du téléchargement : 520 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 18 Mo
Estimation du temps de construction : 0.6 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/audiofile
Installez Audio File en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
affiche le format, l'encodage audio, l'échelonage, le débit et la durée d'un fichier audio dans les formats supportés par cette bibliothèque. |
|
convertit des formats de fichier son où le format d'origine et de destination sont supportés par cette bibliothèque. |
|
contient les fonctions utilisées par les programmes pour supporter les formats audio AIFF, AIFF compressé, Sun/NeXT, WAV et BIC. |
Last updated on : 2013-03-12 01:31:48 +010
FAAC est un encodeur pour un schéma de compression du son spécifié dans les standards MPEG-2 Partie 7 et MPEG-4 Partie 3 et connu sous le nom de Advanced Audio Coding (AAC). Cet encodeur est utile pour produire des fichiers qu'on peut lire sur un iPod. En outre, iPod ne comprend pas d'autres formats de compression du son dans des fichiers vidéo.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/faac/faac-1.28.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c5dde68840cefe46532089c9392d1df0
Taille du téléchargement : 519 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 20 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Correctif requis> : http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/faac-1.28-glibc_fixes-1.patch
libmp4v2 from mpeg4ip (non testé, depuis le 28-09-2007, le développement du projet est arrêté ; une version interne de la bibliothèque est utilisée si celle externe n'est pas trouvée).
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/faac
Installez FAAC en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../faac-1.28-glibc_fixes-1.patch && sed -i -e '/obj-type/d' -e '/Long Term/d' frontend/main.c && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests. Vous pouvez cependant dester les fonctionnalités de base en encodant un fichier échantillon WAV (le fichier d'échantillon est installé par le paquet ALSA-Utilities-1.0.28 :
./frontend/faac -o Front_Left.mp4 /usr/share/sounds/alsa/Front_Left.wav
Puis, décodez le résultat en utilisant le programme faad du paquet FAAD2-2.7 et lisez le fichier décodé (exige le programme aplay du paquet ALSA-Utilities-1.0.28) :
faad Front_Left.mp4 aplay Front_Left.wav
aplay devrait identifier le fichier comme un « Signed 16 bit Little Endian, Rate 48000 Hz, Stereo » et vous devriez entendre les mots « front left ».
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i
... : Cette commande supprime la
documentation du paramètre --obj-type
de la sortie de la commande
faac
--long-help. Ce paramètre est déjà désactivé
dans FAAC-1.28 à cause de problèmes de qualité du son avec
les types objets différents de « Low
Complexity » (faible complexité).
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-drm
: Cette option
est censée activer le support des fichiers d'eodage pour
Digital Radio
Mondiale, mais elle casse en fait les fonctionnalités de
base du paquet (par exemple le programme faac qui en résulte produit
des fichiers qui ne peuvent pas âtre décodés par FAAD2-2.7, Fµme
s'il a été compilé avec le support DRM). Ne l'utilisez pas.
La qualité de FAAC est loin d'atteindre celle des meilleurs encodeurs AAC actuellement disponibles. Il supporte en outre l'AAC et pas l'AAC High Efficiency (connu aussi en tant qu'aacPlus), qui offre une meilleure qualité avec un taux faible grâce à l'utilisation de la technologie « spectral band replication » (réplique spectrale de bande). Il existe les programmes alternatifs suivants pour produire des flux AAC et HE-AAC :
Nero AAC Codec : disponible seulement sous forme binaire, les encodeurs en ligne de commande pour Linux AAC et HE-AAC sont dans la même archive que l'application Windows.
codec
audio général aacPlus amélioré 3GPP :
disponible sous forme de sources, ne peut encoder
HE-AAC que jusqu'à 48 kbps au-delà de la table, mais le
débit maximum peut être modifié en éditant la table de
peaufinement dans le fichier FloatFR_sbrenclib/src/sbr_main.c
.
Remarquez en même temps qu'iPod ne supporte que le profil Complexity AAC qui est celui par défaut dans FAAC mais pas forcément dans l'encodeur Nero AAC et il est complètement indisponible dans l'encodeur 3GPP.
Last updated on : 2013-03-12 01:31:48 +010
FAAD2 est un décodeur pour un schéma de compression de son loosy spécifié dans les standards MPEG-2 Partie 7 et MPEG-4 Partie 3 et connu comme le Advanced Audio Coding (AAC).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/faac/faad2-2.7.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4c332fa23febc0e4648064685a3d4332
Taille du téléchargement : 880 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 12 Mo (without media player plugins)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (without media player plugins)
correctif requis: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/faad2-2.7-mp4ff-1.patch
Fichier d'échantillon AAC: http://www.nch.com.au/acm/sample.aac (7 KB)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/faad2
Installez FAAD2 en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../faad2-2.7-mp4ff-1.patch && sed -i "s:AM_CONFIG_HEADER:AC_CONFIG_HEADERS:g" configure.in && sed -i "s:man_MANS:man1_MANS:g" frontend/Makefile.am && autoreconf -fi && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests. On peut toutefois tester les fonctionnalités de base en décodant le fichier d'échantillon AAC :
./frontend/faad -o sample.wav ../sample.aac
Cela devrait afficher un message de copyright et les informations suivantes sur le fichier d'échantillon :
sample.aac file info:
ADTS, 4.608 sec, 13 kbps, 16000 Hz
---------------------
| Config: 2 Ch |
---------------------
| Ch | Position |
---------------------
| 00 | Left front |
| 01 | Right front |
---------------------
Maintenant, lisez le résultat (exige le programme aplay du paquet ALSA-Utilities-1.0.28) :
aplay sample.wav
aplay devrait identifier le fichier « Signed 16 bit Little Endian, Rate 16000 Hz, Stereo » et vous devriez entendre quelques notes de piano.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i ...: La première commande corrige les scripts autotools pour être compatible avec la dernière version de Automake et la seconde commande corrige l'emplacement d'installation des pages de manuel.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--with-drm
: Cette option
est censée activer le support du décodage de Digital Radio Mondiale, bmais
elle casse en fait les fonctionnalités de base du paquet (par
exemple, le programme faad qui en résulte ne peut
pas décoder le fichier d'échantillon AAC lié ci-dessus). Ne
l'utilisez pas.
Last updated on : 2013-03-12 01:31:48 +010
Le paquet fdk-aac fournit la bibliothèque Fraunhofer FDK AAC, qui est conçu pour être l'implémentation de codage avancé pour l'audio de haute qualité.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/opencore-amr/fdk-aac-0.1.3.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6b3b70faa3108b7a00f7740b3de38b83
Taille du téléchargement : 1.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 26 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/fdk-aac
Installez fdk-aac en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2013-10-08 17:36:40 +0200
FLAC est un CODEC audio similaire au MP3, mais sans perte, ce qui veut dire que le son est compressé sans perdre d'informations.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.xiph.org/releases/flac/flac-1.3.1.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://downloads.xiph.org/pub/xiph/releases/flac/flac-1.3.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b9922c9a0378c88d3e901b234f852698
Taille du téléchargement : 920 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 31 Mo (additional 77 Mo to run the test suite)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU (ajouter 0.5 SBU pour lancer la suite de tests)
libogg-1.3.2, NASM-2.11.06, DocBook-utils-0.6.14, Doxygen-1.8.9.1 et Valgrind-3.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/flac
Installez FLAC en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-thorough-tests && make
Pour tester les résultats, lancez : make check. Notez que si
vous avez passé les paramètres --enable-exhaustive-tests
et --enable-valgrind-testing
à configure et si vous lancez
la suite de tests, elle mettra beaucoup de temps (jusqu'à 300
SBUs) et utilisera environ 375 Mo d'espace disque.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-thorough-tests
:
Ce paramètre est utilisé pour que la suite de tests
s'effectue dans un délai raisonnable. Supprimez-la si vous
désirez des tests plus étendus.
est un outil en ligne de commande pour encoder, décoder et convertir des fichiers FLAC. |
|
est un programme pour lister, ajouter, supprimer ou éditer des métadonnées dans un ou plusieurs fichiers FLAC. |
|
ces bibliothèques offrent les APIs natives de FLAC et d'Ogg FLAC C/C++ pour des programmes utilisant FLAC. |
Last updated on : 2012-07-29 01:46:35 +020
Grilo est un espace de travail orienté sur la découverte de médias et la navigation facile pour les applications et les développeurs d'applications.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/grilo/0.2/grilo-0.2.12.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/grilo/0.2/grilo-0.2.12.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7e124e3dc1350c2576a84fd18a901d21
Taille du téléchargement : 604 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
libsoup-2.48.1, gobject-introspection-1.42.0, Grilo-Plugins-0.2.14 (exécution), et Vala-0.26.2
avahi-0.6.31 (si installé pendant la construction, soyez certain que avahi-daemon soit lancé en tant que démon système, démarré par une unité bootscript/systemd), DocBook-utils-0.6.14, liboauth (pour configurer les comptes personnels flickr)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/grilo
Install Grilo by running the following
./configure --prefix=/usr \ --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
est une simpl application de lecture que vous pouvez utiliser pour tester l'espace de travail et ses ajouts. |
|
est un outil qui affiche des informations sur les sources de Grilo disponibles. |
|
est un outil pour lancer des opérations de Grilo depuis la ligne de commande. |
|
fournit l'espace de travail de Grilo. |
|
fournit l'aide réseau de Grilo pour les ajouts. |
|
fournit les fonctions de gestion de playlist. |
Last updated on 2013-09-10 22:27:47 +0200
Grilo-Plugins est une collection d'ajouts (Apple Trailers, Blip.tv, Bookmarks, Filesystem, Flickr, Jamendo, Magnatune, Rai.tv, Tracker, Youtube, between others) pour rendre la découverte de média et la navigation facile pour les applications qui supportent Grilo , comme Totem (quelques ajouts sont désactivés dans Totem).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/grilo-plugins/0.2/grilo-plugins-0.2.14.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/grilo-plugins/0.2/grilo-plugins-0.2.14.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 184163b248efc064d8b6558cf297fb73
Taille du téléchargement : 1016 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 24 Mo (all plugins)
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
Grilo-0.2.12 et SQLite-3.8.8.2
libsoup-2.48.1, gobject-introspection-1.42.0 et totem-pl-parser-3.10.4
avahi-0.6.31, GMime-2.6.20 (Podcasts), JSON-GLib-1.0.2 (TMDB), Lua-5.3.0 (Lua Factory), gnome-online-accounts (flickr, Pocket), gom (Bookmarks), libdmapsharing (DMAP), libgdata (YouTube), libquvi (version 0.9) (YouTube), liboauth (pour configurer les infos personnells de flickr), MEDIAART (local-art) python-dbusmock (dLeyna runtime tests), et tracker (Tracker)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/grilo-plugins
Install Grilo-Plugins by running the following
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester le résultat, tapez : make check 2>&1 | tee check.log. Un résumé peut être obtenu avec egrep '(TEST|PASS)' check.log.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Pour tester quels ajouts sont installés et que Grilo-0.2.12 fonctionne, tapez grl-inspect-0.2 ou grilo-test-ui-0.2 (la dernière depuis un terminal X).
Last updated on 2013-10-21 18:39:03 -0300
GStreamer contient un environnement de médias de flux permettant aux applications de partager un ensemble de plugins communs pour des choses comme le décodage et l'encodage vidéo, les filtres audio et video, la visualisation audio, le streaming Web et tout ce qui est en flux en temps réel ou autrement. C'est modélisé après le travail de recherche en logiciel de l'Institut Oregon Graduate. Après l'installation de GStreamer, vous devrez probablement installer un ou plusieurs paquets GStreamer Good Plug-ins-0.10.31, GStreamer Ugly Plug-ins-0.10.19, GStreamer Bad-Plug-ins-0.10.23 et gst-ffmpeg-0.10.13.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Les séries de GStreamer 1.0 ne sont pas compatible au niveau de l'API ou au niveau de l'ABI avec les séries 0.10 de GStreamer et les deux ne peuvent être installé sur le même système.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gstreamer/0.10/gstreamer-0.10.36.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gstreamer/0.10/gstreamer-0.10.36.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 15389c73e091b1dda915279c388b9cb2
Taille du téléchargement : 2.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 90 Mo
Estimation du temps de construction : 1.2 SBU
Gsl-1.16, Valgrind-3.10.1 (utilisé éventuellement lors des tests de régression d'unité)
GTK-Doc-1.21 et Python-2.7.9 (compilé contre un parseur XML tel que ).
DocBook-utils-0.6.14, GPL-Ghostscript-9.15 libxslt-1.1.28 et texlive-20140525 (ou install-tl-unx)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gstreamer
Installez GStreamer en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e '/YYLEX_PARAM/d' \ -e '/parse-param.*scanner/i %lex-param { void *scanner }' \ gst/parse/grammar.y && ./configure --prefix=/usr \ --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check. Il y a beaucoup
d'autres cibles de Makefile
que
vous pouvez spécifier, pour lancer les tests, lancez
make -C tests/check
help pour voir la liste complète.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/gstreamer-0.10/design && install -v -m644 docs/design/*.txt \ /usr/share/doc/gstreamer-0.10/design && if [ -d /usr/share/doc/gstreamer-0.10/faq/html ]; then chown -v -R root:root \ /usr/share/doc/gstreamer-0.10/*/html fi
Pour tester le fonctionnement de l'installation de
GStreamer, vous pouvez
lancer un test simple en tant qu'utilisateur non privilégié
(il se peut que vous deviez exécuter ldconfig en tant
qu'utilisateur root
avant
d'essayer de faire le test).
gst-launch -v fakesrc num_buffers=5 ! fakesink
Si la commande affiche une série de messages issus de fakesrc et de fakesink, tout va bien.
sed ... gst/parse/grammar.y: Cette commande corrige un problème causé par la dernière version de Bison.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
--enable-docbook
: Ce
paramètre est utilisé pour construire les versions HTML, PDF
et PostScript du manuel de l'utilisateur de GStreamer, de la FAQ et du guide du
rédacteur. Remarquez que vous devez avoir installé toutes les
dépendances listées.
chown -v -R root:root ... : La documentation est installée avec l'appartenance à l'utilisateur qui a déballé et construit le paquet. Cette commande modifie les appartenances des fichiers de documentation installés en root:root et elle n'est exécutée que si les fichiers de documentation ont été construits et installés.
génère des informations de débogage pour les rapports de bogues de GStreamer. |
|
affiche des informations sur un plugin ou un élément de GStreamer. |
|
est un outil qui construit et exécute des pipelines GStreamer de base. |
|
utilise le système de recherche par type de GStreamer pour déterminer le plugin GStreamer adapté pour parser ou décoder un fichier, et pour déterminer le type MIME correspondant. |
|
affiche des informations sur un plugin ou un élément GStreamer dans le format de document XML. |
|
est utilisé pour construire et exécuter un pipeline GStreamer de base, le charger à partir d'une description XML. |
Last updated on : 2012-07-24 18:16:08 +020
Les Plugins GStreamer Base sont un ensemble de plugins et d'éléments GStreamer bien soigné et bien maintenu, étendant la variété des types possibles d'éléments qu'on peut vouloir écrire pour GStreamer. Ils contiennent aussi des bibliothèques d'aide et des classes utiles pour écrire des éléments. Une large gamme de décodeurs, d'encodeurs et de filtres vidéo et audio sont inclus. Voir aussi les paquets GStreamer Good Plug-ins-0.10.31, GStreamer Bad-Plug-ins-0.10.23, GStreamer Ugly Plug-ins-0.10.19, et gst-ffmpeg-0.10.13
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Les séries de GStreamer 1.0 ne sont pas compatible au niveau de l'API ou au niveau de l'ABI avec les séries 0.10 de GStreamer et les deux ne peuvent être installé sur le même système.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gst-plugins-base/0.10/gst-plugins-base-0.10.36.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gst-plugins-base/0.10/gst-plugins-base-0.10.36.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3d2337841b132fe996e5eb2396ac9438
Taille du téléchargement : 2.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 105 Mo
Estimation du temps de construction : 1.7 SBU
GStreamer-0.10.36 et Pango-1.36.8
ALSA-Library-1.0.28, libogg-1.3.2, libtheora-1.1.1, libvorbis-1.3.4, udev-extras (depuis eudev) (pour gudev),et Xorg Libraries
CDParanoia-III-10.2, GTK+-3.14.8(requis pour construire les exemples), libvisual, ORC, check-0.9.14 (requis pour lancer les tests de régression d'unité), et Valgrind-3.10.1 (utilisé éventuellement lors des tests de régression d'unité).
GTK-Doc-1.21 et Python-2.7.9 (compilé contre un analyseur XML comme ).
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gst-plugins-base
Si vous voulez un greffon pour une dépendance donnée, cette dépendance doit être installée avant cette application.
En premier, si vous utilisez une architecture i686, corrigez un problème de compilation introduit par gcc-4.9.0:
patch -Np1 -i ../gst-plugins-base-0.10.36-gcc_4_9_0_i686-1.patch
Installez GStreamer Base Plug-ins en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour lancer les tests de régression d'unité, lancez :
make check. Il
y a beaucoup d'autres cibles Makefile
que vous pouvez spécifier pour
lancer les tests, lancez make
-C tests/check help pour voir la liste
complète.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2012-07-24 18:16:08 +020
Les Plugins GStreamer Good sont un ensemble de plugins considérés comme ayant un code de qualité, un fonctionnement correct et les licences préférables (LGPL pour le code du plugin, LGPL ou compatible LGPL pour la bibliothèque de support) par les développeurs de GStreamer. Une large gamme de décodeurs, d'encodeurs et de filtres vidéo et audio sont inclus. Voir aussi les paquets GStreamer Ugly Plug-ins-0.10.19, GStreamer Bad-Plug-ins-0.10.23 et gst-ffmpeg-0.10.13.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Les séries de GStreamer 1.0 ne sont pas compatible au niveau de l'API ou au niveau de l'ABI avec les séries 0.10 de GStreamer et les deux ne peuvent être installé sur le même système.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gst-plugins-good/0.10/gst-plugins-good-0.10.31.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/gst-plugins-good/0.10/gst-plugins-good-0.10.31.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 555845ceab722e517040bab57f9ace95
Taille du téléchargement : 2.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 110 Mo
Estimation du temps de construction : 1.2 SBU
GStreamer Base Plug-ins-0.10.36
cairo-1.14.0, FLAC-1.3.1, libjpeg-turbo-1.4.0, libpng-1.6.16 et Xorg Libraries
AAlib-1.4rc5, GTK+-3.14.8 (requises pour construire les exemples), libdv-1.0.0, PulseAudio-5.0, Speex-1.2rc2, taglib-1.9.1, v4l-utils-1.6.2, JACK, libavc1394 (exige libraw1394), libcaca, libcdio, libiec61883, libshout, ORC, et WavPack.
GTK-Doc-1.21 et Python-2.7.9 .
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gst-plugins-good
Si vous voulez un greffon pour une dépendance donnée, cette dépendance doit être installée avant cette application.
Installez GStreamer Good Plug-ins en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e "/input:/d" sys/v4l2/gstv4l2bufferpool.c && sed -i -e "/case V4L2_CID_HCENTER/d" -e "/case V4L2_CID_VCENTER/d" sys/v4l2/v4l2_calls.c && ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --with-gtk=3.0 && make
Pour lancer les tests de régression d'unité, lancez :
make check. Il
y a de nombreuses autres cibles Makefile
que vous pouvez spécifier pour
lancer les tests, lancez make
-C tests/check help pour voir la liste
complète.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous n'avez pas construit la documentation de l'API en
passant --enable-gtk-doc
au
script configure et si vous
souhaitez installer la documentation préconstruite, lancez la
commande suivante en tant qu'utilisateur root
:
make -C docs/plugins install-data
sed -i -e "..." : Ces sed corrigent la construction avec des noyaux récents.
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-03-28 01:12:39 +010
Le paquet GStreamer Bad Plug-ins contient un ensemble de plug-ins qui ne sont pas à jour comparé au reste. Ils pourraient être de bonne qualité, mais ils manquent quelque chose - que ce soit un examen du code, la documentation, une série de tests, un vrai cycle de maintenance, ou une certaine large utilisation effective. voir aussi les paquets GStreamer Good Plug-ins-0.10.31, GStreamer Ugly Plug-ins-0.10.19 et gst-ffmpeg-0.10.13.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Les séries de GStreamer 1.0 ne sont pas compatible au niveau de l'API ou au niveau de l'ABI avec les séries 0.10 de GStreamer et les deux ne peuvent être installé sur le même système.
Téléchargement (HTTP) : http://gstreamer.freedesktop.org/src/gst-plugins-bad/gst-plugins-bad-0.10.23.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e4822fa2cc933768e2998311a1565979
Taille du téléchargement : 3.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 140 Mo (depending on which optional dependencies are fulfilled)
Estimation du temps de construction : 2.0 SBU
GStreamer Base Plug-ins-0.10.36
FAAC-1.28, libpng-1.6.16, libvpx-1.3.0, OpenSSL-1.0.2 et XviD-1.3.3
cURL-7.40.0, FAAD2-2.7, JasPer-1.900.1, libass-0.12.1, libmusicbrainz-2.1.5, librsvg-2.40.7, libsndfile-1.0.25, libvdpau-0.9, neon-0.30.1, SDL-1.2.15, SoundTouch-1.8.0 celt, Dirac, DirectFB, Flite, Game Music Emu, GSM, LADSPA, libcdaudio, libdc1394, libdca, libiptcdata, libkate, libmimic, libmms, libmodplug, libmpcdec, libofa, MJPEG Tools, OpenAL, ORC, rtmpdump, Schroedinger, SpanDSP, VO AACENC, VO AMRWBENC, WildMidi, ZBAR and ZVBI
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gst-plugins-bad
Si vous voulez un greffon pour une dépendance donnée, cette dépendance doit être installée avant cette application.
Installez Gstreamer Bad Plug-ins en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --with-gtk=3.0 --disable-examples && make
Pour tester le résultat, tapez : make check. Notez que quelques tests peuvent échouer.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-gtk=3.0
:
Construit avec gtk3 au lieu
de GTK+ 2 par défaut :
recommandé pour un bureau GNOME.
--disable-examples
:
Si les dépendances pour les pilotes d'appareil photos sont
satisfaites, les codes d'exemples associés échouent à ce
construire.
Last updated on : 2012-07-24 18:16:08 +020
Les plugins GStreamer Ugly sont un ensemble de plugins considérés comme ayant un code de bonne qualité, un fonctionnement correct mais dont la distribution peut poser problème, par les développeurs de GStreamer. La licence des plugins ou des bibliothèques de support pourrait ne pas correspondre à ce qu'aimeraient les développeurs de GStreamer. Le code pourrait être très connu pour poser des problèmes pendants. Voir aussi les paquets GStreamer Bad-Plug-ins-0.10.23, GStreamer Good Plug-ins-0.10.31 et gst-ffmpeg-0.10.13.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Les séries de GStreamer 1.0 ne sont pas compatible au niveau de l'API ou au niveau de l'ABI avec les séries 0.10 de GStreamer et les deux ne peuvent être installé sur le même système.
Téléchargement (HTTP) : http://gstreamer.freedesktop.org/src/gst-plugins-ugly/gst-plugins-ugly-0.10.19.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ba26045c8c8c91f0d48d327ccf53ac0c
Taille du téléchargement : 864 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 20 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
GStreamer Base Plug-ins-0.10.36
LAME-3.99.5, libdvdnav-5.0.3 et libdvdread-5.0.2
liba52-0.7.4, libcdio, libmad-0.15.1b, libmpeg2-0.5.1, libsidplay, OpenCore AMR, ORC, TwoLAME et x264-20141208-2245
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gst-plugins-ugly
Si vous voulez un greffon pour une dépendance donnée, cette dépendance doit être installée avant cette application.
Installez GStreamer Ugly Plug-ins en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../gst-plugins-ugly-0.10.19-libcdio_fixes-1.patch && ./configure --prefix=/usr && make
Pour lancer les tests de régression d'unité, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous n'avez pas construit la documentation de l'API en
passant --enable-gtk-doc
au
script configure et vous souhaitez
installer la documentation préconstruite, lancez la commande
suivante en tant qu'utilisateur root
:
make -C docs/plugins install-data
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on : 2013-01-25 17:32:25 +010
Le paquet gst-ffmpeg contient des plugins gstreamer pour ffmpeg.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Les séries de GStreamer 1.0 ne sont pas compatible au niveau de l'API ou au niveau de l'ABI avec les séries 0.10 de GStreamer et les deux ne peuvent être installé sur le même système.
Téléchargement (HTTP) : http://gstreamer.freedesktop.org/src/gst-ffmpeg/gst-ffmpeg-0.10.13.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7f5beacaf1312db2db30a026b36888c4
Taille du téléchargement : 4.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 272 Mo
Estimation du temps de construction : 2.9 SBU
GStreamer Base Plug-ins-0.10.36 et yasm-1.3.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gst-ffmpeg
Installez gst-ffmpeg en lançant les commandes suivantes :
patch -p1 < ../gst-ffmpeg-0.10.13-gcc-4.7-1.patch && ./configure --prefix=/usr && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2012-07-24 18:16:08 +020
GStreamer est un framework de streaming qui permet aux applications de partager un ensemble de plugins communs pour des choses comme l'encodage et decodage vidéo ou audio, l'utilisation de filtres audio et video, la visualisation audio, le streaming web et toutes les autres choses qui diffusent en temps réel ou autrement. Ce paquet fournit les fonctionnalités et bibliothèques de base. Vous pourrez avoir au moins besoin de gst-plugins-base-1.4.5 et un des plugins Good, Bad, Ugly ou FFmpeg.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Les séries de GStreamer 1.0 ne sont pas compatible au niveau de l'API ou au niveau de l'ABI avec les séries 0.10 de GStreamer et les deux ne peuvent être installé sur le même système.
Téléchargement (HTTP) : http://gstreamer.freedesktop.org/src/gstreamer/gstreamer-1.4.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 88a9289c64a4950ebb4f544980234289
Taille du téléchargement : 3.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 81 Mo (additional 19 Mo to run the test suite)
Estimation du temps de construction : 0.6 SBU (ajouter 0.8 SBU pour lancer la suite de tests)
Gsl-1.16, GTK-Doc-1.21 et Valgrind-3.10.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gstreamer10
Installez GStreamer en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-package-name="GStreamer 1.4.5 BLFS" \ --with-package-origin="http://www.linuxfromscratch.org/blfs/view/svn/" && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
est un outil qui fournit des informations sur les plugins GStreamer diponibles, des informations à propos d'un plugin particulier, ou des informations à propros d'un élément particulier. |
|
est un outil permettant de construire et de faire fonctionner des pipelines GStreamer de base. |
|
utilise le système de recherche de type GStreamer afin de déterminer le plugin GStreamer approprié à analyser ou décoder le fichier et les types MIME correspondants. |
|
fournit certaines classes de base pour être étendu par des classes d'éléments et d'utilitaires qui sont plus utiles pour les développeurs de plugin. |
|
fournit une fonctionnalitée pour écrire des tests d'unité qu'utilise le framework de vérification. |
|
fournit une fonctionnalitée pour animer les propriétées des éléments au fil du temps. |
|
fournit des éléments et objets réseaux. |
|
fournit tout le coeur des services GStreamer, y compris l'initialisation, les plugin management et types, aussi bien que la hiérarchie objet qui défini les éléments et bins, avec certains autres éléments spécialisés. |
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
L'application GStreamer Base Plug-ins est une collection soignée et bien maintenue de plugins et éléments GStreamer couvrant la gamme des types d'éléments possibles que quiconque souhaiterait écrire pour GStreamer. Vous aurez du moins besoin des plugins Good, Bad, Ugly ou FFmpeg pour que les applications GStreamer fonctionnent correctement.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Les séries de GStreamer 1.0 ne sont pas compatible au niveau de l'API ou au niveau de l'ABI avec les séries 0.10 de GStreamer et les deux ne peuvent être installé sur le même système.
Téléchargement (HTTP) : http://gstreamer.freedesktop.org/src/gst-plugins-base/gst-plugins-base-1.4.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 357165af625c0ca353ab47c5d843920e
Taille du téléchargement : 2.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 0.1 Go (additional 13 Mo to run the test suite)
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU (ajouter 0.7 SBU pour lancer la suite de tests)
ALSA-Library-1.0.28, gobject-introspection-1.42.0, ISO Codes-3.57, libogg-1.3.2, libtheora-1.1.1, libvorbis-1.3.4, et Xorg Libraries
CDParanoia-III-10.2, GTK+-3.14.8, GTK-Doc-1.21, Qt-4.8.6, Valgrind-3.10.1, libvisual, ORC et Tremor
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gst10-plugins-base
Si vous voulez un greffon pour une dépendance donnée, cette dépendance doit être installée avant cette application.
Installez GStreamer Base Plug-ins en laçant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-package-name="GStreamer Base Plugins 1.4.5 BLFS" \ --with-package-origin="http://www.linuxfromscratch.org/blfs/view/svn/" && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Pendant l'installation, le Makefile fait des liens supplémentaires. Si vous n'avez pas Xorg dans /usr, la variable LIBRARY_PATH doit être définie pour l'utilisateur root. Si vous utilisez sudo pour être root, utilisez l'option -E pour passer vos variables d'environnement actuelles aux processus d'installation.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
Le paquet GStreamer Good Plug-ins est un ensemble de greffons considérés par les développeurs de GStreamer comme ayant un code de bonne qualité, une fonctionnalité correcte, et la licence préférée (LGPL pour le code du greffon, LGPL ou LGPL-compatible pour la bibliothèque la supportant). Un large panel de décodeurs, encodeurs et filtres audio et vidéos sont inclus.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Les séries de GStreamer 1.0 ne sont pas compatible au niveau de l'API ou au niveau de l'ABI avec les séries 0.10 de GStreamer et les deux ne peuvent être installé sur le même système.
Téléchargement (HTTP) : http://gstreamer.freedesktop.org/src/gst-plugins-good/gst-plugins-good-1.4.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : eaf1a6daf73749bc423feac301d60038
Taille du téléchargement : 2.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 0.1 Go (additional 10 Mo to run the test suite)
Estimation du temps de construction : 1.1 SBU (ajouter 1 SBU pour lancer la suite de tests)
cairo-1.14.0, FLAC-1.3.1, gdk-pixbuf-2.31.2, libjpeg-turbo-1.4.0, libpng-1.6.16, libsoup-2.48.1, libvpx-1.3.0, Xorg Libraries
AAlib-1.4rc5, GTK+-3.14.8, GTK-Doc-1.21, libdv-1.0.0, PulseAudio-5.0, Speex-1.2rc2, taglib-1.9.1, udev-extras (depuis eudev) (pour GUdev), Valgrind-3.10.1, v4l-utils-1.6.2, JACK, libcaca, libiec61883, libraw1394, libshout, ORC et WavPack.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gst10-plugins-good
Si vous voulez un greffon pour une dépendance donnée, cette dépendance doit être installée avant cette application.
Installez GStreamer Good Plug-ins en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-package-name="GStreamer Good Plugins 1.4.5 BLFS" \ --with-package-origin="http://www.linuxfromscratch.org/blfs/view/svn/" && make
Pour tester le résultat, tapez : make -k check. Quelques tests sont connus pour échouer.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
Le paquet GStreamer Bad Plug-ins contient un ensemble de greffons qui ne sont pas à comparer avec le reste. Ils pourraient qu'ils soient de bonne qualité, mais il leur manque quelque chose - que ce soit une bonne révision du code, de la documentation, un ensemble de tests, un mainteneur réel direct, ou une réelle utilisation à grande échelle.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Les séries de GStreamer 1.0 ne sont pas compatible au niveau de l'API ou au niveau de l'ABI avec les séries 0.10 de GStreamer et les deux ne peuvent être installé sur le même système.
Téléchargement (HTTP) : http://gstreamer.freedesktop.org/src/gst-plugins-bad/gst-plugins-bad-1.4.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e0bb39412cf4a48fe0397bcf3a7cd451
Taille du téléchargement : 3.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 0.1 Go (additional 8 Mo to run the test suite)
Estimation du temps de construction : 1.1 SBU (ajouter 1.1 SBU pour lancer la suite de tests)
libdvdread-5.0.2, libdvdnav-5.0.3, et SoundTouch-1.8.0
bluez-5.28, cURL-7.40.0, FAAC-1.28, FAAD2-2.7, GnuTLS-3.3.12, GTK-Doc-1.21, gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8, libass-0.12.1 libexif-0.6.21, libgcrypt-1.6.2, libmpeg2-0.5.1, libvdpau-0.9, MesaLib-10.4.5, mpg123-1.22.0, neon-0.30.1, OpenJPEG-1.5.2 ou OpenJPEG-2.1.0, SDL-1.2.15, Valgrind-3.10.1, Xorg Libraries, Celt, Flite, Game Music Emu, GSM, libdca, libmimic, libmms, libofa, MJPEG Tools, OpenAL, ORC, RTMPDUMP, Schroedinger, VO AAC, VO AMRWB, Wayland et ZBAR.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gst10-plugins-bad
Si vous voulez un greffon pour une dépendance donnée, cette dépendance doit être installée avant cette application.
Si vous avez installé OpenJPEG-2.1.0 et souhaitez l'utiliser avec GStreamer Bad Plug-ins, appliquez le correctif suivant:
patch -Np1 -i ../gst-plugins-bad-1.4.5-openjpeg21-1.patch
Installez GStreamer Bad Plug-ins en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-package-name="GStreamer Bad Plugins 1.4.5 BLFS" \ --with-package-origin="http://www.linuxfromscratch.org/blfs/view/svn/" && make
Pour tester le résultat, tapez : make -k check. Un test (camerabin) deùande un matériel avec une cam. Une paire de tests demandent un émulateur de terminal dans une sessions graphique.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-23 01:09:51 +010
GStreamer Ugly Plug-ins est un ensemble de greffons considéré par les développeurs de GStreamer comme étant de bonne qualité et fonctionnant correctement, mais leur distribution peut poser problèmes. La licence des greffons ou des bibliothèques supportés peut ne pas être comme les développeurs de GStreamer voudraient. Le code peut être connu pour présenter des problèmes de droits.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Les séries de GStreamer 1.0 ne sont pas compatible au niveau de l'API ou au niveau de l'ABI avec les séries 0.10 de GStreamer et les deux ne peuvent être installé sur le même système.
Téléchargement (HTTP) : http://gstreamer.freedesktop.org/src/gst-plugins-ugly/gst-plugins-ugly-1.4.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6954beed7bb9a93e426dee543ff46393
Taille du téléchargement : 827 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
LAME-3.99.5, libdvdread-5.0.2, et x264-20141208-2245
liba52-0.7.4, libmad-0.15.1b, libmpeg2-0.5.1, libcdio, libsidplay, OpenCore AMR, ORC, et TwoLame
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gst10-plugins-ugly
Si vous voulez un greffon pour une dépendance donnée, cette dépendance doit être installée avant cette application.
Installez GStreamer Ugly Plug-ins en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-package-name="GStreamer Ugly Plugins 1.4.5 BLFS" \ --with-package-origin="http://www.linuxfromscratch.org/blfs/view/svn/" && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-23 01:09:51 +010
The GStreamer Libav package contains GStreamer plugins for Libav (a fork of FFmpeg).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://gstreamer.freedesktop.org/src/gst-libav/gst-libav-1.4.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f4922a46adbcbe7bd01331ff5dc7979d
Taille du téléchargement : 5.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 0.4 Go (adittional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 2.4 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gst10-libav
Installez GStreamer Libav en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --with-package-name="GStreamer Libav Plugins 1.4.5 BLFS" \ --with-package-origin="http://www.linuxfromscratch.org/blfs/view/svn/" && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-libav-extra-configure="--disable-yasm"
:
Utilisez ce paramètre si vous n'avez pas installé
yasm.
Last updated on : 2013-04-27 20:04:22 +020
le paquet IcedTea-Sound contient le fournisseur de PulseAudio-5.0 qui a été enlevé de IcedTea lui-même depuis la version 2.5.0. Plusieurs fournisseurs pourront être inclu dans le futur.
A cause des capacités de pulseaudio en temps réel, le fourniseur de pulseaudio est connu pour fournir un son plus doux que le fournisseur par défaut alsa.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://icedtea.classpath.org/download/source/icedtea-sound-1.0.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e4d8013735ae517c015327924dabf3ed
Taille du téléchargement : 1.44 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 4.4 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
OpenJDK-1.8.0.31 ou java-1.8.0.31 (rappelez vous de le configurer comme décrit dans la page OpenJDK-1.8.0.31 ), et PulseAudio-5.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/icedtea-sound
Installez IcedTea-Sound en lancant les commandes suivantes
./configure --with-jdk-home=${JAVA_HOME} --disable-docs && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests fonctionnelle
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
case $(uname -m) in i?86 ) ARCH=i386 ;; x86_64 ) ARCH=amd64 ;; esac && install icedtea-sound.jar ${JAVA_HOME}/jre/lib/ext && install build/native/libicedtea-sound.so ${JAVA_HOME}/jre/lib/$ARCH && unset ARCH
--with-jdk-home=...
:
Ce paramètre spécifie la localisation de votre JDK.
--disable-docs
:
Désactive la construction de la documentation.
L'installation par défaut de OpenJDK utilise le
fournisseur ALSA. Vous devez spécifier le fournisseur
PulseAudio dans fichier sound.properties
en tant qu'utilisateur
root
:
cat >> ${JAVA_HOME}/jre/lib/sound.properties << "EOF"
# Begin PulseAudio provider additions:
javax.sound.sampled.Clip=org.classpath.icedtea.pulseaudio.PulseAudioClip
javax.sound.sampled.SourceDataLine=org.classpath.icedtea.pulseaudio.PulseAudioSourceDataLine
javax.sound.sampled.TargetDataLine=org.classpath.icedtea.pulseaudio.PulseAudioTargetDataLine
# End PulseAudio provider additions
EOF
Last updated on 2014-09-01 18:09:45 +0200
liba52 est une bibliothèque libre pour décoder des flux ATSC A/52 (connus aussi en tant que AC-3). Le standard A/52 est utilisé dans diverses applications, y compris la télévision et le DVD numériques.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://liba52.sourceforge.net/files/a52dec-0.7.4.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : caa9f5bc44232dc8aeea773fea56be80
Taille du téléchargement : 236 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.5 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/liba52
Installez liba52 en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --mandir=/usr/share/man \ --enable-shared \ --disable-static \ CFLAGS="-g -O2 $([ $(uname -m) = x86_64 ] && echo -fPIC)" && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && cp liba52/a52_internal.h /usr/include/a52dec && install -v -m644 -D doc/liba52.txt \ /usr/share/doc/liba52-0.7.4/liba52.txt
CFLAGS="-g -O2
...
: Ceci règle CFLAGS sur -g -O2 (ce qui
est le cas par défaut) mais, sur les x86_64, ajoute-fPIC.
C'est nécessaire pour compiler liba52 sur x86_64.
--disable-static
: Cette
option arrête l'installation de la version statique de la
bibliothèque.
cp liba52/a52_internal.h ... : La copie de ce fichier d'en-tête dans /usr/include/a52dec permet à d'autres programmes (tels que xine-lib) de compiler et de se lier à une liba52 installée sur le système.
Last updated on : 2012-03-06 17:54:55 +010
Le paquet libao contient une bibliothèque audio à plate-forme croisée. C'est utile pour la sortie audio sur une large diversité de plate-formes. Elle supporte actuellement les fichiers WAV, OSS (Open Sound System), ESD (Enlighten Sound Daemon), ALSA (Advanced Linux Sound Architecture), NAS (Network Audio system), aRTS (analog Real-Time Synthesizer et PulseAudio (architecture de son GNOME future génération).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.xiph.org/releases/ao/libao-1.2.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9f5dd20d7e95fd0dd72df5353829f097
Taille du téléchargement : 456 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.9 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
X Window System, ALSA-1.0.28, et PulseAudio-5.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libao
Installez libao en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 README /usr/share/doc/libao-1.2.0
Last updated on : 2012-03-26 04:34:52 +020
libass est un moteur de rendu portable de sous-titre pour le format de sous-titre ASS/SSA (Advanced Substation Alpha/Substation Alpha) qui permet plus de sous-titre avancé que les formats SRT et similaires.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://github.com/libass/libass/releases/download/0.12.1/libass-0.12.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : dfdcd8b4fbb6a8211db8040b10aa2070
Taille du téléchargement : 308 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.7 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
FreeType-2.5.5 et FriBidi-0.19.6
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Libass
Installez libass en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--disable-fontconfig
: Utilisez
ce paramètre si vous n'avez pas installé Fontconfig.
Last updated on 2013-10-08 17:10:19 +0200
libcanberra is an implementation of the XDG Sound Theme et Name Specifications, for generating event sounds on free desktops, such as GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://0pointer.de/lennart/projects/libcanberra/libcanberra-0.30.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 34cb7e4430afaf6f447c4ebdb9b42072
Taille du téléchargement : 312 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 7.5 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
ALSA-Library-1.0.28, GStreamer-1.4.5 et GTK+-3.14.8
gtk+-2.24.26, GTK-Doc-1.21, PulseAudio-5.0 et tdb
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libcanberra
Installez libcanberra en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-oss && make
This package does not come with a test suite.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make docdir=/usr/share/doc/libcanberra-0.30 install
--enable-gtk-doc
: Utilisez
ce paramètre si GTK-Doc est
installé et si vous souhaitez reconstruire et installer la
documentation de l'API.
Last updated on 2014-07-23 13:21:55 +0200
Le paquet libdiscid contient une bibliothèque pour créer des IDs de disque MusicBrainz à partir de CDs audio. Elle lit la table des matières d'un CD (la TOC) et génère un identifiant qu'on peut utiliser pour chercher le CD sur MusicBrainz (http://musicbrainz.org). En outre, il fournit une adresse d'envoi pour ajouter l'identifiant de disque à la base de données.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.musicbrainz.org/pub/musicbrainz/libdiscid/libdiscid-0.6.1.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.musicbrainz.org/pub/musicbrainz/libdiscid/libdiscid-0.6.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 98c4b281780707e6b446cc526a825e7a
Taille du téléchargement : 358 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.7 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libdiscid
Installez libdiscid en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-03 15:53:30 +010
libdvdcss est une bibliothèque simple conçue pour accéder à des DVDs en tant que bloc de périphérique sans devoir s'embêter avec le déchiffrement.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.videolan.org/libdvdcss/1.3.0/libdvdcss-1.3.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7f0fdb3ff91d638f5e45ed7536f7eb67
Taille du téléchargement : 348 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.6 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libdvdcss
Installez libdvdcss en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/libdvdcss-1.3.0 && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-16 13:11:58 +010
libdvdread est une bibliothèque qui offre une fondation simple pour lire des DVDs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.videolan.org/videolan/libdvdread/5.0.2/libdvdread-5.0.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3f53306d459265b3710585670f27ab0e
Taille du téléchargement : 384 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.9 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libdvdread
Installez libdvdread en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/libdvdread-5.0.2 && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-12-19 20:57:20 +010
libdvdnav est une bibliothèque permettant d'utiliser facilement des fonctions sophistiquées de navigation dans un DVD tels que les menus du DVD, la lecture multiangles, et même les jeux DVDs interactifs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.videolan.org/videolan/libdvdnav/5.0.3/libdvdnav-5.0.3.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d8d6c01a8273d842965bd907ebddcc5d
Taille du téléchargement : 364 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.9 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libdvdnav
Installez libdvdnav en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/libdvdnav-5.0.3 && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-12-19 20:57:20 +010
Le codec DV Quasar (libdv) est un codec logiciel pour les vidéos DV, le format d'encodage utilisé par la plupart des caméscopes numériques. On peut l'utiliser pour copier des vidéos à partir d'un caméscope numérique connecté en firewire (IEEE 1394).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/libdv/libdv-1.0.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f895162161cfa4bb4a94c070a7caa6c7
Taille du téléchargement : 574 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.0 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
popt-1.16, SDL-1.2.15, et X Window System
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libdv
Installez libdv en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-xv \ --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/libdv-1.0.0 && install -v -m644 README* /usr/share/doc/libdv-1.0.0
--disable-xv
> : Ce
paramètre est requis si an X Window
System n'est pas installé. Il empêche configure de tester la
présence de libXv
, qui n'est
utilisé que pour le programme obsolète playdv que vous ne pourrez
pas construire avec les en-têtes actuelles de linux, et qui nécessiterait d'autres
dépendances obsolètes.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des bibliothèques statiques.
Last updated on : 2013-03-28 01:12:39 +010
libmad est un décodeur audio MPEG de grande qualité capable de produire du 24 bits.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/mad/libmad-0.15.1b.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.mars.org/pub/mpeg/libmad-0.15.1b.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1be543bc30c56fb6bea1d7bf6a64e66c
Taille du téléchargement : 491 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4.2 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libmad
Installez libmad en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../libmad-0.15.1b-fixes-1.patch && sed "s@AM_CONFIG_HEADER@AC_CONFIG_HEADERS@g" -i configure.ac && touch NEWS AUTHORS ChangeLog && autoreconf -fi && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Certains paquets vérifient le fichier pkg-config pour libmad. Ce fichier est nécessaire en particulier pour que Cdrdao puisse reconnaître le libmad installé.
En tant qu'utilisateur root
:
cat > /usr/lib/pkgconfig/mad.pc << "EOF"
prefix=/usr
exec_prefix=${prefix}
libdir=${exec_prefix}/lib
includedir=${prefix}/include
Name: mad
Description: MPEG audio decoder
Requires:
Version: 0.15.1b
Libs: -L${libdir} -lmad
Cflags: -I${includedir}
EOF
touch NEWS AUTHORS ChangeLog: Empêche autoreconf de retourner une erreur.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2012-01-24 04:05:41 +0100
Le paquet libmpeg2 contient une bibliothèque pour décoder des flux vidço MPEG-2 et MPEG-1. La bibliothèque est capable de décoder tous les flux MPEG respectant certaines restrictions : « paramètres forcés » pour MPEG-1, et « profil principal » pour MPEG-2. C'est utile pour des programmes et des applications ayant besoin de décoder des flux vidéo MPEG-2 et MPEG-1.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://libmpeg2.sourceforge.net/files/libmpeg2-0.5.1.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://mirror.ovh.net/gentoo-distfiles/distfiles/libmpeg2-0.5.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 0f92c7454e58379b4a5a378485bbd8ef
Taille du téléchargement : 513 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libmpeg2
Installez libmpeg2 en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's/static const/static/' libmpeg2/idct_mmx.c && ./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check. Pour effectuer
un test de régression plus complet, voir le fichier
test/README
dans l'arborescence
des sources.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/mpeg2dec-0.5.1 && install -v -m644 README doc/libmpeg2.txt \ /usr/share/doc/mpeg2dec-0.5.1
sed -i ... : Ce sed corrige des problemes avec compilateurs GCC actuels.
Last updated on : 2013-01-15 05:51:28 +010
Le paquet libmusicbrainz contient une bibliothèque qui vous permet d'accéder aux données contenues sur un serveur MusicBrainz. C'est utile pour ajouter des possibilités de recherche de MusicBrainz à d'autres applications.
MusicBrainz est une méta-base de données musicale communautaire essayant de créer un site d'informations de musique cohérent. Vous pouvez utiliser les données de MusicBrainz soit en naviguant sur le site Internet, soit à partir d'un programme client — par exemple un programme lecteur de CDs peut utiliser MusicBrainz pour identifier un CD et fournir des informations sur le CD, l'artiste ou d'autres informations liées.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.musicbrainz.org/pub/musicbrainz/historical/libmusicbrainz-2.1.5.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.musicbrainz.org/pub/musicbrainz/historical/libmusicbrainz-2.1.5.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d5e19bb77edd6ea798ce206bd05ccc5f
Taille du téléchargement : 524 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 12 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libmusicbrainz
Installez libmusicbrainz en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../libmusicbrainz-2.1.5-missing-includes-1.patch && ./configure --prefix=/usr && make
Si Python est installé, construisez les bindings avec les commandes suivantes :
(cd python && python setup.py build)
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests autonome (pour tester, vous devez avoir installé Python et effectuer le test après avoir installé le paquet).
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 -D docs/mb_howto.txt \ /usr/share/doc/libmusicbrainz-2.1.5/mb_howto.txt
Pour tester les bindings Python, lancez ce qui suit : (cd python && python setup.py test).
Si vous avez construit les bindings Python, lancez les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
pour les installer :
(cd python && python setup.py install)
Last updated on : 2012-05-11 04:55:28 +020
Le paquet libmusicbrainz contient une bibliothèque qui vous permet d'accéder aux données que contient le serveur MusicBrainz.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://github.com/metabrainz/libmusicbrainz/releases/download/release-5.1.0/libmusicbrainz-5.1.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4cc5556aa40ff7ab8f8cb83965535bc3
Taille du téléchargement : 76 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.6 Mo (additional 4.4 Mo for the API documentaion)
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
cmake-3.1.3 libxml2-2.9.2 et neon-0.30.1
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libmusicbrainz5
Installez libmusicbrainz en lançant les commandes suivantes : commands:
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr .. && make
Si vous avez installé Doxygen-1.8.9.1, facultativement construisez la documentation de l'API:
doxygen ../Doxyfile
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez construit la documentation de l'API, installez
en tant qu'utilisateur root
:
rm -rf /usr/share/doc/libmusicbrainz-5.1.0 && cp -vr docs/ /usr/share/doc/libmusicbrainz-5.1.0
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Le paquet libogg contient la structure de fichier Ogg. C'est utile pour créer (encoder) ou lire (décoder) un flux d'un seul bit physique.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.xiph.org/releases/ogg/libogg-1.3.2.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://downloads.xiph.org/pub/xiph/releases/ogg/libogg-1.3.2.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 5c3a34309d8b98640827e5d0991a4015
Taille du téléchargement : 400 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 4 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libogg
Installez libogg en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --docdir=/usr/share/doc/libogg-1.3.2 --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2012-01-24 04:05:41 +0100
Le paquet libquicktime
contient la bibliothèque libquicktime
, divers plugins et codecs,
ainsi que des outils graphiques et en ligne de commande
utilisés pour encoder et décoder des fichiers Quicktime.
C'est utile pour lire et écrire des fichiers au format
Quicktime. Le but du projet est d'améliorer, tout en restant
compatible, la bibliothèque Quicktime 4 Linux.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/libquicktime/libquicktime-1.2.4.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 81cfcebad9b7ee7e7cfbefc861d6d61b
Taille du téléchargement : 1.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 20 Mo
Estimation du temps de construction : 0.7 SBU (en incluant la construction de tous les modules de codec)
ALSA-Library-1.0.28, Doxygen-1.8.9.1, FAAC-1.28, FAAD2-2.7, FFmpeg-2.5.4, gtk+-2.24.26, LAME-3.99.5, libdv-1.0.0, libjpeg-turbo-1.4.0, libpng-1.6.16, libvorbis-1.3.4, Schroedinger, x264-20141208-2245, et Xorg Libraries
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libquicktime
Installez libquicktime en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../libquicktime-1.2.4-ffmpeg2-1.patch && ./configure --prefix=/usr \ --enable-gpl \ --without-doxygen \ --docdir=/usr/share/doc/libquicktime-1.2.4 make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/libquicktime-1.2.4 && install -v -m644 README doc/{*.txt,*.html,mainpage.incl} \ /usr/share/doc/libquicktime-1.2.4
--enable-gpl
:
Modification de la licence en GPL. Cela active quelques
greffons supplémentaires comme FAAC, FAAD2, et x264.
--without-doxygen
:nbsp;:
C'est nécessaire si vous n'avez pas Doxygen, ne pas en tenir compte s'il est
installé.
--with-libdv
: Construire
avec le support libdv. Désactivé par défaut.
est une interface graphique pour examiner et configurer les codecs audio et vidéo libquicktime disponibles. |
|
est un simple lecteur vidéo Quicktime pour X Window System. |
|
est un programme en ligne de commande utilisé pour encoder des fichiers vidéo et/ou audio d'un format à l'autre. |
|
peut prendre des animations contenant des cadres rgb et les écrire sous la forme d'images ppm. |
|
concatène des cadres en entrée dans des animations Quicktime. |
|
est utilisé pour écrire une animation encodée en YUV4 sous forme de fichier planar YUV 4:2:0. |
|
est une bibliothèque pour lire et écrire des fichiers Quicktime. Elle offre un accès pratique aux fichiers Quicktime avec une grande variété de codecs supportés. La bibliothèque contient de nouvelles fonctions intégrées à toutes les fonctions de la bibliothèque Linux Quicktime 4 d'origine utilisées pour encoder et décoder des fichiers Quicktime. |
Last updated on : 2012-06-30 15:20:50 +020
libsamplerate est un convertisseur de taux d'échantillonnage pour l'audio.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.mega-nerd.com/SRC/libsamplerate-0.1.8.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1c7fb25191b4e6e3628d198a66a84f47
Taille du téléchargement : 4.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 23 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
libsndfile-1.0.25, et libfftw3 (for tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libsamplerate
Installez libsamplerate en lançant la commande suivante :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make htmldocdir=/usr/share/doc/libsamplerate-0.1.8 install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-05-06 19:15:18 +020
libsndfile est une bibliothèque de routines pour lire et écrire des fichiers contenant des données sonores échantillonnées.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.mega-nerd.com/libsndfile/files/libsndfile-1.0.25.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e2b7bb637e01022c7d20f95f9c3990a2
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 19 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
ALSA-Library-1.0.28, FLAC-1.3.1, libogg-1.3.2, libvorbis-1.3.4, et SQLite-3.8.8.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libsndfile
Installez libsndfile en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make htmldocdir=/usr/share/doc/libsndfile-1.0.25 install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
compare deux fichiers sons. |
|
concatène deux ou plusieurs fichiers sons. |
|
convertit un fichier son d'un format à l'autre. |
|
divise un fichier multicanaux en plusieurs petits fichiers. |
|
affiche des informations sur un fichier son. |
|
convertit des fichiers en un fichier multicanaux. |
|
extrait des métadonnées d'un fichier son. |
|
règle des paramètres dans un fichier son. |
|
lit un fichier son. |
|
contient les fonctions de l'API de libsndfile. |
Last updated on : 2012-06-27 16:52:00 +020
libtheora est une implémentation de référence du format de compression vidéo Theora qui est développé par la Fondation Xiph.Org.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.xiph.org/releases/theora/libtheora-1.1.1.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9eeabf1ad65b7f41533854a59f7a716d
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 13.4 Mo (without static libs or API docs and without installing the examples)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
SDL-1.2.15 et libpng-1.6.16 (les deux pour construire les lecteurs exemple), Doxygen-1.8.9.1, texlive-20140525 (ou install-tl-unx), BibTex et Transfig (ces quatre servent à construire la documentation de l'API) et Valgrind-3.10.1,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Libtheora
Installez libtheora en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's/png_\(sizeof\)/\1/g' examples/png2theora.c && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Si vous souhaitez exécuter tests, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous souhaitez vous avez construit les exemples et si vous
souhaitez les installer (pour pouvoir bidouiller du
theora
), installez les en tant
qu'utilisateur root
:
cd examples/.libs && for E in *; do install -v -m755 $E /usr/bin/theora_${E} done
sed -i 's/png_(sizeof)/1/g' examples/png2theora.c: Ce sed corrige la construction avec libpng 1.6.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet libvorbis contient un format d'encodage de musique et de son généraliste. C'est utile pour créer (encoder) et lire (décoder) du son dans un format libre (sans licence).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.xiph.org/releases/vorbis/libvorbis-1.3.4.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 55f2288055e44754275a17c9a2497391
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 15 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
à la fois Doxygen-1.8.9.1, et texlive-20140525 (ou install-tl-unx) (specifiquement, pdflatex et htlatex) pour construire la documentation PDF
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Libvorbis
Installez libvorbis en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 doc/Vorbis* /usr/share/doc/libvorbis-1.3.4
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-docs
: Ce paramètre
active la construction de la documentation dans des formats
autre que celle en HTML fournie.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Ce paquet, du projet WebM, fournit l'implementation de référence du codec vp8, utilisé dans la plupart des vidéos html5 actuelles et le codec VP9 de prochaine génération.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/other/libvpx-v1.3.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 528cb52934d9a731dfc0a2853b1e260d
Taille du téléchargement : 1.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 32 Mo (without the documentation)
Estimation du temps de construction : 0.8 SBU
L'archive libvpx n'est plus générée par les mainteneurs depuis longtemps. Pour construire depuis les sources, les développeurs de libvpx recommandent d'utiliser le git actuel. L'archive des sources montré avant a été crée par l'équipe BLFS depuis la version git, et en supprimant les .git, .gitattributes et .gitignore. BLFS n'a fait aucune modification dans les fichiers sources existants.
yasm-1.3.0 (la compilation avec NASM-2.11.06 est actuellement cassée) et which-2.20 (pour que configure puisse trouver yasm)
Doxygen-1.8.9.1 et PHP-5.6.6 (pour construire la documentation).
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libvpx
Installez libvpx en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's/cp -p/cp/' build/make/Makefile && chmod -v 644 vpx/*.h && mkdir ../libvpx-build && cd ../libvpx-build && ../libvpx-v1.3.0/configure --prefix=/usr \ --enable-shared \ --disable-static && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed ... && chmod ...: Ces commandes corrigent l'appartenance et les permissions des fichiers installés.
mkdir ../libvpx-build && cd ../libvpx-build : Les developpeurs de libvpx recommandent une construction dans un répertoire de construction dédié.
--disable-vp8
: Ce paramètre
empêche la construction du support du codec VP8.
--disable-vp9
: Ce paramètre
empêche la construction du support du codec VP9.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche la construction des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-06-28 19:22:09 +020
Le paquet opal contient une bibliothèque de classe C++ pour normaliser les nombreux protocoles de téléphonie dans un modèle d'appel unique intégré.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/opal/3.10/opal-3.10.10.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnome.org/pub/gnome/sources/opal/3.10/opal-3.10.10.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6efa1b4c5e0ad6460019b4c6df0898d7
Taille du téléchargement : 5.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 305 Mo
Estimation du temps de construction : 2.0 SBU
Celt, FFmpeg-2.5.4, GSM, ISDN4Linux, libtheora-1.1.1, OpenJDK-1.8.0.31, Ruby-2.2.0, Spandsp, Speex-1.2rc2 et x264-20141208-2245
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/opal
Installez opal en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../opal-3.10.10-ffmpeg2-1.patch && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && chmod -v 644 /usr/lib/libopal_s.a
Last updated on : 2012-10-29 16:26:47 +010
Opus est un format de compression audio sans perte développé par le "Internet Engineering Task Force" (IETF) qui est particulièrement performant pour la parole et les transmissions audio à travers Internet. Ce paquet fournit la bibliothèque de développement d'Opus et les entêtes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.xiph.org/releases/opus/opus-1.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c5a8cf7c0b066759542bc4ca46817ac6
Taille du téléchargement : 831 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 16 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU (additional 0.5 SBU for tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Opus
Installez Opus en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester le résultat, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2013-10-08 17:24:27 +0200
Le paquet PulseAudio est un système de son pour les systèmes d'exploitation POSIX, ce qui veut dire que c'est un proxy pour vos applications de son. Il vous permet de faire des tâches avancées sur vos données sonores en s'infiltrant entre votre application et votre matériel. Transférer le son sur une autre machine, modifier le format d'échantillonnage ou le nombre de canaux et mixer plusieurs sons en un sont des tâches faciles avec un serveur de son.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://freedesktop.org/software/pulseaudio/releases/pulseaudio-5.0.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c43749838612f4860465e83ed62ca38e
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 82 Mo
Estimation du temps de construction : 1.0 SBU
, JSON-C-0.12 et libsndfile-1.0.25
ALSA-Library-1.0.28, D-BUS-1.8.16, GLib-2.42.1, libcap-2.24 avec PAM, OpenSSL-1.0.2, Speex-1.2rc2 et Xorg Libraries
avahi-0.6.31, bluez-5.28 (exécution), check-0.9.14, ConsoleKit-0.4.6 (exécution), GConf-3.2.6, GTK+-3.14.8, libsamplerate-5.0.2, SBC-1.3 (support Bluetooth), Valgrind-3.10.1, FFTW, JACK, libasyncns, LIRC, ORC, TDB, WebRTC AudioProcessing and XEN
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pulseaudio
Installez PulseAudio en lançant les commandes suivantes :
find . -name "Makefile.in" | xargs sed -i "s|(libdir)/@PACKAGE@|(libdir)/pulse|" && ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --disable-bluez4 \ --disable-rpath \ --with-module-dir=/usr/lib/pulse/modules && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
En restant avec l'utilisateur root
, effacez le fichier de configuration
de D-Bus afin d'éviter la
création d'utilisateurs et de groups inutiles.
rm /etc/dbus-1/system.d/pulseaudio-system.conf
find . -name Makefile.in
... : Cette commande modifie le système
de construction pour installer les bibliothèques privées de
PulseAudio dans /usr/lib/pulse
au lieu de /usr/lib/pulseaudio
.
--disable-bluez4
: Ce
paramètre désactive le support pour BlueZ en faveur de BlueZ version 5 depuis que la dernière
version installe également la bibliothèque de compatibilité
pour les versions précédentes.
--disable-rpath
: Ce
paramètre empêche l'éditeur de lien d'ajouter des chemins
d'exécution codé en dur dans les programmes et bibliothèques
installés.
--with-module-dir=/usr/lib/pulseaudio/modules
:
Ce paramètre garantit que les modules de PulseAudio s'installent dans
/usr/lib/pulse/modules
au lieu
de /usr/lib/pulse-5.0/modules
.
Il y a les fichiers système principaux pour la
configuration : /etc/pulse/daemon.conf
, /etc/pulse/client.conf
, /etc/pulse/default.pa
, et les fichiers de
configuration avec le même nom dans ~/.config/pulse
. Les fichiers de
configuration prennent l'avantage sur ceux du système.
Les fichiers de configuration permettent d'initialiser une
installation fonctionnelle, à l'exception de la référence à
Console-Kit que vous devez supprimer s'il n'est pas
installé. Par exemple, tapez la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
sed '/load-module module-console-kit/s/^/#/' \ -i /etc/pulse/default.pa
Vous pouvez également configurer le système audio. Vous devez démarrer pulseaudio en ligne de commande en utilisant. pulseaudio -C. Vous pouvez ensuite afficher différentes informations et changer quelques réglages. Voir man pulse-cli-syntax.
est un script enveloppe ESD PulseAudio. |
|
Lit ou enregistre des flux audio purs ou encodés sur un serveur de son PulseAudio. |
|
est un outil pour reconfigurer un serveur de son PulseAudio en cours d'exécution. |
|
contrôleun serveur de son PulseAudio en fonction. |
|
est une enveloppe OSS PulseAudio. |
|
est un lien symbolique vers pacat. |
|
lit des fichiers sons sur le serveur de son PulseAudio. |
|
est un lien symbolique vers pacat. |
|
est un lien symbolique vers pacat. |
|
est un outil utilisé pour dire à un serveur de son PulseAudio local de suspendre temporairement l'accès aux périphériques sons, afin que d'autres applications puissent y accéder directement. |
|
est un outil d'autorisations de PulseAudio pour X11. |
|
est un serveur pour du son en réseau à faible latence sous Linux. |
|
Démarre PulseAudio et charge module-device-manager pour utiliser les rêgles de routage KDE. |
|
Démarre PulseAudio et l'enregistre dans le gestionnaire de session X11. |
Last updated on : 2013-01-05 21:01:59 +010
SBC est un décodeur et encodeur pour l'audio numérique utilisé pour transférer des données sur les périphériques de sortie Bluetooth comme les casques ou les enceintes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.kernel.org/pub/linux/bluetooth/sbc-1.3.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://www.kernel.org/pub/linux/bluetooth/sbc-1.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2d8b7841f2c11ab287718d562f2b981c
Taille du téléchargement : 244 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.8 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sbc
Installez SBC en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --disable-static --disable-tester && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-tester
cela désactive
le testeur SBC. Supprimez le si vous avez installé le paquet
facultatif libsndfile.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on 2013-01-05 21:01:59 +0100
La Simple DirectMedia Layer (simple couche DirectMedia ou, en bref, SDL) est une bibliothèque pour plate-forme croisée conçue pour faciliter l'écriture de logiciels multimédias tels que des jeux et des émulateurs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.libsdl.org/release/SDL-1.2.15.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9d96df8417572a2afb781a7c4c811a85
Taille du téléchargement : 3.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 40 Mo
Estimation du temps de construction : 0.6 SBU
ALSA-1.0.28, PulseAudio-5.0, NASM-2.11.06, X Window System, GLU-9.0.0, AAlib-1.4rc5, Pth-2.0.7, DirectFB, GGI, SVGAlib-1.9.5 (corrigé), libcaca et PicoGUI
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sdl
Installez SDL en lançant les commandes suivantes :
sed -i '/_XData32/s:register long:register _Xconst long:' src/video/x11/SDL_x11sym.h && ./configure --prefix=/usr --disable-static --disable-sdl-dlopen && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/SDL-1.2.15/html && install -v -m644 docs/html/*.html \ /usr/share/doc/SDL-1.2.15/html
Si vous le souhaitez, testez l'installation de SDL en utilisant les programmes de test inclus. Il n'est pas nécessaire d'installer un des binaires qui s'en suit pour valider l'installation. Lancez les commandes suivantes pour construire les programmes de test :
cd test && ./configure && make
Vous devrez lancer à la main tous les programmes de test (ils
sont listés dans le fichier README
de ce répertoire). Beaucoup d'entre
eux devront être tués à la main et vous devrez passer vos
haut-parleurs dans un niveau de volume convenable.
sed -i ...: Cette commande corrige la compilation avec libX11-1.6.0
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--disable-sdl-dlopen
:
Ce paramètre désactive l'utilisation de dlopen pour le
chargement des objets partagés.
Comme avec la plupart des bibliothèques, il n'y a aucune
configuration à faire, sauf que le répertoire de la
bibliothèque, à savoir /opt/lib
ou /usr/local/lib
devrait apparaître dans
/etc/ld.so.conf
pour que
ldd puisse
trouver les bibliothèques partagées. Après avoir vérifié
que tel est le cas, vous devriez lancer /sbin/ldconfig, connecté
en tant qu'utilisateur root
.
détermine les drapeaux du compilateur et de
véditeur de liens qui devraient être utilisés pour
compiler et lier les programpes utilisant
|
|
bibliothèque qui fournit un accès bas niveau au matériel 3D audio, clavier, souris, manette via OpenGL et un tampon de cadre 2D sur plusieurs plate-formes. |
Last updated on : 2013-03-28 01:12:39 +010
Le paquet SoundTouch contient une bibliothèque open-source audio qui permet de changer les paramètres de tempo, pitch et taux de playback indépendemment les uns des autres.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7 mais n'a pas été testé.
Téléchargement (HTTP) : http://www.surina.net/soundtouch/soundtouch-1.8.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d02c6c91cb13901ca273a2b4b143ce41
Taille du téléchargement : 104 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6.1 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/soundtouch
Installez SoundTouch en lançant les commandes suivantes :
sed "s@AM_CONFIG_HEADER@AC_CONFIG_HEADERS@g" -i configure.ac && ./bootstrap && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make pkgdocdir=/usr/share/doc/soundtouch-1.8.0 install
sed "s@AM_CONFIG_HEADER@AC_CONFIG_HEADERS@g" -i configure.ac: Ce sed corrige quelques trucs avec Automake 1.13 et ultérieur.
Last updated on : 2012-10-01 07:54:32 +020
Speex est un format de compression audio conçu surtout pour la parole. Il est bien adapté aux applications internet et il offre des fonctionnalités utiles qui ne sont pas présentes dans la plupart des autres CODECs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.us.xiph.org/releases/speex/speex-1.2rc2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6ae7db3bab01e1d4b86bacfa8ca33e81
Taille du téléchargement : 1.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 8.7 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Téléchargement (HTTP): http://downloads.us.xiph.org/releases/speex/speexdsp-1.2rc3.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement: 70d9d31184f7eb761192fd1ef0b73333
Taille du téléchargement: 884 Ko
Estimation de l'espace disque requis: 5.1 Mo
Estimation du temps de construction: moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/speex
Ce paquet consiste en deux archives séparées. Elles doivent être extraites et construites indépendement.
Installez Speex en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/speex-1.2rc2 && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
En tant qu'utilisateur root
:
make install
Maintenant déballez et installez le paquet speexdsp:
cd .. && tar -xf speexdsp-1.2rc3.tar.gz && cd speexdsp-1.2rc3 && ./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --docdir=/usr/share/doc/speexdsp-1.2rc3 && make
De nouveau , en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2012-05-10 18:58:34 +020
Taglib est une bibliothèque utilisée pour lire, écrire et manipulet les tags des fichiers audio et est utilisé par des applications comme Amarok et VLC.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://github.com/taglib/taglib/releases/download/v1.9.1taglib-1.9.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 0d35df96822bbd564c5504cb3c2e4d86
Taille du téléchargement : 644 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 10 Mo
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/taglib
Installez Taglib en lançant les commandes suivantes
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-01-19 18:34:41 +010
v4l-utils fournit une série d'utilitaires pour les périphériques média, permettant de gérer les formats propriétaires disponible de la plupart des webcams (libv4l), et fournissant des outils pour tester les périphériques V4L.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.linuxtv.org/downloads/v4l-utils/v4l-utils-1.6.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9cb3c178f937954e65bf30920af433ef
Taille du téléchargement : 1.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 63 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
GLU-9.0.0, libjpeg-turbo-1.4.0, et MesaLib-10.4.5
ALSA-Library-1.0.28 et Qt-4.8.6 ou Qt-5.4.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/v4l-utils
Installez v4l-utils en lançant la suite
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
est un outil en ligne de commande pour les services TV numériques. |
|
est un outil pour la convertion de différents formats de fichiers. Il est compatible avec la version 5 de l'API de DVB. |
|
est un outil en ligne de commant pour scanner les fréquences pour les services TV numérique qui est compatible avec la version 5 de l'API DVB. |
|
est un outil en ligne de commande pour régler les services TV numérique qui est compatible avec la version 5 de l'API DVB. |
|
est un outil qui affiche les périphériques de télécommande, permettant d'obtenir/initialiser les tables IR keycode/scancode, tester les actions générées par IR, et d'ajuster les options du controleur de télécommande. |
|
est utilisé pour tester les périphériques d'enregistrement video4linux. |
Last updated on 2015-02-21 22:09:10 -0600
Le paquet x264 fournit une bibliothèque pour encoder les flux vidéo dans le format H.264/MPEG-4 AVC.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.videolan.org/pub/videolan/x264/snapshots/x264-snapshot-20141208-2245-stable.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f43e49099d7e8b572595429b9bfec636
Taille du téléchargement : 612 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 8.8 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/x264
Installez x264 en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --enable-shared \ --disable-cli && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-cli
: Ce
paramètre désactive la construction de l'encodage en ligne de
commande qui est redondant depuis que cela est requis par
FFmpeg pour la plupart des formats d'entrée.
--disable-asm
: Utilisez ce
paramètre si vous n'avez pas installé yasm.
Last updated on 2013-10-08 17:50:53 +0200
Le paquet xine Libraries contient les bibliothèques xine. Elles sont utiles pour être des interfaces avec des plugins externes qui gèrent un flux d'informations depuis la source vers le matériel audio et vidéo.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/xine/xine-lib-1.2.6.tar.xz
Téléchargement (FTP) : ftp://mirror.ovh.net/gentoo-distfiles/distfiles/xine-lib-1.2.6.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 02ee3c2380273989b4b016903209e05e
Taille du téléchargement : 4.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 121 Mo (additional 123 Mo to install API documentation)
Estimation du temps de construction : 1.4 SBU (additional 0.1 SBU to install API documentation)
X Window System, FFmpeg-2.5.4, et au moins un parmi : ALSA-1.0.28, PulseAudio-5.0 ou JACK
AAlib-1.4rc5, FAAD2-2.7, FLAC-1.3.1, gdk-pixbuf-2.31.2, GLU-9.0.0, ImageMagick-6.9.0-6, liba52-0.7.4, libmad-0.15.1b, libmng-2.0.2, libtheora-1.1.1, libva-1.5.0, libvdpau-0.9, libvorbis-1.3.4, libvpx-1.3.0, MesaLib-10.4.5, Samba-4.1.17, SDL-1.2.15, Speex-1.2rc2, Doxygen-1.8.9.1 (pour créer la documentation de l'API), v4l-utils-1.6.2 DirectFB, libbluray, libcaca, libdca, libFAME, libmodplug, musepack, VCDImager, et WavPack,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xine-lib
Installez xine Libraries en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --disable-vcd \ --with-external-dvdnav \ --docdir=/usr/share/doc/xine-lib-1.2.6 && make
Pour la création de la documentation de l'API, Doxygen doit être installé et tapez la commande suivante:
doxygen doc/Doxyfile
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Pendant l'installation, le Makefile fait quelques liens supplémentaires. Si vous n'avez pas installé Xorg dans /usr, la variable LIBRARY_PATH doit être définie pour l'utilisateur root. Si vous utilisez sudo pour être root, utilisez l'option -E pour passer vos variables d'environnement actuelles au processus d'installation.
Si vous construisez la documentation de l'API, tapez la
commande suivante en tant qu'utilisateur root
pour l'installer:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/xine-lib-1.2.6/api && install -v -m644 doc/api/* \ /usr/share/doc/xine-lib-1.2.6/api
--disable-vcd
:
Cette option est requise pour compiler Xine Lib sans avoir installé VCDImager. Supprimez
cette option si vous avez installé VCDImager.
--with-external-dvdnav
: Ce
paramètre est requis car les bibliothèques internes ne
peuvent pas décoder les DVD.
--docdir=/usr/share/xine-lib-1.2.6
:
Ce paramètre provoque l'installation de la documentation dans
un répertoire versioné plutôt que dans le /usr/share/doc/xine-lib
par défaut.
Last updated on : 2013-01-15 03:09:34 +010
XviD est un CODEC vidéo conforme au MPEG-4.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.xvid.org/downloads/xvidcore-1.3.3.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8ecddfe488cb3a82d792fc7efbf51d62
Taille du téléchargement : 800 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 8.1 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xvid
Cette archive de paquet se déballe dans xvidcore
, et non dans xvidcore-1.3.3
.
Installez XviD en lançant les commandes suivantes :
cd build/generic && sed -i 's/^LN_S=@LN_S@/& -f -v/' platform.inc.in && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
sed -i '/libdir.*STATIC_LIB/ s/^/#/' Makefile && make install && chmod -v 755 /usr/lib/libxvidcore.so.4.3 && install -v -m755 -d /usr/share/doc/xvidcore-1.3.3/examples && install -v -m644 ../../doc/* /usr/share/doc/xvidcore-1.3.3 && install -v -m644 ../../examples/* \ /usr/share/doc/xvidcore-1.3.3/examples
sed -i 's/^LN_S=@LN_S@/& -f -v/' platform.inc.in: Corrige les erreurs pendant make install si on réinstalle ou met à jour.
sed -i '/libdir.*STATIC_LIB/ s/^/#/' Makefile: Cette commande désactive l'installation des biblothèques statiques.
Last updated on : 2012-03-24 22:31:05 +010
Ce chapitre contient des programmes qui servent à la manipulation de fichiers audio ; c'est-à-dire à lire, enregistrer, encoder et faire d'autres choses habituelles que veulent faire les gens. Il inclut aussi un paquet utilisé pour faire parler du texte en utilisant le matériel audio de votre système. Pour utiliser la plupart de ces logiciels, vous devrez avoir installé les pilotes sons du noyau.
Le paquet mpg123 contient un lecteur MP3 basé sur la console. Il a pour objectif d'être le décodeur de MP3 le plus rapide pour Unix.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/mpg123/mpg123-1.22.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 33069bff83413824669c8ecb37e706d5
Taille du téléchargement : 836 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 13 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
OpenAL, PulseAudio-5.0, JACK, PortAudio, SDL-1.2.15
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mpg123
Installez mpg123 en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --with-module-suffix=.so && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--with-module-suffix=.so
: Ce
paramètre indique à mpg123 de charger les
modules avec une extension .so
qui est utile si vous ne voulez pas avoir des fichiers
.la
.
est utilisé pour lire des fichiers MP3 par la console. |
|
Outil pour extraire les méta-données ID3 des fichiers audio MPEG en utilisant libmpg123 |
|
Extrait seulement les trames MPEG d'un flux en utilisant libmpg123 (stdin vers stdout) |
|
joue de l'audio PCM sur un périphérique de sortie |
|
contient les fonctions API de Mpg123. |
Last updated on : 2013-03-03 15:53:30 +010
Le paquet Vorbis Tools contient des outils en ligne de commande utilisés pour encoder, jouer ou éditer des fichiers en utilisant le CODEC Ogg.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.xiph.org/releases/vorbis/vorbis-tools-1.4.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 567e0fb8d321b2cd7124f8208b8b90e6
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
cURL-7.40.0, FLAC-1.3.1, libkate, et Speex-1.2rc2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/vorbistools
Installez Vorbis Tools en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --enable-vcut \ --without-curl && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--enable-vcut
:
Ce paramètre est Utilisé pour que le programme vcut soit construit, vu
qu'il ne l'est pas par défaut.
--without-curl
:
Ce paramètre désactive le flux HTTP dans ogg123. Supprimez ce
paramètre si vous avez installé cURL.
est un lecteur audio en ligne de commande pour les flux Ogg Vorbis. |
|
est un décodeur simple qui convertit des fichiers Ogg Vorbis en fichiers audio PCM (WAV ou raw). |
|
est un encodeur qui change des fichiers raw, WAV ou AIFF en flux Ogg Vorbis. |
|
affiche des informations stockées dans un fichier audio. |
|
découpe un fichier en deux fichiers sur un point de découpage désigné. |
|
est un éditeur qui modifie des marqueurs de métadonnées d'informations du fichier audio. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet LAME contient un encodeur MP3 et, éventuellement, un analyseur de cadre MP3. C'est utile pour créer et analyser des fichiers audio compressés.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/lame/lame-3.99.5.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 84835b313d4a8b68f5349816d33e07ce
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 11 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
Dmalloc, Electric Fence, libsndfile-1.0.25 et NASM-2.11.06
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/lame
En premier, corrigez un problème de compilation introduit par gcc-4.9.0 sur les machines 32 bits:
case $(uname -m) in i?86) sed -i -e '/xmmintrin\.h/d' configure ;; esac
Installez LAME en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --enable-mp3rtp --disable-static && make
Pour tester les résultats, lancez : make test.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make pkghtmldir=/usr/share/doc/lame-3.99.5 install
sed -i -e '/xmmintrin\.h/d'
configure : avec gcc-4.9.0 et suivant, le
problème du compilateur sur les machines 32 bits à la
compilation de xmm_quantize_sub.c
. Le message d'erreur est
: error: inlining failed in call to
always_inline '_mm_loadu_ps'
. Ce sed fait apparaître
xmmintrin.h
s'il n'est pas
présent. Ne pas utiliser avec une autre version de gcc.
--enable-mp3rtp
: Ce
paramètre active la construction du programme d'encodage vers
RTP.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-nasm
:
Active l'utilisation de NASM-2.11.06 pour compiler des routines
d'assembleur optimisé.
Last updated on : 2012-08-01 01:44:40 +020
Le paquet CDParanoia
contient un outil d'extraction de CD autio. C'est utile pour
extraire des fichiers .wav
de
CDs audio. Un lecteur de CD-ROM ayant une fonction CDDA est
requis. En pratique, tous les pilotes supportés par Linux
peuvent être utilisés.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.xiph.org/releases/cdparanoia/cdparanoia-III-10.2.src.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b304bbe8ab63373924a744eac9ebc652
Taille du téléchargement : 179 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.9 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cdparanoia
Ce paquet ne supporte pas la construction parallèle.
Installez CDParanoia en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../cdparanoia-III-10.2-gcc_fixes-1.patch && ./configure --prefix=/usr --mandir=/usr/share/man && make -j1
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && chmod -v 755 /usr/lib/libcdda_*.so.0.10.2
Comme avec la plupart des bibliothèques, il n'y a aucune
configuration à faire, sauf que le répertoire de la
bibliothèque, à savoir /opt/lib
ou /usr/local/lib
devrait apparaître dans
/etc/ld.so.conf
pour que
ldd puisse
trouver les bibliothèques partagées. Après avoir vérifié
que tel est le cas, vous devriez lancer /sbin/ldconfig, connecté
en tant qu'utilisateur root
.
est utilisé pour 'encoder' un cd audio. L'encodage est le processus consistant à extraire de façon numérique de la musique d'un cd audio. |
|
contient les fonctions utilisées par cdparanoia, ainsi que par d'autres paquets, qui peuvent identifier automatiquement si un périphérique CD est compatible CDDA. |
|
contient des fonctions utilisées par cdparanoia ainsi que par d'autres paquets, qui offrent la vérification, la synchronisation, de données, la gestion d'erreur et la possibilité de reconstruction à partir de zéro. |
Last updated on : 2013-03-28 01:12:39 +010
Le paquet FreeTTS contient un système de synthèse vocale écrit entièrement en langage de programmation Java. Il se base sur Flite : un petit moteur de synthèse vocale en exécution développé là l'Université de Carnegie Mellon. Flite est dérivé du système de synthèse vocale Festival de l'Université d'Edinburgh et du projet FestVox de l'Université de Carnegie Mellon. Le paquet FreeTTS est utilisé pour convertir du texte en parole audible sur du matériel audio.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/freetts/freetts-1.2.2-src.zip
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 692b5ece251fed88539736e55af5f391
Taille du téléchargement : 13.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 92 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
Suite de tests : http://downloads.sourceforge.net/freetts/freetts-1.2.2-tst.zip
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4348c7db928612d4b6f6eb2fd621a949
Taille du téléchargement : 3.8 Mo
apache-ant-1.9.4 et sharutils-4.15
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/freetts
Le paquet FreeTTS est distribué au format ZIP et la commande unzip command va créer par défaut un répertoire source inhabituel. En outre, la décompression du fichier de la suite de tes!s posera des questions sur le remplacement de fichiers existant. Utilisez les commandes suivantes pour unzip les fichiers des sources :
unzip -q freetts-1.2.2-src.zip -x META-INF/* && unzip -q freetts-1.2.2-tst.zip -x META-INF/*
La commande sh jsapi.sh ci-dessous installe les composants de l'API vocal de Java dans l'arborescence du source de FreeTTS. Vous devrez regarder et accepter (en entrant un appui sur la touche y) un accord de licence avant que l'installation ne continue. Si vous scriptez (automatisez) la construction, vous devrez en tenir compte. Il y a des information abouts sur l'automatisation des commandes de construction dans la section Automated Building Procedures du chapitre 2. Vers la fin de cette section, sont données des informations spécifiques pour automatser ce type d'installation.
Installez FreeTTS en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's/value="src/value="./' build.xml && cd lib && sh jsapi.sh && cd .. && ant
Pour tester les résultats, lancez :
ant junit && cd tests && sh regression.sh && cd ..
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
install -v -m755 -d /opt/freetts-1.2.2/{lib,docs/{audio,images}} && install -v -m644 lib/*.jar /opt/freetts-1.2.2/lib && install -v -m644 *.txt RELEASE_NOTES docs/*.{pdf,html,txt,sx{w,d}} \ /opt/freetts-1.2.2/docs && install -v -m644 docs/audio/* /opt/freetts-1.2.2/docs/audio && install -v -m644 docs/images/* /opt/freetts-1.2.2/docs/images && cp -v -R javadoc /opt/freetts-1.2.2 && ln -v -s freetts-1.2.2 /opt/freetts
À titre facultatif, installez un ou tous les composants
FreeTTS supplémentaires en
utilisant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
(voir la section
d'explication des commandes pour des détails) :
cp -v -R bin /opt/freetts-1.2.2 && install -v -m644 speech.properties $JAVA_HOME/jre/lib && cp -v -R tools /opt/freetts-1.2.2 && cp -v -R mbrola /opt/freetts-1.2.2 && cp -v -R demo /opt/freetts-1.2.2
sed -i 's/value="src/value="./' build.xml: corrige une erreur dans le fichier de construction pour permettre au programme de trouver les sources.
sh jsapi.sh : Cette commande installe les composants Java Speech API dans l'arborescence des sources de FreeTTS.
ant>:nbsp;: FreeTTS utilise le système de construction Apache Ant à la place de GNU autotools. Ces commandes construit tout, même les bibliothèques de classe, les outils et les démos.
cp -v -R bin
...; install -v
-m644 speech.properties : Ces deux
commandes installent les programmes de démonstration. Copiez
éventuellement le fichier speech.properties
vers ~/speech.properties
si vous ne voulez pas
le rendre disponible pour tout le système.
cp -v -R tools
... : Ceci installe les outils
d'importation de données de voix. Voir les fichiers
README.html
dans les
sous-répertoires tools/
pour
des informations et des instructions sur l'utilisation des
outils.
cp -v -R mbrola
... : Ceci installe le fichier
mbrola.jar
, exigé si vous
utilisez les voix de MBROLA.
cp -v -R demo ... : Ceci installe les sources et la documentation des programmes de démonstration.
Pour des informations et de la documentation supplémentaires sur le projet FreeTTS, visitez la page Internet principale du projet sur http://freetts.sourceforge.net.
Testez l'installation en utilisant la commande suivante :
java -jar /opt/freetts/lib/freetts.jar \ -text "This is a test of the FreeTTS speech synthesis system"
Selon le paramétrage de votre pilote et de votre logiciel
son, il se peut que vous deviez ajouter l'option -streaming
à la commande comme indiqué
ci-dessous :
java -jar /opt/freetts/lib/freetts.jar -streaming \ -text "This is a test of the FreeTTS speech synthesis system"
Last updated on 2012-01-24 04:05:41 +0100
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Audacious est un lecteur audio basé sur Gtk+.
Téléchargement (HTTP) : http://distfiles.audacious-media-player.org/audacious-3.5.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8705fa8ac872e7d9f4b4ad867a0d1937
Taille du téléchargement : 440 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Greffons requis
Téléchargement (HTTP) : http://distfiles.audacious-media-player.org/audacious-plugins-3.5.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1ba5ef956eb7b4018ff6a9f2ea404354
Taille du téléchargement : 1.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis: 41 Mo
Estimation du temps de construction: 0.5 SBU
GTK+-3.14.8, libxml2-2.9.2 (greffons), Environnement de construction de Xorg (greffons), et X Window System (exécution)
Valgrind-3.10.1, PCRE-8.36 ou Oniguruma, and libguess
cURL-7.40.0, neon-0.30.1 (pour online mpg3 et radio ogg), LAME-3.99.5, FLAC-1.3.1, libvorbis-1.3.4, FAAD2-2.7, FFmpeg-2.5.4, SDL-1.2.15, mpg123-1.22.0, libnotify-0.7.6, PulseAudio-5.0, libsndfile-1.0.25, libsamplerate-5.0.2, LIRC, libcdio (les deux libcdio et libcdio-paranoia sont utilisées pour lire les CD), libcddb (pour identifier les CD), libmodplug, libmms, JACK (demande libsamplerate-5.0.2), FluidSynth, libcue, La bibliothèque Bauer stereophonic-to-binaural DSP (bs2b), libbinio (pour construire le greffon AdPlug), et WavPack
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/audacious
Installez Audacious en lançant les commandes suivantes (vous pouvez souhaiter changer le tampon par une autre chaîne) :
TPUT=/bin/true ./configure --prefix=/usr \ --with-buildstamp="BLFS" && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Ce paquet installe des fichiers d'icônes dans la hiérarchie
/usr/share/icons/hicolor
et
des fichiers du bureau dans la hiérarchie /usr/share/applications
. Vous pouvez
améliorer les performances du système et l'utilisation de
la mémoire en mettant à jour /usr/share/icons/hicolor/index.theme
et
/usr/share/applications/mimeinfo.cache
.
Pour réaliser la mise à jour vous devez avoir installé
gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8 (pour le cache
des icônes) et desktop-file-utils-0.22
(pour le cache du bureau) et apez la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
gtk-update-icon-cache && update-desktop-database
Installez le paquet exigé des plugins en déballant l'archive tar, en vous rendant dans le répertoire nouvellement créé et en lançant les commandes suivantes :
TPUT=/bin/true ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
TPUT=/bin/true
:
le réglage par défaut fait en sorte que make affiche le texte en
couleur. Ceci est parfait si vous construisez dans un
terminal, mais si vous scriptez le processus de construction
et si vous pipez la sortie de make vers un fichier
journal, les caractères de contrôle utilisés pour colorer le
texte peuvent rendre le fichier journal illisible. Cette
option désactive la coloration du texte.
--with-buildstamp
: Ce
paramètre ajoute le texte donné à la chaine de version.
--disable-mp3
: Utilisez cela pour
les plugins si vous n'avez pas installé mpg123 et ne
souhaitez pas lire des fichiers mp3.
--enable-valgrind
: Permet des
meilleures vérifications de Valgrind.
Si vous préférez l'ancienne interface Winamp/XMMS, plus petite, Cliquez sur View> (vues) Interface> Winamp Classic Interface (interface classique Winamp)
Last updated on : 2012-10-26 22:00:56 +020
Amarok est un puissant lecteur audio pour l'environnement KDE. Ses possibilités incluent un navigateur contextuel, une intégration avec beaucoup de services de musique en ligne et le support pour la gestion de plusieurs lecteurs de musique digital iPod d'Apple inclus.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/amarok/2.8.0/src/amarok-2.8.0.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/amarok/2.8.0/src/amarok-2.8.0.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 53cfcb4819668b10e13b061478c7b32a
Taille du téléchargement : 38.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 223 Mo
Estimation du temps de construction : 9.2 SBU
kdelibs-4.14.5, MariaDB-10.0.16 ou MySQL et taglib-1.9.1
cURL-7.40.0 (pour l'intégration de MP3tunes), libxml2-2.9.2 (pour l'intégration de MP3tunes), OpenSSL-1.0.2 (pour l'intégration de MP3tunes), QJson-0.8.1, nepomuk-core, Taglib-extras, Clamz (pour l'intégration de Amazon), libgpod (pour le support de iPod), liblastfm (fpour l'intégration de Last.fm), libmtp (pour le support des périphériques MTP), libmygpo-qt (pour le support des podcast gpodder.net), libofa (pour le support de MusicDNS), Loudmouth (for MP3tunes integration), qtscript-qt and Google Mock (for tests)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/amarok
Amarok dépend fortement de $KDE_PREFIX. Si une nouvelle version de KDE est installé dans un endroit différent (en installant kde dans un répertoire versionné de /opt), alors ce paquet devra être réinstallé.
Install amarok by running the following
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DKDE4_BUILD_TESTS=OFF \ -Wno-dev .. && make
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
-DKDE4_BUILD_TESTS=OFF
: Ce
paramètre désactive les tests intégrés. La suite de tests
demande Google Mock.
Last updated on : 2013-01-19 18:34:41 +010
Le paquet Pnmixer fournit un contrôle du volume léger avec une icône.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://github.com/downloads/nicklan/pnmixer/pnmixer-0.5.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 2288af95ab280721b39b7c33601d5dd4
Taille du téléchargement : 135 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 2.3 Mo
Estimation du temps de construction : less than 0.1 SBU
ALSA-Utilities-1.0.28 et gtk+-2.24.26
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/pnmixer
Installez Pnmixer en lançant la suite
./autogen.sh --prefix=/usr && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on 2013-10-09 20:31:26 +0200
Ce chapitre semble toujours être le préféré. C'est probablement car il est très satisfaisant de lire votre première vidéo quand vous avez passé beaucoup de temps pour en arriver là. Toutes ces bibliothèques, toutes les configurations et tout votre travail aboutira à regarder une vidéo. Ne vous inquiétez cependant pas, il y a toujours un CODEC supplémentaire à installer.
FFmpeg est une solution pour enregistrer et convertir un flux audio et vidéo. C'est un convertisseur audio et vidéo très rapide et il peut aussi acquérir à partir d'une source audio et vidéo en direct. Conçu pour être intuitif, l'interface en ligne de commande (ffmpeg) tente de couvrir tous les paramètres lorsque cela est possible. FFmpeg peut convertir aussi entre des vitesses d'échantillon et redimensionner des vidéos à la volée avec un filtre polyphases de haute qualité. FFmpeg peut utiliser une source vidéo compatible video4linux et n'importe quelle source audio Open Sound System.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://ffmpeg.org/releases/ffmpeg-2.5.4.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : af92a816b642d32134a764d2d7f55b75
Taille du téléchargement : 7.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 133 Mo (additional 856 Mo for docs and 2302 Mo to run the FATE suite)
Estimation du temps de construction : 1.2 SBU (using parallelism=4); additional 1 SBU for docs and 5.4 SBU to run the FATE suite, after sample files are downloaded
yasm-1.3.0, libass-0.12.1, fdk-aac-0.1.3, LAME-3.99.5, Opus-1.1, libtheora-1.1.1, libvorbis-1.3.4, libvpx-1.3.0, et x264-20141208-2245
X Window System, ALSA-Library-1.0.28, SDL-1.2.15, libva-1.5.0 et libvdpau-0.9 (avec les paquets des pilotes correspondants)
FAAC-1.28, FreeType-2.5.5, libwebp-0.4.2, OpenJPEG-1.5.2, PulseAudio-5.0, Speex-1.2rc2, XviD-1.3.3, OpenSSL-1.0.2, Fontconfig-2.11.1, Opus-1.1, v4l-utils-1.6.2, frei0r, HEVC/H.265, LADSPA, libssh, ZVBI, libaacplus, libbluray, libcaca, libcelt, libcdio, libdc1394, Flite, GSM, libiec61883, libilbc, libmodplug, libnut (Git checkout) OpenCore AMR, OpenCV, librtmp, Schroedinger, texlive-20140525 (ou install-tl-unx) pour la documentation PDF et PS, TwoLAME, vo-aaenc, vo-amrwbenc, libxavs (SVN checkout), OpenAL et x265 (H.265/MPEG-H HEVC)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/ffmpeg
Installez FFmpeg en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's/-lflite"/-lflite -lasound"/' configure && ./configure --prefix=/usr \ --enable-gpl \ --enable-version3 \ --enable-nonfree \ --disable-static \ --enable-shared \ --disable-debug \ --enable-libass \ --enable-libfdk-aac \ --enable-libmp3lame \ --enable-libtheora \ --enable-libvorbis \ --enable-libvpx \ --enable-libx264 \ --enable-x11grab \ --docdir=/usr/share/doc/ffmpeg-2.5.4 && make && gcc tools/qt-faststart.c -o tools/qt-faststart
La documentation HTML a été construite à l'étape précédente si texlive-20140525 et que vous souhaitiez des versions PDF et Postscript de la documentation, tapez les commandes suivantes:
sed -i '$s/$/\n\n@bye/' doc/{git-howto,nut,fate}.texi && sed -i '/machine:i386/ s/\\/@backslashchar{}/g' doc/platform.texi && pushd doc && for DOCNAME in `basename -s .html *.html` do texi2pdf -b $DOCNAME.texi && texi2dvi -b $DOCNAME.texi && dvips -o $DOCNAME.ps \ $DOCNAME.dvi done && popd && unset DOCNAME
Si vous avez installé Doxygen-1.8.9.1 et si vous souhaitez créer la documentation de l'API (ce qui prend environ 350 Mo d'espace), lancez la commande doxygen.
La suite de tests fate inclu des comparaisons avec des fichiers installés, et ne doit pas être lancée avant que le paquet ne soit installé. Cependant, si vous souhaitez la lancer, les instructions sont données en dessous.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 tools/qt-faststart /usr/bin && install -v -m644 doc/*.txt \ /usr/share/doc/ffmpeg-2.5.4
Si les documentations PDF et Postscript sont construites,
tapez les commandes suivantes , en tant qu'utilisateur
root
pour l'installer:
install -v -m644 doc/*.pdf \ /usr/share/doc/ffmpeg-2.5.4 && install -v -m644 doc/*.ps \ /usr/share/doc/ffmpeg-2.5.4
Si vous avez utilisé doxygen pour créer la
documentation de l'API, installez-la (300 Mo d'espace en
plus) en lançant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/ffmpeg-2.5.4/api && cp -vr doc/doxy/html/* /usr/share/doc/ffmpeg-2.5.4/api && find /usr/share/doc/ffmpeg-2.5.4/api -type f -exec chmod -c 0644 "{}" ";" && find /usr/share/doc/ffmpeg-2.5.4/api -type d -exec chmod -c 0755 "{}" ";"
Pour tester proprement l'installation vous devez avoir installé rsync-3.1.1 et suivi les instructions de FFmpeg Automated Testing Environment(fate). D'abord, environ 879 Mo de fichiers d'exemple utilisés pour lancer FATE sont sont téléchargés avec la commande :
make fate-rsync SAMPLES=fate-suite/
Le répertoire fate-suite
est
créé et les fichiers téléchargé ici. Cette commande lance
maintenant une commande rsync pour obtenir les fichiers
d'échantillons. Vous pouvez vouloir comprimer et laisser le
répertoire pour retester de nouveau, dans un autre système,
ou quand une nouvelle version de ffmpeg est lancée. Ensuite,
vous déballez les fichiers d'échantillons dans le répertoire
des sources, et lancez, de nouveau, la commande make fate-rsync... ci
dessus, pour synchroniser avec le dépot. Maintenant, la
taille du téléchargement et le temps sont drastiquement
réduits. Les valeurs estimées dans "Information du paquet"
n'incluent pas le SBU du téléchargement. Quelques
échantillons peuvent être enlevés, dans les nouvelles
versions, quand vous utilisez les échantillons précédents,
lancez la commande suivante:
rsync -vrltLW --delete --timeout=60 --contimeout=60 \
rsync://fate-suite.ffmpeg.org/fate-suite/ fate-suite/
Ensuite, FATE est éxécuté, avec la commande (vous obtenez un nombre de tests supérieur à 2300):
make fate SAMPLES=fate-suite/ | tee ../fate.log && grep ^TEST ../fate.log | wc -l
sed -i ...
configure : Cette commande ajoute la
bibliothèque ALSA dans la
variable LDFLAGS
de Flite et active la découverte de
Flite.
sed -i ... texi: Corrige des fichiers .texi pour la construction de la documentation.
find ... ";": Corrige des droits de fichiers et de répertoires de documentation.
--enable-libfreetype
: Active le
support de Freetype.
--enable-gpl
:
Ce paramètre autorise l'utilisation de code GPL et permet le
support pour que postprocessing, swscale et bien d'autres
fonctionnalités.
--enable-version3
: Active
l'utilisation du code (L)GPL version 3.
--enable-nonfree
: Active
l'utilisation de code non-libre. Notez que les binaires et
bibliothèques ne seront pas distribuable.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-shared
: Active
la construction des bibliothèques partagées, sinon seulement
les bibliothèques statiques sont construites et installées.
--disable-debug
:
Désactive la construction des symboles de déboguage dans les
programmes et les bibliothèques.
--enable-libass
:
Active le moteur de rendu du format de sous-titre ASS/SSA via
libass
.
--enable-libfdk-aac
:
Active actuellement l'encodage et le décodage audio de plus
grande qualité dans le format AAC via libfdk-aac
.
--enable-libmp3lame
:
Active l'encodage MP3 via libmp3lame
.
--enable-libvorbis
--enable-libtheora
: Active l'encodage vidéo
Theora via libvorbis
et
libtheora
.
--enable-libvorbis
--enable-libvpx
: Active l'encodage WebM via
libvorbis
et libvpx
.
--enable-libx264
:
Active l'encodage de haute qualité H.264/MPEG-4 AVC via
libx264
.
--enable-x11grab
:
Active X11 grabbing.
--enable-openssl
or --enable-gnutls
: Active le protocle HTTPS
pour les flux réseaux.
gcc tools/qt-faststart.c -o
tools/qt-faststart: Cela construit le
programme qt-faststart qui peut
modifier les films formatés en QuickTime (.mov
ou .mp4
)
pour que les informations d'entête soit placées au début du
fichier au lieu de la fin. Cela permet de lire le film avant
que le fichier entier ne soit téléchargé.
Le support de la plupart des paquets dépendants demande l'utilisation d'options passées au script configure. Regardez la sortie de ./configure --help pour une information complète à propos de l'activation des paquets dépendants.
est un outil en ligne de commande pour convertir des fichiers vidéo, des flux réseaux et des entrées d'une carte TV en divers formats vidéo. |
|
est un lecteur média très simple et portable
utilisant les bibliothèques de |
|
rassemble des informations à partir de flux multimédia et les affiche d'une manière lisible par un homme ou une machine. |
|
est un serveur de flux pour toutes les entrées utilisables par ffmpeg (fichiers, flux, entrées de carte TV, webcam, etc.). |
|
déplace le fichier d'index à l'avant des vidéos quicktime (mov/mp4). |
|
est une bibliothèque contenant les codecs FFmpeg (pour l'encodage et le décodage). |
|
est le periphérique FFmpeg pour la manipulation de la bibliothèque. |
|
est une bibliothèque ee filtres capables de modifier des vidéos ou des sons entre un décodeur et un encodeur (ou une sortie). |
|
est une bibliothèque contenant la gestion des formats de fichier (code mux et demux pour plusieurs formats) utilisée par ffplay et permettant de générer des flux audio et vidéo. |
|
est la bibliothèque de l'utilitaire FFmpeg. |
|
is the FFmpeg post processing library. |
|
est la bibliothèque de FFmpeg pour la transformation audio, elle contient des fonctions pour convertir les formats d'échantillon audio. |
|
is the FFmpeg image rescaling library. |
Last updated on : 2013-03-03 16:30:53 +010
MPlayer est un puissant lecteur audio/vidéo contrôlable en ligne de commande ou par une interface graphique et capable de lire presque tous les formats audio et vidéo. Avec du matériel vidéo supporté et des pilotes supplémentaires, MPlayer peut lire des fichiers vidéo sans système X Window installé.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/other/mplayer-2015-02-20.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 466277d34edee7facd456cddfca10171
Taille du téléchargement : 12 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 248 Mo
Estimation du temps de construction : 3.6 SBU
Les developpeurs de MPlayer recommandent l'utilisation des images actuelles. Les archives des sources donnés précédement sont créées par l'équipe de BLFS pour le téléchargement d'une image MPlayer ou une image ffmpeg Pour former l'archive finale, l'archive MPlayer est décompactée et le répertoire renommée. Ensuite, l'image ffmpeg est décompressée dans ce répertoire, qui est a son tour compactée dans le format tar.xz. BLFS ne fait aucune modification aux fichiers sources exitants. L'image ffmpeg est requise, ou un "git checkout" sera requise au moment de la configuration. Ce qui n'est pas souhaitable, car les deux seront obtenus à la même date.
Habillages
Peaux du GUI (HTTP): http://www.mplayerhq.hu/MPlayer/skins/Clearlooks-1.6.tar.bz2
Peaux du GUI (FTP): ftp://ftp.mplayerhq.hu/MPlayer/skins/Clearlooks-1.6.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 des peaux: f52b7592b8881021ec7ccb56ec455fba
Taille des peaux: 40 Ko
Peaux alternatives: http://www1.mplayerhq.hu/MPlayer/skins/
Les peaux sont seulement requises pour l'utilitation d'une interface utilisateur Gtk+ 2.
CDParanoia-III-10.2, libdvdread-5.0.2, libdvdnav-5.0.3, libdvdcss-1.3.0, Samba-4.1.17, libbluray, libcdio, LIVE555 Streaming Media, RTMPDump, TiVo vstream client et XMMS
ALSA-1.0.28, PulseAudio-5.0, SDL-1.2.15, JACK, NAS, et OpenAL
AAlib-1.4rc5, giflib-5.1.1, libjpeg-turbo-1.4.0, libmng-2.0.2, libpng-1.6.16, OpenJPEG-1.5.2 DirectFB, libcaca, et SVGAlib
FAAC-1.28, FAAD2-2.7, LAME-3.99.5, liba52-0.7.4, libdv-1.0.0, libmad-0.15.1b, libmpeg2-0.5.1, libtheora-1.1.1, libvpx-1.3.0, lzo-2.09, mpg123-1.22.0, Speex-1.2rc2, XviD-1.3.3, x264-20141208-2245, CrystalHD, Dirac, GSM, iLBC, libdca, libnut, libmpcdec, OpenCore Adaptive Multi Rate, Schroedinger, Tremor, et TwoLAME
Fontconfig-2.11.1, FreeType-2.5.5, FriBidi-0.19.6, GnuTLS-3.3.12, OpenSSL-1.0.2, Opus-1.1 et Unrar-5.2.6; libxslt-1.1.28, DocBook XML-DTD-4.5 et DocBook XSL Stylesheets-1.78.1 (les trois sont requis pour construire la documentation HTML) et Enca, LADSPA, libbs2b, et LIRC (et LIRC Client Daemon)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mplayer
Les mainteneurs du paquet recommandent de construire sans optimisations.
Il se peut que vous souhaitiez examiner la sortie de ./configure --help pour savoir les paramètres supplémentaires de configure nécessaires pour les dépendances que vous avez installées sur votre systèmes.
Installez MPlayer en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's:libsmbclient.h:samba-4.0/&:' configure stream/stream_smb.c && ./configure --prefix=/usr \ --confdir=/etc/mplayer \ --enable-dynamic-plugins \ --enable-menu \ --enable-gui && make
Si vous voulez reconstruire la documentation scindée en fichiers HTML et construire une version en un seul fichier HTML des docs, tapez la commande suivante:
make doc
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && ln -svf ../icons/hicolor/48x48/apps/mplayer.png \ /usr/share/pixmaps/mplayer.png
Pour installer la documentation HTML, tapez les commandes
suivantes en tant qu'utilisateur root
:
install -v -m755 -d /usr/share/doc/mplayer-2015-02-20 && install -v -m644 DOCS/HTML/en/* \ /usr/share/doc/mplayer-2015-02-20
Vous n'aurez besoin de codecs.conf
que si vous voulez modifier
ses propriétés, vu que le binaire principal en contient une
copie interne. Assurez que toutes vos modifications de
codecs.conf
aboutisse au
résultat désiré vu que des entrées incorrectes dans ce
fichier sont connues pour provoquer des erreurs et rendre
le lecteur inutilisable. Si nécessaire, créez le fichier en
tant qu'utilisateur root
:
install -v -m644 etc/codecs.conf /etc/mplayer
Il se peut aussi que vous souhaitiez copier tous les
fichiers de configuration par défaut vers /etc/mplayer
pour vous y référer plus
tard ou pour pouvoir les personnaliser. En tant
qu'utilisateur root
:
install -v -m644 etc/*.conf /etc/mplayer
Ce paquet installe des fichiers d'icônes dans la
hiérarchie /usr/share/icons/hicolor
et des
fichiers du bureau dans la hiérarchie /usr/share/applications
. Vous pouvez
améliorer les performances du système et l'utilisation de
la mémoire en mettant à jour /usr/share/icons/hicolor/index.theme
et
/usr/share/applications/mimeinfo.cache
.
Pour réaliser la mise à jour vous devez avoir installé
gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8 (pour le
cache des icônes) et desktop-file-utils-0.22
(pour le cache du bureau) et apez la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
gtk-update-icon-cache && update-desktop-database
Pour activer l'interface Gtk+2 de MPlayer, vous devez au moins installer
une peau. Extraire la peau souhaitée et créer le répertoire
par défaut (en tant qu'utilisateur root
) :
tar -xvf ../Clearlooks-1.6.tar.bz2 \ -C /usr/share/mplayer/skins && ln -sfvn Clearlooks /usr/share/mplayer/skins/default
sed -i 's:libsmbclient.h:samba-4.0 ...: Inclus le support pour Samba 4.
--enable-gui
:
Cette option construit l'interface graphique dans
mplayer.
--enable-menu
:
Cette option est initialisée pour activer l'affichage par
dessus l'écran d'affichage.
--language-doc="
: Ce
paramètre active la langue utilisée pour la documentaiton.
Utilisez ./configure
--help pour trouver des informations
supplémentaires.
<lang>
"
--language-man="
: Ce
paramètre active la langue utilisée pour les pages de manuel.
Utilisez ./configure
--help pour trouver des informations
supplémentaires. information.
<lang>
"
--language-msg="
: Ce
paramètre active la langue utilisée pour les messages et le
GUI. Utilisez ./configure
--help pour trouver des informations
supplémentaires.
<lang>
"
--language="
: Ce
paramètre active la langue utilisée par défaut. Utilisez
./configure
--help pour trouver des informations
supplémentaires.
<lang>
"
Des options spécifiques écrasent --language. vous pouvez passer une liste de lanques séparées par des espaces ou des virgules à la place d'une seule langue. Les traductions non existantes seront ignorées de chaque liste. Toutes les traductions de la documentation et des pages de manuel disponibles seront installées, pour les messages la première traduction disponible sera utilisée. La valeur "all" activera toutes les traductions. La variable d'environnement LINGUAS est honorée. Dans tous les cas, la valeur par défaut est l'anglais. Les valeurs listées par ./configure --help ne sont pas toutes disponibkes, comme cela devrait être. Vous devez tester en construisant.
Normalement, aucune configuration est nécessaire pour les
fichiers du système global dans /etc/mplayer
(en fait, ce répertoire est
vide, sauf si vous avez copié les fichiers par défaut comme
indiqué ci-dessus). Vous pouvez faire une configuration en
choisissant le bouton de configuration qui se trouve sur
l'interface graphique de MPlayer. Tout changement de
configuration que vous y faites dans le GUI sera copié dans
le répertoire ~/.mplayer
de
l'utilisateur.
est un lien symbolique vers mplayer qui affiche l'interface Gtk+ 2 de MPlayer. |
|
est le lecteur vidéo Mplayer principal. |
|
est un puissant décodeur, encodeur et outil de filtrage vidéo en ligne de commande qui est utilisé pour (entre autres choses) ripper des dvd en un fichier sur votre disque dur (voir /usr/share/doc/mplayer-2015-02-20/mencoder.html). |
Last updated on : 2013-01-15 00:37:08 +010
Transcode est un convertisseur vidéo entre n'importe quel format, rapide, pleins de ressources et basé en ligne de commande. Pour un récapitulatif des fonctionnalités et des possibilités ainsi que des exemples d'utilisation, visitez le wiki Transcode sur http://www.transcoding.org/.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://bitbucket.org/france/transcode-tcforge/downloads/transcode-1.1.7.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://mirror.ovh.net/gentoo-distfiles/distfiles/transcode-1.1.7.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9bb25a796a8591fb764de46ee87ce505
Taille du téléchargement : 2.1 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 75 Mo
Estimation du temps de construction : 1.0 SBU
ALSA-Library-1.0.28, LAME-3.99.5, libdvdread-5.0.2, libmpeg2-0.5.1 et Xorg Libraries
FAAC-1.28, FreeType-2.5.5, ImageMagick-6.9.0-6, liba52-0.7.4, libdv-1.0.0, libjpeg-turbo-1.4.0, libogg-1.3.2, libquicktime-1.2.4, libtheora-1.1.1, libvorbis-1.3.4, libxml2-2.9.2, lzo-2.09, SDL-1.2.15, v4l-utils-1.6.2, x264-20141208-2245 XviD-1.3.3 MJPEG Tools, et PVM3,
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/transcode
Les détails sur comment les bibliothèques ffmpeg sont utilisés ont changé depuis que cette version de transcode a été publiée. Le correctif permet que le paquet compile, mais des appels internes à ffmpeg échouent à l'exécution (ils indiquent une erreur et les processus continuent, mais sans aucune sortie).
Pour beaucoup de paquets, cela serait une erreur critique. Dans ce cas, la principale raison d'installer transcode est pour le programme tccat, qui fonctionne. Quelques unes des options de transcode fonctionnent - pour les autres, utilisez ffmpeg directement en ligne de commande.
En construisant avec le paramètre de --enable-freetype2, utilisez le sed suivant pour corriger la construction contre FreeType-2.5.1 ou une version plus récente:
sed -i "s:#include <freetype/ftglyph.h>:#include FT_GLYPH_H:" filter/subtitler/load_font.c
Installez Transcode en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's|doc/transcode|&-$(PACKAGE_VERSION)|' \ $(find . -name Makefile.in -exec grep -l 'docsdir =' {} \;) && sed -i "s:av_close_input_file:avformat_close_input:g" \ import/probe_ffmpeg.c && patch -Np1 -i ../transcode-1.1.7-ffmpeg2-1.patch && ./configure --prefix=/usr \ --enable-alsa \ --enable-libmpeg2 && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed -i ... : Corrige l'emplacement d'installation de la documentation.
sed ... import/probe_ffmpeg.c: Ce sed corrige la compilation avec ffmpeg-2.4 ou une version plus récente.
Le support de la plupart des paquets de dépendance exige
d'utiliser des options passées au script configure. Lisez le fichier
INSTALL
et la sortie de
./configure
--help pour des informations complètes sur
l'activation des paquets de dépendance.
corrige l'en-tête d'un fichier AVI. |
|
écrit un fichier texte décrivant l'index d'un fichier AVI. |
|
fusionne des fichiers AVI du même format. N'essayez pas de fusionner des fichiers d'AVI de formats différents, cela provoquera très probablement des erreurs (et le format signifie le même débit, aussi !). |
|
découpe des fichiers AVI en plusieurs fichiers. |
|
peut transformer du son en un fichier AVI pour une meilleure synchronisation des signaux du son et de l'image. |
|
concatène des fichiers d'entrée en utilisant les plugins d'entrée de Transcode. |
|
est utilisé pour décoder des fichiers d'entrée en vidéos raw et en flux audio PCM. |
|
démultiplexe (sépare) une entréeaudio/vidéo contenant plusieurs flux comme des fichiers VOB. |
|
récupère des flux uniques à partir d'un fichier contenant plusieurs flux. |
|
charge un module de filtre Transcode fourni et affiche ses paramètres. |
|
est un outil qui peut couper des flux MP3 à des positions en millisecondes. |
|
affiche des informations sur le format du fichier d'entrée. |
|
effectue plusieurs mesures de l'élément d'entrée donné. |
|
vérifie les informations d'un fichier d'entrée SMIL. |
|
est l'interface utilisateur de l'encodeur qui gère les plugins et d'autres programmes, c'est l'élément soudant les modules. Il y a plusieurs exemples d'utilisation bien documentés sur la page d'accueil et dans la documentation fournie dans le paquet. |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
VLC est un lecteur de média, un générateur de flux, et un encodeur. Il peut afficher depuis différentes entrées comme des fichiers, des flux réseaux, des périphériques de capture, des ordinateurs, ou des DVD, des SVCD, des VCD, et des CD audio. Il peut lire la plupart des codec audio et video (MPEG 1/2/4, H264, VC-1, DivX, WMV, Vorbis, AC3, AAC, etc.), mais peut aussi convertir en différents formats et/ou envoyer les flux au travers du réseau.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.videolan.org/vlc/2.1.5/vlc-2.1.5.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3941b561f590cc95ca5e795213cba2f2
Taille du téléchargement : 19 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 494 Mo (additional 1 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 4.7 SBU (additional moins de 0.1 SBU for the tests)
ALSA-Library-1.0.28, FFmpeg-2.5.4, liba52-0.7.4, libgcrypt-1.6.2 libmad-0.15.1b, Lua-5.3.0, et X Window System,
libdv-1.0.0, libdvdcss-1.3.0, libdvdread-5.0.2, libdvdnav-5.0.3, Samba-4.1.17, v4l-utils-1.6.2, libbluray, libdc1394, libcddb, libproxy, Live555, OpenCV, et VCDImager (demande libcdio)
libogg-1.3.2, Game Music Emu, libdvbpsi, libshout, libmatroska (requiert libebml), libmodplug, Musepack, et sidplay-libs.
FAAD2-2.7, FLAC-1.3.1, libass-0.12.1, libmpeg2-0.5.1, libpng-1.6.16, libtheora-1.1.1, libva-1.5.0, libvorbis-1.3.4, Opus-1.1, Speex-1.2rc2, x264-20141208-2245, Dirac, FluidSynth, libdca, libkate, libtiger, OpenMAX, Schroedinger, Tremor, Twolame, et Zapping VBI
AAlib-1.4rc5, Fontconfig-2.11.1, FreeType-2.5.5, FriBidi-0.19.6, librsvg-2.40.7, libvdpau-0.9, SDL-1.2.15 (avec SDL_image), et libcaca.
PulseAudio-5.0, libsamplerate-5.0.2, et JACK
Qt-4.8.6 (requis pour l'interface graphique utilisateur), libtar, et LIRC
avahi-0.6.31, libmtp et libupnp
GnuTLS-3.3.12, libnotify-0.7.6, libxml2-2.9.2, taglib-1.9.1, et xdg-utils-1.1.0-rc3 (exécution)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/vlc
Installez VLC en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's:libsmbclient.h:samba-4.0/&:' modules/access/smb.c && ./bootstrap && sed "s:< 56:< 57:g" -i configure && ./configure --prefix=/usr && sed -i 's/luaL_optint/(int)&eger/' modules/lua/libs/{net,osd,volume}.c && sed -i 's/luaL_checkint(/(int)luaL_checkinteger(/' \ modules/lua/{demux,libs/{configuration,net,osd,playlist,stream,variables,volume}}.c && make
Pour tester le résultat, tapez : make check
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
Si XORG_PREFIX n'est pas /usr, soyez certain que la variable d'environnement LIBRARY_PATH est initialisée correctement pour faire l'installation, Par exemple: sudo make LIBRARY_PATH=$XORG_PREFIX/lib ... install.
make docdir=/usr/share/doc/vlc-2.1.5 install
Ce paquet installe des fichiers d'icônes dans la hiérarchie
/usr/share/icons/hicolor
et
des fichiers du bureau dans la hiérarchie /usr/share/applications
. Vous pouvez
améliorer les performances du système et l'utilisation de
la mémoire en mettant à jour /usr/share/icons/hicolor/index.theme
et
/usr/share/applications/mimeinfo.cache
.
Pour réaliser la mise à jour vous devez avoir installé
gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8 (pour le cache
des icônes) et desktop-file-utils-0.22
(pour le cache du bureau) et apez la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
gtk-update-icon-cache && update-desktop-database
sed -i ...: Ce Sed corrige la compilation avec Samba 4.
./bootstrap: Cette commande appelle autoreconf pour générer les macros m4 et préparer les Makefiles.
sed ... configure: ce sed corrige la compilation avec ffmpeg 2.4.
sed -i ... {net,osd,volume}.c: Cette commande corrige la construction avec lua 5.3 .
sed -i ... variables,volume}}.c: cette commande corrige la construction avec lua 5.3.
--disable-lua
: Utilisez
cette commande si vous n'avez pas installé Lua.
--disable-mad
: Utilisez cette
option si vous n'avez pas installé libmad.
--disable-avcodec
--disable-swscale
: Utilisez ces paramètres si vous
n'avez pas installé FFmpeg.
--disable-a52
: Utilisez ce
paramètre si vous n'avez pas installé liba52.
--disable-xcb
: Utilisez ce
paramètre si vous n'avez pas installé X Window System.
--disable-alsa
: Utilisez ce
paramètre si vous n'avez pas installé ALSA.
--disable-libgcrypt
: Utilisez ce
paramètre si vous n'avez pas installé libgcrypt.
Il y a beaucoup d'options dans la commande configure de VLC. Regardez la sortie de configure --help pour compléter la liste.
est un script pour lancer VLC avec l'interface fictive |
|
est un script pour lancer VLC avec l'interface ncurses. |
|
est un script pour lancer VLC avec l'interface QT. |
|
est un script pour lancer VLC avec l'interface en ligne de commande |
|
est un script pour lancer VLC avec l'interface paramétrable |
|
le lecteur de média VLC |
|
une enveloppe pour abandonner les privilèges avec VLC |
Last updated on : 2013-04-08 19:48:53 +020
Le paquet xine User Interface contient un lecteur multimédia. Il lit des CDs, des DVDs et des VCDs. Il décode aussi des fichiers multimédia comme des AVI, MOV, WMV, MPEG et MP3 à partir de lecteurs de disque locaux, et il affiche des flux multimédia à travers Internet.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/xine/xine-ui-0.99.9.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : a6d00381b5c8b7aec1a7a3fbf84f01ce
Taille du téléchargement : 1.7 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 26 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
xine-Libraries-1.2.6 et shared-mime-info-1.4
cURL-7.40.0, AAlib-1.4rc5, LIRC et libcaca
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xine-ui
Installez xine User Interface en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make docsdir=/usr/share/doc/xine-ui-0.99.9 install
Ce paquet installe des fichiers d'icônes dans la hiérarchie
/usr/share/icons/hicolor
et
des fichiers du bureau dans la hiérarchie /usr/share/applications
. Vous pouvez
améliorer les performances du système et l'utilisation de
la mémoire en mettant à jour /usr/share/icons/hicolor/index.theme
et
/usr/share/applications/mimeinfo.cache
.
Pour réaliser la mise à jour vous devez avoir installé
gtk+-2.24.26 ou GTK+-3.14.8 (pour le cache
des icônes) et desktop-file-utils-0.22
(pour le cache du bureau) et apez la commande suivante en
tant qu'utilisateur root
:
gtk-update-icon-cache && update-desktop-database
docsdir=/usr/share/doc/xine-ui-0.99.9
:
Ce paramètre amène la documentation de Xine UI à s'installer dans un répertoire
versionné /usr/share/doc/xine-ui-0.99.9
, au lieu du
/usr/share/doc/xine-ui
par
défaut.
On peut créer et maintenir le fichier ci-dessus via la
boîte de dialogue de paramètres de xine. La documentation
des préférences de configuration se trouve dans
/usr/share/doc/xine-ui-0.99.9/README.config_en
.
Si vous avez une carte TV DVB vous pourrez regarder la TV avec la commande xine dvb:// et changer les chaînes avec la roue de votre souris
est un lecteur vidéo art ASCII qui utilise AAlib comme interface avec xine Libraries. |
|
est un lecteur vidéo art ASCII en couleurs qui utilise CACA comme interface avec xine Libraries. |
|
est une interface frame buffer avec xine Libraries. |
|
est un lecteur multimédia conçu pour lire des flux MPEG (audio et video), des flux MPEG de base (MP3), des flux de transport MPEG, fichiers Ogg, fichiers AVI, fichiers ASF, certains fichiers Quicktime, VCD et DVD. |
|
produit une courte description système et vous guide dans le processus de signalement d'un bogue. |
|
teste l'installation du lecteur vidéo xine pour identifier des problèmes courants. Il teste les paramètres du système d'exploitation, l'installation des plugins, des paramètres du lecteur CD/DVD et les paramètres du support vidéo. |
|
est un outil pour se connecter à un serveur de contrôle distant xine. |
Last updated on : 2013-04-21 20:22:49 +020
Ce chapitre iontient des informations sur les outils de gravure de CD/DVD avec Linux.
Des sources supplémentaires d'informations incluent :
Le paquet Cdrdao contient des outils de gravure de CD. Ils sont utiles pour graver un CD en mode disk-at-once (un disque à la fois).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/cdrdao/cdrdao-1.2.3.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8d15ba6280bb7ba2f4d6be31d28b3c0c
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 64 Mo
Estimation du temps de construction : 1.3 SBU (includes building gcdmaster)
libao-1.2.0, libvorbis-1.3.4, libmad-0.15.1b, et LAME-3.99.5 (requis pour construire toc2mp3)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cdrdao
Installez Cdrdao en lançant les commandes suivantes :
sed -i '/ioctl/a #include <sys/stat.h>' dao/ScsiIf-linux.cc && ./configure --prefix=/usr --mandir=/usr/share/man && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/cdrdao-1.2.3 && install -v -m644 README /usr/share/doc/cdrdao-1.2.3
sed -i '/ioctl/a #include
<sys/stat.h>' ... : Ce set ajoute
un include sys/stat.h
manquant.
--mandir=/usr/share/man : Installe les pages de manuel dans /usr/share/man au lieu de /usr/man.
enregistre un CD ou des données CD-Rs en mode disk-at-once (DAO) basé sur une description textuelle du contenu du CD. |
|
convertit le format CUE en TOC pour CDs audio. |
|
est une interface graphique destinée à cdrdao pour créer des CDs audio. |
|
convertit uo fichier TOC Cdrdao dans un fichier cddb et il l'affiche sur la sortie standard. |
|
convertit le format TOC en CUE pnur CDs audio. |
|
convertit une image de CD audio ( |
Last updated on : 2012-03-07 20:54:55 +010
Le paquet dvd+rw-tools contient plusieurs outils pour gérer le média DVD, à la fois ceux +RW/+R et -R[W]. L'outil de principe est growisofs qui offre un moyen de coucher et d'agrandir un système de fichiers ISO9660 (ainsi que de graver une image préfabriquée de votre choix) sur tous les médias DVD supportés. C'est utile pour créer un nouveau DVD ou compléter une image existante sur un DVD partiellement gravé.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://fy.chalmers.se/~appro/linux/DVD+RW/tools/dvd+rw-tools-7.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8acb3c885c87f6838704a0025e435871
Taille du téléchargement : 138 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.7 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Bien que pas requise pendant la construction, vous devez avoir installé un paquet qui fournit la commande xorrisofs, comme libisoburn-1.3.8, sinon la commande growisofs ne fonctionnera pas correctement, rendant inutile tout le paquet.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/dvd+rw-tools
Installez dvd+rw-tools en lançant les commandes suivantes :
sed -i '/stdlib/a #include <limits.h>' transport.hxx && sed -i 's#mkisofs"#xorrisofs"#' growisofs.c && sed -i 's#mkisofs#xorrisofs#;s#MKISOFS#XORRISOFS#' growisofs.1 && make all rpl8 btcflash
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make prefix=/usr install && install -v -m644 -D index.html \ /usr/share/doc/dvd+rw-tools-7.1/index.html
sed -i '/stdlib/a #include
<limits.h>' ... : Ce sed inclut
limits.h
, une des en-têtes du
noyau.. Ceci est nécessaire du fait d'un changement dans les
en-têtes du noyau 2.6.23.
sed -i 's#mkisofs"#xorrisofs"#' growisofs.c : Ce sed modifie le code pour utiliser xorrisofs de xorriso. Le code par défaut l'amenait à utiliser mkisofs de Cdrtools.
sed -i 's#mkisofs#xorrisofs#;s#MKISOFS#XORRISOFS#' growisofs.1 : Ce sed corrige la page de man pour tenir compte de la modification ci-dessus.
make all rpl8 btcflash : Cette commande utilise les cibles supplémentaires pour que tous les outils soient construits.
Last updated on : 2012-04-29 20:26:12 +020
Le paquet K3b contient une interface graphique basée sur KDE avec es outils de manipulation de CD/DVD Cdrtools et dvd+rw-tools. Il associe aussi les possibilités de nombreux autres paquets multimédia dans une interface centrale pour fournir une application simple à utiliser qui peut être utilisée pour gérer beaucoup de vos exigences en matière de formatage et de gravure de CD/DVD. C'est utile pour créer des CDs audio, de données, vidéo et en mode mélangé, ainsi que pour copier, encoder et graver des CDs et des DVDs.
Bien que K3b puisse être utilisé pour copier presque n'importe quel DVD sur un mdia identique, il n'offre pas de moyens de copier ou de reproduire un DVD double couches sur un média d'une seule couche. Aucun programme, nul part et sur aucune plate-forme n'est bien entendu capable de faire une duplication exacte d'un DVD double couches sur un disque d'une seule couche, il y a des programmes sur certaines plate-formes qui peuvent compresser les données d'un DVD double-couches pour s'adapter à un DVD monocouche, produisant une image dupliquée mais compressée. Si vous avez besoin de copier le contenu d'un DVD double couches sur un média d'une seule couche, il se peut que vous vouliez regarder du côté du paquet RMLCopyDVD.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://download.kde.org/stable/k3b/k3b-2.0.3.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 52e78aabe8e483347d04e88be0aed150
Taille du téléchargement : 9.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 326 Mo
Estimation du temps de construction : 2.4 SBU
kde-runtime-14.12.2, libkcddb-14.12.2 et libsamplerate-5.0.2
Il y a les programmes de 3 paquets que demande K3b pendant l'exécution : Cdrtools (requis pour graver des CD-ROM), , dvd+rw-tools-7.1 (requis pour graver ou formater des DVD), et Cdrdao-1.2.3 (exigé pour graver des médias de CD-ROM en mode DAO (Disk At Once)). Si vous n'avez pas besoin de la fonctionnalité offerte par un des trois paquets, vous n'êtes pas obligé de l'installer. Cependant, un message d'avertissement sera généré à chaque fois que vous exécuterez le programme k3b si certains ne sont pas installés.
FFmpeg-2.5.4, libdvdread-5.0.2, libjpeg-turbo-1.4.0, et taglib-1.9.1
FLAC-1.3.1, LAME-3.99.5, libmad-0.15.1b, libsndfile-1.0.25, libvorbis-1.3.4, libmusicbrainz-2.1.5, Musepack (libmpcdec) et VCDImager
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/k3b
Installez K3b en lançant les commandes suivantes :
mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=$KDE_PREFIX \ -DSYSCONF_INSTALL_DIR=/etc/kde \ -Wno-dev .. && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
$KDE_PREFIX
/share/:
applnk/Settings/System, apps/k3b, doc/HTML/*/k3b
Last updated on : 2012-05-10 03:40:14 +020
Libburn est une bibliothèque pour écrire des données préformatées sur un média optique : CD, DVD et BD (Blu-Ray).
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://files.libburnia-project.org/releases/libburn-1.3.8.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ecee98ecd1c24e9d7e92b605e61a2ef2
Taille du téléchargement : 948 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libburn
Installer libburn en lancant les commandes suivantes:
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-01-12 02:35:45 +010
Libisoburn est une interface pour les bibliothèques libburn et libisofs qui autorise la création et le développement des systèmes de fichiers ISO-9660 sur tous les média CD/DVD/BD supporté par libburn. Cela inclut les médias tels que les DVD+RW, qui ne supporte pas la gestion des multi-sessions et les fichiers de disque même bruts ou les périphériques blocs.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://files.libburnia-project.org/releases/libisoburn-1.3.8.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 4f1c2290a2d02bdb709c3707fd9f1ae6
Taille du téléchargement : 1.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 15 Mo with Tk (additional 2 Mo to generate HTML documentation)
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU with Tk
libburn-1.3.8 et libisofs-1.3.8.
, , Doxygen-1.8.9.1 (pour générer la documentation HTML) et Tk-8.6.3 (pour xorriso-tcltk)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libisoburn
Installez libisoburn en lançant les commandes suivantes : commands:
./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --enable-pkg-check-modules && make
Si vous avez installé Doxygen et souhaitez générer la documentation HTML, tapez la commande suivante :
doxygen doc/doxygen.conf
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous avez construit la documentation HTML, installez la en
lançant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
install -v -dm755 /usr/share/doc/libisoburn-1.3.8 && install -v -m644 doc/html/* /usr/share/doc/libisoburn-1.3.8
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-pkg-check-modules
:
Active la vérification de pkg-config pour libburn et libisofs.
est un lien symbolique de xorriso qui copie les fichiers depuis une image ISO vers un système de fichier du disque. |
|
est un lien symbolique de xorriso qui fournit une interface utilisateur pour cdrecord. |
|
est un programme pour créer, charger, manipuler, lire et écrire des images de système de fichier ISO 9660 avec les extensions Rock Ridge. |
|
est un lien symbolique de xorriso qui fournit une interface utilisateur pour mkisofs. |
|
contient les fonctions de l'CPI de libisoburn. |
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Libisofs est une bibliothèque pour créer des systèmes de fcihiers ISO-9660 avec des extentions comme RockRidge ou Joliet.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://files.libburnia-project.org/releases/libisofs-1.3.8.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7fea3aa98038a90cec6a5779e0e05eb5
Taille du téléchargement : 784 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 9.8 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/libisofs
Installez libisofs en lançant les commandes suivantes : commands:
./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
Last updated on : 2013-01-25 17:32:25 +010
SimpleBurn est une application minimaliste pour graver et extraire des CD et des DVD.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://simpleburn.tuxfamily.org/IMG/bz2/simpleburn-1.6.5.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : de658ab5af00e7bcb1e948d5c45da7b9
Taille du téléchargement : 44 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.7 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
libisoburn-1.3.8, CDParanoia-III-10.2, et Cdrdao-1.2.3
FLAC-1.3.1, mpg123-1.22.0, Vorbis-Tools-1.4.0, LAME-3.99.5, MPlayer-2015-02-20, normalize, libcdio, mpg321, cdrtools, et cdrkit
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/simpleburn
Installez SimpleBurn en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e 's|DESTINATION doc|DESTINATION share/doc|' CMakeLists.txt && mkdir build && cd build && cmake -DCMAKE_BUILD_TYPE=Release \ -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=/usr \ -DBURNING=LIBBURNIA .. && make
Ce paquet n'a pas de suite de tests
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Tous les périphériques optiques ne sont pas accessibles pour
tous les utilisateurs à l'exception de root
et les membres du groupe
cdrom
. Ajoutez tous les
utilisateurs qui peuvent utiliser les périphériques optiques
à ce groupe:
usermod -a -G cdrom <username>
sed ...: Assure que la documentation est installée dans /usr/share/doc.
-DBURNING=LIBBURNIA
:
Ce paramètre change la suite de gravage vers cdrtools par
défaut.
Last updated on 2013-12-01 17:47:44 +0100
Ce chapitre contient des systèmes de gestion des tampons et d'imprimantes et des applications ghostscript pour produire des PostScript affichables sur des terminaux ou du papier.
Le Common Unix Printing System (Cups) (système d'impression Unix général) est un ensemble tampon d'imprimantes et d'outils associés. Il se base sur l'"Internet Printing Protocol" (protocole d'impression par Internet) et il offre des services d'impression pour la plupart des imprimantes PostScript and raster.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.cups.org/software/2.0.2/cups-2.0.2-source.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6e0ea72dbafcf5baaa1cf4178e71096d
Taille du téléchargement : 8.4 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 61 Mo (additional 28 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU (additional 4.4 SBU for the tests)
colord-1.2.9, D-BUS-1.8.16 et libusb-1.0.19
avahi-0.6.31, libpaper-1.1.24+nmu4, Linux-PAM-1.1.8, MIT Kerberos V5-1.13.1, OpenJDK-1.8.0.31, PHP-5.6.6, Python-2.7.9 et xdg-utils-1.1.0-rc3.
Gutenprint-5.2.10 et hplip (HP printers)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cups
Il existait un conflit entre la fondation libusb de Cups et le pilote usblp du noyau. Ce n'est plus le cas et cups fonctionnera avec les deux activés.
Si vous voulez utiliser le pilote usblp du noyau (par exemple, si vous voulez utiliser escputil de Gutenprint-5.2.10), activez les options suivantes dans la configuration de votre noyau et recompilez le noyau :
Device Drivers --->
[*] USB support ---> [CONFIG_USB_SUPPORT]
<*/M> OHCI HCD (USB 1.1) support [CONFIG_USB_OHCI_HCD]
<*/M> UHCI HCD (most Intel and VIA) support [CONFIG_USB_UHCI_HCD]
<*/M> USB Printer support [CONFIG_USB_PRINTER]
Si vous avez une imprimante en port parallèle, activez les options suivantes dans la configuration de votre noyau et recompilez le noyau :
Device Drivers --->
<*/M> Parallel port support ---> [CONFIG_PARPORT]
<*/M> PC-style hardware [CONFIG_PARPORT_PC]
Character devices --->
<*/M> Parallel printer support [CONFIG_PRINTER]
Il va falloir ajouter un utilisateur lp
car Cups va créer des fichiers qui
appartiennent à cet utilisateur. (L'utilisateur lp
est celui que Cups utilise par défakt, mais on peut
mettre un autre utilisateur en passant un paramètre au script
configure.
Utilisez la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
useradd -c "Print Service User" -d /var/spool/cups -g lp -s /bin/false -u 9 lp
Vous aurez également besoin d'un groupe dédié qui contiendra
les utilisateurs autorisés à effectuer des tâches
administratives de Cups.
Ajoutez le groupe en lançant la commande suivante en tant
qu'utilisateur root
:
groupadd -g 19 lpadmin
Si vous voulez ajouter un utilisateur au groupe
d'administration de Cups,
lancez la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
usermod -a -G lpadmin <username>
Si vous n'avez pas installé xdg-utils-1.1.0-rc3, utilisez le sed suivant pour modifier le navigateur utilisé par défaut pour accéder à l'interface Web de Cups :
sed -i 's#@CUPS_HTMLVIEW@#firefox#' desktop/cups.desktop.in
Remplacez firefox par le navigateur Web de votre choix.
Construisez Cups en lançant les commandes suivantes:
sed -i 's:555:755:g;s:444:644:g' Makedefs.in && sed -i '/MAN.EXT/s:.gz::g' configure config-scripts/cups-manpages.m4 && sed -i '/LIBGCRYPTCONFIG/d' config-scripts/cups-ssl.m4 && sed -i 's@else /\* HAVE_AVAHI \*/@elif defined(HAVE_AVAHI)@' test/ippserver.c && aclocal -I config-scripts && autoconf -I config-scripts && ./configure --libdir=/usr/lib \ --disable-systemd \ --with-rcdir=/tmp/cupsinit \ --with-system-groups=lpadmin \ --with-docdir=/usr/share/cups/doc-2.0.2 && make
Pour tester les résultats, tapez : make -k check. Un session graphique déjà active avec une adresse DBUS est necessaire pour lancer les tests. Un petit nombre des tests échoue pour des raisons inconnues.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && rm -rf /tmp/cupsinit && ln -svnf ../cups/doc-2.0.2 /usr/share/doc/cups-2.0.2
Créez le fichier de configuration de base du client
Cups en lançant la commande
suivante en tant qu'utilisateur root
:
echo "ServerName /var/run/cups/cups.sock" > /etc/cups/client.conf
Supprimez les filtres, qui font maintenant partie du paquet
Cups Filters, en lançant les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
rm -rf /usr/share/cups/banners && rm -rf /usr/share/cups/data/testprint
Si vous reinstallez ou mettez à jour Cups, les commandes suivantes cassent cups-filters-1.0.66, qui doit être, ensuite, réinstallé.
Ce paquet installe des fichiers d'icônes dans la hiérarchie
/usr/share/icons/hicolor
et
vous pouvez améliorer les performances du système et
l'utilisation de la mémoire en mettant à jour /usr/share/icons/hicolor/index.theme
.
Pour réaliser la mise à jour vous devez avoir installé
gtk+-2.24.26 or GTK+-3.14.8 et tapez la
commande suivante en tant qu'utilisateur root
:
gtk-update-icon-cache
sed ... Makedefs.in: Corrige les permissions des fichiers et répertoires.
sed ... cups-manpages.m4: Ce sed empêche la compression des pages de manuel par défaut.
sed ... cups-ssl.m4: Empêche le script configure de chercher libgcrypt-config, car libgcrypt n'est pas utilisé ailleurs dans le paquet.
sed ... test/ippserver.c: Ce sed corrige un bogue, qui apparait quand avahi n'est pas présent.
--disable-systemd
:
Systemd n'est pas supporté par BLFS.
--with-rcdir=/tmp/cupsinit
:
Ce paramètre dit au processus de construction d'installer le
script de démarrage inclu dans /tmp
et non dans /etc/rc.d
.
--with-system-groups=lpadmin
:
Ce paramètre garantit que seul lpadmin
sera utilisé comme groupe
d'administration de Cups.
--disable-libusb
: Utilisez
ce paramètre si vous avez installé libusb-1.0.19, mais si
vous souhaitez le pilote usblp du noyau.
--enable-libpaper
: Utilisez
ce paramètre si vous avez installé libpaper et si vous souhaitez l'utiliser
avec Cups.
Normalement, les imprimantes sont initialisées via un navigateur web. Le serveur Cups sera accessible normalement par l'url http://localhost:631. Les imprimantes, les travaux d'impressions, et la configuration du serveur peuvent être initialisés et gérés. L'administration de système distant peut également être initialisée. La configuration peut également être faite depuis la ligne de commande via les commandes lpadmin, lpoptions, et lpstat.
La configuration de Cups dépend du type d'imprimante et elle peut être complexe. En général, les imprimantes PostScript sont plus simples. Pour des instructions détaillées sur la configuration et l'utilisation de Cups, voir http://www.cups.org/documentation.php. Le Software Administrators Manual (manuel ges administrateurs du logiciel) et le Software Users Manual (manuel des utilisateurs) sont particulièrement utiles.
Pour que des imprimantes non PostScript impriment avec Cups, vous devez installer GPL-Ghostscript-9.15 pour convertir PostScript en images raster et un pilote (comme ceux de Gutenprint-5.2.10) pour convertir les images raster résultantes sous une forme compréhensible par l'imprimante. Les pilotes de Foomatic utilisent GPL-Ghostscript-9.15 pour convertir du PostScript en forme directement imprimable, mais les développeurs de Cups considèrent cela comme du bricolage.
Si CUPS a été construit avec le support Linux PAM, vous devez créer un fichier de configuation PAM, pour le rendre fonctionnel correctement avec BLFS.
Tapez la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
pour créer le fichier
de configuration pour Linux
PAM:
cat > /etc/pam.d/cups << "EOF"
# Begin /etc/pam.d/cups
auth include system-auth
account include system-account
session include system-session
# End /etc/pam.d/cups
EOF
Si vous voulez que Cups démarre automatiquement lors du démarrage du système, installez le script de démarrage inclu dans le paquet blfs-bootscripts-20150304 :
make install-cups
demande au système d'impression d'accepter les tâches d'impression sur les destinations spécifiées. |
|
annule les tâches d'impression existantes dans les queues d'imprimante. |
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exporte les imprimantes vers le logiciel Samba pour une utilisation avec des clients Windows. |
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est un outil de configuration Cups. |
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Met à jour ou interroge le fichier cupsd.conf pour un serveur. |
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est le programmeur de tâches du Common Unix Printing System. |
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est une interface avec le sous-système de filtre de Cups qui vous permet de convertir un fichier dans un format spécifique. |
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teste la conformité des fichiers PostScript. |
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teste la conformité des fichiers PPD. |
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trouve les imprimantes IPP. |
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envoie des requêtes IPP à l'adresse spécifiée et teste et/ou affiche les résultats. |
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soumet des fichiers pour qu'ils soient imprimés ou modifie des tâches en attente. |
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configure les queues d'une imprimante ou d'une classe fournies par Cups. |
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offre un contrôle limité des queues d'imprimante ou de classe fournies par Cups. |
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liste les périphériques ou les pilotes disponibles connus du serveur Cups. |
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envoie la tâche spécifiée vers une nouvelle destination. |
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affiche ou règle les options de l'imprimante et ceux par défaut. |
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affiche le statut actuel de la queue d'impression de l'imprimante mentionnée. |
|
soumet des fichiers pour qu'ils soient imprimés. |
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annule des tâches d'impression envoyées pour impression vers la queue. |
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affiche des informations statutaires sur les classes, les tâches et les imprimantes actuelles. |
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compile des fichiers sources PPDC en un ou plusieurs fichiers PPD. |
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lit le fichier d'informations d'un pilote et donne une page de résumé en HTML qui liste tous les pilotes d'un fichier et les options supportées. |
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importe un ou plusieurs fichiers PPD dans un fichier source pour le compilateur PPD. |
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synchronise deux ou plusieurs fichiers PPD dans un seul fichier PPD multi-langages. |
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extrait des chaînes UI de fichiers source PPDC et met à jour soit un fichier de traduction source d'un catalogue GNU gettext ou de chaînes au format Mac OS X. |
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demande au système d'impression de rejeter les tâches d'impression des destinations spécifiées. |
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contient les fonctions de l'API de the Cups. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet CUPS Filters contient les fondations, les filtres et d'autres logiciels qui faisaient partie autrefois de la distribution cœur de CUPS, mais il n'est plus maintenu par Apple Inc.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://www.openprinting.org/download/cups-filters/cups-filters-1.0.66.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : ad594ac06dfbfb02af34deb0805cab00
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 34 Mo (additional 2 Mo for the tests)
Estimation du temps de construction : 0.4 SBU
Cups-2.0.2, GLib-2.42.1, IJS-0.35, Little CMS-2.6 Poppler-0.31.0 et Qpdf-5.1.2
libjpeg-turbo-1.4.0, libpng-1.6.16 et LibTIFF-4.0.3
avahi-0.6.31 et PHP-5.6.6 (l'utilisation peut être cassée)
GPL-Ghostscript-9.15 (nécessaire pour les imprimantes PostScript) Gutenprint-5.2.10 (pour les imprimantes supportées), ou d'autres pilotes d'imprimantes
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/cups-filters
Installez CUPS Filters en lançant les commandes suivantes : commands:
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --without-rcdir \ --disable-static \ --with-gs-path=/usr/bin/gs \ --with-pdftops-path=/usr/bin/gs \ --docdir=/usr/share/doc/cups-filters-1.0.66 && make
Pour tester les résultats, tapez: make check 2>&1 >testlog.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
patch ...: Permet au paquet de se construire avec poppler-0.31.0 et plus.
--without-rcdir
: Ce
paramètre désactive l'installation des scripts de démarrage
qui ne sont pas compatible avec BLFS.
--with-gs-path=/usr/bin/gs
:
Ce paramètre définit le chemin vers le binaire GhostScript au cas où GPL-Ghostscript-9.15 n'est pas
installé au moment de la construction.
--with-pdftops-path=/usr/bin/gs
:
Ce paramètre définit le chemin vers le binaire GhostScript au cas où GPL-Ghostscript-9.15 n'est pas
installé au moment de la construction.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
make check 2>&1 >testlog: la suite de tests vide un flux de bits dans le buffer d'entrée après avoir terminée. Envoyer la sortie dans un fichier laisse l'historique utilisable, mais quelques informations de déboguage apparaissent toujours à l'écran.
--with-test-path=
: Si vous
souhaitez lancer les tests, mais que vous n'avez pas par
défaut VALUE
/usr/share/fonts/dejavu/DejaVuSans.ttf
utilisez ce paramètre pour spécifier ou DejaVuSans.ttf
(ou peut être un autre
fichier de police TTF - pas testé) est enregistré.
Last updated on : 2013-04-14 14:48:41 +020
Ghostscript est un calculateur bidirectionnel de données PostScript offrant la possibilité de produire du PostScript sur différentes cibles. Il est utilisé pour être une pièce de la pile d'impression, mais il n'est pas beaucoup utilisé pour cela.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.ghostscript.com/public/ghostscript-9.15.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 0ee21d975c67a4883ba66bcc332418f5
Taille du téléchargement : 27 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 217 Mo (includes installing libgs.so, add 5 Mo if the fonts are installé)
Estimation du temps de construction : 2.5 SBU (includes building and installing libgs.so)
si vous le souhaitez, vous pouvez télécharger des polices supplémentaires.
Polices standards
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/gs-fonts/ghostscript-fonts-std-8.11.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6865682b095f8c4500c54b285ff05ef6
Taille du téléchargement : 3.7 Mo
Autres polices
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/gs-fonts/gnu-gs-fonts-other-6.0.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 33457d3f37de7ef03d2eea05a9e6aa4f
Taille du téléchargement : 796 Ko
FreeType-2.5.5, libjpeg-turbo-1.4.0, libpng-1.6.16 LibTIFF-4.0.3 et Little CMS-2.6
cairo-1.14.0, Cups-2.0.2, Fontconfig-2.11.1 (requis, si vous avez installé une police suggérée), gtk+-2.24.26, libidn-1.29, libpaper-1.1.24+nmu4, little cms-1.19 (pas utilisé par défaut, seulement si lcms2 n'est pas présent ou pas trouvé) et X Window System
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gs
Le système de construction de Ghostscript n'est pas simple. Afin d'utiliser des copies du systèmes de divers bibliothèques graphiques, vous devez le faire en utilisant les méthodes traditionnelles.
GPL Ghostscript inclue des (anciennes) copies de quelques bibliothèques. Certains d'entre eux semblent avoir été modifié pour corriger failles connues, mais d'autres de ces copies sont moins bien maintenus. Afin de s'assurer que les correctifs futurs sont appliqués dans tout le système, il est recommandé que vous installiez en premier les versions publiées de ces bibliothèques et que vous configuriez GPL Ghostscript pour créer un lien vers elles. Cette configuration comporte plusieurs étapes.
Si vous avez installé ces dépendances sur votre système, supprimez les copies d'expat, de freetype, lcms2, libjpeg et de libpng :
sed -i 's/ZLIBDIR=src/ZLIBDIR=$includedir/' configure.ac configure && rm -rf expat freetype lcms2 jpeg libpng
Compilez Ghostscript :
rm -rf zlib && ./configure --prefix=/usr --disable-compile-inits \ --enable-dynamic --with-system-libtiff && make
La bibliothèque partagée dépend de gtk+-2.24.26. Elle n'est utilisée que dans des programmes externes comme asymptote-2.32 et ImageMagick-6.9.0-6.
Pour compiler la bibliothèque partagçe libgs.so
, lancez la commande supplémentaire
suivante en tant qu'utilisateur non privilégié :
make so
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests. Cependant, vous pouvez tester l'opération du programme gs nouvellement construit en lançant la commande suivante (à lancer dans un terminal X Windows) :
bin/gs -Ilib -IResource/Init -dBATCH examples/tiger.eps
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous voulez également la bibliothèque partagée :
make soinstall && install -v -m644 base/*.h /usr/include/ghostscript && ln -v -s ghostscript /usr/include/ps
Maintenant rendez la documentation accessible au bon endroit :
ln -sfv ../ghostscript/9.15/doc /usr/share/doc/ghostscript-9.15
Si vous avez télécharger des polices, déballez toutes les
polices que vous avez téléchargées dans /usr/share/ghostscript
et assurez-vous que
les fichiers appartiennent bien à root
> :nbsp;: root
. Remplacez <archive-tar-police>
comme il faut dans la commande ci-dessous selon les polices
que vous souhaitez installer :
tar -xvf ../<font-tarball>
-C /usr/share/ghostscript --no-same-owner &&
fc-cache -v /usr/share/ghostscript/fonts/
sed -i 's/ZLIBDIR=src/ZLIBDIR=$includedir/' ... : Corrige la construction avec la version système de zlib.
rm -rf zlib : zlib est installé par LFS
--disable-compile-inits
: Cette
option fait que gs et libgs.so
sont un peu plus petit.
--with-system-libtiff
: enlevez
cete option si vous n'avez pas installé LibTIFF-4.0.3.
install -v -m644 base/*.h... : Certains paquets (ImageMagick en fait partie) ont besoin que les en-têtes de l'interface Ghostscript soient en place pour se lier à la bibliothèque partagée. Ces commandes installent les en-têtes.
ln -v -s ghostscript /usr/include/ps : Certains paquets s'attendent à trouver les en-têtes de l''interface à un autre endroit.
ln -sfv ../ghostscript-9.15/doc ... : Ceci crée un lien symbolique vers la documentation à l'endroit où elle devrait être.
--disable-cups
: cette option
sauvegardera de l'espace en ne liant pas gs et libgs.so
aux bilibothèques Cups-2.0.2 si vous les
avez installées.
is un interpreteur pour Adobe Systems' PostScript(tm) et Portable Document Format (PDF). |
|
fournit la fonctionnalité Ghostscript à d'autres programmes, comme GSView, ImageMagick, et libspectre. |
GPL Ghostscript fournit de nombreux scripts variés utilisés pour convertir des fichiers PostScript, PDF et d'autres formats. Merci de vous reporter à la documentation HTML ou aux pages de manuel pour des informations sur les possibilités offertes par le paquet.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet Gutenprint (anciennement Gimp-Print) contient des pilotes de grande qualité pour de nombreuses marques et de nombreux modèles d'imprimantes pour une utilisation avec GPL-Ghostscript-9.15, Cups-2.0.2, Foomatic, et GIMP-2.0. Voir une liste des imprimantes supportées sur http://gutenprint.sourceforge.net/p_Supported_Printers.php.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/gimp-print/gutenprint-5.2.10.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9ff027103bafac419c37e19da75163ae
Taille du téléchargement : 6.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 73 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
ImageMagick-6.9.0-6, texlive-20140525 (ou install-tl-unx) Doxygen-1.8.9.1 et DocBook-utils-0.6.14
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/gutenprint
Si vous prevoyez d'utiliser escputil avec une imprimante Epson Stylus connecté en USB pour les commandes comme --ink-level qui demande d'accéder au périphérique, vous devez activer le pilote usblp du noyau. Activez les options suivantes dans votre noyau et recompilez le noyau:
Device Drivers --->
[*] USB support ---> [CONFIG_USB_SUPPORT]
<*/M> OHCI HCD (USB 1.1) support [CONFIG_USB_OHCI_HCD]
<*/M> UHCI HCD (most Intel and VIA) support [CONFIG_USB_UHCI_HCD]
<*/M> USB Printer support [CONFIG_USB_PRINTER]
Installez Gutenprint en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's|$(PACKAGE)/doc|doc/$(PACKAGE)-$(VERSION)|' \ {,doc/,doc/developer/}Makefile.in && ./configure --prefix=/usr --disable-static && make
Pour tester les résultats, effectuez make check. Au dernier test (version 5.2.7, LFS-7.1 sur un PC monoprocesseur avec peu de mémoire), ceci a pris plus de 800 SBUs (plus de deux jours sur ce PC) et il a utilisé un espace disque supplémentaire de 678 Mo.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/gutenprint-5.2.10/api/gutenprint{,ui2} && install -v -m644 doc/gutenprint/html/* \ /usr/share/doc/gutenprint-5.2.10/api/gutenprint && install -v -m644 doc/gutenprintui2/html/* \ /usr/share/doc/gutenprint-5.2.10/api/gutenprintui2
sed -i '...'
...Makefile.in : Cette commande est
utilisée pour qu la documentation du paquet soit installée
dans la structure habituelle du répertoire /usr/share/doc
et non dans /usr/share/gutenprint/doc
.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche les bibliothèques statiques de s'installer.
Pour que CUPS voie les
drivers nouvellement installés, il faut le erdémarrer (en
tant qu'utilisateur root
user) :
/etc/rc.d/init.d/cups restart
Puis, faites pointer votre navigateur Internet vers http://localhost:631/ pour ajouter une nouvelle imprimante à CUPS.
calibre la sortie en couleurs des imprimantes en utilisant les pilotes Gutenprint, CUPS ou ESP Print Pro. |
|
est un outil en ligne de commande pour effectuer diverses tâches de maintenance sur des imprimantes Epson Stylus à jet d'encre. |
|
est un pilote Ghostscript pour les imrpimantes HP laser ou à jet d'encre. |
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Ce chapitre contient des applications de numérisation qui vous permettent de convertir des documents imprimés en documents formatés lisibles par d'autres applications.
SANE est le nom court pour Scanner Access Now Easy. Cependant, l'accès au scanner est loin d'être facile, vu que chaque fabricant a ses propres protocoles. Le seul protocole connu qui devrait apporter un peu d'unité dans ce chaos est l'interface TWAIN, mais c'est trop imprécis pour permettre un environnement de numérisation stable. SANE est donc fourni avec son propre protocole et on ne peut pas utiliser les pilotes du fabricant.
SANE est divisé en fondations et en interfaces. Les fondations sont des pilotes des scanners et des appareils photo. Les interfaces sont des interfaces utilisateur pour accéder aux fondations.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://fossies.org/linux/misc//sane-backends-1.0.24.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 1ca68e536cd7c1852322822f5f6ac3a4
Taille du téléchargement : 5.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 97 Mo
Estimation du temps de construction : 1 SBU
Téléchargement (HTTP) : http://alioth.debian.org/frs/download.php/file/1140/sane-frontends-1.0.14.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp2.sane-project.org/pub/sane/sane-frontends-1.0.14.tar.gz
Downlaod MD5 sum: c63bf7b0bb5f530cf3c08715db721cd3
Taille du téléchargement : 231 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3.0 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
avahi-0.6.31, Cups-2.0.2, libjpeg-turbo-1.4.0, LibTIFF-4.0.3, libusb-1.0.19, v4l-utils-1.6.2, Net-SNMP, libieee1284, libgphoto2, et texlive-20140525 (ou install-tl-unx)
X Window System, gtk+-2.24.26, et Gimp-2.8.14
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sane
Pour accéder à votre scanner, vous aurez probablement besoin les pilotes associés du noyau et/ou les paquets de support supplémentaires. Un scanner SCSI aura besoin des pilotes SCSI, un scanner en port parallèle a besoin du support du port parallèle (vous devriez utiliser les modes EPP amélioré) et peut-être libieee1284 et un scanner USB aura besoin du paquet libusb-1.0.19. Pour les périphériques HP, vous aurez besoin de hplip. Assurez-vous d'avoir correctement configuré les pilotes nécessaires pour accéder aux périphériques.
vous pouvez ignorer sans problème tous les messages affichés à l'écran quand vous déballez le paquet.
Le démon SANE devrait se
lancer avec son propre groupe. Créez ce groupe en exécutant
les commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
groupadd -g 70 scanner
L'utilisateur de construction SANE-backends doit être membre du
groupe scanner
avant de
commencer. Après que vous ayez ajouté l'utilisateur
construisant le paquet au groupe scanner
, tapez la commande suivante
pour créer un nouveau shell :
su $(whoami)
Vérifiez la sortie de la commande groups
et assurez vous
que l'utilisateur est membre du groupe scanner
.
Pour un scanner USB, si vous êtes lié à libusb-1.0.19, ajouter le paramètre de configuration --enable-libusb_1_0. Installez les fondations de SANE en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc \ --localstatedir=/var \ --with-docdir=/usr/share/doc/sane-backend-1.0.24 \ --with-group=scanner && make && exit
Si vous voulez tester les résultats, quelques fichiers doivent être corrigés :
sed -i -e 's/Jul 31 07:52:48/Oct 7 08:58:33/' \ -e 's/1.0.24git/1.0.24/' \ testsuite/tools/data/db.ref \ testsuite/tools/data/html-mfgs.ref \ testsuite/tools/data/usermap.ref \ testsuite/tools/data/html-backends-split.ref \ testsuite/tools/data/udev+acl.ref \ testsuite/tools/data/udev.ref
Pour tester les résultats, tapez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -m 644 -v tools/udev/libsane.rules \ /etc/udev/rules.d/65-scanner.rules && chgrp -v scanner /var/lock/sane
En ayant le scanner allumé, lancez scanimage -L et le nom et le chemin du périphérique apparaîtront, bien sur, vous devez configurer le pilote, avant de lancer les tests.
Le paquet SANE-frontends inclus les interfaces graphiques xscanimage et xcam ainsi qu'une interface en ligne de commande scanadf. Vous n'avez pas besoin de ce paquet si vous souhaitez utiliser une des interfaces graphiques plus avancées comme XSane-0.999. Pour une liste des paquets d'interface, voir http://www.sane-project.org/sane-frontends.html.
Pour installer SANE-frontends, utilisez les commandes suivantes :
sed -i -e "/SANE_CAP_ALWAYS_SETTABLE/d" src/gtkglue.c && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m644 doc/sane.png xscanimage-icon-48x48-2.png \ /usr/share/sane
Si vous avez lié GIMP à la
construction et si vous souhaitez que GIMP utilise xscanimage comme plugin
de numérisation, exécutez les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
ln -v -s ../../../../bin/xscanimage /usr/lib/gimp/2.0/plug-ins
Si le plugin xscanimage est désactivé du menu de GIMP, pour l'activer , "créez" une image blanche en utilisant le menu ou Ctrl-N. Après cela, il sera activé.
--sysconfdir=/etc
: Ce
paramètre installe les fichiers de configuration dans
/etc/sane.d
et non dans
/usr/etc/sane.d
.
--with-group=scanner
:
Ce paramètre fait que le répertoire créé pour les fichiers de
verrou doit appartenir au groupe scanner
au lieu du groupe par défaut
uucp
.
exit: Cette commande est utilisée pour sortir du shell créé par la commande su.
Les fichiers de configuration des fondations se trouvent
dans /etc/sane.d
. Vous
pouvez des informations sur la configuration des diverses
fondations en utilisant la page de man(5) de la fondation
désirée. Lancez man
sane-<fondation>
,
en remplaçant par la fondation désirée.
Ajoutez les utilisateurs désirés au groupe scanner
group.
Si vous voulez accéder à un scanner réseau, ajoutez deux
lignes dans net.conf
, en
tant qu'utilisateur root
(soyez certain de remplacer <server_ip> par la
bonne valeur):
cat >> /etc/sane.d/net.conf << "EOF" connect_timeout = 60 <server_ip> EOF
Coté du serveur, ajoutez l'ip du client dans la liste
d'accès de /etc/sane.d/saned.conf
, redémarrez le
démon saned, et soyez certain
que le pare-feu, s'il y en a un, est ouvert pour le
client.
Si vous utilisez un environnement de bureau comme
Gnome ou KDE vous devrez créer un fichier
xscanimage.desktop
pour que
xscanimage apparaisse
dans le menu. En tant qu'utilisateur root
:
mkdir -pv /usr/share/{applications,pixmaps} && cat > /usr/share/applications/xscanimage.desktop << "EOF" && [Desktop Entry] Encoding=UTF-8 Name=XScanImage - Scanning Comment=Acquire images from a scanner Exec=xscanimage Icon=xscanimage Terminal=false Type=Application Categories=Application;Graphics EOF ln -svf ../sane/xscanimage-icon-48x48-2.png /usr/share/pixmaps/xscanimage.png
Pour des informations générales sur la configuration et l'utilisation de SANE, voir man sane. Linux-2.6.x apporte des problèmes spéciaux en matière d'image. Voir http://www.sane-project.org/README.linux pour des informations sur l'utilisation de SANE avec le noyau Linux-2.6.x. Pour des informations sur les périphériques scanner USB, lancez man sane-usb. Pour des informations sur les périphériques SCSI, lancez man sane-scsi.
Le démon saned n'est pas conçu
pour être utilisé pour des clients non fiables. Vous
devriez fournir une protection Pare-feu pour vous
assurer que seuls des clients de confiance accèdent au
démon. Vu la complexité des exigences de sécurité pour
être sûr que seuls les clients de confiance accèdent au
démon, BLFS ne fournit pas d'instructions pour configurer
le démon saned. Si vous désirez
rendre le démon disponible, assurez-vous de fournir la
sécurité adaptée, de configurer votre fichier
[x]inetd.conf
et d'envoyer
un SIGHUP
au démon [x]inetd. Vous pouvez trouver de bonnes
informations sur le paramétrage et la sécurisation du
démon saned
sur http://penguin-breeder.org/sane/saned/.
crée une table gamma au format attendu par scanimage. |
|
est un outil utilisé pour déterminer les drapeaux du compilateur et de l'éditeur de liens qui devraient être utilisés pour compiler et lier SANE. |
|
est le démon SANE qui permet à un client distant d'accéder aux périphériques d'acquisition d'images disponibles sur l'hôte local. |
|
est un outil en ligne de commande pour chercher des scanners SCSI et USB et pour déterminer leurs fichiers de périphérique. Son premier objectif est d'assurer que les scanners puissent être détectés par les fondations SANE. |
|
est une interface en ligne de commande pour contrôler des des périphériques d'acquisition d'image équipés d'un alimenteur automatique de document (automatic document feeder (ADF). |
|
est une interface en ligne de commande pour numériser à partir de périphériques d'acquisition d'image tels que des scanners à plat ou des appareils photos. On l'utilise aussi pour lister les périphériques fondations disponibles. |
|
est une interface d'appareil photo graphique pour SANE. |
|
est une interface graphique pour la manipulation d'images. |
|
est l'interface de programmation de l'application utilisée pour communiquer entre des interfaces et des fondations. |
|
ces modules sont des plugins de bibliothèque de numérisation des fondations utilisées comme interface avec les périphériques de numérisation. See http://www.sane-project.org/sane-supported-devices.html for a list of supported backends. |
Last updated on : 2012-11-05 17:24:47 +010
XSane est une autre interface avec SANE-1.0.24. Il dispose de fonctionnalités supplémentaires pour améliorer la qualité d'image et faciliter l'utilisation par rapport à xscanimage.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.xsane.org/download/xsane-0.999.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9927f21e1ab6ba96315e7f0e30746deb
Taille du téléchargement : 2.9 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 23 Mo
Estimation du temps de construction : 0.2 SBU
gtk+-2.24.26 et SANE-1.0.24 (fondations)
little cms-1.19 et Gimp-2.8.14
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xsane
Installez XSane en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e 's/png_ptr->jmpbuf/png_jmpbuf(png_ptr)/' src/xsane-save.c && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make xsanedocdir=/usr/share/doc/xsane-0.999 install && ln -v -s ../../doc/xsane-0.999 /usr/share/sane/xsane/doc
Un navigateur de votre choix peut être utilisé pour obtenir
de l'aide en ligne, l'utilisation de la commande suivante, en
tant qu'utilisateur root
:
ln -v -s <browser> /usr/bin/netscape
Soyez certain de remplacer <browser> avec le navigateur de votre choix de votre système.
Alternativement, si la variable d'environnement BROWSER est initialisée pour le navagateur que vous voulez utiliser, par exemple, BROWSER="/usr/bin/firefox", la première fois que vous lancez xsane, il sera enregistré dans ~/.sane/xsane/xsane.rc. Si vous souhaitez le changer, éditez ce fichier, ou effacez le, et utilisez les instructions suivantes pour qu'un nouveau soit créé.
Si GIMP est installé,
exécutez la commande suivante en tant qu'utilisateur
root
:
ln -v -s /usr/bin/xsane /usr/lib/gimp/2.0/plug-ins/
ln -v -s ../../doc/xsane-0.999 /usr/share/sane/xsane/doc : On crée ce lien symbolique pour garantir que tout programme qui cherche la documentation de XSane à l'emplacement par défaut le trouvera, vu que la documentation est installée à un autre endroit spécifié dans la commande make install.
ln -v -s /usr/bin/xsane
/usr/lib/gimp/2.0/plug-ins/ : Ceci crée
un lien dans le répertoire plug-ins
de GIMP de tout le système pour que les
utilisateurs puissent accéder au répertoire GIMP de XSane. GIMP doit être disponible avant de
construire XSane pour que
cela fonctionne. Sinon, créez le lien ~/.gimp-2.0/plug-ins/
pour offrir un accès
individuel à l'utilisateur. man
xsane pour des informations supplémentaires.
Last updated on : 2013-02-11 19:51:17 +010
Ce chapitre contient des définitions de type de document (document type definitions) (DTDs) DocBook SGML, des feuilles de style DocBook DSSSL et des outils DocBook pour valider, transformer, formatter et publier des documents DocBook.
Le paquet SGML Common contient install-catalog. C'est utile pour créer et maintenir des catalogues SGML centralisés.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://sources.redhat.com/pub/docbook-tools/new-trials/SOURCES/sgml-common-0.6.3.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 103c9828f24820df86e55e7862e28974
Taille du téléchargement : 75 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.5 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sgml-common
Au lieu convention normale consistant à inclure les fichiers
autotools dans le paquet, les mainteneurs ont inclu des liens
symboliques vers les fichiers de /usr/share/automake
. Pour les versions
précédentes de Automake,
cette convention va bien, mais les versions récentes de
Automake installent les
fichiers internes dans des répertoires spécifiques à la
version. Cela aboutit à ce que le script configure s'arrête. Pour
corriger cette erreur, les autotools sont régénérés. Vu que
le fichier Makefile.am
inclu
utilise une syntaxe pas supportée par les versions actuelles
de Automake, un correctif
est requis pour corriger la syntaxe.
patch -Np1 -i ../sgml-common-0.6.3-manpage-1.patch && autoreconf -f -i
Installez SGML Common en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr --sysconfdir=/etc && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make docdir=/usr/share/doc install && install-catalog --add /etc/sgml/sgml-ent.cat \ /usr/share/sgml/sgml-iso-entities-8879.1986/catalog && install-catalog --add /etc/sgml/sgml-docbook.cat \ /etc/sgml/sgml-ent.cat
Supprimez les éléments de catalogue ci-dessus avant de
mettre à jour (en tant qu'utilisatekr root
) avec :
install-catalog --remove /etc/sgml/sgml-ent.cat \ /usr/share/sgml/sgml-iso-entities-8879.1986/catalog && install-catalog --remove /etc/sgml/sgml-docbook.cat \ /etc/sgml/sgml-ent.cat
crée un catalogue centralisé qui maintient des
références aux catalogues répandus dans
l'arborescence du répertoire |
|
affichera sur la sortie standard le nom du fichier principal de configuration. |
|
contient les entités de caractères de base avec des entrées SDATA. |
|
contient les entités de caractères de base définies par la une représentation hexadécimale du numéro de caractère Unicode. |
Last updated on : 2013-03-04 21:19:24 +010
L'application DocBook SGML DTD contaient des définitions de type de document pour la vérification de fichiers de données SGML par rapport à la réglementation DocBook. Elles sont utiles pour structurer des livres et des documentations de logiciel selon un standard vous permettant d'utiliser des transformations déjà écrites pour ce standard.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.docbook.org/sgml/3.1/docbk31.zip
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.kde.org/pub/kde/devel/docbook/SOURCES/docbk31.zip
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 432749c0c806dbae81c8bcb70da3b5d3
Taille du téléchargement : 55 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 676 Ko
Estimation du temps de construction : 0.01 SBU
SGML-Common-0.6.3 et UnZip-6.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sgml-dtd-3
Les sources du paquet sont distribuées au format
zip
et exigent unzip. Vous devriez créer
un répertoire et vous y rendre avant de dézipper le fichier
pour faciliter la suppression des fichiers sources après
que le paquet a été installé.
Installez DocBook SGML DTD en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e '/ISO 8879/d' \ -e 's|DTDDECL "-//OASIS//DTD DocBook V3.1//EN"|SGMLDECL|g' \ docbook.cat
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
install -v -d -m755 /usr/share/sgml/docbook/sgml-dtd-3.1 && chown -R root:root . && install -v docbook.cat /usr/share/sgml/docbook/sgml-dtd-3.1/catalog && cp -v -af *.dtd *.mod *.dcl /usr/share/sgml/docbook/sgml-dtd-3.1 && install-catalog --add /etc/sgml/sgml-docbook-dtd-3.1.cat \ /usr/share/sgml/docbook/sgml-dtd-3.1/catalog && install-catalog --add /etc/sgml/sgml-docbook-dtd-3.1.cat \ /etc/sgml/sgml-docbook.cat
sed -i -e '/ISO 8879/d' docbook.cat : Cette commande supprime les définitions ENT du fichier catalogue.
sed -i -e 's|DTDDECL "-//OASIS//DTD Docbook V3.1//EN"|SGMLDECL|g' docbook.cat : Cette commande remplace l'entrée de catalogue DTDDECL qui n'est pas supportée par les outils SGML de Linux, par l'entrée de catalogue SGMLDECL.
Le script d'installation ci-dessus met à jour le catalogue.
L'utilisation unique de la version 4.x la plus récente de
DocBook SGML DTD exige ce
qui suit (à exécuter en tant qu'utilisateur root
) :
cat >> /usr/share/sgml/docbook/sgml-dtd-3.1/catalog << "EOF"
-- Begin Single Major Version catalog changes --
PUBLIC "-//Davenport//DTD DocBook V3.0//EN" "docbook.dtd"
-- End Single Major Version catalog changes --
EOF
Last updated on 2011-10-23 21:13:45 +0200
Le paquet DocBook SGML DTD contient des définitions de type de document pour vérifier des fichiers de données SGML vis-à-vis de la réglementation DocBook. Elles sont utiles pour structurer des livres et des documentations de logiciel selon un standard vous permettant d'utiliser des transformations déjà écrites pour ce standard.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.docbook.org/sgml/4.5/docbook-4.5.zip
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 07c581f4bbcba6d3aac85360a19f95f7
Taille du téléchargement : 70 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 784 Ko
Estimation du temps de construction : 0.01 SBU
SGML-Common-0.6.3 et UnZip-6.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/sgml-dtd
Les sources du paquet sont distribuées au format
zip
et exigent unzip. Vous devriez créer
un répertoire et vous y rendre avant de dézipper le fichier
pour faciliter la suppression des fichiers sources après
que le paquet a été installé.
Installez DocBook SGML DTD en lançant les commandes suivantes :
sed -i -e '/ISO 8879/d' \ -e '/gml/d' docbook.cat
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
install -v -d /usr/share/sgml/docbook/sgml-dtd-4.5 && chown -R root:root . && install -v docbook.cat /usr/share/sgml/docbook/sgml-dtd-4.5/catalog && cp -v -af *.dtd *.mod *.dcl /usr/share/sgml/docbook/sgml-dtd-4.5 && install-catalog --add /etc/sgml/sgml-docbook-dtd-4.5.cat \ /usr/share/sgml/docbook/sgml-dtd-4.5/catalog && install-catalog --add /etc/sgml/sgml-docbook-dtd-4.5.cat \ /etc/sgml/sgml-docbook.cat
sed -i -e '/ISO 8879/d' -e '/gml/d' docbook.cat : Cette commande supprime les définitions ENT du fichier catalogue.
Le script d'installation ci-dessus met à jour le catalogue.
L'utilisation seulement de la version la plus actuelle,
4.x, de DocBook SGML DTD
exige ce qui suit (à effectuer en tant qu'utilisateur
root
) :
cat >> /usr/share/sgml/docbook/sgml-dtd-4.5/catalog << "EOF"
-- Begin Single Major Version catalog changes --
PUBLIC "-//OASIS//DTD DocBook V4.4//EN" "docbook.dtd"
PUBLIC "-//OASIS//DTD DocBook V4.3//EN" "docbook.dtd"
PUBLIC "-//OASIS//DTD DocBook V4.2//EN" "docbook.dtd"
PUBLIC "-//OASIS//DTD DocBook V4.1//EN" "docbook.dtd"
PUBLIC "-//OASIS//DTD DocBook V4.0//EN" "docbook.dtd"
-- End Single Major Version catalog changes --
EOF
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet OpenSP contient une bibliothèque C++ pour utiliser des fichiers SGML/XML. C'est utile pour valider, analyser et manipuler des documents SGML et XML.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/openjade/OpenSP-1.5.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 670b223c5d12cee40c9137be86b6c39b
Taille du téléchargement : 1.5 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 32 Mo
Estimation du temps de construction : 1.0 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/opensp
Installez OpenSP en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's/32,/253,/' lib/Syntax.cxx && sed -i 's/LITLEN 240 /LITLEN 8092/' \ unicode/{gensyntax.pl,unicode.syn} && ./configure --prefix=/usr \ --disable-static \ --disable-doc-build \ --enable-default-catalog=/etc/sgml/catalog \ --enable-http \ --enable-default-search-path=/usr/share/sgml && make pkgdatadir=/usr/share/sgml/OpenSP-1.5.2
Pour tester les résultats, exécutez :make check. Il se peut que près de neuf tests sur 23 échouent. Ne vous en alarmez pas.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make pkgdatadir=/usr/share/sgml/OpenSP-1.5.2 \ docdir=/usr/share/doc/OpenSP-1.5.2 \ install && ln -v -sf onsgmls /usr/bin/nsgmls && ln -v -sf osgmlnorm /usr/bin/sgmlnorm && ln -v -sf ospam /usr/bin/spam && ln -v -sf ospcat /usr/bin/spcat && ln -v -sf ospent /usr/bin/spent && ln -v -sf osx /usr/bin/sx && ln -v -sf osx /usr/bin/sgml2xml && ln -v -sf libosp.so /usr/lib/libsp.so
sed -i
's/32,/253,/...unicode.syn}
: seds empêchent
des messages ennuyeux qui pourraient apparaître pendant
l'exécution d'openjade.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche la construction d'une bibliothèque
statique.
--enable-http
:
Ce paramètre ajoute le support de HTTP.
--enable-default-catalog=/etc/sgml/catalog
:
Ce paramètre règle le chemin vers le catalogue centralisé.
--enable-default-search-path
:
Ce paramètre règle la valeur par défaut de SGML_SEARCH_PATH
.
--enable-xml-messages
: Ce
paramètre ajoute le support pour les messages formatés en
XML.
--disable-doc-build
: Ce
paramètre empêche le script configure de vérifier si
vous avez installé xmlto. Si
vous avez xmlto, vous pouvez
supprimer cette option.
make
pkgdatadir=/usr/share/sgml/OpenSP-1.5.2 :
Ceci paramètre la variable pkgdatadir dens le Makefile
de /usr/share/OpenSP
en /usr/share/sgml/OpenSP-1.5.2
.
ln -v -sf ... : Ces commandes créent les équivalents SP des exécutables et des bibliothèques d'OpenSP.
est utiliser pour traiter des fichiers SGML. |
|
affiche sur la sortie standard une instance de document normalisé pour le document SGML contenu dans la concaténation des entités avec des identifiants systèmes .nf et .fi. |
|
est un éditeur de flux de balises. |
|
affiche des identifiants systèmes effectifs trouvés dans les catalogues. |
|
offre l'accès au gestionnaire d'entités d'OpenSP. |
|
est un normaliseur utilisé pour convertir des fichiers SGML en fichiers XML. |
|
est un lien symbolique vers onsgmls. |
|
est un lien symbolique vers osx. |
|
est un lien symbolique vers osgmlnorm. |
|
est un lien symbolique vers ospam. |
|
est un lien symbolique vers ospcat. |
|
est un lien symbolique vers ospent. |
|
est un lien symbolique vers osx. |
|
contient des fonctions requises par le programmes OpenSP pour analyser, valider et manipuler des fichiers SGML et XML. |
|
est un lien symbolique vers |
Last updated on : 2012-07-28 23:45:43 +020
Le paquet OpenJade contient un moteur DSSSL. C'est utile pour les transformations SGML et XML en RTF, TeX, SGML et XML.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/openjade/openjade-1.3.2.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7df692e3186109cc00db6825b777201e
Taille du téléchargement : 880 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 19.2 Mo
Estimation du temps de construction : 0.7 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/openjade
Corrigez tout d'abord un problème de compilation identifié dans gcc-4.6 et supérieur :
patch -Np1 -i ../openjade-1.3.2-gcc_4.6-1.patch
Corrigez maintenant un problème de compilation avec perl-5.16 et supérieur:
sed -i -e '/getopts/{N;s#&G#g#;s#do .getopts.pl.;##;}' \ -e '/use POSIX/ause Getopt::Std;' msggen.pl
Installez OpenJade en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --mandir=/usr/share/man \ --enable-http \ --disable-static \ --enable-default-catalog=/etc/sgml/catalog \ --enable-default-search-path=/usr/share/sgml \ --datadir=/usr/share/sgml/openjade-1.3.2 && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && make install-man && ln -v -sf openjade /usr/bin/jade && ln -v -sf libogrove.so /usr/lib/libgrove.so && ln -v -sf libospgrove.so /usr/lib/libspgrove.so && ln -v -sf libostyle.so /usr/lib/libstyle.so && install -v -m644 dsssl/catalog /usr/share/sgml/openjade-1.3.2/ && install -v -m644 dsssl/*.{dtd,dsl,sgm} \ /usr/share/sgml/openjade-1.3.2 && install-catalog --add /etc/sgml/openjade-1.3.2.cat \ /usr/share/sgml/openjade-1.3.2/catalog && install-catalog --add /etc/sgml/sgml-docbook.cat \ /etc/sgml/openjade-1.3.2.cat
make install-man : Cette commande installe la page de man de openjade.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche la construction de la bibliothèque
statique.
--enable-http
:
Ce paramètre ajoute le support de HTTP.
--enable-default-catalog=/etc/sgml/catalog
:
Ce paramètre règle le path vers le catalogue centralisé.
--enable-default-search-path
:
Ce paramètre règle la valeur par défaut de SGML_SEARCH_PATH
.
--datadir=/usr/share/sgml/openjade-1.3.2
:
Ce paramètre met des fichiers de données dans /usr/share/sgml/openjade-1.3.2
au lieu de
/usr/share
.
ln -v -sf ... : Ces commandes créent les équivalents Jade des exécutables et des bibliothèques OpenJade.
En tant qu'utilisateur root
:
echo "SYSTEM \"http://www.oasis-open.org/docbook/xml/4.5/docbookx.dtd\" \ \"/usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5/docbookx.dtd\"" >> \ /usr/share/sgml/openjade-1.3.2/catalog
Cette configuration n'est nécessaire que si vous souhaitez utiliser OpenJade pour traiter les fichiers XML de BLFS avec des feuilles de style DSSSL.
Last updated on : 2012-06-19 15:25:53 +020
Le paquet DocBook DSSSL Stylesheets contient des feuilles de style DSSSL. Elles sont utilisées par OpenJade ou par d'autres outils pour transformer des fichiers SGML et DocBook XML.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/docbook/docbook-dsssl-1.79.tar.bz2
Téléchargement (FTP) : ftp://mirror.ovh.net/gentoo-distfiles/distfiles/docbook-dsssl-1.79.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : bc192d23266b9a664ca0aba4a7794c7c
Taille du téléchargement : 277 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Documentation et données de test
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/docbook/docbook-dsssl-doc-1.79.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 9a7b809a21ab7d2749bb328334c380f2
Taille du téléchargement : 142 Ko
DocBook SGML-DTD-3.1, DocBook SGML-DTD-4.5, OpenSP-1.5.2 et OpenJade-1.3.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/docbook-dsssl
Si vous avez téléchargé la documentation, lancez :
tar -xf ../docbook-dsssl-doc-1.79.tar.bz2 --strip-components=1
Installez DocBook DSSSL
Stylesheets en lançant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -m755 bin/collateindex.pl /usr/bin && install -v -m644 bin/collateindex.pl.1 /usr/share/man/man1 && install -v -d -m755 /usr/share/sgml/docbook/dsssl-stylesheets-1.79 && cp -v -R * /usr/share/sgml/docbook/dsssl-stylesheets-1.79 && install-catalog --add /etc/sgml/dsssl-docbook-stylesheets.cat \ /usr/share/sgml/docbook/dsssl-stylesheets-1.79/catalog && install-catalog --add /etc/sgml/dsssl-docbook-stylesheets.cat \ /usr/share/sgml/docbook/dsssl-stylesheets-1.79/common/catalog && install-catalog --add /etc/sgml/sgml-docbook.cat \ /etc/sgml/dsssl-docbook-stylesheets.cat
Les commandes ci-dessus créent un script d'installation pour ce paquet.
Les commandes suivantes effectueront les tests nécessaires
pour confirmer que l'ensemble d'outils DocBook SGML installé
produira les résultats désirés. Vous devez avoir installé les
paquets DocBook SGML-DTD-3.1, DocBook
SGML-DTD-4.5, OpenSP-1.5.2 et OpenJade-1.3.2 et
effectuer les tests en tant qu'utilisateur root
.
Tous les tests seront effectués à partir du répertoire
/usr/share/sgml/docbook/dsssl-stylesheets-1.79/doc/testdata
en tant qu'utilisateur root
:
cd /usr/share/sgml/docbook/dsssl-stylesheets-1.79/doc/testdata
Le premier test ne devrait donner aucun résultat sur la
sortie standard. (votre écran) et créer un fichier nommé
jtest.rtf
dans le répertoire
actuel :
openjade -t rtf -d jtest.dsl jtest.sgm
Le test suivant ne devrait renvoyer que la ligne suivante sur
la sortie standard onsgmls:I:
"OpenSP" version "1.5.2"
onsgmls -sv test.sgm
Le test suivant ne devrait donner aucun résultat sur la
sortie standard. et créer un fichier nommé test.rtf
dans le répertoire actuel :
openjade -t rtf \ -d /usr/share/sgml/docbook/dsssl-stylesheets-1.79/print/docbook.dsl \ test.sgm
Le dernier test ne devrait donner aucun résultat sur la
sortie standard. et créer un fichier nommé c1.htm
dans le répertoire actuel :
openjade -t sgml \ -d /usr/share/sgml/docbook/dsssl-stylesheets-1.79/html/docbook.dsl \ test.sgm
Enfin, faites le ménage :
rm jtest.rtf test.rtf c1.htm
Last updated on : 2013-03-04 21:19:24 +010
Le paquet DocBook-utils est un ensemble d'outils scriptés utilisés pour convertir et analyser des documents SGML en général, et des fichiers DocBook en particulier. Les scripts sont utilisés pour convertir à partir de DocBook ou d'autres formats SGML en formats de fichier « classiques » comme HTML, man, info, RTF et bien davantage. Il existe aussi un outil pour comparer deux fichiers SGML et n'affiche que les différences entre les balises. C'est utile pour comparer des documents préparés pour différents langages.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://sources.redhat.com/pub/docbook-tools/new-trials/SOURCES/docbook-utils-0.6.14.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6b41b18c365c01f225bc417cf632d81c
Taille du téléchargement : 124 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.44 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
OpenJade-1.3.2, DocBook DSSSL Stylesheets-1.79, et DocBook SGML-DTD-3.1
SGMLSpm-1.1 (pour la conversion de man et texinfo), et Lynx-2.8.8rel.2 ou Links-2.9 ou w3m-0.5.3 (pour la conversion en texte ASCII)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/docbook-utils
Installez DocBook-utils en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../docbook-utils-0.6.14-grep_fix-1.patch && sed -i 's:/html::' doc/HTML/Makefile.in && ./configure --prefix=/usr --mandir=/usr/share/man && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make docdir=/usr/share/doc install
De nombreux paquets utilisent nom différent pour les scripts
DocBook-utils. Si vous
souhaitez créer ces noms alternatifs, utilisez la commande
suivante en tant qu'utilisateur root
:
for doctype in html ps dvi man pdf rtf tex texi txt do ln -svf docbook2$doctype /usr/bin/db2$doctype done
Le script jw utilise la commande which pour localiser les outils requis. Vous devez installer which-2.20 avant d'essayer d'utiliser un des programmes DocBook-utils.
patch -Np1 -i ../docbook-utils-0.6.14-grep_fix-1.patch : Ce correctif corrige la syntaxe dans le script jw (Jade Wrapper) qui est appelé par de nombreux process db2*, afin que la version actuelle de Grep ne le rejette pas.
sed -i 's:/html::' doc/HTML/Makefile.in : Cette commande modifie le répertoire d'installation de documents HTML.
docdir=/usr/share/doc
: Cette
option est placée dans la ligne make install car elle n'est
pas reconnue par: configure.
sont de simples scripts enveloppes d'une ligne vers jw. Ils sont fournis pour donner des noms faciles à mémoriser utilisés pour convertir des fichiers DocBook ou SGML ou autres dans leurs formats respectifs. |
|
sont des liens symboliques pointant vers des commandes docbook2* respectivement nommés, créés pour satisfaire certaines utilisations par le programme de ces tests. |
|
est un script utilisé pour convertir des fichiers DocBook ou autres SGML en divers formats de sortie. Il cache la plupart de la complexité de OpenJade et ajoute des fonctionnalités comfortables. |
|
est utilisé pour comparer deux fichiers SGML et ne retourner que les différences dans les balises. C'est surtout utile pour comparer des fichiers qui devraient être identiques, sauf pour les différences de langue dans le contenu. |
Last updated on : 2012-07-28 23:45:43 +020
Ce chapitre contient la définition de type de document XML DocBook (DTD) et des feuilles de style DocBook utilisées pour valider, transformer, formatter et publier des documents DocBook.
Le paquet DocBook XML DTD-4.5 contient des définitions de types de document pour la vérification de données de fichiers XML vis-à-vis de la réglementation DocBook. Ils sont utiles pour structurer des livres et des documentations de logiciels selon un standard vous permettant d'utiliser des transformations déjà écrites pour ce standard.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.docbook.org/xml/4.5/docbook-xml-4.5.zip
Téléchargement (FTP) : ftp://mirror.ovh.net/gentoo-distfiles/distfiles/docbook-xml-4.5.zip
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 03083e288e87a7e829e437358da7ef9e
Taille du téléchargement : 96 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.2 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/docbook-xml
Les sources du paquet sont distribuées au format
zip
et exigent unzip. Vous devriez créer
un répertoire et vous y rendre avant de dézipper le fichier
pour faciliter la suppression des fichiers sources après
que le paquet a été installé.
Installez DocBook XML DTD en
lançant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
install -v -d -m755 /usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5 && install -v -d -m755 /etc/xml && chown -R root:root . && cp -v -af docbook.cat *.dtd ent/ *.mod \ /usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5
Créez (ou mettez à jour) et peuplez un fichier catalogue
/etc/xml/docbook
en lançant les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
if [ ! -e /etc/xml/docbook ]; then xmlcatalog --noout --create /etc/xml/docbook fi && xmlcatalog --noout --add "public" \ "-//OASIS//DTD DocBook XML V4.5//EN" \ "http://www.oasis-open.org/docbook/xml/4.5/docbookx.dtd" \ /etc/xml/docbook && xmlcatalog --noout --add "public" \ "-//OASIS//DTD DocBook XML CALS Table Model V4.5//EN" \ "file:///usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5/calstblx.dtd" \ /etc/xml/docbook && xmlcatalog --noout --add "public" \ "-//OASIS//DTD XML Exchange Table Model 19990315//EN" \ "file:///usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5/soextblx.dtd" \ /etc/xml/docbook && xmlcatalog --noout --add "public" \ "-//OASIS//ELEMENTS DocBook XML Information Pool V4.5//EN" \ "file:///usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5/dbpoolx.mod" \ /etc/xml/docbook && xmlcatalog --noout --add "public" \ "-//OASIS//ELEMENTS DocBook XML Document Hierarchy V4.5//EN" \ "file:///usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5/dbhierx.mod" \ /etc/xml/docbook && xmlcatalog --noout --add "public" \ "-//OASIS//ELEMENTS DocBook XML HTML Tables V4.5//EN" \ "file:///usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5/htmltblx.mod" \ /etc/xml/docbook && xmlcatalog --noout --add "public" \ "-//OASIS//ENTITIES DocBook XML Notations V4.5//EN" \ "file:///usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5/dbnotnx.mod" \ /etc/xml/docbook && xmlcatalog --noout --add "public" \ "-//OASIS//ENTITIES DocBook XML Character Entities V4.5//EN" \ "file:///usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5/dbcentx.mod" \ /etc/xml/docbook && xmlcatalog --noout --add "public" \ "-//OASIS//ENTITIES DocBook XML Additional General Entities V4.5//EN" \ "file:///usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5/dbgenent.mod" \ /etc/xml/docbook && xmlcatalog --noout --add "rewriteSystem" \ "http://www.oasis-open.org/docbook/xml/4.5" \ "file:///usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5" \ /etc/xml/docbook && xmlcatalog --noout --add "rewriteURI" \ "http://www.oasis-open.org/docbook/xml/4.5" \ "file:///usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5" \ /etc/xml/docbook
Créez (ou mettez à jour) et peuplez un fichier catalogue
/etc/xml/catalog
en lançant les
commandes suivantes en tant qu'utilisateur root
:
if [ ! -e /etc/xml/catalog ]; then xmlcatalog --noout --create /etc/xml/catalog fi && xmlcatalog --noout --add "delegatePublic" \ "-//OASIS//ENTITIES DocBook XML" \ "file:///etc/xml/docbook" \ /etc/xml/catalog && xmlcatalog --noout --add "delegatePublic" \ "-//OASIS//DTD DocBook XML" \ "file:///etc/xml/docbook" \ /etc/xml/catalog && xmlcatalog --noout --add "delegateSystem" \ "http://www.oasis-open.org/docbook/" \ "file:///etc/xml/docbook" \ /etc/xml/catalog && xmlcatalog --noout --add "delegateURI" \ "http://www.oasis-open.org/docbook/" \ "file:///etc/xml/docbook" \ /etc/xml/catalog
L'installation ci-dessus créeles fichiers et met à jour les
catalogues. Afin d'installer ou de mettre à jour
ScrollKeeper, utilisez
DocBook XML DTD V4.5 quand
on vous demande la version 4.x dans l'identifiant système,
vous devez ajouter des données supplémentaires aux fichiers
catalogues. Si vous avez déjà installé sur votre système un
des DocBook XML DTD
référencé ci-dessous, supprimez ces entrées de la
for command
ci-dessous (effectuez les commandes en tant qu'utilisateur
root
) :
for DTDVERSION in 4.1.2 4.2 4.3 4.4 do xmlcatalog --noout --add "public" \ "-//OASIS//DTD DocBook XML V$DTDVERSION//EN" \ "http://www.oasis-open.org/docbook/xml/$DTDVERSION/docbookx.dtd" \ /etc/xml/docbook xmlcatalog --noout --add "rewriteSystem" \ "http://www.oasis-open.org/docbook/xml/$DTDVERSION" \ "file:///usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5" \ /etc/xml/docbook xmlcatalog --noout --add "rewriteURI" \ "http://www.oasis-open.org/docbook/xml/$DTDVERSION" \ "file:///usr/share/xml/docbook/xml-dtd-4.5" \ /etc/xml/docbook xmlcatalog --noout --add "delegateSystem" \ "http://www.oasis-open.org/docbook/xml/$DTDVERSION/" \ "file:///etc/xml/docbook" \ /etc/xml/catalog xmlcatalog --noout --add "delegateURI" \ "http://www.oasis-open.org/docbook/xml/$DTDVERSION/" \ "file:///etc/xml/docbook" \ /etc/xml/catalog done
contient une définition de type de document qui
définit les types d'élément et les listes
d'attributs qu'on peut utiliser dans les fichiers
|
|
ces fichiers contiennent les composants de la
définition du type de document ayant pour source
les fichiers |
|
fichiers contenant des listes d'entités de caractères nommés autorisées en HTML. |
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Le paquet DocBook XSL Stylesheets contient les feuilles de style XSL. Elles sont utiles pour effectuer des transformations sur des fichiers DocBook XML.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/docbook/docbook-xsl-1.78.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 6dd0f89131cc35bf4f2ed105a1c17771
Taille du téléchargement : 4.8 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 49 Mo (en ajoutant l'installation de la documentation facultative)
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Documentation facultative
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/docbook/docbook-xsl-doc-1.78.1.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 77b63a06db2db2b692dcb96c2c64dc45
Taille du téléchargement : 1.0 Mo
Ruby-2.2.0 (Pour utiliser les feuilles de style « epub »)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/docbook-xsl
Si vous avez téléchargé l'archive tar de la documentation facultative, déballez-la avec la commande suivante :
tar -xf ../docbook-xsl-doc-1.78.1.tar.bz2 --strip-components=1
BLFS n'installe pas les paquets requis pour lancer la suite de tests et fournit des résultats significatifs.
Installez DocBook XSL
Stylesheets en lançant les commandes suivantes en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -m755 -d /usr/share/xml/docbook/xsl-stylesheets-1.78.1 && cp -v -R VERSION common eclipse epub extensions fo highlighting html \ htmlhelp images javahelp lib manpages params profiling \ roundtrip slides template tests tools webhelp website \ xhtml xhtml-1_1 \ /usr/share/xml/docbook/xsl-stylesheets-1.78.1 && ln -s VERSION /usr/share/xml/docbook/xsl-stylesheets-1.78.1/VERSION.xsl && install -v -m644 -D README \ /usr/share/doc/docbook-xsl-1.78.1/README.txt && install -v -m644 RELEASE-NOTES* NEWS* \ /usr/share/doc/docbook-xsl-1.78.1
Si vous avez téléchargé l'archive tar de la documentation
facultative, installez la documentation en effectuant la
commande suivante en tant qu'utilisateur root
:
cp -v -R doc/* /usr/share/doc/docbook-xsl-1.78.1
Créez (ou envoyez) et peuplez le fichier de catalogue XML
en utilisant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
if [ ! -d /etc/xml ]; then install -v -m755 -d /etc/xml; fi && if [ ! -f /etc/xml/catalog ]; then xmlcatalog --noout --create /etc/xml/catalog fi && xmlcatalog --noout --add "rewriteSystem" \ "http://docbook.sourceforge.net/release/xsl/1.78.1" \ "/usr/share/xml/docbook/xsl-stylesheets-1.78.1" \ /etc/xml/catalog && xmlcatalog --noout --add "rewriteURI" \ "http://docbook.sourceforge.net/release/xsl/1.78.1" \ "/usr/share/xml/docbook/xsl-stylesheets-1.78.1" \ /etc/xml/catalog && xmlcatalog --noout --add "rewriteSystem" \ "http://docbook.sourceforge.net/release/xsl/current" \ "/usr/share/xml/docbook/xsl-stylesheets-1.78.1" \ /etc/xml/catalog && xmlcatalog --noout --add "rewriteURI" \ "http://docbook.sourceforge.net/release/xsl/current" \ "/usr/share/xml/docbook/xsl-stylesheets-1.78.1" \ /etc/xml/catalog
À l'occasion, il se peut que vous éprouviez le besoin
d'installer d'autres versions des feuilles de style XSL vu
que certains projets se réfèrent à une version spécifique.
Un exemple est BLFS-6.0, qui exigeaient la version 1.67.2.
Dans ces instances vous devriez installer une autre version
requise dans son propre répertoire versionné et créer des
entrées de catalogue comme suit (remplacez <version>
par le
numéro de version désiré) :
xmlcatalog --noout --add "rewriteSystem" \ "http://docbook.sourceforge.net/release/xsl/<version>
" \ "/usr/share/xml/docbook/xsl-stylesheets-<version>
" \ /etc/xml/catalog && xmlcatalog --noout --add "rewriteURI" \ "http://docbook.sourceforge.net/release/xsl/<version>
" \ "/usr/share/xml/docbook/xsl-stylesheets-<version>
" \ /etc/xml/catalog
Last updated on : 2012-10-22 19:15:03 +020
Itstool extrait les messages des fichiers XML et sort des fichiers exemples PO, puis il synchronise les traductions à partir des fichiers MO pour créer des fichiers XML traduits. Il détermine ce qu'il faut traduire et ce qu'il la façon d'agréger cela dans les messages utilisant le Internationalization Tag Set (ITS) W3C.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://files.itstool.org/itstool/itstool-2.0.2.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : d472d877a7bc49899a73d442085b2f93
Taille du téléchargement : 96 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 784 Ko
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
DocBook XML-DTD-4.5, et Python-2.7.9
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/itstool
Installez itstool en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-04 21:19:24 +010
xmlto est un front-end pour une chaine d'outils XSL. Il choisit une feuille de style appropriée pour la conversion que vous voulez et l'applique en utilisant une processeur XSL-T externe. Il réalise également tout les post-processing nécessaire.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://fedorahosted.org/releases/x/m/xmlto/xmlto-0.0.26.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : c90a47c774e0963581c1ba57235f64f4
Taille du téléchargement : 120 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 1.4 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
DocBook XML-DTD-4.5, DocBook XSL Stylesheets-1.78.1, et libxslt-1.1.28
dblatex, PassiveTeX, et fop-1.1
One of w3m-0.5.3, Links-2.9, or Lynx-2.8.8rel.2
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xmlto
Installez xmlto en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr && make
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
Ce chapitre comprend des applications qui créent, manipulent ou visualisent des fichiers PostScript et créent ou visualisent des fichiers au format Portable Document (PDF).
a2ps est un filtre utilisé principalement en tâche de fond et d'abord par des scripts d'impression pour convertir presque tous les formats d'entrée en sortie PostScript. Le nom de l'application équivaut, lorsqu'on le développe, à « all to PostScript » (tout en PostScript.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
a2ps ne peut pas convertir de texte encodé en UTF-8 en PostScript. La chose est traitée en détails dans la section Needed Encoding Not a Valid Option de la page Problèmes liées aux locales. La solution est d'utiliser paps-0.6.8 au lieu de a2ps pour convertir du texte encodé en UTF-8 en PostScript.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/a2ps/a2ps-4.14.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://ftp.gnu.org/gnu/a2ps/a2ps-4.14.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 781ac3d9b213fa3e1ed0d79f986dc8c7
Taille du téléchargement : 2.6 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 22 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
Polices internationales : http://anduin.linuxfromscratch.org/sources/BLFS/conglomeration/i18n-fonts/i18n-fonts-0.1.tar.bz2
PSUtils-p17 et Cups-2.0.2 (sinon, a2ps utilisera la commande cat >/dev/lp0 instalée de lpr pour envoyer sa sortie vers l'imprimante)
GPL-Ghostscript-9.15, libpaper-1.1.24+nmu4. texlive-20140525 (ou install-tl-unx) X Window System, Adobe Reader, et Ghostview
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/A2PS
Installez a2ps en lançant les commandes suivantes :
autoconf && sed -i -e "s/GPERF --version |/& head -n 1 |/" \ -e "s|/usr/local/share|/usr/share|" configure && ./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc/a2ps \ --enable-shared \ --with-medium=letter && make && touch doc/*.info
Pour tester les résultats, lancez : make check. Le test
printers.tst
échouera, vu qu'il
n'y a pas de d'imprimante de test par défaut. Il se peut que
styles.tst
échoue vu que tests
signalent certaines incohérences entre le postscript généré
et les paramètres de référence. Ceci est dû à des différences
de numéros de versions entre les fichiers de test postscript
et ceux générés par les tests — cela ne touche pas le
déooulement du programme et cela peut être ignoré.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
Si vous le désirez, installez les polices internationales en
lançant les commandes suivantes en tant qu'utilisateur
root
:
tar -xf ../i18n-fonts-0.1.tar.bz2 && cp -v i18n-fonts-0.1/fonts/* /usr/share/a2ps/fonts && cp -v i18n-fonts-0.1/afm/* /usr/share/a2ps/afm && pushd /usr/share/a2ps/afm && ./make_fonts_map.sh && mv fonts.map.new fonts.map && popd
autoconf : Cette commande est utilisée pour recréer un script configure. C'est nécessaire car il y a un problème dans le test mktime qui aboutit à ce que le script configure se bloque pendant 60 secondes puis signale signale qu'il n'a trouvé aucun mktime.
sed -i "s/GPERF --version |/& head -n 1 |/" configure : Ceci corrige un bogue dans la gestion de la sortie de la version de gperf.
sed -i "s|/usr/local/share|/usr/share|" configure : Cette commande modifie le script configure pour chercher des polices Ghostscript à l'endroit où ils sont installés par les instructions de BLFS.
--sysconfdir=/etc/a2ps
:
Les données de configuration sont installées dans
/etc/a2ps
et non dans
/usr/etc
.
--enable-shared
: Ce
paramètre active la construction de la bibliothèque dynamique
liba2ps
.
--with-medium=letter
: Ce
paramètre modifie le format du papier par défaut en lettre
américaine. On peut soit le donner ici soit le paramétrer
dans /etc/a2ps/a2ps-site.cfg
après l'installation. Par défaut, il est en A4, mais il
existe plusieurs autres options, en particulier : A4dj
ou letterdj sont de bons réglages pour les HP Deskjet et
d'autres imprimantes exigeant des marges de papier plus
larges. Voir /etc/a2ps/a2ps.cfg
après l'installation.
touch doc/*.info: Cette commande évite d'essayer de régénérer les fichiers info. C'est un ancien paquet et les fichiers .texi actuels produiront des erreurs empéchant make install de travailler correctement.
est un filtre, utilisé d'abord par des scripts d'impression, qui convertit l'entrée standard or des fichiers supportés en PostScript. |
|
imprime une carte de référence des options d'un programme donné. |
|
crée un programme de polices composites. |
|
est supposé corriger les problèmes dans les fichiers PostScript généré par le pilote Microsoft PostScript sous Windows NT (3.5 et 4.0). |
|
essaie de corriger des problèmes habituels PostScript qui casse le traitement a posteriori. |
|
offre le support international pour Postscript en effectuant divers munging de fichiers PostScript liés à l'impression dans différentes langues. |
|
offre une bonne comparaison entre des fichiers. |
|
essaie de produire une version d'un fichier PostScript donné pour une impression en duplex manuel. |
|
produit une version d'un fichier PostScript avec un appel protégé à l'opérateur PostScript 'setpagedevice'. L'utilisation classique est de faire une impression de fichiers en duplex, ou sur le plateau manuel, etc. |
|
compile des fichiers Texinfo et LaTeX en DVI ou PDF |
Last updated on : 2012-05-08 20:24:55 +020
Enscript convertit des fichiers textes ASCII en PostScript, HTML, RTF, ANSI et overstrikes.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Enscript ne peut pas convertir du texte encodé en UTF-8 en PostScript. La question est discutée en détails dans la section Needed Encoding Not a Valid Option de la page Problèmes liées aux locales. La solution consiste à utiliser paps-0.6.8, au lieu de Enscript, pour convertir du texte encodé en UTF-8 en PostScript.
Téléchargement (HTTP) : http://ftp.gnu.org/gnu/enscript/enscript-1.6.6.tar.gz
Téléchargement (FTP) : ftp://mirror.ovh.net/gentoo-distfiles/distfiles/enscript-1.6.6.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 3acc242b829adacabcaf28533f049afd
Taille du téléchargement : 1.3 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 14 Mo
Estimation du temps de construction : 0.1 SBU
texlive-20140525 (ou install-tl-unx)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Enscript
Installez Enscript en lançant les commandes suivantes :
./configure --prefix=/usr \ --sysconfdir=/etc/enscript \ --localstatedir=/var \ --with-media=Letter && make && pushd docs && makeinfo --plaintext -o enscript.txt enscript.texi && popd
Si vous avez installé texlive-20140525, vous pouvez créer la documentation Postscript et PDF en tapant: make -C docs ps pdf.
Pour tester les résultats, lancez : make check.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/enscript-1.6.6 && install -v -m644 README* *.txt docs/*.txt \ /usr/share/doc/enscript-1.6.6
Si vous avez construit la documentation Postscript et PDF,
installez-la en utilisant la command suivante en tant
qu'utilisateur root
:
install -v -m644 docs/*.{dvi,pdf,ps} \ /usr/share/doc/enscript-1.6.6
--sysconfdir=/etc/enscript
:
Ce paramètre met des données de configuration dans
/etc/enscript
au lieu de
/usr/etc
.
--localstatedir=/var
: Ce
paramètre règle le répertoire des données au moment de
l'exécution sur /var
au lieu de
/usr/var
.
--with-media=Letter
: Ce
paramètre règle le format du média en lettre au lieu du A4
par défaut.
convertit des fichiers de sortie diff au format qui convient pour l'impression avec enscript. |
|
est un filtre, utilisé d'abord pour imprimer des scripts, qui convertit des fichiers textes ASCII en PostScript, HTML, RTF, ANSI et overstrikes. |
|
crée un plan de police à partir d'un fichier donné. |
|
est un script qui appelle enscript et passe les bons paramètres pour créer des polices overstriked. |
|
découpe des documents ayant de longues lignes. |
|
est un outil de traitement de texte du type awk avec certaines extensions d'état machine. Il est conçu pour surligner le code source de programmes et pour des tâches similaires où des informations d'état aident au traitement de l'entrée. |
Last updated on : 2012-10-29 16:26:47 +010
PSUtils est un ensemble d'outils pour manipuler des fichiers PostScript.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://pkgs.fedoraproject.org/repo/pkgs/psutils/psutils-p17.tar.gz/b161522f3bd1507655326afa7db4a0ad/psutils-p17.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : b161522f3bd1507655326afa7db4a0ad
Taille du téléchargement : 68 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 740 Ko
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/psutils
Installez PSUtils en lançant les commandes suivantes :
sed 's@/usr/local@/usr@g' Makefile.unix > Makefile && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
sed 's@/usr/local@/usr@g'
Makefile.unix > Makefile : Cette
commande crée un Makefile
qui
installe le programme dans un préfixe /usr
au lieu du préfixe /usr/local
.
Parfois, psnup et d'autres outils de ce paquet produisent des fichiers PostScript qui ne respectent pas le standard DSC d'Adobe. Il se peut que CUPS ye les imprime pas correctement. D'un autre côté, CUPS a des remplaçants intégrés pour la plupart des commandes de ce paquet. Par exemple, pour imprimer un document jusqu'à 2, vous pouvez exécuter cette commande :
lp -o number-up=2 <filename>
adapte un fichier EPSF à une boîte bounding donnée. |
|
réaménage les pages dans les signatures. |
|
met plusieurs pages sur une feuille physique d'un papier. |
|
modifier la taille du papier du document. |
|
sélectionne des pages et les organise. |
|
effectue des réorganisations et des sélections généraux de pages. |
|
scripts |
les commandes restantes sont des scripts qui effectuent des fonctions spécifiques décrites dans leurs pages de man respectives. |
Last updated on : 2012-10-29 16:26:47 +010
ePDFView est un lecteur de PDF autonome et léger utilisant les bibliothèques Poppler et GTK+. C'est un bon substitut à Evince vu qu'il ne se base pas sur les bibliothèques GNOME.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://trac.emma-soft.com/epdfview/chrome/site/releases/epdfview-0.1.8.tar.bz2
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e50285b01612169b2594fea375f53ae4
Taille du téléchargement : 456 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 6 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Poppler-0.31.0 et gtk+-2.24.26
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/epdfview
Installez ePDFView en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../epdfview-0.1.8-fixes-1.patch && ./configure --prefix=/usr && make
Ce paquet n'est pas fourni avec une suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
patch -Np1 -i ../epdfview-0.1.8-fixes-1.patch Ce correctif fait trois choses: répare la compilation avec glib-2.32 ou plus, corrige l'apparition de rouge comme du bleu avec les versions récentes de poppler, et permet à l'application de compiler si Cups-2.0.2 est installé.
Last updated on : 2013-03-15 17:26:39 +010
Le paquet fop (Formatting Objects Processor) contient un formateur d'impression guidé par le formatage XSL d'objets (XSL-FO). C'est une application Java qui lit une arborescence d'objets de formatage et qui produit les pages qui en résulte vers une sortie spécifique. Les formats de sortie actuellement supportés comprennent le PDF, PCL, PostScript, SVG, XML (représentation en arborescence de zone), print, AWT, MIF et texte ASCII. La cible sortie primaire est le PDF.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : https://archive.apache.org/dist/xmlgraphics/fop/source/fop-1.1-src.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 7b63af514b28c06fe710a794cbf4d68e
Taille du téléchargement : 23 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 206 Mo
Estimation du temps de construction : 0.5 SBU
Paquets requis
Composants de l'API Java Advanced
Imaging (JAI) (fonction de
l'architecture) :
http://download.java.net/media/jai/builds/release/1_1_3/jai-1_1_3-lib-linux-i586.tar.gz
a2cbc155ef3899bcde9c74a8035764b3
3.4 Mo
ou
http://download.java.net/media/jai/builds/release/1_1_3/jai-1_1_3-lib-linux-amd64.tar.gz
4a906db35612f668aeef2c0606d7075b
3.4 Mo
JUnit-4.11 (pour exécuter les tests), X Window System (pour exécuter les tests) JIMI SDK, XMLUnit, JAI Image I/O Tools, JEuclid, PMD (requires Jaxen), et Forrest (Forrest est utilisé seulement pour reconstruire la documentation)
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/fop
Assurez-vous que $JAVA_HOME
est
correctement paramétré avant de commencer la construction.
Pour construire les classes d'extension JIMI SDK et/u XMLUnit, assurez-vous que les fichiers
.jar
correspondant peuvent être
trouvés par la variable d'environnement CLASSPATH
.
Installez les composants de l'API de JAI. En tant
qu'utilisateur root
:
case `uname -m` in i?86) tar -xf ../jai-1_1_3-lib-linux-i586.tar.gz cp -v jai-1_1_3/lib/{jai*,mlibwrapper_jai.jar} $JAVA_HOME/jre/lib/ext/ cp -v jai-1_1_3/lib/libmlib_jai.so $JAVA_HOME/jre/lib/i386/ ;; x86_64) tar -xf ../jai-1_1_3-lib-linux-amd64.tar.gz cp -v jai-1_1_3/lib/{jai*,mlibwrapper_jai.jar} $JAVA_HOME/jre/lib/ext/ cp -v jai-1_1_3/lib/libmlib_jai.so $JAVA_HOME/jre/lib/amd64/ ;; esac
La commande javadoc venant avec OpenJDK 8 est devenu plus strict qu'avant à propos de la conformité des commentaires javadoc dans le code source vers l'HTML. La documentation de FOP ne respecte pas ces stantards, aussi les tests de conformité ont été désactivés. Cela peut être fait avec la commande suivante:
sed -i '\@</javad@i<arg value="-Xdoclint:none"/>' build.xml
Ensuite, compilez fop en lançant les commandes suivantes :
ant compile && ant jar-main && ant javadocs && mv build/javadocs .
Si Forrest est installé, construisez la totalité de la documentation:
ant docs
Pour tester l'application, lancez ant junit-all. Les tests de césure échoueront. Pour voir une liste des autres cibles de test, utilisez ant -p. Vous devez lancer les tests depuis un X-window utilisant un serveur GL-aware de Xorg ou certains des tests de JUnit planteront.
Maintenant en tant qu'utilisateur root
:
install -v -d -m755 /opt/fop-1.1 && cp -v KEYS LICENSE NOTICE README /opt/fop-1.1 && cp -va build conf examples fop* javadocs lib status.xml /opt/fop-1.1 && ln -v -sf fop-1.1 /opt/fop
ant target
: Cela lit le
fichier build.xml
et construit
les fichiers cibles.
ln -v -sf fop-1.1
/opt/fop : C'est facultatif et cela crée
un lien symbolique commode pour qu'on n'ait pas besoin de
modifier $FOP_HOME
à chaque fois
qu'il y a un changement de version de paquet.
L'utilisationn de fop pour traiter certains gros FO's (y compris les FO dérivés des sources XML de BLFS), peut conduire à des erreurs de mémoire. Sauf si vous ajoutez un paramètre à la commande java, utilisé dans le script fop, il se peut que vous receviez des messages similaires à celui décrit ci-dessous :
Exception in thread "main"
java.lang.OutOfMemoryError: Java heap space
Pour éviter des erreurs comme ça, vous avez besoin de
passer un paramètre supplémentaire à la commande
java utilisé
dans le script fop. On peut faire cela
en créant un ~/.foprc
(dont
la soupee est dans le script fop) et en ajoutant le
paramètre à la variable d'environnement FOP_OPTS
.
Le script fop
cherche une variable d'environement FOP_HOME
pour localiser les bibliothèques de
la classe fop. Vous pouvez
créer cette variable en utilisant aussi le fichier
~/.foprc
. Créez un fichier
~/.foprc
en utilisant les
commandes suivantes :
cat > ~/.foprc << "EOF"
FOP_OPTS="-Xmx<RAM_Installed>
m"
FOP_HOME="/opt/fop"
EOF
Remplacez <RAM_Installée>
par
un nombre représentant la quantité de RAM installée sur
votre ordinateur (en mégaoctets). Un exemple serait
FOP_OPTS="-Xmx768m"
.
Pour inclure le script fop dans votre path, mettez à jour votre profil personnel ou pour tout le système avec ce qui suit :
PATH=$PATH:/opt/fop
L'exécution de fop peut être un peu
verbeuse. Le niveau de journalisation par défaut peut
être changé à INFO pour toutes les varibales FINEST,
FINER, FINE, CONFIG, INFO, WARNING, SEVERE, ALL, ou OFF.
Pour faire cela, éditez $JAVA_HOME/jre/lib/logging.properties
et changez les entrées pour .leval
et java.util.logging.ConsoleHandler.level
à
la valeur désirée.
/opt/fop/{build,lib}
; JAI components
include libmlib_jai.so, jai_codec.jar, jai_core.jar, et
mlibwrapper_jai.jar
Last updated on : 2013-03-13 18:58:54 +010
MuPDF est un lecteur PDF et XPS léger.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://www.mupdf.com/downloads/mupdf-1.6-source.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 8d69db41ae9e0b6807b76bb6ed70dc2f
Taille du téléchargement : 13 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 167 Mo
Estimation du temps de construction : 0.3 SBU
Correctif recommandé: http://www.linuxfromscratch.org/patches/blfs/svn/mupdf-1.6-openjpeg21-1.patch
libjpeg-turbo-1.4.0, OpenJPEG-2.1.0, et cURL-7.40.0
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/mupdf
Installez MuPDF en lançant les commandes suivantes :
rm -rf thirdparty/curl && rm -rf thirdparty/freetype && rm -rf thirdparty/jpeg && rm -rf thirdparty/openjpeg && rm -rf thirdparty/zlib && patch -Np1 -i ../mupdf-1.6-openjpeg21-1.patch && make build=release
Ce paquet n'a pas de suite de tests..
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
install -v -m 755 build/release/mupdf-x11-curl /usr/bin/mupdf && install -v -m 644 docs/man/mupdf.1 /usr/share/man/man1/
Last updated on 2014-11-12 16:06:27 +0100
paps est un convertisseur de texte en PostScript qui fonctionne avec Pango. Son entrée est un fichier texte encodé en UTF-8 et il est sortie vectorisé en PostScript. On peut l'utiliser pour imprimer un script complexe supporté par Pango.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://downloads.sourceforge.net/paps/paps-0.6.8.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : e9508132bf27609bf2fded2bfd9cb3f1
Taille du téléchargement : 460 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 3 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/Paps
Installez paps en lançant les commandes suivantes :
patch -Np1 -i ../paps-0.6.8-freetype_fix-1.patch && ./configure --prefix=/usr --mandir=/usr/share/man && make
Pour tester les résultats, lancez : src/test_libpaps >
test.ps. Regardez le fichier en sortie dans
un visualiseur PostScript disponible et comparez-le
visuellement avec doxygen-doc/html/example-output.png
gans
l'arborescence du source. Le résultat de la sortie sera plus
robuste avec les polices DejaVu, Arphic, et Kochi installées
comme expliqué à la section Xft Font
Protocol de la configuration du système X Window.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && install -v -m755 -d /usr/share/doc/paps-0.6.8 && install -v -m644 doxygen-doc/html/* /usr/share/doc/paps-0.6.8
Last updated on : 2012-10-29 16:26:47 +010
Ce chapitre inclut des applications texlive qui créent une sortie équivalente à de la typographie.
Il y a deux routes différentes pour parcourir ce chapitre:
Certain peuvent souhaiter utiliser l'installateur binaire, soit à cause de la complexité d'installation de tous texlive depuis les sources, ou car ils ne veulent qu'une partie du paquet, ou peut être car ils souhaitent mettre à jour seulement quand elles sont disponibles (les sources sont seulement mis à jour annuellement). Ces personnes doivent suivre les instructions de install-tl-unx . Après l'installation, ils peuvent lancer tlmgr pour mettre à jour leur système.
Laplupart des personnes lisant BLFS souhaiteront construire depuis les sources. BLFS utilise pour commencer l'installation de install-tl-unx et ensuite utilise cela pour bootstrapper la construction. Actuellement, nous construisons la majeure partie de texlive sans une installation binaire, en ajoutant les fiohiers de texmf paquagés séparément dans la construction. Poru cela, commencez à texlive-20140525qui installera la plupart de texlive, avec tous les fichiers supportés. Une installation encore plus complète peut ensuite utilisée pour construire les parties manquantes de texlive, asymptote-2.32, xindy-2.5.1 et biber-1.9.
Coome les fichiers texmf (incluant la documentation, les polices, les scripts et les fichiers supportés) sont tous dans une seule archive, ce n'est pas pratique de limiter ce qui doit être extrait dans une étape sensible (c'est à dire pour exclure un ou l'autre des moteurs typographiques) quand on construit depuis les sources de cette manière.
Dans tous les cas, BLFS installe dans /opt/texlive/2014
avec une seule exception pour
deux bibliothèques qui sont installées dans /usr/lib
pour la cohérence.
Le paquet TeX Live un système complet de production de documents TeX Il inclut TEX, LaTeX2e, ConTEXt, Metafont, MetaPost, BibTeX et bien d'autres programmes ; un ensemble extensible de macros, de polices et de documentation ; le support du formatage de nombreux scripts dans le monde.
Cette page est pour les personnes qui souhaitent utiliser
l'installateur binaire pour fournir les programmes, les
scripts, et beaucoup de fichiers supportés et de
documentation. L'installateur est mis à jour souvent, donc
leur md5sum changera s'il est plus récent que celui donné.
Les versions plus récentes de l'installateur sont fournit
avec ces instructions, qui installeront dans le répertoire
2014/
.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://mirror.ctan.org/systems/texlive/tlnet/install-tl-unx.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : f5b1e909d5c2380cefd2cda83d288c00 ( au 20140628)
Taille du téléchargement : 3.2 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 3.8 Go
Estimation du temps de construction : varies, depending on network speed and traffic
Les binaires sont souvent liés à des bibliothèques statiques
comme libc.a
, mais quelques
programmes et plusieurs scripts échoueront si les paquets
suivants ne sont pas présents.
GPL-Ghostscript-9.15 est dynamiquement chargée par dvisvgm, qui est utilisé par asy.
Xorg Libraries et libxcb-1.11 est necessaire pour inimf, mf, pdfclose, pdfopen et xdvixaw. Mais si vous utilisez asy, ou TeX pour créer un fichier PDF, vous aurez besoin d'un X Window System(pour les fichiers PDF, c'est pour supporter le viewer PDF de votre choix, par exemple epdfview-0.1.8.
La bibliothèque facultative ncurses pour les caractères non large (pour "seulement quelques applications binaire") du haut de la page Ncurses de LFS sont nécéssaire pour xindy.Exécution qui est utilisé par xindy.
Si vous avez construit pour le 32 bits x86, la version
binaire de asy demande FFTW, GLU-9.0.0 et libreadline-5.2
: cela requiert seulement libreadline.so.5.2
qui peut être
manuellement copié depuis le répertoire shm/
après avoir lancé configure et make et ensuite lié
symboliquement en tant que libreadline.so.5
.
Python-2.7.9 est utilisé par beaucoup de scripts. Ruby-2.2.0 est utilisé par quelques scripts, principalement avec mtx_context qui est une partie de conTeXt, mais aussi avec un ou deux autres, comme match_parens, qui est généralement utile.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/tl-installer
L'ensemble des programmes de TeX
Live avec les documents supports, les polices et les
utilitaires est très important. Les mainteneurs recommande de
placer tous les fichiers dans une structure de répertoires
unique. BLFS recommande /opt/texlive
.
Comme avec les autres paquets, déballez l'installeur et allez
dans le répertoire de l'installeur, install-tl-<CCYYMMDD>
. Le nom de ce
répertoire change quant l'installeur est mis à jour, aussi
remplacez <CCYYMMDD> par le bon nom de répertoire.
Les binaires de la distribution installée utilisent des liens statiques pour les bibliothèques générales du système linux. Les bibliothèques supplémentaire ou les interpréteurs comme spécifiés dans la section des dépendances ne doivent pas être présent pendant l'installation, mais les programmes qui en ont besoin ne pourront pas se lancer tant que leurs dépendances spécifiques n'auront pas été installée.
Avec tous les programmes binaires, il peut y avoir une erreur entre le constructeur de chaine d'outils et vous matériel. Dans la plupart des cas cela n'aura pas d'importance, mais dans de rares cas, vous pouvez avoir des problèmes. Par exemple, si votre processeur x86_64 ne supporte pas 3dnowext ou 3dnow, le binaire du 2014-06-28 echouera dans conTexT en lançant LuaTeX, bien que lualatex fonctionne, de même que les binaires i686 sur la même machine. Dans ce cas, la solution la plus simple est d'installer texlive depuis les sources.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
TEXLIVE_INSTALL_PREFIX=/opt/texlive ./install-tl
Cette commande est intéractive et permet la sélection ou la modificationtion de la plateforme, des paquets, des répertoires, et d'autres options. L'installation complète demandera environ 3.8 Gio d'espace disque. Le temps de terminer le téléchargement dépendra de votre vitesse de connexion internet et le nombre de paquets sélectionnés.
Maintenant faite Setting the PATH for TeX Live.
./install-tl --location
http://mirror.aut.ac.nz/CTAN/systems/texlive/tlnet/
:
utilisez autre chose si vous souhaitez utiliser un mirroir
différen, par exemple si vous êtes en Nouvelle Zélande mais
que l'installeur choisi d'utiliser un mirroir australien. La
list des mirroirs est à l'adresse http://ctan.org/mirrors.
Les programmes inclus dans TeX sont trop nombreux pour
les lister individuellement. Merci de se référer
aux pages HTML et PDF de chaque programme dans le
fichier |
Last updated on 2014-02-14 04:51:05 +0100
La plupart de TeX Live peut être construit depuis les sources sans une installation pré-existante, mais xindy (pour l'indexage) demande des versions en fonctionnement de latex et pdflatex quand configure est lancé, et les suites de tests et l'installation de asy (pour les graphiques vectoriels) échoueront si TeX n'a pas déjà été installé. En supplément, biber n'est pas fournit dans les sources de texlive.
L'ensemble de ses paquets sont expliqués dans leurs propres pages et peuvent être construit après l'installation de ce paquet et en ayant fait Setting the PATH for TeX Live.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (FTP) : ftp://tug.org/texlive/historic/2014/texlive-20140525-source.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 09ee265ff51637827559affc7304078c
Taille du téléchargement : 40 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 3.6 GB including the additional download
Estimation du temps de construction : 8.2 SBU including the additional download
Beaucoup de l'environnement texlive (incluant scripts, documentation, polices et différents autres fichiers) ne sont pas dans l'archive des sources. Vous devez les télécharger séparément. Cela vous donnera tous les fichiers supplémentaires qui sont fournis par une isntallation complète de la version binaire, ce n'est pas réaliste de limiter les parties à installer.
A cause de la taille de ce paquet, il n'est pas en mirroir sur les mirroirs BLFS. En cas de problème, allez sur http://www.ctan.org/mirrors/ pour trouver un mirroir plus accessible.
Téléchargement (FTP) : ftp://tug.org/texlive/historic/2014/texlive-20140525-texmf.tar.xz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 645a6f1d3a0ef4a9c279dae02588eab7
Taille du téléchargement : 1.7 GB
GPL-Ghostscript-9.15 (pour dvisvgm - utilisé par asymptote qui fournit une boite à outils basée sur les coordonnées mathématiques pour les déssins techniques), X Window System
Les sources sont livrées avec leurs propres versions de beaucoup de bibliothèques, et les utiliseront a moins de forcer l'utilisation des versions du système. Les suivantes sont recommandées pour que les versions du système soient utilisées: Fontconfig-2.11.1, FreeType-2.5.5, GC-7.4.2, Graphite2-1.2.4, Harfbuzz-0.9.38 (lié à graphite2), ICU-54.1, libpaper-1.1.24+nmu4, libpng-1.6.16, Poppler-0.31.0
Les sources sont livrées avec leurs propres versions de quelques bibliothèques qui ne sont soit plus dans un developpement actif, ou seulement utilisée pour des fonctionnalités limitées. Si vous les installez, comme d'autres dépendances facultatives dans ce livre vous devrez dire à configure d'utiliser la version du système. GD, t1lib, ZZIPlib, TECkit
Python-2.7.9 est utilisé par beaucoup de scripts. Ruby-2.2.0 est utilisé par quelques scripts, principalement avec mtx_context qui est une partie de conTeXt, mais aussi avec un ou deux autres, comme match_parens, qui est généralement utile.
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/texlive
Installez TeX Live en lançant la suite
TEXARCH=$(uname -m | sed -e 's/i.86/i386/' -e 's/$/-linux/') && mkdir texlive-build && cd texlive-build && ../configure \ --prefix=/opt/texlive/2014 \ --bindir=/opt/texlive/2014/bin/$TEXARCH \ --datarootdir=/opt/texlive/2014 \ --includedir=/usr/include \ --infodir=/opt/texlive/2014/texmf-dist/doc/info \ --libdir=/usr/lib \ --mandir=/opt/texlive/2014/texmf-dist/doc/man \ --disable-native-texlive-build \ --disable-static --enable-shared \ --with-system-cairo \ --with-system-fontconfig \ --with-system-freetype2 \ --with-system-graphite2 \ --with-system-harfbuzz \ --with-system-icu \ --with-system-libgs \ --with-system-libpaper \ --with-system-libpng \ --with-system-pixman \ --with-system-poppler \ --with-system-xpdf \ --with-system-zlib \ --with-banner-add=" - BLFS" && unset TEXARCH && make
Pour tester le résultat, tapez : make -k check Un test de web2c, dvipng et ttf2pk2 seront passé ("SKIP") car kpathsea n'est pas encore installé.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install && make texlinks
Et maintenant, installez les fichiers supplémentaires en
tant qu'utilisateur root
:
mkdir -pv /opt/texlive/2014 && tar -xf ../../texlive-20140525-texmf.tar.xz -C /opt/texlive/2014 --strip-components=1
Maintenant effectuez Setting the PATH for TeX Live.
--prefix=, --bindir=,
--datarootdir=, --infodir=, --mandir= ...
: Ces
paramètres assurent que les fichiers installés depuis les
sources écraseront les fichiers correspondants installés
précédement par install-tl-unx afin que les méthodes
d'installation de texlive
soient cohérentes.
--includedir=, --libdir=
...
: Ces paramètres assurent que les
bibliothèques seront trouvées à l'éxécution, et que
les programmes peuvent être compilés contre elle.
--disable-static
: Ce
paramètre empêche l'installation des versions statiques des
bibliothèques.
--enable-shared
:
Crée les versions partagées de libkpathsea
et libptexenc
.
--with-system-...
:
Sans que ce paramètre soit utilisé, les versions incluses
dans les sources de ces bibliothèques seront compilées
statiquement dans le programme qui les utilisent. Si vous
décidez de ne pas installer une bibliothèque recommandée,
oubliez le paramètre correspondant.
--with-system-xpdf
:
unique, ce paramètre a une signification non standard, il
indique à configure d'utiliser les
entêtes et la bibliothèque installés sur le système
poppler. De nouveau, oubliez
le si vous n'avez pas installé poppler.
--without-x
: utilisez cela si
vous n'avez pas installé Xorg.
make texlinks
: cela
lance le script texlinks.sh pour créer (ou recréer) les
liens symboliques depuis les formats du moteur. En pratique,
plusieurs des cibles comme xetex sont maintenant des
binaires séparés et pour ceux la signalera "fichiers
existants" ("file already exists").
tar -xf
texlive-20140525-texmf.tar.xz -C /opt/texlive/2014
--strip-components=1
: L'archive contient les
fichiers pour le répertoire texmf-dist, et à cause de
sa taille nous ne voulons pas gaspiller de temps et d'espace
à le déballer et ensuite copier les fichiers.
Les programmes inclus dans TeX sont trop nombreux pour
les lister individuellement. Merci de se référer
aux pages HTML et PDF de chaque programme dans le
fichier |
|
(kpathsearch) existe pour rechercher un fichier dans une liste de répertoires. |
|
est une bibliothèque pour pTeX japonnais (publishing TeX). |
Last updated on 2015-01-11 22:13:35 +0100
Après que le téléchargement du paquet est terminé, l'étape
suivante est d'être certain de faire que le système peut
proprement trouver les fichiers. Si vous initialisez vos
scripts de login tel que recommendé dans Les fichiers de
démarrage du shell Bash, mettez à jour les chemins
nécessaires en ajoutant le script extrapaths.sh
. Les programmes sont aussi
installés dans un sous répertoire <ARCH>-linux et en
32-bit x86 c'est toujours i386-linux. Pour x86_64 et i?86 vous
pouvez générer cela en tant que $TEXARCH:
export TEXARCH=$(uname -m | sed -e 's/i.86/i386/' -e 's/$/-linux/') && cat >> /etc/profile.d/extrapaths.sh << EOF pathappend /opt/texlive/2014/texmf-dist/doc/man MANPATH pathappend /opt/texlive/2014/texmf-dist/doc/info INFOPATH pathappend /opt/texlive/2014/bin/$TEXARCH EOF unset TEXARCH
Les nouveaux chemins peuvent être activés immédiatement en lançant source /etc/profile.
si vous arrivez ici après avoir installé le binaire TeX Live et ne souhaitez pas construire depuis les sources, votre installation est maintenant terminée.
Alternativement; si c'est une construction depuis les sources vous pouvez maintenant installer asymptote-2.32, biber-1.9 et xindy-2.5.1 si vous le souhaitez.
Last updated on 2014-10-22 01:24:32 +0200
Biber est une alternative à BibTeX pour les utilisateurs de biblatex, écrit en Perl. Malencontreusement, l'archive elle-même est appelée biblatex-biber.tar.gz mais elle se déballera dans un répertoire versionné. Merci de vous assurer que vous le téléchargé depuis le bon répertoire versionné sur sourceforge.
Cette version corrige un problème avec certain code UTF-8 utilisé dans la valeur "key" d'une entrée bibliographique et la version actuelle de perl est utilisée. Il est livré dans la version binaire actuelle de texlive mais requiert une version plus récente de biblatex que celle dans les sources de texlive.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://sourceforge.net/projects/biblatex-biber/files/biblatex-biber/1.9/biblatex-biber.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : aa2857f3a4b0c2ab2dfe3c4f657cbb50
Taille du téléchargement : 2.0 Mo
Estimation de l'espace disque requis : 25 Mo
Estimation du temps de construction : moins de 0.1 SBU (0.6 SBU to run the tests)
La version correspondante de biblatex est un projet séparé - la
version tds est pré-emballée pour être déballée dans le
répertoire texmf-dist
.
Téléchargement (HTTP): http://sourceforge.net/projects/biblatex/files/biblatex-2.9/biblatex-2.9a.tds.tgz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement: 955662dca33f8256933745c51ccd0af9
Taille du téléchargement: 18 Mo
autovivification-0.14 Business::ISBN-2.09 Business::ISMN-1.13 Business::ISSN-0.91 Data::Compare-1.25 Data::Dump-1.22 Date::Simple-3.03 Encode::EUCJPASCII-0.03 Encode::HanExtra-0.23 Encode::JIS2K-0.02 File::Slurp-9999.19 IPC::Run3-0.048 Log::Log4perl-1.46 libwww-perl-6.13 List::AllUtils-0.09 Regexp::Common-2013031301 Text::BibTeX-0.70 Unicode::Collate-1.11 Unicode::LineBreak-2014.06 XML::LibXML::Simple-0.95 XML::LibXSLT-1.94 XML::Writer-0.625 et texlive-20140525
Readonly::XS-1.05, et File::Which-1.09 (pour lancer la suite de tests)
Il est possible d'installer toures les dépendances manquantes automatiquement Commencez par lancer perl ./Build.PL et ensuite quand il vous donne la main, devenez utilisateur root et lancez ./Build installdeps
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/biber
Installez Biber en lançant les commandes suivantes :
sed -i 's/use Encode;/&\nuse File::Slurp;\nuse File::Spec;/' \ lib/Biber/LaTeX/Recode.pm && perl ./Build.PL && ./Build.PL
Pour tester les résultats, entrez: ./Build test
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
tar -xf ../biblatex-2.9a.tds.tgz -C /opt/texlive/2014/texmf-dist && texhash && ./Build install
sed -i 's/use Encode;/&nuse
File::Slurp;nuse File::Spec;/' ...
: ce sed
corrige une erreur d'éxécution avec la version actuelle de
perl.
tar -xf biblatex-2.9a.tds.tar.gz
-C /opt/texlive/2014/texmf-dist
: cela installe
les nouveaux fichiers de biblatex au dessus de la version
précédente.
texhash
: this
updates the file hash tables (otherwise known as the file
name database).
Last updated on 2014-08-30 06:50:58 +0200
Xindy est un processeur d'index qui peut être utilisé pour générer des index comme ceux des livres pour des systèmes de préparation de documents arbitraires. Cela inclu les sytèmes tel que TeX et LaTeX, la famille roff, les sytèmes basés sur SGML/XML (c'est à dire HTML) qui manipule différentes sortes de textes et génère des informations d'indexage.
Ce paquet est connu pour se construire correctement sur une plateforme LFS-7.7.
Téléchargement (HTTP) : http://tug.ctan.org/support/xindy/base/xindy-2.5.1.tar.gz
Somme de contrôle MD5 du téléchargement : 221acfeeb0f6f8388f89a59c56491041
Taille du téléchargement : 506 Ko
Estimation de l'espace disque requis : 15 Mo
Estimation du temps de construction : less than 0.1 SBU
Notes utilisateur : http://wiki.linuxfromscratch.org/blfs/wiki/xindy
Installez xindy en lançant les commandes suivantes :
export TEXARCH=$(uname -m | sed -e 's/i.86/i386/' -e 's/$/-linux/') && ./configure --prefix=/opt/texlive/2014 \ --bindir=/opt/texlive/2014/bin/$TEXARCH \ --datarootdir=/opt/texlive/2014 \ --includedir=/usr/include \ --libdir=/opt/texlive/2014/texmf-dist \ --mandir=/opt/texlive/2014/texmf-dist/doc/man && make LC_ALL=POSIX
Ce paquet n'a pas de suite de tests.
Maintenant, en tant qu'utilisateur root
:
make install
--prefix=, --bindir=,
--datarootdir=, --infodir=, --mandir= ...
: Ces
paramètres assurent que les fichiers installés depuis les
sources écraseront les fichiers correspondants installés
précédement par install-tl-unx afin que les méthodes
d'installation de texlive
soient cohérentes.
--includedir=/usr/include
: Ce
paramètre assure que les entêtes kpathsea
de texlive-20140525 seront
trouvées.
make LC_ALL=POSIX
:
avec la version actuelle de coreutils il est essentiel de construire
xindy en locale POSIX (ou C)
car dans une locale UTF-8 le fichier latin.xdy
contiendra seulement une entête
et ensuite une ligne 'Binary file
(standard input) matches
' Ã la place des
nombreuses lignes de commandes lisp merge-rule qu'il doit contenir.
Last updated on 2015-01-11 22:06:00 +0100
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License Grant. Subject to the terms and conditions of this License, Licensor hereby grants You a worldwide, royalty-free, non-exclusive, perpetual (for the duration of the applicable copyright) license to exercise the rights in the Work as stated below:
to reproduce the Work, to incorporate the Work into one or more Collective Works, and to reproduce the Work as incorporated in the Collective Works;
to create and reproduce Derivative Works;
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to distribute copies or phonorecords of, display publicly, perform publicly, and perform publicly by means of a digital audio transmission Derivative Works;
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Restrictions.The license granted in Section 3 above is expressly made subject to and limited by the following restrictions:
You may distribute, publicly display, publicly perform, or publicly digitally perform the Work only under the terms of this License, and You must include a copy of, or the Uniform Resource Identifier for, this License with every copy or phonorecord of the Work You distribute, publicly display, publicly perform, or publicly digitally perform. You may not offer or impose any terms on the Work that alter or restrict the terms of this License or the recipients' exercise of the rights granted hereunder. You may not sublicense the Work. You must keep intact all notices that refer to this License and to the disclaimer of warranties. You may not distribute, publicly display, publicly perform, or publicly digitally perform the Work with any technological measures that control access or use of the Work in a manner inconsistent with the terms of this License Agreement. The above applies to the Work as incorporated in a Collective Work, but this does not require the Collective Work apart from the Work itself to be made subject to the terms of this License. If You create a Collective Work, upon notice from any Licensor You must, to the extent practicable, remove from the Collective Work any reference to such Licensor or the Original Author, as requested. If You create a Derivative Work, upon notice from any Licensor You must, to the extent practicable, remove from the Derivative Work any reference to such Licensor or the Original Author, as requested.
You may distribute, publicly display, publicly perform, or publicly digitally perform a Derivative Work only under the terms of this License, a later version of this License with the same License Elements as this License, or a Creative Commons iCommons license that contains the same License Elements as this License (e.g. Attribution-NonCommercial-ShareAlike 2.0 Japan). You must include a copy of, or the Uniform Resource Identifier for, this License or other license specified in the previous sentence with every copy or phonorecord of each Derivative Work You distribute, publicly display, publicly perform, or publicly digitally perform. You may not offer or impose any terms on the Derivative Works that alter or restrict the terms of this License or the recipients' exercise of the rights granted hereunder, and You must keep intact all notices that refer to this License and to the disclaimer of warranties. You may not distribute, publicly display, publicly perform, or publicly digitally perform the Derivative Work with any technological measures that control access or use of the Work in a manner inconsistent with the terms of this License Agreement. The above applies to the Derivative Work as incorporated in a Collective Work, but this does not require the Collective Work apart from the Derivative Work itself to be made subject to the terms of this License.
You may not exercise any of the rights granted to You in Section 3 above in any manner that is primarily intended for or directed toward commercial advantage or private monetary compensation. The exchange of the Work for other copyrighted works by means of digital file-sharing or otherwise shall not be considered to be intended for or directed toward commercial advantage or private monetary compensation, provided there is no payment of any monetary compensation in connection with the exchange of copyrighted works.
If you distribute, publicly display, publicly perform, or publicly digitally perform the Work or any Derivative Works or Collective Works, You must keep intact all copyright notices for the Work and give the Original Author credit reasonable to the medium or means You are utilizing by conveying the name (or pseudonym if applicable) of the Original Author if supplied; the title of the Work if supplied; to the extent reasonably practicable, the Uniform Resource Identifier, if any, that Licensor specifies to be associated with the Work, unless such URI does not refer to the copyright notice or licensing information for the Work; and in the case of a Derivative Work, a credit identifying the use of the Work in the Derivative Work (e.g., "French translation of the Work by Original Author," or "Screenplay based on original Work by Original Author"). Such credit may be implemented in any reasonable manner; provided, however, that in the case of a Derivative Work or Collective Work, at a minimum such credit will appear where any other comparable authorship credit appears and in a manner at least as prominent as such other comparable authorship credit.
For the avoidance of doubt, where the Work is a musical composition:
Performance Royalties Under Blanket Licenses. Licensor reserves the exclusive right to collect, whether individually or via a performance rights society (e.g. ASCAP, BMI, SESAC), royalties for the public performance or public digital performance (e.g. webcast) of the Work if that performance is primarily intended for or directed toward commercial advantage or private monetary compensation.
Mechanical Rights and Statutory Royalties. Licensor reserves the exclusive right to collect, whether individually or via a music rights agency or designated agent (e.g. Harry Fox Agency), royalties for any phonorecord You create from the Work ("cover version") and distribute, subject to the compulsory license created by 17 USC Section 115 of the US Copyright Act (or the equivalent in other jurisdictions), if Your distribution of such cover version is primarily intended for or directed toward commercial advantage or private monetary compensation. 6. Webcasting Rights and Statutory Royalties. For the avoidance of doubt, where the Work is a sound recording, Licensor reserves the exclusive right to collect, whether individually or via a performance-rights society (e.g. SoundExchange), royalties for the public digital performance (e.g. webcast) of the Work, subject to the compulsory license created by 17 USC Section 114 of the US Copyright Act (or the equivalent in other jurisdictions), if Your public digital performance is primarily intended for or directed toward commercial advantage or private monetary compensation.
Webcasting Rights and Statutory Royalties. For the avoidance of doubt, where the Work is a sound recording, Licensor reserves the exclusive right to collect, whether individually or via a performance-rights society (e.g. SoundExchange), royalties for the public digital performance (e.g. webcast) of the Work, subject to the compulsory license created by 17 USC Section 114 of the US Copyright Act (or the equivalent in other jurisdictions), if Your public digital performance is primarily intended for or directed toward commercial advantage or private monetary compensation.
Representations, Warranties and Disclaimer
UNLESS OTHERWISE MUTUALLY AGREED TO BY THE PARTIES IN WRITING, LICENSOR OFFERS THE WORK AS-IS AND MAKES NO REPRESENTATIONS OR WARRANTIES OF ANY KIND CONCERNING THE WORK, EXPRESS, IMPLIED, STATUTORY OR OTHERWISE, INCLUDING, WITHOUT LIMITATION, WARRANTIES OF TITLE, MERCHANTIBILITY, FITNESS FOR A PARTICULAR PURPOSE, NONINFRINGEMENT, OR THE ABSENCE OF LATENT OR OTHER DEFECTS, ACCURACY, OR THE PRESENCE OF ABSENCE OF ERRORS, WHETHER OR NOT DISCOVERABLE. SOME JURISDICTIONS DO NOT ALLOW THE EXCLUSION OF IMPLIED WARRANTIES, SO SUCH EXCLUSION MAY NOT APPLY TO YOU.
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Termination
This License and the rights granted hereunder will terminate automatically upon any breach by You of the terms of this License. Individuals or entities who have received Derivative Works or Collective Works from You under this License, however, will not have their licenses terminated provided such individuals or entities remain in full compliance with those licenses. Sections 1, 2, 5, 6, 7, and 8 will survive any termination of this License.
Subject to the above terms and conditions, the license granted here is perpetual (for the duration of the applicable copyright in the Work). Notwithstanding the above, Licensor reserves the right to release the Work under different license terms or to stop distributing the Work at any time; provided, however that any such election will not serve to withdraw this License (or any other license that has been, or is required to be, granted under the terms of this License), and this License will continue in full force and effect unless terminated as stated above.
Miscellaneous
Each time You distribute or publicly digitally perform the Work or a Collective Work, the Licensor offers to the recipient a license to the Work on the same terms and conditions as the license granted to You under this License.
Each time You distribute or publicly digitally perform a Derivative Work, Licensor offers to the recipient a license to the original Work on the same terms and conditions as the license granted to You under this License.
If any provision of this License is invalid or unenforceable under applicable law, it shall not affect the validity or enforceability of the remainder of the terms of this License, and without further action by the parties to this agreement, such provision shall be reformed to the minimum extent necessary to make such provision valid and enforceable.
No term or provision of this License shall be deemed waived and no breach consented to unless such waiver or consent shall be in writing and signed by the party to be charged with such waiver or consent.
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